<M MALAtfM
~M ~fTtMMï
1
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Hjj apures dans le texte
~A~et,
1
PAR LB PROFESSEUR
H. DURVILLE
Directeur de t'Écote pratique de Magnétisme et de
Measage.
(CtMQUtÈ~E ÉUtTiOM)
} PRÏX 15 CENTIMES
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~S; DU MAGNÉTISMB..?i~
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~OUHMAL <MJ MtMtHtTMWM f
Le ~MtnKtt ~t ~a~<.<M<, 1
fondé en iMS par M. It Barot ne PWTt~
iwn)t toc< !M moh. MM la direction do professeur H. Dut~LU:.
Il publie )~< principaux tra~aul de la Société de Ffeoet
tnaMe/.ouf
tttit il <'<t)<~)ne. ainsi qn< le Compte rendu de ses Maccet: det rroMu~ j
~«M.r ttw la théMie da M~tiMM. Mr 4'aimant et Mr la po)arM:
«! (;ures M<t!~)7««; de< Comète pre<t~ s permettant i tout f<-)u
<ont la Mttt f ~~th! f*< d'apptiqucr avec MCtts le Magt~titme an trot-
ttmentdMdh'- ~.t.tt))M;onc /!<xt«</e~ Livres nouveaux, dett
PrM« et de): ? t)e< ~e(Ma<t<~ des ~or~m/tcnt. etc
Ayant <mqonr< f~t jtri};~ ~r )(~ maUres de la Science nx~aetique. ht
~Mrna< du .Wa.tr[)jtHf forme aujnurd'ttui une eottectif.n d.- 25 votuMM
Wutett. saMcottrp-tit. )(; r<i''eiep)utcom:))ct(!fscoDn:)inance<m.iMt-
MqMt. Léo SOpr.'MieM totume* de600i700pa?f6. petit ia-8'~nrent to.hHet
M le Baron da Potet. <M5 t i86i les v~ume< <aiTant< (de 3CO
MOptget. tfand in-8 '['reMioBMrdtMtotonmM), par le directeur af me).
*'rm<« eA'~Mftto~tMe~f~ac~~ecttCM. io~
Prixde t'etoM~M~t attt)M<t(qoi ettrembcar~en <~r< e< trottt~M
« ))rfp~<! Je ou en aiMon~ ?.f«~M~ da profiteur H. Dnrrine). t'otr
tMte t'UtteH po~tof. 6 fr. PrtT ~tto numéro, 50 cent.
On s'abonne à la Lt&r!ttrM du Af~nefmut. it3, rue Saint-Mcrri. PM~
<tM <« ~raiMt et dans tWM te* baream de po*te.
B'B!CTHÈQUE DU MAGNJT;S'
-M~
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eu' n'i')'
::r,u:¡, <III · il' li'IIII:1111 ,!lli ~')''d.t;
~y ¡,¡ILICI"'1I1; ~)..s\01,1'11"111,i rpny
t. )r.s.tux ~nund.
ptttr~~ ,s. ~j.u u!.L ~n.
t.on.; d:i.h..t. ,J,
du~h~ t 'ivers Lon.tituanH.!)
du ~J;¡gill'Ii, musée
tous les ` s.it iii-étés ar
puhlio' il ("'lIdlli'I/I'; ';lIi\'Jlllt"
pu~
;< i5 fr.; six moi., S tr ~-s \(.)nn~
~r~ ix'1~'
~.LV~ ''L.ux~i s.t,
Ils c(mt ,'UIIIi, rUIIII" 1I.IIIti"nl .h~.n.~
et iI.ln' ùall:' luutr: lï';UI'OPl', ;dlX
S~n;
Kpr~"n't~?,H' o"es prôtM, doit
reprrs,'ut,,1' i, \,¡¡"III' d,' ""lIx-ri.
La ){ih).u)h~)u.\ )'r~!u~h~h' t'/f~<~t</
MO~/tCfto'~ ~<t ouverte tous )et
'.urs. dim. et r~, exceptes, de i à 4 h (!t n-/a pas~de
Cataf~uc iMpr~'
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aimants .itah~ du profesM~H.DurvmeC~
?~ ou soulagent toutes les
Fortes maladies. {
remises. Ain~. to~t rendant de v
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services on faire de beaux hcn~ces <
presser a l-7~~t~< Magnétique, rue Sai.
Merrl. 1
APPLICATION -DE L'AIMANT
I. HISTORIQUE.
11. BIBLIOGRAPHIE
·
III. PHYSIQUE
28
Les branches 1 du premier sont ngnrëes parles côtés
latéraux du corps tête, tron< bras, jambes;
les pôles sont aux mains et aux pi<*ds le point
neutre se trouve au sommet de la tète. Les fran-
ches du second, moins longues et moins larges <.8
à 3 cent., sur Je devant du corps, 3 a 4 sur le der-
rière), sont sur le milieu de la figure, la pointe du
menton, le sternum, le nombril, la colonne ver-
tébrale, l'occiput; le point neutre est au périnée.
FM.1<tt2. dufMMA
M .PftLA'UM
DUtOKMJH;~A«.
La po~rité second~re est mbét'anLe aux
bM8 <t thjrac~ues ai-em-
~Iv~ns (cuises, jaMb~,
pieds, bras. avanl. Ceux de tt~Se
da ~ôLé d~ ~ain~).
.~po~ifs peUt doigt (faibt<SS)
~S~ ~ct~n~
du (~~entfpo~~ du
ï~i~~
~8t,é petit doigt.
= Par cette d~p~iti~a
ma~néUquedu corps d~Ja
!–34–
main, l'action que deux individus exercent l'un
sur l'autre est analogue à celle de deux aimants.
Le magnétisme humain étant soumis aux mêmes
lois que le magnétisme minet il s'ensuit qu'un
aimant agit sur le corps hun. <in comme sur un
autre aimant.
Le corps humain possède des propriétés ma-
gnéto-chimiques. Comme le pôle positif de l'ai.
mant, la main droite acidulé la substance sou.
mise à son action comme le pôle négatif de l'ai-
mant, la main gauche l'alcalise.
En raison de ces différentes analogies, et
se reconnaître pour
plus facilement dans la pratique,
je désigne les parties positives du corps par le si-
gne + les parties négatives par le signe 3
et 4). Les signes les plus gros indiquent la (fig.
rité d'ensemble pola-
les petits, la polarité secondaire.
Les pôles de l'aimant dirigés sur les pôles de
même nom du corps humain
(application iso-
nome), augmentent l'activité organique et exci-
tent les fonctions; les pôles de'l'aimant dirigés sur
les pôles de noms contraires du corps humain (ap-
plication hétéronome) diminuent l'activité, cal-
ment les douleurs et produisent le bien-être.
Ces effets se produisent plus ou moins rapide-
ment, selon la sensitivité des malades. Chez les
sensitifs. l'application isonome produit une exci-
tation considérable dont la conséquence est le
sommeil magnétique avec ses diverses pha-
ses l'application hétéronome, par le dégagement
qu'elle produit, détermine le réveil. Cette der-
nière application trop prolongée peut avoir
pour
conséquence l'abattement et môme la paralysie.
Ces différents effets sont sans conséquences,
puisqu'on les fait cesser par une application in-
verse mais comme il en résulte presque toujours
une fatigue du système nervevx, on doit les évi-
ao
FtC.3et4.-Pt)! fUTtDUCORP~MCMA'N.
–26–
ter et agi&~vec prudence vis-àvie d~e
-sensitifs.
L~ polarité du corps humain est inv~-M chez
les gauchers,
F)C. R. L~MEMABN~TtQUJt
W 3.
2" Plastrons
magnétiques.
un~
une anciennes et
lame n'est pas suffisante. A&n rebelle.,
une ptu~ grande somme d'obtenir
d'action, plusieurs lames
–~9–
sont réunies en des appareils désignés sous le nom
dfj~t~ro~ ou lames compos<es.
Les plastrons sont formés de 2, 3 on 4 lames.
Espacées de 2 a 3 centimètres l'une de l'autre, les
pôles de même nom du même côté, ces lames sont
maintenues dans un tissu solidement piqué. Le
pôle positif est marqué du signe + le négatif, du
signe et chaque angle est muni d'un anneatt
dans lequel on fixe t'agrafe d'une a< tache spéciale.
4o Senhitivometre.
mature; dans
la figure 9, on le voit sans arma-
font face laissent une
ouverture d'environ 4 centimètres, par lequel on
le met au poignet, comme
l'indique la figure 10
-31
Le pôle positif ou austral est marqué du signe +;
le négatif ou boréal, du signe
F.e. 9. SBxstTtvoMimn.
Pour b'en servir, retirer doucement l'armature,
appliquer l'ouverture sur la ligne du pouce à la
5~ Braceletmagnétique.
Le sensitivomètre est trop lourd pour être d'un
emploi faetle en thérapeutique. C'est pour obviera
cet in<*oa vient que j'ai fait le 6/vMc/t~/K~~MC,
~étttable bijou très apprécié des dames et des de-
BMfâ'eHeaqui'ontlà une élégante parure, doublée
d~u'n' puissant moyen de guérison.
Sa forme estz1 1{1.ont;rr1'l.on.r~
identiquement
4 11
celle du sensitivo-
mètre mais est moins large, moins ép&is, et
par conséquent, beaucoup moins lourd. On le fait
de plusieurs grandeurs sans numéro pour les
enfants;
1,,1 avec les numéros 1, et 3 pour les
t~ grandes personnes.
S On l'emploie avec succès contre tous malaises
;j crampe des écrivains et des pianistes, douleurs
dans les main.! et les bras;
ments de cœur, névralgie et migraine palpitations et batte-
1: de tête ou d'estomac, etc. On peut calmer légères, maux
ou exci-
1 ter comme avec le sensitivométre, selon
au qu'on le
place poignet en position hétéronome ou iso-
I~~ nome.
~I~II
6 Barreau magnétique.
j ;'I
'.?
Le &a~ca!M magnétique a 35 centimètres de
longueur. Un fil métallique flexible se fixe à chaque
pôle au moyen d'un ressort spécial, ng. 11. L'ex-
trémité libre des fils se termine par une aiguille
d'argent que l'on introduit dans la substance à
,j vitaliser. Les poids du barreau avec ses accessoires
est d'environ 450 grammes.
II peut servir utilement dans le plus grand
nombre des cas ou les lames et les plastrons sont
t employés; mais il est surtout indispensable pour
vitaliser les boissons et les aliments, ainsi que les
substances destinées à l'usage externe (gargaris-
Iii, mes, lavements, injections, lotions, etc.).
On peut vhahser les liqui tes, les corps gras, les
fruits, le pain, la viande et tous les aliments, sans
s en excepter les médicaments. Comïr.e il est dit au
chapitre III, la substance où plonge le fil qui ter-
mine le pôle du barreau devient acidulée, frai-
che, agréable au goût des sensitifb; celle qui reçoit
l'action du
1 pôle- devient au contraire alcaline, tiè-
de, fade. L action de la première est généralement
35
excitante, surtout quand elle est prise a l'intérieur;
celle de la seconde est calmante. Quand les fils des
deux pôles du barreau plongent dans une même
substance, leur action ne se neutratise pas et celle-
ci acquiert une saveur spéciale et unf propriété
stimulante qui convient dans !f plus grand nom-
bre des cas, aussi bien pour i'ttsa~e interne que
pour l'usage externe.
La substance soumise à l'action du pôle + est
vitalisée pos/~e~< à l'action d') pôl~ M<<t-
tivement. Pour désigner ceUe q"i est sounnsc à
l'action des deux pôles, je dis qn'elle est vitalisée
d'une façon Mt.r<e.
P)a.BAHB<AUttAeNi.T)(J<'Jt.
7° Porte-plume
magnétique.
VI. PATHOGÉNÉSIE
d'excJntiJn""
'excitettion. d'énergie, de vl~i~
II estfVtd~nt qu'entre ces deux
il n'y a pas
~1 toutes les maladies pavent être
classées en deux catégories:
'o~s !a~~a<o/r<?s ou d'e.yct'by!
caractén~(.sp~r une énergie trop grande et
1 exagération d~s fonctions organ~qnes par
~7 ~C~O~ atoniques ou p~~M~,
raeMnsées p~. ca-
dhninution ou l'abolition des
fornetions organiques.
Citons par exemple les affections les
nmnes de l'estomac. plus com-
Quand cet organe est les contractions
se font plus rapidement,trop leexcité, suc gasmq.œ
mucus stomacal sont plus abondants et le
q<ie de cou-
tume, et cette abondance donne lieu à des glaires,
des /)~(..s, des co/Mp~c~s. Ce sont alors des
maux d e~ les tiraillements, les cr~DM, la
puis Ja~e, la l'~c~-
Qnan~ au contraire l'activité est dimi-
nuée, le suc gastrique ne contient trop
élén~nts nécessaires à la digestion, et plus tous les
les contrac-
ttona de 1 organe se ralentissent. Les
aliments sé-
journent. dans l'estomac, ~s'y d' composent
etprc-
dulsentdes~ qui donnent lieu à des~o~
deserMc~o~,des~aM~cs,desre/tuo~.
vant de la ~e, de la pesanteur, ~n Enéprou~.
~M~ ~o-
pélit et le &e~3~, la dyspepsie, l'c~~a/Xf)M<
~s~y~ surviennent.
II est évident que pi on
cas pour diminuer cette activité calme, dans le premMr
anormale,
S~?~ second pour l'augtnenter,et que on
rétablit l'éq'ultbre qui constitue la santé.
Dans un grand nombre de cas, un fonc-
tionne avec une activité désordonnée, organe tandis qu'au
contraire les fonctions d'un organe voisin sont
nMnuées ou abolies. Quand il y a altération di- oa
–39–
destruction partielle d'un organe, comme dans les
et dans'
dégénérescences, les indurations,assezla phtisie,
quelques affections nerveuses indéfinissables,
telles que l'epilepsie, l'hystérie, la chorée, on ob-
serve quelquefois de la pcrt?erstOM, c'est-à-dire que
la même fonction, dans des temps plus ou moins
rapprochés, présente tantôt une augmentation,
tantôt une diminution de l'activité normale. Ces
et prouvent
particularités confirment ma théorie tous
ta très grande supériorité du magnétisme sur
les autres modes de traitement, car il-est mathé- donné
matiquement impossible qu'à un moment
les fonctions d'un même organe soient à la fois
augmentées et diminuées. Si un organed'un fonctionne
trop activement quand les fonctions organe
voisin sont diminuées, on calme le premier et l'onà
excite le second. Dans la perversion, on calme
l'instant où l'activi té est trop grande, pour exciter
quand elle n'est pas suffisante.
Pour le traitement de certaines affections, s'il y a
no-
quelque difûcuhé pour ceux qui n'ont aucune sans
tion de l'art médica) et qui veulent se traiter
l'avis du médecin, c'est de se rendre compte si réel-
lement il y a excitation ou atonie de telle ou telle
fonction. Dans ce cas, il suffit d'essayer. Si l'ap-
plication calmante ne donne pas les résultats que Le
l'on attend, il faut exciter et réciproquement.
est avant tout un modérateur un ré-
magnétisme
gulateur des fonctions. C'est une forceenéquilibrante,
nous la vie
analogue au principe qui entretient
et la santé, et qui ne présente aucun des dangers
de la médecine pharmaceutique. On peut calmer
là où il faudrait exciter, et réciproquement, sans
que le malade éprouve d'autres effets qu'une gêne
momentanée, disparaissant assez rapidement sous
l'action d'une application opposée. D'ailleurs, la
douleur disparait presque aussi rapidement, en
excitant qu'en calmant, à cause de l'anesthésie qui
4e–
!jrtcceae plll~ O~l moing
rap·~iemPnt à I'hyperes.
les bons r'~s1T1tat8 ob.
;i'tE5~ tenl1S par les praticiens
qui, n'ayant aU(~ltne nation
tonaPs faisaient au hasArd
t ~&S~tenrs ap¡-Mications,
'l, l, de cas, "s
nerveuses,
n~t~ les troubles
de totlto nature sont et les m~\laiRe8
0!'gan1qlles
l'apidemtmt
I,ill.' dMin. m.~gn~M guéris par la mg-
O~nd y 5'A f' pro-
les tumeurs, les
°'' anévrismes, lps
tS-Ax~ jndill'ation~, les
dégÁnér'escences,
le rQmô!lis~ement ataxie
~> !r~=- du cervean et de la locomotrice,
moelle épi-
nière, il ne faut pas toujours
compter sur une gué-
d'oùlt'nÍ1' da J'amt"lioration, avoir la ceuti-
tride
;,i'i LPs mnlades
qai n'oDti"nnent dn'une améliora-
vent has encorP vHali,és, nedoi-
i déses p érer. B.. aucoup d entre eua
'1~! sont encore rel~ativement
~sssis~ faciles à guérir par le ma-
p,élisme humai n, on har le massage
qui sont consi~.lérablement magnétigue,
plus vivifiants~ plus
I1 poissants yte le magnétisme
.nt de l'airnant. En sui-
les Consc~ils
,prutiqa~es que je publie dans: le
il, pourront de chaque
.aJadie,
=-s~ encoce trouver la guéri8.0'n..
VH.-APPLICATfON THÉRAPEUTIQUE
le magnétisme n'u
d-&
C'est
C~t llrl^
un~ erre=rr.
erreur ~sanctions nerveGse&.
At inrtépendatnrnent Contl'aÏ1'emenl à
de tou! acta l'h)'pnotisrr.e,'
,oéotisl1le est un agerrt suggestif, le ma-
vital, curAtif par exeell~nce-,
qni vient pl1issarnmen en aide auxf.)l'Ces
aatrices da ta mé(ii.
nature, et son efhcacité est souvent
plus grande dans les m:1ladies
df~ctions des nel'fs, orgnniqllel' qné lee
On sait que l'application isonome erc~e et que
l'appitcatit n h'téronome ca~Mc.
Je ne snur~i-s trop le répéter pour le faire bien
comprends. Pour calmar, il faut appliquer le
pôle positif (+) de l'ainMt~ sur le côté gauche des du
corps ou sur 1' côté interne (côté du pouce)
bras et des jambes qui sont négatifs; et récipro-
quement pôle négatif (-) de l'aimanl sur le
côté droit du corps ou sur le côt~ extprnf (côté du
petit doigt) des bras et desji'mb'~ qui sont posi-
tifs c'est l'application /t~<~o~o~c. Pour exciter
on place F aimant en sens contraire c'est-à-dire le
pôle + sur le oSte droit du corps ou sur le côté
externe des bras et des jambes le p~le sur le
côté gauche ou ser le côté interne des bras et des
jambes c'est l'e~~ca~to~ isonome.
La durée des applications doit être proportion-
née à la gravité ou à l'ancienneté du mal et à la
sensitivité des malades. En règle g~nér-de, dans
les maladies graves, surtout quand il y a douleur
vive, il faut porter les aimant:} jusqu'à la dispari-
tion de-; symptômes inquiétants; les pu'ter en-
suite soit le jour, soit la nuit, et di ninu''r pro-
gressiveme'ntia durée et la fréquence d -s applica-
tions, pour cesser complètement quand 1~ sym-
_ptômes ont entièrement disparu.
La sensitivité n'étant pM la même chez tous les
individus, il m'est impossible de donner exacte-
ment toutes Ifs indications nécessaires à chaque
malade. Ce n'est d'ailleurs pas indispensable, car
au bout Je q'tdque~ jours, par les effets obtenus,
celui-ci dir:ge parfuitein~nt le traitement, surtout
en ce qui concerne la durée et la fréquence des ap-
plications.
L'aimant agit à distance, onpeutdortc l'appli-
qnersoit par-dessus les vetemants, soit à nu sur ta
peau.
F)G. ;2. FACEANTËa~UtK DU COBPt!
5. E~l~
6. Foie. 6. E~tllluac. 7. R.ttd, -8~8 et 9. lotrs&iU8. 10.
Ovaires. 11. Ve~e et
u~u< -12~ )?; Avant-
br. Poignets. 15. cN..s.
FIG. l'<- FACZPOSTEKttt RKDU COHP~.
t Nuque. 2. Colonne veftébra'e. 3. PpumoM.
i r<BMr 5 Foie. 6.E~totn~c. –7 R*<< 8. Re<n<.
t BM< 10. Avant-bras. 11. Poigneta. 12. Cuitse*.
–44
Ce (fui prbc~de étaa't bien
com~riQ, passon~, le
f~as~ traitement des ma-
ladies les plus fréquentel qui peuvent ~tre guéries
ou soulagées par les aimants, Je divise ces mala-
dies en (letix catégorit-s.-
~f' ou ~Mt..M;
ou
les~e)~
clas.ant ~f~?
selon les régions duP'<«.<~MM;et en
corps les or-
ganes ;u~<.{:
Les fig, 1~,)et 13
indiquent approximativement
les principales régions où les applications
être faites, doivent
CervMc.
~~ec~O~ !M~o:
de CéDht!a!tyip (mal
~rtig~ né-
viaf~jp, ntigrajnc, congestion cé~hra~ tr.~
méningite, exaltation, n~:
in~n~
insensés. ~tes
ch~r~ + gau-
che, pôle -iir le droit). En principP,
dinni~ pot;r les cas or-
..ppjjq~ ~'j~
~0~~
~?~;i~
une à la nnque et une autre à la en même temps
gorge.
lesIe~?~
névralgies, on fera les a~plications migraine,
.elles dès<~l'apparition
des sym ptômes précurseurs du mnl, et la veiJle ou l'a-
vant-vei 1 t', si les aCl~ès se dédarent à
jours que l'on peut précoir. Pour la jour 'fixe ou à des
chemar d tous les cas où la migraine, le eau-
tAr sur l'esto,n;lc un plastron dig-estion se fait mal, por-
à 2, 3
vant la gravité au mal. Il est souvent ou 4 lames, sui-.
nécessaire d'ex-
Së~~ le cerveau. Dans les cas
peu de grauité, tant pour préserver de
rir, on fait les applications que pour gué-
Un bracelet porté durant le Denda t la nuit seulement.
plètement. jour les guél'it souvent com-
Dans les affections aiguës
qui mettent la'vie en ~n-
-45–
Ner. coe me la méningite, ifn les nnn~rnlninn
lno
convulsion! les apptica.
ncns doivent être contîntes, jusqu'à la dis{arit~&
des symptômes inquiétat.is. A partir de ce montant,
faire des applicattons intermtt~nt"s, d'autant phM
courtes qu'on approche davanta .e de !a guéris on*
Dans ces différents cas, et suitout quana !& digestion
est lente, que l'appétit eat paresseux, faire ufaee de
boissons et aliments magnét!sés positivement ou d'une
façon mixte, pour stimuler les fonctions de l'estomac.
Appliquer en même temps des compresses sur le frct)~
et sur le sommet de la tête ou faire des lotions et d«
lavages fréquents avec de l'eau magrt~tia~e négative-
ment et d'une façon mixte.
Affections ~cn!'<~M. An~n~e c~nbra~ hé-
bétude, idiotie, démencp, hypocondrie, npath~
indifférence, stupeur, para!yf:ie générée, tren<Me-
ment, ramollissement du cerveau, c<'rtbro~scté-
rose.
~4pjp~'ca~'oM~ isonomes. (Pôle + sur le côté droit,
pôle sur le gauche). Exciter le cerveau et l'estomac
avec les mêmes pièces que dans les cas' préc~d~nte.
AUment~ et boissons magnétisép positivement. Com.
presses sur la têœ lotions, lavages et frictions avec eau
magnétisée positivement ou d'une façon mixte.
Oreilles
Yeux
_c~'OM~ ~«w~a~o~M. Tumeurs
ales, aed8me des paupières ~<.rv
(cocote), ulcères,
EsEs~. choroïdite, iritis,
ophtalmie, blépharite.
Applications hétéronomes. Lame n" 3 sur le,front.
~)es cas graves, en
appliquer une autre à la
nuque.
Compresses sur le front et eau magnétispe d'une fa-
çon mixte; laver et baigner
rose ou eau de les yeux soit avec eau de
plantain magnétisée
l'œil gauche, negativement positivement pour
pour le droit.
A~'eclions atoniques. Mouches
faiblesse de la vue volantes,
taies, éblouissements, glau-
c8me, cataracte, ambliopie, achromatopsie, amau-
rose
Applications isonomes. MêmeR lames
appliquées en
–S!;R:g'M.M- sur
Compresses le front avec eau magnéti~ée d'une
façon mixte i laver d baigner l'œil droit avec
eau ma-
pétisée positivement; le gauche, avec eau magnétisée
négativement.
Bouche et Dents
Moelle ôpinière
i
~~ec~o7<.s ~<t<o~e.< Méningite spi-
nale, ataxie locomotrice, myélite ai~uë.
Plastron à 4 lames tan- ¡
4pp~tca~OM~ hétéronomes.
tôt sur les reins, tantôt sur les omoplates. Quand
il y a troubles gastriques, appliquer en même temps,
un plastron & 3 lames sur l'estomac. En cas d'insom-
nie, lame n" 3 sur le front pendant la nuit. 1
Aliments et boissons ir'<gn<'tis~s négativement ou
d'une façon mixte. Lotions et frictions sur la colonne
48–
vertébrale avec subtances magnétisées de la même fa-
çon.
~~ec~'o~ atoniques. Ramollisssement de I&
moelle. sclérose, paralysie progressive, atrophie
musculaire progressive, nerveuse
atrophie pro-
gressive, myélite chronique, tremblement,para-
lysie infantile.
~p~Hra~o~~ isonomes. Mêmes pièces que dans les
cas preccdents. placées sur les mêmes régions.
Aliments et boissons positivement ou d'une
façon mixte. Lotions etmagnétisés
frictions surl:t colonne verté-
brale avec substances magnétisées de la même
façon.
Reins
Cœur et aorte
EaLtomac
A/~cc~'o/~s ~n~a<ot'res. Aigreurs, pyrosis,
gaz, éructations, vomissements glaireux et bilieux,
hématérnèse (vomissoHM~ts de sang),
indigestion,
crampes d'estomac, gastralgie, gastrite aiguë, frin-
gaie, bouUmip, dypom~nie.
-ôi
Applications /t~f/'o~)M< Dans tes cas de peu -)e
~ravit~,lamen"4surla région de l'estomac, tant'.t
sur la face antérieure du corps, tantôt sur la face p.-<
terieure. Dans les cas ptun graves. plastron A '2, 3, ou 4
lames. Le brace!et modtne toujours ces cas.
Aliments et boissons magnétises n'a!i\'emettt pour
les cas graves, d'une 'açon mixte pour les autres.
Affections aloniques. Pesanteur d~sionmc,
manque d'uppétit,enib~rt'!)s~:Lsti-i~).te, cauclu.ma.r,
dyspepsie, ua.us6es, gastrite chroniq~p.
~pp/CM<to~A isonormes. Mênics ;uecMS<})te uausJes
casprécé'icnts. sur les mêmes rc~ion~.DansIecau-
chetnaf et l'insomnie, appliquer en mênie toupa une
lame n" H sur la tête, pendant la nuit, pour calmer.
Aliments et boissons magnétises positivement pour
les cas graves d'une façon mixte, pour les autres.
Frictions sur les régions de l'estomac (face antérieure
et face post rieure). matin et soir avec substances
magnétisées de la màtnc fhçon.
IntMtiNM
~~ec~'o/îS!~aw~et<o~cs.–C<~ique~, cran'pea,
spasmes, entéralgie (n~vi'ulgie de l'intest-in), <;nt6-
ritf, gastro-en~rite, péntonit~, dnu'thée, dysea-
terip, choiérine, carreau.
Applications Ae~'o/to~ Dans les cas de peu de
gravité, lame n" 4 sur la rf'srion de l'intestin. Dans les
cas ~Tav~t:, plastrou & ou 4 lames sur les régions
de i'es}t(Mnac, do~ intestins et des reins.
Aliments et boissons ntagnetisés néga-Hvement ~u
d'une façon mix~e frictions, lavementa. oains de eio~e
avec substances magnéMsees d'une façon mixte.
A/~ec~o~sato/tt~M.Constipation (cchjm~fe-
ment), ballonnement, gaz, flatuosit~.
Applications Mo~<?~< Mêmes pièces qwe datn< les
cas précédents.
Aliments et boissons magnétisés positivement tMi
d'une façon mixte; lavements, bains de siège, frictions
énergiques, substances magnétisées de la même fttçou,
52
Anua et Rectum
Ostéite pécMttite, 1
A~e~<MM~MtJt<ur~.
carie des os, malde.Pott, tumeurs blanchas~ojEal-
gip,a&crampe< crampe ~es écrivains et de~fpMt-
nistes, contractures, luxations, en'or8e,R)uhMe,
.rb.umajHsme, goutte, aithri~ hydtu thr<Me, hy-
~roaM., .acïaitque, douleMM ea <gé!~éral.
~pp~cŒ/fo~s TK~~roMOtKM.'Lames simples ou com-
posées, que l'on appliquera sur le siège de la douleur
ou aussi près que possible. Pour la crampe des èch-
~aina ttt des pMttMste&, lame n" 1 au poignet, ou
tMeNX encore porter le 'bracelet. Dans le premier ~cas
–54–
Lesengorgements,
les obstructions,
s'ils sont les
ront être guéris de cette façon dépôts pOU1"-
peu anciens
55
& un
un ~<MyrAn1nft Hvn il faudra
et peu volumineux. A degré plus avancé, les
combiner les applications hetéronomes avecseront :aono-
mes. Les tumeurs, les kystes, les cancers sou-
hétéronomes cons-
lagés, par desil applications presque
tantes, mais y a peu de chance de les guérir sans
avoir recours au magnétisme humain, au massage ma-
gnétique, et peut être à la chirurgie.
Aliments et boissons magnétisés négativement ou
d'une façon mixte, frictions partout, de haut en bas,
avec substances magnétisées de la même façon.
atoniques. AppauvrisseMent du
Affections
chlorose, débilité,
sang, pâles couleurs, anémie,
cachexie, asthénie, adynamie, maigreur.
Applications isonomes. Plastron à 2, 3 ou 4 lamot,
alternativement placé sur les régions des poumons, de
l'estomac et de l'intestin. Dans les cas compliqués, la-
mes spéciales à la plante des pieds. Les dames doivent
porter le bracelet.boissons ou
Aliments et magnétisés positivement
d'une façon mixte frictions partout, de haut en bas,
avec substances magnétisées de la même façon.
Affections nerveiMM.
MMNMA!MUUMt
Dm< an grand nombre de maladies MmpMqaées.le médecin.<mine ~)t
tt* danl tes profondeurs de !'o~<mi<me.ett~euTent très embarrassé poar
<txNtr MB diagnoetic et pretcrhe le remèdeneeetMire à la gnëd«Mt.
DaDafan des états dn MmmeHma~néttqae, nn bon somnambulelucide
peut we<rla nature, 'les carnet. !e< !pnpMme< do mal et le remède à y
eppMer. Le rapport dn somnambule au malade s'établit par le contact ou
par un objet appartcaant à celui-ci (de préférence une mèche de cheveux,
m ~tement porté sur la pean) n'ayant pas été tpuché par d'autres.
ae~BMrthe.bcetèbM 8oa!nM<t)Q.eqatade&netantdepM)MeBde<t
<M~M<tBctdtté. t~oH & t'tnaMMt Mtg'!é«qMe, 28, rue St-Meni, Pwt~
M)H~ttdMMacoc,d<tOh.tmtdt;~tMMe<)oart.~iLà~Lettwec)nt~
coM~MMwnQM~
r.P.Utquine suivent pas 1~s L~s de l'It~sYitut
~iQ~s
mapa
pratiques
S~S'SSSr'-sx~ae du profesS8I\lY..
Rédigés dans un style.simple et conca LJUltlo4lLl.&,
qui les met à la portéede touf.c
raleur de la mct4ode, ces Conseila
S~SSE~~aSt 11
«~.nt ainsi qu'à permettent au père et à la ma de
P' )eu~ ~ë~~sd~~m~"i~<
PM"fllS,leursami, P~~<t~X<.r~
amis JlW988t .être' ..aèvlts. (ipoiirbien
~.fp't~~n. cctuf qui a'~ni comprendre Je.
amMe~M"
~~7~
t.es Conseils"'? à 20 centimeL)
qui ~s-aprn~t aux cas
druy,gdalilr,dn,gine,
tarie ,txé,r,ie, Anémie
~'t~,A de cérébrale,Aporlexie.elf'~6~r
Catalepsie, Coturmfw ~a~ical, cc>sur,Blepharite,~Bror~~
G'h,tLedes cheueu:e, C~pbalat9ie, Chlproce, :C~n,~
Crampes, Crampes d'estomacCouyestioncéréb:rale, Conjo>activite Go>4at~q~
Crampe des éc:riv~il1s et des
pia~s,
it-emeiis, Uouble cortscience,
~sâ~a~~
a'y~.R,<c~A~.« Dyspepsie. Emenysénee,JEtte~Aa<~<
Encéphalite
cAron.~e ~,<T.<
E,etorse,
BMOH~Mettt. B<a<
Essoû//lement, Etatchronique,
nerveux, ~T~ Etourdissements, ~<?MtMHCtt.Fibromes, Fidurs
Gastrite, I;astro.eutérite, de poitrine, Folte.
~laucome, Goitre, G~utte. Gastrat ie
Sss~~s; Nystérie. Ifallucinatiô ra,
Imbécvlilé, Imyulsrons, Ictire, Idiotie,
Laryn.gite, Lélhargie; ""6. .Insomnie, lritis. Jaunisse.
-.JW #*M%4 Akè4de Kiral.ite.
.Mi_folle. oUil1r'8i, dents, Manies
Iqtstériq,4e,·ldluaoolie,
9~trrrastlrd~rie, eYbw~alyi,s,sirapie~ ~e.Nax,~e,
À~;ar faeùeia; iWa~cruis: flAiaili
~~<=~~
Pllar,yrigite,l''htisie
~s?~s~&
-8étinile. Saranmes,Saiati¢u4:'Svmnamàulis~e
pulmonaire,;t'>~tssselar~nQd'e;teu»,nuri,Jpmsltl~
~s~ sponta JRasWs~,
Pertige, doulaureux,;Tun~eurs.- U.t'f,n~
Pomissementt, Vo»tis,,ements.incotrciblES, da la,y~,r"oss,~e~;
.~S~Sh~.is.- -<- du <.
Magnétisrae, ~t eatoyd CODir.50 eutimes.
= ..t&.Ind'-S 4WtoIIte8 .1U/tdiwlerl'
nC8IIItNIIe8I'
ftrill1e toit ae6esb, le profpeeyr 8,
~ssTa:
maladespour leur Duft\11LL8 ltsat la
apllq1ler, par cormpondance, em la d~ dI8poâ.
lIIapétiqae qu'il, ,eat faire, 10U par eu-lIit da &raite_t'
®a8nétiqoe on peateat faire, ~tt 4$la. ~s par Mat«m6dWh
w maradte. la nataro, tu la CHIe. Pr*awo A4
4é,0. Poir me.
Ise~~M%
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~A~L~
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CBtWRES MOTEUM BT BEKSITïFa
Catre I8D8IUtdn bras. 2. Centre seasitif de la
·. Gntre rotenr de Il rate.
titetem de oreüie, `, Ceatre dee nerts spicans. -6.Jambe.
8. Celatremotear de la a.tN
eeo {. prtaeAe, tAte,.de la lup.
v artienli de ,Broc.}, -7. Ce..tre motear da ÍI8Ir.
8, Gatre I8IIIICIfd., 181u, Ce.tre sentitif de. ponronl,
te.
cm~S.H~j'' '~? p<r-
s~~s~sr~s~T~K~ssc
MIICIl
MMMf <t<
de )..la h"lch, C~
t..Mhe.tdM
et des denfs. '?~
is. Ceatre de J'ludfClG8,
X: C88"e .0h'Uf
81. as. S M&
~~S- de 1'88IIIa. ~&
MORA&M &T ntTEÏAECTCBM~a
1. Deaeenr 1 eaothe, coin drdte. D Fora.. de la
~!I:
Ia rlest; satisfsctiea.
?1S.S~ Adroite, loavestcs
trlttl'l:re.i}.ti"R>.Í'
lleW.
&S!S.K' D. Auè8tion. E. V. i
6i
MBRAtRtE DU MAGNETISME
(EXTRAITDU CATALOGUE)
et useN
tiombreuse~ Ctrures.
Ëgures. Cours
Cd professé
~nteoT
MT~R'o~~c ~rcr~M~ de J)~~4<MMc <?< ynaMa~e.
~~yar~tfe~e~Mc.Svo'l. reMée. Chaque vol. 3ïr.
Aptes avoir démontré que l'agent magnétique eat ~m
tgent physique qui obéit aux lois de la potarité, comme
'èlathficité et le magnétisme propre à Faimant, l'auteur
formule les lois q'u régissent ses actions sur le corps
mmain, qui, lui-même estpolarisé. Avec la polarité pour
ase, le magnétisme tant discuté sort enfin de l'empi.
nam~ pour entrer dans le domaine de la science.
Ecrit dans un style simple, conca;s, à la portée de tou-
tes les intelligences, cet ouvrage eat indispensable à tous
coNXqui veulent étudier le Magnétisme, tant au point
de vue expérimental qu'au point de v<ie thérapeutique
FOVEAU DE COURMELLES.–Lp M~e
~oa~ la /o~ 1 fp.
*–J~'jyyjoKO<M~te,&veo43Bg 3fr.
Oavrages d'un jaune médecin très apprécié. L'~y~-
~MîM~t~ est une très bonne œuvre de vulgarisation, où
toutes les méthodes magnêtico-hypnotiqucs sont expo-
sées.
J. GÉRARD. Af~MMrc sor ~'6~ <<Me/ du
jMa~t~<M~te. 1 fr.
L'auteur, devenu un médecin distingué, est un vété-
ran du magnétisme. Son mémoire, très bien écrit, mê-
ri-te~'êtrelu.
HUGUËT.. JhfdM~otre sur le M~~d~/îM
CM* 1 <r.
P~tit ouvrage d'un médecim, qNd eita quelques guéri-
sons extraordinaires obtenues (Mme sa. pratique. De-
vr~t~re. entre les mains de tous les médecins et de
tojop les malades.
*L. LOBET. L'hypnotisme en ~c~t'~Me p<
jM~e~ de MïMtM OM~ C&<MM~rM.50 cetit.
*L'Ay~o<~M <'<<*9<B«<
/e~CA<B~&~s &e~e<. Let-
tre ouverte M. le Sénateur .25 cent.
..Désintéressantes brochures d'un vulgarisateur du
jM~gnetiame, en Belgique.
1
LE MAGNÉTISME HUMAIN appliqué an Bou-
lagement et à la guérison des maladies. Rapport
général, d'après le compte rendu des séances du
Congrès international de 1889, avec préface de t
Camille Flammarion. 10 fr.
Très important ouvrage, rempli de travaux ioéditt,
qui montre fort bien l'état du magnétisme à cette
époque.
et gM~M~o~ 1
PERRONNET. -Force psychique
mentale. Leur démonstration, leur explication et
leurs applications possibles à la thérapeutique et
à la médecine légale. 3 fr.
Note sur l'hypnagogisme et /'A~/D~e.coc~ta~t<? 'j
Ofr.50
Très bons ouvta~es d'un médecin convaincu de la
réalité du Magnétisme et de sa valeur thérapeutique.
DE ROCHAS. Le Fluide des /no~n~eMyw.
Précis des expériences de Reichenbach sur ses
propriétés physiques et physiologiques.. 5fr. `
ZM états superficiels de ~A~o/tcsc. 2 fr. 50
Z/F~ootMcMte~. Documents historiques .et
expérimentaux 50 cent..
I/.E'a~rtoWsc~to~ de /a sensibilité, avec B-
gures dans le texte et 4 planches eh couleurs. 7 fr.
Très bons ouvrages sur la polarité. Le premier èat
une traduction annotée de l'un des meilleurs
moires de Reichembach.Le Utre des derniers indique
safnaamment leur objet. r
ROUXEL. ~~ppor~ ~MMa~s/MC e<dK 'S;p~ :M
rt~~c. 5 i~.
*–2TtS<o:rc et philosophie du Af~~<s/~e, 2 voï.,
illustrés de nombreuses Sgures. Reliés.
I. Chez les a~ctp~M 3 fr<?
'II.–C~c~~cs~oder~cs. 3~
65
f Bxcellenta ouvrages, traitant sartô~t de ï'MstoiM du
magnétisme et de ses rapport* atee le Bpintiame. L«~
tetu'y démontre que toutes ba théorie hypnotiques
étaient connues des disciples de Mesmer dès la nn du
t~Acl~dernier. Le dernier est le Cours professé par
l'auteur à l'Ecole pratique de Afa~~Mwe et de Mas-
sage.
OUVRAGES DE PROPAGANDE
Aittcenttmea
ALMANACHSPIRITE 1890-91.92 (8 broch.).
JB~ pour
ees occultes. Bibliographie du Magnétisme et du
scion.
b'Enseig
nement
du Magnétisme; avec
préface de Pspb~.
Application
avec 13 ligures. de l'aimant au traitement- des madadiea
~p~,
Son passé, Son présent, son surface;
avenir, parV~ucHSZ j
P~PUB.–z'OccM~tKe "P"CHM(compte-rMdu).(compte.readu).
Ae Spiritisme. Ï1
E. Veocttat, L'Education
~tl~
K~AMt.T. ~0~
morale, avec fia.
ag.
~~tte~-a Ma:c~M~~o~.
1
Aao cenMmtM
.~Sj~fns~
Documentsrecueillis par H. par les médecins.
La liberté de la médecine. DURVILLI.
1.
par Rou st.. Pratique médicale chez les anci.
Travaux du Congrès de i893
-J~T~~
Réponses aux questions du programme. Discussion8.
Vœux et Résolutions, etc.
&iondu
~r~sf~Congrès, appréciations de la et l'organisa-
Presse, arguments en favenr du libre
~?.Ili. Thése sur le libre sxercice de délégué du Comité,
la médecine, soutenue ent..eu
A 30 eenUmet
I.
Il. Historique.. a
Bibliographie (Travaux publiés sur la théra-
peutique de l'aimant) ig
111. Physique. 19
IV. Physique Physiologique (Polarité 22
V. Médecine des aimants (Description humaine). des ap-
pareils) 26
VI.Path~énésie 37
VII. Application thérapeutique 4~
Afo~adtM du c<eaM. 44
dMoret~M. 45
des </e<M?,du Me? et des fosses
M~~M. /6
b uche et des ~e~(~ 47
de la moelle épinière 47
des reins, gorge, du la-
ry;?a? et du p~a~~a! 48
<~Mca?Mr et de l'aorte 49
des poumons, des bronches, du
foie et de la rate 49
de l'estomac 50
(Fe<t~<~< 51
de ~'ctMM~et du ye(<Mw 52
de l'utérus, des ovaires, de la
vessie, de ~«re~ye et de la
pfON<C:~ 52
des voies ~pef~!a<Me~ 52
des articulations, des os, des
muscles, des tendons, sciati-
que, douleurs en géneral. 63
du sang ;et de la circulation,
de la nutrition et de ~a~~t~tt-
~MoM 53
de la peaM maux d'aven'-
<Mfe. 55
nerveuses < 56
Conseils ~8
Librairie du Magnétisme pratiques
(extr. duoat~ogue) .81
Prix des appareils 1
magnétiques.M~8
_-1'
<m rEco!ej!rttj<ïN)hj~tjaM
et<hMm~
LtLttrotrM <<« jîo~n~MMe MhHt .«M Je* ew< jWtfitM~ fj~~
~'e«y<K <<<JM~n<t)t«te et <<<a~t~e,
~MM forare ou ils sont professes. !e< prindttMit court sont
<" Aftt~fnK; </«o-t~<t~. à t'u:e des gens Ountonde et des ~TM do
ijEce« Bro<t?M< de J~)«'hi:M< A<M~<. Cours par t<
docteur MouttN, recuei!li et mis en ordre par t')~ RtNAUD. profe~M i vol.
<* Ft<<Mf< t'< ~~t~topAte du JM«~<MMM'. Ceur* trwfe)W< ttr
ReBXtL. < vol.
3* Physique ot<t~<~xe. C<Mt~ ptofeMé par M. t'uxvtLM. 2 vo).
<* My~Me~K ~yM<A~~M<. Cow)t pMtcMé par le ductear Et~~uat~
(Ptp)H). TOf.
S* Pr~c~~ théories du ~ep~tMtM. CoMt proteMé par H. t*tx~
1'ILLS. 1 vol.
6' Expérimentation wa~M«~Me. Conr< profestt par H. DMtWtLUL
DEHARES-T.PH. Rt;KAUD. JAMET. i vot.
T~SMa. Cours professé par PH. REt~tUt. ~et.
8* Pathologie et <A<rdBeM(tMt< <M<tM«tOMM. C<MMt <M<Mt< F– t~
H. DuRVtuj:. 6 vol.
Cette collectiou constitue )'ensc)?nem''nt le
méthodique plus rom~t t<
p)M pratique qui ait paru sur t<- Mj~nf-t~me et le M..tM~e. Ette remptace
le Trat«ea:rtmen(a< e< </<fr<t;.eM<t}H<j< waeM~tMMe, par H. Dar~Me.
qui devait paraitre en <0 volumes.
Celui qui Vt'ut pratiquer le nt~rn~tume ou le maMa~e tt
médecin. Pamateur ou le père de famille ~ni vfnteBt tewtementfm~oijn. te pr~titmer
th foyer domfsthjtte. troutercnt !à un guide <&f qui teor enf~nera Me
''Mt~detimpie et facile, à la portée de t<M, ?<!«< M M~er t~t<t
lu maladies.
Les cocrs princtMoi de i'Ec<~< ff-th~wt ~f't <f <<<-W<~««
tHmentoMcoHeftiOB '<' <5 voiumft. f.<!<< it-m.
M~ xoat ?«?<<
~~a<)'Mj)or'rsH!.h~u t)gn<-ttes,etf
t<: pux ,te chatf'f *o)jiii« est df 3frtnct.