De nos jours, le contrôle de gestion tient une place prépondérante au sein des
entreprises françaises, en effet le contrôle de gestion participe à la définition des
objectifs de l’entreprise à partir des éléments fournis par les services commerciaux,
permettant ainsi une meilleure visibilité générale, une capacité accrue de la société à
détecter les opportunités qui s’offrent à elle et à parer aux risques qui jalonnent son
parcours.
Toutefois se contrôle ne peut être réalisé dans n’importe quelle condition et encore
moins par n’importe qui. Le contrôle de gestion est donc réalisé par un expert en
comptabilité maniant à la perfection les outils financiers: LE CONTROLEUR DE
GESTION.
Parmi les nombreuses définitions qui ont été données du contrôle de gestion,
on peut retenir que c’est le processus par lequel les dirigeants s’assurent que les
ressources sont obtenues et utilisées avec efficiences, efficacités et pertinences pour
réaliser les objectifs de l’entreprise.
En France ces nouvelles techniques ont fait leur apparitions dans le courant des
années 50, elles atteignirent leurs limites rapidement ce qui permit l’émergence de
techniques plus adaptées à la conjoncture et à « l’internationalisation ambiante ».
On peut se demander : quel est donc le profil d’une telle personne, ayant
autant de responsabilité ? Le contrôleur de gestion doit avoir une solide formation
comptable et financière et une bonne maîtrise de l’informatique. Il a obligatoirement
de la rigueur, de la méthode et de l’organisation.
CONCLUSION
Pour conclure on peut dire que le contrôle de gestion est un travaille de
tout les instants pour l’entreprise. Ce contrôle demande une rigueur et des
compétences que seuls des cadres qualifiés peuvent mettre en place.
En d’autre terme le contrôle de gestion ne s’annonce pas tel un challenge
insurmontable pour l’entreprise mais demande une mise en place rigoureuse avec, à
la base, un recrutement efficace et surtout en adéquation avec les objectifs de
l’entreprise, car plus qu’un simple rapport à la comptabilité le contrôle de gestion
comprend nombres d’aspects qualitatifs, psychologiques ou « informels ».