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TP : COMM-MACH-ELEC
Membres de groupe :
DJANATI ABDERRAHIM
MEDELLEL ABDERAZAK
OUELD BAHA FAROUK
AICHOUN MADJID
BENYAHIA MAHDI
2018/2019
Introduction :
Les machines électriques tournantes sont des convertisseurs d'énergie. Lorsqu'elles
transforment de l'énergie électrique en énergie mécanique, on dit qu'elles fonctionnent en
moteur. En revanche, si elles transforment l'énergie mécanique apportée par une autre
machine en énergie électrique, on dit qu'elles fonctionnent en génératrice.
La machine à courant continu est une machine électrique tournante qui fonctionne, comme
son nom l'indique, à partir de tensions et de courants continus
Les moteurs et les générateurs (dynamos) à courant continu furent les premières machines
électriques utilisées par les ingénieurs au milieu du 19ième siècle pour produire de la puissance
motrice en usine ou en transport (les tramways).
De nos jours, les moteurs à courant continu à excitation séparée sont encore utilisés assez
largement pour l'entraînement à vitesse variable des machines. Très facile à miniaturiser, ils
s'imposent dans les très faibles puissances. Ils se prêtent également fort bien à la variation de
vitesse avec des technologies électroniques simples pour des performances élevées et jusqu'à
des puissances importantes. Leurs caractéristiques permettent également une régulation
précise du couple. Leur vitesse de rotation nominale est adaptable aisément par construction à
toutes les applications, car elle n'est pas liée à la fréquence du réseau. Ils sont en revanche
moins robustes que les moteurs asynchrones et nécessitent un entretien régulier du collecteur
et des balais.
I. Partie Théorique :
But de TP :
Il s‘agit dans ce TP, de faire la modélisation et la simulation de machine à courant continu.
Pour ce faire nous utiliserons le logiciel MATLAB auquel est intégré l’outil SIMULINK qui
est une référence en la matière.
𝑑𝑖
U - Kwm= U𝑟 + UL ⇒ U –𝐾𝑤𝑚 = Ri +L
𝑑𝑡
𝑑𝑖
Alors : U = Ri +L + Kwm (1)
𝑑𝑡
Avec :
U : tension d'induit.
R : résistance d'induit.
I : courant d'induit.
L : inductance.
Les équations mécaniques :
On a :
1 𝑏𝑙𝑑 𝐽𝑚𝑑
K 𝑚𝑖 − − 𝑓 = (𝑓𝑚 + )+( + 𝐽 𝑚) 𝑆 (2)
𝑘𝑏𝑒𝑙𝑡 𝐾𝑏𝑙𝑑 𝐾𝑏𝑙𝑑
𝑑𝑤𝑙𝑑
𝐽𝑙𝑑 = 𝐹 − 𝑏𝑙𝑑 ∗ 𝑤𝑙𝑑 (3)
𝑑𝑡
𝑤𝑚 𝑤𝑚
𝐹 = 𝐾𝑆 ∫( − 𝑤𝑙𝑑 )𝑑𝑡 + 𝑏𝑠 ( − 𝑤𝑙𝑑 ) (4)
𝑘𝑏𝑒𝑙𝑡 𝑘𝑏𝑒𝑙𝑡
II. Partie Expérimentale :
1er : simulation par simulink :
Le logiciel MATLAB/SIMULINK, est un bon moyen d’étude du fonctionnement des
machines à courant continus et d’autres types de machines également dans les conditions de
fonctionnement voulues. Il nous permet d’observer de manière réaliste des phénomènes
électriques et physiques (couple, vitesse, courant).
Données :
La Induction 1.34*𝟏𝟎−𝟑 H
Son commande :
40
30
i(A)
20
10
0
0 10 20 30 40 50
Time (s)
*de vitesse :
35
30
25
W (rad/s)
m
20
15
10
0
0 10 20 30 40 50
Time (s)
10
6
W (rad/s)
4
ld
-2
0 10 20 30 40 50
Time (s)
*force :
-3
x 10
20
15
10
F(N)
-5
0 10 20 30 40 50
Time (s)
*De tension :
50
40
30
U (V)
pi
20
10
0
0 10 20 30 40 50
Time (s)
Le rôle de commande PI :
3. les courbes de vitesse et de tension :
La vitesse :
12
10
6
W (rad/s)
ld
-2
0 10 20 30 40 50
Time (s)
50
40
30
W (rad/s)
m
20
10
0
0 10 20 30 40 50
Time (s)
*De tension :
60
50
40
U (V)
pi
30
20
10
0 10 20 30 40 50
Time (s)
4. Interprétions de résultant :
La Vitesse débute de zéro pour se stabiliser qui est la vitesse en régime établie. La courbe à une
forme exponentielle, ce qui correspond à la présence de phénomènes transitoires dans les
enroulements de la machine.
Le moteur démarre avec un courant de démarrage important, puis passe du régime transitoire
ou régime établi pour se stabiliser
Conclusion :