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Orchestre de Paris
Sakari Oramo
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Aaron Copland
Fanfare for a Common Man
Magnus Lindberg
Accused – Three interrogations, pour soprano et orchestre,
création française
Cette œuvre est surtitrée – Traductions de Michel Chasteau © Orchestre de Paris
E N T R AC T E
Orchestre de Paris
Sakari Oramo, direction
Anu Komsi, soprano
Roland Daugareil, violon solo
F I N D U C O N C E R T V E RS 22H20
Les prochains concerts
de l’Orchestre de Paris
Décembre
Novembre
15H00 20H30
Ballet célèbre entre tous, conte de Les rythmes hypnotiques des Chairman
Noël enchanteur, Casse-Noisette de Dances préparent le festif et mozartien
Tchaïkovski devient un spectacle illustré Concerto pour deux pianos de Poulenc.
pour les petits et les grands. Passé à Dans cette œuvre euphorique, le com-
la postérité, le ballet témoigne d’un positeur se grise des styles les plus variés
art raffiné, limpide, plein d’élan et et multiplie les références : Mozart, qu’il
d’une formidable fraîcheur mélodique. préférait à tout autre musicien, Stravinski
Les innovations de timbres abondent, et le music-hall). Marin Alsop, qui fut
comme l’utilisation, pour la première l’élève de Leonard Bernstein montre
fois, d’un célesta dans la Danse de la dans la Septième Symphonie de Dvořák
fée dragée, instrument « doué d’une une autre facette de son talent, plus
sonorité divine ». intérieure, aux accents typiques de la
Bohême.
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Jeudi 12, vendredi 13 Jeudi 19 et vendredi 20
et samedi 14 20H30
20H30
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Les œuvres
Aaron Copland (1900-1990)
Fanfare for a Common Man
Composition : 1942
Création : le 12 mars 1943 au Cincinnati’s Music Hall, par l’Orchestre
symphonique de Cincinnati dirigé par Eugene Goossens
Effectif : 4 cors, 3 trompetttes, 3 trombones,, tuba – timbales, percussions
Durée : environ 3 minutes.
Copland devait ouvrir la série. Sa contribution n’étant pas prête à temps, Goossens décida
de la créer le 12 mars 1943 : jouer cette Fanfare for the Common Man quelques jours
avant le paiement de la
Certains ont parlé du ‘‘siècle « Victory Tax », dont la
américain’’. Je dis que le siècle population américaine
que nous entamons – le siècle qui s’acquitta pendant la
guerre, en augmentait
succèdera à cette guerre – peut la portée symbolique.
et doit être le siècle de l’homme Au départ, Copland
ordinaire. a vai t e nv is a g é d e
rendre hommage
Henry A. Wallace, 8 mai 1942 Vice-président des États-Unis
entre 1941 et 1945 auprès du président Franklin Delano Roosevelt. soit aux troupes de
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parachutistes, soit à Lidice, village (situé de nos jours en République tchèque) dont
les Nazis massacrèrent les habitants en juin 1942. Puis il choisit un titre plus universel,
inspiré par un discours du vice-président Henry A. Wallace.
EN SAVOIR PLUS
Dans la mesure où il n’existe pas de livre en français sur Copland, on recommandera les
ouvrages suivants :
– Aaron Copland: a reader. Selected writings 1923-1972, édité et introduit par Richard
Kostelanetz assisté par Steve Silverstein, Routledge, 2004
– Aaron Copland et Vivian Perlis, The Complete Copland, Pendragon Press, 2012
– Aaron Copland and His World, édité par Carol J. Oja et Judith Tick, Princeton University Press, 2005
L'ŒUVRE ET L'ORCHESTRE
Fanfare for a Common Man est au répertoire de l’Orchestre de Paris depuis 2002, où elle
fut jouée par les musiciens de l'Orchestre de Paris lors d'un programme Musiques en fête.
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Magnus Lindberg (Né en 1958)
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également pour l’émancipation des femmes. La deuxième partie se passe au début
des années 1970 : un membre de la Stasi interroge un Allemand de l’Est (ou une
Allemande, le genre n’étant pas précisé) en possession d’exemplaires du magazine
Der Spiegel. La partition se referme sur quarante questions posées à Adrian Lamo
(1981-2018), le hacker
qui dénonça Bradley J’aime que la musique possède
Manning dans l’affaire une dimension dramatique,
WikiLeaks (et qui était
une trajectoire, avec de forts
encore vivant au moment
de la composition de la contrastes, des changements
partition). rapides et des conflits violents.
Magnus Lindberg
En dépit de l’ancrage
dans la réalité historique et de la défense de la liberté d’opinion, Lindberg ne fait pas
de l’œuvre la vitrine de ses opinions politiques. Les trois confrontations lui permettent
de créer une tension dramatique et de relever un défi : donner l’illusion de dialogues
avec une seule voix. Le rythme des échanges varie selon les mouvements, l’orchestre
soulignant les moments-clés et figurant l’adversaire contre lequel se bat l’accusé.
Le premier épisode ressemble en fait à un monologue : après l’unique question, on
entend les déclarations de la révolutionnaire française, qui proclame son dernier
mot au sommet de sa tessiture. Dans le mouvement central, les questions occupent
au départ plus de place que les réponses, avant que la proportion ne s’inverse.
Le dernier face-à-face oppose la ligne vocale accidentée de l’interrogateur aux
réponses lapidaires d’Adrian Lamo. Mais lorsqu’on lui demande : « Il vous a dit qu’il
croyait important que ces informations soient révélées ? », des intervalles disjoints
distordent le chant du hacker. La question sur la loyauté de Manning envers l’Amérique
provoque un basculement dans le registre grave. Signe de l’impuissance des mots
dans de telles situations, Accused se ferme sur une longue vocalise.
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EN SAVOIR PLUS
– Peter Szendy, Jean-Pierre Choletton et Risto Nieminen, Magnus Lindberg, Ircam – Centre
Pompidou, coll. « Les cahiers de l’Ircam ; Compositeurs d’aujourd’hui », n° 3, 1993
– Hélène Cao, « Magnus Lindberg : le contrôle et la liberté », 2016, en ligne sur :
maisondelaradio.fr/article/magnus-lindberg-le-controle-et-la-liberte
– Julian Anderson et Maxime Joos, Parcours de l’œuvre (1993, 2007), en ligne sur :
brahms.ircam.fr/magnus-lindberg#parcours
L'ŒUVRE ET L'ORCHESTRE
L'œuvre fait son entrée au répertoire de l'Orchestre de Paris à l'occasion de ce concert.
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Piotr Ilitch Tchaïkovski (1840-1893)
Composition : 1877
Création : le 22 février 1878 à Moscou, sous la direction de
Nicolaï Rubinstein
Effectif : 2 flûtes, piccolo, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons ; 4 cors,
2 trompettes, 3 trombones, tuba – timbales, percussions – cordes.
Dédicace : « À mon meilleur ami » [Nadejda von Meck].
Durée : environ 50 minutes.
À la fin de l’année 1876, Tchaïkovski commença ses relations épistolaires avec Nadejda
von Meck, riche mélomane qui allait lui apporter un important soutien financier. En juillet
1877, il épousa Antonina Milioukova : un mariage de convention, qui devait lui permettre
de dissimuler son homosexualité. Cette tentative de vie commune fut une catastrophe
et au mois d’octobre, le musicien abandonna le domicile conjugal. Il ne devait jamais
revoir Antonina.
C’est la confession musicale
La Symphonie no 4 porte de l’âme qui est passée par
la trace de cette période beaucoup de tourments et qui,
troublée. Tchaï kovski
par nature, s’épanche dans les
confia ses intentions dans
une lettre à Madame von sons, de même qu’un poète
Meck. Ainsi, au début du lyrique s’exprime dans des vers.
premier mouvement sonne
Tchaïkovski à Nadejda von Meck, au sujet de la Symphonie no 4
une fanfare représentant
« le fatum, cette force inéluctable qui empêche l’aboutissement de l’élan vers le bonheur,
qui veille jalousement à ce que le bien-être et la paix ne soient jamais parfaits ni sans
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nuages, qui reste suspendue au-dessus de notre tête comme une épée de Damoclès et
empoisonne inexorablement et constamment notre âme ». Puis une valse fébrile et inquiète
exprime « une tristesse sans issue ». Seule échappatoire : le rêve, évoqué par un thème de
clarinette, fantasque mais teinté de mélancolie. Si le bonheur semble proche, il est anéanti
par la fatalité funeste. L’Andantino traduit la mélancolie du solitaire qui se souvient des
joies et douleurs du passé. Le Scherzo, dont les deux parties extrêmes n’emploient que les
cordes en pizzicato, transpose les caprices de l’imagination, les « images insaisissables
qui passent dans la première phase de l’ivresse ». Son épisode central fait entendre une
mélodie d’inspiration folklorique, à laquelle succèdent des sonorités de cuivres figurant
un défilé militaire. Dans
La vie est une alternance le finale, le musicien se
perpétuelle de dure réalité et réconforte en assistant
de rêves fugaces ou de visions à une fête populaire
du bonheur… Il n’y a aucune qu’anime la chanson
russe « Un bouleau
amarre. Il faut dériver sur cette se dressait dans le
mer jusqu’à ce qu’elle vous champ ». Mais le fatum
submerge et vous plonge dans ses interrompt ce spectacle
profondeurs. et rappelle à l’artiste
sa condition misérable.
Lettre de Tchaïkovski à Nadejda von Meck (1878) La conclusion éclatante
à propos de sa symphonie.
laisse pourtant percer
un espoir et Tchaïkovski conclut : « Quant à toi, tu ne peux t’en prendre qu’à toi-même,
alors ne dis pas que tout est triste en ce monde. Il existe des joies simples mais fortes.
Réjouis-toi de la joie des autres. On peut quand même vivre. ».
Hélène Cao
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EN SAVOIR PLUS
– Violaine Anger, Tchaïkovski, Jean-Paul Gisserot, 1998. Un format de poche, idéal pour une
première approche.
– Jérôme Bastianelli, Tchaïkovski, Actes Sud/ Classica, 2011. Un autre format de poche.
– André Lischke, Piotr Ilyitch Tchaïkovski, Fayard, 1993. Ce qu’il y a de plus complet en langue
française sur le compositeur russe.
.L'ŒUVRE ET L'ORCHESTRE
La Symphonie no 4 de Tchaïkovski est au répertoire de l’Orchestre de Paris depuis
1969, où elle fut dirigée par Kurt Masur. Lui ont succédé depuis Seiji Ozawa en 1970,
Alain Sabouret à nouveau en 1973, Daniel Barenboim en 1980 et 1983, Marc Soustrot
en 1982, Krzysztof Penderecki en 1990, Semyon Bychkov en 1992, Christoph Eschenbach
en 1994 et 2007, Wolfgang Sawallisch en 1999, Yuri Ahronovitch en 2000, Miguel
Harth-Bedoya en 2005, Paavo Järvi en 2008 et 2014, et Kazuki Yamada en 2010.
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Les compositeurs
Aaron Copland
Né à New York dans une famille d’origine Sud (El Salon Mexico, Danzon cubano). À
russe, Copland étudie avec Rubin Goldmark partir des années 1930, il se tourne vers les
puis, à Paris, avec Nadia Boulanger qui le techniques sérielles issues de l’École de Vienne
marque profondément. De retour aux États- (Variations pour piano, Quatuor avec piano).
Unis, il cultive un style qui combine des Si son lyrisme et son dynamisme rythmique
techniques d’écriture « savantes » à l’influence sont devenus emblématiques d’une certaine
de diverses traditions populaires : le folklore musique américaine, Copland joue également
national, les paysages et les figures fondatrices un rôle de premier plan dans la vie musicale
du mythe américain (Billy the Kid, Rodeo, de son pays par son activité au sein de la
Appalachian Spring), le jazz (Concerto pour puissante League of Composers, l’organisation
piano, Concerto pour clarinette, Something de concerts, l’enseignement et la rédaction de
Wild), la musique populaire d’Amérique du nombreux articles.
Magnus Lindberg
Né à Helsinki, Magnus Lindberg est l’élève le jazz, la musique punk, le minimalisme
de Risto Väisänen, Einojuhani Rautavaara, américain, le gamelan indonésien, le
Paavo Heininen et Osmo Lindeman. Afin sérialisme de Milton Babbitt, l’école spectrale,
de promouvoir et de diffuser la musique l’électronique (qu’il a travaillée à Stockholm
contemporaine en Finlande, il participe à la et à l’Ircam à Paris), l’œuvre de Stockhausen
fondation de l’association Korvat auki (« Ouvrir et Bernd Alois Zimmermann. « Obsédé par le
les oreilles ») dès 1977, puis de l’ensemble son » dans les années 1980, selon ses propres
Toimii («Ça marche ! ») en 1980. Il poursuit termes, il se préoccupe ensuite davantage du
sa formation auprès de Brian Ferneyhough et temps et du rythme, puis de l’harmonie au
d’Helmut Lachenmann à Darmstadt, de Franco moment de la composition de Kinetics, Marea
Donatoni à Sienne, de Vinko Globokar et de et Joy (1988-1990). À partir des années 2000,
Gérard Grisey à Paris. Jusqu’au début des il évolue vers une musique plus consonante,
années 1990, sa musique combine diverses transparente et lyrique (voir par exemple son
influences : l’écriture orchestrale de Sibelius, Concerto pour clarinette de 2002), tout en
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conservant l’énergie caractéristique de son internationale en 1985). Depuis quelques
style. Il avoue une prédilection pour l’orchestre années, il s’intéresse toutefois à la voix, comme
symphonique, auquel il a destiné la majorité en témoignent Accused et deux œuvres pour
de ses œuvres (c’est d’ailleurs une œuvre chœur et orchestre : Graffiti (2009) et Triumph
orchestrale, Kraft, qui a lancé sa carrière to Exist (2018).
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Les interprètes
Anu Komsi
le label BIS), Leino Songs de Kaija Saariaho
(enregistrées pour Ondine), Voice Verser écrits
pour elle par Jukka Tiensuu, Wing on Wing de
Salonen (enregistré pour Deutsche Grammophon),
Accused de Magnus Lindberg, Morgenstern
Lieder de Heinz Holliger, les Symphonies no 2,
4 et 8 de Mahler (enregistrées avec Sir Roger
Norrington). Anu Komsi s'est produite avec
© Ville Paul Paasimaa
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Sakari Oramo
la BBC et le Philharmonique royal de Stockholm.
Avec ces deux phalanges, il poursuit son
approfondissement des répertoires nouveaux
ou rarement joués (l'opéra Miss Julie de William
Alwyn, Onze Lieder de Betsy Jolas, la création du
Concerto pour violon de Victoria Borisova-Ollas,
joué par Baiba Skride) – tout en dirigeant des
piliers du répertoire comme Elias de Mendelssohn,
© Benjamin Ealovega
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Orchestre de Paris
Héritier de la Société des Concerts du (Messiaen, Dutilleux, Boulez, etc.). Depuis sa
Conservatoire fondée en 1828, l’Orchestre a première tournée américaine en 1968 avec
donné son concert inaugural le 14 novembre Charles Munch, l’Orchestre de Paris est l’invité
1967 sous la direction de Charles Munch. Herbert régulier des grandes scènes musicales et a tissé
von Karajan, Sir Georg Solti, Daniel Barenboim, des liens privilégiés avec les capitales musicales
Semyon Bychkov, Christoph von Dohnányi, européennes, mais aussi avec les publics japo-
Christoph Eschenbach, Paavo Järvi et enfin Daniel nais, coréen et chinois.
Harding se sont ensuite succédé à sa direction.
Renforcé par sa position au centre du dispositif
Résident principal de la Philharmonie de Paris artistique et pédagogique de la Philharmonie
dès son ouverture en janvier 2015 après bien de Paris, l’Orchestre a plus que jamais le jeune
des migrations sur un demi-siècle d’histoire, public au cœur de ses priorités. Que ce soit dans
l’Orchestre de Paris a ouvert en janvier 2019 une les différents espaces de la Philharmonie ou hors
nouvelle étape de sa riche histoire en intégrant ce les murs – à Paris ou en banlieue –, il offre une
pôle culturel unique au monde sous la forme d’un large palette d’activités destinées aux familles,
département spécifique. L’orchestre est désormais aux scolaires ou aux citoyens éloignés de la
au cœur de la programmation de la Philharmonie musique ou fragilisés.
et dispose d’un lieu adapté et performant pour
perpétuer sa tradition et sa couleur française. Afin de mettre à la disposition du plus grand
nombre le talent de ses musiciens, l’Orchestre
Première formation symphonique française, diversifie sa politique audiovisuelle en nouant
l’Orchestre de Paris donne avec ses 119 musiciens des partenariats avec Radio Classique, Arte et
une centaine de concerts chaque saison à la Mezzo.
Philharmonie ou lors de tournées internationales.
Il inscrit son action dans le droit fil de la tradition orchestredeparis.com
musicale française en jouant un rôle majeur au
service des répertoires des xixe et xxe siècles,
comme de la création contemporaine à travers
l’accueil de compositeurs en résidence, la créa-
tion de nombreuses œuvres et la présentation de
cycles consacrés aux figures tutélaires du xxe siècle
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Direction générale Gilles Henry Estelle Villotte
Laurent Bayle Florian Holbé Florian Wallez
Directeur général de la Cité Andreï Iarca
de la musique – Philharmonie Saori Izumi Violoncelles
de Paris Raphaël Jacob Emmanuel Gaugué, 1er solo
Momoko Kato Éric Picard, 1er solo
Thibaud Malivoire de Camas Maya Koch François Michel, 2e solo
Directeur général adjoint Anne-Sophie Le Rol Alexandre Bernon, 3e solo
Angélique Loyer Anne-Sophie Basset
Direction de l’Orchestre Nadia Mediouni Delphine Biron
de Paris Pascale Meley Thomas Duran
Anne-Sophie Brandalise Phuong-Maï Ngô Manon Gillardot
Directrice Nikola Nikolov Claude Giron
Édouard Fouré Caul-Futy Étienne Pfender Marie Leclercq
Délégué artistique Gabriel Richard Florian Miller
Richard Schmoucler Frédéric Peyrat
Premiers violons solos Élise Thibaut Hikaru Sato
Philippe Aïche Anne-Elsa Trémoulet
Roland Daugareil Damien Vergez Contrebasses
Caroline Vernay Vincent Pasquier, 1er solo
Violons Ulysse Vigreux, 1er solo
Eiichi Chijiiwa, 2e violon solo Altos Sandrine Vautrin, 2e solo
Serge Pataud, 2e violon solo Ana Bela Chaves, 1er solo Benjamin Berlioz
Nathalie Lamoureux, 3e solo David Gaillard, 1er solo Jeanne Bonnet
Philippe Balet, 2e chef d’attaque Nicolas Carles, 2e solo Igor Boranian
Joseph André Florian Voisin, 3e solo Stanislas Kuchinski
Antonin André-Réquéna Clément Batrel-Genin Mathias Lopez
Maud Ayats Flore-Anne Brosseau Marie van Wynsberge
Elsa Benabdallah Sophie Divin
Gaëlle Bisson Chihoko Kawada Flûtes
David Braccini Béatrice Nachin Vincent Lucas, 1er solo
Joëlle Cousin Nicolas Peyrat Vicens Prats, 1er solo
Cécile Gouiran Marie Poulanges Bastien Pelat
Matthieu Handtschoewercker Cédric Robin Florence Souchard-Delépine
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Petite flûte Bassons Trombones
Anaïs Benoit Giorgio Mandolesi, 1er solo Guillaume Cottet-Dumoulin,
Marc Trénel, 1er solo 1er solo
Hautbois Lionel Bord Jonathan Reith, 1er solo
Alexandre Gattet, 1er solo Yuka Sukeno Nicolas Drabik
Benoît Leclerc Jose Angel Isla Julian
Rémi Grouiller Contrebasson Cédric Vinatier
Amrei Liebold
Cor anglais Tuba
Gildas Prado Cors Stéphane Labeyrie
André Cazalet, 1er solo
Clarinettes Benoit de Barsony, 1er solo Timbales
Philippe Berrod, 1er solo Jean-Michel Vinit Camille Baslé, 1er solo
Pascal Moraguès, 1er solo Anne-Sophie Corrion Antonio Javier Azanza Ribes,
Arnaud Leroy Philippe Dalmasso 1er solo
Jérôme Rouillard
Petite clarinette Bernard Schirrer Percussions
Olivier Derbesse Éric Sammut, 1er solo
Trompettes Nicolas Martynciow
Clarinette basse Frédéric Mellardi, 1er solo Emmanuel Hollebeke
Philippe-Olivier Devaux Célestin Guérin, 1er solo
Laurent Bourdon Harpe
Stéphane Gourvat Marie-Pierre Chavaroche
Bruno Tomba
20
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G7 RÉFÉRENCE COULEUR :
À l’issue de chaque représentation
donnée en soirée dans la Grande salle
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Gare du Nord, Saint- Lazare,
Charles-de-Gaulle – Étoile.
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REMERCIEMENTS
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