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ACHRAF GHAMMAD
20/02/2016
Avant de commencer ce rapport, je tiens à remercier
vivement tous ceux qui m’ont aidé de près ou de loin à
effectuer ce stage dans les meilleures conditions.
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Remerciements…………………………………………………………………………………………………………….1
Liste des abréviations…………………………………………………………………………………………………..3
Introduction ………………………………………………………………………………………………………………..4
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OCP : GROUPE OFFICE CHERIFIEN DES PHOSPHATES
SG : SECRETARIAT DU DIRECTEUR GENERAL
CM : POLE COMMERCIAL
FI : POLE FINANCES ET SUPPORT DE GESTION
MN : POLE MINE
RE : POLE RESSOURCES INFRASTRUCTURES ET ENVIRENNEMENT
CIR : CAISSE INTERNE DE RETRAITE.
CERPHOS : CENTRE D’ETUDES ET DE RECHERCHES DES PHOSPHATES MINEREAUX.
SMESI : SOCIETE MAROCAINE D’ETUDES SPECIALES INDUSTRIELLES.
SOTREG : SOCIETE DE TRANSPORT REGIONAUX (TRANSPORT DU PERSONNEL
PROPRE A L’OCP).
IPSE : INSTITUT DE PROMOTION SOCIO-EDUCATIVE
CI : DIRECTION POLE CHIMIE
CIS : DIRECTION MAROC PHOSPHORE SAFI
CII : IMACID
CIE : EMAPHOS
CIP : PAKPHOS
CI/CE : DEPARTEMENT CONSOLIDATION ECONOMIQUE
CI /AP : DEPARTEMENT CONSOLIDATION ET PILOTAGE DE L’ACTIVITE
EXTERNALISATION ET SOUS TRAITANCE
CIJ : LA DIRECTION MAROC PHOSPHORE JORF LASFAR
CIJ/CP/F : SERVICE GESTION DES FLUX.
CIJ/CP/M : SERVICE PRESTATIONS MARITIMES
CIJ/EE : DEPARTEMENT ETUDES ET CONTROLE DE GESTION ECONOMIQUE
CIJ/P : LA DIRECTION PRODUCTION
CIJ/A : LA DIRECTION AMELIORATION PROCESSUS ET MOYENS
CIJ/L : LA DIRECTION LOGISTIQUE ET RESSOURCES
CIJ/LA : LA DIVISION GESTION ADMINISTRATIVE
CIJ/LA/P : LE SERVICE DU PERSONNEL
CIJ/LA/S : LE SERVICE SOCIAL
CIJ/LA/M : LE SERVICE MEDICAL
CIJ/LA/C : LE SERVICE COMPTABILITE
CIJ/LA/J : LE SERVICE DES AFFAIRES JURIDIQUES
ONCF : L’OFFICE NATIONAL DES CHEMINS DE FER
MAP : MONO AMONIUM PHOSPHATE
DAP : DOUBLE AMONIUM PHOSPHATE
TSP : TRIPLE SUPER PHOSPHATE
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Depuis sa création, l’OCP ne cesse pas de s’améliorer. Au début, il ne
auxquelles il a ajouté deux autres à Jorf Lasfar. A la fin des années 90, il a
adopté une nouvelle stratégie : il s’agit des partenariats avec ses clients
pour qu’ils investissent dans la création d’autres unités. Ainsi, il a signé son
dernièrement avec le Pakistan et le Brésil. Toutes ces unités sont des joints
premières. D’ici 2020, l’OCP adoptera une autre nouvelle stratégie : il s’agit
de celle des contrats sous forme des clés en main, c'est-à-dire que l’OCP
assurera pour les dix unités prévues pour 2020 tout ce qui est matières
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Fiche technique du groupe OCP :
Office Chérifien
Raison sociale
des Phosphates
OCP
Numéro du registre
de
Casablanca 40.327
commerce
Date de création
Dahir du 07/08/1920
Tél. : 02-23-(00-01-20)-25
Directeur général
M. MOSTAFA TARAB
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CHAPITRE I :Présentation générale du groupe l’OCP
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MAROC CHIMIE
MAROC PHOSPHORE
PHOSBOCRAA
IMACID
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2. Historique : plus de 80 ans d’expérience
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1936 : premier train de phosphate de Youssoufia vers le port de Safi.
1942 : création d’une unité de calcination à Youssoufia.
1951 : d démarrage de l’extraction en « découverte » à sidi-adouai
(Khouribga).début du développement des installations de séchage et de
calcination à Khouribga.
1954 : démarrage des premières installations de séchage à Youssoufia.
1959 : création de la société marocaine d’études spécialisées et industrielles
(SMESI), en mai.
1961 : mise en service de la première laverie à Khouribga.
1962 : création de la société Maroc chimie. Début de la valorisation avec le
démarrage des installations de l’usine de Maroc chimie, à Safi.
1969 : entrée de la société de transports régionaux (SOTREG) en juillet, de
Maroc phosphore en août et de MARPHOCEAN en octobre.
1974 : lancement des travaux pour la réalisation du centre minier de ben
guérir, en mai. L’OCP prend le contrôle de la société marocaine des
fertilisants (FERTIMA), crée en 1972 naissances de l’institut de promotion
socio-éducative (IPSE), en août.
1975 : création du groupe OCP. Intégration des industries chimiques aux
structures internes de l’OCP, en janvier. Création du centre d’études et de
recherches des phosphates minéraux (CERPHOS), en octobre.
1976 : en mai, transfert au Maroc du siège social de la société phos
boucraa, dont l’OCP détient 65% du capital. Démarrage de Maroc
phosphore I et Maroc chimie II, en novembre.
1978 : création de l’union industrielle de montage (UIM), en janvier.
Démarrage de la première unité de calcination à Youssoufia.
1981 : démarrage de Maroc phosphore II. L’OCP entre dans le capital de la
société playon (Belgique).
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1982 : début des travaux de construction du complexe chimique Maroc
phosphore III-IV à jorf lasfar (mars). Démarrage du complexe de séchage
d’Oued- Zem.
1986 : démarrage des différentes lignes d’acide sulfurique et d’acide
phosphorique de Maroc phosphore III-IV.
1987 : démarrage des lignes d’acide d’engrais de Maroc phosphore III-IV
(octobre décembre).
1988 : chargement du premier navire de DAP de jorf lasfar (janvier).
1994 : démarrage du projet minier de sidi chennane.
1996 : création de la société Euro-Maroc phosphore (EMPHOS).
1997 : accord d’association entre le groupe OCP et le groupe indien birla
pour la réalisation, en joint venture, d’une unité de production d’acide
phosphorique à
Jorf lasfar de 330,000 tonnes de P205 par an, en mars. Aux termes de cet
accord, la fertilizers and chimicals du groupe Birla (novembre).
1998 : démarrage de la production d’acide phosphorique purifié
(EMAPHOS, jorf lasfar), le 31 janvier. Le groupe obtient le prix normal de la
qualité.
1999 : démarrage de la production d’acide phosphorique de l’usine
d’IMACID à jorf lasfar, le 1er novembre.
2002 : prise de participation dans la société indienne PPL en joint- venture
avec le groupe Birla.
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Premier exportateur mondial du phosphate
Premier exportateur mondial de l’acide phosphorique
LA TRESORERIE DE L’ETAT :
L’OCP soumis aux législations en vigueur en ce qui concerne les taxes, les impôts
et les droits de douanes. En plus de cela, les bénéfices disponibles ajoutés
aux différents versements pour impôts et taxes constituent une réelle et
importante contribution de l’office aux entrées budgétaires de l’Etat.
L’OCP contribue avec une large part dans le chiffre d’affaire de plusieurs
établissements publics par le biais de divers services et prestations tels
que :
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4. FILIALES :
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détient 948 agents, dont 124 agents occasionnels. La SMESI accompagne le
Groupe OCP dans son processus de développement depuis environ 40 ans,
période durant laquelle elle a acquis une solide expérience et un savoir-
faire d'un niveau élevé dans les prestations d'études d'ingénierie, de
montage et de réalisations d'unités "clés en main" dans différents
domaines : Comme le traitement des minerais, la manutention et l'industrie
chimique. La SMESI exerce ses activités essentiellement au sein de l’OCP,
mais plusieurs opérateurs économiques et industriels du pays font appel à
ses services.
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Figure 1 : site OCP
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5-Organigramme du groupe OCP :
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6. Partenariats internationaux :
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Société d’investissement qui détient 74% de PPL (Paradeep Phosphate Ltd)
spécialisée dans la fabrication des engrais phosphatés, 1 million de tonnes
par an. Les 26% restant sont détenus par l’Etat indien.
Pakistan Maroc Phosphore : (50% OCP, 25% FFBL, 12 ,5%
Fauji Fondation, 12 ,5% FFCL) :
Le protocole d’accord signé au Pakistan entre l’OCP et Fa Uji Fertiliser Bin
Qasim Limited (FFBL) vient d’aboutir à la création de Pakistan
Maroc Phosphore, qui est une société de droit marocain, répartie comme
suit : OCP (50%), FFBL (25%), Fa Uji fondation (12,5%) et Fa Uji Fertiliser
Compagni Limited- FFCL (12,5%)
Démarrage : prévu en 2008
Construction d’un complexe intégré destiné à subvenir en priorité aux
besoins de Bunge (Brésil) en engrais.
Localisation géographique : JorfLasfar (Maroc)
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Le port de JorfLasfar est construit entre 1974 et 1982, ouvert au
commerce international depuis 1982, le port de JorfLasfar constitue l’un
des maillons de l’infrastructure portuaire du Maroc. Il est situé à 17 Km au
sud de la ville d’El Jadida. Il dispose de capacités nautiques lui permettant
d’accueillir des navires de port en lourd de 120.000 tonnes. Ce port est
conçu pour répondre à un trafic maritime de plus de 25 millions de tonnes
grâce à ses infrastructures, à son outillage et au développement des
complexes phosphatiers et thermiques et d’une zone industrielle. Le port
industriel a été conçu pour être un port d’exportation des phosphates et des
engrais. Sa vocation a déterminé son emplacement entre trois gisements de
phosphate (Benguerir, Youssoufia et Khouribga).
2. INSTALLATIONS PORTUAIRES :
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Station de filtration et de pompage d’eau de mer ;
Station d’ensachage des engrais destinés à l’exportation.
3. SUPERSTRUCTURES PORTUAIRES :
Déchargement :
Chargement :
2éme quai :il est plus moderne que le premier, avec une longueur
de 225m .il permet le chargement des engrais (MAP ; DAP ; TSP) en
vrac ou en sacs. Ce quai peut atteindre une cadence journalière de
chargement de 1000 TM/H.
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4éme quai : il est de 250m de longueur, ce quai est destiné au
déchargement du Soufre en vrac avec une cadence journalière qui vari
entre 3000Tm et 20000Tm.
8éme quai :c’est un quai d’attente utilisé pour toute autre raison que
celle du chargement ou déchargement (saisie douane, approvisionnement
en carburant, eau potable etc.)
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Chapitre III: SERVICE GESTION DU FLUX
1. Généralités :
Son rôle principal consiste à gérer les flux physiques et les flux
d’informations qui s’introduisent dans la chaîne logistique notamment dans
le cycle de production.
Le service assure donc la réception des matières premières nécessaires à la
marche normale de l’ensemble industriel du Groupe O.C.P au Jorf Lasfar
telles que le phosphate, le soufre, l’ammoniac, l’acide sulfurique,… et
d’assurer le suivi du chargement des engrais, des phosphates, l’ACP normal
et purifié…, à l’export ou au marché local. Pour cela le service Gestion des
Flux veille à :
La détermination des tonnages des engrais solide et liquide, de l’acide
sulfurique et de l’ammoniac à bord des navires à l‘importation ;
Coordonner entre les différents intervenants concernés (EMAPHOS,
IMACID, PMP, BMP, différents Services à CIJ, Agences maritimes, ANP,
DOUANE, Surveillants maritimes etc.…)
Appliquer de la réglementation en vigueur relative au dédouanement des
marchandises.
Ce service est en liaison directe avec la DC à Casablanca et les usines
de production au Jorf Lasfar afin de faciliter la gestion des entrées et sorties
en terme de matière première et produit fini.
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2. Organigramme du service Gestion des Flux :
Chef de service
Secrétariat
A. Section export :
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(quantité désirée, destination, prix …) que l’OCP doit satisfaire sous réserve
que le navire
Envoyé par le dit client respecte la planche mentionnée dans l’avis qui
représente l’intervalle de jours où son arrivée est attendue.
En effet ; passé ce délai ou au contraire arrivé avant la date prévue, le navire
n’accostera pas de peur de contrecarrer le planning des quais. Dans le
premier cas, il rebroussera chemin ; dans le deuxième, il restera en rad
jusqu’à la date prévue pour lui.
Ce document prévient ainsi le service de l’arrivée du navire qu’on devra
charger de marchandise par la suite sans quoi, le dit navire ne peut pas
rentrer : il restera en rad ou retournera d’où il vient.
Outre cela, l’avis comporte le connaissement, autrement dit le bill of lading
et la lettre de crédit que j’expliquerai dans ce qui vient.
Le connaissement dont s’occupe l’agence maritime représente une fiche
descriptive du produit. Etabli par l’agence maritime, il constitue une preuve
à l’appui comme quoi le client a véritablement chargé la qualité
marchandise qu’il a commandée ; il sert à ce que l’OCP soit payé car sans le
BL (bill of lading), on ne sera pas payé.
En revanche, la lettre de crédit, elle, est un document entre client et sa
banque. C’est un document qu’établit la banque et qui assure à l’OCP qu’il va
bel et bien être payé en bon et du forme (car le client ne paiera pas de
suite). C’est une sorte de garantie pour l’OCP qui lui affirme que tel client
est solvable.
Après cela, les agents du IDJ actualisent la situation journalière qui
représente l’historique détaillé des entrées et sorties des navires c’est
àdire : nom de chaque navire, la quantité qu’il a chargée ou déchargée, …
2ème étape :
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Jusqu’ici, le navire est en rad ou n’est pas encore arrivé
3ème étape :
5ème étape :
Dans le cas positif, si le navire est jugé prêt à charger, alors on lui
remet le cleanlinesscertificate qui assure que les citernes sont
propres et aptes à recevoir de l’acide phosphorique sans qu’il ne soit
infecté par aucun corps indésirable qui pourrait nuire à sa qualité, le
ship’s stop qui certifie que le navire prend en charge d’arrêter le
chargement quand la quantité d’acide demandée est atteinte et
l’autorisation de chargement aux chargeurs (contenant le tonnage
demandé, la cadence…) signée par le
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chargeur du client (au navire) et l’agent d’inspection de l’OCP pour
donner le feu vert pour le chargement, signe qu’il n’ y a rien à signaler.
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fermer ses calles en cas de pluie et l’autorisation de chargement (préparée
au préalable) aux chargeurs, signée et dupliquée.
Après chargement, on fait un ultime sondage des ballastes et du tirant
d’eau en calculant les ballastes vidées lors du chargement pour calculer la
cargaison chargée.
Si la quantité qu’on a chargé s’avère être exactement celle demandée,
on établit un rapport final : final draftsurvey et final draft ballast).
En revanche, si la quantité s’avère incomplète, on remet une
autorisation complémentaire de chargement et on poursuit le chargement
jusqu’à satisfaire la demande.
B. La douane :
Ceci dit, tout acte ayant trait à la commercialisation de ces produits
(import et export), doit faire l'objet d'une déclaration par l'OCP auprès de
l'administration de douane et impôts indirects, selon la législation qui régit
le commerce international.
Saisie et régularisation des produits (DAP, TSP, ACP, ACCP) selon des
différents régimes.
Suivi des déclarations jusqu'à fin délai de la DUM provisionnelles.
Établissement des documents douaniers.
Suivi des navires sur registre (date fin de chargement, tonnage fin de
chargement, valeur en US. $, valeur en DH)
Calcul de redevance de l'exploitation des phosphates
Établissement des fiches vertes pour les matières premières (soufre,
ammoniac)
Régularisation
C. Section import
La politique de l'OCP dans la fabrication, se base sur la valorisation
des phosphates, cette valorisation faite appel à des matières premières
autres que le phosphate, c'est pourquoi le recours au marché mondial reste
inévitable.
L'OCP importe le soufre a l'état liquide, l’ammoniac et l'acide
sulfurique, ces matières entrent dans la production de l'acide
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phosphorique, en solution, l’acide phosphorique purifié, les engrais : DAP,
TSP, MAP, pour être réexportés ou livrés au marché local.
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Pour que le navire puisse accoster, un document est jugé primordial : le
connaissement ou le bill of lading qui est aussi la reconnaissance du
commandant du navire d'avoir chargé au bord du navire la cargaison.
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Dès présentation du camion à l’usine, le camion fournit un bon d’enlèvement
qui renseigne sur le type de marchandise désiré, le tonnage, la destination, le
numéro du camion…
Le camion subit un contrôle de sécurité (contrôle de l’état : pneus, vannes par
exemple s’il s’agit d’un camion-citerne consacré à la vente de l’acide
phosphorique ; et contrôle de l’état du camion benne consacré à la vente
d’engrais) ; après cela, le poste de garde fournit un bulletin de suivi.
Si le contrôle de sécurité est non satisfaisant, le camion ne chargera pas,
rebroussera chemin et ne reviendra que lorsqu’il sera prêt.
Sinon, si le contrôle de sécurité s’avère probant, le camion va sur le pont
bascule pour la première pesée, en l’occurrence la tare.
L’agent CPF donne l’autorisation de chargement.
Le camion va au pont de chargement.
Après chargement, le camion subit une 2ème pesée et l’agent OCP remplit le
bon de sortie pour s’assurer de la quantité chargée exacte.
Le camion s’en va en emportant une étiquette de la pesée et une copie du bon
de sortie.
En fin de journée, l’agent au pont bascule nous communique a situation des
livraisons journalière grâce à laquelle on instruit la situation des reliquats
(tableau des clients et leur commande livrée en produits toutes qualités
confondues qui permet de savoir ce qui reste à livrer) qui nous permettra par
la suite d’actualiser l’état global des livraisons de chaque quinzaine détaillée
(pour les engrais) et chaque mois (pour l’acide phosphorique) car de par sa
consommation fréquente, le taux de rotation du premier est supérieur à celui
du deuxième.
On faxe cet état global à la DC pour procéder à la facturation.
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Le DIJ établit le rapport mensuel livraisons du marché local pour une réunion
qui se tient mensuellement avec les chefs de service (bilan mensuel du
rendement).
SECTON EXPORT :
SECTION IMPORT :
SECTION DOUANE :
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En guise de conclusion, je peux déduire que le présent rapport traduit
services.
Je peux ajouter aussi que ce stage m’a permis le réel contact avec la vie
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