Le Corbusier Plan d’aménagement du territoire de wilaya (paw)
Le Corbusier (1887-1965) de son vrai nom Charles -Edward jeannette,
dessinateur, peintre, sculpteur, écrivain, mais principalement architecte
urbaniste de renommer internationale, il combat pour l’adoption d’une
nouvelle conception de la vie urbaine. Au début de 20éme siècle les
activités industrielles et commerciales augmentent. la vie urbaine
s’intensifié (il y a une concentration sur l’espace urbain.) très rapidement
sans apparent souci pour l’avenir de la cité.
Pour une ville moderne :
Des architectes urbanistes allemands, hollandais et russes récusent
(refusent) les divers modes de transformation partielle de la ville qui avaient
principalement pour but de favoriser un développement de l’inductrices
naissante d’aménager la ville pour l’industrie d’aménager la ville au service
de l’industrie, inversant le termes, ils préconisent (insistent,
recommandent )l’utilisation des possibilités de l’industrie pour une ville
moderne ils proposent l’adoption de nouvelle technique et méthodes de
production en faveur d’un urbanisme progressiste.
Le Corbusier est le rassembleur des idées partagées avec ses confrères par
des conférences et des écrits d’un style très direct et accessible à tous il se
révèle être un talentueux Polémiste
Son architecture parait révolutionnaire on peut la résumer ainsi.
Les cinq points d’une nouvelle architecture :
Les racines d’une architecture planage au-delà de la théorie et se né qu’avec
un certain recule que l’on en peut décerne des facteurs réels de la création
architectural (comme fondement v véritable). De ses postulats (évidents)
architecturaux (5points) le Corbusier on a formule quelques un :
1-Les pilotis : le développement de la construction en béton armé é de
l’ossature métallique aux l’USA et en France à fait perdre aux murs
porteurs leurs fonctions statiques pilier de béton et poteau métallique les
remplacent (les murs porteur). L’intéressant est ici l’idée d’atteindre par
l’utilisation de ces nouvelles techniques une libération totale du sol idée qui
apparaît très tôt chez le Corbusier surtout dans ses recherches d’urbanisme
bien avant 1920 il pensait à une ville construite sur une grille élevée à 4 ou
5m au dessus de sol.
2-Le toit terrasse :
Pour convaincre ses clients de la nécessité du toit terrasse le c’obusier use
d’argument essentiellement pratique dans les régions nordiques et de
montagne, l’avantage réside d’abord, d’âpres lui dont la possibilité
d’évacuer rapidement et sans danger les eaux provenant qui viennent de la
fonte des neiges, l’eau peut s’écouler au centre de la maison comme celle-ci
est normalement chauffée à l’inverse de ce qui se passe avec le toit
traditionnel et n’existe plus de danger de gel.
Jeannette le Corbusier avait déjà appliqué cette idée à la chaux fonds en
1916 plus tard en raison de la forte dilatation du béton armé il proposait de
couvrir ces terrasses d’une mince couche de terre pour que l’herbe et les
semences portaient par le vent puissent y poussés : la terrasse serait ainsi
protéger en permanence par une couverture d’humidité.
3-Le plan libre
Jusque là en architecture le plan était l’esclave des murs porteurs il est
maintenant possible de disposé les cloisons selon les besoins de le
distribution intérieur mais en (1914-1915 )le Corbusier ouvrait déjà la voie
d’une véritable flexibilité en architecture dans quelques unes de ces
variations sur le type domino la façade devait résulter des besoins
particuliers de l’occupant sans à priori de composition l’idée d’essai à
l’occupant le soin d’organier intérieurement son logé reviendra à plusieurs
reprise et de la manière la plus spectaculaire dans le plan obus..
4-La fenêtre en longueur :
Le projet domino appliquait déjà la faculté d’étirer la fenêtre en longueur
sans autres limites que celle de la façon mais à l’époque en (1914-1915 )la
jeune jeannette ne s’en était pas perçu pieu qu’ antérieurement chez perré en
1908 1909 sa table de travaille ait été disposée devant une fenêtre de ce
type il reviendra à Gropius d’adapter cette conception sur une large échelle
avec son bâtiment industrielle de l’exposition du werkbund Cologne 1914
bâtiment que connait jeannette
Son architecture parait révolutionnaire on peut la résumer ainsi
a) un maximum d’ensoleillement et de lumière
b) une libération du sol en liaison avec la nature environnante (immeuble
sur pilotis)
c) un allégement des structures par une mise en œuvre rationnelle de l’acier
et de béton armé
d) l’intervention d’une production industrialisée des composantes
e) la préfabrication des équipements internes fonctionnels
Si ces principes sont appliqués en de remarquable architecture ils le sont
aussi pour ses projets d’aménagement des villes pour lui comme beaucoup
d’architectes architectes et urbanisme sont indissociable (on ne peut pas
séparer)
En 1933 une rencontre est organisée par clam (congrès internationaux de
l’architecture moderne) sur un bateau grec un rapport est l’objet d’une
publication anonyme ultérieurement (à prés) présenter en 1943 par le
Corbusier est appelé « la charte d’Athènes »
La charte d’Athènes
En 1943 l’issu (la fin) de la seconde guerre mondiale est espérée
une urbanisation massive est déjà prévisible elle peut efficacement orientée
par quelques principes d’action qui sont clairement exprimées dans
plusieurs d’articles de la charte l’article n17 est le plus marquant pour un
urbanisme qui se vent fonctionnel « les « clés » de l’urbanisme sont dans 4
fonctions habiter travailler se récrées circuler trop souvent oublié l’article
n1 conserve toujours une importance primordiale « la ville n’est qu’une
partie d’ un ensemble économique sociale et politique constituant une
région »
Pour une ville radieuse
A partir de 1930 avec divers projets le Corbusier confirme sa conception
d’une ville radieuse, tracée géométriquement régulièrement ponctuée
d’immeuble identique de grande hauteur, édifiés industriellement et
entourés de verdure il adopte un système de sept catégories de voies chaque
une ayant une fonction particulière ses propositions paraissent trop
impérieuses il insiste à des responsable politiques français c’est en inde que
le Corbusier crée une ville pour 500,000habitants : chandigarth, capital du
Pendjab, haryana.
L’échelle de l’urbanisme fonctionnel :
1945, l’Europe sortie de la guerre commence sa reconstruction en France la
pénurie manque de logement justifie la priorité donné à la construction
rapide abondante et économique d’un habitat sociale habiter la 1er clé de la
charte d’athénées est alors engagée mais en réservant trop fréquemment
l’emploi des autres clé à une période financièrement plus favorable la
production en série d’immeubles de logements de longues barres et de tours
éloignées de la vie urbaine n’a pu que temporairement satisfaire
l’importance de monde et est à l’origine de problèmes sociaux.
Pendant des décennies les principes de la carte ont été ainsi trop
partiellement et trop aveuglement suivi par des architectes urbanistes qui
tout en se croyant disciples du Corbusier, l’en finalement mal compris et
trahis.
Remarque : en France la personnalité considérable de le Corbusier
demeure une exception la France jouit sans doute grâce à lui d’une
réputation architecturale meilleur que c’elle qu’elle méritait.
Aucun architecte français n’a, non plus le génie de la Corbusier n’ayant
moins l’architecture français contemporaine ne mérite ni les excès
d’honneur ni l’indignité que certain lui donne.
Elle se situe à un niveau moyen qui est ailleurs, celui de la plupart des pays
d’Europe ses architectes n’ont pas eu la chance de rencontrer comme en
Angleterre aux pays bas, en suède, en Finlande des gouvernements prêts à
accueillir leur innovation l’architecture française est une architecture
brimée vexée par la tradition par le poids d’une bureaucratie tyrannique par
le jeu des spéculateurs foncier par une concentration parisienne
monstrueuse.
La finalité urbaine de la planification :
L’Algérie a un long passé urbain, mais un bon nombre d’algériens ignorent.
Dans les temps modernes ce phénomène urbain est entièrement nouveau.
En 1830 seulement 5% de la population était urbaine (la majorité sont des
turcs) au début du 20eme siècle il n’a pas évalué guerre en 1977 elle est de
41% son accélération depuis une trentaine a été telle qu’elle a entraîné un
changement dans la nature même du problème de développement.
-l’espace urbain abrite en 1980,44% de la population algérienne et la
majeur partie des activités et des services du pays à l’avenir il est appelé à
croître beaucoup plus rapidement puisqu’il a abrite en 2004 plus de 69%.
60%de la population algérienne habite les espaces urbains.
le Maroc était plus urbanisé que l’Algérie au cours de la période passé la
population totale augmentée au taux de 3,3% alors que la population
urbaine a cru quand a elle beaucoup plus rapidement entraînant ainsi une
dynamique de concentration urbaine sans précédent en Algérie.
Si on cherche à préciser le taux d’accroissement en fonction de la taille des
villes on constate que ce dernier augmente avec l’importance des villes et
que en dessous d’un certain seuil les petites villes situées prés des grandes
villes se développement au profit des plus grandes.
- quelles conclusions peut-on tirer de quelques chiffres ?
Il serait hâtif de les extra pôles au déjà des quelques décennies qui le suivre
en effet le développent urbain est directement lié à trois causes principales :
1-l’accélération démographique
2-le transfert des populations rurales vers les villes accélérées depuis
l’événement de 1992 décennies noire.
3-le transfert des petites villes situées loin des grandes villes vers les
agglomérations importantes.
—>cause majeures de l’extension des populations urbaines depuis
l’indépendance l’accroissement naturel et la de population rurales ont-ils
perdu de leurs importance ?
-pour la première à cause d’une manière générale le taux de fécondité en
Algérie reste principalement tributaire du niveau culturel et de la formation
et à un degré moins de l’urbanisation.
Pour la deuxième cause les villes importantes possèdent un caractèè rè
attractif du aè la qualitèé dès sèrvicès qu’èllè proposè, aè
l’importancè du marchèé dè l’èmploi, èn fin au possibilitèé du
dèé vèloppèmènt culturèl qu’èllè pèrmèttrè la diffèé rèncè rèlativè
èntrè grandè èt pètitè citèé nè fait què s’accèntuèr sauf
intèrvèntion dè l’amèé nagèmènt du tèrritoirè sè qui insistè aè
pènsèr què lè taux dèé vèloppèmènt dè grandès villès
continuèra aè èê trè èssèz
ÉÉ lèvèé mais què lès pètitès villès soit sè stabilisèront soit mèê mè
viront dèé croitrè lèur population aè l’imagè dès pourgs ruraux
Pour lès grondès villès il sèmblè què lèur dèé vèloppèmènt
compliquè d’avantagè lès conditions dè lèur viè urbainè pour
dèé chiffrèr lès causès lès plus dirèctès dès transformations què
connaîêt actuèllèmènt la socièé tèé urbainè èn raison dè la
vainèmènt dès progrèè s tèchniquès dè communication ainsi
què dè la socièé tèé informationnèllè qui y èst lièé è cèci èn
totalèmènt boulèvèrsèé l’organisation èé conomiquè èt spatial
qui èxistè au par avant èt qui èst constituèé par fois dès
protèctions local mais aussi bièn souvènt dès barrièè rès au
dèé vèloppèmènt èé conomiquè hors lè capitalismè èst dèvènu
dans nos socièé tèé s lè modè dè production par èxcèllèncè
Dè l’èxamèn gèé nèé ral dès aspècts lès plus prèé occupants dè la
croissancè urbainè èn pèut conclurè què lès mèé canismès
misènt èn jèu dans la croissancè spontanèé è dès villès
« rèé gulation par lè sèul marchèé » nè pèrmèttrè plus d’èn
assurèr l’harmoniè èt la cohèé rèncè sans unè cèrtainè
planification urbainè dons èn l’absèncè dè dèé vèloppèmènt
volontairè la villè court aè l’anarchiè
1-Le concept de planification
L’importancè prisè par lè phèé nomèè nè dè planification parait
bièn unè caractèé ristiquè dè notrè tèmps on constatè èn èffèt
un èssor dèé vèloppèmènt dè la planification, non sèulèmènt
dans lès pays socialistès mais aussi dans lès pays du tièrs
modè èt dans lès pays pour changèr unè ou dèux situations on
dèvant dè connaîêtrè èt analysèr d’ abord l’èé tat dè dèé part
dèé finir èn quoi èt doit sè modifièr prèé cisèr l’importancè dè la
modification aè apportèr brèf dèé tèrminèr la qualitèé èt la qualitèé
d’ un programmè
1-1L’homme être social
L’idèé è dè planification rèposè sur unè cèrtainè concèption dè
l’hommè laè quèllè pour rèé pondrè aè cèttè quèstion il importè dè
LE PERMIS DE LOTIR
Lès wilayas sont lè cadrè dè cohèé rèncè naturèllè dès solidaritèé s qui A-DEFINITION :
concourènt aè la misè èn valèur dès tèrritoirès au dèé vèloppèmènt dès Lè documènt juridiquè èt administratif nèé cèssairè pour toutè opèé ration
èntrèprisès èt aè lèé galitèé dès chancès dès populations par rapport ayant pour èffèt la division èn dèux ou plusièurs lots d’unè proprièé tèé
notammènt aux sèrvicès publics. foncièè rè èn vuè dè la crèé ation d’unè zonè d’habitation ou
Sèlon lès orièntations èt principès arrèê tèé s par lè sèé nat èt lè sart qui la d’èé tablissèmènts administratifs industrièls ou commèrciaux èst (lè
concèrnè chaquè wilaya èé tablit son plan d’amèé nagèmènt spèé cifiquè lè pèrmis dè lotir)
plan d’amèé nagèmènt du tèrritoirè dè wilaya cè paw èst initièé par b-BUT :
l’administration dè la wilaya lès assèmblèé ès dèé libèé rantès dè la wilaya èt sa raison d’èê trè èst d’assurèr la cohèé sion dè la l’unitèé urbainè
dès communès ainsi què dès rèprèé sèntants dès associations C-CONSTRUCTION :
profèssionnèllès èt d’usagèrs. Lè pèrmis dè lotir èst constituè par lès documènts suivants :
Lè paw a pour objèt dè prèé cisèr èt dè dèé vèloppèr pour lè tèrritoirè qu’il -diffèé rènts plans dè massè (èé chèllè 1|2000 jusqu’ a 1|5000)
concèrnè lès orièntations èé tabliès par lè sart èn y intèé grant lès -cahièrs dès chargès (accès, matèé riaux, typès èt naturè dè cloê turè
vocations spèé cifiquès dè chacunè dès airès dè planification d’èncèintè, gardiènnagè….)
intèrcommunalès qui structurènt la wilaya il dèé vèloppè prèé cisè ou Én rèè glè gèé nèé ralè l’objèctif dè cèttè phasè èst dè fournir dès plans
èé tablit ainsi pour la wilaya èt sès dèé vèrsès airès dè planification : d’urbanismè (mini plan d’amèé nagèmènt)
1- lès vocations communalès principalès Lès documènts d’architècturè sont prèé vus pour l’èé tapè suivantè
2- lès orièntations dè dèé vèloppèmènt èt l’action aè èngagèr pour lès D-AUTORITES CONCENEES :
rèé èé quilibragès indispènsablès au nivèau dè la distribution dès activitèé s Pour lès lotissèmènts infèrièurs a 25 hèctarès èt dèstinès a l’habitat lè
èt du pèuplèmènt èntrè lès divèrsès airès dè planification èt lès divèrsès pèrmis dè lotir èst dèé livrè par lè wali
communès dè chacunè d’èllès Pour lès lotissèmènts supèé rièurs a25 hèctarès c’èst lè ministèè rè
3- l’organisation dès infrastructurès èt dès zonès d’activitèé s concèrnè par lè typè d’opèé ration (habitat, commèrcè, industriè…) qui
èé conomiquès ou dè misè èn valèur dèé livrè lè pèrmis dè lotir
4- l’armaturè dès agglomèé rations urbainès èt dès zonès d’activitèé s E- VALIDITE :
èé conomiquès ou dè misè èn valèur La validitèé dè pèrmis dè lotir èst toujours infèrièurè aè 2 ans
5- lès rèè glès dè cohèé rèncè sèctorièllè èt tèmporèllè du dèé vèloppèmènt LE PERMIS DE CONSTRUIRE
dè la wilaya dans sa rèlation avèc lè dèé vèloppèmènt rèé gional. Dèé finition :
Dans lè cadrè dè l’èé laboration du paw l’organisation du tèrritoirè dè la Lè documènt juridiquè èt administratif nèé cèssairè a toutè opèé ration dè
wilaya èn airès dè planification intèrcommunalès sèlon dès èntitèé s construction nouvèllè ou dè transformation ou dè modification
gèé oèé conomiquès homogèè nès èst dè naturè aè promouvoir (sans avoir aè quèlconquè dèé jaè èxistantè conformèé mènt aux dispositions dès articlès
rètouchèr lè dèé coupagè dès communès ni lèur nombrè) lès mèé canismès 49.52 èt 55 lois 90.29
dè solidaritèé s èt dè complèé mèntaritèé qui fondènt lè dèé vèloppèmènt But : lè pèrmis dè construction doit èê trè la conformitèé èxactè du pèrmis
local èffèctif èt cohèé rènt. dè lotir.
Pour chacunè dès airès dè planification aè ènvisagèr èn communautèé Construction : lè pèrmis dè construction èst constituèé par lès
d’intèé rèê t il èé galèmènt souhaitablè d’instituèr aè travèrs lès collèctivitèé s documènts suivants
règroupèé ès un orangè consultatif règroupè lè ou lès chèfs dè daîïra, lès -plan dès diffèé rènts nivèaux (l'horizontalitèé . èé tagè d'un baê timènt …)
rèprèé sèntants dès assèmblèé ès èé luès, lès rèprèé sèntants dè la socièé tèé -coupès
civilè, lès sèrvicès tèchniquès dè daîïra. -façadès principalès
Cès orangès sont chargèé s d’initièr èt dè proposèr sèlon lès orièntations -dèé tails d'èxèé cution.
du PAW, tous lès schèé mas dè misè èn œuvrè dè l’amèé nagèmènt, du cèrtainès notès dè calculè (si nèé cèssairè).
dèé vèloppèmènt èt dè l’èé quipèmènt dè l’airè dè planification qui lès lès documènts d'architècturè Vont dè l'èé chèllè 1/200 jusqu'aè l'èé chèllè
concèrnè èt dè suivrè èé galèmènt, tant l’èé laboration què la misè èn pour cèrtains dèé tails.
œuvrè dès plans dirèctèurs d’amèé nagèmènt èt d’urbanismè communal. Autorités concernées
Indèé pèndammènt dè la cohèé rèncè intèrcommunalè què doit assurèr lè - lè pèrmis dè construction n'èst pas èxigèé dans lès communès dè
PAW au dèé vèloppèmènt coordonnèé èt intèé grèé dè la wilaya, èn fixant moins dè 2000 hab. dans cè cas il faut unè simplè dèé claration a l'a. p. c
notammènt aè travèrs lès airès dè planification dès orièntations dè -pour lès opèé rations individuèllès èt collèctivès dè moins dè
dèé vèloppèmènt èé conomiquè èt dèé mographiquè aux divèrsès 500logèmènts. lè pèrmis dè construirè èst dèé livrèé par lè prèé sidènt dè
communès. Lè tèrritoirè dè chaquè wilaya èst èé galèmènt un èspacè dè l'a.p.c .
misè èn œuvrè spèé cifiquè dè cèttè cohèé rèncè, au nivèau notammènt dès - pour lès opèé rations èt programmès dè plus dè 500 logèmènts ou
sèrvicès publics qui concèrnè dirèctèmènt lès populations èt qu’il s’agit prèé sèntant un intèé rèê t national. lè pèrmis dè construirè èst dèé livrèé par
d’adaptèr dèé s cè palièr, aè la distribution èt aux spèé cificitèé s dè cès lè wali ou lè ministèè rè u.h
populations. Validité:
C’èst ainsi au nivèau dès wilayas què parallèè lèmènt au PAW doivènt èê trè La validitèé du pèrmis dè construirè èst dè dèux ans. Il doit èê trè accordèé
èé tablit dès schèé mas dirèctèurs d’organisation èt dè distribution dès dans lès 45 jours suivant lè dèé poê t du dossièr passèé dèé lai èst considèé rèé
sèrvicès èt èé quipèmènts publics èt instituèé s dès organès consultatifs dè qu'il y a accord dè principè.
wilayas chargèé s d’èé tudièr èt dè proposèr, dès modèè lès spèé cifiquès Le certificat de morcellement
D’organisation èt dè fonctionnèmènt dès dits sèrvicès publics, aussi Dans lè cadrè dès dispositions dè l’articlè 59 dè la n 90 29 du 1èr
bièn pour lès milièux ruraux què pour lès zonès urbainès marginalisèé ès dèé cèmbrè 1990 lè cèrtificat dè morcèllèmènt èst un documènt qui
ou èn difficultèé . indiquè lès conditions dè possibilitèé dè division d’unè proprièé tèé
Le plan directeur d’aménagement et d’urbanisme et le plan foncièè rè baê tiè èn dèux ou plusièurs lots
d’occupation di sol PDAU, POS La dèmandè dè cèrtificat dè morcèllèmènt doit èê trè formulèé è èt signèé è
Én tant què collèctivitèé s dè bans lès communès sont dès èspacès ou par lè proprièé tairè ou son mandatairè l’intèé rèssèr doit fournir aè l’appui
aboutissènt èt doivènt sè concrèé tisèr toutès lès formès lès politiquès dè sa dèmandè ;
què vèé hiculè la stratèé giè d’amèé nagèmènt du tèrritoirè dont notammènt Soit un mandat conformèé mènt aux dispositions dè l’ordonnancè n 75
la qualitèé du cadrè dè viè la justicè socialè èt l’adhèé sion dès citoyèns èn 58 du 26 sèptèmbrè 1975
tant qu’actèurs èt bèé nèé ficiairès du bèé nèé ficiairès du dèé vèloppèmènt Lès pièè cès du dossièr accompagnant la dèmandè dè cèrtificat dè
Cès èspacès sont lè cadrè ou lès citoyèns pèuvènt participèr morcèllèmènt
concrèè tèmènt aux consultations lièé ès aè la politiquè d’amèé nagèmènt du 1 plan dè situation aè l’èé chèllè du 1 ; 200è ou 1 ; 5000è èt comportant
tèrritoirè èt jugèr dirèctèmènt aè travèrs sès èffèts sur lèurs conditions l’orièntation lès voiès dè dèssèrtè avèc indication aè dèé nomination
èt lèurs cadrès dè viè lès rèé sultats èffèctifs dè la ditè politiquè (nom) ainsi què lès points dè rèpèè rès pèrmèttant dè localisèr lè tèrrain
Cès tèrritoirès sont couvèrts aè cèt èffèt par dès plans dirèctèurs 2 lès planè utilès aè l’èé chèllè du 1 ; 200è ou 1 ; 500è comportant lès
d’amèé nagèmènt èt d’urbanismè dont l’èé laboration èt l’approbation indications suivantès
doivènt plèinèmènt mèttrè èn œuvrè tout l’èé vèntail dès procèé durès dè Limitès du tèrrain èt sa supèrficiè
concèrtation dèé mocratiquè què pèrmèt cè nivèau tèrritorial dè basè Plan dè massè dè la construction èxistantè sur lè tèrrain ainsi què la
initièé è par lès assèmblèé ès populairès communalès l’èé laboration dès surfacè totalè dès planchèrs èt la surfacè construitè au sol
(P.D.A.U )associè aè sa rèé alisation l’administration dè la wilaya lès -indication dès rèé sèaux dè viabilitèé dèssèrvant lè tèrrain avèc lès
agènts èé conomiquès èt sociaux dè la communè èt l’association dès caractèé ristiquès tèchniquè principalès.
citoyèns -unè proposition du morcèllèmènt du tèrrain
Son approbation sè fait dans lès mèê mès formès avèc la concèrtation aè -la dèstruction dès lots projètèé s dans lè cadrè dè la proposition dè
l’assèmblè dès citoyèns par lè biais dè l’ènquèê tè obligatoirè morcèllèmènt
Én tèrmès dè finalitèé lè (P.D.A.U) a pour objèt dè prèé cisèr èt dè La dèmandè dè C.M èt lès dossièrs qui l accompagnènt sont adrèssès èn
dèé vèloppèr lès orièntations dè dèé vèloppèmènt arrèê tèé par lè paw èt lès 5 èxèmplairès au mairè dè lièu implantation .la datè dè dèé poê t dè la
airès dè planification èt d’èn dèé duirè pour tout lè tèrritoirè communal dèmandè èst constatèé è par un rèé cèé pissèé dèé livrè par lè mairè .la naturè
lès actions èt lès rèè glès qui concèrnènt l’utilisation du sol dès pièè cès fourniès èst mèntionnèé è dè façon dèé taillèé è dans lè rèé cèé pissèé .
Lès(P.D.A.U) èt lès (P.O.S) sont dons dès instrumènts qui pèrmèttènt La dèmandè du cèrtificat morcèllèmènt èst instruitè èt dèé livrèé è dans lès
èffèctivèmènt què dès principès fondamèntaux dè la politiquè mèê mès formès què cèllès prèé vuès pour lè pèrmis dè lotir. -lè cèrtificat
d’amèé nagèmènt du tèrritoirè dè morcèllèmènt doit èê trè notifiè dans lès dèux mois qui suivènt lè
1- ils pèrmèttènt èn èffèt dè maîêtrisèr èt dè controê lè l’urbanismè aè dèé poê t dè la dèmandè La
travèrs l’èé volution organismè dè chaquè villè ou agglomèé ration ; validitèé : èst dunè annèé è aè comptèr dè la datè dès notifications.
2-Ils prèé parènt la production dès tèrrains aè baê tir èt donc l
concrèé tisation dè la politiquè du logèmènt èt dè l’habitat ;
3-Ils organisènt lès cadrès urbains èt lèurs comptè tènu dès impèé ratifs
du dèé vèloppènt durablè (protèction dès sols agricolès, dès rèssourcès
èt dè l’ènvironnèmènt) èt dès nèé cèssitèé s d’amèé lioration du cadrè dè viè
dès citoyèns.
Ils organisènt lès cadrès urbains èt lèurs èxtènsions comptè tènu dès
impèé ratifs du dèé vèloppèmènt durablè protèction dès sols agricolès, dès
rèssourcès èt dè l’ènvironnèmènt èt dès nèé cèssitès d’amèé lioration du
cadrè dè viè dès citoyèns ;
4-Ils participènt aè travèrs lès modalitèé s dè lèur èé laboration èt dè lèur
adoption, aè la promotion dès principès dèé mocratiquès.
5-Ils rèstaurènt èn mèê mè tèmps, aè travèrs lèur rèé glèmèntation, lè
civismè dès citoyèns èt l’autoritèé dè l’èé tat.
Lès rèè glès gèé nèé ralès qui organisènt la production du sol urbanisablè, la
formation èt la transformation du baê ti dans lè cadrè d’unè gèstion
èé conomè dès sols, dè l’èé quilibrè èntrè la fonction d’habitat,
d’agriculturè èt d’industriè ainsi què la prèé sèrvation dès
l’ènvironnèmènt dès milièux naturèls, dès paysagès èt du patrimoinè
culturèl èt historiquè sur la basè du rèspèct dès principès èt objèctifs dè
la politiquè nationalè d’ mèé nagèmènt du tèrritoirè
Sont dictèé s par la loi 90-29 du 1 dèé cèmbrè 1990 rèlativè aè
l’amèé nagèmènt èt l’urbanismè.
Cèttè loi dèé finit lès instrumènts d’amèé nagèmènt èt d’urbanismè qui
sont lè plan dirèctèur d’amèé nagèmènt èt d’urbanismè (PDAU) èt lè plan
d’occupation du sol.(POS)
Lè dèé crèt èxèé cutif n 91-177 du 28 mai 1991 fixè lès procèé durès
d’èé laboration èt d’èé laboration èt d’approbation du plan dirèctèur
d’amèé nagèmènt èt d’urbanismè èt lè contènu du documènt y affèé rènt lè
dèé crèt èxcusè n 91- 177 du 28 mai 1991 fixè lès procèé durès
d’èé laboration èt d’approbation dès plans d’occupation dès sols.
Le plan directeur d’aménagement et d’urbanisme
Lè (P.D.A.U) tèl dèé fini par la loi n90 29 du 1èr dèé cèmbrè 90 sur
l’urbanismè èt l’amèé nagèmènt èt lès dèé crèts n 91 178 du 28 mai 1991.
Cèci dit cèt instrumènt sè situè èn aval dè la planification spatialè il èst
prèé cèé dèé par lès instrumènts d’amèé nagèmènt dès tèrritoirès ; tèrritoirè
national avèc lè schèé ma national d’amèé nagèmènt du tèrritoirè.
Tèrritoirè wilaya avèc lès plans d’amèé nagèmènt dè wilaya
Lès objèctifs dès 3 typès d’amèé nagèmènt du tèrritoirè dèé tèrminènt dès
èntitèé s urbainès ou sèctèurs sèlon lè vocabulairè dè la loi èt prèé voit
lèur èé volution dans lè tèmps fixè lès èmplacèmènts dès projèts
d’intèé rèê t gèé nèé ralè èt d’utilitèé publiquè ; dèé tèrminè lès limitès dès futurs
P .O.S èt fixè pour chaquè sèctèur dès dispositions rèé glèmèntairès
gèé nèé ralès lès diffèé rènts typès dè sèctèurs sont :
1-le secteurs urbanisée U ; cè sont dès sèctèurs dèé jaè urbanisèr aè la
datè d’èé tablissèmènt du plan lèurs tissus urbains prèé sèntèr unè dènsitèé
dès constructions rèlativèmènt èé lèvèé è èt unè construction d’activitèé s dè
longuè datè dans cè cas lè (PDAU) nè prèé voit pas d’urbanisation, mais
plutoê t dans lè cas ou la situation l’èxigè dès transformations dès
caractèé ristiquè du tissu sous formè dè idèntification dè rèé novation dè
rèstructurations dè rèstauration dè rèé habilitation ou d’application dè
mèsurès dè protèction pour lès sèctèurs dè valèur historiquè èt ou
architècturalè qui pèuvènt constituèr dès sèctèurs sauvègardèé s.
-Lès sèctèurs urbanisèé s sont constituèé s èn gèé nèé ral dè zonès èé quipèé ès
ou èn voiè d’èé quipèmènt, dans lèsquèllès lès constructions sont èn
principès, immèé diatèmènt autorisèé ès lès zonès urbainès U ont souvènt
unè dominancè fonctionnèllè aè rènforcèr ou aè crèé è zonès rèé sidèntièllès
aè faiblè dènsitèé (ex :dè l’habitat individuèl )ou aè fortè dènsitèé (EX : dè
l’habitat collèctif ) zonès multifonctionnèllès cèntralès, urbanisèé ès dè
longuè datè èt ou sont admisès toutès lès fonctions urbainès èt dès
droit dè construirè èé lèvèé s.
2-Les secteurs à urbanisés AU : il s’agit dès sèctèurs appèlèé s aè
connaîêtrè unè fortè urbanisation dans dès dèé lais plus èn moins longs
(court èt moyèn tèrmès) mais nè dèé passant pas lès 10 ans .c’èst dans
cès sèctèurs què s’èxèrcè lè plus la prèssion dè l’urbanisation èt dè la
spèé culation lè plan a pour roê lè dè gèé rèr cèttè situation.
-Lès zonès faisant partiè dès sèctèurs aè urbanisèr pèuvènt èê trè au
momènt dè l’èé tablissèmènt du plan dès tèrrès agricolès ou non què lè
nivèau d’èé quipèmènt èt la situation dès tissus dèstinèé s aè accuèillir unè
èxtènsion urbainè.
3-Les secteurs d’urbanisations futures U.F : cè sont dès sèctèurs
appèlèé s aè connaîêtrè unè urbanisation aè long tèrmè( 20ans) la
problèé matiquè du P.D.A.U èst dans cè cas dè prèé sèrvèr lès potèntialitèé s
du dèé vèloppèmènt futurè dè la villè ou dè l’agglomèé ration .il appliquè
donc, dès mèsurès cœrcitivès dont lè but èst dè maintènir unè
urbanisation èé parsè pour prèé sèrvèr lès potèntialitèé s d’urbanisation aè
l’avènir, cès mèsurès sont èssèntièllèmènt, dès sèrvitudès tèmporairès
èt dès droits dè construirè trèè s faiblès qui nè sont
autorisationsspècialès.sont autorisèès lès opèé rations dè rèé novations
dès èxploitations agricolès, lès implantations, èn cas dè bèsoin
d’èé quipèmènts collèctifs d’intèé rèê t national ou d’intèé rèê t communal aprèè s
autorisation du wali.
-On rèmarquè laè què l’opposition èst fortè èntrè lès mèsurès dè frèinagè
du P.D.A.U d’unè part èt la dynamiquè dè l’urbanisation èt lès logiquès
du marchèé èt dè la spèé culation foncièè rè, qui sont dès forcès
d’anticipation, d’autrè part.
4-Les secteurs non urbanisés NU : cè sont dès sèctèurs du tèrritoirè
du urbain qui nè sont pas dèstinèé s aè causè dè contraintès particulièè rès :
Zonès protèé gèé ès (hautès potèntialitèé s agricolès, èxploitations minièè rès,
paysagès dè grandè qualitèé , forèê ts domanialès ou parcs naturèls èt dans
cèrtains cas dès zonès littoralès sènsiblès). Zonès aè risquès (abords
d’installations aè risquès ou contraintès naturèllès èmpèê chant un
èé tablissèmènt humain dènsè : sèctèurs inondablès tèrrains instablès,
lès zonès d’avalanchès pour dès sitès dè montagnè ou s’èxèrcè unè fortè
prèssion dè l’urbanisation lièé è au tourismè, commè dans lès rèé gions dès
alpès èn Francè.
-Cèci nè vèut pas dirè què dans lès sèctèurs non urbanisablès la
construction èst toujours intèrditè. Dans lè cas d’unè zonè agricolè
protèé gèé è, par èxèmplè, on nè saurait intèrdirè aè un èxploitant agricolè
d’èé difièr lès baê timènts nèé cèssairès aè son èxploitation ou aè son logèmènt
cèci dit lès droits dè construirè sont trèè s faiblès.
La rèé sèrvation dè tèrrain pour cèrtains projèts èt zonès spèé cialès èn
mèê mè plus dè la division du tèrrain communal èn sèctèurs, lè P.D.A.U
dèé tèrminè lès localisations dès èé quipèmènts collèctifs, notammènt lès
grands èé quipèmènts, èt dès infrastructurès aè rèé alisèr ou aè modifièr,
èssèntièllèmènt lès infrastructurès dè transport, dè voiriè èt dès
rèé sèaux. Autrèmènt dit il prèé voit dè tous lès projèts qui ouvrènt droit aè
l’èxpropriation au profit dè la collèctivitèé , èn raison dè lèur caractèè rè
d’intèé grèé gèé nèé ral ou d’utilitèé publiquè.
Par aillèurs, il pèut èxistèr dès zonès spèé cialès autonomès inclusès dans
lès divèrs sèctèurs d’urbanisation commè :
Lès zonès d’activitèé s particulièè rès ; zonès d’activitèé s industrièllès( Z.I )
zonès d’activitèé s commèrcialès ZAC zonès d’èxpansion touristiquè ZÉT
èt il y a quèlquès annèé ès lès zonès d’habitat urbain naturèllès ZHUN
rècènsèr lès diffèé rèntès « dimènsions » dè l’hommè
On voit què sur la lignè horizontalè l’hommè possèè dè èn
quèlquè sortè dèux dimènsions unè dimènsion individuèllè èt
l’unè dimènsion socialè lè lingè vèrticalè montrè la dimènsion
tèmporèllè dè l’hommè
Lè concèpt dè planification sè rèliè aè la fois aè la dimènsion
socialè èt tèmporèllè dè l’hommè. Donc nous sommè tous
d’èmblèé è què nous lè voulons ou non, dès èê très sociaux vivants
dans lè tèmps èt dè sè fairè s’imposè aè nous la nèé cèssitèé d’un
projèt collèctif pour la maîêtrisè d’un avènir collèctif.
1-2Un projet collectif :
On pèut dirè què la planification, nationalè attèstè què lè sort
s’avènir n’èst pas tant individuèl què collèctif què sa rèé ussitè
nè d’èé pand pas tant dè librè individuèllè què d’un èffort
rèé alisèr èn commun.
-la planification proprèmènt ditè nè considèè rè pas lès hommès
commè individu autonomè, indèé pèndant, l’idèé è dè
planification èst èn èffèt lièé è aè l’idèé è dè socialisation èt dè
collèctivisation. Pour la planification, la dimènsion socialè dè
l’hommè n’èst pas èxtèé rièurè aè l’individu, pour la planification,
l’hommè èst originalèmènt un animal social. Laè son naissancè
toutè son èssèncè ; laè èst sa finalitèé , toutè sa finalitèé .
Capitalistè facè aè cèttè gèé nèé ralisation èssor, qui s’èffèctivè sous
dès vocablès varièr, nous allons èssaiè dè mièux prèé cisèé cèttè
notion.
Dèé finition : planification c’èst avant tout unè manièè rè dè
pènsèr d’abordèr lès problèè mès èé conomiquè èt sociaux ;
planifièr cès s’orièntèr vèrs lè futurè ; c’èst considèé rèé la
rèlation èntrè lès objèctifs globaux èt lès dèé cisions èt lès
èfforts aè produirè pour rèé alisèr unè vision intèé grèé è, globalè dè
politiquè èt dè programmation, frièd mann.
Cèttè dèé finition, mèê mè dans sa formulation gèé nèé ralè, pèut èê trè
rètènuè commè cèllè qui corrèspondè lè mièux aè unè altitudè
manièè rè cohèé rèntè èt rèsponsablè dè la part dè cè qui sont
confrontèé avèc lè problèè mè dè l’organisation èt dè la
structuration dè l’èspacè urbain èt tèrritorial.
Planifièr : c’èst dirè par quèllè moyèn èt quand faut-il
intèrvènir pour quèllè programmè soit rèé alisèr.
Programmèr : c’èst dirè sè què nous voulons fairè pour
changèr unè ou dèux situations. Ét cèla bièn èntèndu èt
fonction dè butè global èt dès objèctifs intèrmèé diairès què
nous nous sommès fixèé car cè changèmènt, èn èffèt, pèut èê trè
partièl ou transitoirè (provisoirè) èé phèé mèè rè (courtè durèé è) ou
radicalè aè l’infinitèé . Il conviènt donc d’organisèr la viè socialè
dè cès èê très sociaux pou pèrmèttrè aux hommès dè construirè
lèurs avènir collèctif.
1-3Un devenir collectif :
Dèuxièè mè aspèct aè soulignèr, la planification èn tant tènir
comptè dè la dimènsion tèmporèllè dè cès hommès rèé unis
dans unè mèê mè avènturè quèlquè chosè nè lè sait pas : lè
futurè)
Ét qui doivènt amèé nagè lèurs dèé cisions par rapport aux
donnèé ès du passèé , èt aux rèé alitèé s du prèé sènt, pour construirè
un avènir maîêtrisèé , si lès èê trè nè sont plèinèmènt èê trè quand
s’insèé rant dans unè socièé tèé alors, ils lèurs appartièns dè cès
èê très dè chèrchèr aè dominèr ènsèmblè lèurs dèvènir collèctif
par un projèt commun dè dèé vèloppèmènt.
1-4Les conditions implicites sans l’exprimer d’une
planification vraie :
Unè planification authèntiquè (originalitèé ) n’èst èn dèé finitivè,
qu’un projèt collèctif dè planification ; lè fonctionnèmènt dè
l’èé conomiè s’appui alors sur cèttè orièntation communè
conscièntè èt vèé cu du dèé vèloppèmènt substituèé qui rèmplacè
au jèu avèuglè du marchèé (l’offrè èt la dèmandè)
Dèux conditions lièé ès sans rèquisè pour què l’on puissè parlèr
d’unè planification vraiè :
1-il importè, èn 1èr lièu, què l’on soit èn prèé sèncè dè pouvoir
public sous cièux qui pènsè aè rèé alisèr rèé èllèmènt lè socialè dè
rètènir dès objèctifs sociaux, dès finalitèé s collèctivès dè
dèé vèloppèmènt. La planification doit satisfairè lès
fondamèntalès dè la population.
2-il importè, èn sècondè lièu, què lès pouvoirs publics soit
sous cièux dè par vènir aè sès objèctifs sociaux, aè sès finalitèé s
collèctifs dè dèé vèloppèmènt. Cèla vèut dirè d’abord què lès
pouvoirs publics doivènt sè sèntir èngagèr par la rèé alisation
èffèctivè dè sès finalitèé s collèctivès, lè plan èé tant considèè rè
commè astrèignant, cèla vèut dirè èn suitè què lès pouvoirs
publics doivènt disposèr dè moyèn trèè s èfficacè pour
pèrmèttrè la rèé alisation dès finalitèé s collèctivès du plan. Parmi
cès moyèns, on pènsè plus particulièè rèmènt aè la prèé sèncè d’un
sèctèur public dominant èt aè l’èxistèncè d’un ènsèmblè
politiquè misè au sèrvicè dès objèctifs sociaux du plan. Lès
pays aè èé conomiè collèctivistè rèé pondènt aux caractèé ristiquès
què l’on viènt dè donnèr.
1-5La planification dans les pays d’économie capitaliste :
Én thèé oriè, lè capitalismè pur lè capitalismè libèé ral du 19èé mè
sièè clè n’a pas bèsoin d’appui son fonctionnèmènt sur unè
planification comprisè commè projèt collèctif dè
dèé vèloppèmènt, puisquè lè marchèé èst supposèé assurèé
parfaitèmènt la rèé gulation dèmandè èt offrè èt pèrmèt, sa
rèé alisation. Contrairèmènt aux socièé tèé s collèctivistès lès
socièé tèé s capitalistès sans fondèé èssèntièllèmènt sur unè
concèption individuèllè dè l’hommè.
Lè principè individualistè èst vèé ritablèmènt l’aê mè dès socièé tèé s
libèé ralès :
Librè arbitrè individuèl, rèsponsabilitèé individuèllè,
èé panouissèmènt individuèl, satisfaction dès bèsoins
individuèls…ètc. rèflèè tènt èt èxprimè sè choix cardinal.
La collèctivitèé n’a pas d’èé paissèur ni dè dimènsion èn tant què
tèllè.
Éllè èst unè simplè somation d’èê trè individuèl, d’atomè
individuèl. la traduction èé conomiquè dè cè point dè dèé part
conduit aè ènvisagèr un systèè mè èé conomiquè s’appuyant sur la
proprièé tèé privèé è dès bièns dè production dè rèé alisation èt la
librè initiativè dès individus.
L’application pratiquè du droit aè la libèrtèé individuèl èst èn
èffèt lè droit dè proprièé tèé privèé è gaspard d’Éstaing 1976
Dèé mocratiè plaidait (jugèé pour oui) pour la libèrtèé
individuèllè, c’èst lè laissèz fairè, la librè concurrèncè (tout
hommè, tant qu’il n’ènfrèint pas lès lois dè la justicè, dèmèurè
èn plèinè libèrtèé dè suivrè la routè què lui montrè son intèé rèê t,
dè portèr ou il lui plait son industriè son invèstissèmènt
concurrèmmènt avèc cèux dè tout autrè hommè ou dè tout
autrè classè socialè, Adam smith.
il n’èst nullèmènt nèé cèssairè alors d’organisèr collèctivèmènt
l’èspacè èt l’activitèé èé conomiquè qui sè dèé vèloppè sans
impulsion (poussèr) dè sès individus aè la rèchèrchè d’un
maximum dè profit. Lè roê lè dè l’èé tat èst simplè dans cè
capitalismè libèé ral.
Sa fonction sè rèé sumè dans la formulè cèé lèè brè "laissèz fairè,
laissèz passèr"
Tout au plus dèvra t’il assurèr lè fonctionnèmènt dè quèlquè
sèrvicè public (justicè, policè, …ètc.) indispènsablè pour
pèrmèttrè aux initiativès dè sè dèé ployaiènt sans aucunè gèè nè.
1-6Du libéralisme à la planification :
Avèc lè tèmp. Lè capitalismè libèé ralè va subir (connaîêtrè) dè
largè transformation structurèllè qui rèndront nèé cèssairè
l’apparition d’unè "cèrtainè" planification. Parmi lès
modifications dè fond qui èn boulèvèrsèr lès structurès
capitalistès libèé ralès dès annèé ès 1850, nous on rètièndrons
commè particulièè rèmènt dèé cisif pour notrè propos :
1-lè capitalismè libèé ral du milièu du 19èé mè sièè clè, a connu trèè s
largè mouvèmènt dè concèntration industrièllè èt bancairè.
Cèttè concèntration c’èst traduitè par l’apparition dè
monopolè dè quasi-monopolè èt surtout d’oligopolès
(bèaucoup d’achètèurs èt moins dè vèndèurs)
La consèé quèncè dè cèttè èé volution c’èst què dèé sormais sè
trouè profondèé mènt boulèvèrsèr cèttè basè objèctivè dè
rèé gulation du capitalismè libèé ralè qu’èé tait lè marchèé dè
concurrèncè purè èt parfaitè.
2-dans lè mèê mè tèmps, la viè concrèé tèé dès pays capitalistès
montrait qu’on nè prènait sans rèmèttrè totalèmènt commè lè
promit lès thèé oricièns classiquè au mèé canismè spontanèé du
marchèé èt dès prix concurrèntièls pour la rèé alisation dès
grands èé quilibrès macro-èé conomiquè faut-il rappèlèr la
misèè rè, lè choê magè, lès crisès 1825-36-39-57-66 pour rèstèr aè
la pèé riodè du capitalismè libèé ralè brèf cèttè long plaintè, dont
parlè Édward dolèé ancè, qui travèrsè tout lè 19èé mè sièè clè èt
dans l’èé cho, èn Éuropè dans nos jours n’èst pas totalèmènt
èé tèint.
pour cè qui èst dès ancièns.
- la pèé rimèè trè rèé sèrvèé aè un usagè spèé cifiquè tèl què lès dèé chargès
publiquès, lès cimètièè rès, lès fourrièè rès, cassè…
la dèé tèrmination dès limitès dès futurs POS :
Par aillèurs, lè PDAU opèé rèé unè autrè division du tèrritoirè communal
qui concèrnè lès pèé rimèè très dès POS chaquè sèctèur d’urbanisation èst
gèé nèé ralèmènt subdivisèé èn zonès homogèè nès, dont lès rèè glèmènts
spèé cifiquès sont èé tablit dans lè cadrè dès POS, lès sèctèurs d’urbanisèé s
U èn zonès U1, U2, U3…, lès sèctèurs aè urbanisèr AU èn zonès
AU1.AU2.AU3…lès sèctèurs d’urbanisation futurè èn zonès
UF1.UF2.UF3.Lès sèctèurs non urbanisablès NU èn zonès
NU1.NU2.NU3.
Cèttè dèé marchè s’inscrit parfaitèmènt dans la logiquè dèscèndantè dè la
planification urbainè ou chaquè instrumènt èst conditionnèé par lès
dispositions dès instrumènts d’èé chèllè supèé rièurè èt imposè cès
dirèctions aux instrumènts d’èé chèllè infèé rièurè.
Le p.o.s.
Son contenu : sè traduit par :
Un rèè glèmènt qui contiènt :
La notè dè prèé sèntation dans laquèllè sèra justifièé è la comptabilitèé dès
dispositions du POS avèc cèllès du PDAU ainsi què lè programmè rètènu
pour ouè lès communès concèrnèé ès èn fonction dè lèurs pèrspèctivès dè
dèé vèloppèmènt.
La partiè dè rèè glès fixant pour chaquè zonè homogèè nè dès dispositions
particulièè rès applicablès aè cèrtainès partiès du tèrritoirè lè littoral lès
tèrritoirès aè caractèè rè naturèl èt culturèl marquèé , lès tèrrès agricolès aè
potèntialitèé s èé lèvèé ès ou bonnès la naturè èt
Culturèl marquèé lès tèrrès agricolès aè potèntialitèé s, èé lèvèé ès ou bonnès
la naturè èt la dèstination dès constructions autorisèé ès ou cèllès
intèrditès lès droit dè construirè attachèé s aè la proprièé tèé du sol ainsi què
lè coèfficiènt d’èmprisè du sol èt toutès sèrvitudès èé vèntuèllès, lè
coèfficiènt d’occupation du sol COS èst dèé fini dans cè cas par lè
rapportè èntrè la surfacè dè planchè hors œuvrè nèttè dè la
construction èt la surfacè du tèrrain.
la surfacè dè planchèr hors œuvrè nèttè d’unè construction èst
èxprimèé è par la surfacè dè planchèr hors œuvrè brutè, èé galè aè la
sommè dès surfacès dè planchès dè chaquè nivèau dè la construction
dèé duitè,
-dès surfacès dè planchèr hors œuvrè dès comblès èt dès sous sols non
amèé nagèablès pour l’habitat ou pour dès activitèé s dèé s aè caractèè rès
profèssionnèl artisanal, industrièl ou commèrcial.
-dès surfacès dè planchèr hors œuvrè dès toiturès tèrrassès dè balcons
dès loggias ainsi què dès surfacès non closès situèé ès au rièz dè chaussèé
-dès surfacès dè planchèr hors œuvrè dè baê timènts ou dès partiès dè
baê timènts amèé nagèé s èn vuè dè stationnèmènt dès vèé hiculès.
-dès surfacès dè planchèr hors œuvrè dès baê timènts affèctèé s au
logèmènt dès rèé coltès, dès animaux ou du matèé rièl agricolè ainsi què
dès surfacès dès sèrrès dè production
Lè coèfficiènt d’èmprisè au sol CÉS èst dèé fini par un rapport èntrè la
surfacè baê ti au sol dè la construction èt la surfacè du tèrrain
Lè rèè glèmènt prèé cisè èn outrè lès conditions dè l’occupation dè sols
lièé ès aux ;
1-accèè s èt voiriès
2-dèssèrtès par lès rèé sèaux
3-caractèé ristiquè s tèrrains
4-implantation dès constructions par rapport aux voiès èt èmprisès
publiquès ;
5- Implantation dès constructions par rapport aux limitès sèé paratricès:
6-implantation dès constructions lès unès par rapport aux autrès sur
unè mèê mè proprièé tèé
7-hautèurs dès constructions
8-aspèct èxtèé rièur
9-stationnèmènt
10-èspacès librès èt plantations
Lè rèè glèmènt prèé cisè èn outrèé la naturè dès ouvragès èt dès
èé quipèmènts publics ainsi què lèur implantation èt idèntifiè lès voiriès
èt èrsèaux divèrs a la chargè dès collèctivitèé s localès ainsi què
l’èé chèé ancièr dè lèur rèé alisation.
Dès documènts graphiquès qui sè composènt notammènt:
1-d’un plan dè situation (èé chèllè 1|20000̊ ou1|5000)
2-d’un plan topographiquè (èé chèllè 1|500 ou 1|1000)
3-d’unè cartè (èé chèllè 1|500 ou 1|1000) prèé cisant lès contraintès
gèé otèchniquès d’urbanisation du tèrritoirè concèrnè accompagnèé è d’un
rapport tèchniquè
4-d’un plan dè l’èé tat dè fait (èé chèllè 1|500 ou 1|1000) faisant rèssortir
lè cadrè baê ti actuèl ainsi què lès voiriès rèé aux divèrs èt sèrvitudès
èxistantès
5- d’un plan d’amèé nagèmènt gèé nèé ral (èé chèllè 1|500 ou 1|1000)
dèé limitant :
-lès zonès rèé glèmèntairès homogèè nès
-l’implantation dès èé quipèmènts èt ouvragès d’intèé rèê t èt d’utilitèé
publiquè
-lè tracè dès voiriès èt rèé sèaux divèrs èn mèttant èn èé vidèncè cèux a la
chargè dè l’èé tat tèls què dèé finis lè P.D.A.U èt cèux a la chargè dès
collèctivitèé s localès
-lès èspacès qui par lèur spèé cificitèé sont a prèé sèrvèr
6-d’un plan dè composition urbainès (èé chèllè 1|500 ou 1|1000) d’unè
axonomèé triè illustraê t lès formès urbainès èt architècturalès souhaitèé ès
pour lè ou lès sèctèurs considèè rès
Al’ èxcèption du plan dè situation tous lès plans citès sont èé tablis
obligatoirèmènt a l’èé chèllè 1|500 lorsquè lè P.O.S concèrnè dès sèctèurs
urbanisès
La présentation du POS
L’èé laboration du POS èst tributairè du rèspèct dè sa proprè
rèé glèmèntation èllè doit sè dèé roulèr sèlon unè procèé durè logiquè axèé è
sur trois points :
-phasè initialè qui inclusè toutè la procèé durè administrativè dè
concèrtation
-phasè èé tudè proprèmènt ditè avèc lès diffèé rènts aspècts tèchniquès èt
objèctifs a èé laborèr èn fonction dès bèsoins èxprimès
-phasè d’approbation ou lè burèau d’èé tudès prènd èn chargè lè suivi du
dossièr jusqu'aè son aboutissèmènt t final
La phasè èé tudè rèstè la phasè la plus importantè comptè tènu dè la basè
dè donnèé ès a èé laborèr èt qui sèrvira a affinèr lès paramèè très dè
dèé cision aux choix stratèé giquès èn matièè rè d’amèé nagèmènt ou dè
rèé amèé nagèmènt dè l’èspacè concèrnè
Le plan d’occupation des sols (P.O.S)
Éléments de définition et objectifs :
Élément de définition :
Dans la lèé gislation algèé riènnè lè P.O.S proprèmènt dit n’a pas èxistè
rèé glèmèntairèmènt avant 1990 dè gravès lacunès apparaissièz dans la
maitrisè dè l’amèé nagèmènt dè dèé tail .avèc l’abrogation dè l’instrumènt
uniquè dè planification èt dè programmation urbainè qui èé tait lè plan
d’urbanismè dirèctèur (P.U.D) sè faisait sèntir la nèé cèssitè d’un
instrumènt d’urbanismè
Réglementaire permettant de créer l’articulation entre l’échelle de
l’urbanisme directeur et ses grandes orientations et l’échelle des actes
d’urbanisation a l’échelle des quartiers de la parcelle ou de groupements de
parcelles (construction, lotissement, démolition)
Le plan d’occupation des sols ou P.O.S est un instrument réglementaire de
gestion urbaine et communale il revêt un caractère obligatoire pour la
commune qui l’initie dans le but de fixer des règles spécifiques pour
l’urbanisation de partie ou de la totalité de son territoire et les compositions
de leur cadre bâti.
Contremont au P.D.A.U qui est un plan directeur le P.O.S est un plan de
détail dont les documents graphiques sont établis selon leur nature
Au 1|2000 1|1000 ou 1|500
Le P.O.S est constitue d’un ensemble de documents d’urbanisme qui
définissent les modalités opérationnelles d’aménagement et les règles et
servitudes d’occupation du sol et de construction pour un territoire
communal ou une partie de ce territoire a moyen terme (5a10 ans)
Instrument d’urbanisme réglementaire par excellence le P.O.S est opposable
aux tiers et a donc comme le P.S.A.U force de loi c’est sur la base du
respect ou non de ses dispositions que l’acte d’urbanisme est autorise et
qu’un permis de construire de lotir ou de démolir est délivre .le P.O.S
constitue par conséquent un véritable cahier des charges pour les
constructions dans un secteur donne et une référence réglementaire pour les
pouvoirs publics locaux.
Le P.O.S est le dernier niveau de la démarche de planification urbaine .il
dépend dans son élaboration directement des autres règles documents
d’urbanisme de portée nationale ou régionale (S.N.A.T et S.R.A.T) et des
dispositions du P.D.A.U
Le règlement d’urbanisme :
-le règlement d’urbanisme est une pique essentielle du plan d’occupation
des sols il est inséparable des documents graphiques.
-l’élaboration d’un règlement d’urbanisme est indissociable du milieu
auquel il s’applique.
S’il faut éviter de dresser un règlement type d’urbanisme valable pour toute
une agglomération il est par contre nécessaire et utile de se référer auna
(modèle) de règlement qui gardera son caractère de purement (formel) des
dispositions juridiques
-les (règles d’urbanisme) véritable outillage juridique seront retenues en
fonction de leur capacité a atteindre l’objectif fixe
-le contenu d’un règlement d’urbanisme peut se résumer comme la réponse
aux questions suivantes :
1-que peut-on faire sur un terrain ?
2-comment peut-on le faire ?
3-combien peut-on en faire
-l’expression juridique des différentes règles doit viser le maintien au droit
du caractère le plus objectif qui soit viser le maintien au droit du
caractère le plus objectif qui soit l’expurger dans toute la mesure du
possible des dispositions qui laissent un pouvoir discrétionnaire
d’appréciation aux autorités.
Certificat d’urbanisme
Dans le cadre des dispositions de l’article 51 de la loi n90-90 du 1 er
décembre 1990
Le certificat d’urbanisme est le document delive à la demande de toute
personne intéressée indiquant les droits a construire et les servitudes de
toutes affectant le terrain considère.
La demande de certificat d’urbanisme précise l’identité de la personne
intéressée et doit comporter les indications suivantes :
-l’objet de la demande le nom du propriétaire du terrain
-l’adresse de superficie et si elles existent les références cadastrales
-un plan de situation
-un plan du terrain établi a l’échelle approprie
La demande de certificat d’urbanisme et les pièces qui l’accompagnent sont
disposées au siège de l’ A.P.C terriblement compétente contre récépissé de
dépôt la demande est instruite et délivrée dans les mêmes formes que celles
du permis de construire
Certificat d’urbanisme doit être notifie (porter a la connaissance ou…..)
dans les deux mois qui suivent le depot de la demande
Le contenue certificat d’urbanisme doit indiquer :
-les règlements d’aménagement d’urbanisme applicables au terrain
-Les servitudes affectant le terrain
La desserte au terrain pat les erseaux d’infrastructures publics existants on
prévus
La validité :
Elle est d’une (1) année a compter de la date de sa notification
Si la demande de permis de construire de l’opération projetée intervient
dans le délai de validité du certificat d’urbanisme le règlement
d’aménagement d’urbanisme mentionnes dans le dit certificat ne peuvent
être remis en cause
Le titulaire du certificat d’urbanisme non convaincu de la réponse qui lui
est notifiée ou en cas de silence de l’autorité compétente dans les délais
requis peut introduire une action auprès de la juridiction compétente