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Octobre 2010
Sommaire
• FICHE 1 - Accès à l’emploi : ce que veulent les jeunes, ce que recherchent les recruteurs -
Résultats détaillés de l’enquête BVA-AFPA de septembre 2010
• FICHE 2 - AFPA, fournisseur officiel de mon métier : une nouvelle campagne AFPA pour
sensibiliser les jeunes à la solution « formation professionnelle »
Contacts presse
Valérie Garcia
01 48 70 54 66 Marion Giroud
Valerie.garcia-dore@afpa.fr 01 40 89 96 54
marion.giroud@agence-elan.com
Aurélia Kakou
01 48 70 51 84
Aurelia.kakou@afpa.fr
Communiqué
De presse
Paris, le 18 octobre 2010
84% des DRH et 72% des jeunes estiment qu’un jeune qui a effectué une formation
professionnelle a plus de chance de trouver un emploi qu’un jeune qui n’en a pas suivi.
Chez les DRH et les chefs d’entreprise, la motivation est le 1er critère de recrutement à
67% tandis que l’épanouissement sur le lieu de travail est le 1er critère des jeunes (à
52%) pour choisir un emploi.
Alors que la situation des jeunes sur le marché de l’emploi n’a jamais été si précaire avec
un taux de chômage de 23,3%2, alors qu’il est de plus en plus complexe d’intégrer une
entreprise et d’y exercer de manière pérenne son métier, l’AFPA (Association nationale
pour la formation professionnelle des adultes) est allée, avec BVA, interroger 1018 DRH
ou chef d’entreprise ainsi que 2003 jeunes pour croiser leurs regards et leurs perceptions
de l’employabilité et de la formation professionnelle à l’occasion de sa 2ème campagne
d’information sur ce sujet.
Les enseignements sont limpides : en tant que formule d’acquisition de compétences, la
formation professionnelle est plébiscitée par les DRH comme par les jeunes qui y voient le
meilleur chemin vers l’emploi. Plus généralement, l’enquête BVA met en lumière un hiatus
entre les attentes des jeunes et des recruteurs : alors que les savoirs être professionnels,
au-delà des seules compétences, sont de plus en plus prisées par les recruteurs, les
jeunes n’y voient pas une priorité bien au contraire, privilégiant l’épanouissement
personnel sur le lieu de travail : plus qu’un emploi, les jeunes recherchent un métier
durable.
Les savoir-être professionnels, une priorité des recruteurs sous-estimée par les jeunes
La question des savoirs-être professionnels intéresse de plus en plus les recruteurs. Savoir rédiger un
CV, savoir se présenter, comprendre les règles de l’entreprise, exprimer sa motivation sont autant de
compétences transverses qui vont bien au-delà des savoir-faire. Ces éléments sont une priorité pour
les recruteurs et les chefs d’entreprises, pour qui la motivation est le 1er critère de recrutement (à
67%), avant même la formation ou le niveau de diplôme.
1
Enquête BVA réalisée du 7 au 21 septembre, auprès de 1 018 DRH ou chefs d’entreprise de 1 salarié ou plus
par téléphone, et de 2 0003 jeunes de 18 à 30 ans par Internet.
La formation professionnelle plébiscitée par 84% des DRH et des chefs d’entreprises et
par 72% des jeunes
La formation professionnelle est ainsi vue comme une solution à ces problèmes et bénéficie d’une
forte crédibilité auprès des DRH qui la plébiscitent à 84%. Cette perception est largement partagée
par les jeunes qui sont 72% à considérer qu’il s’agit de la meilleure solution pour avoir toutes les
chances de trouver un emploi.
« La situation des jeunes face à l’emploi est plus que préoccupante. Pourtant, la solution, nous
l’avons : la formation professionnelle, qui est le plus court chemin vers un métier, clé d’entrée pour
leur avenir. Engagée, puissante, pionnière, efficace, attentive, l’AFPA développe tous les jours des
solutions de formation pas comme les autres pour développer l’employabilité des jeunes. Mon défi de
tous les jours est de faire changer le regard de la société et de revaloriser la formation
professionnelle, un outil indispensable qui permet de répondre aux demandes des recruteurs et de
combler les aspirations de ces jeunes mis sur la touche » - Philippe Caïla, Directeur Général de
l’AFPA.
Parce que les jeunes ont des besoins spécifiques pour s’insérer dans le monde du travail, l’AFPA a créé
des modules de formation adaptés, comme les modules « + FLEX », les offres de formation les plus
innovantes du marché. Dans un contexte d’accès à l’emploi de plus en plus complexe, savoir-faire ne
suffit plus, il faut savoir-être. Autrement dit, savoir s’exprimer, savoir développer son aisance
relationnelle, comprendre les règles de l’entreprise, savoir rédiger un CV…autant de compétences
transverses essentielles pour développer l’employabilité des jeunes.
Parce que les jeunes ont besoin d’une expérience professionnelle et les entreprises de collaborateurs
opérationnels et motivés, l’alternance est une véritable solution. L’enquête AFPA / BVA le montre :
40% des DRH et 43% des jeunes pensent qu’il faudrait intégrer un système pédagogique alternant
activités théoriques et activités pratiques dans le parcours de formation pour aider les jeunes de
moins de 30 ans à mieux s’intégrer dans le monde de l’entreprise. C’est pourquoi, l’AFPA a conçu « +
PRO », 16 parcours de formation en alternance réalisables dans le cadre du contrat de
professionnalisation.
« l’AFPA, fournisseur officiel de mon métier », une
campagne d’information pour revaloriser la formation
professionnelle auprès des jeunes
Près de 30 partenaires s’associent ainsi à la campagne « AFPA, fournisseur officiel de mon métier » :
AFIJ, AGEFIPH, CENTRE INFFO, CIDJ, Cité des métiers de Marseille et de Provence Alpes Côte d’Azur,
Conseil national des missions locales, DAILYMOTION, e-magister, emploi pro formation, France 5
EMPLOI, Jobenfance, Jobintree, Kelformation, Lesmetiers.net, Leguidedesformations.fr, Ma chaîne
étudiante, Mairie de Paris, MANPOWER, Monster, Netguidances.com, ONISEP, Orientation et
formation, Pole emploi, Regionjob, Respect mag, Téléformation et savoirs
Contacts presse
Valérie Garcia
01 48 70 54 66 Marion Giroud
Valerie.garcia-dore@afpa.fr 01 40 89 96 54
marion.giroud@agence-elan.com
Aurélia Kakou
01 48 70 51 84
Aurelia.kakou@afpa.fr
Paris, le 18 octobre 2010
FICHE 1
Une méthodologie d’enquête originale pour savoir ce que veulent les jeunes et ce que
recherchent les DRH
L’enquête BVA / AFPA propose une méthodologie regards croisés DRH / chefs d’entreprise et jeunes
(18-30 ans) qui permet de mettre en avant deux visions du monde du travail, leurs points communs
et leurs différences. Cette enquête comporte également un volet régional qui permet de comprendre
les différences régionales pour ne pas généraliser une question aussi complexe que l’accès des jeunes
à l’emploi.
L’enquête a été réalisée du 7 au 21 septembre, auprès de 1 018 DRH ou chefs d’entreprise de 1
salarié ou plus par téléphone, et de 2 0003 jeunes de 18 à 30 ans par Internet. Les échantillons ont
été raisonnés par tranche d’effectif salarial et par secteur d’activité pour les DRH/chefs d’entreprise, et
par région d’habitation (UDA 9) pour les jeunes de 18 à 30 ans. Chacun des échantillons a été
redressé de manière à être parfaitement représentatif de la population de référence en termes de
taille et de secteur d’activité après stratification par région pour les DRH/chefs d’entreprise, et de
sexe, âge, région d’habitation et situation professionnelle pour les jeunes.
Les savoirs-être professionnels, demandés par les recruteurs, sous-estimés par les jeunes
La question des savoirs-être professionnels est une question qui intéresse de plus en plus les
recruteurs. Savoir rédiger un CV, savoir se présenter, comprendre les règles de l’entreprise sont
autant de compétences transverses qui vont bien au-delà du savoir-faire. Cette question est une
priorité pour les recruteurs que les jeunes doivent prendre en compte.
Le candidat idéal : avant tout expérimenté disent les jeunes… motivé répondent les DRH
Mo-ti-vés. C’est ce qu’attendent les DRH (directeurs des ressources humaines) ou chefs d’entreprise
des jeunes postulants (67% de citations). La formation qui apparaît comme le deuxième critère
déterminant (50%) est beaucoup moins citée par les très petites entreprises (TPE), tout comme le
niveau de diplôme.
Les jeunes ne sont pas en phase complète sur l’importance de la motivation. Plus profondément, il
peut également y avoir un certain décalage des attentes sur le monde de l’entreprise : les DRH
attendant de la motivation sur le contenu du travail, là où les jeunes prennent le travail pour un
élément comme un autre qui leur permet de trouver leur épanouissement. Le tiers d’entre eux citent
en premier l’expérience professionnelle comme étant le principal critère des DRH lors du recrutement
d’un jeune de moins de 30 ans.
Pour les jeunes pourtant, trouver une entreprise dans laquelle ils se sentent bien est le
principal critère dans la recherche d’un emploi
Cet épanouissement, cette quête du développement personnel, recherchée par les jeunes se retrouve
lorsqu’on les interroge sur leurs principaux critères de choix dans leur recherche d’emploi. En effet, les
jeunes citent avant tout « trouver un emploi ou un métier dans une entreprise dans laquelle ils se
sentent bien » (52%). Le salaire joue également beaucoup dans leur choix.
Plus les jeunes « vieillissent » plus ils adoptent une vision pragmatique de leur emploi, en mettant
davantage en avant le salaire et la proximité du domicile : une vision moins idéalisée de l’entreprise et
plus de nécessités familiales également.
Des problèmes d’intégration des jeunes de moins de 30 ans fréquents selon les DRH /
chefs d’entreprise
Un comportement inadapté peut aboutir à un problème d’intégration dans l’entreprise. Plus d’un DRH
/ chefs d’entreprise sur deux en a déjà rencontré dans son entreprise.
Un problème dont les jeunes n’ont a priori pas parfaitement conscience puisque seule une minorité de
23% estime y avoir déjà été confronté. Difficultés d’intégration qui sont par ailleurs davantage
ressenties par les jeunes à la recherche d’un emploi (33% contre 23% pour les jeunes en emploi et
20% pour les étudiants).
Les pistes pour mieux intégrer les jeunes à l’entreprise : un système pédagogique
alternant activités théoriques et activités pratiques, solution plébiscitée
Un moyen pour mieux faire cohabiter (voire réconcilier) des attentes parfois contradictoires sur le
monde de l’entreprise : un système qui permet d’instaurer une relation de proximité. A un niveau
équivalent (environ 2 sur 5), les jeunes comme les DRH / chefs d’entreprise prônent un système
pédagogique alternant activités théoriques et activités pratiques dans le parcours de formation pour
faciliter l’intégration des jeunes de moins de 30 ans au monde de l’entreprise, devant le tuteur en
entreprise.
Pour s’impliquer, les nouveaux venus ont besoin d’avoir une relation personnalisée avec l’entreprise,
ainsi les étudiants apparaissent les plus partisans d’un tuteur lors de l’arrivée dans l’entreprise.
La formation professionnelle, la solution reconnue par les recruteurs et les jeunes pour
trouver un emploi
Au final, le bénéfice de la formation professionnelle est unanimement reconnu, notamment par les
DRH / chefs d’entreprise. Plus de 4 sur 5 jugent qu’un jeune qui a effectué une formation
professionnelle à plus de chance de trouver une emploi qu’un jeune qui n’a pas suivi de formation
professionnelle, les deux tiers qu’il s’adapte mieux au règles de l’entreprise et 40% qu’il est plus
motivé.
Les jeunes, bien que légèrement moins enthousiastes notamment sur l’impact de la formation
professionnelle sur la motivation, ne sont pas en reste.
Paris, le 18 octobre 2010
FICHE 2
« Nous avons voulu mettre en place cette campagne, parce que de nombreux jeunes n’ont pas le
réflexe « formation professionnelle » au moment de faire les choix qui vont guider leur avenir et que
peu d’entre eux, savent qu’un métier vaut souvent mieux qu’un diplôme sur le marché de l’emploi. Il
faut aider les jeunes à sortir de l’idée que la formation professionnelle n’est réservée qu’à ceux qui ne
peuvent pas faire mieux. » déclare Chantal Farant – Directrice de la communication et de la stratégie
de marque de l’AFPA
« Un peu sur le modèle d’une célèbre émission de téléréalité, nous avons organisé un casting interne
avec l’appui de nos équipes régionales. Ces 6 égéries représentent les vrais visages de l’AFPA : des
jeunes déterminés, aux regards résolument tournés vers l’avenir et qui ont à cœur de se développer
pour acquérir toutes les compétences nécessaires à l’exercice durable de leur métier » ajoute Chantal
Farant – Directrice de la communication et de la stratégie de marque de l’AFPA »
Un dispositif de communication 360°
Bénéficiant du label « 2010 : Année européenne de lutte contre la pauvreté et l’exclusion », la
campagne jeune 2010 de l’AFPA repose sur un dispositif de communication 360° essentiellement à
destination des jeunes dits « génération digital native »3, grands consommateurs du web, mais
également à destination des grands institutionnels du secteur et des prescripteurs.
Cette campagne mixe des outils de communication affinitaires sur la cible des jeunes (web, réseaux
sociaux, etc) et des outils plus classiques et s’organise de la façon suivante…
Ces vidéos seront soutenues par une stratégie de promotion maximale et diversifiée :
• Sur le web via des sites tels Youtube, Dailymotion, Google, Facebook, Kelformation,
l’etudiant.fr, pourseformer.fr et sur l’ensemble des sites partenaires de l’AFPA, des bannières
incitatives renverront vers la page dédiée à la campagne sur afpa.fr
• Sur afpa.fr qui comptabilise plus d’1,5 millions de visiteurs uniques par mois
• Une campagne radio sur Skyrock la semaine du 25 octobre
• Une campagne d’affichage dans les 186 Campus AFPA, mais également dans les locaux de
nombreux partenaires
• Enfin des e-mailings partiront à plus de 150 000 jeunes
… une journée nationale de porte ouverte dans les campus AFPA le 2 décembre
Le 2 décembre, l’AFPA entrera en conversation concrète avec les jeunes, à l’occasion de journée
nationale de portes ouvertes dans ses campus de formation. Pour l’occasion, les campus seront
habillés aux couleurs de la campagne 2010 « AFPA, fournisseur officiel de mon métier » et
accueilleront les partenaires qui en ont manifesté le souhait.
3 Internet est le média des jeunes par excellence : 99% des jeunes surfent sur internet (Etude Fréquence Ecoles, mars 2010), près de la moitié (44,5%) de
manière quotidienne. 9 lycéens sur 10 ont un compte Facebook (Etude Fréquence Ecoles, mars 2010). Ils emportent internet partout avec eux : la
consultation des mails et des réseaux sociaux explosent (+107% d’utilisateurs par rapport à 2009).
…près de 30 partenaires mobilisés
Parce que l’AFPA ne peut agir seule, elle
s’est associée à différents partenaires,
entreprises et institutions, pour sensibiliser
les jeunes à la solution « formation
professionnelle ». La campagne Jeunes
2010 a d’ailleurs reçu le label 2010 « année
européenne de la lutte contre l’exclusion et la pauvreté ».
AFIJ, AGEFIPH, CENTRE INFFO, CIDJ, Cité des métiers de Marseille et de Provence Alpes Côte d’Azur,
Conseil national des missions locales, DAILYMOTION, e-magister, emploi pro formation, France 5
EMPLOI, Jobenfance, Jobintree, Kelformation, Lesmetiers.net, Leguidedesformations.fr, Ma chaîne
étudiante, Mairie de Paris, MANPOWER, Monster, Netguidances.com, ONISEP, Orientation et
formation, Pole emploi, Regionjob, Respect mag, Téléformation et savoirs sont ainsi partenaires de
cette campagne.
Paris, le 18 octobre 2010
FICHE 3
FICHE 4
Engagée, l’AFPA est une association loi 1901 à but non lucratif qui intervient auprès des publics
les plus fragiles et agit depuis plus de 60 ans pour que le droit à la formation devienne une réalité
pour tous. L’AFPA est ainsi l’organisme de référence de formation des actifs en France.
Puissante, l’AFPA, c’est 10 000 personnes au service des stagiaires, dont 5 000 formateurs, 186
campus dans toute la France, 700 formations à plus de 300 métiers. C’est pour cela que l’AFPA
est aujourd’hui le 1er organisme de formation qualifiante des actifs en France : 174 000 personnes
sont formées chaque année par l’AFPA !
Pionnière, l’AFPA s’appuie sur un Bureau d’Etudes national et 270 ingénieurs de formation pour
analyser l’évolution des professions, des technologies et concevoir les formations les plus adaptées
aux défis du XXIe siècle !
Efficace, l’AFPA dispense des formations conçues et animées par des professionnels qui ont exercé
avec succès le métier qu’ils enseignent. Ainsi, 90% des stagiaires estiment avoir atteint leurs
objectifs4.
Attentive, l’AFPA propose un suivi personnalisé à chacun de ses stagiaires, pour une pédagogie
adaptée, un apprentissage progressif, des conseils individualisés, un suivi rapproché et un calendrier
souple.
Depuis plus de 60 ans, l’AFPA s’engage pour l’employabilité de toutes les populations, notamment les
jeunes, à travers la formation professionnelle. En tant qu’organisme de référence dans le domaine de
la formation professionnelle, l’AFPA se doit de s’engager auprès d’un public particulièrement fragilisé
et dans une situation d’urgence : les jeunes, pour qui la formation professionnelle est une véritable
opportunité pour développer leur employabilité.
Richesse sociale tout d’abord, avec une conviction forte de l’AFPA que la formation professionnelle est
facteur de « haute performance sociale ». Elle est de l’ordre de l’intérêt général.
Richesse économique ensuite, car elle permet aux jeunes de multiplier leurs chances de trouver un
emploi. Mais la formation professionnelle fournit également de la richesse pour tout le pays car des
jeunes bien formés c’est une économie renforcée et plus performante.
L’enquête AFPA / BVA souligne que les jeunes ayant suivi une formation professionnelle s’adaptent
mieux aux règles de l’entreprise, selon les DRH.
Focus sur +FLEX, une nouvelle offre innovante de formation professionnelle aux savoir
être
Parce que les jeunes ont des besoins spécifiques pour s’insérer dans le monde du travail, l’AFPA a créé
des modules de formation adaptés, comme les modules « + FLEX », les offres de formation les plus
innovantes du marché. Dans un contexte d’accès à l’emploi de plus en plus complexe, savoir-faire ne
suffit plus, il faut savoir être. Autrement dit, savoir s’exprimer, savoir développer son aisance
relationnelle, comprendre les règles de l’entreprise, savoir rédiger un CV…autant de compétences
transverses essentielles pour développer l’employabilité des jeunes.
Focus sur +PRO, une gamme de formation en alternance pour optimiser l’insertion
professionnelle des jeunes
Parce que les jeunes ont besoin d’une expérience professionnelle et les entreprises de collaborateurs
opérationnels et motivés, l’alternance est une véritable solution. L’enquête AFPA / BVA le montre :
40% des DRH et 43% des jeunes pensent qu’il faudrait intégrer un système pédagogique alternant
activités théoriques et activités pratiques dans le parcours de formation pour aider les jeunes de
moins de 30 ans à mieux s’intégrer dans le monde de l’entreprise. C’est pourquoi, l’AFPA a conçu « +
PRO », 16 parcours de formation en alternance réalisables dans le cadre du contrat de
professionnalisation.
Paris, le 18 octobre 2010
FICHE 5
o 49% des français ont une image très négative des jeunes au regard de leurs
actions dans la société (étude Audirep mars 2010 « Les Français et les jeunes »)
o 50% des jeunes ont un sentiment d’angoisse face à l’avenir (baromètre IPSOS pour
le Secours Populaire septembre 2010)
o 1 jeune sur 2 doute que les études garantissent une insertion plus facile
dans le monde du travail (baromètre IPSOS pour le Secours Populaire septembre
2010)
o 90% des jeunes et des étudiants pensent qu’ils auront des difficultés à
trouver un emploi (étude Quatre vents juin 2010)
o 21% des jeunes et étudiants pensent qu’ils ont une formation en décalage
avec les besoins des entreprises (étude Quatre vents juin 2010)
o 632 000 jeunes français (15/24 ans) sont à la recherche d’un emploi au
2ème trimestre 2010 (Insee 2010)
o En France, près de 23,3 % des jeunes n’ont pas d’emploi (Insee 2010).
o Le chômage des jeunes a augmenté de 72% en deux ans depuis le début de
la crise (Pôle Emploi septembre 2010).
o 170 000 jeunes sortent sans qualification du système scolaire.
o 50% des jeunes inscrits à l’université en sortent sans diplôme ou avec une
qualification qui n’est pas pertinente sur le marché de l’emploi.
o L’accès au monde du travail des jeunes diplômes s’est fortement dégradé avec la
crise : en 2009, 64% des jeunes diplômés sont en emploi 8 mois après leur
sortie du système éducatif contre 68% en 2008 et 77% en 2007 (étude
APEC sur l’insertion professionnelle des jeunes diplômes septembre 2010).
o La durée de recherche du premier emploi s’allonge : près de 6 mois en 2010
contre près de 5 mois en 2008 (étude APEC sur l’insertion professionnelle des
jeunes diplômes septembre 2010).
o Une forte précarisation des situations professionnelles des jeunes diplômés en 2009 :
47% de CDI en 2009 contre 54% en 2008 (étude APEC sur l’insertion
professionnelle des jeunes diplômes septembre 2010).
Glossaire
Emploi : Un emploi est un contrat passé entre deux parties, l’employeur et le salarié, pour la
réalisation d’un travail contre une rémunération
Métier : Un métier est une activité humaine, le plus souvent à but lucratif. C'est aussi un savoir-faire
acquis et, lorsque le métier le permet, une amélioration de ce savoir
Formation professionnelle, ou formation continue : La formation continue est le secteur de la
formation qui concerne ceux qui ont quitté la formation initiale.
Paris, le 18 octobre 2010
FICHE 6
DAILYMOTION
France 5 EMPLOI
Ma chaîne étudiante
Partenaire de l’AFPA depuis plus de 15 ans pour la formation
professionnelle de ses intérimaires, Manpower France est un
Créateur de Solutions pour l’Emploi pour tous les candidats et
toutes les entreprises. Ses cinq savoir-faire - travail
temporaire, recrutement permanent, formation,
accompagnement et conseil – s’adressent à tous, et en
particulier aux jeunes de moins de 25 ans qui représentent
41% des intérimaires que Manpower fait travailler chaque jour.
Par ailleurs, l’AFPA a toujours été l’un des principaux
prestataires de formation de Manpower. C’est donc tout
naturellement que Manpower a souhaité s’associer à l’AFPA
pour cette campagne de sensibilisation des jeunes à la
formation professionnelle.
Son réseau de plus de 800 agences lui assure une proximité
avec les candidats, quels que soient leur âge, profil et
parcours, ainsi qu’une couverture de tout le territoire national,
lui permettant de répondre aux besoins de toutes les
entreprises, quelle que soit leur taille (PME-PMI, grandes
entreprises françaises et internationales), qu’elles
interviennent dans le secteur industriel, le BTP, le transport et
la logistique ou les activités de services.
En 2009, Manpower France a collaboré avec 90 000
entreprises, en faisant travailler 90 000 collaborateurs
intérimaires par jour et en assurant près de 12 000
recrutements en CDD et CDI.
www.manpower.fr
www.orientation-formation.fr
Pôle emploi a pour missions :
www.pole-emploi.fr
www.regionjob.com
Respect mag