INTRODUCTION

 Définition :Médecine traditionnelle

La médecine traditionnelle existe depuis toujours, en effet ce sont des pratiques transmises pour la
plupart de génération en génération, par le bouche à oreille, par la liaison maître-apprenti ! :

Selon l’OMS, la médecine traditionnelle est la résultante des pratiques qui reposent, rationnellement
ou non, croyances et expériences propres à une culture dans le but de maintenir les êtres humains en
santé en traitant et guérissant des maladies physiques et mentales. Dans certains pays, les appellations
médecine parallèle/douce sont synonymes de médecine traditionnelle.

Quelles sont les influences derrière les pratiques de la médecine traditionnelles ? On pourrait se poser
cette question, tant il semble un tantinet curieux de penser qu’il existe une médecine, presque
concurrente sur bien des aspects à la médecine conventionnelle.

Dans l’optique d’apporter de la lumière sur cette ensemble flou et complexes qu’est la médecine
traditionnelle, nous en présenterons les différents branche : la médecine à base de plantes, les
thérapies traditionnelles

 La médication traditionnelles comprend des plantes médicinales, les parties d’animaux et

des minéraux. Nous chercherons les différents produits et techniques de fabrication, le
marché, les zones géographiques où elles sont très répandues et les effets économiques,
médicaux.

 Les thérapies traditionnelles sont des techniques qui nécessite pas nécessairement de
médicaments qui comprennent l’acupuncture, le yoga, le qi gong, le tai-chi. Toutes pratique
physiques, mentales et spirituelles qui impliquent l’esprit et le corps

CONCLUSION

Selon le Dr. Xiaorui ZHANG coordinateur pas intérim au sein du Département Médicaments essentiels
et politiques pharmaceutiques de l’OMS, aujourd’hui et ce après une expansion d’environ une
décennie, le recours à la médecine traditionnelle s’est répandu partout dans le monde et à gagner en
popularité. Elle n’est plus l’alternative en termes de soin de santé primaires pour des populations
pauvres des pays en développement, elle n’est plus à négliger devant le cas la médecine
conventionnelle . En plus de cela il rajoute, que le grand public et même les autorités sanitaires y
accordent de l’importance au travers de l’innocuité et de l’efficacité de cette dernière. Néanmoins,
malgré la diversité des horizons qu’occupe ces pratiques, tant géographique que scientifique, il est un
tantinet assez regrettable de ne pas posséder des normes internationales et des méthodes appropriées
pour les évaluer afin d’éventuellement l’adopter dans le monde.