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Réalisé par :
Encadré par :
EL HASSARI AHMED YASSIR
Mr. RACHIDI MOHAMMED
HAMOUD AHMED MOHAMED
Conclusion générale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36
. BIBLIOGRAPHIE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
Notation et symbole :
fcém : force contre électromotrice
FOC : Commande Vectorielle à Flux Orienté
IRFOC : Commande Vectorielle Indirecte à Flux Rotorique Orienté
MAS : Machine Asynchrone
MCC : Machine a Courant Continue
PI : régulateur proportionnel intégrale
[Lss]: matrice des inductances propres et mutuelles entre phases statoriques
[Lrr]: matrice des inductances propres et mutuelles entre phases rotoriques
[Lmsr]: matrice des inductances mutuelles entre phases statoriques et
rotoriques
1
Introduction générale :
2
Structure du mini-projet
3
Chapitre 1 : modélisation
de la machine asynchrone
4
1. Avantages du moteur asynchrone :
La machine asynchrone a cage est le moteur le plus répandu dans l’industrie, il est
robuste, fiable, économique, il est également apprécie pour sa très bonne standardisation .
D’autre part, on ne peut pas connaitre les variables internes du rotor a cage (Ir par
exemple) qu’a travers le stator. L’inaccessibilité du rotor nous amènera à modifier
l’équation vectorielle rotorique pour exprimer les grandeurs rotoriques à travers leurs
actions sur le stator.
La simplicité structurelle cache donc une grande complexité fonctionnelle due aux
caractéristiques qui viennent d’être évoquées mais également aux non-linéarités, à la
difficulté d’identification et aux variations des paramètres (Rr en particulier peut varier
jusqu'à 50%)
3. Hypothèse simplificatrices :
Parfaite symétrie.
Assimilation de la cage à un bobinage en court-circuit de même nombre de
phases que le bobinage statorique (c'est-à-dire 3).
5
Répartition sinusoïdale, le long de l’entrefer des champs magnétiques de chaque
bobinage,
Absence de saturation dans le circuit magnétique.
Le système d’axes (d,q) est élaboré à partir des transformations de Park et de Clark.
Le stator est constitué de trois enroulements répartis dans l'espace, et séparés d'un angle
électrique de 120°, les mêmes propos s'appliquent au rotor qu'il soit à cage d'écureuil ou
formé de trois bobines.
6
Dans le repère triphasé, les trois vecteurs Sa, Sb, Sc, sont orientés selon les axes des
trois enroulements statoriques de la machine. Il est de même
pour le rotor.
Au stator :
7
∅𝑠𝑎 𝐼𝑠𝑎 𝐼𝑟𝑎
[∅𝑠𝑏 ]=[𝐿𝑠 ] [𝐼𝑠𝑏 ]+[𝑀𝑠𝑟 ] [𝐼𝑟𝑏 ]
∅𝑠𝑐 𝐼𝑠𝑐 𝐼𝑟𝑐
Au rotor :
Avec :
𝑙𝑠 𝑙𝑠𝑠 𝑙𝑠𝑠 𝑙𝑟 𝑙𝑟𝑟 𝑙𝑟𝑟
[𝐿𝑠 ] = [𝑙𝑠𝑠 𝑙𝑠 𝑙𝑠𝑠 ] Et [𝐿𝑟 ] = [𝑙𝑟𝑟 𝑙𝑟 𝑙𝑟𝑟 ]
𝑙𝑠𝑠 𝑙𝑠𝑠 𝑙𝑠 𝑙𝑟𝑟 𝑙𝑟𝑟 𝑙𝑟
2𝜋 4𝜋
cos(𝜃) cos( 𝜃 + ) cos( 𝜃 + )
3 3
4𝜋 2𝜋
[𝑀𝑠𝑟 ] = 𝑀𝑠𝑟 cos( 𝜃 + ) cos( 𝜃) cos( 𝜃 + )
3 3
2𝜋 4𝜋
[cos( 𝜃 + 3 ) cos( 𝜃 + 3 ) cos( 𝜃) ]
Et [𝑀𝑠𝑟 ] = [𝑀𝑟𝑠 ]𝑇
ls, lr : inductance propre d’une phase statorique et rotorique.
lss : inductance mutuelle entre phase statorique.
lrr : inductance mutuelle entre phase rotorique.
8
𝑴𝒔𝒓 : Maximum de l'inductance mutuelle entre une phase du stator et une phase de rotor
La matrice des inductances mutuelles entre phase du stator et du rotor [𝑀𝑠𝑟 ] dépend de la
position angulaire entre l’axe du stator et celui du rotor.
Cette modélisation triphasé présente un inconvénient majeur pour notre application : les
matrices [𝑀𝑠𝑟 ] dépend de l’angle 𝜃 de rotation mécanique et nécessitent donc d’être
recalculées a chaque pas d’échantillonnage.
La figure I.2 met en relief l'axe direct d du référentiel de Park, et l'axe en quadrature d'indice q.
9
Figure1.2 : Position des axes dq par rapport aux axes de la machine
Pour simplifier les équations, les repères de Park des grandeurs statoriques et
rotoriques doivent coïncider, ceci est possible grâce à la relation suivante:
𝜃𝑠 = 𝜃𝑟 +𝜃 (1.9)
10
2𝜋 4𝜋
cos(𝜃𝑠 ) cos( 𝜃𝑠 − ) cos( 𝜃𝑠 − )
3 3
2 2𝜋 4𝜋
[𝑃 ] = √ −sin 𝜃𝑠 − sin(𝜃𝑠 − ) − sin(𝜃𝑠 −
3 3 3
1 1 1
[ √2 √2 √2 ]
L’application de la transformation de park donne :
Et
∅𝑟𝑑 = 𝐿𝑟 𝑖𝑟𝑑 + 𝑀𝑖𝑠𝑑
{
∅𝑟𝑞 = 𝐿𝑟 𝑖𝑟𝑞 + 𝑀𝑖𝑠𝑞
Ou :
11
𝐿𝑠 = 𝑙𝑠 − 𝑙𝑠𝑠 : Inductance propre cyclique du stator.
𝑑𝜃 𝑑𝜃
𝑃𝑚 = (∅𝑠𝑑 𝑖𝑠𝑞 − ∅𝑠𝑞 𝑖𝑠𝑑 )( 𝑑𝑡𝑠 )+ (∅𝑟𝑑 𝑖𝑟𝑞 − ∅𝑟𝑞 𝑖𝑟𝑑 )( 𝑑𝑡𝑟 )
En tenant compte des équations des flux on peut donc écrire que
𝑑𝜃𝑠 − 𝑑𝜃𝑟
𝑃𝑚 = (∅𝑠𝑑 𝑖𝑠𝑞 − ∅𝑠𝑞 𝑖𝑠𝑑 )( )
𝑑𝑡
Or la puissance mécanique est aussi égale a CeΩ ou CeW/p, d’où le couple :
𝑑Ω
P =Ce-Cr
𝑑𝑡
12
Chapitre 2 commande
vectorielle du MAS a flux
rotorique orienté.
13
II.1. Introduction
De multiples applications industrielles qui sollicitent un contrôle délicat du
couple, vitesse et/ou position, où la commande scalaire avec ses performances
modeste ne peut satisfaire.
14
rotorique afin d'assurer l'orientation du flux (Hasse) connu par IRFOC, et
l'autre qui utilise l'estimation ou la mesure du flux pour obtenir l'amplitude et
l'angle indispensable pour l'orientation du flux (Blaschke) connu par DFOC.
Ces deux méthodes citées s'appuient sur l'orientation du flux rotorique (en
fait c'est le repère dq qui est orienté), d'autres techniques ont été introduites telle
que l'orientation du flux statorique SFOC avec les deux formes directe et
indirecte, et l'orientation du flux d'entrefer, mais leurs performances sont
moindres par rapport aux premières, d’autant qu’elles exigent des algorithmes
plus compliqués et surtout la compensation au découplage qui est très sensible
aux erreurs.
15
machine, le courant d’excitation permet de régler le flux inducteur dans l’axe
polaire, tandis que le courant d’armature est utilisé pour contrôler le couple dans
l’axe neutre (perpendiculaire à l’axe polaire).
16
Figure ІI.1: illustration de l’orientation du flux rotorique
𝑑𝛷̅𝑠
͞
V̅s=Rs is + +jwsΦ̅s 2 .1
𝑑𝑡
𝑑𝛷̅𝑟
͞
0=Rr ir + +jwrΦ̅r 2.2
𝑑𝑡
avec X͞=Xd+jXq (X͞ represente le flux,le courant et les tensions)
17
𝑀𝛷̅𝑟 𝑀2 𝑀2 ͞)is+ 𝑀 Φ̅r
Φ̅s=Ls ͞is+ - i͞s=Ls (1-
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝐿𝑟𝐿𝑠 𝐿𝑟
𝑀
Φ̅s= Ls σ ͞is+ Φ̅r
𝐿𝑟
𝑀2
σ =1- c’est le coefficient de dispersion de Blondel. Ce dernier donne une
𝐿𝑟𝐿𝑠
estimation globale des inductances de fuites dans la machine.
En remplaçant l’expression du flux statorique ainsi que l’expression du courant ir(2.3) dans
les équations 2.1 et 2.2 nous obtenons :
𝑑 𝑀 𝑀
V̅ s=Rs ͞is + (Ls σ i͞s + ̅ ͞
Φr)+jws(Ls σ is+ Φ̅r)
𝑑𝑡 𝐿𝑟 𝐿𝑟
𝛷̅𝑟 𝑀 𝑖𝑠 𝑑𝛷̅𝑟
0=Rr ( − )+ +jwrΦ̅r
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝑑𝑡
𝑑i͞s 𝑀 𝑑Φ̅r 𝑀
V̅ s=Rs ͞is + Ls σ + ͞
+jwsLs σ is+jws Φ̅r
𝑑𝑡 𝐿𝑟 𝑑𝑡 𝐿𝑟
Rr𝛷̅𝑟 Rr𝑀 𝑑𝛷̅𝑟
0= − 𝑖𝑠 + +jwrΦ̅r 2.4
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝑑𝑡
18
On décompose l’équation en partie réelle et imaginaire on aura : (2.5)
𝑑isd 𝑀 𝑑Φrd 𝑀
Vsd=Rs isd + Ls σ + -wsLs σ isq−ws Φrq
𝑑𝑡 𝐿𝑟 𝑑𝑡 𝐿𝑟
𝑑isq 𝑀 𝑑Φrq 𝑀
Vsq=Rs isq + Ls σ + +wsLs σ isd+ws Φrd
𝑑𝑡 𝐿𝑟 𝑑𝑡 𝐿𝑟
Rr Rr𝑀 𝑑Φrd
0= Φrd − isd + -wr Φrq
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝑑𝑡
Rr Rr𝑀 𝑑Φrq
0= Φrq − isq + +wr Φrd𝐿𝑟 2
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝑑𝑡
𝑅𝑟𝑀2
Vsd=(Rs+
𝐿𝑟 2
) isd + Ls σ
𝑑isd
𝑑𝑡
-wsLs σ isq−ws
𝑀
𝐿𝑟
Φrq-𝑅𝑟𝐿𝑟𝑀 Φrd
2
Vsq=(Rs+
𝑅𝑟𝑀2
𝐿𝑟 2
) isq + Ls σ
𝑑isq
𝑑𝑡
-wsLs σ isd+ws
𝑀
𝐿𝑟
Φrd -
𝑅𝑟 𝑀
𝐿𝑟 2
Φrq
Rr Rr𝑀 𝑑Φrd
0=
𝐿𝑟
Φrd −
𝐿𝑟
isd +
𝑑𝑡
- (ws-w)Φrq
19
Rr Rr𝑀 𝑑Φrq
0= Φrq − isq + +(ws-w) Φrd
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝑑𝑡
Deuxième critère :
le flux rotorique doit être proportionnelle à isd (nous allons montrer cette relation
dans ce qui suit )
Troisième critère :
20
Φr=M isd Ce= K2isd isq
𝑃𝑀2
Avec K2 =
𝐿𝑟
1 𝛷̅𝑟
iΦ= 𝑖𝑠𝑑 2.6 Avec iΦ=
1+𝑇𝑟 𝑆 𝑀
iΦ : image du flux ou courant magnétisant
𝑡 𝑖̅𝑠𝑞
Ws=W+Wr 𝜃𝑠 = ∫0 𝑊𝑠 𝑑𝑡 𝑊𝑠 = 𝑃Ω + 𝑇𝑟 iΦest
Ws=P Ω+Wr
Démonstration :
D’après le système d’équation 2.4 on a :
Rr𝛷̅𝑟 Rr𝑀 𝑑𝛷̅𝑟
− 𝑖𝑠 + +jwrΦ̅r =0
𝐿𝑟 𝐿𝑟 𝑑𝑡
On prend la partie imaginaire:
Rr𝑀 𝑀 𝑖𝑠𝑞
− 𝑖𝑠𝑞 + wrΦrd =0 𝑊𝑟 =
𝑇𝑟 Φrdest
𝐿𝑟
22
L’équation n’est pas exploitable telle quelle puisque Φrest est nulle au démarrage du
moteur . Solution :
𝑀 𝑖̅𝑠𝑞
𝑊𝑠 = 𝑃Ω + 𝑇𝑟 Φrest+ε Avec 𝜀 = 0,01
II.7 le contrôle du flux et du couple :
Le (2 .5) donne :
𝑑isd 𝑑iΦ
Vsd=Rs isd + Ls σ + Ls(1 − σ) −wsLs σ isq
𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑isq 𝑀
Vsq=Rs isq + Ls σ + Ls(1 − σ)ws iΦ +wsLs σ isd+ws Φrd
𝑑𝑡 𝐿𝑟
isd on obtient
2
𝑅𝑠 (1 + (𝑇𝑠 + 𝑇𝑟)𝑆 + σTsTr𝑆 ) iΦ=Vsd+ed 2.7
𝑒𝑑 = σ ws Ls isq
1 + σTrS
𝑒𝑞 = −𝐿𝑠𝑤𝑠(1 + σTrS) iΦ = −𝐿𝑠𝑤𝑠 ( ) 𝑖𝑠𝑑
1 + 𝑇𝑟𝑆
23
les tensions vsd et vsq permettent respectivement le réglage du flux et du couple mais il
existe entre les deux processus un couplage non linéaire du a la presence du terme Ws dans
les expressions ci-dessus.
Les expression 2.7 et 2.8 nous permet d’écrire les fonctions du transfert des deux
correcteurs :
iΦ 1
FΦ= 𝑣𝑠𝑑+𝑒𝑑 = 2
𝑅𝑠(1+(𝑇𝑠+𝑇𝑟)𝑆+σTsTr𝑆 )
iΦsq 1
Fq= 𝑣𝑠𝑞+𝑒𝑞 = 𝑅𝑠(1+σTsS)
la figure 2.3 représente alors le shéma fonctionnel du contrôle qui.a priopri peut etre
envisagé deux stratégies selon les perturbation non linéaires (ed et eq) sont compensé ou
non.La compensation a pour effet de découpler les deux processus grace a une reconstituon
en temps réel de ces perturbation réciproques .Dans telles conditions le systéme devient
linéaire et avec les notation de la figure il vient :
iΦ = FΦ[𝑈𝑠𝑑 − 𝑒𝑑 ′ + 𝑒𝑑 ]
isq = Fq[𝑈𝑠𝑞 − 𝑒𝑞 ′ + 𝑒𝑞 ]
24
Figure ІI.3 : schéma fonctionnel du contrôle du couple
𝑝𝑀
𝐾𝑒 = Φrest :constante du couple électromagnétique .
𝐿𝑟
25
Avec cette structure de régulation (PI) de vitesse, on n’a pas pu avoir de bonnes
performances à la fois pour l’asservissement (réponse par rapport à la consigne) et
pour la régulation (réponse par rapport à la perturbation).
Alors, on est amené à utiliser la structure de régulation de vitesse IP, tel que
schématisée sur la fig (II .5).
conclusion :
Dans ce travail, une étude numérique de la commande par la stratégie d’orientation de
flux rotorique d’un moteur asynchrone alimenté en courant est présentée.
Le choix convenable du modèle d’action associé au choix du référentiel est l'étape primordiale
dans cette étude.
La commande par orientation de flux est un outil de contrôle fort intéressent au fonctionnement
réel et pratique de la machine asynchrone dans ses applications industrielles. Cette technique
de commande est devenue faisable sur ce type de machines grâce à la possibilité de découplage
de flux du couple, de façon, presque analogue, à celle appliquée sur la machine à courant
continu. Cette faisabilité lui permettra d'être, grâce à ses qualités technico-économiques très
attrayantes, un substitut, sans aucun doute, à la machine à courant continu.
Dans ce type de commande la qualité, des performances, en régime statique ou dynamique est
assurée.
26
Chapitre 3
Simulation
Sous
Matlab /Simulink
27
Introduction :
La simulation de ce travail est faite sur le logiciel MATLAB/Simulink qui est destiné
principalement au calcul scientifique, de la modélisation et de la simulation.
Après avoir déterminé les modèles mathématique et les équations nécessaire pour la
modélisation de la machine ainsi la commande a flux Rotorique orienté dans les chapitres
précédentes, nous avons implanté les équations dans MATLAB/SIMLINK pour pouvoir
visualiser les différentes essaies ainsi les résultats de la commande.
L’objective de ce chapitre et de vous monter les blocks de simulations et les résultats des
différentes essaies.
Block onduleur :
Figure 1
28
Figure 2:le modèle de l'onduleur
29
Figure 3:SPVWM
30
Figure 4:block commande
31
Figure 6: Modèle globale
32
2 .Les résultats de simulations :
Figure 8: le courant Id
33
Figure 9: le courant Iq
34
Conclusion
Générale
35
Il était important d’élaborer dans le cadre du fonctionnement de la plateforme
un document de synthèse illustrant les différentes étapes d’implantation d’une
commande temps réel.
L’objectif est atteint.
Les problèmes inhérents a toute adaptation d’une commande simulée sur un
procédé réel, et particulièrement sur un banc de ce type ,
ont été abordés :retards, asynchronismes, déphasages, saturation ,variation
de paramètres du modèle .l’accroissement de la complexité des algorithmes ,et
donc l’allongement des temps de calcul ,peut rendre difficile leur implantation.
Dans ce cadre, une modification de la carte de pilotage MLI a été proposée.
Les limites, prévisibles, de la commande vectorielle a flux orienté avec estimateur
en boucle ouverte sont clairement établies : un certain nombre de grandeurs sont
mal maitrisées (tension et courant statorique).l’étude a d’autre part été réalisée
dans l’hypothèse d’une dynamique de vitesse lente(Ω˙ = 0) afin de travailler sur
des équations d’état linéaires.
Les recherches actuelles portent sur l’élaboration d’observateurs plus
performants, afin de maitriser correctement les états du système .la suppression
du capteur de vitesse reste un objectif pour les industriels. Les commandes
discrètes de type D.T.C (Direct torque control) sont a l’étude et offrent des
perspectives très attractives en termes de performances dynamiques.
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BIBILIOGRAPHIE :
[1] Nahidmobarakeh B., Hénao H., Betin F. et Capolino G.- A., « Une
maquette modulaire pour l’initiation à la commande vectorielle des machines à
induction », Actes du 4ème Colloque sur l’Enseignement des Technologies et des
Sciences de l’Information et des Systèmes (CETSISEEA’03), Toulouse, 13 et 14
novembre 2003, pp. 301-304.
[4] Mohan N., « Advanced Electric Drives: Analysis, Control and Modeling using
Simulink
», MNPERE, 2001.
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