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Gil Blas / dir. A.

Dumont

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Gil Blas / dir. A. Dumont. 1886-10-26.

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Aprèsla BELLE-FILLE,
intéressant etsiémouvant
l'ouvrage J'ajoutequela Seine,
si jardin, estnavigable jusqu'à
deA.Matthey,mevousle savezsansdoute et queje même.
quilongemon de mesvoisins,
;R ouen, com- exactement
Je
dans
crus de
l
M.Legite,se trouvait saitpardessusmonépaule,
'étatoùj'avaisétémoi- frôlantmonoreille.
nouveau à une influen- Je me dressai, e nme tournant
r
qu'ilétaitlà, Nouvelles & Echos cordéà celuiduducd'Hamilton,
sivite ceux
lord
même
Hastings,
deM.Léopold
lord
de Rothschild,avant
GilBlaspubliera unecourteet trèsatta- voyais dansle pays.Moncocher queje faillistomber. Cadogan, et deM. Gé-
passerchaque jourdegrandsna- ce fiévreuse Eh bien. on y rard,poursonmignon petitgee blanc
chantenouvelle viressoità voile,soità vapeur, venantm'avaitquittédepuis un mois,fortma- voyaitcomme enpleinjour.etje neme quiesttoutà faitcomique.
MADAME ROBERT detouslescoinsdumonde.
Donc,ilyaeuunanà l'automne
lade.
der- L'hiverétaitpassé,leprintemps
!
vis pas dansma glace Elleétaitvide,
com- claire,pleinede lumière.Monimage A deuxheures,coursesà Vincennes.longséjour
AUJOURD'HUI Leduc vabeaucoup
auchâteau
mieuxgrâceà un
deBrodick, et à
PAR
THÉODOREDE BANVILLE bizarres
Ony trouveraau plushaut degré l es
nier,jefuspristoutà coupdemalaisesmençait,Or, un matin,comme
une
tenait
sorte
en
et inexplicables.
d'inquiétude
Cefutd'abordpromenais
nerveuse
éveildesnuitsentières, une près demoi,
prèsde monparterredero- Je voyais
qui me siers,je vis,je visdistinctement,
l atiged'une desplus
je me n'étaitpasdedans.Etj'étaisenface. Pronostics

belles yeux
legrandverrelimpide,
tout en bas!Et je regardais
affolés, et jen'osais
cela
plus
avec
:: :
deGilBlas
duhaut Pria:d'IrlandeL'Eperon.
des PrixdelaSociétéLapinII.
Doughsie
avec sa
Plusde 3,OUO
etenviron
Lodge,
shooting
quarante
d ansl'Isle
party.
grouses
of Arran
ont été tués
cerfs,donthuitabat.
avancer, PrixTallyHo:Damas. tusparleducenunjour.
qualités
lavieparisienne,
:
maîtresses del'écrivain
4lenoslecteursuneprofonde
et ce sentiment
si connutellesurexcitation
science de me faisaittressaillir. quele moindre
Mon humeur
bruit rosessecassercomme
s'ai- siblel'eût c ueillie;
siunemaininvi- sentant
puislafleur
puis- grit.J'avaisdescolèressubitesinexpli-courbequ'auraitdécriteun brasen la quesoncopsimperceptible
transfi-
s uivit l a lui, et
bienqu'ilsetrouvaitentre
qu'il m 'échapperait encore,
avait a
nous, PrixdeSaumur:Rostrenen.
mais
bsorbé
*%
LesdeuxromansqueRenédePont-
santd'idéal qui,soussa plume, cables. J'appelaiun médecin quim'or- portantversune bouche, et restasus- monreflet. Jescvientde faireparaîtrechezDentu
gurelesréalitésetleurdonnel'intensitédonnadubromure
poétique. douches.
depotassium et des pendue
immobile,
dansl'airtransparent,
effrayante,
toute seule, Comme
à troispas de mes à coupje commençai
j'eus !
peur
à
Puis voilà
m'apercevoir
q ue tout
dans clos
Le Congrès
hiersa session.
nationalde chirurgie a sous letitregénérique
laNello,
intéressants
de: LesMartyrs
sontincontestablement
de
desplus
la
Aprèscettenouvelle
anroman :
TOUSSAINT
nouspublierons
GALABRU
en
Je mefisdoncdoucher
etje memisàboiredubromure.
effet,
d'unsommeil
j e recommençai
plus affreux
matinet soir, yeux.
à
que
dormir,
Bientôt, Saisid'uneépouvante
mais
l'insomnie. surellepourlasaisir.Je netrouvai
Elleavaitdisparu. Alors,
unebrume,aufonddumiroir,
folle,je mejetai brume,commeà travers unenappemédecine
;
rien. d'eau et il me semblait
jefusprisd'une glissaitde gaucheà droite,
que
dansune Dansl'amphithéâtre
vants r eprésentants
cetteeau çaise: MM.lesdocteurs
lentement,président, Verneuil,
dela Facultéde
avaientprisplaceles plussa- partie
delachirurgie
Ollier ( de
fran-
Lyon),
elle
seconde :
de
:
a pourtitre LeRoman
estextrêmement
;
partie UnDrame
Labbé,Trélat,Ter- nonmoinsémouvanteelleconduitle
;
saison.La première
d'une Diva;
dramatique
en —est
Russie,
la
Apeinecouché, je fermais lesyeuxetje colèrefurieusecontremoi-même. Il rendantplusprécisemonimagedese- rillon,Monod(Charles),CombelAn- lecteurenSibérie et fournitles détails
PAR m'anéantissais. Oui, je tombais dansle n'estpaspermis àunhomme raisonnable condeen seconde. C'étaitcomme lafin thelme), Poncet(deLyon), Pozzi,etc. lespluscurieux sur lesmœursjudiciai-
FERDINANDFABRE néant, dans un néantabsolu,dansune et sérieux d'avoir depareilles hallucina- d'uneéclipse.Cequimecachait Denombreux chirurgiens
nepa- ontprispartauxneufséancesdu Con- del'étranger res del'empire des czars.
Cetteœuvre n ouvelle del'auteur s i
mortdel'êtreentierdontj'étaistirébrus-tions!
ap quement, horriblement par l'épouvanta-Maisétait-cebienune hallucination
- - raissaitpointposséder decontours nette-grès.
? m nt arrêtés,maisune sortedetrans- MM.lesvirtuosesdubistourise sont Mathilde Minouche s'apprêteà entres
préciédesCourbezon, deJulienSavignac,blesensation d'unpoidsécrasant surma Jecherchai latige. J elaretrouvai immé- parenceopaque s'éclaircissant peu à fraternel prendreun grandvoyage.L'aimable
deMonsieur Jean,est une peinturetrès poitrine, et d'unebouchequimangeaitdiatement l'arbuste, fraîchement réunis en un banquet qui
npeulatristessedeschosessé- demi-mondaine
a vientderetenirsonpas-
exacteettrèssaisissante
queauxCévennes.
delavie rusti- mavie,surmabouche.
Dela première à la ! !
Oh cessecous-sée,entresur
;
deuxautres roses d
cas- peu.
emeurées
ses-làje nesaisriendeplusépouvanta-surlabranchecarellesétaienttroisque mentainsiquejefaischaquejourenme Je pus enfin me -
distinguer complète- rompu
rieuses udeleurart. sage
En pour filerà Lima.
cherchant biendanslepassé,nous
dernièrepage,leslecteursserontinté- ble! j'avais v ues p arfaitement. regardant. ***** pourrions
fugue l
retrouver
ointaine.
les motifsdecette
ressés,émus, captivés parlesaventures Figurez-vous un homme quidort,qu'on Alorsje rentraichezmoi,l'âmeboule- Je l'avaisvu. L'épouvante m'enest La duchesse dela Torre et ses deux Entous
galantes dubeauGalabru,
état,et séducteur
L'auteur qui,danssonenfance,
sorcierdeson assassine,
irrésistible.
aconnude sang*
étrange,le faitrevivrequivamourir,
;
etquise réveille avecuncou- versée.Messieurs,
teaudanslagorge et quirâle couvertcalme
etquinepeutplusrespirer,et je n'ycrois
je
; ne croyais
écoutez-moi,
pasau surnaturel,
pasmêmeaujourd'hui;
jesuis restée,quimefaitencore
Le lendemain
mais qu'onmegardât.
frissonner. filles,K
j'étaisici,oùje priai cesse
lamarquise
otschoubey,
deCartejon
sont à
etlaprin- chebonvoyage
Paris.
casnous ouhaitons
s
etprompt retour.
à Minou-

ce personnage etqui ne comprend pas— à partirdece moment-là je fuscertain, Maintenant, messieurs, jeconclus. Lemarquis de Mailléa donnéhieren Onnouscommunique une circulaire
danssonromanaveccettevigueurde voilà
styleet cettepuissance d'évocation
!
qui Jemaigrissais d'unefaçoninquiétante,
certain c omme dujouretdelanuit,qu'il Ledocteur Marrande, après a voir long- forêtdeCompiègne
delasaison.
son premier laisser-biencurieuse,
Onsaitquele mar- honneurs d'unécho
quimérite
: vraiment les
existait près demoi u n êtreinvisible qui temps d outé, se décida à faire, s eul, un courre
caractérisent songrandtalent. continue;et je m'aperçus soudain que m'avait hanté,puism'avaitquitté, et qui voyage dansmonpays. quisdeMailléest venude1Anjou avec AuBouquet d'Oranger
GilBlaspublierasuccessivement un moncocher, quiétaitfortgros,commen- sameute pour chasseravecl'équipage du
revenait. Trois d e mes voisins, à présent, sont comte d eLubersac. H. L.
romandenotrecollaborateur
GUYDE MAUPASSANT Jeluidemandai
et unromande
çaità maigrir
— Qu'avez-vous
malade.
comme
enfin
moi.
donc,
: Jean?
Unpeuplustard,j'eneusla preuve. atteintscomme
Entremesdomestiques
Vousêtes taienttouslesjoursdesquerelles
d'abordécla- Lemédecin
furieu- —Vousleuravezconseillé
:
jel'étais.Est-cevrai?
répondit—C'estvrai !
delaisserbersac,
Parsuitedelamortdela marquise
Chaumont, belle-mère du comte
M.deMailléchasseraseulpen-
-deLu-
de coiffeur
à
musicien
X.
(Seine-ce-Marne)
HECTORMALOT Ilrépondit
— Jecrois
:b ien que j'ai gagné l amême
sespourmillecausesfutilesenappa- del'eauetdulaitchaquenuitdansleur dant
rence,
sormais.
maispleines desenspourmoidé- chambre
raîtraient.
pour voirsi cesliquides
Ilsl'ont f ait.C esliquides ont-
toutela duréede sondéplacementJ'ail'honneur
dispa- enforêtdeCompiègne. quejetiens
eoiffure delamariée
de vousoffrirles articles
auprixde iacture ainsiquela
deux écrivainsdepremierordrequiont maladie monsieur. C'est nuits , gratis,sij'aile plaisir
faitdepuislongtemps leurspreuveset que mes Un verre, un beau verre deVenise se ilsdisparu c omme chez moi.? L'élégant comte de P., justementému defaire votre n oce comme violon..
dontles succès
tentplus.
littérairesne secomp-quiperdent
Je pensai
mesjours.
d onc qu'il y avaitdansla
brisatoutseul,sur le dressoirdema Lemédecin
salle à manger, en plein jour.
accusala cuisi- Donc,
:
solennelle —
répondit avecunegravitédelaconduite
Ilsontdisparu.
unÊtre,unÊtrenou- treprendre
frère Fernand,
et desprodigalités
vientdele décider
longvoyage.
deson
à en-
J'ail'honneur devoussaluer.
: H.L.
maisonuneinfluence
voisinage
pour deux ou troismois,
fiévreuse
bien
dueau Levaletde chambre
dufleuveet j'allaism'enaller nière,quiaccusala lingère,
quenous Des je ne saisqui. bientôt
messieurs,
quiaccusa veau, qui sans doutese multipliera Visiter
mul-
commenousnoussommes donnesansregretses infidèles part, p
un
lesIndesneluidéplaît
araît-il, avec satisfaction
;
etaban-
Cen'est
pas il idéedecela
Jecroisqu'après
le
pas cas
en
dedire
province. on pas
celle-là
n'a
SOMMAIRE fussions enpleine saison dechasse, quand portesfermées lesoirétaientou- tipliés,vientd'apparaître surlaterre ! amies. petitesl'échelle. on peuttirer

J
LEHORLA.
NOUVELLES
PORTRAITS
- GuydeMaupassant. sard,
ETÉGHOS. —
D'AUJOURD'HUI.
Le Diable Boiteux.
Charles
un petit

Durand. ques.effrayantes,
f
amena
découvertes
aittrèsbizarre, observé

quejerestai.
parha-
pourmoiunetellesuitede nuit,dansl'office.
invraisemblables, fantasti-
vertes
Quel
l
é
curiosité
ematin.
tait-il ?
énervée,
Onvolait
— Ah1
Dequelle
dulait,
nature ?
c haque
Une
Ah!
notre
é
vous souriez!
quecet Êtredemeureinvisible.
œil, m essieurs,
lémentaire
mêléedecolèreetd'é- ment quiest indispensable qu'il
est
P ourquoi?
unorgane
peutdistinguer
parce
t
Mais Nouvelles
elle- Lecomte
à enAngleterre, C
***%
orti, a
quitté
:
diplomatiques
mbassadeur
P aris hier
d'Italie
Aujourd'hui
Altesse
paraîtchezLemerreUne
impériale,
d'AryEcilaw. Celivre
:
le nouveauvolume
produire une
LECINQUANTENAIRE — DEFER. - d'eauAyantsoifunsoir, je busundemi-verre tenaitjouret nuitdansun peine ce Ce qui à notre dantà Londres. a seren- vivesensation à Berlineva Pétersbourg,
Fernand Xau. DES CHEMINS
etje remarquai pouvante,
quemacarafe,po- étatd'extrême
me
agitation. existence. est trop petitlui Onannonce l'arrivée à Parisdubaronl'auteur

ayant,dit-on,desliensde pa-
INFORMATIONS. —Georges
FONCIÈRE.
Duret.
Desmaisons. séesur la commode en facede mon lit. Maisla maisonredevint calme e ncore échappe,ce quiesttropgrandluiéchappe,VondenBrincken, ambassadeur d'Alle-rentétrèsproches aveccesdeuxcours
REVUE
LES P ROPOS
L'EXPOSITIONDU D —
OCTEUR.— DrE.Monin. étaitpleine
DEROME. —Pauldû affreux J'eus,pendant
jusqu'au bouchon de cristal. une fois; etjecroyais
lanuit,unde réveilsrêvesquandsepassala chosesuivante lesmilliards d e nouveau à
: des trop l
cequiest de petitesoin luiéchappe. Ilignoremagne
bêtesquivivent SonExcellence,
à Athènes.
quiest atteinte d'une
Katow. DES PRIX
dontjeviensdevouspces arler.Jal- C'étaitle20juillet,à neufheuresdu dansunegoutted'eau.Ilignoreleshabi- maladie dularynx, vientconsulter unde NOUVELLES A LA MAIR
LECONSEIL
FAITS
TOUR DU
QUOTIDIEN.
DIVERS. —
MONDE.
L—
Jean —
Louis
Octave
Pauwels.
Rozier.
'AUDIENCE.
Sully.
Eaque.
lumai
vantable
boire d
m
e
a
a
bougie,
ngoisse, en
et,
proie
comme
jem'aperçus
à une
je
épou-
voulus
soir.
ma
I lfaisait
fenêtre t oute
f ;
ortchaud
grande, ma
j'avaislaissé
lampe a llu-
tants,
;
voisines
parent.
lesplantes
il ne voit
et le
pas
soldesétoiles
même l e trans-
nos plus éminents médecins.
«%
Entremèresdecabotines
— Oui,madame,
ce qu'onpmême eutvoir!.
ma Zénobie:
lescinqpartiesa vutoudu
CHRONIQUE nouveau, stu-
JOURNAUX
LES
SPORT.
DE
ETREVUES
LIVRES. —FPaul
The
—DES

—ElCorreo.
Gimsty.
ormer.
avec mée surma
peurquemacarafeétaitvide.Je n'en Mussetouvertà la NuitdeMai etje
pouvais croiremesyeux.Oubienonétait m'étais étendu
table,
dans
é clairant
u n grand
un
; volume
fauteuil
de

Toutes l es personnes
Placezdevantlui uneglacesanstain hier,aprèsmidi,avenuedesChamps- —A-t-elle
parfaite, il ne ladistinguera pas
qui se trouvaient monde
et nous Elysées,ont pu voirunjeunehomme, —Je vouscrois. Elleneconnaît
et l eCanada!
étéchezlesOttomans ?
que
COURRIER THÉATRES. — Fernand Bourgeat. entrédansmachambre, ou bienj'étais jem'endormis. jetteradessuscomme l'oiseau prisdans mistrèsproprement, sepromenant, ça,à preuve
por- d'unhareny.oùil qu'ellea visitél'intérieur
LASEMAINE FINANCIÈRE. HenriBregeot. somnambule. une maison,qui secasse l a têteauxvitres. tant le dos
sur dutravail.un écriteau avecces mots: y avait u n pacha et
JEUX.—Martin Gall.— Lesoirsuivant, jevoulus fairelamêmenutes, Or,ayantdormienviron quarante mi- Donc,ilnevoitpasles corpssolideset «Jecherche » vingt-deux femmes, on l'a gardéelà-
la
PASSE-TEMPS
SPECTACLES
FEUILLETON : QUOTIDIEN.
DU JOUR.
LA
— E.Framery.
BELLE-FILLE. - A.Matthey.pour
épreuve. Jefermai doncmaporteà clef mouvement,
êtrecertainquepersonne
raitpénétrer
je meréveillai
chezmoi.Jem'endormis nepour-
chaquenuit.On qu'une
émotion
jerouvris
confuse
les
réveillé
et
et d'abord,puistoutà coupil me
yeux,sansfaireun transparents
bizarre. Je
quiexistentpourtant,
parje ne saisquelle voitpasl'airdontnousnousnourrissons,
nevisrien nevoitpasleventquiestlaplusgrandenousn'avons
sembla forcedelanature,quirenverse leshom-
il ne Cettenouvelle
qu'elle
méthode
produitsensationdansla foule,mais
j
d'affichage
usqu'à
pas apprisdesuccès.
aitétécouronnée
présent
dedans,
a jours. pauvre
Unfiacrerouledoucement
e
eo
nfant, pendant quinze

dansladi..
comme pagedu livrevenaitde tourner mes,abatles édifices, Décidément, lesbureaux deplacement rection duPalais-Bourbon.
LE HORLA avaitbutoutel'eauquej'avaisvuedeux touteseule.
heuresplustôt.
;
Aucunsouffled'airn'était bres,soulève
entrépar la fenêtre. Je fussurpris et quifontcrouler
déracine
la merenmontagnes
l es ar-
d'eau
degranit. mage
ontfait
! leurtemps. Cen'est p as dom- Une têteparaît
-Allons,cocher, à laportière.
marchez donc!..,
Quiavaitbu cetteeau? Moi,sans j'attendis.
doute,etpourtant je mecroyaissûr,ab- viron,jevis, Auboutdequatreminutes en-
jevis,oui,jevis,messieurs,un corpsnouveau, Quoi d'étonnant
lesfalaises
à ce qu'il voie --
ne pas M.Finley,chefassistantl'astrologueVousetvotrecanasson,
Je n'arriverai jamaisà la Chambre.
vousn'êtesque
solument sûr,den'avoir pasfaitunmou-demesyeux, à qui manque sans docteur deuxrossards!
vement
leplusillustreet douloureux.mon dans sommeil profondet et rabattre la précédente une autre page se soulever doutela seulepropriété d 'arrêterles Gil à l'observatoire duCap, vient - Ah bien!. Mon député, si vous


Ledocteur Marrande,
lepluséminent
troisdesesconfrères
desaliénistes, avaitprié Alorsj'eusrecours des
et quatresavants, convaincre je n'accomplissais à se sur
siundoigtl'eûtfeuilletée.
rusespour semblait vide,maisje compris
comme rayons
Monfauteuil Apercevez-vous
qu'ilétait
lumineux. ,.
l'électricité ? Et cepen-
dedécouvrir
chance d
unenouvelle
Malheureusement,
:
epopularité c'est
comète.
cetastre n'a
une
aucune
sorte de
entendez
!.
m'étonne
boite
comme
pas
ç a la conciliation,
qu'onse dévore dansvotre
je
s'occupant desciences naturelles, dever-me que là,lui! Je traversaima chambred'un dant elleexiste! comète avortée, ellen'apasde queue. LEDIABLE BOITEUX.
nirpasseruneheurechezlui,dansla point cesactesinconscients. Je plaçaiun bond le prendre, le toucher, aussi. Cetêtre, q ue j'ainommé leHorla,existe
maison desanté qu'il d irigeait, l eur soir, à côté delacarafe, une bouteille de pour pour *
montrer undesesmalades.
pour vieux
j'ai
bordeaux,une tassedelaitdont pourlsiège,
horreur, etdesgâteaux chocolat mon
e saisirsi celase pouvait.Mais Quiest-ce
avantqueje l'eusseatteint, laterreattend, ? Messieurs, !
c'estceluique M.Morinvientd'achever
aprèsl'hommeCeluiqui d'exploration dans unvoyage PORTRAITS ALMMHM
l'isthmedeDarien. D
Aussitôt queses amis f urent réunis,il au
:
leurdit «Jevaisvoussoumettre
leplusbizarre et le plusinquiétant
lecas quej'adore.
que Levin etlesgâteauxdemeurèrent
;
serenversa
in- leverre brisé;
c omme s i on
fenêtre
eûtfuidevant
moi malampeaussitombaet s'éteignit, vient
brusquement
nousdétrôner,
dompter, et senourrir
nousasservir, nous Il enaIlrapporté
de nouspeut-êtrevenirs. a visité
l espluscurieux
ungrandnombre
sou-
de
j'aiejamaisrencontré. D'ailleurs, je n'ai tacts.Lelaitetl'eaudisparurent.
rienà vousdiredemonclient.Ilparlera chaque jour,je changeai lesboissons
e t
Alors,pousséecommesi un malfaiteur
et saisieensesauvant
ma
allafrapper
l'eût comme
et
nous nous
dessangliers.
n ourrissons desbœufs huacas.
gènes,
Ce
garnies
sont lessépultures
:
desindi-
d'objetsde touteespèce Imaginez-vous
ornements
TESSONNIER (DEL'INSTITUT)
untoutpetit bonhomme
surson on habillements, vases, en or pasplushautqueça,
lui-même.»Le
mestique
maigre,d'une
docteur alorssonna.Un
fitentrerunhomme.
maigreur
do- lesnourritures.
Ilétaitfort choses
decadavre,comme
solides,
enfaitdeliquide,
Jamaisonnetouchaaux arrêt.
compactes,
Ah!.
et onne but, Je mejetaisurlasonnette
quedulaitagefraiset Quand valetdechambre
Depuis
etj'appelai. leredoute
l'Invisible
dessiècles,
a toujours
!
on le pressent,
et on l'annonceLapeurde tantdesanimaux, massif et mélangés
hanténospères. nouillesd'unegrandevaleurartisti-
decuivre,
desserpents,
représen-
desgre- Judic preste,nerveux, affairé,
ainsiquechantait
dansje ne saisquelleopérette,et
remuant, sautil-
mon parut, j e Ilestvenu. lant sans cessecomme cesmoucherons en
sontmaigrescertainsfous queronge del'eausurtout.
inepensée,carlapensée malade dévore Maisce doutepoignantrestaitdans «J'aitoutrenversé
luidis : ettoutbrisé. D on- Toutesles légendesdes fées,des Il està remarquer
que.
que lesossementspleines folie q uitournoient
deraisins
au-dessus
dans
des
lesmélancoliques cuves
gnômes, desrôdeurs del'airinsaisissables renfermés dansleshuacassontbrisés. crépuscules
.a chairdu corpsplusquela fièvreou monâme.N'était-ce pas moiquimele- nez-moi delalumière. » et malfaisants, c'était d eluiqu'elles par- M.Pmart,quia faitlesmêmes décou- Et, dorésdel'arrière-saison.
.aphtisie. vaissansen avoirconscience, etquibu- Jenedormis plus, c ette nuit-là. Et ce. deluipressenti vertes bienavantM.Morin, explique surce corpsde roi Carotte, une
Ayantsaluéet s'étantassis,il dit: vaismême leschoses détestées, car,mes pendant j'avaispuencoreêtrele jouet quietettremblant laient, par l'homme in- cetteparticularité duritefunéraire grossetêtesuperbe,
des qu'encadre presque visionnaire
«Messieurs,
réunis
je saispourquoi
iciet jesuisprêtà vousraconter
onvousa sensengourdis
buliquepouvaient parle sommeil
êtremodifiés,
somnam-d'uneillusionAuréveil
avoir renttroubles.
! N'était-ce
les sensdemeu- Ettoutcequevousfaitesvous-mêmes,
pas moi q uiavais messieurs, depuis
déjà.
q uelques
Dorasques par cetteraisonque lors- peléesunebarbe
qu'unIndienmeurt,on enveloppe son Jusqu'aux
de
épaules,
longues
sesabsolument mèches
blanche.
croirait voir
cres-
monhistoire,commem'ena priémon perduleursrépugnances ordinaires et ac- jetébasmonfauteuilet malumière C e
ans. que corpsdansdesétoffesdecoton,tisséesde fleuves lesmytholoeies on un
amiledocteur Marrande. Pendantlong- quisdesgoûtsdifférents. en vousappelez l'hypnotisme, lasuggestion, pourccet usage, et aprèsunecérémonie ces que latines
me précipitant comme un fou ? divinisaient majestueux nourri-
tempsilm'acrufou.Aujourd'hui
Dansquelque
ildoute. Je meservisalorsd'unerusenouvelle Non,cen'étaitpasmoi Je le savaisà
temps,voussaureztous contremoi-même. J'enveloppai tousles n'enpointdouteruneseconde.
! Et cepen-
lemagnétisme
noncez:que
— c'estlui
vousprophétisez!
quevousan.. assez ourte,
prouesses
porte dans
o ù le chaman
et lesvertusdudéfunt,onle tés
endroit retirédelaforêt.
les
raconte ciersdelaterre,
sous les
ces
— queCoysevoxsculp-
vastesombrages duaparcde
que j'ai l'esprit a ussisain, a ussi l ucide, objets a uxquels il fallait i nfailliblement dantjelevoulais croire. Je vous d isqu'il e st venu. Ilrôde i nquiet Là un Versailles. Puis, parun caprice ironique
aussiclairvoyant
reusement
quelesvôtres,malheu-toucher avecdesbandelettes
pourmoi,et pourvous,et lineblancheet je les recouvris
demousse- Attendez.
encorerai-je?L'Invisible.
!
L'Etre Comment
Non, c ela
le lui-même
nomme- ignorant
ne suffit
comme
encore
qu'ilconnaîtra
lespremiers hommes,dage,
saforceet sa puissancebranchages,
bientôt,
onleplace
on le
sousune
recouvre
puis on
sorted'échafau-dela destinée,
debroussailles
l'abandonne
etde
pour
cette implacable
turiste,cen'estplusqu'unesilhouette
pygmée, rien,untorsequ'unen-
carica-
de
pourl'humanité toutentière. avecuneserviette debatiste. pas. J e l'aibaptisé l e Horla. Pourquoi ? troptôt. une année entière. L 'année r évolue, le presque
Maisjeveuxcommencer par lesfaits Puis,aumoment dememettreau lit, Je ne saispoint.Doncle Horlaneme Etvoici,messieurs, pourfinir,unfrag- Kanaru rendà l'endroit oùest leca- faut casserait d 'unechiquenaude, de
eux-mêmes, par les faitstoutsimples.je me barbouillai les mains,leslèvres quittait plus J'avais j our mentdejournalquim'esttombésousla davreet,selorsqu'ill'a nettoyéde toutes maigres jambesmoulées endes panta-
Lesvoici :
J'aiquarante-deux
et la moustache avecde la minede sensation,
guère.
lacertitude delaprésence
etnuitla
de main, etquivientdeRiodeJaneiro.
lis: «Unfe sorted'épidémie
Je lespartiescharnues,
defoliesem- mentsainsiquele crâne,et ilrecueillegrandir,
lons
il briseles osse- defaucheux de inasher
« quis'agitent
», despattes
comme
i nquiètes
pourse
ans.Je nesuispas plomb. cet insaisissable voisih, et la certitude blesévirdepuis q uelque t emps dans l a tous les fragments en un paquet. O n pour t enir delaplace.
marié,mafortuneest suffisante pour v i- A mon réveil, touslesobjetsétaientaussiqu'ilprenaitma vie,heurepar province pourquoi onLn'ajamais trouvé chant Eruditet caustique audpossible, mé-
vreavecuncertainluxe.Doncj'habitaisdemeurés immaculés bienqu'onyeûttou- heure,minute par minute. deSanPaulo.Leshabitants de comprend
de squelette entier. e Kanaruest le vince, comme unelvieille évotedepro-
plusieurs villages
une propriété
Biessard,
sur lesbords d elaSeine,
auprèsde Rouen.J'aimela comme
à ché;
je
laserviette
chasseetlapêche.Or,j'avaisderrièreavaitbudel'eau,etdulait Ormaporte
;
car l'avais n'étaitpointposée L'impossibilité
mise et, deplus,on etj'allumais
appartement, comme
de levoirm'exaspéraitdonnantleursterresetleursmaisons
toutesleslumières demon seprétendant
si j'eussepu,dans desvampires
s e
poursuivis
sontsauvés
et mangés
a ban-
et personnage
par
fonctions.
investispécialement i l rappelle
deces croupis,extasiésdansl'immuable
templation
esdieux
deleurbéatitude.
lassecommeau fondd'unechapeile
v édiques
Il se
ac-<
con-
pré-
moi,au-dessus desgrandsrochers quido- ferméeavecuneclefdesûretéet mes cette invisibles quisenourrissent où
minaient clarté, ledécouvrir. deleursouffle pendant leursommeil OnvientdesaisirenAngleterre;
et raisond'Etat, pour les ciergesflambent nuitet joursurles
ma maison, une
forêtsdeFrance,celledeRoumare,
devantmoiundesplusbeauxfleuves
monde.
desplus belles voletscadenassés
et pulaisserpénétrer
par prudence,
personne.
du Alors,je meposaicetteredoutable
question.
n'avaient Jelevis,enfin.

Quidoncétaitlà, toutesles pendant.


Vous n emecroyez p as. J e l'ai vu ce-
quineboiraient,
:
quelquefois dulait
J'ajoute«Quelques
enoutrequedel'eau,et quesjours Sophie
!a
joursavantla pre- certaine quenous
: livre
un Adélaïde il
qui,ainsi
l'avionsprévu,produitune encensoirs.
triangles
paru ya quel-chœurbalancent d e cuivre,
àtoute
Il nes'effare
o ù
v
les
olée
enfants
d'aucune
l eur l
de
ourds
hyper*
J'étais assisdevant un livre quelcon- mière a tteinte d umal d ont j 'aifailli é motion dansles coursétran- bole.Il se croitleplusgrandartisted,
Mademeure estvaste,peinteenblanc nuits,prèsdemoi ? ne lisantpas,maisguettant, mou-
avoirvu gères. son temps.
à l'extérieur, jolie,ancienne, au milieu Je sens,messieurs, que jevousraconteque, tous mesorganes s urexcités, avec rir,je merappelle
guettant grand
parfaitement /V/VV%P Il a autantdedécorations, derubans,
d'ungrandjardinplantéd'arbres magnifi-celatropvite.Voussouriez, passerun trois-màts brésilien deplaques, qu'unfeld-maréchal allemand
queset
escaladant
qui monte j
les énormes
usqu'à,
rochersdontje dûvousdécrire
:
la forêt,en estdéjàfaite «c'estun fou.
longuement
votre
»
cette
opinionCeluiqueje sentais
J'aurais
émotion il étaitlà.Maisoù? Quefaisait
l'atteindre ?
prèsdemoi. C ertes, son
il? Com- mamaison pavillon déployé.
est au bordde
J e vous a
l'eau.
idit
avec Ledeer-slalking
que
toute forêt d 'Athole
favorable
vient
(chasse
saison
d ese
au cerf)
terminer
les
dans l a ou un
après millimètre
chas-
marchand
depeinture
decrayons. Ilvend
pluscherqu'une
le
vousparlaistoutà l'heure.
Monpersonnel
d'unhomme qui,enfermé chezlui,l'espritment Enfacedemoimonlit,unvieuxlitde blanche. doute.
Il étaitcachésur ce bateauune
» seurs — moins
oudu quoique — mpour
eilleure que la ferme deBeauce.
Et il nes'explique pas pourquoi l'Etat
secompose, ou plutôt sain,regarde, àtravers l e verre d'une c a- chêneà colonnes. sans
Adroitemacheminée. Jen'aiplusrienà ajouter,messieurs.inférieure saison d ernière, le résultat s oit n'a pasencore choisi l'emplacement de
se composait d'uncocher,unjardinier,rafe,unpeud'eaudisparue pendant qu'il Agauchema portequej'avaisfermée aux autres a nnées passées. statue,
sa sculpteur c ommandé son On quel-
bronze à
un valetdechambre, une cuisinière et adormi. J'aurais dû vous f aire c omprendre avecsoin.Derrière moiunetrèsgrande Le docteurMarrande se levaet mur- estde102.
Lenombre d ecerfs t ués cetteannée que de marque. est mo-
unelingère
monde
quiétaitenmêmetempsune cettetorturerenouvelée
espècede femmede charge.Tout
habitait chezmoidepuis ce chaquematin,etcetinvincible
chaquesoiret armoire
sommeil, à glace,quimeservaitchaque mura
jourpourmeraser,pourm'habiller, où
:
—Moi
Leduke ofAthole en
non plus.Je ne saissi cet abattu13cerfsde sonproprerifle,pen- grossissants
une semaine a
deste
de ou onne
s'enfler, de
l'est
se
pas.Cette
voir en
marotte
desmiroirs
dixàseizeetcesréveils plusépouvantables encore.j'avais coutume demeregarder delatête homme estfouousinousle sommes tous dantqu'unde ses fils,la semaine der- téristique n'est-elle pashélasla carac-
ans,me connaissait, connaissait ma de- Maisjecontinue. piedschaque lesdeux. si. si nière, tua 14. dusièclequi semeurt avecles
l e
meure, pays,toutl'entourage dema Toutà coup,lemiracle O n
cessa. ne vant. aux fois que je passais de- réellement
ou
arrivé.
notre successeur est en singeries d'un trèsancien c abot ?
X
vie.C'étaientdebonsettranquilles
viteurs.Celaimporte
dire pour ceque
ser- touchaitplusà riendansmachambre.
jevais C'étaitfini.J'allaismieux d 'ailleurs. La
Doncjefaisaissemblant
le tromper,car ilm'épiait
;;
delire pour
luiaussi et
GUY D E MAUPASSANT, Parmi laquantité deponey-cart «Turn- Tessonnier habiteun opulent -hôtel
gaietémerevenait, quand j'apprisqu'un soudain outs»sienvogueà Newmarket pendant presque unpalais—sur le boulevard
je sentis,jefuscertainau'illi- ——— lesl'ace-meetings, le pas doitêtreac- — Malesberbes.

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