Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
Soutenu Publiquement le :
Devant le Jury :
• Président : Mm. MAOUCHE.H
• Examinateur : M. ZANKHRI. A
• Examinateur : M. KEBAILI .M
• Encadreur : M.KHELASSI. A
« Mr Khelassi Amar »
A notre enseignant
« Mr Djireb Samir »
Merci
Je rends grâce à Dieu et dédie ce travail:
LOTFIMERABET
Tout d'aôordje tiens à remercier Ce Tout (Puissant de m 'avoir donner Ce
courage et [a patience pour arriver à cet stade afin de réafiser ce travaif
que je dédie à:
mes très chers parents qui m'ont guidé durant tes moments
les pCus péniôles de ce long chemin, ma mère qui a été à mes
côtés et ma soutenu durant toute ma vie, et mon père qui a
sacrifié toute sa vie afin de me voir devenir ce que je suis,
merci mes parents.
J A mes très chersfrères et à sœurs.
J toute mafamiCk sans exception.
J A tous mes amis.
J A toute la promotion 2011
J Enfin, je remercie mon 6inôme MMERABATLotfi qui a
contriôué à la réalisation de ce modeste travaif.
LOUAHADJ Omar
SMOMMAIRE
Introduction générale
1.1 Introduction 3
1.2 Notions Elémentaires Sur La Rupture Des Sols 3
1.3 Notion sur la mécanique de milieu continue 4
1.3.1 Tenseur des contrainte 4
1.3.2 Equations De L'équilibre Local 5
1.3.3 Condition Aux Limites 6
1.4 Le Cercle de Mohr 6
1.4.1 Le cercle de Mohr à deux dimensions 7
1.4.2 Composantes des contraintes en 2D 7
1.5 Critère De Mohr-Coulomb 8
1.5.1 Notion De Courbe Intrinsèque 8
1.5.2 Critère De Coulomb 9
1.6 Résistance au cisaillement des sols 10
1.7 L'interface sol-structure 10
1.7.1 Définition 10
1.7.2 Étude en laboratoire de l'interface sol-structure 10
1.7.3 la boite de cisaillement direct 11
1.7.4 principe de l'essai 11
1.7.5 les résultats d'essais de la boite de cisaillement 12
CHAPITRE 2 : FONDATIONS
2.1 Définition 13
2.2 Différents types des fondations 13
2.2.1 Les fondations superficielles 13
2.2.2 Les fondations profondes 14
2.2.2.1 Introduction 14
2.2.2.2 Définition 14
2.2.2.3 Historiques 16
2.2.2.4 Principes de fonctionnement 19
2.2.2.4.1 Cas d'un pieu isolé 19
2.2.2.4.2 Cas de groupes de pieux : 20
2.2.2.5 Classification des pieux 21
2.2.2.5.1 Pieux refoulant le sol à la mise en place 21
2.2.2.5.2 Pieux ne refoulant pas le sol à la mise en place 24
2.2.2.5.3 Pieux particuliers 28
2.2.2.6 Classification des pieux selon Terzaghi 28
3.1 Généralités 29
3.2 Aperçu sur les paramètres influençant la capacité portante d'une
fondation Profonde 29
3.2.1 Densité du massif 30
3.2.2 Etat de surface des inclusions 31
3.2.3 Effet du temps 31
3.3 Formules de battage 32
3.3.1 Généralités 32
3.3.2 Formule des Hollandais 32
3.3.3 Formule de Crandall 33
3.4 Détermination de la charge portante par les formules statiques 33
3.4.1 Expression générale de la force portante Q l 33
3.4.2 Pression limite et résistance limite sous la pointe 34
3.4.3 Frottement latéral 36
3.5 Calcul de la charge portante Q l à partir de l'essai au Pressiomètre 38
3.5.1 Qu'est-ce que le pressiomètre ? 38
3.5.2 Généralités 40
3.5.3 Contrainte limite de pointe q p et résistance limite de pointe Q p 40
3.5.4 Frottement latéral Q f 42
3.6 Calcul de la charge portante Q l à partir de l'essai au Pénétromètre 43
3.6.1 Qu'est-ce que le pénétromètre ? 43
3.6.1.1 Le pénétromètre dynamique 43
3.6.1.2 Le pénétromètre statique 44
3.6.2 Généralités 45
3.6.3 Contrainte limite q p sous la pointe 46
3.6.4 Frottement latéral unitaire limite, 48
3.7 Tassement d'un pieu isolé 48
3.8 Frottement Négatif Sur Les Pieux 50
3.8.1 Description du phénomène 50
3.8.2 Principe de l'évaluation du frottement négatif maximal 51
3.8.3 Hauteur d'action du frottement négatif 52
3.8.4 Contrainte verticale effective a' v . Effet d'accrochage 53
4.1 Introducti on 56
4.2 Lois de comportement et mécanique des milieux continus 56
4.3 Lois de comportements linéaires des matériaux 57
4.3.1 Modèle élastique linéaire isotrope (loi de Hooke) 57
4.3.2 Loi de comportent élastique parfaitement plastique 58
4.3.3 Loi de comportement de Mohr-Coulomb 61
4.3.3.1 Détermination des paramètres du critère de Mohr-Coulomb 61
4.4 Les Modules élastiques 62
4.4.1 Module de Young 62
4.4.2 Coefficient de Poisson 63
4.4.3 Le Module volumique 63
4.4.4 Le Module de cisaillement 64
FLAC 3 D 75
5.6. CONCLUSION : 82
CHAPITRE 6 : ESTIMATIONNUMERIQUE DE LA
CAPACITE PORTANTE D 'PIEU
6.1 Introducti on 83
Conclusion 114
Références bibliographiques
Annexes
LISTE DES FIGURES
Figure: 3.11Calcul du frottement négatif pour un pieu isolé dans un sol homogène
Figure: 4.2 Comparaison des critères de Mohr-coulomb et tresca dans l'espace des contraintes
Figure: 4.3 Comparaison des critères de Drucker-Prager et Von-Mises dans l'espace des
Figure: 4.5 Modélisation d'un essai triaxial de compression par la loi de Mohr-Coulomb 62
Figure: 4.8 S c h é m a de p r i n c i p e d u c i s a i l l e m e n t 65
Figure : 5.1 Cycle élémentaire du calcul explicite par différences finies, d'après Itasca 68
3D
3D
Figure : 5.2 Exemple d'un modèle FLAC 71
Figure : 5.4 Orientation des noeuds et des faces dans une zone de brique (Itasca manuel) 74
Tableau : 3.1 Influencede la densité du massif sur le coefficient de pression des terres 30
Tableau: 3.2 Valeurs du coefficient ^ p o u r quelques pieux 36
Tableau: 3.3 Valeurs de k p selon le fascicule 62 41
Tableau: 3.4 Choix de la courbe de frottement latéral 43
Tableau: 3.5 Valeurs de kc selon le fascicule 62 46
Tableau: 3.6 Catégories conventionnelles de sols 48
Tableau: 3.7 Valeurs du terme K tan 5 pour l'évaluation du frottement négatif 52
Tableau: 4.1 critère de plasticité usuel pour les sols 58
Tableau: 4.2 les relations entre modules élastiques 65
Tableau : 5.1 Historique de développement de FLAC 67
Principales notations
Lettres latines :
Lettres grècques
y : Le poids volumique du sable.
Un ingénieur sage a dit une fois "Une structure n'est pas plus forte que ses
connexions. " Bien que cette déclaration invoque généralement des images de connexions
entre les différents éléments de structure. Elle s'applique également à celles qui existent entre
une structure et le sol qui la supporte. Ces connexions sont connues comme ses fondements.
M ê m e les anciens bâtisseurs savaient que les structures les plus soigneusement conçus
peuvent échouer si elles ne sont pas soutenues par des fondations appropriées. La Tour de
Pise en Italie nous rappelle cette vérité. (« Échec » le plus connu du monde fondation)
Bien que les constructeurs aient reconnu l'importance des bases solides pour
car la pérennité de l'ouvrage dépend de leur qualité. Les fondations reprennent et transmettent
au sol toutes les charges - permanentes, accidentelles et charges d'exploitation. Il est donc
et ceux de calcul des fondations profondes est surprenante. Si les programmes de calcul de
fondations superficielles sont assez nombreux et vulgarisés, il n'en est pas de même pour les
programmes des fondations profondes. Ces derniers sont plutôt rares et peu accessibles dans
notre environnement, aussi bien aux étudiants qu'aux professionnels. Aussi, la pratique des
fondations et la plupart des fondations réalisées, même celles de certains grands ouvrages
telles que les ponts, sont superficielles parce que leur calcul est relativement simple et leur
réalisation est plutôt facile et assez bien maîtrisée; or, compte tenu des désordres liés au
tassement des sols ou à un remaniement parfois imprévisible du sol, il est préférable de
recourir à des fondations profondes pour un meilleur ancrage et une fiabilité accrue.
Cette étude sera principalement axée sur les fondations profondes circulaires et en béton
armé. Nous nous focaliserons surtout sur l'aspect géotechnique des fondations profondes dont
nous présenterons les différentes méthodes de calcul. Les différentes méthodes exposées
reposent sur la détermination de la pression limite de pointe pour laquelle on recourt aux
essais in situ (essai pénétrométrique, essai pressiométrique et formules dynamiques) et sur
l'évaluation du frottement latéral.
L'objectif le plus important de ce travail et de faire une modélisation numérique d'un pieu
isolé rigide en béton armé dans un sol sableux, chargé axialement par une charge statique.
Avec cette modélisation nous cherchons à comprendre le comportement du pieu et essayons
d'obtenir toutes les données possibles afin de recueillir plus de connaissance sur les pieux
Le code utilisé pour faire ce travail se nomme : « FLAC » développé par Itasca Consulting
Group.
PARTIE A : RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE 1 : Le SOL
1.1. INTRODUCTION
Le sol qui supporte les charges transmises par la fondation devrait être assez résistant pour
que le système fondation-sol soit en sécurité et stable durable utile sans tassements excessifs. Ainsi,
la stabilité et les aspects de tassements du sol doivent être analysés pour arriver à la pression de
conception qui peut être sans risque portée par le sol de sorte que le type de fondation, la forme, la
cisaillement ultime au-delà dont le sol s'effondre ou devient instable s'appelle la capacité portante.
Ceci atteindre la rupture de sol et donc fait des déformations dans la superstructure menant pour
s'effondrer. La fondation descend dans le sol comme si il n'y a aucune résistance du sol ci-dessous.
• dans le domaine des petites déformations : on considère que le comportement est linéaire et
on applique la théorie de l'élasticité linéaire.
• dans le domaine des grandes déformations : le comportement est irréversible, on considère que l'on
peut utiliser la théorie de la plasticité parfaite.
Considérons un massif de sol chargé et les contraintes qui résultent de ces charges en un point M du
massif. En augmentant les charges, on augmente les contraintes. Ces dernières ne peuvent augmenter
indéfiniment : en effet, les contraintes de cisaillement atteindront sur certaines faces dites surfaces de
glissement ou surface de rupture une limite au-delà de laquelle les particules de sol glisseront les unes
La rupture du sol se produit par glissement relatif des grains les uns par rapport aux autres et non par
matériau continue c'est-à-dire un milieu physique continue dont les transformations sont continués.
L'hypothèse est d'autant meilleure que les particules sont petites. Donc pour résoudre un problème
normale M n à la facette et suivant le plan de la facette en une contrainte normale a n et une contrainte
tangentielle (fig. a). On appelle le tenseur des contraintes en un point M l'ensemble des contraintes en
ce point ; obtenu en donnant à la facette toutes les orientations possibles (fig. 1.3)
ax xY TXZ
Il est noté : (X) {M, xyz} = ( Txy ay xyz
xzx xzy az (11)
1.3.2. EQUATIONS DE L'EQUILIBRE LOCAL
L'équilibre statique d'un parallélépipède élémentaire au sein d'un milieu continu, s'écrit
dox dxxy _ ^ _ q
(1.4)
dx dy
dTx
dx
y | y y=o
drj
dy
(15)
Généralement les forces de volume se réduisent aux forces de pesanteur. si l'axe Oy est pris vertical
ascendant, X=0 et Y= - y
limites (fig.1.4)
On écrit l'identité : ( £ ) . n = F
J a .Txy+p.ay+y. Ty z = Y (1.7)
On appelant X,Y et Z les composantes de la force extérieure F appliquée à l'unité de surface du corps
à la surface du solide
on utilise une représentation appelée diagramme d e Mohr qui consiste à représenter le plan du tenseur
principales (a-I, a 2 , 03) et les contraintes normales et cisaillant (a n , T) pour tous les plans dans l'espace
Lorsque la facette tourne autour de M, l'extrémité du vecteur contraint reste située dans le plan
de Mohr, à l'intérieur de deux triangles curvilignes délimités par trois cercles, ces diamètres sont
Lr
-Lieu des
^maxi T(M,n)
o
1
0 2
On = Ox . cos 2 0+ O y - X + a y + -x
- a y COS (-20) +TXy .cos (-20+-) (1.9)
T(M, n)
Donc
L'équation de cercle de Mohr est :
O! = ( (ax + a y ) / 2) ) 2 + V ( ( a x + a y ) / 2 ) ) 2 + r x y 2 (1.13)
O3 = ( ( ax + a y ) / 2 ) ) 2 - V ( ( a x + a y ) / 2 ) ) 2 + r x y 2 (1.14)
du matériau (cercles de Mohr de rupture). Lorsqu'un cercle est tangent à la courbe intrinsèque,
l'écoulement se produit par glissement suivant la direction de la facette qui correspond au point de
Pour les sols, sa détermination expérimentale de la courbe intrinsèque est relativement aisée.
Sols pulvérulents: les demi-droites passent par I' origine des axes.
Sols cohérents : les demi-droites ne passent pas par l'origine des axes donc il existe une résistance au
Pour les sols pulvérulents : | r' f | = <'. tan <p (fig.6-a) (117)
Pour les sols cohérents : | r' f | = c '+ <'. tan <p (fig.6-b) (118)
T = c + a tan 9 (119)
Les essais d'interface ont été réalisés sur plusieurs types d'interfaces : sol-structure, sol-roche,
roche-roche et sol-sol. On note qu'une partie importante de ces essais sont consacrés à l'interface
sol-béton les résultats de ces essais ont permis de divulguer les principaux aspects fondamentaux du
cisaillement direct à cause de sa simplicité, facilité d'exécution des expériences et de ses résultats
obtenus
horizontalement l'une par rapport l'autre, un piston permet d'exercer sur le sol un effort normal N et
sur l'autre demi-boite une vitesse constante pendant toute la durée de l'essai.
déplacements permet de déterminer le déplacement relatif des deux demi-boites un second capteur
On exerce sur le plan de séparation des deux demi-boites une contrainte dont les composantes
différentes
CHAPITRE2 : FONDATIONS
2.1 Définition
On appelle fondation la base des ouvrages qui se trouve en contact direct avec le
terrain d'assise et dont la fonction est de transmettre à ce dernier le poids de l'ouvrage, les
surcharges prévues et accidentelles auxquelles peut être soumis l'ouvrage. Une fondation est
donc destinée à transmettre au sol, dans les conditions les plus favorables, les charges
Lorsque le terrain résistant se trouve à une faible profondeur et qu'on peut facilement
y accéder (nappe phréatique absente ou rabattue à l'inferieur d'Un batardeau par exemple), la
fondation est établie directement sur le sol à proximité de la surface. On réalise alors, en
On appelle fondations superficielles toutes les fondations dont l'encastrement D dans le sol
n'excède pas une fois et demie la largeur B de la semelle (ou le plus petit côté B) (DTR-BE
1.31).
Pour un ouvrage, on pourra opter pour des fondations superficielles si les sols sont assez
choix se portera sur les fondations semi profondes ou profondes. Parmi les fondations
2.2.2.1 Introduction
Souvent, les couches superficielles d'un terrain sont compressibles, molles, peu
résistantes et l'amélioration de leur portance s'avère difficile voire impossible ou trop coûteuse
alors que les couches sous-jacentes sont résistantes à partir d'une certaine profondeur. Si la
fondation est exécutée directement sur ces couches de faible résistance, des tassements
incompatibles à la stabilité de l'ouvrage pourraient se produire. Il est donc naturel, et parfois
nécessaire, de fonder l'ouvrage sur ce substratum.
Les fondations profondes sont celles qui permettent de reporter depuis la surface les charges
ducs à l'ouvrage qu'elles supportent sur des couches situées jusqu'à une profondeur variant de
quelques mètres à plusieurs dizaines de mètres. Lorsque le sol en surface n'a pas une
résistance suffisante pour supporter ces charges par l'intermédiaire de fondations
superficielles (semelles ou radiers).
2.2.2.2 Définition
Une fondation profonde est caractérisée par la manière dont le sol est sollicité pour
résister aux charges appliquées.
• résistance en pointe
• par frottement latéral
• résistance en pointe et frottement latéral (cas courant)
Ses dimensions sont définies par :
Au-delà de D/B > 6, et D > 3 m. Nous sommes dans le domaine des fondations
Un pieu est une fondation élancée qui reporte les charges de la structure sur des couches de
terrain de caractéristiques mécaniques suffisantes pour éviter la rupture du sol et limiter les
déplacements à des valeurs très faibles. Le mot pieu désigne aussi bien les pieux, les puits et
les barrettes.
On désigne par pieu, une fondation profonde réalisée mécaniquement et par puits une
fondation profonde creusée à la main sous la protection d'un blindage. Une barrette est un
• La tête
• La pointe
tenir compte du fait que les caractéristiques mécaniques des sols au-dessus de la base du pieu.
La longueur d'ancrage h est la longueur de pénétration du pieu dans les couches de terrain
résistantes.
mécanique D .
Cette valeur de D tient compte du fait que les caractéristiques mécaniques de la couche
d'ancrage sont nettement supérieures à celles des sols de couverture traversés par le pieu.
2.2.2.3 Historiques:
Dans l'époque médiévale, des pieux de chêne et l'aulne one été utilisés dans les
fondations des grands monastères dans le fenlands. D'East anglia. En chine, l'empilage de
bois a été utilisé par les bâtisseurs de ponts de la dynastie des han (200avant JC à l'an 200)
La capacité de charge des pieux de bois est limitée par la circonférence du bois et de la
capacité du matériau à résister à conduire par le marteau, sans avoir à subir des dommages en
raison de scission ou de fragmentation .ainsi primitive règles doivent avoir été établies dès les
premiers jours de l'empilage par laquelle la charge admissible sur un tas a été déterminée à
partir de sa résistance à la conduite par un marteau de connaître le poids et connu avec une
hauteur de chute.
De connaissances a été accumulée en ce qui concerne également la durabilité des pieux de
différentes espèces de bois, et les mesures prises pour prévenir la dégradation par la
carbonisation du bois ou en maçonnerie de construction des radeaux sur pilotis têtes coupées
au-dessous du niveau de l'eau
• L'acier : a été utilisé dans une mesure croissante, pour l'empilage en raison de sa
facilité de fabrication et de manutention et de sa capacité à résister à difficile de conditions.
Les Problèmes de corrosion des structures maritimes ont été surmontés par l'introduction de
revêtement durable (protection cathodique).
La technique des micropieux a été développée en 1952 par l'entreprise Fondedile sous la
direction technique de F. Lizzi (1982a). Ces premiers pieux de petits diamètres (B = 100 mm)
étaient forés et scellés au terrain par un mortier (fig2.3). Ils ont été initialement utilisés en
Italie pour les travaux de reprise en sous-oeuvre de bâtiments anciens et étaient connus sous
l'appellation de 'pieux racines' (ou "pali radice").
L'essor de cette technique dans les années 50 en Italie résulte du besoin de la restauration des
bâtiments historiques endommagés par la deuxième guerre mondiale. Les micropieux
présentent ainsi une solution technique simple et avantageuse pour les travaux de reprise en
sous-œuvre :
La légèreté et le faible encombrement des matériels utilisés s'adaptent bien aux conditions
d'intervention. En outre, leur mise en place n'entraîne que de faibles et minimales
perturbations à l'équilibre de la structure, du sol et de l'environnement.
Le développement de ce système de fondations profondes découle de la diversité de ses
applications et de ses multiples avantages. En effet, à la fin des années 50, la pratique des
micropieux s'étend à la stabilisation des pentes, aux renforcements des sols et à la protection
des ouvrages souterrains. Les micropieux y sont utilisés en réseaux enchevêtrés ("réseaux de
pali radice"). Au niveau technique, on observe l'apparition des micropieux injectés sous forte
pression qui ont permis d'obtenir des portances plus élevées (Lizzi, 1982b).
L'entreprise Fondedile introduit la technique du pieu racine en Grande Bretagne en 1962 pour
la restauration des bâtiments anciens. En 1965, des micropieux similaires aux 'pieux racines'
sont utilisés en Allemagne pour la réalisation des ouvrages souterrains en milieu urbain. Les
pieux racines sont également utilisés lors de l'exécution des travaux du métro de Milan en
Italie.
Les entrepreneurs européens commencent à développer leurs propres techniques au début des
années 60. Leurs filiales mondiales participent, par la suite, à l'exportation de la technique
vers les autres continents.
En France, la pratique des systèmes de fondations par micropieux concerne plusieurs
domaines d'application. Si l'usage de cette technique est moins répandu en France qu'en Italie,
les recherches menées en France, quant à elles, ont donné un élan à la maîtrise de cette
technique sur une échelle internationale. Dès le début des années soixante, le développement
de la mise en place des micropieux s'inspire de la méthode d'injection sélective du coulis des
tirants d'ancrages. Cette nouvelle méthode d'injection de coulis acquiert aux micropieux une
portance plus importante et une meilleure adaptation aux contraintes du sol.
Ce n'est qu'en 1973 que l'entreprise Fondedile introduit, en Amérique du Nord, le pieu racine
pour l'exécution de travaux de reprise en sous-oeuvre dans les villes de Boston et New York.
Le premier réseau de 'pieux racines' est réalisé aux Etats-Unis en 1975 pour la stabilisation de
la fondation d'une pile d'un pont sur l'autoroute 55 au Missouri. L'expansion de l'application
de cette technique aux Etats-Unis débute vers le milieu des années 80.
2.2.2.4 Principes de fonctionnement
2.2.2.4.1 Cas d'un pieu isolé
• par l'appui de sa base sur le sol résistant (effort de pointe noté Qp)
• par le frottement latéral entre le sol et le pieu (effort de frottement latéral noté Qs)
Le frottement latéral du pieu n'est mobilisable que s'il y a déplacement relatif entre le pieu et
le sol.
Si le pieu a tendance à s'enfoncer dans un sol stable, le frottement sol-pieu génère un effort
vertical ascendant (frottement positif).
Si au contraire, le pieu étant immobile, le sol à tendance à tasser, le frottement sol-pieu est
négatif. Cela a pour conséquence de surcharger le pieu
D'une part, lorsque les pieux sont suffisamment rapprochés, il ne suffit pas de
vérifier la résistance d'un pieu isolé. En effet, il arrive que la charge limite d'un groupe de
pieux Qgu soit inférieure à la somme des charges limites de chaque pieu isolé Qui.
Le coefficient d'efficacité du groupe de pieu se définit comme suit :
Ce=Q±- (2.1)
e v 7
ZQm
D'autre part la diffusion des contraintes en profondeur sous un groupe de pieux est différente
de celle sous un pieu isolé. Il se produit un effet radier.
Cela a pour conséquence de transmettre les contraintes en profondeur bien au-delà de celles
générées par un pieu isolé.
Q Q Q Q Q QQ
1 li li il 1 1
Couche compressible
Groupement de pieux
Pieu isolé
La zone compressible n 'estpas La zone compressible est influencée par
Pour l'évaluation de la force portante, notamment, il est plus important de considérer le type
de sollicitation imposée au sol par la mise en place du pieu. C'est ainsi que l'on distingue :
Les principaux types de pieux actuels entrant dans ce groupe sont les suivants.
Ces pieux, préfabriqués en béton armé ou précontraint, sont fichés dans le sol par battage ou
vibrofonçage.
Ces pieux, entièrement métalliques, constitués d'acier E 24-2 ou similaire avec addition
éventuelle de cuivre (0,2 à 0,5 %), sont fichés dans le sol par battage. Leurs sections sont
(figure 2.6) :
• en forme de H ;
• en forme d'anneau (tube) ;
• de formes quelconques, obtenues par soudage de palplanches par exemple (pal pieux).
Figure : 2.6 Profilés métalliques battus
La pointe du pieu comporte un sabot débordant qui assure un enrobage du métal du fût du
pieu de 4 cm au minimum. Au fur et à mesure du battage, un mortier est envoyé par un ou
plusieurs tubes débouchant au voisinage du sabot afin de constituer l'enrobage en remplissant
le vide annulaire laissé par le débord de celui-ci.
raison des éboulements importants qu'il risquerait de provoquer, consiste à faire pénétrer dans
le sol, par rotation et fonçage, un outil en forme de double vis surmonté d'une colonne
cannelée. Cet outil est percé dans l'axe de la colonne cannelée et muni d'un bouchon. Au
sommet de la colonne est disposé un récipient rempli de béton. L'extraction de l'outil est
obtenue en tournant dans le sens inverse de celui de la pénétration. Le béton prend en continu,
Mis en œuvre à partir d'un forage exécuté dans le sol par des moyens mécaniques tels que
tarière, benne, etc. Ce procédé, qui n'utilise pas le soutènement de parois, ne s'applique que
dans les sols suffisamment cohérents et situés au-dessus des nappes phréatiques.
tarière, benne, etc., sous protection d'une boue de forage. Le forage est rempli de béton de
grande ouvrabilité sous la boue, en utilisant une colonne de bétonnage (figure 2.8).
• Type I : c'est un pieu foré tubé, de diamètre inférieur à 250 mm. Le forage est équipé
ou non d'armatures et rempli d'un mortier de ciment au moyen d'un tube plongeur.
Le tubage est récupéré en l'obturant en tête et en le mettant sous pression au-dessus
du mortier. Ces micropieux ne sont pas utilisés pour les ouvrages de génie civil ;
• Type II : c'est un pieu foré, de diamètre inférieur à 250 mm. Le forage est équipé
d'une armature et rempli d'un coulis ou de mortier de scellement par gravité ou sous
une très faible pression au moyen d'un tube plongeur. Lorsque la nature du sol le
permet, le forage peut être remplacé par le lançage, le battage ou le fonçage ;
• Type III : c'est un pieu foré, de diamètre inférieur à 250 mm. Le forage est équipé
d'armatures et d'un système d'injection qui est un tube à manchettes mis en place
dans un coulis de gaine. Si l'armature est un tube métallique, ce tube peut être équipé
de manchettes et tenir lieu de système d'injection. L'injection est faite en tête à une
pression supérieure ou égale à 1 MPa. Elle est globale et unitaire. Lorsque la nature
du sol le permet, le forage peut être remplacé par le lançage, le battage ou le fonçage ;
• Type IV : c'est un pieu foré de diamètre inférieur à 250 mm. Le forage est équipé
d'armatures et d'un système d'injection qui est un tube à manchettes mis en place
dans un coulis de gaine. Si l'armature est un tube métallique, ce tube peut être équipé
de manchettes et tenir lieu de système d'injection. On procède à l'injection à
l'obturateur simple ou double d'un coulis ou mortier de scellement à une pression
d'injection supérieure ou égale à 1 MPa. L'injection est répétitive et sélective.
Lorsque la nature du sol le permet, le forage peut être remplacé par le lançage, le
battage ou le fonçage
Ce type de pieu, par opposition aux micropieux de type III et IV, regroupe les pieux de forts
diamètres, supérieurs à 250 mm. Le forage est équipé d'armatures et d'un système d'injection
constitué par un ou plusieurs tubes à manchettes. Lorsque l'armature est un tube métallique,
ce tube peut faire office de tube à manchettes. Dans certains cas, le tube métallique peut être
équipé d'une succession de clapets spéciaux indépendants ou de rampes spéciales qui
permettent l'injection. L'armature peut être également constituée par des profilés (H ou
caissons de palplanches). Le scellement au terrain est effectué par injection sélective sous
haute pression d'un coulis ou d'un mortier à partir d'un obturateur simple ou double.
Remarque:
Les sols sont, dans la pratique, très hétérogènes. Aussi, le calcul des fondations sur pieux
implique-t-il obligatoirement des simplifications radicales. Les finesses théoriques telles que
celles qui concernent le calcul de la résistance à la rupture des groupes de pieux au moyen de
la théorie de l'élasticité sont illusoires et peuvent être négligées.
PARTIE A : RECHERCHE BIBLIOGRAPHIQUE
, Qs 1 . Q
P .
Figure : 3.1
Figure : 3.2
Capacité portante d'un pieu en compression
Mobilisation des charges d'un pieu
coefficient de poussée des terres K et donc des contraintes normales à l'interface. Le tableau
suivant résume la valeur de K en fonction de la densité. À noter que parfois certains auteurs
donnent l'effet combiné entre la densité du sable, le mode d'installation et la rugosité du pieu.
Tableau : 3.1 Influence de la densité du massif sur le coefficient de pression des terres
3.2.2 État de surface des inclusions
L'état de rugosité du pieu a un effet non négligeable sur le comportement en frottement. Une
surface du pieu plus rugueuse (striée) conduit à en une courbe de cisaillement avec pic,
supérieure à la courbe correspondante avec une surface lisse (Schlosser et Guilloux 1981)
(Fig : 3.3).
1 M XH
2
Q= xg (3.1)
Q
v
= - X n X aq y
(3.2)
F (e+|)x(MxP) '
D t t
Qf t t
t t
/
t
Figure: 3.4 Comportement général d'un pieu isolé soumis à une charge verticale
formules de Terzaghi pour le calcul de la capacité portante des fondations superficielles. Ainsi
pour une semelle circulaire de rayon r, ancrée à une profondeur D. l'expression de la capacité
En général on néglige le terme y x r x N y.On détermine alors des coefficients plus élevés
Profondeur critique
en principe, avec :
— le type de sol ;
Fig: 3.5 Variation de la charge Qp en fonction de la profondeur D
— la résistance du sol ;
— le diamètre du pieu.
q = ax Nq
p v m a x + 1. 3 xC x N c m a x (3.5)
Cette formule n'est valable que lorsque l'on a atteint l'ancrage critique D c , c'est-à-dire D > D ,
c
Dans le cas contraire D < D c ,on utilisera la formule pour lesfondations superficielles
(formule 3.3).
Lorsque l'ancrage du pieu dans la couche porteuse est supérieur à D c , la formule donnant la
q = axN qmax+ûxCxN
p Cmax (3.6)
Avec :
X : coefficient de forme.
B
À = 1 + 0.3 -
Li
L: plus grande dimension de la section transversale.
Dans les sols purement cohérents, la formule précédente de q p (formule 3.6) est remplacée
Qp=Axqp (3.8)
Lorsque la résistance limite devient constante en milieu homogène.
Dans un sol multicouche, l'ancrage critique est plus faible et dépend de la contrainte
verticale <r v exercée par les couches supérieures. Les résultats expérimentaux ont conduit à
> Dans une monocouche (sol homogène), l'ancrage critique est donné par
l'expression
couches supérieures à la couche d'ancrage sont tels que la contrainte verticale effective a au
v
Pour 9 = 0 : Nq = 1 , Nc= 7
Pour 9T ^ 0 : N q4 = e t a n 0 , Nc =
tan <p^
_B 2
- — X Nq max3
pouvant être mobilisée au contact du pieu et du sol pendant leur déplacement relatif .il est pris
en compte seulement sur la hauteur D-D c . Il est assez difficile à évaluer et on s'intéressera aux
qf = K x a x tanç + c
v (3.9)
: étant le frottement latéral unitaire
Pour les sols purement cohérents. Le frottement latéral unitaire est donné par la formule
q =/lxc
f u (3.10)
Les valeurs du coefficient ( sont données dans le tableau 3.2. Toutefois, les valeurs de
q f obtenues avec la formule 3.10doivent être bornées supérieurement à une valeur plafond
Rfmax
qf= min
{( x c u ; qf max} ( 3 1 1 )
Pour les sols non cohérents (pulvérulents ou grenus), le frottement latéral unitaire est estimé
par:
qf _ K x a x tanp v (3.12)
interne de sol.
1 + s i n q>
K = pour les pieux battu
l - s i n cp
Pour les sols cohérents le sol doit être assimilé, soit à un sol purementcohérent de
manière à être ramené à l'un des deux cas précédents.
Remarque:
• A titre indicatif, on adopte pour le frottement unitaire des sols non cohérents
(pulvérulents), les valeurs suivantes:
> limon, sable lâche ou craie molle: qf _ 35 kPa.
K x a x tan (p
v a en prenant pour le facteur K x tan (p les
a valeurs suivantes:
• Lorsque le frottement latéral le long du pieu est positif on dit que le pieu lasse plus
que le sol et c'est le cas le plus courant, le frottement latéral est dirigé vers le haut et
participe à la résistance du pieu et on a :
• Par contre, lorsque le frottement latéral est négatif on dit le sol tasse plus que le pieu et
surcharge ce dernier plutôt que de le soutenir, le frottement latéral est dirigé vers le
bas et la force portante s'en trouve réduite:
Qi = Q -Qf
P (3.14)
dilatation cylindrique qui, en dépit d'une théorie semi-empirique, est de nos jours l'essai
chargement de sol en place, réalisé à l'aide d ' u n e sonde cylindrique dilatable, laquelle est
disposée au sein du terrain, dans un forage préalable. Cette sonde, constituée de trois cellules,
est gonflée par de l'eau et de l'air comprimé, exerçant ainsi sur la paroi du forage des pressions
augmentation de volume de la sonde qui est alors lue, pour chacune des pressions, en fonction
volume d'eau dans la sonde). Le pressiomètre est constitué de trois éléments principaux :
centrale deux petites cellules de garde. Lors de l'essai, l'opérateur met sous pression
ces deux dernières grâce à un gaz comprimé, tandis que la cellule de mesure est
remplie par le liquide du C.P.V.
• Une tubulure de liaison
Les trois grandeurs déduites de l'essai pressiométrique, sont :
^ La pression de fluage PF :
La pression de fluage définit la limite entre le comportement pseudo-élastique et l'état
plastique du sol.
^ La pression limite PL :
Cette pression correspond à la rupture du sol en place (directement liée à la portance
maximale de celui-ci). Elle se traduit lors de l'essai pressiométrique par, sous une faible
augmentation de la pression appliquée, une forte augmentation du volume injecté, c'est-à-dire
de grandes déformations.
> Le module de déformation pressiométrique E :
A un coefficient près, ce module est égal à l'inverse de la pente de la partie linéaire de la
courbe pressiométrique nette. Cette partie linéaire représente en fait une réaction pseudo
élastique du sol sous la sollicitation pressiométrique. Le module E est directement lié à la
compressibilité du sol ; c'est pourquoi il est utilisé dans les calculs de tassements de sols.
Le pressiomètre est un appareil délicat à manier, qui donne une loi rhéologique complète (E,
Pf et Pl). Toutefois, le pressiomètre ne permet pas de donner de solutions pour des problèmes
Cet essai ne fournit qu'une reconnaissance ponctuelle (tous les mètres au mieux) au droit du
Les annexes (3.4), (3.5) représentent les documents de réponse pour les essais de
Pressiomètre Ménard
UNITÉ DE CONTRÔLE o o
TUBUL'
COAXI,
1
SURFACE
RÉSERVOIR
DE GAZ
q = K (Pi - P ) + q
P p e 0 0 (3.15)
Dans laquelle P et q 0 sont respectivement les pressions horizontale et verticale totales des
0
terres au niveau considéré .Ces termes sont souvent négligés, ce qui nous donne:
qp = KpxPie (3.16)
p i e = i ; k £ 7 i ( S )^
p e-")
Avec :a= max { - ; 0.50 m}
b :min {a, h}
D = Pie^ S y m d z = ±Y.i
e PliXhi (3.19)
Avec :
> P (Z):
l Pression limite obtenue à la profondeur Z par interpolation linéaire entre
les P l mesurées Immédiatement de part et d'autre de cette profondeur ;
> hi: épaisseur de la couche rencontrée;
> D : hauteur d'encastrement réelle du pieu.
Remarque:
Les valeurs de K P données dans le tableau 3.4ne sont valables que pour de vraies fondations,
D'après la formule 3.15, un ancrage tel que a = — ou 0.5 mest toléré. Ceci est acceptable
lorsque le pieu est fiché dans une couche très résistante (rocher peu altéré par exemple). Dans
les sols meubles, il est vivement conseillé d'adopter un ancrage minimal de 3B avec un
latéral unitaire qf. La méthode générale consiste à choisir, en fonction de la nature du sol et du
Les lois q f =f(P\) sont données par les courbes Q1 à Q7de la figure 3.6 et le choix de la courbe
à considérer est donné par le tableau 3.5. Les expressions mathématiques de ces courbes sont
Figure: 3.7 Courbes de Frottement latéral unitaire limite le long du fût du pieu
N a t u r e du sol
A B c A B c A B c A B
Injecté basse
pression QI c2 Q3 Q2 Q3 Q4 QB
Injecté haute
pression 161 Q4 Q
s
Q 5 QE Q 5 Q 6 QE Q7GI
(1) Réalésage et rainurage en fin de forage.
(2) Pieux de grande longueur (supérieure à 30 mi.
(3) Forage à sec, tube non louvoyé.
(4) Dans le cas des craies, le frottement latéral peut être très faible pour certains types de pieux. Il convient d'effectuer une étude spécifique dans chaque cas.
(5) Sans tubage ni virole foncés perdus (parois rugueuses).
(6) Injection sélective et répétitive à faible débit.
(7) Injection sélective et répétitive à faible débit et traitement préalable des massifs fissurés ou fracturés avec obturation des cavités.
géotechniques in situ, son principe demeurant très simple, à l'instar du clou que l'on enfonce
pénétrer dans le sol par battage un train de tiges lisses, muni à son extrémité d'une pointe de
section connue. Le battage est assuré par une masse, appelée mouton, tombant d'une hauteur
bien déterminée.
Pour une énergie de battage constante, fonction des caractéristiques de l'appareillage utilisé,
on compte le nombre N de coups de mouton correspondant à un enfoncement donné du train
de tiges dans le terrain. Ce nombre purement empirique peut par la suite être transformé en
une résistance dynamique en fonction du type du pénétromètre utilisé.
Ainsi, l'essai de pénétration dynamique permet d'obtenir des renseignements relatifs :
L'essai de pénétration dynamique est un outil économique, facile à mettre en œuvre, ce qui
permet la reconnaissance des sols sur un assez grand nombre de points, et ce en un minimum
de temps.
Les résultats des essais de pénétration dynamique sont fournis sous forme d'un diagramme en
coordonnées normales où est reportée, en fonction de la profondeur (pas de 10 cm en général),
la valeur de la résistance dynamique en bars, déduite de l'application de la formule de battage
choisie par l'entreprise
Ce diagramme présente donc un profil de la résistance du terrain jusqu'à la profondeur de fin
de l'essai.
Dans la mesure où les résultats obtenus ne mettent en jeu que la résistance de pointe, le
pénétromètre dynamique permet une estimation en continu de la résistance du terrain.
Il est en outre impératif de noter que le pénétromètre dynamique ne doit jamais être utilisé
seul. En effet, cet essai présente un caractère empirique.
Le pénétromètre dynamique n'est pas adapté à l'étude des sols très lâches et des sols
cohérents : dans les niveaux argileux très plastiques, le frottement assez important du terrain
contre les tiges peut fausser l'interprétation de l'essai.
L'essai de pénétration dynamique donne essentiellement des indications qualitatives sur les
caractéristiques du sol
Les annexes, (3.6), (3.7) représentent les documents de réponse pour les essais de pénétration
dynamique
3.6.2 Généralités
Il existe une similitude de sollicitation du sol entre un essai au pénétromètre statique et
un pieu soumis à une charge verticale centrée et cela laisse supposer que cet essai permet
d'obtenir une bonne appréciation de la force portante des pieux. Cet essai, qui se fait par
enfoncement des tiges dans le sol se fait à vitesse constante et lente au moyen de vérins, est
limité aux pieux fichés Jans des terrains meubles.
Selon le fascicule 62, la hauteur d'encastrement équivalente est donnée par la formule :
D
e = i H~ceC C l c (z) dz(3.21)
q p = KX c q e(3.22)
c
sol et du mode de mise en œuvre du pieu (foré ou battu) et traduit la proportionnalité entre la
résistance de pointe du pieu et celle du pénétromètre. Ses valeurs, données par le fascicule 62
a : max { - , 0.50m}
• Calcul de la contrainte moyenne qc m , sur la hauteur b à +3a par rapport àla base du
pieu.
Pressiomètre Pénétromètre
Classe de sol
fp (MPa) <j c (MPa)
• Les valeurs de k c données dans le tableau 3.6 ne sont valables que pour de vraies
fondations profondes, c'est-à-dire pour une hauteur d'encastrement équivalente telle
que — > 5
• D'après la formule 3.20, un ancrage tel que a = - ou 0.50 m est toléré. Dans les sols
meubles, il est vivement conseillé d'adopter un ancrage minimal de 3B avec un
minimum de 1.50 m dans la couche porteuse.
q f = ^(3.24)
Les valeurs du coefficient/? ont été données dans le tableau 3.2 plus haut.
q = m in [ j , q m ax}(3.25)
f f
suivantes pour estimer, dans les cas courants, le tassement sous la charge de référence 0,7 Q p
• pour les pieux forés :S r e f = 0,006 B (avec des valeurs extrêmes de 0,003 et 0,010
B) ;
• pour les pieux battus :S r f = 0,009 B (avec des valeurs extrêmes de 0,008 et 0,012
e
B) ;
Lorsque les pieux comportent une partie libre importante (pieux colonnes, double chemisage),
il y a lieu de corriger ces valeurs en ajoutant le raccourcissement propre des pieux sur leur
hauteur libre.
Le tassement en tête d'un pieu isolé peut être calculé de manière plus précise si l'on connaît
chaque section de celui-ci, ainsi que la loi de mobilisation de l'effort de pointe q en fonction
frottement latéral limite q s et de la résistance limite en pointe qP, calculées dans les conditions
K = 2 E m / B K p = 1 1 Em / B (3.26)
t
Pour les pieux forés dans des sols granulaires, les valeurs suivantes sont proposées par le
Kt = 0 . 8 E m / B Kt = 4 . 8 EM/B (3.27)
En l'état actuel de nos connaissances, cette méthode semble fournir des résultats satisfaisants
pour des charges dont la valeur n'excède pas celle de la charge de référence 0,7 Q P
Pour les pieux battus dans les sols fins ou des sols granulaires, on pourra, pour le moment,
retenir les mêmes règles.
sol-pieu (voir figure 3.9). Il se développe donc un frottement latéral dirigé vers le bas qui
provoque un effort de compression dans le pieu.
3.8.2 Principe de l'évaluation du frottement négatif maximal
On calcule la valeur maximale, à long terme, par la méthode suivante (Figure 3.9).
1 * R
1, H
i 1 N
1 \fn
z
r D 1 -
a
'h
s.
1
2fl
T \
s2
t
CL
N niveau de la nappe et terrain naturel S-| sol compressible
R remblai S2 substratum
Q p = Û + G sf
À un niveau donné z , la valeur du frottement négatif unitaire limite est donnée par :
f =o
n H tan ô = av tan ô
Avec :
G K tan 5 d
sf = P f _ h °v z(3.28)
Avec :
Type de pieu
On pourra adopter les valeurs de K tan S données au tableau 3.8, dépendant de la nature du
Un moyen utilisé pour réduire le frottement négatif consiste à enduire les pieux de bitume, du
moins dans les sols fins. Dans ce cas, le produit K tan S est pris égal à 0,05 au maximum.
effet, le frottement négatif n'apparaît que si le tassement du sol autour du pieu est supérieur au
tassement propre du pieu. En pratique, on retiendra pour h l'une ou l'autre des deux valeurs
surcharge et en l'absence du pieu. Cette condition n'est possible que si l ' o n prend en compte
Ce tassement peut être calculé par les méthodes œnométriques habituelles (calcul à effectuer
1 d a\(z) 1 da^(z)
= +e <<0) -
m dz m dz (3.30)
avec m
,2
K tan <5 où A, coefficient d'accrochage.
1+A R (3.31)
prend les valeurs suivantes,
si K tan <5« 0,15,
1 (3.32)
A=
0,5 + 25 K tan <5
(3.33)
A = 0,385 - K tan S si 0,15 K tan 5 « 0,385 ,
A= 0 si K tan 33= 0,385 , (3.34)
O.I7:
àai(z)
, Il , -- 7 —-j—- -,(7! (3.35)
(Jy(Z) = 0
(pas de frottement négatif).
oy'(z) - - [ / +
m dz
]+ e [ov'(0)+
-mz
m v dz
)] (3.36) (3.36)
Le frottement négative total, dans la couche compressible, j u s q u ' à la cote z est donné par :
On obtient alors :
• Si h (calculé) < D
Gsf = 27TR£TAN£ ^ ' D + A ' (D) _ A ' (Q) + A a v ' (Q) _ A a v ' ( D ) ] (3.39)
• Si hi (calculé) < D
„ 2nRKtan 5 . ,
(3 40)
G
sf = — - — qo
(Proportionnalité entre G s f et q 0 )
• S i h1 (calculé) > D
Dans un but de simplification, on peut parfois se contenter d'estimer une borne supérieure du
frottement négatif en supposant que l'accrochage est maximal, soit X = 0 (ou m = 0)
conduisant à :
L'application de cette relation au cas courant de la figure 3.9 conduit à la force totale de
frottement négatif limite :
(3.43)
Ce type d'expression, fréquemment employé, donne donc une borne supérieure du frottement
négatif limite, l'accrochage étant maximal (X = 0) et la prise en compte du frottement négatif
se faisant dans toute la couche du sol compressible
h = D ce qui peut être justifié dans le cas d'une surcharge q 0 sur un sol suffisamment
compressible.
PARTIE B : ETUDE NUMERIQUE
GijJ + f - P i=
ti 0
(41)
Sy = 1 / 2 ( U i j .Uj i ) (4.2)
matériau. La virgule dans les indices permet de distinguer la dérivation par rapport à une
composante des coordonnées: par exemple, ui,j représente la dérivation de la composante ui
du déplacement par rapport à la composante j des coordonnées (x i ) . La notation u i
symbolise la dérivation seconde de la composante u i du déplacement par rapport au temps.
La résolution du problème nécessite donc six équations complémentaires ; ces équations sont
fournies par la loi de comportement, qui relie le tenseur des contraintes au tenseur des
déformations. Les six équations de comportement peuvent prendre des formes très diverses,
mais le schéma élastoviscoplastique permet une description relativement satisfaisante du
comportement des massifs de sol sous des sollicitations monotones.
déformations Sj dans un solide. La plus simple est celle qui relie linéairement les
déformations aux contraintes, c'est l'élasticité linéaire donnée par la loi de Hooke.
L'élasticité linéaire et isotrope dans un solide est caractérisée entre autre par la linéarité et la
(1+v)
l-^Tl/j Vv
Sj = - — E
Oij - - Okk Oij (4.3)
(1+v) _ E .v
_
°ij = S i j - Skk Oij (4.4)
(1+1?) ( 1 - 2 v )
Ou :
E : module de Young,
E
G = — et I = G. Y (4.5)
2 ( 1 + 17) '
G : module de cisaillement
Y : Déformation angulaire
L'hypothèse la plus élémentaire pour définir le comportement élastique du sol est donc de
considérer que le matériau est isotrope et homogène et ainsi approcher son comportement à
l'aide de la loi de Hooke généralisée, ce qui permet de caractériser le comportement du sol
avec un minimum de paramètres. Le modèle à un paramètre représentant le solide élastique
est le ressort.
Modèle analogique
Le cas de l'élasticité linéaire correspond à la situation dans laquelle il existe une relation
linéaire entre le tenseur des contraintes et le tenseur des déformations élastiques. Ce n'est
généralement pas le cas des sols qui, même pour de faibles déformations, ont un
comportement élastique non linéaire.
2 2 2
I2= axx ayy + axx azz + ayy azz - axy - axz - ayz (4.7)
I a
3 xx ayy azz - a
xx azy - a
yy axz - a
zz axy -
2axy a
yz a
xz ( 4
' 8 )
9 9 9 9 9
J 2 = [(axx - ayy) + ( a x x - a z z ) + (ayy -azz ) ] / 6 + ( axy ) + ( a x z ) + ( a y z ) (4.9)
Des analogies peuvent être établies entre les critères de Mohr- Coulomb et de Drucker-Prager,
qui permettent de relier les paramètres a , P et k au paramètre^
2 s i n (Û
a = -;=; :—r (4.10)
V3 ( 3 - s i n p )
6 c cos (p
k = -F=; :—: (4.11)
V3 ( 3 - s i n p )
0 £p C S3 Model analogique
A
La déformation totale est définie comme la somme d'une déformation réversible (élastique) et
d'une déformation irréversible (plastique)
de = ds e +ds p (4.12)
4.3.3. Loi de comportement de Mohr-Coulomb
Cette loi élastique parfaitement plastique est utilisée pour décrire de manière
approchée le comportement des sols pulvérulents (sables) et des sols cohérents à court et à
long terme
(argiles et limons). Dans l'espace des contraintes principales (a1 a3 ) ,la surface de rupture
L a loi est appelée loi de Tresca et est utilisée pour l'étude des sols cohérents à court terme ; la
G ( a i j ) = |a1 - a 3 | - ( a 1 + a 3 ) s i n y (4.14)
appareil triaxial). La figure 4.5 représente la modélisation d'un essai triaxial de compression
par la loi de Mohr- Coulomb. La valeur des paramètres se déduit d'une identification entre
cette représentation et les tangentes et asymptotes aux résultats d'essais reportées sur les
mêmes diagrammes. Cette figure montre également qu'il y a cinq inconnues pour quatre
équations et qu'il faut donc au moins deux essais triaxiaux pour déterminer tous les
Mohr (a, x) à partir des états de contraintes à la rupture, estimés pour chaque essai triaxial.
Figure : 4.5 Modélisation d'un essai triaxial de compression
isotrope.
Le physicien britannique Thomas Young (1773-1829) avait remarqué que le rapport entre la
contrainte de traction appliquée à un matériau et la déformation qui en résulte (un
allongement relatif) est constant, tant que cette déformation reste petite et que la limite
d'élasticité du matériau n'est pas atteinte. La loi d'élasticité est la loi de Hooke :
a = E. s (4.15)
Où :
• G : la contrainte
• E : le module de Young
Le coefficient de Poisson fait partie des constantes élastiques. (Siméon Denis Poisson) Il est
compris entre -1 et 0,5. Les valeurs expérimentales obtenues dans le cas d'un matériau
parfaitement isotrope sont très proches de la valeur théorique (1/4). Pour un matériau
quelconque, on obtient en moyenne 0,3. Il existe également des matériaux à coefficient de
Poisson négatif : on parle alors parfois de matériaux aux étiques.
C'est la constante qui relie la contrainte au taux de déformation d'un matériau isotrope soumis
à une compression isostatique. Il permet d'exprimer la relation
S= K e (4.17)
Où :
• K le module volumique.
i
• S= On est la contrainte isostatique
AP = -K . AV/V o (4.18)
hydrostatique
est le cisaillement pur. Elle se traduit par une déformation angulaire dont l'angle y est
i = G •y (4.19)
Figure : 4.8 Schéma de principe du cisaillement
( K . G) K 9GK G 3K - 2G
3K +G 2(3 K + G)
(E. U)
E E Ev U
3(1 - 2v) (1 + v ) ( l - 2v)
(G. U)
2G (1 + v) 2G(1 + v ) G U
3(1 - 2v)
(K. U)
K 3K(1 - 2v) - 2v) U
2(1 + v )
comportement des structures en sols, en roches ou autres matériaux qui se plastifient quand
leur surface de charge est atteinte. Les matériaux sont représentés par des éléments ou des
zones qui forment le maillage ajusté par l'utilisateur pour avoir la forme de l'objet à modéliser.
Chaque élément se comporte selon sa description par une loi contrainte/déformation linéaire
ou non linéaire aux chargements appliqués ou aux conditions aux limites imposées. Le
matériau peut se plastifier et s'écouler, et le maillage peut se déformer (en mode grande
Une des spécificités de FLAC (et de tous les logiciels ITASCA) est le macro-langage FISH,
Starfield et Cundall, fondateurs du Code FLAC, ont insisté que la méthodologie des
structure. Ils ont signalé qu'il est impossible d'obtenir des données complètes sur les sols ou
les roches du site; par exemple : l'état des contraintes initiales, les propriétés et les
discontinuités ne peuvent être que partiellement bien connues. Cette situation est incompatible
avec la conception suivie dans les logiciels populaires utilisés pour la conception (boite noire
qui accepte uniquement d'un côté l'introduction des données et de l'autre côté donne les
Au contraire, les logiciels en géo mécanique doivent être conçus et utilisés pour découvrir les
du système est défini, il est approprié d'utiliser des calculs simples de la conception du
processus.
D'une autre manière, les logiciels en géo mécanique ne doivent pas être utilisés uniquement
dans la conception, mais aussi comme un outil d'expérimentation numérique qui aide et donne
Avant de discuté les particularités du code FLAC2D et FLAC3D il est nécessaire de donné un
aperçu rapide sur la méthode de différences finies adopté dans FLAC (2D et 3D).
DATE VERSION MAJOR ADDITIONS
Février 1986 Ver. 1.0 First commercial release ofthe PC version.
Mars 1987 Ver. 2.0 Interface logic added.
Novembre 1988 Ver. 2.1 Thermal and creep options made available.
juin 1989 Ver. 2.2 Goundwater flow added.
Septembre 1991 Ver. 3.0 FISH added. Dynamic option made available.
Comme le soulignent Billaux et Cundall (1993), la méthode des différences finies est
l'une des plus anciennes méthodes de résolution numérique d'un système d'équations
différentielles. Pour des conditions initiales et des conditions aux limites données, la solution
est unique.
La plupart des méthodes utilisant les différences finies adoptent une discrétisation du milieu
en mailles rectangulaires exclusivement. L'approche retenue par Itasca est basée sur la
méthode de Wilkins (1964), qui permet de formuler les équations des différences finies pour
des éléments quelconques. On peut leur donner n'importe quelle forme aux limites et, faire
varier les propriétés d'un élément à l'autre. De ce point de vue, elle est donc aussi
performante que la méthode des éléments finis.
Dans cette méthode, chaque dérivée est remplacée directement par une expression algébrique
écrite en fonction des variables de champs (c'est-à-dire les contraintes ou les déplacements)
uniquement définis au niveau de points discrets dans l'espace.
De plus, le code FLAC se distingue essentiellement par son schéma de résolution explicite,
qui permet de ne combiner les matrices élémentaires, ainsi un gain substantiel de place
mémoire. En effet, seules les variables à la fin de chaque pas de temps sont stockées et non la
matrice de rigidité, comme cela est le cas pour la méthode aux éléments finis.
Figure : 5.1 Cycle élémentaire du calcul explicite par différences finies, d'après Itasca.
La méthode des différences finies cherche pour cela à minimiser l'énergie potentielle totale du
système, afin d'établir les relations d'équilibre : les déplacements sont les inconnues de ces
équations simultanées.
La force maximale non équilibrée est déterminée pour l'ensemble des mailles. L'évolution de
cette force peut être affichée sur l'écran ou visualisé comme un graphe. Cette force est
importante pour l'indication de l'équilibre du modèle.
Notons R le rapport en pourcentage de la force non équilibrée maximale sur la force interne
représentative. Une valeur de R de 1% à 0.1% peut être acceptable pour l'indication de
l'équilibre en fonction du degré de précision voulu: R = 1% peut être considérée suffisante
pour une étape intermédiaire dans une séquence d'opération, tandis que R = 0.1% peut être
utilisée pour un état final.
FLAC2D a été conçu pour opérer dans un espace bidimensionnel. Bien souvent, il est
possible de tirer parti des symétries du système étudié, afin de réduire la complexité du
modèle, et donc les temps de calcul. Ainsi, un maillage d'éléments finis de massif n'est pas
systématiquement à trois dimensions. En effet, si l'une des dimensions de l'ouvrage est
prépondérante (remblai de grande longueur, section courante d'un tunnel, etc.) et si toutes les
autres caractéristiques du modèle (chargements, conditions aux limites, interfaces) le
permettent, il est possible d'analyser l'ouvrage dans un plan. Cette analyse, dite en
déformations planes, suppose que la composante du déplacement perpendiculaire au plan
considéré est uniformément nulle.
L'utilisateur construit alors son maillage dans un plan, mais admet implicitement qu'il
bénéficie d'une profondeur égale à l'unité. Les forces appliquées sur ce type de modèle ne
s'expriment pas en Newton, mais en Newton par mètre (force par unité de longueur).
temps de calcul, mais rend surtout possible le raffinement géométrique des systèmes étudiés.
En effet, pour de nombreux problèmes tridimensionnels, les maillages raffinés sont difficiles,
voire impossibles à réaliser car la taille des systèmes matriciels peut très vite dépasser la
capacité des ordinateurs utilisés, notamment pour des calculs non-linéaires complexes. Par
conséquent, les maillages sont fréquemment plus grossiers dans le cas tridimensionnel que
Les modèles disponibles dans FLAC2D sont modèle nul (pour les sols retirés ou excavés),
FLAC3D (Fast Lagrangian Analysis of Continua in 3D) est un outil avancé pour mener à
bien des études complexes de géotechnique et d'interaction sol-roche / structures. Grâce à ses
3D
nombreuses fonctionnalités, FLAC résout de multiples problèmes :
Des éléments de coque, soutènement, géo grille, poutre, câble, pieux et boulons, sont
d'interaction sol-structure.
3D
Le modèle de FLAC est créé par l'utilisateur pour simuler un problème physique
3D
(figure 5.2). FLAC est basé sur un format de commande parce que la plupart des analyses
3D
Figure : 5.2 Exemple d'un modèle FLAC
5.4.1. Méthodologie de simulation avec FLAC3D :
Afin d'installer un modèle pour réaliser une simulation avec FLAC3D, trois composants
1. Générer le maillage ;
3D
La figure 5.3, (adoptée du manuel FLAC ) présente les grandes lignes de la stratégie
utilisée pour modéliser l'excavation d'une tranchée. La simulation se fait par phases et la
réponse du système et systématiquement examinée après chacune des phases de calcul pour
de maillage de la connectivité spécifique (désignée sous le nom des primitives) pour former
un modèle complet avec la géométrie désirée. Plusieurs types des formes primitives sont
disponibles, et ceux-ci peuvent être reliés et conformés pour créer les géométries
tridimensionnelles complexes.
peut être employée indépendamment pour créer un modèle réparti en zones d'une forme
Plusieurs formes primitives sont établies dans le générateur pour accélérer la génération de
maillage pour des formes de problème simples. Ceux-ci incluent la brique, la cale, la
Une zone est un domaine géométrique fermé, avec des noeuds aux sommets et des faces
formant la surface de la zone. L'orientation relative des noeuds et des faces est montrée sur la
3D
figure 5.4, pour la forme brique. Plusieurs commandes de FLAC et le langage FISH, se
Figure : 5.4 Orientation des noeuds et des faces dans une zone de brique (Itasca manuel)
5.5.3. Modèles de comportement :
Le code FLAC3D incorpore un grand nombre de lois constitutives. Celles-ci peuvent être
en cisaillement) avec critère supplémentaire de rupture par traction. La position d'un point de
contrainte sur cette surface est contrôlée selon une règle non associée pour la rupture en
cisaillement et une règle associée pour la rupture en traction. Tout champ de contraintes peut
n é g a t i v e s à la c o m p r e s s i o n , et p o s i t i v e s à la traction.
Le critère de rupture employé dans le modèle FLAC3D est Mohr-Coulomb composée avec
suivante :
s
f = O1-O2Nv + 2C^N; (5.2)
= <J (5.3)
ft 3~
a,t _
t a n (p
(5.5)
Dans le domaine plastique, une loi d'écoulement définit le comportement du matériau lorsque
les déformations sont irréversibles. La fonction de potentielle plastique est décrite au moyen
gs = a ± - a3Ny (5.6)
Avec :
l+sinm (5 )
T 1 -sin(¥) v
'
gt = - ^ (5.8)
1. B u l k : module volumique, K;
K = - T - ^ (5.9)y
v
3 ( 1 - 2v)
E : Module de Young
v : Confisions de poisson
2. S h e a r : module de cisaillement, G;
(5.10)
2 ( 1 +v) v '
E : Module de Young
v : Confisions de poisson
3. C o h e s i o n : cohésion du sol;
4. F r i c t i o n : angle de frottement interne ;
5. Dilation : angle de dilatance, y ;
6. T e n s i o n : contrainte limite de traction.
5.5.3.2. Modèle de comportement de l'interface :
Les éléments d'interface sont utilisés pour représenter de manière simplifiée le
comportement des joints ou les couches minces, et les liaisons entre éléments de structure et
éléments de sol/roche.
3D
FLAC représente des interfaces comme collections d'éléments triangulaires (éléments
d'interface), dont chacun est défini par trois nœuds (nœuds d'interface).Des éléments
d'interface peuvent être créés à n'importe quel emplacement dans l'espace. Généralement,
des éléments d'interface sont fixés à une face de surface de zone; deux éléments triangulaires
d'interface sont définis pour chaque face quadrilatérale de zone.
Des nœuds d'interface sont alors créés automatiquement à chaque sommet d'élément
d'interface. Quand une autre surface de modèle entre en contact avec un élément d'interface, le
contact est détecté au nœud d'interface, et est caractérisé par des rigidités normales et de
cisaillement, et des propriétés de glissement.
Chaque élément d'interface distribue son secteur à ses nœuds. Chaque nœud d'interface a un
secteur représentatif associé. L'interface entière est ainsi divisée en nœuds actifs d'interface
représentant la surface totale de l'interface.
La figure 5.7 illustre la relation entre les éléments d'interface et les nœuds d'interface et le
secteur représentatif lié à un nœud individuel.
Figure : 5.8 Détail des composants d'un élément d'interface (Manuel FLAC3D)
la relation suivante:
fs max = c A + ta n p ( f - p A )
n (5.11)
Où
force normale ;
(5.12)
|fS| 0 est la force de cisaillement avant que la correction ci-dessus soit faite.
Les contacts d'interface sont détectés seulement aux nœuds d'interface et les forces de contact
sont transférées seulement aux nœuds d'interface. L'état de contraintes associé à un nœud est
Les propriétés d'interface sont associées à chaque nœud; les propriétés peuvent varier du
nœud au nœud.
Par défaut, l'effet de pression de pore est inclus dans le calcul d'interface en employant la
manière dans laquelle l'interface est employée. D ' u n e manière générale les valeurs
recommandées par les auteurs de FLAC consistant à prendre K n et, K s dix fois plus élevés
que la raideur équivalente de la zone voisine la plus raide. La rigidité apparente d'une zone
Interface
Figure : 5.9 Dimension de la zone utilisée pour le calcul des raideurs (Manuel FLAC 3D ).
Cette recommandation permet de ne pas pénaliser les temps de calcul lors de la prise en
compte d'une interface.
Les propriétés mécaniques des joints sont conventionnellement dérivées de tests en
laboratoire (c'est-à-dire de cisaillement direct et tests triaxiaux), Ces essais peuvent fournir
des propriétés physiques pour l'angle de frottement, la cohésion, l'angle de dilatance et
traction limite, aussi bien que les rigidités normaux et de cisaillement
4. K n : rigidité normale;
5. K s : rigidité de cisaillement;
définir le tenseur des déformations et celui des contraintes en chaque point du milieu soumis à
ces sollicitations.
Plusieurs équipes de recherche en mécanique des sols et des roches proposent des lois de
permettent ainsi un excellent calage sur les résultats expérimentaux., le modèle de Mohr-
Coulomb largement connu et utilisé dans la simulation des ouvrages géotechniques a été
retenu.
Le développement des grands codes de calcul a évolué de pair avec les langages et le matériel
informatique. Beaucoup de ces grands codes ont démarré dans les années 1970 et sont basés
sur une conception de type « boite noire », qui impose en général à l'utilisateur de se plier aux
exigences du code, conçu pour résoudre des problèmes donnés. L'outil de simulation
numérique ne doit pas être une boite noire qui offre uniquement une solution aux données
introduites. Mais plutôt, il doit permettre aussi des expérimentations numériques. Le Code
FLAC respecte cette particularité en offrant la possibilité à l'utilisateur de tester ces idées,
construction.
L'exploitation des résultats d'un calcul tridimensionnel nécessite une large gamme de
l'analyse, le code FLAC3D donne la possibilité de la définition rapide des vues et sorties
Command, mot clé et valeur numérique peuvent être séparés par un nombre quelconque
( )
La Point-virgule (;) s'utilise pour faire des commentaires. Tous ce qui est disposé sur la ligne
InitialtTation FLAC. INI Fomiatted ASCII file, created by the user, wliich FLAC wilt
file automatically acçess upon stait-up o r w h e n a N E W command is issued.
Data files any nanie or extension Fomiatted ASCII file containing a sequence oiFLAC commands that
may he used — describe a problem. A data file is read intoFLAC with the CALL
".DAT" is suggested command.
Save files FLAC.SAV Binary file created when the S A V E command is issued. Contains
values ofall state variables and conditions at the time S A V E is invoked.
The state can be restored later with the R E S T O R E command.
Log files FLAC.LOG Fomiatted ASCII file created when the command S E T l o g o n is issued.
Records ail text appearing on the screen.
liistory files FLAC.IHS Fomiatted ASCII file created when the command HISTORY Write « is
issued. where n is a liistory number. History values ofvariables
seleeted by the H I S T O R Y command are recorded.
Movie files FLAC.MOV Binary file created when the command M O V I E o r ) is issued. Graphics
images are captured for play-back on the computer monitor as a movie
at a later time (oniy opérâtes in DOS version of FL4C).
3D
6.1.2 Introduction à l'interface graphique de Flac
P FLAC3D 5/0.4II / C l s Q
[ST Pot fflndoN 1
dnt
s*Q ellipsis indicates a dialog box will follow o n i t e m selection
Mode) >
Restnre a r r o w indicates a d r o p d o w n m e n u wiil follow o n i t e m selection
S«ve
ImpctQfxj , tick m a r k indicates currently s e l e c t e d o p t i o n
©
PrtitTvpe •
t G E M E " u p p e r m o s t " panel Is currently active
PryitS«tKi... (
Es»
JP9H«
«txHe
[ P Command Window ^ Q 1
nac3C<j)
_DI»dïmd
ib _ifi ah
My Rec€f* _}Riie
_j optant
Figure : 6. 3 La boite de dialogue file/call
plot caption
drag divider to reslze
main
wlndow
plot
wlndow
P C o m m a n d W î n d o w T R E N C M 1 OAT
t i a c ; i i » p a u s c Kcy : i n e gt-oup o t u o m r c 3 zones is naneo LXCJ
F l a r . 3 P > g r o i i [ i F x c ? 1 n a g t* ,1 n () c v o l 7
Criiup assii|npil i : o l o r t iijlil ll*i|t*iila
Group nsrie * x c 2 a s s i g n é e t o >£ z o n e s
FLat3D>paUïe k e y
J
; llte
FIa(?3û>g» nup F x r l N h l f r r a n g p uni 1
oulure
q r o u p uf 2 ioneu il. njm'd kxcZ
command
firraiip eolnr Wilra line window
Uriiup ndne Hssitpivi!
t*xt:l l u l|S / u n e s
[riaL-3P>pdU»0 k*y ; ïlie y r u u p of o o l u r v 1 zones is nanvd Cxcl
FiacSOfe
pac3DI I
X flashing cursor indicates text entry point
Modeling
Stage
FLAC 5.00 329 - Uasca Consulting Gloup. In< Tabs
Main Sun look ttsw
Menu Ccrtdo H«<»<l Eufc Iri S II. IIINy StJbrgi Fd F
BHSEffi 0 m sa m a
j Qlid Smoe Qk>:>. Tsdel Clspe
U <1 ... Model
Project.<No name View
TiU«.<No kU»>
Mollet Options Pane
Cwfa.i9ioft Oplkvu
Resource [71 A»b,mnctiy
Panes - CIGWFkm
• P_5IKKÏ
M • Ad>.sUot Slreïi
On considéré le cas d'un pieu isole en béton armé chargée axialement dans le sable
La longueur 5m
Diamètre 0.6 m
On donne au pieu une vitesse très faible et les résultats nous donnent la charge nécessaire
On peut connaitre la capacité portante du pieu quand la vitesse du pieu n ' a plus besoin
de charge supplémentaire .cette état de fait nous donne la capacité portante du pieu
être considérées dans n'importe quelle modélisation, ces étapes sont les suivantes :
1. génération de maillage ;
2. frontières et conditions initiales ;
3. choix du modèle constitutif et propriétés des matériaux ;
4. mettre le system dans un état d'équilibre
5. chargement et séquence de modélisation ;
6. interprétation des résultats.
ces informations doivent être aussi exactes que possible. Il convient de répartir la densité des
Les recommandations données par Mestat (1998) pour la construction d'un maillage
Pour le sol :
gen zone radcyl p0 (0,0,0) p1 (8,0,0) p2 (0,0,-5) p3 (0,8,0) &
p4 (8,0,-5) p5 (0,8,-5) p6 (8,8,0) p7 (8,8,-5) &
p8 (.3,0,0) p9 (0,.3,0) p10 (.3,0,-5) p11 (0,.3,-5) &
size 3 10 6 15 ratio 1 1 1 1.15
gen zone radcyl p0 (0,0,-5) p1 (8,0,-5) p2 (0,0,-8) p3 (0,8,-5) &
p4 (8,0,-8) p5 (0,8,-8) p6 (8,8,-5) p7 (8,8,-8) &
p8 (.3,0,-5) p9 (0,.3,-5) p10 (.3,0,-8) p11 (0,.3,-8) &
size 3 6 6 15 ratio 1 1 1 1.15 fill
gen zone reflect dd 270 dip 90
Pour le pieu :
gen zone cyl p0 (0,0,6) p1 (.3,0,6) p2 (0,0,1) p3 (0,.3,6) &
p4 (.3,0,1) p5 (0, 3,1) &
size 3 10 6
gen zone cyl p0 (0,0,6.1) p1 (.3,0,6.1) p2 (0,0,6) p3 (0,.3,6.1) &
p4 (.3,0,6) p5 (0,.3,6) &
size 3 1 6
Command Définition
Gen zone Cree des zones dans le volume 3D
radcyl (annexe 6.1) Grille autour d'un tunnel cylindrique
cyl (annexe 6.2) Grille de forme cylindrique
size Donne le nombre des zones dans chaque
& forme
Démontre que la ligne suivante est la
continuation de la ligne précédente
P0,P1,P2 Les références des points des coins des
formes
gen zone reflect Cree une surface de symétrie
ratio Spécifie le ratio utilisé pour crée les espaces
des zones avec une géométrie croissante ou
décroissante
fill Si cette condition est effectuer la région
intérieure des formes : radial tunnel, cylindre,
radial brick, se remplira de zones
Figure : 6.6 Maillage utilisé pour la simulation
Les conditions aux limites sont prises en compte en bloquant les déplacements horizontales et
verticales pour la limite inférieure et les limites éloignée dans les directions x et y. Les limites
respectivement (figure 6.2). Les frontières adoptées sont suffisantes pour que le mécanisme de
Command Définition
fix Permet de fixer la vitesse
rang Permet de déterminer un volume dans l'espace 3D
3D
Figure : 6.7 Conditions aux limites pour l'analyse F LAC
Command Définition
mod Permet de choisir le mode de comportement
mohr Le modèle élastique parfaitement plastique de Mohr-Coulomb
elas Le modèle élastique
prop Permet de définir les propriétés du système
Command Définition
Interface 1 C'est l'interface crée dans la surface latérale
Interface 2 C'est l'interface crée dans le point
cylinder forme cylindrique
End 1,end 2 Cordonnés du centre supérieur et inferieur du cylindre
radius Rayon du cylindre
not Ne pas prendre en considération la ligne antérieur
Ks rigidité de cisaillement
Kn rigidité normale
x10"4
FLAC3D 3.00
Step1341
14:02:59 Fn Sep 09 2011
1.8-
History
1 Max. Unbalanced Force 1.6-
Linestyle
7,952e-Q01 <-> 1,990e+0M
Vs. 1.4-
Step
1.000e+001 <-> 1 840e+003
1.2-
1.0-
o.e-
0.6-
0.4-
0.2-
<X9~\
6.3.1.1.5 Le chargement du pieu
Le chargement du pieu ne se fait pas directement car le chargement de ce dernier est
3D
très difficile à poursuivre est pour cela, on donne au pieu une vitesse très petite .FLAC
augmente automatiquement la force nécessaire pour que le pieu soit en mouvement.
Cette vitesse s'applique en augmentant graduellement de zéro à la vitesse voulue, vu la
différence importante de rigidité entre le sable et le pieu ceci nous aidera pour ce problème,
La FISH fonction -vitesse- est utilisée pour appliquer la vitesse sur les points de grille
supérieur de pieu identifies par la FISH fonction trouve_add, la vitesse graduelle sera
appliqué sur 30000 steps du 0 j u s q u ' à 10- m/s .La FISH fonction contrainte_APP calcule la
contrainte axiale sur le pieu et enregistre les valeurs sur une courbe graphique.
La FISH fonction -vitesse
def vitesse
while_stepping
if step < ncut then
udapp = float(step) * udmax / float(ncut)
else
udapp = udmax
endif
ad = top_head
loop while ad # null
gp_pnt = mem(ad+1)
gp_zvel(gp_pnt) = udapp
ad = mem(ad)
endloop
end
Les fonctions précédents ne peut pas être exécute séparément, des autre command sont
prop bulk 2e7 shear 12e6 coh 0 fric 30 range group sable
model elas range group pieu
prop bulk 2e7 shear 12e6 range group pieu
interface 1 prop kn 1e9 ks 1e9 fric 20 coh 0
interface 2 prop kn 1e9 ks 1e9 fric 20 coh 0
Remarque :
• les lignes commencent avec « ; » sont des commentaires ou des vides.
Nous n'avons pas encore arrivé à un résultat final car le calcule prend plus de temps
que nous l'avons.
Les résultats suivant sont prise après 31491790 step et nous a demandé plus d'un moi de
calcule avec un PC Intel Core 2 duo 1.8 Ghz pour les attendre.
La capacité des charge applicable sur le pieu a attendre 1.61 Mpa et continue à augmenté
M a g f a c = 0.000e+000
i i u Ufi
Velocity
Maximum2 1.003e-008
Unestyle
Center: Rotation:
<:-1.77Se-015 <: 0.000
Y: -l.OOOe+OOO Y: 0.000
Z: -3.950e+000 Z: 0.000
Dist: 4.825e+001 Mao.: 1
Ang.: 22.500
M a g f a c = 0.000e+000
Déplacement
M a r a m u m = 3.147e-Q01
Pour le sol :
gen 0 0 0 10 0.4 10 0.4 0 i 1,5 j 1,21
gen 0.4 0 0.4 15 15 15 15 0 i 5,31 j 1 31 rat 1.1 1z
group soil i 1,5 j 1,21
group soil i 5,31 j 1 31
Pour le pieu:
Ax la géométrie axisymétrique
Rat Spécifie le ratio utilisé pour crée les espaces des zones avec
une géométrie croissante ou décroissante
Pour le pieu:
model elastic i 1,4 j 21,31
prop density 2.5e-3 bulk 18333.333 shear 13750
Command Définition
model null i 1 4 j 20
model null i 4 j 21 31
model null i 1 j 1 20
model null j 30 i 4 31
Command Définition
model Permet de choisir le mode de comportement
Null Zones nul
Ini Certaines variables de gridpoint ou de zone sont assignées des
valeurs initiales
Add ajoute la valeur spécifique
Int 1 C'est l'interface crée dans la surface latérale
Int 2 C'est l'interface crée dans le point
Ks rigidité de cisaillement
Kn rigidité normale
Command Définition
Fix Permet de fixer la vitesse
2D
Figure : 618 Conditions aux limites pour l'analyse FLAC
6.3.2.1.5 mettre le system dans un état d'équilibre
Command Définition
Yvel la vitesse direction y
Config axisymmetry
grid 30 30
;
model mohr
generate 0 0 0 10 0.4 10 0.4 0 i 1,5 j 1,21
gen 0.4 0 0.4 15 15 15 15 0 i 5,31 j 1 31 rat 1.1 1z
prop dens 1.6e-3 bulk 20 shear 12 friction 30 ;[MPa]
group soil i 1,5 j 1,21
group soil i 5,31 j 1 31
;
model elastic i 1,4 j 21,31
gen 0 10 0 15 .4 15 .4 10 i 1,5 j 21,31
prop density 2.5e-3 bulk 18333.333 shear 13750 i 1,4 j 21,31;[MPa]
group pill i 1,4 j 21,31
;
model null i 1 4 j 20
model null i 4 j 21 31
model null i 1 j 1 20
model null j 30 i 4 31
;
fix xi 2 j 1 20
fix xi 1 j 21 31
fix xi 31
fix yj 1
set gravity 10 ; m/s
;
solve
def la_force
la_force= f_lateral + f_point
end
;
hist unbal
hist la_force
hist ydisp i 2 j 21
Step 16500
note :
• tout est-ce-qui il est écrire après le point-virgule « ; »il ne tient pas on considération,
par suite on peut écrire un commentaire.
Les résultats obtenue par le programme du calcule FLAC après plus de 30000 step est :
La charge total ou limite supporté par le sol est calculé par la formule suivant :
Ql= Qp + Qs (6.1)
Telle que :
• Q l : la charge limite de pieu
• Qp : la charge supportée par la base du pieu
• Qs : la charge supporté par la surface latérale
Qs = qs . As (6.2)
As : surface latérale du pieu
qs =k a tan f + c (6.3)
qs = k a tan f (6.4)
Pour le pointe
La contraint unitaire du sol sur la pointe qp conduisant à la charge limite de pointe pour un sol
pulvérulent
Qp = qp . Ap (6.5)
qp = a Nq (6.6)
Application numérique
Frottement latérale
qs =k a tan f
qs = 0.33 * 16 *5 *tan(30)
qs = 15.39 kN/m2
Qs = qs . As
Qs = 145.03 kN
Résistance de point
qp = a Nq
qp = 50 * 56.904
qp = 2845.213 kNm
Qs = qp . Ap
La charge totale
Ql= Qp + Qs
Ql = 804.057 + 145.03
Q l = 949.087 kN
a = Ql /A
Ql : charge total
A : surface du pieu
a = 949.087/(0.3*0.3*3.14) = 3.35MPa
Les résultats obtenus de Flac 2D nous montre que le calcule de flac 2D est un peu proche de
Malgré que les résultats obtenue avec F L A C 3D ne sont pas final, les résultats du calcule
manuelle nous indique que nous somme dans la bonne direction : 3.35 M P a avec le calcule
• le sol,
• élastique
Nous avons mieux compris le comportement du pieu dans son milieu pendant
qu'il subit des charges extérieures
Malgré la précision des calculs par la méthode numérique, l'obtention des résultats
demande un temps très long et n'importe quelle erreur si petite qu'elle soit nous
entraine à de faux résultats, et pour cela il faut toujours faire des comparaisons avec la
méthode analytique.
ANNEXE
Annexe 3.1
N N
9 N d m a x cmax 9 N d m a x cmax
0 1 0 21 14,69 35,66
1 1,13 7,45 22 16,91 39,39
2 1,28 7,93 23 19,52 43,62
3 1,44 8,46 24 22,57 48,44
4 1,63 9,03 25 26,16 53,95
5 1,84 9,66 26 30,39 60,26
6 2,09 10,34 27 35,40 67,51
7 2,36 11,09 28 41,34 75,87
8 2,67 11,91 29 48,43 85,56
9 3,03 12,82 30 56,90 96,83
10 3,44 13,81 31 67,08 109,98
11 3,90 14,91 32 79,36 125,40
12 4,43 16,13 33 94,23 143,56
13 5,03 17,47 34 112,33 165,06
14 5,73 18,96 35 134,47 190,62
15 6,52 20,62 36 161,69 221,17
16 7,44 22,47 37 195,35 257,91
17 8,50 24,53 38 237,20 302,32
18 9,72 26,84 39 289,56 356,35
19 11,14 29,44 40 355,52 422,50
20 12,78 32,36 41 439,17 504,06
Valeur des facteurs de portance N D max et N C max des fondations profondes en fonction
de l'angle de frottement interne de sol ( 9 )
ANNEXE 3.2
Foré
- qs<r>3X (kPa) 15 40 80(1} 40 80(1> - _ 120 40 120
r
100 1Û0(2) 100 (2) 250 250 300 125 100
fi
-
120 150 300 300 300
(3)
Métal battu fermé qs m»x (kPa) 15 40 80 „ _ 120
-
75 -
150 150 150
(3)
Battu à fût béton Qs max (kPa) 15 80 80 - _ 120
Remarques
(1) Pieux réalisés et rainurés en Tin de forage, uniquement.
(2) Forage à sec. tube non louvoyé.
(3) Le frottement latéral peut être très faible dans les craies avec ces types de pieux. A défaut d'essai de
chargement statique sur le site même, il convient de se référer à des essais de chargement exécutés
dans des conditions similaires.
PROCÈS-VERBAL I DOSSIER N«
ÉTABLI PAR : FIRME U£U =
I SONDAGE P
SONDAGE PRESSIOMÉTRIQUE MÉNARD PLAN D'IMPLANTATION
v
—
Effectué conformément
-j
à la norme NF P 94-110 *-
PP CF.COUPS SCHÉMATIQUEMATÉRIEL
n p r r > l lOtr 0#"| l ' i n Y i n n i - l
RÉSISTANCE
IV X •• ... _
0-0 PreMion limita natte p-t i M1ÊTR QUE
MOOULE PRESSO
DU SOL HT OUTILS A LA
' VANCEMENT A"A Pr&uicn de lluig* nette p, 6
m/T.N. o-o Contrainte totale horizontale Ov*t M
lieu) - • m/T.lg UTILISÉS 0 2 4 5 8 0 20 te 60 80 KC
1_ r!
i
2_ 2
i
i. 3
!
U
t I
I
!
3 5
6_ 6
2_ 'i
8_ S
9_ 9
i
-
»
10 10
!
: i
11 I
1".
12 i 1J
« •
0
HS • Pf . P| # E exprimés en MPa
Feuillet d'essai pour l'essai de pressiométrique Ménard
!/> c
Temps
Volume ern3
ESSAI PRESSIOMETRIQUE MENARD
13 Pression : Effectué conformément à la norme NF P 94-110
N° LIEU SONDAGE
Dossier CHANTIER
Matériel OUTIL Forage fait avant l'essai
de forage de ; m à m
GAINE S O U P L E D Cote c o n d i t i o n n e u Cote essai
DATE : / / HEURE TUBE LANTERNE • pression 2 c = Zs =
ETALONNAGE
DIFFERENCE T jd,i
PRESSION L 9 * " " q u ' J
ftilier
0
COURBE
BRUTE
OBSERVATIONS t
Cote nappe
ADRESSE
FIRME: TEL. .•
- Schéma de principe d'un pénétromètre - Schéma de principe de la pointe d'un
dynamique - pénétromètre dynamique -
P
—
iK
5h-i •
O
3
6
'<
Ci
P
C
CD
-Schéma de principe du pénétromètre statique-
OVOMKKI
rtM'KAM'bO^ IMfCu» O m M M
•>»N
• «1 M » » » • 11 «i
1—
«
\-l s
tttt
H» - • •
><
<
c
T ]
f\ \
il s
< £
" MM
size ni <n2><n3>
dimension d1 <d2><d3><d4><d5>
ratio r1 <r2><r3>
size n1 <n2><n3>
- grille radcyline
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
Starfield, A.M. & P.A. Cundall (1988) Towards a Methodology for Rock Mechanics
Modelling?, Int. J. Rock Mech. Min. Sci.
& Geomech. Abstr., 25(3), 99-106.