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Cours 1 : Oncologie

ESPOD/Claudine Novotny/1ère année


2018-2019
Situation exemplaire : Mme Rommer p. 42
Mme Rommer est votre cliente et vous dit qu’elle a un cancer du sein.
• Quelles sont les explications qu’elle a reçu de l’oncologue concernant son cancer
du sein ?
• Qu’est-ce qu’un cancer du sein ?
• Le cancer du sein a évolué avec des métastases hépatiques et pulmonaires : pour
quelle raison ? Pourriez-vous expliquer ?
• Mme Rommer ne comprend pas pourquoi elle est si fatiguée et qu’elle a perdu du
poids. Avez-vous une explication par rapport au cancer ?
• Quel est le symptôme qui fait penser à une évolution de son cancer du sein ?
• Mme Rommer craint des douleurs dans le dos, la nuque et le haut du corps :
comment évaluez-vous ces douleurs et sur quels critères ?
Mme Rommer vient toutes les semaines pour les soins des pieds et elle vous a
informé qu’elle avait un cancer du sein. Vous l’accompagnez dans l’évolution de
ces traitements. Quelles sont les questions que vous allez lui poser par rapport
aux traitements ?
• Quels sont les traitements que vous avez reçu ?
• Avez-vous participé au choix du traitement ? Dans quel but ?
• Avez-vous eu un traitement combiné ? Quel est-il ?
__________________________________________________________
• Avez-vous été opérée ? Quelle intervention chirurgical avez-vous subi ?
Pourriez-vous m’expliquer ?
• Avez-vous eu de la radiothérapie ? Quels étaient les effets secondaires ?
• Avez-vous des traitements de chimiothérapies ? Quels sont-ils ? A quelle
fréquence ? Sous quelle forme ?
• La patiente vous explique qu’elle bénéficie d’une thérapie ciblée. Quelle est
cette thérapie ciblée ?
Dans quel but le traitement du cancer : curatif ou
palliatif ? p. 60
• Curatif qui permettent d’espérer une guérison définitive
• Palliatif afin de ralentir ou même stopper pendant un certain
temps l’évolution de la maladie
• Il ne faut pas confondre traitements palliatifs et soins palliatifs.
• Les traitements palliatifs dirigés contre le cancer peuvent
donner des résultats importants même si une guérison définitive
n’est pas possible.
• Les soins palliatifs visent à maintenir la meilleure qualité de vie
possible en fin de vie
Comment s’effectue le choix du traitement ?
Il est déterminé selon les facteurs suivants (p. 63 traitement) :
• Type de tumeur
• Taille et extension de la tumeur : Le traitement dépend du stade du
cancer, de l’existence de métastases et de l’infiltration de la tumeur dans
les tissus environnants.
• Etat du patient : L’état de santé et l’âge du patient jouent souvent un rôle
déterminant dans le choix du traitement.
• Un choix personnel : Le médecin conseille le patient dans le choix de la
thérapie la plus appropriée dans son cas particulier. Mais c’est le patient
qui décide en dernier ressort, son choix étant influencé par sa situation
personnelle, ses expériences et ses préférences.
Quels sont les traitements contre le cancer ? p. 58 à 63
1. Chirurgical p. 58 et 63 : Excision de la tumeur primitive si possible en entier
2. Radiothérapie p. 60–61 : Les rayons détruisent les cellules cancéreuses en endommageant
leur matériel génétique. Ainsi, les cellules ne peuvent plus se multiplier et la tumeur se réduit.
3. Chimiothérapie p. 59-60 : substances qui tuent ou qui inhibent la multiplication des cellules
cancéreuses
4. Thérapies ciblées : anti-angiogéniques et inhibiteurs de voies de signalisation
5. Hormonothérapie
6. Immunothérapie
Ces différents traitements du cancer seront soit utilisés seuls ou combinés :
Par exemple pour le cancer du sein (p. 63) : plusieurs thérapies seront combinées pour lutter
contre la tumeur et les métastases.
Les patientes peuvent être opérées dans un premier temps ; elles suivent ensuite une
chimiothérapie et une radiothérapie et, finalement, une hormonothérapie sur une durée de
cinq ans.
1. Quels sont les effets secondaires d’un traitement chirurgical ?
• Douleurs
• Saignements, caillots de sang en cas d’immobilisation de longue durée
• Dommages à des tissus voisins
• Fatigue, perte d’appétit
• Infections (à l’endroit de l’incision, infection pulmonaire, etc.)
• Gonflement autour de l’endroit de l’opération, suintement de liquide à l’endroit de
l’opération, coups bleus (ecchymoses) autour de l’endroit de l’opération
• Rétablissement lent des autres fonctions corporelles
• Des problèmes peuvent notamment survenir au niveau de l’image physique, par exemple
en cas d’urostomie (ablation de la vessie et placement d’une sortie urinaire artificielle par
une jonction entre la vessie et la peau) ou de colostomie (jonction entre le côlon et la
peau, pratiquée lorsque les selles ne peuvent plus être éliminées par l’anus).
2. Quels sont les effets secondaires de la radiothérapie ?
• Les effets précoces sont la conséquence d’une atteinte
des tissus à renouvellement rapide : peau, muqueuse et
moelle osseuse.
• Ces effets aigus guérissent sans séquelles :
• Peau : érythème puis épithélite exsudative
• Thorax : œsophagite (douleurs à la
déglutition, dysphagie)
• ORL : stomatite, perte de goût, arrêt de la
sécrétion salivaire
• Abdomen : nausées, vomissements,
diarrhée, douleurs
• Pelvis : cystite (brûlures urinaires, mictions
fréquentes), rectite (diarrhée)
Les effets tardifs de la radiothérapie :
Plusieurs mois à quelques années après la fin de l’irradiation
et sont irréversibles.
• Thorax : sténose de l’œsophage destruction du poumon
irradié, sténose d’une artère coronaire, péricardite
• Abdomen : sténose de l’intestin grêle
• Pelvis : petite vessie (mictions fréquentes), sténose du
rectum, du vagin, rectorragies …
3. Chimiothérapie : traitement classique p. 59
La chimiothérapie consiste à administrer au patient des médicaments qui détruisent les
cellules cancéreuses en ciblant leur ADN ou en bloquent la croissance : les cytostatiques.
• Ces médicaments induisent des effets indésirables importants liés à leur action sur les
cellules normales.
• La plupart de ces effets indésirables peuvent être atténués, voire supprimés, par des
mesures préventives ou d’autres médicaments.
• TTT adjuvant : après l’excision complète de la tumeur, la chimiothérapie adjuvante permet
de détruire les micro métastases et de diminuer les risques de rechute. Cancer du sein et
du côlon.
• TTT d’induction : une chimiothérapie réalisée avant le traitement local lorsque l’extension
est importante de la tumeur
Quelles sont les différentes substances des
chimiothérapies ?
• Différentes substances : Cf. Cours de Florence Rochon
• Cisplatine (agent alkylans) : cible directement l’ADN des cellules
tumorales et entraîne la mort (cancers digestifs (œsophage, estomac),
pulmonaires, urologiques (vessie, testicule), ORL, gynécologiques
(utérus)
• Alcaloïdes de la pervenche : ils agissent en bloquant la division des
cellules cancéreuses (lymphomes, leucémie aiguë, cancer du sein, du
poumon et de la vessie)
• Taxanes : idem, à partir de l’If (cancer du sein, poumon, prostate,
ovaire, ORL, estomac et pancréas)
Quels sont les effets indésirables des cisplatines ?

• Cisplatine (agent alkylans) : cible directement l’ADN des cellules tumorales


et entraîne la mort (cancers digestifs (œsophage, estomac), pulmonaires,
urologiques (vessie, testicule), ORL, gynécologiques (utérus)
• Effets indésirables spécifiques :
• Toxicités aiguës : très émétisant, IR aiguë qui peut être fatale, tr. ioniques :
hyponatrémie, etc.
• Toxicités chroniques :
• Neurologique : polynévrite : fourmillements et une diminution de la sensibilité des
extrémités. Peut devenir très invalidante (difficultés à marcher, pour tenir les objets,
etc.)
• Surdité et acouphènes irréversibles
• IR chronique
Quels sont les effets indésirables des taxanes ?
• Effets indésirables spécifiques :
• Aigus :
• Allergies fréquentes
• Réactions cutanées
• Toxicité veineuse et cutanée en cas d’extravasation
• Chroniques :
• Polynévrite
• Altérations des ongles : coloration noire, fragile, douloureux (docétaxel)
• Œdèmes des mollets, prise de poids (docétaxel)
Les substances administrées des chimiothérapies peuvent être
sous forme de comprimés, d’injections ou de perfusions p. 59.
L’hospitalisation n’est pas obligatoire et peut se faire en
ambulatoire
Quels sont les effets secondaires de la chimiothérapie ?
• P. 59 et ceci dépend des substances de la
chimiothérapie
• L’asthénie
• Nausées et vomissements
• Toxicité hématologique
• Toxicité muqueuse
• Toxicité veineuse
• Alopécie
• Toxicité tardives : elles sont dues à l’altération
de tissus à renouvellement lent : rein, cœur,
poumon, gamètes et tissus nerveux
Quels sont les effets secondaires de la chimiothérapie (1) ? p. 59
• L’asthénie :
• Très fréquente, mais d’intensité variable d’un patient à l’autre.
• Généralement maximum, une semaine après la chimiothérapie.
• Elle a tendance à se majorer au fur et à mesure de la répétition des traitements.
• Nausées et vomissements : L’intensité des nausées-vomissements varie beaucoup d’un
médicament à l’autre (Cisplatine)
• Toxicité hématologique : Elle est due à un effet de la chimiothérapie sur les cellules de la
moelle osseuse chargées de renouveler les cellules sanguines circulantes
• Leucocytes = leucopénie (granulocytes neutrophiles) 5 à 7 jours après la chimiothérapie = risque
d’infection bactérienne ou fungique grave. La survenue de la fièvre est une urgence.
• hématies = anémie (progressive : le taux d’hémoglobine diminue au fur et à mesure de la répétition
des traitements et remonte pas ou peu après chaque cycle)
• Plaquettes = thrombopénie (risque hémorragique)
Quels sont les effets secondaires de la chimiothérapie (2) ?
• Toxicité des muqueuses :
• au niveau de la muqueuse buccale :
• aphtes et d’abrasions qui entraînent des douleurs et des difficultés pour s’alimenter : on parle de mucite ou de stomatite
• La muqueuse altérée peut facilement être surinfectée par des Candida albicans ou le virus herpétique.
• Au niveau de la muqueuse digestive :
• La chimiothérapie est responsable d’une diarrhée qui peut se compliquer d’une déshydratation et de déséquilibres
ioniques (sels minéraux).
• Toxicité veineuse : Certaines chimiothérapies altèrent la paroi des veines : les veines
deviennent dures, douloureuses et difficiles à ponctionner
• Alopécie : Son impact psychologique est majeur.
• en fonction des médicaments utilisés et des doses (taxanes, etc.).
• débute un mois après l’initiation de la chimiothérapie.
• peut être incomplète ou totale et touche les cheveux, mais aussi parfois les poils et les cils
• réversible.
3. Les toxicités tardives (3)
• Elles sont dues à l’altération de tissus à renouvellement lent : rein, cœur, poumon,
gamètes et tissus nerveux
• Elles sont spécifiques d’un médicament ou d’une famille de médicaments
• Elles se manifestent cliniquement après plusieurs cycles de chimiothérapie voire
plusieurs mois après la fin du traitement
• Elles peuvent être irréversibles
• La toxicité gonadique : stérilité chez l’homme et la femme voire chez la femme une
ménopause précoce.
• L’effet mutagène : L’effet mutagène des cytotoxiques expose à un effet tératogène
(risque de malformation) chez la femme enceinte et à des leucémies aigues.
Les thérapies ciblées
Les thérapies ciblées font appel à des médicaments qui agissent
à un endroit précis ou à l’intérieur de la cellule cancéreuse.
Ces médicaments peuvent bloquer la croissance de la tumeur
de façon passagère ou durable.
Ils reconnaissent les cellules cancéreuses et s’y arriment. Ils
parviennent alors à freiner la croissance de la tumeur par le biais
de divers mécanismes.
L’avantage : Ces thérapies ciblées n’attaquent pas les cellules
saines ou ne les affectent que légèrement, de sorte qu’elles ont
généralement des effets indésirables moins importants que la
chimiothérapie.
Trois classes de médicaments en fonction de leur objectif.
Bloquer les messages reçus par la cellule au
niveau de sa membrane
• Ces médicaments sont dirigés contre les
récepteurs des facteurs de croissance,
situés à la surface des cellules
cancéreuses, dont ils bloquent la fonction.
Bloquer les signaux transmis entre la
membrane cellulaire et le noyau de la cellule
• Ils empêchent l'activation cellulaire en
bloquant certaines réactions chimiques
impliquées dans la transmission d'un signal
à l'intérieur même de la cellule.
Bloquer la formation de nouveaux vaisseaux
sanguins
• Leur but est de couper l'approvisionnement
en sang des tumeurs, empêchant ainsi leur
développement.
Quelle est l’évolution des nouveaux traitements contre le cancer ?

Vidéo : Allo docteur la révolution des thérapies ciblées


• https://www.allodocteurs.fr/se-soigner/traitements-du-cancer/therapie-
ciblee/cancer-la-revolution-des-therapies-ciblees_7496.html

Site Internet : La ligue contre le cancer suisse : les thérapies ciblées


• https://www.liguecancer.ch/a-propos-du-
cancer/traitements/?gclid=CjwKCAjw0oveBRAmEiwAzf6_rKGkRy2ed6oFkzScR
EyRM3UDmvHnChlzGX2ls9_v5sodvNgtZfQR0RoCfMwQAvD_BwE

Site Internet : Fondation contre le Cancer belge : Traitement


• https://www.cancer.be/le-cancer/traitements-du-cancer
4. Quels sont les effets indésirables des anti-angiogéniques ?
• Ils empêchent la formations de nouveaux vaisseaux
au niveau de la tumeur. La tumeur ne peut alors
grossir, car elle ne dispose plus assez de nutriments
et d’oxygène.
• Effets indésirables spécifiques :
• Communs à tous les anti-VEGF :
• HTA, protéinurie
• Risque d’hémorragie, surtout au niveau de la tumeur
• Thrombose artérielle (AVC, infactus du myocarde) surtout si
terrain prédisposé
• Retard de cicatrisation, risque de fistule ou de perforation
intestinale
• Spécifiques des inhibiteurs du récepteurs du VEGF :
• Éruptions cutanées
• Syndrome main-pied
• Diarrhée
• Fatigue
• Coloration jaunâtre de la peau
• Blanchissement des cheveux
Quelles sont les prises en charge des principales
complications ?
• Nausées-vomissements : traitement antiémétique
• Complications hématologiques : neutropénie fébrile (cf diapo)
• Fièvre : Chez un patient recevant une chimiothérapie la survenue d’une fièvre impose toujours une
consultation médicale immédiate et même les urgences (risque de choc septique).
• Mucite : La surinfection des muqueuses doit être prévenue par l’utilisation de bains de bouche
antiseptiques. La surinfection candidosique est traitée systématiquement par un antifongique.
• Alopécie : Prévention par l’utilisation d’un casque réfrigérant : il doit être posé avant le début de la
chimiothérapie et être maintenu pendant tout le temps de la perfusion. Pour rester efficace, il doit
être changé toutes les 30 minutes. Il n’est pas toujours supporté par les patients.
• Traitement de la douleur : protocole et combinaison d’analgésique
• Maintien de l’état nutritionnel ou correction de la dénutrition
• Prévention de la thrombose veineuse profonde (injection d’héparine)
Neutropénie fébrile : traitement et prévention
• La neutropénie se présente comme une fièvre sans point d’appel infectieux chez un
patient ayant reçu une chimiothérapie une à deux semaines auparavant.
• Il s’agit d’une urgence thérapeutique, car en l’absence de granulocytes
neutrophiles, l’infection peut évoluer en quelques heures vers le choc septique et le
décès.
• Hospitalisation : soins intensifs
• Antibiothérapie de toute urgence
• Bains de bouche en cas de mucite
• Transfusions concentré plaquettaire ou culots globulaires
• Surveillance de la température, hémodynamique et diurèse
• Prévention : diminution des doses de chimiothérapie après la survenue d’un
premier épisode de neutropénie fébrile.
Le carcinome mammaire
• Brochure p. 61 à 63
• Quel est le pourcentage de femme atteinte du cancer du sein ?
• D’où part le carcinome mammaire ? Où se situe sa localisation ?
• Quels sont les facteurs de risques non influençables ?
• Quels sont les facteurs de risques influençables ?
• Les symptômes arrivent malheureusement tardivement et quels sont-
ils ?
• Quelles sont les particularités du traitement ?
Quelle intervention chirurgicale a-t-elle subi chez Mme Rommer ?

Il existe deux types de chirurgie


pour le cancer du sein :
• la chirurgie conservatrice,
appelée tumorectomie
• l'ablation du sein, appelée
mastectomie.
• Conserver ou restaurer la taille
et la forme du sein après
l’ablation de la tumeur ou de la
totalité du sein
Le lymphoedème : C2 p. 75
• Maladie fréquente mais méconnue, le lymphoedème est un
gonflement, le plus souvent des membres inférieurs et/ou supérieurs.
Il se forme lorsque les vaisseaux lymphatiques n’arrivent plus à
drainer la lymphe, qui s'accumule alors dans les tissus situés sous la
peau.
• Plusieurs causes peuvent être responsables de cette altération: une
malformation des vaisseaux lymphatiques, leur obstruction ou leur
dégradation à la suite notamment d'une chirurgie, d'un accident,
d'une virulente infection ou d'une ablation des ganglions (nodules
situés le long du système lymphatique).
Quel est le but de l’hormonothérapie? p. 63
• En bloquant l’action de ces hormones à l’aide de médicaments, on
inhibe la croissance des cellules cancéreuses.
• Ce type de thérapie est principalement appliqué dans certaines formes
de cancer du sein ou de la prostate.
• Un traitement antihormonal dure en général plusieurs années.
• Il peut s’accompagner d’effets indésirables, comme des bouffées de
chaleur, des sueurs, des sautes d’humeur et un dessèchement des
muqueuses des organes sexuels, ou encore l’arrêt des règles chez les
femmes non ménopausées.
L’immunothérapie
• Une immunothérapie consiste à donner au patient des médicaments
qui stimulent son système immunitaire de façon à ce qu’il s’attaque
aux cellules cancéreuses.
• Les interférons ou l’interleukine, par exemple, sont des substances
qui favorisent la croissance des cellules immunitaires dans
l’organisme.
• Ces médicaments sont administrés aux patients qui souffrent de
formes particulières de leucémies ou d’un mélanome.
Une collaboration entre plusieurs spécialistes
• des oncologues : médecins spécialisés dans le traitement médicamenteux des
cancers ;
• des radio-oncologues : médecins spécialistes de la radiothérapie ;
• des chirurgiens : médecins spécialistes des opérations ;
• des hématologues : médecins spécialistes des maladies du sang, notamment des
leucémies ;
• des infectiologues
• d’autres spécialistes : selon le type de cancer, les patients sont aussi suivis par des
médecins spécialisés dans l’organe ou le système touché par le cancer –
gynécologue pour les femmes atteintes d’un cancer du sein, urologue pour les
hommes souffrant d’un cancer de la prostate, neurologue et neurochirurgien
pour les patients atteints d’une tumeur au cerveau.

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