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PAROLES DE
PAUL BOISSELOT
J. OFFENBACH
PARTITION CHANT ET PIANO
PARIS
C. JOUBERT Editeur, 25, Rue d'Hauteville
Tous droits de Traduction, rit Reproduction et de Représentation rtseroes pour tout pays
LlSCHEJV ET FlUTZCHE N
CONVERSATION ALSACIENNE
en un Acte
Paroles de ^
Paul BOISSELOT
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Musique de
J. F FIN BAC H
*K:>?flL
Belgique
riseroês pour tous pays
P -"images. Acteurs
TABLE THBISITIVIE
OiiNfrline i-
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5 FINAL •< DUO Qiioi.'Frilzehen MSCHEN -1 FRITZCHEN 1<3
OUVERTURE.
Allegro moderato. .+. ^
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/ n carrefour de rouir. ,i gauche la maison d'un marchand de vin, une
iable en dehors, n droite un /"'lit banc d<- pierre.
SCENE I.
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COI' I» l.ETS.
Allegro. *. *
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les va _ lets,
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Bien heureux
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va _ lets!
(Par/é) Savez-vous le prétexte qu'il devant elle... C'est bon! que je dis.
prend pour me renvoyer'' il prétend Certainement je m'étonnais île ce
que je ne parle pas bien Français, pas qu'il voulait de la lierre pour sa fu-
bien Français, moi! je vous en Fais juges. ture quand il a de si bon vin dans
Il dit que je fais mal les commissions,vous sa cave, c'est mon seul regret de quit-
allez voir... ah! il faut nous due que mon ter la maison, mais un maître com-
maître, il va se marier à une jeunesse. mande, il faut l'obéir. Je vas donc chez
L'autre jour il donnait un repas à sa le brasseur et quand le dîner est servi,
future et à son père... e'élait le deu- je place devant la demoiselle ein
xième. ..pas le deuxième père. ..non, le scboen Klein glas de bierre, tout le
deuxième repas. Fritzchen! qu'il me dit... monde part d'un éclat de rire ex-
Fritzchen au dernier diner j'ai remarqué cepté mon maître qui se lève fu-
que ma future adorait les bijoux, elle rieux, qui me fait une scène ter-
vant moi, je veux lui faire une sur- s'oublie jusqu'à me frapper de-
prise... quand on sera à lalile, tu ap- vant tout le monde, mais pas
porteras la pierre et tu la mettras devant moi.
Mon ser_vi _ ce! Dieu quel - ce.'Ouoi voi
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. mais v.'là assez do pleur- tite soeur, ça lail vingt ans' et autani
nicheries ... après ton! c'est pas la qu'ils ont été de leur côté sans me
mort d'un homme qu' une place per- voir, ça fait quarante ans" c'est trop,'
due, je sais où aller, moi! Faut pas je vas casser une croûte et m'embar
croire mus venu au monde
«|n«- je quer sur la terre Ferme jusqu'à l!ius
ternel ;
je vas retourner au pays, aussi ai rien répondu . mais je liens < nie
bien, ça me tenait au coeur, voilà <li\ venger comme il m'a outrage, nu
ans que je ne l'ai vu. mon père, dix tragé '
poslérieui emenl
ans aussi que je n'ai pas vu ma pe- < Il ilillf i /ir: li- mu: < Iiiiiv! li lin
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SCÈNE II.— LISCHEN (avec des petits balais):
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CHANSON.
Allegretto.
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P* lits ba _ lais, P'tits ba _ lais, Je vends des tout p'tits ba _
lais. P'tits ba - lais, P'tits ba _ lais. Ah! voy _ ez qu'ils n'sont pas
laids -
P'titji ba - lais, P'tits ba . lais, .le vends des tout p'tits ba
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I,-. P'tits ba lais, P'tits ba lais, M! vov _ ez qu'ils n'sont pas
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laids. Ba - lais, balais, balais, balais, ba _ lais! Ou'ils sont eo
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ro.quets, Ou'ils sont co .quels! Voulez-vous
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lais, sur leur é - chLne,Punjssent sans fai.re grand mal:, Enfin sur
m>s ii.ii _ sibles. couches Voulez-vous dormir po.sé _ ment, Vous n'a -yez
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vous?parlez, par _ lez, en vou.lez - vous? P'tils ba _ lass, P'Iits ba _
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ez qu'ils n'sont pas laids P'Iits
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_lais, Je vends des toul p* lits ba_ lais, P'tits ba _ lais. P'tils ba _ lais
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Voulez vous mes loul petits Isa lais Voulez-vous, voulez- vous, voulez- vous mes ba
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. ci. Il m'a sem_blé voir tant de cho-ses Qu'on eut bien fait rlç ba_lav
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Lu-. Vou lez vous <l«s ba lais, Von lez vous des balais, des ha
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bus, des balais, des ba _ lais, des pe_ tifs ba _ lais., des pe_lij« ba
lais, des petits ba_ lais, de>-p€tits ba _ lais'' P'tits ba - lais, P'tifs ba
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lais. Ah! voy _ ez qu'ils n'sont pas laids, IJa _ lais. balais,balais,balais. ba.
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co quels. Qu'ils sont
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_ lais, balais. balars,balais,ba lais Qu'ils sont coquets, Ou 'ils sont bien faits! La la
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(Parlé) C'est égal, ça n'est pas en- LISCHEN.
core ici que je hrïe rattraperai. Déci- Vingt-deux francs (Elle *err~e s'on
pays., moitié en patache et moitié à quelque chose entre les deux yeux
pied ... avec quelques gros sous de et puis il a un joli chapeau
plus, voyons je vais taire comme les FRITZCHEN.
hannetons , compter mes écus. Dans ma Si je lui parlais ?.
mon parler.
SCÈNE III FRITZCHEN.
LIS) HEIH el FRITZCHEN. Hein! le savez vous 7
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duo.
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| Allegro vivo.
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dooh pi . iip FreuJie Juch h,'' dus /.' ben pi'h p/ni _ sir dm
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LISCHEN. FRITZCHEN.
.-!<"// tvas ist (/us dock ein Gliiok so Et comme ça vous «lie/ en s,i
FRITZCHEN. LISCHEN
Ja.ja! Dm tout monsieur! |< mus com-
LISCHEN. merçante.
Was ist das ein plaisir! FRITZCHEN
FRITZCHEN. Ah!., commerçant' '.'
^t de uitui '
dn ja! LISCHEN.
,
FRITZCHEN. LISCHEN.
Vous êtes si gentille. Eh bien! c'esl vous qui diles mal.
LISCHEN. on entend palais, moi je dis des pa-
\li! je !<• sais bien. lais, lassen sie mieli doeh ge/ienJ '
FRITZCHEN- FRITZCHEN.
Il moi, je suis aussi un beau bonne heure j'accepte vos
\ la
LISCHEN. en ferez?
vous
Vli! i
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. .1 1 (ilaisir!
FRITZCHEN. FRITZCHEN.
Oui , OUÏ! J'ai oublie mon démêloir el ma
LISCHEN brosse a dents, ça les supplémenlera
Mais c'esl < ii i ii r iilii.i lu iii*ii \ qii.uiil on
trouve mu i iHiiji.it nuit- i omuii moi,
LISC H EN.
FRITZCHEN. II cv| bien loustic mon pap el
dm , oui ' < I • / moi un h i
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' !..., m / loin i' pnlb '
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FBITZGHEN LISCHEN.
I bigrement gentille et
( nous Oh! c'est très appétissant, mais
j'ajouterai bien un baiser au paie- je mange ça de bon coeur.
menl de la marchande. FRITZCHEN.
I.ISCHEN (Mais venez donc, venez.
Oh! je n'aurais pas de quoi vous LISCHEN.
rendre Ali! dam! vous insistez tant.
FRITZCHEN. FHITZCHEthm^MMMNaM
( » li! en cherchant bien...( à part) Quand j'ai du chagrin, il y a une
niein Ooll . comme elle me va la chose qui me console/ ufiiju^y>j^''esl
payse... ça ferail une jolie petite fem- que j'ai de 'appétit l •
^i^Jtp^vyV
me fou! il même, si on était sûr que- (Elle va se melli ifamble. Quand
mais on n'est jamais sur que... la elle est près de fa-lulrne on en tond un
jeunesse «si si fragile. ..et vous re- bruit de cor. Frit : < l,ljtJ»mé# WW*<l lM«am
tournez au pays? siéae).
LISCHEN. LISCHEN.
Oui! Qu'est-ce qui vous prend donc?
FHITZCHEN. FRITZCHEN
I.li puisque nous allons Ions
bien C'esl que mon maître chasse dans
i
deux en Usace nous allons lou- .
les environs, cl je croyais avoir en-
jnurs faire un brin île roule ensemble. tendu le son du cor.
LISCHEN. LISCHEN.
Mais je veux bien. \li! miiis voyez bien que j'avais
FHITZCHEN. raison de rester dans mon coin et
Il nous allons paravant nous don- de me contenter... de mon pain et
ner des forces dans les jambes en de mon fromage.
Ir-. faisanl passer par nos estomacs... FHITZCHEN.
avez vous faim? (','
une Causse alerte, je m'e-
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bruit. Lndscnnell die < tadt-rat-ze
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-.•r,l^,J.Vl ? f,-i.aiiHs A man_ ger des plats
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fri.ands. Sir un
«?* «/ps />/«/>/,-, _ <,nds, Zu speLsen des piaùJde» plats [ri _ ands. Sur un
champs le suit le suit. Le rat des champs le suit. Le bruit
• rit.
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Le re _ ffal fut fort lion _ ne . le Mais les me
_ mis Dan mit _ tay _ es - sen fut fort lion _ ne _ te Ma/s les me'
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vi»u- vien - (liez chez moi De vrai j n'ai que dla chou
-Mt ;.
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houçroùle ÂtiHtalt ae vos morceaux de roi. \tm*
40
-ta
_ lions, Qui donnent des in - dLffes- tions, Oui donnent des in.di-ges
II! Il
FRITZCHEN. LISCHEN.
Eh bien! voyons, rien qu'un petit Non, le votre 5
FRITZCHEN. FRITZCHEN
Bigre! elle est sage la payse,c'est une Kt moi Fritzchen Kreulisch.
LISCHEN. Ma soeur!....
Non! eh bien! nous .liions faire route retrouver une petite soeur que tu u as
ensemble, je vous conduirai dans votre pas vue depuis dix ,ms.
LISCHEN. LISCHEN.
Ki toi donc... oh., c'est-à-dire... Comment, tu m? laisserais partir
FBITZCHEN. seule?
• ol '
< Ion ii ? c est . dire... FBITZCHEN.
LISCHEN. Oui, il faut que je songe à gagner un
ï .1- ;
i s change, sous ce rapport là. peu d'argent:, j'ai deux bons bras, je
M. lis qu'est ce qu'il a doue?., sais tu prends,ma petite Lischen, la société a ses
bien que tu n'as pas l'air enchanté du luis, mon Dieu,cesl comme ça, elle les a.. ..
Je rél léchis.. je p 'ni e que s i on ne puis pas du tout, parce que sans \ous en
v .i\ a î t pas., oo pourrait comme ca avoir prévenu. ..il se trouve. ..qu'elle a ses
1. 1 i ii t. rv 1 1> , uant ii bran suis bien content . Oh! mais là bien cot)
Maintenant 'i
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i
li • >
nous tenl de l'avoir retrouvée, maïs enfin ça
fain i n- • ml !• .
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r>eul pas
..i n in"iii.
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\ndante.
LISCHEN.
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fritzchkn fli»«ni) M .1 < le re f.i-' Ikii je f'Pcris à peine releté <l un< maladie «[ni a failli me tuer J'ai
Andante.
mnn- [ii I fa '
ni >(iie|ete di-e un ~c ret que Je carhedepuis longtemps.! Par(p) \ n ^ef ret! r nn iinnani
une de mes soeurs avait ete trompée, je remeillis l 'infortunée pourcacher la honte de Ih famille: elle
allait donner le jour à un petit innocent presqu'en même temps que ma femme. Grâce à ce tte circonstance
X
et
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la discrétion du hrave médecin qui nous secondait,tout le village me crut père de deux Jumeaux.
u *& u
Voilà la vérité que j'ai cru le devoir, ie n'en compte pas moins sur ton amour île fille, comme tu peux
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„ Allegro. fritz
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trem - Me! Par _ tons en _ sem _ hle. Par _ tons en
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Et de quel _ le QOU-Vel- le ai_ deur, "Vous |>our_ rous ré- 1»' ter en
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Ion»! Kl de quel le dou vel le ar_ deur, Nous pour rons re pe.ter en
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chœur ah:
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suis al - sa - rieû-iie. (Ju and une al _ f.a
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