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Pour atteindre le bien être social, chaque Etat intervient par une politique budgétaire par

laquelle elle relance l’économie a travers l’augmentation des dépenses publiques, pour
financer ces dépenses, les principales ressources sont des ressources fiscales. Cette vision a
été soutenue par Keynes en 1929 et le Maroc est l’un des pays qui l’on adoptée, les
ressources et les dépenses de l’état sont tracés dans la loi de finance de l’année, qui selon la
loi organique des finances 130-13 est le document qui énonce et autorise pour chaque
année budgétaire l’ensemble des ressources et des dépenses publique. ( Problématique )

Le texte de la loi de finance reflète la vie publique, pour la préparation de ce texte due prés
d’une année pour l’élaborer et l’adopter par le parlement, ce dernier en se référant a une
programmation budgétaire triennale dans le but de soutenir la pérennité des politiques
publiques en s’assurant de la compatibilité de leurs impact budgétaire futur avec les
possibilités financières de l’état et le cadre macro économique, et qui vise également a
donner une meilleure visibilité au gestionnaires pour gérer leur programme en fournissant
un outil a moyen terme pour le suivi de la performance des politiques publiques. Cette
programmation vise notamment à définir, en fonction d'hypothèses économiques et
financières réalistes et justifiées, l'évolution sur trois ans de l'ensemble des ressources et des
charges de l'Etat. Cette programmation budgétaire triennale vient en réponse au disp
ositions de la constitution de 2011 et en réponse à la nouvelle loi organique de finance 130-
13 et en rendre compte aux grands défis au niveau internationale qui préconisent un
nouveau management public qui sert à améliorer la qualité du service public octroyer au
citoyens.

Pour les hypothèses de préparation pour le budget citoyen de 2019 sont : un taux de
croissance de 3,2% / un cours moyen de gaz de 560 dollar par tonne / un déficit budgétaire
3,3% du PIB / un taux d’inflation de 2%

La loi de finance 2019 est une loi a visage social donc le grand souci de l’état est de réduire le
fossé entre les classes sociales en pratiquant la politique d’augmentation des dépenses
publiques destinés aux secteurs sociaux, dans :

La santé 28,23 milliards de DH contre 14,75 milliards de DH en 2018

Education 68,28 milliards de DH contre 59,29 milliards de DH en 2018

Habitat 2,84 milliard de DH contre 2,83 milliards de DH en 2018

Protection sociale 8,2 milliards de DH

Monde rural 7,43 milliard de DH contre 6,83 milliard de DH en 2018

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