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ICOLAS&RAISSINET
COURANTS D’AIR
2 % -%2 # )%-%. 43 ª 
Xavier Prêtre, Christina Vuillien-Reid, l’EICAR, Jean-Camille Lavaud,
Rémix, Nicolas Bourrigan, David Ostenga, Marie Cogné, Guillaume Feyler,
Arnaud de Buchy, Georges Blumenfeld, M. et Mme Lavaud, Daphnis Lenoir,
Ludovic Jockiel & the Stufftrack Team, Rachel Savoie, Gwennegan,
Marianne Robert de Massy, Julie Decorruée, Olivier Remisz…

Mes indispensables 2 Papillons, Grattman, Bassman et Battman

Un merci tout spécial pour leur talentueuse voix à Corinne Berlioz et Thierry Romanens

Le plus grand merci à mon père, ce héros.

Enregistrement au Studio Marcadet Piano, claviers, voix, guitare sèche : Nicolas Fraissinet
Réalisation : David Obeltz et Nicolas Fraissinet Guitares : Loic Molineri
Enregistrement et Editing : Nicolas Bourrigan Basse : David Obeltz
et Jean Camille Lavaud
Batterie, percussions : Liam Maclight
Prise de voix de Thierry Romanens au Studio Artefax Violon : Rosalie Hartog
Violoncelle : Clémence Ralincourt
Mixé par Rémi Durel au Studio de la Cave Trompette : Marie Cogné
Trombone : Jean-Pierre Cogné
Masterisé par Chab chez Translab
La mer, quelques coups de vent, des bruits de feuilles,
Photographies : Gwennegan petits cristaux, sirènes chantantes, le voisin qui pianote,
Design : Rachel Savoie quelques chuchotements, petits grattements de harpes
lointaines, un cointement de pingouin…
Management Delphine Bourgeois & Thomas Barbier
dtb2 | dbourgeois@dtb2.com
,E PINGOUIN 03 : 55 *EREGARDELAMER Je regarde la mer sous les yeux de mon père qui me regarde faire
Je regarde la mer et mon enfant se taire devant ses eaux en guerre
( Nicolas Fraissinet ) ( Nicolas Fraissinet ) 03 : 50 Dis-moi encore une fois que tu n’iras pas là-bas
Ne me laisse pas là je viendrai avec toi
Pour la dernière fois je partirai sans toi
Je suis un petit pingouin ma banquise est très loin Piano, claviers, voix, guitare sèche :
Mais le monde ici-bas vaut la peine que tu y sois
Nicolas Fraissinet
Tout seul je prends mon bain dans l’immense piscine Violoncelle : Clémence Ralincourt Je suis jeune mais déjà vieux car je n’ai pas trouvé mieux
Océane et saline Que de vouloir partir avant de construire
Je ne saurais te dire qu’il est dur et même pire
Je suis un petit pingouin qui n’a rien qui n’a rien De marcher sans faiblir
Je n’aurai pas de bambin enfin j’imagine Tu es encore un enfant tu dois rêver d’être grand
Entouré de pingouines Moi mon corps est un soupir une statue de cire
Je ne saurais te dire qu’il est dur et même pire
Je voulais tant me dire que mon AVENIR m’amènerait un NAVIRE De marcher sans faiblir
Je voulais tant partir de mon si pauvre empire pour ne pas y moisir J’imagine mon père sous les eaux de la mer et finir par se taire
C’est mon seul désir Je ne vois plus la mer car mon enfant me serre de sa tendre colère
Dis-moi encore une fois que tu ne partiras pas
Je suis un petit pingouin de banquise en bassin Je m’enterre avec toi si tu m’abandonnes là
Tout seul j’ai du chagrin je me fais la cuisine Pour la dernière fois tu resteras sans moi
Il n’y a que des sardines Mais tu me dois l’espoir que tu resteras
Je suis jeune mais déjà vieux car je n’ai pas trouvé mieux
Je suis un petit pingouin qui n’a pas de béguin Que de vouloir partir avant de construire
Je n’ai même pas de copain ma banquise est trop fine Je ne saurais te dire qu’il est dur et même pire
Pour que d’autres y butinent Piano, claviers, voix : Nicolas Fraissinet De marcher sans faiblir
Guitares : Loic Molineri Tu es encore un enfant tu dois rêver d’être grand
Je voulais tant me dire que mon AVENIR m’amènerait un NAVIRE Basse : David Obeltz Moi mon corps est un soupir une statue de cire
Je voulais tant partir de mon si pauvre empire pour ne pas y moisir Batterie, percussions : Liam Maclight Je ne saurais te dire qu’il est dur et même pire
C’est mon seul désir Violon : Rosalie Hartog
De marcher sans faiblir
Violoncelle : Clémence Ralincourt
Un jour je pris les devants me croyant assez grand Mais tu n’as pas le droit de me laisser comme ça
Mais qui parle de moi crois tu que j’ai le choix ?
Au dos d’un requin blanc qui me parut très endurant Tu veux déjà partir tu n’me connais même pas
Mais je n’avais pas vu ses dents Mon enfant mon sourire mon AVENIR est en toi
Je voulais tant me dire que mon AVENIR m’amènerait un NAVIRE Tu ne m’écoutes pas à quoi bon ces prières ?
Ma vie est en éclats je te laisse ma lumière
Je voulais tant partir de mon si pauvre empire pour ne pas y moisir Qu’ai-je à faire de ces mots si je perds mon père ?
C’est mon seul désir Qu’ai-je à faire de mes maux car de toi je suis fier
J’étais un petit pingouin qui voulait être conjoint Je n’ai pas eu le temps de te ressembler
Tu es bien assez grand pour savoir qui tu es
Mais les seuls témoins de mes humeurs câlines
Tu n’as pas l’air conscient de ce qui va manquer
Furent cinquante canines Ne crois tu pas autant que je vais te pleurer ?
Je voulais tant me dire que mon AVENIR m’amènerait un NAVIRE Je te vois t’éloigner ne te détourne pas
Je l’entends m’appeler au plus profond de moi
Je voulais tant partir de mon si pauvre empire pour ne pas y moisir Ne regarde pas la mer où mon AVENIR se noie
C’était mon seul désir Je regarde la mer qui nous séparera
,A&mE#LOPETTE ,AMUSEVmNALE
( Nicolas Fraissinet ) 02 : 44 ( Nicolas Fraissinet ) 03 : 22

Piano, voix : Nicolas Fraissinet


Guitares : Loic Molineri
Dans un bois il y avait une Fée qui se nommait la Il la prit à la sauvette lui explosa la lorgnette Basse : David Obeltz
Fée Clopette Puis en cendres elle disparut consumée cette Batterie : Liam Maclight
Toute fine de blanc vêtue elle n’avait qu’une chose amourette
en tête Plus tard le garçon mourut pour une simple
Qu’un prince charmant s’arrête et lui enfile sa pulmonette
baguette Mais son âme tire encore en levrette cette chan-
Un jour un bellâtre passa elle lui fit sa chansonnette sonnette
Je suis une chanteuse de 14 à 20 ans
Tire tire fume moi Tire tire fume moi Prépubaire à vie je montre mon cul à tous les vents
Enflamme ton bout d’allumette Je brûle de ton allumette C’est ça qui vend
Tu ne le regretteras pas En cendres tu voleras Qu’importe ma voix car ce qui compte c’est ce qu’on voit
Moi je vais te faire ta fête Moi je suis la Fée Clopette Mes seins sont le label qui aux suffrages a toutes les voix
Le corps est roi
Cette perfide cigarette lui jeta un sort en tête Si un jour vous la croisez vous reluquer de ses
Allumé par cette fumette il l’emmena en charrette mirettes Américaine et pieuse je suis une pute de la chanson Américaine et pieuse je suis une pute de la chanson
Ils allèrent compter fleurette pour enfin tirer fléchette Sans vous retourner fuyez il se peut qu’elle vous Je suis une artiste, pochette surprise dans tous mes Moi, on m’avait dit «Tu seras riche et adulée de tous ces
Excitée la Fée Clopette repoussa sa chansonnette arrête disques gens,
Car elle veut pour s’enflammer une vigoureuse Mes photos sont belles comme une réplique de rhétorique Qui dansent»
Tire tire fume moi allumette Je revendique Bien sûr je détruis l’adolescence mais j’aime ces jeunes
Fait briller ton allumette Quittez la sans écouter sa terrible chansonnette Je chante l’amour sans arrêt et sans détour, en transe
Tu ne le regretteras pas Car ils dépensent
Ça serait banal si mon corps était normal
Moi je vais te faire ta fête Tire tire fume moi
Consumons notre amourette Mais je m’étale Américaine et pieuse je suis un drame de la chanson
En fumée tu partiras Américaine et pieuse je suis un drame de la chanson Je me vends comme un rêve je suis un fantasme idéal
Moi je suis la Fée Clopette
Vouée à mes seins patrons du commerce de mes fesses Je rachète vos désirs en échange de cet Argent sale
Pactisant avec les bistouris de ma jeunesse Je suis une muse vénale
L’éternelle jeunesse.
Je suis une star caméléon dans tous les arts
J’écarte les jambes lorsque ma voix fait des écarts
Les yeux s’égarent
Piano, voix : Nicolas Fraissinet
Deuxième voix : Corinne Berlioz
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
0ETIT#ON 03 : 51
( Nicolas Fraissinet )
Je marche avec les yeux sur le côté Avec le vent qui me ramène
Ça te rappelle encore notre passé Avec le vent qui me ramène Vers le tourments où tu me traînes
Regarde Petit con les années qui nous séparent Je n’savais voir qu’il y a tant à croire
Regarde Petit con les voies où ta jeunesse s’égare Croire à ces images de l’amour au deux las du noir Je marche avec les yeux sur ton côté Vers le tourments où tu me traînes Ton corps attend que j’y revienne
Regarde Petit con le mal de tes tendres erreurs Tu me regardes encore Ton corps attend que j’y revienne Avec le temps vont et viennent
Regarde Petit con la taille de tes fausses douleurs Au fil du temps qui saurait devenir grand ? En corps Avec le temps vont et viennent Tes airs troublants qui me retiennent
Tes airs troublants qui me retiennent Sans engagement tu me déchaînes
Je croyais me dire rien ne se fait sans pleurs Regarde Petit con mes années de travail Avec le vent qui me ramène Sans engagement tu me déchaînes Je passe le temps de notre ancienne
Je croyais qu’il ne faut pas vivre pour ne pas avoir peur Tant d’efforts à bâtir ce que ta jeunesse entaille
Vers le tourments où tu me traînes Je passe le temps de notre ancienne Histoire d’amants couleur de peine
Regarde Petit con les plaies qui lacèrent ton visage Je n’voyais pas l’espoir aligné dans vos mains Ton corps attend que j’y revienne Histoire d’amants couleur de peine Faut il vraiment qu’on y revienne?
Regarde Petit con la guerre cette folie de ton âge Je croyais vous suivre mais je ne crois plus à rien Avec le temps vont et viennent Faut il vraiment qu’on y revienne? N’est-il pas temps que l’on éteigne
Tes airs troublants qui me retiennent Et pour autant qu’on s’en souvienne Les feux ardents qui nous méprennent?
Je voulais voir de nous qui était le plus fort Au creux de ma jeunesse je caresse Sans engagement tu me déchaînes En sentiments fermons l’arène
Je croyais penser qu’il faut se battre pour ne pas avoir tort Le temps et son ivresse qui nous presse
Attendant la promesse la tendresse Est-il prudent que l’on se prenne? Je marche avec le cœur sur le côté A moins vraiment que tu y tiennes?
Au fil du temps qui saurait devenir grand ? D’une sagesse Tu vois j’aspire encore à te respirer
Je marche avec la main sur le côté Je marche avec le cœur sur ton côté
Regarde Petit con la femme qui pleurait à ta porte Au creux de ta jeunesse tu caresses Me vient à fleur encore une idée Ça fait du tort en corps
Regarde Petit con elle était belle, elle était forte Le temps et son ivresse qui nous presse Je marche avec la main sur ton côté De se croiser
Attendant la promesse la tendresse
Je voulais voir jusqu’où mon image résonne D’une sagesse Et je t’effleure encore
Je n’voulais voir l’Amour en personne En corps
Au creux de ta faiblesse je caresse
Regarde Petit con la mort qui nous attend tous Le temps et son ivresse qui nous presse
Regarde Petit con l’amour qui la repousse Attendant la promesse la tendresse
D’une sagesse !VECLEVENT 03 : 59
( Nicolas Fraissinet )
Aux fils du temps qui saurait devenir grand ? Piano, voix : Nicolas Fraissinet
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
Violon : Rosalie Hartog
Trompette : Marie Cogné
Trombone : Jean Pierre Cogné

Voix : Thierry Romanens


Piano, voix : Nicolas Fraissinet
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
Violon : Rosalie Hartog
2EVIENS 04 : 19
( Nicolas Fraissinet )
,´AMOUR 03 : 55 Piano, voix : Nicolas Fraissinet
Deuxième voix : David Obeltz
( Nicolas Fraissinet )
Piano, claviers, voix : Nicolas
Fraissinet Reviens j’étais petit quand tu as pris le dernier train
Guitares : Loic Molineri Si tu voyais comme j’ai grandi je me sens bien
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight Si ton regard pouvait me prendre la main

Reviens pour faire briller sur mon chemin les lueurs


du tien
Elle voyait l’amour comme un père de secours Toi et moi saurons nous aimer sans peine ?
Mais je sais bien que l’au delà est un terrain
A défaut de s’aider du vrai Toi et moi malgré le passé qu’on traîne
Où tu prépares mon bonheur tout près du tien
Erreur de parcours ou logique détour Toi et moi saurons nous nous aimer sans peine ?
Trop de passé la retenait
Reviens toi mon grand père ou toi mon frère toi mon Si tu savais comme je te hais parfois
Elle apprit l’amour comme un chien dans sa cour
copain Et ce bonheur si loin comme toi de moi
Il faisait la cour au pied d’immenses tours Sûre que ses parents reviendraient
Qui que tu sois en disant cela je suis chacun Je n’y crois pas tu n’es plus là
Bien sûr personne ne répondait Aujourd’hui toujours elle se joue leur retour
De tous vos cœurs à qui l’on a volé quelqu’un
Eternel retour vers l’échec de l’amour Dans des conquêtes auxquelles elle se soumet
Reviens c’est à ma joie que je m’adresse ce matin
Oserait-on dire qu’il le faisait exprès ?
Reviens je sais bien qu’il y aura tant à faire demain Car où qu’elle soit au nom de toi je lui dois bien
Il connut l’amour comme un corps qu’on laboure
Mais je serai seul pour partager ce qu’en commun De faire rêver mon cœur comme tu faisais si bien
Ce que le petit enfant n’a pas eu il ne l’aura jamais… Fidèle à ce qu’on lui avait fait
On s’était promis de voir ta main dans ma main
Il chercha secours dans les remises à jours
Reviens si tu voyais comme j’ai changé loin de tes
Il voyait l’amour comme un compte à rebours De ces violences comme si ça lui plaisait !
Reviens car mon courage se fait volage ce matin mains
Jusqu’au jour où il se marierait
Dans ces orages je me soulage du ciel serein Notre passé je l’oublierai il le faut bien
Son cœur à rebours lui fit rater son tour Ce que le petit enfant a perdu il ne l’aura jamais
Où je présage que tu m’attendras vers la fin Mais avant que j’y parvienne reviens
Laissant passer celle qu’il espérait
Mais toi et moi, quelle histoire nous mène ?
Reviens toi mon mari ou toi ma femme ou toi mon chien Reviens ce doux regard que je croiserai un matin
Elle voyait l’amour comme la roue de secours Toi et moi saurons nous aimer sans peine ?
Qui que tu sois en disant cela je suis chacun Redonnerait-il le goût d’aimer je crois enfin
D’un idéal qu’elle espérait Toi et moi malgré le passé qu’on traîne,
De tous nos cœurs à qui l’on a volé quelqu’un Et toi de loin trouverais tu ça bien ?
Mais jour après jour aucun dieu alentour Toi et moi saurons nous nous aimer sans peine ?
A t’elle encore le cœur insatisfait ?
Reviens cette lumière qui baignera mon cœur demain
Faisons-nous l’amour comme le font les vautours
Je suis à toi je n’oublie pas tu le sais bien
Ce que le petit enfant a trop vu l’oubliera t’il jamais ? Emportés par un vent mauvais ?
Pardonne moi mais c’est la vie qui me revient
Aurons-nous l’amour de discuter un jour
Mais toi et moi quelle histoire nous mène ? Avec les monstres qui nous effrayaient ?
Piano, voix : Nicolas Fraissinet
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
-ES#HIMnRES Etale toi des couleurs noyant les tracés vénitiens
Etoffe toi des rigueurs séchant les tracés florentins
( Nicolas Fraissinet ) 04 : 23 Sous le coup de mes chimères c’est mon amour que je
transfère
Je peins mon espoir de vert et fais de toi mon destin

refrain
,ESILENCE 04 : 47
( Nicolas Fraissinet )
Viens poser mon icône passée aux pinceaux du Poussin
Fais moi des lumières comme au creux des tableaux du Je viens croquer ton regard
Lorrain Je sais bien qu’il n’est pas trop tard Le silence un ange passe et nous laisse
Silence les anges sonnent la messe
Sous le coup de mes chimères pour par amour te satisfaire Je peins de bleu et noir Une absence en guise d’allégresse
De l’absence d’un cœur que l’on dresse
Je peins mon espoir de vert et fais de toi mon dessin Mon regain d’espoir Le silence est d’or pauvre richesse
Le silence est d’ores et déjà l’adresse
Face aux danses bruissantes d’une caresse
De la danse qui finira l’ivresse
Allonge toi à l’italienne sous les tentures du Titien Vois nos mortes natures telles un fruit tombé de Chardin J’ai connu tellement d’histoires à vendre
J’ai couru à trop vouloir comprendre
Fais toi sud-américaine sous les chaleurs de Gauguin Ne vois pas les souillures cachées sous les anges de Le silence a fini par les pendre
Le silence à défaut de l’attendre
Sous le coup de mes chimères c’est mon amour que je Rubens
libère Qui aurait donc mis en terre ces tentations que l’on Le silence un ange passe et nous blesse
Mais j’entends le bruit de ce manque à ma vie
Je peins mon espoir de verre et fais de toi mon dessein préfère ? D’une absence fausseuse d’allégresse
Je te cacherai l’enfer planté au creux du jardin Le silence un or d’une autre richesse Qui tonne et résonne que personne n’envie
refrain Je te cacherai l’enfer planté au creux du jardin Si l’on danse plutôt pour les caresses Mais j’entends le bruit de ces heures que je fuis
Je voudrais seulement savoir offrir Je te cacherai l’enfer planté au creux du jardin J’ai voulu tellement savoir entendre Dont aucun ne donne les raisons que j’oublie
Des couleurs à ton sourire Le silence de tous ces cœurs à prendre
Je sais bien qu’il faudrait te dire refrain Le silence mon ange chante à l’inverse
D’empêcher nos tons de pâlir Mais j’entends le bruit de ce manque à ma vie Les absences qui règlent sa détresse
Je voudrais seulement savoir offrir Qui tonne et résonne que personne n’envie Le silence un or qui agresse
Des couleurs à ton sourire La brillance de nos tendres caresses
A défaut de mots pour le dire Mais j’entends le bruit de ces heures que je fuis
J’ai voulu tellement pouvoir tout prendre
Je laisserai le blanc rougir Piano, claviers, voix : Nicolas Fraissinet Dont aucun ne donne les raisons que j’oublie En silence à défaut de t’attendre
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
Violoncelle : Clémence Ralincourt
Piano, claviers, voix, guitare sèche :
Nicolas Fraissinet
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
Trompette : Marie Cogné
6OISCOMMEJET´AIME .OSERREURS 04 : 49
( Nicolas Fraissinet ) 03 : 40
( Nicolas Fraissinet )
Je marche je cours je vole je crie
Je m’accroche à la vie Ne me dis pas Ne me cherche pas
Mais toi reste devant Qu’on se reverra C’est inutile je crois
Je crois que c’est mieux comme ça Va voir ailleurs je reste las
REFRAIN
Je lâche le cours d’un vol de cris Ne pleure pas
Je tiens tant à la vie C’est ma faute de toi Mais je t’aime encore assez pour taire
Mais toi tu passes avant C’est vrai parfois que l’on s’entache Vois comme je t’aime c’est
Tout devait finir et voilà Les insultes passagères
De ces regards qu’on crache grand
Est-ce vraiment intelligent ? C’est quand l’amour se fait trop lourd *ET´AIMET´AIMAISENCOREHIER Retourne chez ta mère
Tu traverses le temps
C’est vrai parfois que les bémols -AISUNCOUPDESERPEHIER Et fais moi de l’air
Je marche je cours je vole je crie Se font venin dans nos paroles De mes heures blêmes en
-´ATRANCHmAUC®UR Je dois réapprendre à plaire
Je t’accroche à ma vie Même si l’amour est notre contour
courant
Et toi reste devant Tu marches avec le vent 0ARDEDANS *ET´AIMET´AIMAISENCOREHIER
Et chaque jour je me le dis tu me Ça nous ramène souvent ,AVmTESSAVEURS -AISUNCOUPDESERPEHIER
Je lâche le cours d’un vol de cris tiens par la vie
Je te tiens dans ma vie Vers ces soirs où nous 4ROPSOUVENT -´ATRANCHmAUC®UR
Est-ce ça aimer vraiment ? *ERmCOLTENOSERREURS
Comme ça tu passes avant serons les emblèmes 0ARDEDANS
Et chaque jour on se le dit que nous De nos anciens désirs Ne crie pas ,AVmTESSAVEURS
Est-ce vraiment intelligent ? c’est pour la vie d’enfants Je regrette déjà 4ROPSOUVENT
Enfin j’aimerais vraiment Pourquoi je décroche de toi *ERmCOLTENOSERREURS
Vois comme on sème un
Tu gâches l’amour que l’on Deviendrait-on intelligents ? Ne raccroche pas
bonheur que les mots Laisse moi ta voie
s’écrit
Tu me pourris la vie
Ne sauraient dire tellement Mais fais moi plaisir oublie moi
Mais je reste pourtant c’est haut
Vois comme on sème du *ET´AIMET´AIMAISENCOREHIER
Je tâche d’être sourd quand tu bonheur sur les maux -AISUNCOUPDESERPEHIER
t’écries -´ATRANCHmAUC®UR
Dont nous souffrions quand
Je te pourris la vie 0ARDEDANS Voix : Corinne Berlioz
mais tu restes autant nos cœurs seuls prenaient Piano, voix : Nicolas Fraissinet
l’eau… ,AVmTESSAVEURS
Est-ce vraiment intelligent ?
Piano, voix : Nicolas Fraissinet
4ROPSOUVENT
Guitares : Loic Molineri *ERmCOLTENOSERREURS
Basse : David Obeltz
Batterie : Liam Maclight
Violon : Rosalie Hartog
Violoncelle : Clémence Ralincourt
1UELQUEPART )NTERLUDE¯"ERCEUSEPOURLESOURS
( Nicolas Fraissinet ) 02 : 23
( Nicolas Fraissinet ) 03 : 45
Piano : Nicolas Fraissinet
Piano, voix : Nicolas Fraissinet Violoncelle : Clémence Ralincourt
Guitares : Loic Molineri
Basse : David Obeltz

,A&mE
Batterie : Liam Maclight
Trompette : Marie Cogné 03 : 55
Trombone : Jean-Pierre Cogné
Tout n’est pas perdu ce soir ( Nicolas Fraissinet )
Tu as toujours le même regard Piano, claviers, voix : Nicolas Fraissinet
Quelque part dans ma rue Tout n’est pas perdu ce soir
Nous nous étions aperçus Tu me demandes de rester tard Je ne mange pas Je voulais tellement être aimée pardon c’est tout ce que
Quelque part dans ta rue Tout n’est pas perdu ce soir C’est au delà du corps que je refuse tout ça j’ai trouvé
On se regarde sans trop y croire Je vomis même la mort J’étais Cybèle si vous saviez mais aujourd’hui je suis
Nous nous étions retenus
Tout n’est pas perdu ce soir Mes parents n’ont rien à faire dans cette vie qu’ils m’ont une Fée…
Et puis voilà on parlait de toi de moi
Tu me demandes de rester tard donnée
Mais je voudrais qu’ils s’y intéressent ou qu’ils la Je ne mange pas
Quelques pas dans ma vie reprennent à jamais Traitez moi de connasse car je ne sais pas
Ensemble nous nous sommes assis Pourquoi demander grâce
Après quelques pas dans ta vie Comme tu vois on reste ensemble malgré la fin de notre histoire
Je ne mange pas Ceux qui m’ont vue souffrir finiront par me mépriser
On s’est dit « tout est fini » Comme tu vois on se rassemble même si l’on change de trottoir
Je perds toutes mes forces mais je ne lâcherai pas Mon beau malheur vous fera fuir si je décide d’y rester
Oui mais voilà on reste toujours là Comme tu vois on se ressemble même si des routes nous séparent De mon corps je divorce
Comme tu vois on reste ensemble à ton adresse mon cœur se perd Mes parents m’ont protégée de tout ce qui pouvait brûler Je ne mange pas
Tout n’est pas perdu ce soir en faire-parts Si bien qu’aujourd’hui je suis celle qui souffle sur les Ça me fout la nausée de vous voir las
Tu as toujours le même regard braises sous mes pieds Je meurs si vous partez
Tout n’est pas perdu ce soir C’est vrai que le bonheur mort est aidé à exister
Tu me demandes de rester tard Quelque part loin de nos rues Je ne mange pas Mais j’ai choisi la douleur j’ai cru bien faire j’me suis
Tout n’est pas perdu ce soir On voulait partir, t’en souviens tu ? Je suis bien trop tenace mais je ne sais pas plantée
On se regarde sans trop y croire Quelque part je ne sais plus Quelle est vraiment ma place
Tout n’est pas perdu ce soir Nous nous sommes perdus de vue Je me venge en silence de ma vie que je crois ratée Je ne mange pas
Tu me demandes de rester tard Oui mais voilà on parle encore de toi de moi Je vous emmène dans ma danse je ne veux pas être seule J’amaigris vos sourires
à couler Je ne mange pas
Quelque part tu as disparu Je vous aime c’est ça le pire
Changeant d’amour et d’avenue Je ne mange pas Je défie les blessures que je n’ai pas su digérer
Quelque part j’y avais cru Regardez moi je meurs car quand je ne mange pas Ma vie a le goût de la mort c’est pas facile à avaler
Au croisement de nos deux rues Tout le Monde a peur
Oui mais voilà tu passes toujours par là

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