Explorer les Livres électroniques
Catégories
Explorer les Livres audio
Catégories
Explorer les Magazines
Catégories
Explorer les Documents
Catégories
et de popu
population
at o
La compréhension du déterminisme et de la
t
transmission
i i d des caractères
tè d
doit
it aussii ét
étudier
di
les individus dans les conditions naturelles où ils
sont génétiquement uniques et libres de se
reproduire avec n'importe quel autre individu de
la même espèce. Cette partie de la génétique,
qui considère les individus en interactions avec
leur environnement, est la génétique des
populations.
La génétique des populations
permet
d'estimer dans les population la fréquence des
allèles responsables de ces maladies lorsque leur
dét
déterminisme
i i estt simple
i l ett connu.
de calc
calculer
ler le risq
risque
eqqu'un
' n indi
individu
id soit atteint d'
d'une
ne
maladie génétique = conseil génétique. d'estimer
le taux de mutation associé à une maladie
génétique.
*Pour
Pour déterminer les fréquences génotypiques
il faut soit étudier les caractères semi dominants
ou codo
codominants
a s so
soit app
appliquer
que les
es méthodes
é odes
permettant de rechercher les hétérozygotes.
Exemple:
On calculera:
*Les fréquences
q génotypiques:
g yp q
D=f(A1A1)= n1/n
H=f(A
( 1A2))= n2/n D+H+R=1
R=f(A2A2)= n3/n
*Les fréquences géniques ou allèliques:
f(A2) = q = R+ ½ H
p+q=1
Loi de Hardy Weinberg
Au cours des g générations,, la fréquence
q des
génotypes reste constante d'une génération à l'autre
si :
*La population est panmictique (les couples se
forment au hasard : panmixie).
panmixie)
*La population
*L l i est trèsè grande:
d pour minimiser
i i i lles
variations d'échantillonnage.
*Pour
Pour un locus diallèlique A/a
A/a, l’échantillon
l échantillon
étudié peut être divisé en deux catégories: n1
individus normaux [A] et n2 individus de
phénotype mutant [a].
L unions
Les i aléatoires:
lé t i
*Après reproduction panmictique, la répartition
génotypique prévue par la loi de HW est:
Génotype
yp AA Aa aa
Fréquences p2 2pq q2
Phé t
Phénotypes [A] [A] [a]
[ ]
Fréquences
q (p2+2pq)
pq) q2
nb observé n1 n2
q2= n2/n1+n
n2 q=
q n2/n1+n
n2
Exemple :
phénylcétonurie (autosomique récessive)
récessive), dont le
gène délétère a une fréquence de 1/100:
--> q = 1/100 donc, la fréquence de la maladie
est q2 = 1/10 000,
et la fréquence
f des hétérozygotes est 2pq = 2 x
99/100 x 1/100 = 2/100;
N
Noter que lles hé
hétérozygotes
é sont nombreux:
b
1/50, deux cent fois plus que les atteints.
Pour une maladie rare, p est très peu différent
de 1, et la fréquence des hétérozygotes = 2q.
Écart à la loi de HW:
Sélection
*Un iindividu
*U di id quii possède
èd deux
d gènes
è
identiques par descendance est dit autozygote ou
consanguin.
consanguin
*Un iindividu
*U di id consanguin
i estt fforcément
é t
homozygote, mais un individu homozygote
n’est
’ t pas nécessairement
é i t consanguin i
*Dans
Dans la fraction (1
(1-F)
F) ll’association
association des
allèles est régie par la loi de HW.
En fonction
E f ti ded F appelé
lé cœfficient
ffi i t de
d consanguinité;
i ité
la répartition génotypique sera:
allèle
llèl non id
identiques
ti allèles
llèl ididentiques
ti
F= P(I=AA)+P(I=aa)
P(I=AA)=
P(I AA) 1/2X1/2 X 1/2X1/2 X 1/2X1/2
= (1/2)6
P(I
P(I=aa)=) 1/2X1/2 X 1/2X1/2 X 1/2X1/2
= (1/2)6
F 2(1/2)6 = (1/2)5
F=2(1/2)
Soit m le nb de chaînons reliant l’ancêtre à la mère et p
ceux lel reliant
li t au père
è
F= (1/2)m+p+1
S’il y a plusieurs
l i ancêtres
êt communs lle coefficient
ffi i t dde
consanguinité se calcule comme suit:
Σ(1/2)m+p+1
F(I)=Σ(1/2)
F(I)
Si F(C)=0