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UNIVERSIDAD PEDAGÓGICA NACIONAL

NATALIA HERNÁNDEZ SUÁREZ


LE 4 OCTOBRE 2019

LA QUESTION PRÉALABLE

Découverte

2. Comment comprenez-vous le titre du livre d’où est extrait ce passage? Quelle peut être cette
«question préalable»?

À mon égard, «La question préalable» exprime la problématique de la littérature en français. En


utilisant le mot préalable il nous avertit de la situation de la littérature francophone, laquelle a un
désavantage face à la littérature français. Cette situation n’est pas examiné par les personnes qui peut
faire quelque chose avec cette problème, au contraire elle y est soutenu et légitimé par les autorités
compétentes. Donc la question préalable a mon avis est : Francophonie rime-t-il avec mépris?

4. Paragraphe 1: Quelle a été l’attitude des colons anglais et français face aux colonisés et
pourquoi? Qu’en pensez-vous?

Les deux approches sont totalement différentes. D'une part les Anglais ne voulaient pas transmettre
leur vision du monde, ils ont utilisé la persuasion pour réussir à leurs propres objectifs. D’autre part les
Français ont été convaincus de leurs valeurs et ils ont voulu les transmettre.

Je pense qu’il est difficile d’unifier des cultures qui ont beaucoup de valeurs, rituels et croyances
irréguliers. Cependant les Français ont croyé que leur vision du monde était mieu que la vision du
monde des colonisés. De même ils ont croient que leur avance au niveau social et académique peut-être
transmis, cette idée est très belle mais elle est très compliqué de faire réelle. Finalement, en
transmettant leurs valeurs et vision du monde ils ont essayé d'effacer l'essence des peuples et de
montrer qu'ils étaient supérieurs que les colonisés.

Exploration

3. «Le nouvel (...) littérature»: Quelle critique fait Godbout des Français? Commentez la
métaphore du banquier. Finalement, que serait la francophonie?

La critique qu’a fait Godbout des Français c’est qu’ils ont continué une relation coloniale avec les
libérées, parce qu’ils ont décidé de nommer leur nouvelle relation avec eux : Francophonie, un terme
qui a devenu une hiérarchie dans laquelle la France c’est la tête. Aussi la métaphore du banquier est une
exemple de cette hiérarchie. Parce que Paris est la succursale principale du banque, donc elle décide
quelle est la littérature de prestige et quelle sont les auteurs importantes. C’est pourquoi paris, comme
le banque, doit protéger la langue et aussi la littérature que sont un trésor et par conséquent elles ne
peuvent pas être entachés. Finalement et comme j’ai déjà dit la francophonie est un terme qui nous dit
que les pays qu’on appelle francophone ont une relation directe avec la France, la langue française et un
passé coloniale, De la même façon nous parvienne que leurs écrits intellectuels et d’autres types ne sont
pas si bons comme les écrits Français.
5. Que remarque l’auteur lorsqu’il compare les universités française et américaine? Qu’est-ce qui
peut paraître paradoxal, contradictoire? Logiquement, à quoi devrait-on s’attendre?

Godbout explique le cas des universités des Etats-Unis qui sont plus ouverts aux littératures
francophones que les propres Français. Étant donné que les Français partagent la langue avec les
personnes des pays francophone, il semble paradoxale, puisque c’est un pays de langue anglaise le plus
intéressé en reconnaître cette matériau littéraire. De plus il est étonnant que les universités américaines
donnent aux étudiants plus d'informations des auteurs francophones que dans les universités
françaises, quand il y a une barrière linguistique entre les pays francophone et les États-Unis. Donc c’est
évident que les oeuvres francophones ne sont pas acceptés par les universités Françaises comme elles
sont dans les universités americains.

6. Que permet l'Amérique aux auteurs «francophones»? En connaissez-vous d’autres dans cette
situations (Recherchez-les dans ce manuel)? Que nous laisse deviner Godbout de la France?

Il est évident que la France ne reconnaît pas les oeuvres francophones. Même s’ils disent que la
littérature monde est possible la réalité c’est une autre. La hiérarchie est si fort que les universités n’ont
pas accepté les oeuvres des auteurs du pays francophone dans leurs salles de classe, cela n’est pas une
coïncidence, au contraire il est simplement une manière de conserver la supériorité du colons.

7. Avec les «droits de l’homme et les lumières» dans «ses bagages», qu’est-ce que le français a
imposé à l’Autre, le colonisé, et que continue-t-il de faire? Implicitement, quel différence est faite
entre «Littérature francophone» et «Littérature monde»?

Les français ont imposé leur vision du monde, cette vision du monde avait comme composants les
droits de l¡homme et les lumières, donc pour les Français, les colonisés était une groupe des personnes
sans aucun raison pour protesté, car ils n’avaient pas de mécanismes pareils. La différence entre
«Littérature francophone» et «Littérature monde» c’est le prestige de l’une que n’a pas l’autre. C’est-à-
dire, la littérature francophone reste à la périphérie, elle n’a pas une acceptation comme une production
autonome qui a de valeur par elle même. Cependant la «littérature monde» met la littérature de la
france au même niveau que la littérature écrit en français, ce terme n’a pas l’intention de place la france
comme le centre de la production écrite en français.

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