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CHANTS POPULAIRES
PREMIÈRE SÉRIE
RECUEILLIE ET PUBLIÈE
PA1
Mme ELSIE HOUSTON-PËRET
Introduction par Philippe Stern
L'effort de la Bibliothèque Musicale est tourné Vert l'Orient, vers les contrées
lointaines et vers toutes les régions qui demeurent encore terres inconnues
sur la carte musicale. Elle espère ainsi ouvrir des voies d'accès vers des
formes d'art encore presque ignorées.
Elle entend, en général, offrir le document musical tel qu'il a été exécuté dane
son pays d'origine, avec ou sans harmonisation ou accompagnement
rythmique, cherchant la vérité plus que la facilité d'exécution. Parmi les
diverses versions d'un même chant, elle croit préférable d'en choisir une
et de la donner complète avec ses multiples ornements et inflexions, plutôt
que de réduire le chant à une simple^ ossature mélodique, commune aux
diverses variantes, mais jamais exécutés dans sa nudité.
Elle préconise l'emploi d'un petit nombrè de signes, qui viennent s'ajouter *
l'écriture habituelle pour indiquer ce que cette dernière ne peut exprimer,
et qui sont, pour la, musqué, ce que sont les signes, diacritiques pour les
langues. On trouvera dans chaque fascicule de la ; première série, la liste
de ces signes destinés à noter les quarts de ton, les timbres spéciaux de la
musique populaire et orientale, les accentuations spéciales des notes» etc.
|[>
: abaisse le son de plus d'un demi-ton et de moins d'un ton (3/4 de ton appro-
TIMBRE. , ximativement).
Guttural. Voix placée en arrière, un peu sombre.
Y Guttural et serré. Gorge contractée (timbre constant dans le " Flamenco"
andalou).
Guttural clair. Voix placée un peu en arrière, mais jamais sombre ni serrée;
l'émission est très ouverte, claire, mais non poussée en avant.
)( Voix et parole forcées ; gorge, larynx légèrement contractés.
C'est le contraire d'une voix trop aisée, doucereuse et fade.
Est constant dans le "guttural et serré" mais se trouve souvent ailleurs.
Donne une expression âpre, intense, contenue.
X Voix glapissante, perçante. Emission haute et forcée.
N Nasal. ) S'emploie pour toute nasalisation musicale, même celle
N Légèrement nasal. ) provoquée par les paroles.
Voix de tête ou de fausset.
Voix de poitrine.
1 Bouche fermée. Sombre, assourdi, sans éclat.
XXXX Peu net, pâteux, est dit parfois "savonné". Les notes s'interpénétrent.
Les contours mélodiques sont enveloppés, imprécis, continus.
rrn Détonnant : tendance à baisser légèrement sans jamais atteindre, même
de loin, un demi-ton. La mélodie est comme tirée vers les registres graves,
d'où souvent une expression de mélancolie et de nostalgie.
Ce signe abaisse tout un groupe de notes successives c'est donc
:
manière de chanter qui se rattache au style. On ne doit pas le confondre une
avec le signe qui abaisse de moins d 'un demi-ton une note particulière et qui,
ainsi, caractérise,d une manière fugitive ou durable, une échelle, un mode.
/wv /VV\. A/'A Vibrant. Tremblement léger et rapide dont l'oscillation est loin
d'atteindre un demi-ton. Même effet que la " voix céleste" de l'orgue.
ACCENT. — Signe habituel. Appui léger, sans à-coup, ne rompant pas la continuité de la
ligne musicale.
Même signe, prolongé. Provoque un étirement de la note, pas
assez mar-
qué cependant pour changer sa valeur. C'est un très léger point d'orgue
entraînant une liaison avec la note suivante.
1\ Signe habituel. Appui vigoureux, parfois très marqué.
Note très appuyée, attaquée par en dessous.
^ i Combinaison ( Note très appuyée, puis allongée, étirée.
/\ ) de signes l Note attaquée par en dessous, très appuyée et étirée.
? Coup de glotte.
Les signes de timbre soulignent toute manière de chanter qui s'oppose à notre émission
habituelle, claire, limpide, précise, séparant les notes, et à la voix placée en avant.
Quand ces signes ne modifient qu'une note, ils sont placés sur cette note. Quand ils mo-
difient un groupe de notes, ils sont répétés ou suivis d'une ligne de points. Quand ils s'appliquent
à toute la mélodie, ils sont inscrits à son début, au dessus de la portée, correspondant à l'arma-
ture de dièses ou de bémols de la clé.
Ces signes ont été conçus pour la voix, ils s'appliquent tout naturellement aux sonorités
instrumentales correspondantes.
Un signe de timbre plus petit et barré annule l'effet du signe correspondant. On
y a re-
cours quand un même signe de timbre apparaît et disparaît à plusieurs reprises dans le même
chant.
Les accents peuvent être redoublés et aussi se combiner entre eux.
Les ornements à peine perceptibles et aux contours peu nets sont parfois indiqués en
pe-
tites notes entre parenthèses.
Les liaisons sont constantes dans la musique orientale : les principales seules sont indi-
quées. Souvent la première note, la note inférieure, est accentuée, car, en Orient, on ne tend pas
vers le port de voix aisé, langoureux, à l 'italienne, la voix retombant sur la note d'arrivée; au
contraire, la voix souvent est un peu forcée, serrée sur la première note, accent qui sert de trem-
plin pour bondir vers la note suivante.
Les signes de hauteur ont été empruntés au système de M. Grassi. Des signes analogues,
mais plutôt moins clairs, sont fréquemment employés en Orient.
les chansons
Les chansons de ce recueil, comme presque toutes
gutturale,
populaires, doivent être chantées d'une voix légèrement
posée avant comme le préconisent nos méthodes de
et non en
chant. Ce guttural n'est pas assez marqué pour nécessiter signe
le
spécial l'indiquant.
ordinaire
Les signes employés qui ne sont pas ceux de l'écriture
figurent dans une liste ci jointe. Les accents sont surtout
fré-
quents. Ils servent à attirer l'attention sur des appuis sur les temps
faibles et sur des notes étirées, créant souvent ainsi des rythmes
légèrement syncopés. Ils indiquent également des notes attaquées
dessous. Il convient d'insister sur les différences des signes .
par en
note légèrement appuyée, note appuyée très nettement et note
appuyée et allongée.
Certains groupes inhabituels de croches et de doubles croches
sont voulus pour déterminer des ensembles irréguliers dus au
texte et séparés par de légères respirations. Des parties rapides,
au débit précipité et détaché se rapprochant de la parole et s 'op-
posant à des parties liées, sont parfois indiquées par une écriture
en notes séparées.
INTRODUCTION
1. Ilsnous ont été signalés par Mlle Capote Valente et M. Villa Lobos. Ce dernier
nous a également indiqué les chants notés par Lery au yvie siècle,
insistance cette note
y revenant inlassablement, répétant avec
essentielle. Ces chants paraissent anciens car ils sont tout proches
de ceux notés par Lery au xvie siècle 1. Ils évoquent certains
chants russes et leur rythme lancinant fait songer au Sacre du
Printemps. En eux aucune langueur; ils s'opposent ainsi conlplè-
tement à l'ambiance sud-américaine décrite plus haut.
Cette monotonie obsédante et prenante se retrouve dans les
mélodies araucaniennes, construites également sur peu de degrés et
revenant sur elles-mêmes en répétitions constantes. Mais dans
cette musique très raffinée malgré ces éléments fort simples, l 'obsé-
dante répétition sait, au moment opportun, se résoudre soudain,
descendante et détonnante.
avec une étonnante sûreté, en chute
Dans cette chute et dans la reprise, à la vigueur se trouvent unies
la grâce et la souplesse, sans aucune nonchalance pourtant. Les
contours sont légèrement « savonnés », les ports de voix serrés
montants et descendants très fréquents. Le tout est disposé sur une
armature de quelques notes formant accord de septième mineure
(tierce, quinte, septième mineure), notes importantes et répétées
entre lesquelles passent des vocalises.Cette armature est due sans
doute à l'imitation d'une petite trompe (birimbao), aux sons
extrêmement fins et colorés, chargés d'harmoniques, et qui doit
tout naturellement trouver les harmoniques du son principal.
Ce sont ces mêmes ports de voix, cette même armature qu'on
rencontre dans la chanson de Mme de Cabrera, mais l armature est
devenue un accord parfait majeur sans doute par l'influence d 'ins-
truments européens.
Un apport très important pour certaines musiques de l'Amérique
latine est l'apport nègre, si caractéristique et pourtant si difficile
à définir nettement. L'influencenègre, comme l'influence ibérique,
1.Jean de Lery. — Hisloire d'un voyage fail en lerre de Brésil, cité dans A musica
no Brasil de Theodoro Pereira de Mello. —
Bahia 1908.
apparaît comme une influence globale déjà assimilée quand elle
nous parvient, aussi est-il délicat de l'attribuer à telle telle
ou
tie de l'Afrique. Proche de la langueur sud-américaine définie par-
plus
haut, où d'ailleurs souvent transperce une influence nègre assimilée,
elle en diffère pourtant. Les chants où l'apport nègre domine
ont
généralement un rythme pressé et précipité qui demeure noncha-
lant; ils usent de degrés conjoints, de chromatisme souvent, et
une
sorte d'ambiance nègre s'en dégage, faite d'expression directe
et
détendue, naïve et souriante, de nonchalance unie à du mordant
et d'une nostalgie particulière. '
Un art n'est jamais isolé; ce n'est pas en
se soustrayant aux
influences qu'il montre sa personnalité mais
en les assimilant et
l'intérêt, la valeur des musiques de l'Amérique latine viennent jus-
tement des apports si divers qui s'y mêlent. Nous ne prétendons
cependant réduire ces musiques à des combinaisons d'éléments; pas
elles ont vécu, se sont transformées et leur originalité vient
de
cette transformation même, due peut-être parfois au climat. Mais
les musiques sud-américaines paraissent s'orienter entre
trois
pôles où dominent l'influence ibérique (qu'il faut de temps
en
temps élargir en influence européenne), l'influence indienne et
l influence nègre. Il nous a
paru utile de les dégager. Entre ces
extrêmes, bien des liens se tissent, qui donnent leur physionomie
spéciale à ces musiques : métissage de musique incasique et de
musique ibérique signalé par M. et Mme d'Harcourt
au Pérou et
dans les régions avoisinantes, fusion d'influence nègre et d'in-
fluence ibérique au Brésil comme le montre le présent recueil, etc.
La valeur de la musique populaire de bien des contrées de l'Amé-
rique latine a été parfois niée dans ces pays mêmes. On la jugeait
trop hâtivement sur des exemples rencontrés dans les grandes
villes où souvent l'influence européenne (musique de café-concert
et musique savante) avait tout déformé. Heureusement dans
l'arrière pays, loin des grandes agglomérations, subsistent de pré-
cieuses et d'anciennes traditions pour lesquelles l'intérêt semble
se réveiller. Nous espérons que la présente collection contribuera
à les faire connaître.
II
LA MUSIQUE POPULAIRE BRÉSILIENNE.
REFRAIN
Vois le bambo du bambou, bambou,
Vois le bambo du bambou, bamboubombê,
J'ai Vu le bambo rouler en boule par terre,
J'ai vu aussi la lueur
Que le bambou a faite en tombant à la mer.
(Refrain)
2. 0 BAMBO DO BAMBU
25 VERSION
EMBOLADA
(I) Onomatopée provenant du mot bambou et tendant à signifier un manque de stabilité (adj. masc.)
BAMBALELË (I)
REFRAIN
(1) Onomatopée
provenant du mot bamba (adj. fém.) tendant à exprimer un
manque de stabilité.
~
OH ! TROIS PIES
REFRAIN
Oh 1trois pies, repepêga, pele/éga, (1)
J'ai pris une pie,
REFRAIN
Fusil, pa 1 pa !
pa 1
Couteau pointu, ta 1 ta 1 ta 1 ta 1
8. FÔTÔRÔTÔTÔ
CHULA
1) Exclamation intraduisible provenant probablement de la déformation de Fontoura' là la (Fontoura est là). — Fontoura fut un préfet de
police de l'Etat de Bahia.
2) Le rossignol du Brésil, sorte de merle.
Indéréré,Ai!Jésus de Nazareth!
Indéréré,Ai!Jésus de Nazareth!
TAYERAS
1) Exclamation intraduisible.
2) Boisson faite avec du suc de
canne.
3) Instrument indigène à percussion.
ÉTOILE DU CIEL
11- XANGÔ(2)
1) Makumbebi et Makumbarlhâ sont des mots dérivés de Makumba, cérémonie religieuseimportée d'Afrique par les anciens esclaves.
2) Xangô est une invocation dans un idiome d'Afrique à Xangô, une des divinités de la Makumba.
12. ARRAZOAR
ARRAZOAR
REFRAIN
Oh 1 voisine, oh 1 ma dame,
Garde-moi quelque chose de bon,
Quelque chose de très bon
Et qui ne me fasse pas de mal.
REFRAIN
Oh1 ma chérie, ma colombe de riz /
Où sont les œufs que la poule a pondus,
Il y en avait trois, je n'en vois que deux 1
Je suis venu de la maison en ne pensant qu'à toi,
En volant dans les airs comme un corbeau.
Corbeau, corbeau, corbeau, corbeau,
Corbeau, corbeau, corbeau, corbeau 1
REFRAIN
Mon bateau est un voilier
Des vagues de la mer.
REFRAIN
Ça, c'est bon ; ça, c'est bon ; ça, c'est bon 1
C'est si bon que ça fait mal 1
La jupe de Caroline
M'a coûté cinq mil reis,
Traîne ta jupe, mulatresse,
le t'en donnerai cinq autres et ça t'en fera dix.
t (Refrain)
Mulatresse, relève ta jupe,
N'en laisse pas traîner la dentelle.
La dentelle coûte cher,
L'argent est dur à gagner.
(Refrain)
I) Bern te vi : je t'ai bien vu. Nom d'un oiseau du Brésil dont !e cri ressemble à cette phrase.
17- TOCA
r
A CANTA
COMMENCE A CHANTER
REFRAIN
La femme et la poule
Sont deux animaux intéressés ;
Pour la poule c'est le grain,
Pour la femme c'est l'argent.
(Refrain)
-
Estrellinha ppquf'nina
Correndo de norte a sill
E como sapato branco
Embaixo de saia azul
REFRAIN
Puxa o melã,o, sabia,£/<?...
PRENDS LE MELON, SABIA
REFRAIN
Prends le melon, sabia,
Sous l'oranger, sabiâ,
La mulatresse est bonne, sabia,
Mais ne se laisse pas prendre, sabiâ,
Elle est bonne, elle est bonne, sabiâ,
Mais ne se laisse pas prendre, sabla !
REFRAIN
Le petit oiseau vert
Est de la haute mer.
Ce sont ses caresses
Qui me font languir.
Brise ma poitrine. )
Comment mes chagrins
)
Peuvent-ils se tenir dans un si étroit espace. (bis)
Mi-mort, mi-vivant, jS
(bis)
Il veut finir en tes bras.
BRUNETTE, BRUNETTE
Brunette, brunette,
Tes yeux châtains,
Tes yeux brillants,
Sont deux diamants.
REFRAIN
Papa Curumiassú,
Maman Curumiary,
Le coq chante dans la serre,
Mon coq chante ici, (bis)
ChdJ^ coq ingrat.
REFRAIN
-
lào Che-gou la fez: pio! O.pi.ni -
ào o_pi_nLao opi-ni ào.
_
SABIÂ DE LA FORÊT
Oh Sabiâ de la forêt,
1
Oh 1 Sabiâ mon chéri /
Regarde le chemin, sabia.
Par où viendra mon amour.
Pour cela Sabiâ s'est fâché,
Il est allé aux champs cueillir un melon.
En arrivant là-bas, il fit ; piou /
Opinion, opinion, opinion.
é COUPLET
.2
A rosa ficou doente
0 cravo foi visital a
A rosa teve um desmaio
E o cravo poz se a chorar
L'ŒILLET S'EST QUERELLÉ AVEC LA ROSE
COUPLET
0 primeiro foi seu pae,
0 segundo seu irma.o
0 terceiro foi aquellp
A'quem Thereza deu a rnão
2t COUPLET
Leva, Nossa senhora,
Os anjinhos a remar!
Remem, remem remadores,
Que estas aguas sao de flores!
THÈMES INCOMPLETS
1) Lieu imaginaire où il y a
une fontaine.
L'ÉMOUCHET S'EST SERVI D'UN TAMIS
PREMIÈRE SÉRIE :
RECUEILS DE MELODIES
Format gr. in-40
AUBRY (P.). Le Rythme tonique dans la poésie HARCOURT (R. et M.). La Musique des Ineas
liturgique et dans le chant des églises chré- et ses survivances, 1 vol. de texte de 1 planche,
tiennes du Moyen Age, sa pp. gr. in-8, 1903. VII et 574 pp. in-4 broché, et 1 atlas de 39 pl.
Fr. 40 » dont 2 en couleurs, in-4 cart. 1925. Fr. &0 »
Le chant actuel dans les églises d'Orient : le AVANT-PROPOS. — Première partie : Les Instru-
les ments : Chap. 1 : Les sonnailles et les brmitaurs.
« XPONOE » (le rythme du « XPONOE » ; Chap. II : Les tambours et les xylophones. —
origines modernes du « XPONOE »)• — L'an- —
Chap. III : La trompe. — Chap. IV : La syrinx.
cienne tradition rythmique : l'accent. Chap. V : La Bute verticale et le flageolet.
Chap. VI : Les sifflets et les ocarinas. —
—
AUBRY (P.). Le Roman de Fauvel. Manuscrit Chap. VII : Les instrumenta à cordes. — Con- —
inédit de la Bibliothèque Nationale (français clusions. — Deuxième partie : Les fêtes et les
n* 146), reproduit par un procédé photographique danses : Chapitre unique. Troisième partie :
inaltérable,Avec une table des interpolationsmu- Le folklore musical ; Chap.—1 : Les monooies in-
diennes pures. < Chap. Il : La musique nétis-
sicales. 96 planches pet. in-folio, tirées sur papier sée. — Chap. III : Des rythmes. — Chap. -ILV :
Velvet Velox (Eastman) et montées à sec sur Les formes et les genres dé composition. —
papier creux sans colle, dans un cartonnage spé- Chap. V : Les textes poétiques^— Chap. VI r Les
Épuisé chanteurs et les instrumentistes. — Les mota-
cial, 1907 tions. — Chap. VII : Comparaison du folklore
musical andin avec le folklore musical de l'Amé-
AUBRY (P.). Cent motets du XIIIe siècle, publiés rique en général et celui de l'Espagne. — Qua-
d'après.le manuscrit Ed. IV, 6 de Bamberg, 143 pi. trieme partie : Les notations- musicales et poé-
phototypiques,3 vol. in-4, 1908.. Fr. 750 » tiques, leur analyse : 1"* section : Les chants re-