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D69793
Edition 1.0
Février 2011
D59999FR10
Manuel du stagiaire - Volume I
Gestion des clusters et ASM
Oracle Grid Infrastructure 11g :
James Spiller Cette documentation contient des informations qui sont la propriété d'Oracle
Corporation et sont protégées par les lois relatives aux droits d'auteur et à la propriété
intellectuelle. Vous ne pouvez copier et imprimer ce document qu'à des fins d'utilisation
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Jean-Francois Verrier ne pouvez pas utiliser, partager, télécharger, copier, imprimer, afficher, exécuter,
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Mark Fuller ou en totalité, sans l'autorisation expresse d'Oracle.
Mike Leatherman
Barb Lundhild Les informations fournies dans ce document sont susceptibles de modification sans
préavis. Par ailleurs, Oracle Corporation ne garantit pas qu'elles soient exemptes
S. Matt Taylor d'erreurs et vous invite, le cas échéant, à lui en faire part par écrit à l'adresse suivante :
Rick Wessman Oracle University, 500 Oracle Parkway, Redwood Shores, California 94065 USA.
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Table des matières
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iv
Installer Grid Infrastructure 2-30
Fonctionnalité Grid Plug and Play 2-31
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v
Supprimer un emplacement de registre OCR 3-14
Migrer des emplacements OCR vers ASM 3-15
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Migration d'un registre OCR d'une unité ASM vers une autre unité
de stockage partagé 3-17
Exécuter des sauvegardes manuelles du registre OCR 3-18
Récupérer le registre OCR à l'aide de sauvegardes physiques 3-19
Récupérer le registre OCR à l'aide de sauvegardes logiques 3-20
Registre Oracle Local Registry 3-21
Déterminer les paramètres réseau en cours 3-23
Modifier des adresses IP virtuelles publiques 3-24
Modifier l'adaptateur d'interconnexion 3-26
Gérer les ressources de type adresse VIP et processus d'écoute SCAN 3-28
vi
Vérifier les versions d'un logiciel 4-34
Installer un jeu de patches de manière non simultanée à l'aide d'OUI 4-35
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vii
6 Dépanner Oracle Clusterware
Objectifs 6-2
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x
Gérer les volumes dynamiques avec SQL*PLUS 10-21
Enregistrer un volume ACFS 10-22
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xi
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xii
Oracle University and CFAO THECHNOLOGIES use only
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Objectifs
Oracle Clusterware
Oracle Clusterware :
• Elément clé d'Oracle Grid Infrastructure
• Intégré à Oracle
Automatic Storage
Management (ASM)
• Base du système de fichiers
Oracle Clusterware
Oracle Clusterware est un élément clé d'Oracle Grid Infrastructure, qui inclut également
Automatic Storage Management (ASM) et ASM Cluster File System (ACFS).
Dans la version 11.2, Oracle Clusterware peut utiliser ASM pour tous les fichiers partagés
requis par le cluster. Par ailleurs, Oracle Clusterware offre ASM Cluster File System, un
système de fichiers clusterisé généraliste qui peut être utilisé pour la plupart des données
stockées sous forme defichiers (documents, feuilles de calcul, états, etc.).
La combinaison d'Oracle Clusterware, d'ASM et d'ACFS fournit aux administrateurs une
solution de cluster unifiée qui constitue le socle d'une base de données Oracle
RealApplication Clusters (RAC) tout en pouvant s'appliquer à toutes sortes d'applications.
Remarque : Grid Infrastructure est un terme collectif désignant Oracle Clusterware, ASM
et ACFS. Ces composants sont si étroitement intégrés qu'on utilise l'appellation collective
Oracle Grid Infrastructure. Dans ce chapitre, ASM et ACFS sont mentionnés dans certaines
sections. Cependant, ils seront traités plus en détail dans des chapitres ultérieurs.
Interconnexion
Chaque Chaque
noeud eth1 noeud eth1
bond0 bond0
eth2 eth2
Les éléments eth1 et eth2 sont les cartes d'interface réseau physiques. L'élément bond0
est une carte d'interface réseau "virtuelle". Notez que l'interface bond0 logique apparaît en
tant que MASTER tandis que les deux autres sont indiquées en tant que SLAVE. L'interface
sans option NOARP (eth2) est l'esclave actif en cours. Notez également que les trois
interfaces ont la même adresse layer-2 ou MAC (Media Access Control) et des adresses IP.
Dans l'exemple, il existe des statistiques relatives au trafic sur toutes les ECTVGU TÃUGCW en
raison d'un grand nombre d'arrêts et de défaillances dans le passé.
Remarque : Pendant l'installation du produit Oracle Clusterware, l'interface bond0 est
indiquée en réponse aux invites pour que l'interface d'interconnexion soit utilisée.
Une autre stratégie courante pour l'agrégation de liaisons implique des configurations
Active/Active conformes aux normes IEEE 802.3ad. Cet agencement implique l'utilisation
simultanée des deux cartes réseau physiques en parallèle pour obtenir une bande passante
supérieure. Si 802.3ad est utilisé sur la couche des cartes réseau, il est très important que le
commutateur prenne également en charge 802.3ad. Une mauvaise configuration entraîne des
performances médiocres et des réinitialisations d'interface. Une alternative consiste à utiliser
une carte réseau unique avec une bande passante élevée, telle qu'une carte 10Gbit Ethernet au
lieu d'une carte 1Gbit Ethernet. Infiniband peut également être utilisé pour l'interconnexion
entre noeuds.
L'agrégation de liaisons est parfois appelée collaboration de cartes réseau, jonction de ports,
EtherChannel, liaison MLT (Multi-Link Trunking), tolérance de panne réseau (NFT -
Network Fault Tolerance) ou groupe d'agrégations de liaisons (LAG - Link Aggregate
Group). Elle est généralement limitée à un commutateur unique. Les solutions impliquant
plusieurs commutateurs incluent l'agrégation de liaisons SMLT (Split Multi-Link Trunking),
l'agrégation DSMLT (Distributed Split Multi-Link Trunking) et l'agrégation RSMLT (Routed
Split Multi-Link Trunking).
Actif Secours
Autres recommandations
relatives à l'interconnexion
Tampon de sockets UDP (rx)
• Les paramètres par défaut conviennent pour la plupart des clients.
• Il peut être nécessaire d'augmenter la taille du tampon affecté dans
les cas suivants :
– La taille de MTU a augmenté.
– La commande netstat signale des erreurs.
– La commande ifconfig signale des paquets supprimés ou un
dépassement de capacité.
Quiz
Réponse : 2
Cette affirmation est fausse. L'adaptateur Ethernet public de chaque noeud du cluster doit
prendre en charge le protocole TCP/IP. L'adaptateur privé doit prendre en charge le protocole
UDP sur les plateformes Linux/UNIX et le protocole TCP/IP sur les plateformes Windows.
Domaine GPnP
Domaine GPnP
Un domaine GPnP est un ensemble de noeuds desservis par le service GPnP. Dans la plupart
des cas, sa taille est limitée par le domaine multicast. Les noeuds d'un domaine multicast
connaissent implicitement le domaine GPnP dont ils font partie grâce à la clé publique de leur
autorité de provisionnement. Un domaine GPnP est défini par les noeuds d'un domaine
multicast identifiant une autorité de provisionnement spécifique, comme indiqué par le
certificat dans leurs images de logiciels. Un noeud GPnP est un ordinateur appartenant à un
domaine GPnP. Il doit présenter les caractéristiques suivantes :
Connectivité IP : Le noeud doit comporter au moins une interface routable permettant la
connexion en dehors du domaine GPnP. Si le noeud présente différents modes de connexion
(interfaces multiples, sous-réseaux, etc.), la liaison requise (publique, privée, stockage) doit
être identifiée dans le profil GPnP. La connexion physique est contrôlée par une entité
extérieure et n'est pas modifiée par GPnP.
Identificateur unique : A chaque noeud est associé un identificateur unique, créé par OSD.
Cet ID doit nécessairement être unique dans le domaine GPnP, mais il est utile qu'il soit
globalement unique dans le plus large domaine possible.
Personnalité : Les caractéristiques de la personnalité d'un noeud sont les suivantes :
• Nom du cluster
• Classification réseau (public/privé)
• Stockage à utiliser pour ASM et CSS
• Signatures numériques
• Image logicielle du noeud, incluant les applications qui peuvent être exécutées
Composants GPnP
Image logicielle
• Une image logicielle est un ensemble de logiciels en
lecture seule à exécuter sur les noeuds du même type.
• Au minimum, l'image doit contenir :
– Un système d'exploitation
– Le logiciel GPnP
Composants GPnP
Une image logicielle est un ensemble de logiciels en lecture seule à exécuter sur les noeuds du
même type. Au minimum, elle doit contenir un système d'exploitation, le logiciel GPnP, le
certificat de sécurité émis par l'autorité de provisionnement, ainsi que les autres logiciels
requis pour configurer le noeud au démarrage. Dans sa forme la plus complète, l'image peut
contenir tous les logiciels d'application à exécuter sur le noeud, y compris Oracle Database,
IAS et les applications client. Dans GPnP, une image n'a pas besoin d'être propre à un noeud
particulier. Elle peut être déployée sur autant de noeuds que nécessaire.
Une image est créée par une autorité de provisionnement par des moyens non définis par
GPnP. Elle peut nécessiter une installation sur une machine exemple, puis le nettoyage du
stockage pour supprimer les données dépendant du noeud.
Une image est répartie sur un noeud par l'autorité de provisionnement selon des méthodes
hors du cadre de GPnP — CD transportés par l'administrateur système, démarrage réseau ou
tout autre mécanisme.
Profil GPnP
Fichier profile.xml :
$ cat GRID_HOME/gpnp/profiles/peer/profiles.xml
<?xml version="1.0" encoding="UTF-8"?><gpnp:GPnP-Profile Version="1.0"
xmlns="http://www.grid-pnp.org/2005/11/gpnp-profile" ...
xsi:schemaLocation="http://www.grid-pnp.org/2005/11/gpnp-profile gpnp-profile.xsd"
ProfileSequence="4" ClusterUId="2deb88730e0b5f1bffc9682556bd548e" ClusterName="cluster01"
PALocation=""><gpnp:Network-Profile><gpnp:HostNetwork id="gen" HostName="*"><gpnp:Network
id="net1" IP="192.0.2.0" Adapter="eth0" Use="public"/><gpnp:Network id="net2"
IP="192.168.1.0" Adapter="eth1"
Use="cluster_interconnect"/></gpnp:HostNetwork></gpnp:Network-Profile><orcl:CSS-Profile
id="css" DiscoveryString="+asm" LeaseDuration="400"/><orcl:ASM-Profile id="asm"
DiscoveryString="/dev/sd*" SPFile="+data/spfile.ora"/><ds:Signature
Profil GPnP
Un profil GPnP est un petit fichier XML servant à définir la personnalité globale appropriée
pour des images qui sont par ailleurs identiques. Le profil peut être obtenu au démarrage à
partir d'un site distant, ou il peut être intégré de manière permanente dans une image. Il inclut
les données de configuration GPnP générique et, éventuellement, des données de
configuration spécifiques à l'application. Les données de configuration GPnP génériques sont
utilisées pour configurer l'environnement réseau et le stockage au cours du démarrage. Les
parties applicatives du profil peuvent être utilisées pour créer des personnalités spécifiques
à l'application. Le profil est dépendant de la sécurité. Il peut identifier le stockage à utiliser
comme partition racine d'une machine. Pour pouvoir être utilisé, un profil doit être signé
numériquement par l'autorité de provisionnement et doit être validé sur chaque noeud. Par
conséquent, l'image doit inclure le certificat public de l'autorité à utiliser pour la validation.
Les profils sont conçus de façon qu'il soit difficile de les modifier. Ils peuvent être intégrés de
manière permanente dans les images en lecture seule ou être répliqués sur des machines qui
sont arrêtées lorsqu'une modification est apportée. Les attributs de profil définissant la
personnalité d'un noeud sont les suivants :
• Nom du cluster
• Classification réseau (public/privé)
• Stockage à utiliser pour ASM et CSS
• Informations sur la signature numérique
Les modifications apportées à un cluster, et donc au profil, sont répliquées par le démon
gpnpd au cours de l'installation, du démarrage du système, ou lors d'une mise à jour. Les
mises à jour peuvent être déclenchées par des modifications réalisées à l'aide d'outils de
configuration tels que oifcfg, crsctl, asmca, etc.
Oracle Grid Infrastructure 11g : Gestion des clusters et ASM 1 - 25
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Nom résolu en
trois adresses VIP
SL SL SL
Equilibrage de
VIP SCAN
la charge
remote_listener
LL LL LL LL LL
Client local_listener
Fonctionnement de GPnP :
Démarrage d'un noeud du cluster
1. Les adresses IP sont négociées pour les interfaces publiques à
l'aide de DHCP :
– Adresses IP virtuelles
– Adresses IP virtuelles SCAN
2. Un agent GPnP est lancé à partir du répertoire d'origine Oracle
Clusterware des noeuds.
3. L'agent GPnP obtient son profil en local ou à partir de l'un des
Client de
base de
données
Processus Listener1
Processus
Listener2
d'écoute
SCAN
Processus Listener3
d'écoute
SCAN
Quiz
Réponse : 4
La réponse est 4. L'entrée init.ohasd du fichier /etc/inittab assure le redémarrage
du démon Oracle de gestion de la haute disponibilité (ohasd) en cas de panne.
Quiz
Réponse : 3
L'affirmation 3 est incorrecte. L'adresse IP virtuelle de GNS doit être définie statiquement.
Application Application
Système de fichiers
ASM
Gestionnaire de volumes logiques
Matériel Matériel
Instance ASM
Serveurs
Oracle RAC
Serveurs
Composants ASM :
Logiciels
Pour l'installation ASM des logiciels :
• Les répertoires sont indiqués par les variables d'environnement
du système d'exploitation.
– ORACLE_BASE est le répertoire supérieur pour le propriétaire d'un
logiciel particulier.
– ORACLE_HOME est utilisé pour identifier le répertoire supérieur du
logiciel Grid Infrastructure.
Composants ASM :
Instance ASM
L'instance ASM comprend les processus et la mémoire utilisés
par ASM.
Mémoire SGA (System Global Area)
Zone de Zone de
mémoire mémoire Cache Mémoire
partagée Large ASM libre
MARK
Autres processus divers
Instance ASM
Les processus en arrière-plan propres à la fonctionnalité ASM sont décrits dans la diapositive
suivante. Etant donné que l'instance ASM partage la même base de code qu'une instance de
base de données Oracle, tous les processus en arrière-plan requis pour une instance de base de
données existent dans l'instance ASM. Certains sont obligatoires tandis que d'autres sont
facultatifs. Voici quelques exemples :
• ARCn : Processus d'archivage.
• CKPT : Processus de point de reprise (checkpoint).
• DBWn : Processus Database Writer.
• DIAG : Processus de diagnostic.
• Jnnn : Processus de gestion de la file d'attente des travaux.
• LGWR : Processus Log Writer.
Composants ASM :
Processus principaux
Les principaux processus d'une instance ASM sont
responsables des activités ASM.
Processus Description
MARK Marque les unités d'allocation ASM comme étant obsolètes le cas échéant
Composants ASM :
Processus d'écoute ASM
Le processus d'écoute ASM est un processus permettant d'établir des
connexions réseau entre des clients ASM et l'instance ASM.
• Il s'exécute par défaut dans le répertoire Grid
$ORACLE_HOME/bin.
• Il écoute sur le port 1521 par défaut.
• Il est équivalent à un processus d'écoute d'instance de base de
données.
Composants ASM :
Fichiers de configuration
L'installation ASM du logiciel utilise plusieurs fichiers de configuration pour
définir l'environnement.
• Les fichiers de configuration d'une instance ASM sont les suivants :
– Le fichier de paramètres serveur (SPFILE), qui initialise l'instance ASM et
définit les paramètres de démarrage.
– orapw+ASM qui est le fichier de mots de passe binaire utilisé pour
l'authentification à distance auprès de l'instance ASM.
• Les fichiers de configuration d'un processus d'écoute ASM sont les
Composants ASM :
Services de groupe
Les services de groupe fournis par Oracle Clusterware permettent
aux applications qui coopèrent de communiquer dans un
environnement d'égal à égal.
• Les services de groupe de l'environnement Oracle :
– Fournissent les informations nécessaires pour établir les connexions
– Aident à effectuer une récupération après un verrouillage
– Garantissent l'unicité des numéros des groupes de disques ASM
Composants ASM :
Groupe de disques ASM
Le groupe de disques ASM est l'objet sous-jacent géré par ASM :
• Il comprend un ou plusieurs disques ASM qui fournissent de
l'espace.
• Il contient des métadonnées autonomes et des informations de
journalisation pour la gestion de l'espace au sein du groupe.
• Il est la base utilisée pour le stockage des fichiers ASM.
• Il prend en charge trois types de groupe de disques basés sur les
niveaux suivants de redondance :
Le niveau de redondance contrôle le nombre de défaillances de disques qui sont tolérées sans
entraîner un démontage du groupe de disques ou une perte de données. Il définit la valeur par
défaut pour le nombre de copies d'extents de fichier ASM, mais la redondance elle-même est
contrôlée au niveau fichier.
Composants ASM :
Fichiers ASM
Les fichiers ASM sont un jeu limité de types de fichier stockés dans un
groupe de disques ASM.
• Ils sont limités aux types de fichier suivants :
Fichiers de contrôle Journaux Flashback Jeu de fichiers dump Data
Pump
Fichiers de données Fichier SPFILE de BdD Configuration Data Guard
Composants ASM :
Clients ASM
Toute instance de base de données active qui utilise le
stockage ASM et est connectée à l'instance ASM est un client
ASM.
• Le suivi des clients ASM s'effectue dans la vue dynamique
des performances v$asm_client.
• Dans ASM, chaque fichier est associé à une seule base.
Composants ASM :
Utilitaires ASM
De nombreux utilitaires peuvent être employés pour
l'administration d'ASM. Ces utilitaires peuvent comprendre :
• Oracle Universal Installer (OUI)
• ASM Configuration Assistant (ASMCA)
• Oracle Enterprise Manager (EM)
• SQL*Plus
Evolutivité d'ASM
Evolutivité d'ASM
ASM impose les limites suivantes :
• 63 groupes de disques dans un système de stockage.
• 10 000 disques ASM dans un système de stockage.
• Stockage maximum de deux téraoctets pour chaque disque ASM non Exadata.
• Stockage maximum de quatre pétaoctets pour chaque disque ASM Exadata.
• Stockage maximum de 40 exaoctets pour chaque système de stockage.
• 1 million de fichiers par groupe de disques.
Oracle Database prend en charge des tailles de fichier allant jusqu'à 128 To. ASM prend en
charge des tailles supérieures dans n'importe quel mode de redondance. Cela permet une
capacité quasiment sans limite pour une croissance ultérieure. Les tailles limites des fichiers
ASM sont les suivantes :
• Redondance externe : 140 pétaoctets
• Redondance normale : 42 pétaoctets
• Redondance élevée : 15 pétaoctets
Les équivalences en termes de puissance de dix sont les suivantes :
• 1 gigaoctet = 1 000 000 000 octets ou 109
• 1 téraoctet = 1 000 000 000 000 octets ou 1012
• 1 pétaoctet = 1 000 000 000 000 000 octets ou 1015
• 1 exaoctet = 1 000 000 000 000 000 000 octets ou 1018
Synthèse
Objectifs
Stockage
Fichier
partagé Fichier
OCR OCR
principal secondaire
Service CSS
Je vois 1, 2 et 3.
Les noeuds
Je vois Je vois
peuvent se voir.
1, 2 et 3. 1, 2 & 3.
Disque votant
Service CSS
Le service CSS détermine quels sont les noeuds disponibles dans le cluster et fournit aux
autres processus des services de verrouillage ainsi que des informations sur l'appartenance au
groupe. CSS détermine généralement la disponibilité des noeuds en fonction des
communications dans un réseau privé dédié. Un disque votant est utilisé comme mécanisme
de communication secondaire. Des messages concernant les signaux d'activité sont envoyés
via le réseau et le disque votant, comme illustré dans le premier graphique de la diapositive.
Le disque votant est une partition d'un disque raw partagé ou un fichier d'un système de
fichiers clusterisé accessible à tous les noeuds du cluster. Il sert essentiellement à gérer les
échecs de communication dans le réseau privé. Il est utilisé pour obtenir des informations sur
l'état des noeuds et pour définir les noeuds à placer hors ligne. En l'absence de disque votant,
les noeuds isolés risquent de ne pas pouvoir déterminer s'il s'est produit une défaillance réseau
ou si les autres noeuds ne sont plus disponibles. Le cluster peut alors se trouver dans un état
où plusieurs sous-clusters de noeuds ont un accès non synchronisé aux mêmes fichiers de base
de données. Le second graphique de la diapositive illustre ce qui se produit lorsque Noeud3
ne peut plus envoyer de signaux d'activité aux autres membres du cluster. Puisque les autres
ne peuvent plus voir ces signaux, ils décident d'évincer ce noeud à l'aide du disque votant.
Lorsque Noeud3 lit le message d'éviction, il se réinitialise généralement pour garantir
l'annulation des E/S en attente. Oracle Clusterware prend en charge jusqu'à 32 disques votants
redondants.
Remarque : Le disque votant est parfois appelé disque quorum.
<Grid_Home>
log
<hostname>
alert<nodename>.log
Installer ASMLib
Pour installer ASMLib manuellement :
• Déterminez le package oracleasm approprié.
# uname –rm
2.6.9-5.ELsmp i686
• Téléchargez et installez le package oracleasm à partir de :
http://www.oracle.com/technology/tech/linux/asmlib/index.html
• Téléchargez les packages oracleasmlib et oracleasm-
Installer ASMLib
Installez Linux ASMLib RPMs pour simplifier l'administration du stockage. ASMLib fournit
les chemins persistants et les droits pour les périphériques de stockage utilisés par ASM, ce
qui élimine la nécessité d'actualiser les fichiers udev ou devlabel avec ces informations.
ASMLib 2.0 est fourni comme un ensemble de trois packages Linux :
• oracleasmlib-2.0 : Bibliothèques ASM
• oracleasm-support-2.0 : Utilitaires requis pour administrer ASMLib
• oracleasm : Module noyau pour la bibliothèque ASM
Chaque distribution Linux dispose de son propre ensemble de packages ASMLib 2.0 et, dans
chaque distribution, chaque version du noyau a un package oracleasm qui lui correspond.
Si vous êtes enregistré auprès de Oracle Unbreakable Linux Network, vous pouvez
télécharger et installer des packages d'ASMLib de votre système automatiquement. Pour
installer ASMLib à partir d'ULN :
1. Connectez-vous en tant qu'utilisateur root.
2. Exécutez la commande suivante :
# up2date -i oracleasm-support oracleasmlib oracleasm-’uname -r’
Pour installer ASMLib manuellement, effectuez les opérations indiquées dans la diapositive
ci-dessus.
Préparer ASMLib
• Configurez ASMLib.
# /usr/sbin/oracleasm configure -i
Préparer ASMLib
Configurer ASMLib
Connectez-vous en tant que root et entrez les commandes suivantes :
# oracleasm configure -i
Fournissez les informations demandées par le système. La commande oracleasm par
défaut se trouve dans le répertoire /etc/init.d. Si vous entrez la commande oracleasm
configure sans l'indicateur -i, vous obtenez la configuration en cours. Exécutez ensuite la
commande oracleasm init.
Marquer les partitions de disque candidates pour ASM
Pour qu'OUI reconnaisse les partitions de disque candidates pour ASM, vous devez vous
connecter en tant que root et marquer celles-ci. Pour marquer un disque pour une utilisation
par ASM, entrez la commande suivante, où ASM_DISK_NAME est le nom du groupe de
disques ASM, et candidate_disk, le nom de l'unité de disque que vous souhaitez affecter
à ce groupe :
oracleasm createdisk ASM_DISK_NAME candidate_disk
Par exemple : # oracleasm createdisk data1 /dev/sdf
Rendre des disques ASM disponibles sur tous les noeuds
Pour rendre un disque disponible pour les autres noeuds du cluster, entrez la commande
suivante en tant qu'utilisateur root sur chaque noeud : # /usr/sbin/oracleasm
scandisks
Cette commande identifie les disques partagés qui sont connectés aux noeuds marqués comme
disques ASM.
Quiz
Réponse : 1
Cette affirmation est vraie.
• Assurez-vous que chaque noeud est correctement identifié à l'aide des utilitaires
hostname et ifconfig.
Quiz
Réponse : 3
L'affirmation 4 est fausse. Le répertoire local /tmp doit comporter au moins 1 Go d'espace
libre.
du système d'exploitation
Terminer l'installation
Terminer l'installation
Une fois Grid Infrastructure copié sur les noeuds distants, vous êtes invité à exécuter les
scripts root sur tous les noeuds concernés. Si c'est le premier logiciel Oracle lancé par
l'utilisateur du système d'exploitation, l'installeur vous invite à exécuter les scripts
orainstRoot.sh sur tous les noeuds. Ensuite, vous devez exécuter le script root.sh sur
tous les noeuds. Une fois le script root.sh exécuté sur le dernier noeud, cliquez sur Finish
pour quitter l'installeur.
;; ANSWER SECTION:
racnode01-vip.cluster01.example.com. 120 IN A 192.0.2.103
...
# dig @myDNS.example.com cluster01-scan.cluster01.example.com
...
;; QUESTION SECTION:
;cluster01-scan.cluster01.example.com. IN A
;; ANSWER SECTION:
cluster01-scan.cluster01.example.com. 120 IN A 192.0.2.248
cluster01-scan.cluster01.example.com. 120 IN A 192.0.2.253
cluster01-scan.cluster01.example.com. 120 IN A 192.0.2.254
ASM et ACFS
Créer un groupe de disques ASM avec les outils en mode ligne de commande
Vous pouvez créer un groupe de disques ASM avec les outils en mode ligne de commande.
L'instruction SQL présentée dans la diapositive exécute la même opération que celle qui a été
réalisée dans les diapositives précédentes avec ASMCA et Enterprise Manager.
La commande asmcmd de la diapositive effectue la même opération si le fichier
disk_config.xml est :
<dg name="data" redundancy="normal">
<fg name="fg1">
<dsk string="/dev/disk1"/>
<dsk string="/dev/disk2"/> </fg>
<fg name="fg2">
<dsk string="/dev/disk3"/>
<dsk string="/dev/disk4"/> </fg>
<a name="compatible.asm" value="11.2"/>
<a name="compatible.rdbms" value="11.2"/>
<a name="compatible.advm" value="11.2"/>
</dg>
Linux/UNIX
• Formater le volume avec ACFS :
/sbin/mkfs -t acfs /dev/asm/testvol-461 "testvol"
• Enregistrer le point de montage :
/sbin/acfsutil registry -a -f /dev/asm/testvol-461
Monter un système de fichiers ACFS avec les outils en mode ligne de commande
Que vous utilisiez Enterprise Manager ou ASMCA, les commandes doivent être exécutées par
un superutilisateur. Le superutilisateur est root sous UNIX ou Linux, et administrator
sous Windows.
Les outils en mode ligne de commande correspondent aux mêmes commandes générées par
Enterprise Manager ou ASMCA.
Synthèse
Exercice 2 : Présentation
Quiz
Réponse : 1
Cette affirmation est vraie.
Objectifs
données
• Enterprise Manager
– Interface graphique basée sur un navigateur
– Fonctions de gestion de cluster dans :
— Database Control — dans le cluster
— Grid Control — via un serveur de gestion centralisé
$ ocrcheck
Migration d'un registre OCR d'une unité ASM vers une autre unité de stockage
partagé
Pour migrer le stockage d'Oracle Clusterware d'ASM vers une autre solution :
1. Vérifiez que la mise à niveau d'Oracle Clusterware vers la version 11g Release 2 est
terminée. Exécutez la commande suivante pour vérifier la version en cours d'exécution :
$ crsctl query crs activeversion.
2. Créez un fichier partagé avec les droits suivants : root, oinstall, 640, en vous
assurant que la partition de montage comprend au moins 300 Mo d'espace.
3. Pour ajouter le fichier comme emplacement OCR, assurez-vous que la couche Oracle
Clusterware est en cours d'exécution et lancez la commande suivante en tant que root :
# ocrconfig -add new_file_location
Vous pouvez exécuter cette commande plus d'une fois si vous ajoutez plusieurs
emplacements OCR.
4. Pour supprimer les configurations de stockage qui ne sont plus utilisées, exécutez la
commande suivante en tant que root :
# ocrconfig -delete old_storage_location
Vous pouvez exécuter cette commande plus d'une fois si vous ajoutez plusieurs
emplacements OCR.
$ ocrcheck –local
Gérer les ressources associées aux adresses VIP et aux processus d'écoute
SCAN (suite)
La commande srvctl modify scan modifie la configuration d'une adresse VIP SCAN
pour qu'elle corresponde à celle d'une autre adresse VIP SCAN identifiée par scan_name.
Si scan_name désigne plus d'adresses IP que dans la configuration initiale, de nouvelles
ressources Oracle Clusterware sont créées pour les adresses supplémentaires. Si scan_name
désigne un nombre inférieur d'adresses IP, les ressources Oracle Clusterware associées aux
adresses VIP SCAN présentant les numéros les plus élevés sont supprimées afin que le
nombre de ressources VIP SCAN corresponde au nombre d'adresses IP défini par scan_name.
Utilisez la commande srvctl modify scan avec la syntaxe suivante :
srvctl modify scan [-n scan_name]
Pour modifier la configuration VIP SCAN cluster01-scan :
# srvctl modify scan -n cluster01-scan
La commande srvctl modify scan_listener modifie les informations de configuration
de tous les processus d'écoute SCAN. Utilisez la commande srvctl modify
scan_listener avec la syntaxe suivante :
srvctl modify scan_listener { -p scan_port | -u }
–p est le nouveau port de recherche et –u met à jour la configuration du processus d'écoute
SCAN pour la faire correspondre à la configuration de l'adresse VIP SCAN en cours.
Gérer les ressources associées aux adresses VIP et aux processus d'écoute
SCAN (suite)
Pour modifier le port du processus d'écoute SCAN pour LISTENER_SCAN1 et actualiser la
configuration du cluster, exécutez la commande suivante :
# srvctl modify scan_listener -p 1531
# srvctl modify scan_listener –u
# srvctl config scan_listener ### To verify changes ###
SCAN Listener LISTENER_SCAN1 exists. Port: TCP:1531
Quiz
Réponse : 3
La bonne réponse est 3.
Quiz
Réponses : 1,3,4
Les affirmations 1, 3 et 4 sont vraies.
Synthèse
Exercice 3 : Présentation
Objectifs
Système Système
d'exploitation d'exploitation
Stockage
host03 Stockage
Quiz
Réponse : 2
Non, addNode.sh nécessite que le noeud à ajouter soit configuré correctement. L'utilitaire
cluvfy peut être utilisé pour générer des scripts correctifs.
Synthèse
Objectifs
Types de patch
Types de patch
Il existe différents types de patch disponibles pour Oracle Clusterware. Le premier type est le
jeu de patches. Il s'agit d'un ensemble de patches fournis en complément d'une version de base
(par exemple, 10.2.0.1 .0 ou 11.1.0.2 .0). Un jeu de patches incrémente le quatrième chiffre du
numéro de version. Il inclut des mises à jour pour Oracle Clusterware et pour Oracle RDBMS.
Vous devez mettre à niveau Oracle Clusterware avant Oracle RDBMS. Il est possible
d'appliquer un patch à Oracle Clusterware sans l'appliquer à RDBMS, mais l'inverse n'est pas
vrai. Les jeux de patches sont mis à disposition moins fréquemment que d'autres types de
patches. Ils sont cumulatifs et peuvent contenir des centaines de correctifs. L'utilitaire Oracle
Universal Installer (OUI) est toujours employé pour installer les jeux de patches.
Le deuxième type courant de patch disponible pour Oracle Clusterware est appelé le
regroupement de patches (BP - Bundle Patch) CRS. Il s'agit d'un petit groupe de correctifs,
généralement 20 à 30, qui a fait l'objet d'un test de régression complet et est fourni plus
fréquemment que les jeux de patches. Chaque regroupement CRS présentant le même niveau
de jeu de patches est cumulatif pour ce niveau uniquement. La convention d'appellation est
11.1.0.6.0 BP#1, 11.1.0.6.0 BP#2, et ainsi de suite. Lorsque le niveau de jeu de patches est
incrémenté, la numérotation des patches du regroupement CRS est initialisée. Les patches
d'un regroupement CRS sont toujours appliqués à l'aide de l'utilitaire opatch plutôt qu'avec
OUI. Les regroupements de patches sont des fichiers binaires qui n'ont pas besoin d'une
réédition de liens.
Appliquer des patches avec un temps d'arrêt réduit dans les environnements
de cluster
Il est possible d'appliquer des patches Oracle Clusterware et Oracle RAC sans arrêter
complètement le cluster. Dans de nombreux cas, cette opération n'entraîne aucun temps
d'arrêt. Cela permet également d'effectuer des mises à niveau "out-of-place" des logiciels
Oracle Clusterware et Oracle Database, ce qui réduit les temps d'arrêt de maintenance dans
un environnement Oracle RAC.
OPatch peut désormais appliquer plusieurs patches sur plusieurs noeuds. OPatch ne démarre
pas les instances sur lesquelles un patch a été appliqué en mode non simultané si les autres
instances de la base n'ont pas encore ce patch. OPatch détecte si le schéma de base de données
est à un niveau inférieur à celui du nouveau patch et, dans ce cas, exécute des commandes
SQL pour actualiser le schéma.
Vous pouvez utiliser srvctl pour arrêter le logiciel Oracle exécuté dans un répertoire
d'origine Oracle Home, en vue de l'application des patches. L'application des patches Oracle
Grid Infrastructure est effectuée automatiquement sur tous les noeuds. Il est possible
d'appliquer plusieurs patches sur plusieurs noeuds.
Pour les logiciels Grid Infrastructure (Oracle Clusterware et Automatic Storage Management)
et Oracle Database, les jeux de patches sont désormais installés comme des mises à niveau
"out-of-place". Cela réduit les temps d'arrêt requis.
OPatch : Présentation
OPatch : Présentation
OPatch est un utilitaire Java qui permet l'application et l'annulation de patches ponctuels à un
produit Oracle. Il n'est pas utilisé pour appliquer des jeux de patches. OPatch est inclus avec
l'installation d'Oracle Clusterware 11g. Lors de l'application de patches à une installation
Oracle Clusterware de manière non simultanée, l'utilisateur est invité à indiquer les noeuds
concernés. Un tel patch ne peut pas être activé en appelant l'outil de patch. OPatch prend
également en charge un mode minimisant le temps d'arrêt. Il tient à jour un inventaire de tous
les patches qui ont été installés.
Il convient de tenir compte de certains points lors de l'application de patches à Oracle
Clusterware. Une partie du logiciel appartient à l'utilisateur root et l'autre au compte utilisé
pour installer le produit. Pour appliquer un patch aux composants appartenant à root, il est
nécessaire de déverrouiller le clusterware en exécutant certains scripts spéciaux. Après
l'application du patch, il faut rétablir les paramètres de sécurité antérieurs en exécutant
d'autres scripts. Ces scripts se trouvent dans le répertoire des patches. Les scripts
supplémentaires sont notamment les suivants :
• prerootpatch.sh :
- Vérifie que le script est appelé pour l'utilisateur root.
- Vérifie qu'Oracle Clusterware est arrêté sur le noeud local.
- Vérifie que les paramètres corrects ont été définis.
- Déverrouille le logiciel Oracle Clusterware, transmet la propriété de certains fichiers
à un utilisateur autre que root et modifie les droits.
9. Répétez les étapes 1-8 sur chaque noeud, l'un après l'autre.
Quiz
Réponses : 1, 2
Dans Oracle 11g Release 2, il est possible d'utiliser Oracle Universal Installer ou Enterprise
Manager Database Console.
Quiz
Réponse : 1
Le répertoire d'origine Oracle Home pour Oracle Clusterware et plusieurs fichiers du
répertoire appartiennent à l'utilisateur root. Il est nécessaire de modifier le propriétaire
et les droits avant d'appliquer un patch, puis de les rétablir dans leur état d'origine.
Synthèse
Objectifs
Pools de serveurs
Pools de serveurs
Les pools de serveurs sont des regroupements logiques de serveurs ou de noeuds d'un cluster.
Ils incluent généralement un sous-ensemble du nombre total de noeuds d'un cluster. Les pools
de serveurs sont alloués à des bases de données hôte ou à d'autres ressources et indiquent sur
quels noeuds ces ressources peuvent s'exécuter. Chaque nom de pool de serveurs doit être
unique au sein du cluster. Les pools de serveurs permettent de répartir une charge globale
uniforme (ensemble de ressources Oracle Clusterware) entre plusieurs serveurs du cluster. Ils
sont gérés à l'aide des commandes crsctl et srvctl. Dans le cadre d'une gestion avec
séparation des rôles, vous pouvez permettre explicitement aux utilisateurs du système
d'exploitation de modifier les attributs de certains pools de serveurs. Il peut exister des
relations parent-enfant entre les pools de serveurs. Les pools de serveurs de niveau supérieur
sont toujours mutuellement exclusifs, ce qui signifie qu'un serveur du cluster ne peut
appartenir qu'à un pool particulier à un instant donné. Les pools de serveurs de niveau
supérieur créent une division logique du cluster en plusieurs sous-clusters.
Lorsqu'Oracle Clusterware est installé, deux pools de serveurs sont créés automatiquement :
GENERIC et FREE. Initialement, tous les serveurs d'une nouvelle installation sont affectés au
pool FREE. Les serveurs sont transférés automatiquement du pool FREE aux nouveaux pools
définis.
Attribut Description
ACL Liste de contrôle d'accès qui définit les privilèges nécessaires pour le
pool de serveurs
SERVER_NAMES Liste des serveurs qui peuvent être associés à un pool de serveurs
sp1 1 1 10
sp2 3 1 6
Attribut Fonction
NAME Nom du noeud du serveur
ACTIVE_POOLS Liste des pools auxquels un serveur appartient, séparés
par un espace
STATE L'état d'un serveur peut être : ONLINE, OFFLINE,
LEAVING, JOINING, VISIBILE et RECONFIGURING.
STATE_DETAILS Informations supplémentaires concernant les attributs
STATE
Types de ressource
Types de ressource
Les ressources sont généralement uniques, mais elles peuvent avoir des attributs communs.
Oracle Clusterware utilise des types pour organiser les ressources similaires. L'utilisation de
types de ressource offre les avantages suivants :
• Ils permettent de gérer uniquement les attributs requis par les ressources.
• Vous pouvez facilement gérer plusieurs ressources par le biais de leur type.
Chaque ressource enregistrée dans Oracle Clusterware doit avoir un certain type. En plus des
deux types prédéfinis fournis dans Oracle Clusterware, vous pouvez définir des types de
ressource personnalisés adaptés à vos besoins. Les types de ressource prédéfinis sont les
suivants :
• Ressources locales : Il s'agit de ressources liées à un serveur. Le nom de ce type est
local_resource. Une ressource locale s'exécute sur un serveur individuel du cluster.
Son état n'a pas de sens en dehors du contexte de ce serveur.
• Ressources de cluster : Les ressources de cluster (correspondant au type
cluster_resource) tiennent compte de l'environnement du cluster. Elles sont
concernées par la fonctionnalité de cardinalité, ainsi que par les opérations de
permutation de rôles entre serveurs et de basculement en cas de panne. L'état des
ressources de cluster a un sens dans le contexte du cluster.
Les versions antérieures de Clusterware ne sont prises en charge que pour le type de ressource
application. Ce type de ressource existe toujours, mais uniquement pour des raisons de
compatibilité descendante. Oracle recommande d'enregistrer les ressources de type
application avec le type cluster_resource dans Oracle Clusterware 11g Release 2.
• Après avoir créé un type d'adresse VIP d'application, vous pouvez ajouter
l'adresse VIP réelle au cluster :
à l'aide d'EM
Dépendances de ressource :
Actions de gestion
ONS ONS
Exéc.
d'appel
externe Evénements
haute disp. Noeud1
Quiz
Réponse : 1
Cette affirmation est vraie.
Quiz
Réponses : 1, 3
Les réponses correctes sont la gestion effectuée par l'administrateur et la gestion basée
sur une stratégie.
Synthèse
Exercice 5 : Présentation
Objectifs
<Grid_Home>
log
<hostname>
alert<nodename>.log
# /u01/app/11.2.0/grid/bin/diagcollection.pl --collect
Production Copyright 2004, 2008, Oracle. All rights reserved
Cluster Ready Services (CRS) diagnostic collection tool
The following diagnostic archives will be created in the local directory.
crsData_host01_20090729_1013.tar.gz -> logs,traces and cores from CRS home.
Note: core files will be packaged only with the --core option.
ocrData_host01_20090729_1013.tar.gz -> ocrdump, ocrcheck etc
coreData_host01_20090729_1013.tar.gz -> contents of CRS core files
osData_host01_20090729_1013.tar.gz -> logs from Operating System
...
Vous pouvez également appeler le script avec l'option –clean pour effacer du répertoire
local les fichiers générés lors d'une exécution précédente. Il est aussi possible de ne capturer
qu'un sous-ensemble des fichiers journaux. Pour cela, ajoutez les options suivantes après
l'option –-collect : –-crs pour collecter les journaux Oracle Clusterware, –-core pour
collecter les fichiers noyau, ou –-all pour collecter tous les journaux. L'option par défaut est
–-all.
Fichier de configuration
$ cat cvu_config
# Configuration file for Cluster Verification Utility(CVU)
# Version: 011405
#
#If CRS home is not installed, this list will be
#picked up when -n all is mentioned in the commandline argument.
#CV_NODE_ALL=
#if enabled, cvuqdisk rpm is required on all nodes
CV_RAW_CHECK_ENABLED=TRUE
Débogage dynamique
crsctl
lsmodules debug
Débogage dynamique
Vous pouvez utiliser les commandes crsctl set log en tant qu'utilisateur root pour
activer le débogage dynamique pour les services %NWUVGT4GCF[5GTXKEGU
%45%NWUVGT
5[PEJTQPK\CVKQP5GTXKEGU
%55, ainsi que pour les composants Event Manager (EVM) et
Clusterware. Les informations de débogage restent dans le registre OCR (Oracle Cluster
Registry) en vue d'une utilisation après le prochain démarrage. Vous pouvez également
activer le débogage des ressources. Les commandes crsctl lsmodules crs| css|evm
permettent de lister les composants pouvant être utilisés pour le débogage. L'exemple de la
diapositive ci-dessus répertorie les composants de CSS. Les niveaux de journalisation par
défaut sont mieux interprétés avec un accès au code source et sont conçus pour les besoins du
support technique Oracle. Lorsque le support technique Oracle vous y invite, vous pouvez
utiliser des commandes telles que la commande suivante pour activer une journalisation
supplémentaire :
• crsctl set log <module name> "<component>=<debugging level>", où
<module name> est le nom du module, CRS, EVM ou CSS ; <component name> est le
nom du composant obtenu à l'aide de la commande crsctl lsmodules, et
<debugging level> est un niveau compris entre 0 et 5.
• crsctl debug statedump crs|css|evm, qui effectue un dump des informations
d'état pour les modules crs, css ou evm.
• crsctl set log res "<res_name>=<debugging_level>", qui active la
journalisation pour une ressource spécifique.
L'exemple de la diapositive ci-dessus montre comment activer dynamiquement une
journalisation additionnelle (niveau 5) pour les composants CRS suivants : CRSEVT,
CRSAPP, CRSTIMER et CRSRES.
– Pour le désactiver :
# crsctl unset css diagwait
• Outils OCR :
– ocrdump
– ocrconfig
– ocrcheck
– srvctl
• Les journaux sont générés dans le répertoire suivant :
Synthèse
Quiz
Réponse : 2
Faux. Le module hangcheck-timer n'est plus nécessaire dans les clusters Oracle Grid
Infrastructure 11g Release 2.
Quiz
Réponses : 1, 2, 4
Les affirmations 1, 2 et 4 sont correctes.
Exercice 6 : Présentation
Objectifs
Paramètre ASM_DISKGROUPS
Le paramètre d'initialisation ASM_DISKGROUPS définit la liste des groupes de disques qui
sont automatiquement montés par ASM au démarrage d'une instance. La valeur par défaut du
paramètre ASM_DISKGROUPS est la chaîne NULL.
Le paramètre ASM DISKGROUPS est ignoré lorsque vous indiquez l'option NOMOUNT au
démarrage de l'instance ou lorsque vous exécutez l'instruction ALTER DISKGROUP ALL
MOUNT.
Le paramètre ASM_DISKGROUPS est dynamique. Voici un exemple de définition de
ASM_DISKGROUPS :
ALTER SYSTEM SET ASM_DISKGROUPS = 'DATA, LOG, STANDBY'
Lorsqu'un fichier SPFILE est utilisé, ASM_DISKGROUPS est modifié chaque fois qu'un groupe
de disques est monté, démonté, créé ou supprimé. Lorsque vous utilisez ASMCMD ou
SQLPLUS pour monter un disque, le disque n'est monté que sur le noeud local et
ASM_DISKGROUPS n'est modifié que pour l'instance locale. Lorsque vous utilisez ASMCA
pour monter un groupe de disques, vous pouvez effectuer le montage localement ou sur tous
les noeuds. ASM_DISKGROUPS est modifié en fonction de votre choix. Avec Enterprise
Manager, vous pouvez choisir les noeuds sur lesquels vous voulez monter et démonter le
groupe. EM gère uniquement les noeuds sur lesquels il existe un agent.
Lorsque vous utilisez un fichier PFILE, vous devez modifier le fichier de paramètres
d'initialisation pour ajouter ou supprimer des noms de groupe de disques. Voici un exemple de
paramètre ASM_DISKGROUPS dans un fichier PFILE :
ASM_DISKGROUPS = 'DATA', 'LOG', 'STANDBY'
Paramètre ASM_DISKSTRING
Le paramètre d'initialisation ASM_DISKSTRING indique une liste de chaînes séparées par
une virgule qui limite le jeu de disques repérés par une instance ASM. Seuls les disques qui
correspondent à une des chaînes sont découverts.
Les chaînes de repérage peuvent inclure des caractères génériques. Le caractère * représente
un nombre quelconque de caractères. Le caractère ?, lorsqu''il est utilisé comme premier
caractère d'un chemin, définit une extension vers le répertoire d'origine ORACLE_HOME.
Lorsque vous utilisez ? ailleurs dans le chemin, il représente un caractère quelconque, en
fonction du système d'exploitation. Sur les systèmes Linux et UNIX, d'autres modèles de
caractères génériques peuvent être utilisés.
Le format de la chaîne de repérage dépend de la bibliothèque ASM et du système
d'exploitation utilisés. Par exemple, sur un serveur Linux qui n'utilise pas ASMLib, pour
limiter le processus de repérage aux disques qui correspondent au modèle /dev/sd*,
définissez ASM_DISKSTRING = /dev/sd *
Pour limiter le processus de repérage résultats aux disques dont le nom finit par 3 ou 4,
définissez ASM_DISKSTRING = /dev/sd *3, /dev/sd *4.
La valeur par défaut du paramètre ASM_DISKSTRING est la chaîne NULL. Avec la valeur
NULL, ASM explore le chemin par défaut pour trouver tous les disques du système pour
lesquels l'instance ASM a un accès en lecture et en écriture. Le chemin de recherche par
défaut dépend de la plate-forme. La liste suivante affiche le chemin par défaut pour une
sélection de plates-formes courantes :
Linux : /dev/raw/*
AIX : /dev/rhdisk*
HP-UX : /dev/rdisk/*
Solaris : /dev/rdsk/*
Paramètre ASM_POWER_LIMIT
Le paramètre d'initialisation ASM_POWER_LIMIT définit la façon dont s'effectue le
rééquilibrage entre les disques. La valeur par défaut est 1 et la plage de valeurs acceptables va
de 0 à 11. La valeur 0 désactive le rééquilibrage. Les valeurs numériques élevées permettent
un rééquilibrage plus rapide, mais au prix d'une plus grande utilisation des ressources système
et d'une surcharge d'E/S. Chaque instance peut avoir une valeur différente pour
ASM_POWER_LIMIT.
Paramètre INSTANCE_TYPE
Le paramètre d'initialisation INSTANCE_TYPE doit être défini avec la valeur ASM pour une
instance ASM. Il s'agit d'un paramètre obligatoire qui ne peut pas être modifié. Voici un
exemple de paramètre INSTANCE_TYPE dans le fichier d'initialisation :
INSTANCE_TYPE = ASM
Paramètre CLUSTER_DATABASE
Dans le cadre d'ASM, le paramètre d'instance CLUSTER_DATABASE indique si la
clusterisation du stockage est activée. Vous devez définir CLUSTER_DATABASE = TRUE
si vous souhaitez que différentes instances ASM clusterisées puissent accéder simultanément
aux mêmes disques ASM.
Notez qu'un système ASM clusterisé peut prendre en charge les bases de données RAC
(Real Application Clusters) et les bases monoinstances.
Remarque : Toutes les instances d'un cluster doivent avoir le même paramétrage.
Paramètre MEMORY_TARGET
Oracle Corporation recommande fortement d'utiliser la gestion automatique de la mémoire
(AMM - Automatic Memory Management) pour ASM. Cette fonctionnalité gère
automatiquement les paramètres liés à la mémoire des instances ASM en fonction du
paramètre MEMORY_TARGET. Elle est activée par défaut sur les instances ASM, même si le
paramètre MEMORY_TARGET n'est pas défini explicitement. La valeur par défaut utilisée
pour MEMORY_TARGET (272 Mo) est acceptable pour la plupart des environnements. Ce
paramètre est le seul à définir pour la gestion globale de la mémoire ASM.
Vous pouvez augmenter dynamiquement MEMORY_TARGET, jusqu'à la valeur
MEMORY_MAX_TARGET, tout comme pour une instance de base de données.
Remarque : Pour les environnements Linux, la gestion automatique de la mémoire ne
fonctionne pas si /dev/shm n'est pas disponible ou a une taille inférieure à
MEMORY_TARGET. Pour la version 5 d'Enterprise Linux, la taille par défaut de /dev/shm
est la moitié de celle de la mémoire système. Vous pouvez la modifier en ajoutant l'option
size à l'entrée /dev/shm dans /etc/fstab. Pour plus d'informations, consultez la page
man correspondante à la commande mount.
Remarque : La valeur minimum de MEMORY_TARGET pour ASM est de 256 Mo dans le
fichier SPFILE. Si vous indiquez une valeur inférieure pour MEMORY_TARGET, Oracle
Database la remplace automatiquement par la valeur 256 Mo.
Ajuster les paramètres des instances ASM dans les fichiers SPFILE
Vous pouvez utiliser un fichier de paramètres serveur (SPFILE) en tant que fichier de
paramètres pour les instances ASM. Le fichier SPFILE est un fichier binaire qui ne peut pas
être modifié à l'aide d'un éditeur de texte.
Vous pouvez utiliser Oracle Enterprise Manager ou la commande SQL ALTER SYSTEM pour
ajuster les paramètres des instances ASM dans un fichier SPFILE.
Par exemple, pour ajuster le fichier SPFILE afin que votre environnement ASM repère les
disques Oracle ASMLib, vous pouvez exécuter :
ALTER SYSTEM SET ASM_DISKSTRING='ORCL:*' SID='*' SCOPE=SPFILE;
Si vous utilisez SCOPE=SPFILE, seul le paramètre stocké dans le fichier SPFILE est
modifié. La modification n'affecte pas le paramètre actuel de l'instance ASM en cours
d'exécution. Si le paramètre peut être modifié dynamiquement, vous pouvez utiliser
SCOPE=MEMORY pour ajuster un paramètre pour une instance en cours d'exécution, ou bien
indiquer SCOPE=BOTH (ou omettre la clause SCOPE) pour ajuster dynamiquement un
paramètre et sauvegarder la modification dans le fichier SPFILE.
Vous pouvez ajouter une clause SID facultative pour indiquer que le paramètre s'applique à
une instance spécifique, ou utiliser la clause par défaut SID='*' pour indiquer explicitement
que le paramètre s'applique à toutes les instances. Par exemple, pour ajuster le fichier SPFILE
afin que l'instance +ASM1 utilise une valeur POWER_LIMIT spécifique, vous pouvez
exécuter :
ALTER SYSTEM SET ASM_POWER_LIMIT=5 SCOPE=SPFILE SID='+ASM1';
Si vous utilisez un fichier SPFILE dans un environnement ASM clusterisé, vous devez placer
le fichier SPFILE dans ASM, dans un système de fichiers NFS (Network-Attached Files) ou
dans un système de fichiers clusterisé.
SQL> startup
ASM instance started
SQL>
$ asmcmd
ASMCMD [+] > shutdown
V$ASM_DISK
V$ASM_TEMPLATE V$ASM_CLIENT
_IOSTAT
Quiz
Réponses : 2 et 4
Quiz
Réponse : 1
Oracle Corporation recommande fortement d'utiliser la gestion automatique de la mémoire
(AMM) pour ASM.
La valeur par défaut utilisée pour MEMORY_TARGET (272 Mo) convient pour la plupart des
environnements. La valeur de MEMORY_TARGET est définie lors de l'installation et peut être
ajustée ultérieurement.
Synthèse
Présentation de l'exercice 7 :
Gérer les instances ASM
Dans cet exercice, vous allez :
• ajuster les paramètres d'initialisation
• arrêter et démarrer des instances
• lancer Enterprise Manager
• surveiller le statut des instances