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Master 2 Droit des Affaires année scolaire 2019-2020

CONTENTIEUX
INTERNATIONAL

Présenté par : Soumis par : Pr A.MAAZOUZ


RAMELSON Mamitiana Andrianina
STEFFY MAYA Tarehy
OUSMANE Coulibaly
Introduction
Jusqu’à la moitié du XX e siècle, le recours à la force armée était le mode le plus utilisé pour régler un
différend. Ce recours était appréhendé comme un recours naturel puisqu’il s’apparentait à un acte de
souveraineté étatique. A la demande du peuple qui souffrait des conséquences de la guerre, pour la
première fois en 1864 fut signée la première convention humanitaire de Genève sur l’amélioration du
sort des militaires blessés dans la campagne et par la suite , en mai 1899, on assista à la première
conférence de la paix de la Haye, en effet l’objectif de cette conférence est de rechercher les moyens les
plus efficaces pour assurer au peuple la recherche d’une paix en permettant aux Etats de régler leurs
différends par des moyens soit diplomatiques, soit juridictionnels ; 26 Etats participèrent à cette
conférence qui ont abouti à l’adoption de conventions internationales dont la plus marquante est celle
de règlement pacifique des conflits internationaux en 1907. Par ailleurs, l’essor du commerce
international a donné lieu à des litiges qui ont été, pendant un temps difficile à trancher du fait de la
complexité des relations internationales ;

Etudier le contentieux international conduit donc à examiner l’état de la justice internationale et à mettre
en exergue l’existence de techniques de règlement des litiges internationaux.

Au regard de tous ces éléments : existe-t-il un rapport entre le contentieux international et l’arbitrage ?
si oui, dans quelle mesure ?

Pour répondre à cette problématique nous allons analyser successivement la notion de contentieux
international et le mode de règlement du contentieux international

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Partie 1 : Notion de contentieux international
A / Définition du contentieux international
 D’abord pour cerner la notion de contentieux international, il est important de définir le
« contentieux » ; en effet le mot « contentieux » dérive du latin et du terme « contentiosus », qui
signifie « qui donne lieu à un querelle », le terme « contentieux » est donc très proche du terme
litige et différend. La CPJI1 dans son arrêt de 1924, MAVROMATIS (Grèce c/ UK) donne la
première définition d’un différend comme « un désaccord sur un point de droit ou de fait, une
contradiction, une opposition de thèses juridiques ou d’intérêts, entre deux sujets de droit.

 Par ailleurs on peut qualifier une situation de « international » quand la situation en question
présente un élément d’extranéité ou tout simplement lorsqu’on est face deux ou plusieurs ordre
juridique différent.

 En l’espèce on parle de contentieux international lorsqu’il y a un litige entre les parties soumis
à un ordre juridique différent. La définition la plus fiable est celle de la Cour International de
Justice. Selon elle le différend international est « un désaccord sur un point de droit ou de fait,
une contradiction, une opposition de thèse juridique ou d’intérêt entre deux Etats, la divergence
d’opinion se manifeste dès que l’un des gouvernements en cause constate que l’attitude
conservée par l’autre est contraire à la manière de voir du premier »

Ainsi dans la quête de la compréhension de la notion de contentieux international, il est aussi


intéressant de faire une distinction entre un différend juridique et politique

 Différend juridique et politique


En effet il fut un temps où on faisait la distinction entre ses types de différends.
Un différend juridique est un différend dans lequel les parties sont en désaccord sur l’application
ou l’interprétation d’un droit existant ; les questions d’ordre juridique sont principalement des
questions d’application ou d’interprétation des conventions internationales. D’après cette
définition, un différend juridique est celui qui est relatif à un droit, susceptible d’une solution
par l’application des règles de droit international mais surtout qu’il n’affecte pas les intérêts
vitaux des Etats.

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Cour Permanente de Justice International

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A contrario, un différend politique touche la souveraineté interne des Etats, ainsi que leur
intégrité territoriale. Généralement, ce genre de conflit met en cause l’indépendance de l’Etat
ainsi que son honneur national, c’est-à-dire les domaines qui peuvent affecter sa souveraineté.
En droit international classique, durant le 19e siècle, les différends étaient perçus comme étant
des différends politiques. Autrement dit, il s’agissait de différends établis dans les zones de
liberté de chaque Etat. Pendant cette période, le recours à la force armée était l’ultime moyen
de sanction pour le règlement des litiges internationaux ; la solidarité entre Etats n’était pas
satisfaisante pour créer un mécanisme plus efficace pour le règlement pacifique des différends
politiques internationaux.

Toutefois, le droit international n’accorde aucune pertinence aujourd’hui sur la distinction entre
le différend juridique et politique, la Cour internationale de justice estime que tout différend
international peut présenter aussi bien un caractère juridique que politique et qu’elle ne se
prononcera, si elle est saisie, que sur le volet juridique. Mais en pratique, seul l’Etat peut décider
s’il s’agit d’un différend politique ou juridique. C’est la vision étatique qui conduit à la
qualification du différend.

B- Critère de distinction entre contentieux international privé et public


1. Contentieux international public
L’Etat et l’Organisation Internationale sont juridiquement les principaux sujets originaires du
Droit International public, ainsi quand on parle de contentieux international public il s’agit
surtout des différends Internationaux entre Etat.

Ici, on met l’accent sur le principe règlement pacifique des différends internationaux
interétatiques, qui est antérieur à celui de l’interdiction de la force armée. Dans ce sens, la
Convention de la Haye de 18 Octobre 1907 parle dudit principe.
D’après l’article 1 de la convention de la Haye sur le règlement pacifique des différends
internationaux « En vue de prévoir autant que possible le recours à la force dans les rapports
internationaux, les puissances contractantes conviennent d’employer tous les efforts pour
assurer le règlement pacifique des différends internationaux ». Ce n’est pas une obligation de
résultat, mais une obligation de moyen, limitée dans sa conception et dans son domaine. Cette
convention vise le maintien de la paix et cherche explicitement à limiter le recours armé.

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La Charte des Nations Unies met l’accent sur le même principe, ainsi dans son article 2
paragraphe 3 elle affirme que « Les membres de l’organisation règlent leurs différends
internationaux par des moyens pacifiques, de telle manière que la paix et la sécurité
internationale ainsi que la justice ne soient pas mis en danger ». Dans son article 33, la Charte
des Nations Unies stipule aussi que « Les parties à tout différend dont la promulgation est
susceptible de menacer le maintien de la paix et de la sécurité internationales doivent en
rechercher la solution, avant tout, par voie de négociation, d’enquête, de médiation, de
conciliation, d’arbitrage, de règlement judiciaire, de recours aux organismes ou accords
régionaux, ou par d’autres moyens pacifiques de leur choix ».

2. Contentieux international privé


Dans le cadre cet analyse, on se focalisera uniquement que sur les contentieux issus du
commerce international. De nos jours, les rapports commerciaux dépassent les frontières. Les
relations commerciales ne se limitent plus forcément au niveau nationale mais s’ouvre à
l’échelle mondiale ; ainsi des parties contractantes de nationalité différentes peuvent établir des
relations commerciales sur la base d’un contrat internationale (comme le contrat de vente
internationale).
Il faut savoir que le contrat international est un contrat qui présente un élément d’extranéité,
c’est-à-dire que le contrat est en contact avec un ou plusieurs ordres juridiques étrangers.
Concrètement, l’élément d’extranéité peut être le domicile à l’étranger de l’une des parties au
contrat, sa nationalité, le lieu de conclusion du contrat, et plein d’autres possibilités encore. Et
un contrat commercial international c’est l’ajout d’un élément d’extranéité dans une relation
contractuelle commerciale par exemple un contrat liant un agent commercial marocain à un
entrepreneur français. Ce sont ses éléments d’extranéité, comme la nationalité, domicile à
l’étranger d’une personne physique ou bien d’une société internationale privé, qui sont les
facteurs qui vont créer des conflits de loi, de nationalité qui sont de sources créant des
contentieux internationaux privé mais qui sont des contentieux non- étatique surtout.

Il est nécessaire de savoir à l’avance ce qui incombe à chaque partie en rédigeant un contrat
international. Ainsi le règlement “Rome I” du 17 juin 2008 fait suite et remplace la
convention de Rome du 19 juin 1980 sur la loi applicable aux obligations contractuelles
internationales, la convention affirme « le principe selon lequel le contrat est régi par la loi
choisie par les parties, et ce même si la loi qu’elles désignent n’a aucun lien avec le contrat. A
défaut de choix de la loi applicable au contrat par les parties, le règlement précise quelle est la
loi applicable. Il s’agira de la loi qui présente les liens les plus étroits avec le contrat. Il est

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présumé que cette loi est la loi de résidence habituelle de la partie qui doit fournir la prestation
caractéristique du contrat, bien qu’il puisse y avoir des exceptions ». « La loi que ce règlement
définit comme applicable à un contrat régira son interprétation, exécution des obligations qu’il
engendre, les sanctions en cas de non-respect des obligations, l’évaluation des dommages,
l’extinction des obligations, les mesures d’exécution et les sanctions en cas d’invalidité du
contrat. Le droit communautaire qui, dans les domaines particuliers, règle les conflits de lois en
ce qui concerne les obligations contractuelles prévaut sur ce règlement, sauf dans le cas des
contrats d’assurance »

Le Règlement de Bruxelle I sur l’unification, elle va régir surtout de la compétence judiciaire,


il précise le tribunal compétant en cas de litige.

Partie 2 : mode de règlement du contentieux international


A/ L’Arbitrage International
1. Définition et historique
L’arbitrage est le mode usuel et privilégié de règlement des différends. De manière générale,
l’arbitrage peut être défini comme un mode de solution d’un litige par le recours à un tiers chargé
de le trancher par une décision obligatoire. Le caractère obligatoire de la décision arbitrale a une
importance particulière car il permet de distinguer la notion d’arbitrage des autres modes de
règlements des conflits comme l’expertise, la conciliation ou encore la médiation.

En effet, contrairement à la médiation, l’objectif n’est pas d’aboutir à une solution à l’amiable ;
en effet la justice arbitrale reste un procès, avec tous les moyens juridiques dont il dispose,
l’arbitre va en effet trancher le litige et la sentence sera obligatoire. La sentence prononcée aura
la même autorité qu’un jugement et ce grâce à un des traités les plus puissants dans les monde :
la Convention de New York qui permet d’exécuter la sentence arbitrale dans 160 pays.

Dans un sens plus restreint et précis, l’arbitrage est un mode de règlement non juridictionnel des
différends juridiques internationaux par des arbitres au les parties ont choisis et investis du
pouvoir de rendre une décision sur la base du respect du droit. Partant de cette définition, nous

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pouvons retenir que l’arbitrage commercial international est avant tout un mode juridictionnel
de règlement des différends qui a pour principale caractéristique de porter sur des litiges qui ont
un élément d’extranéité et de commercialité.
Historiquement, divers systèmes juridiques anciens connaissaient et recouraient déjà à
l’arbitrage. Nous pouvons principalement citer les pratiques arbitrales découvertes chez les
Assyriens, dans la Grèce antique et surtout dans l’Empire Romain ou le Code Justinien ;
L’Arabie préislamique a également connu un système d’arbitrage très élaboré (le Hakam). Cette
institution a réussi à traverser les âges et va connaître un essor considérable notamment avec le
développement du commerce international.

Idéalement, l’expression du consentement à l’arbitrage passe par le compromis ; c’est


l’instrument qui manifeste le mieux l’acceptation de la justice arbitrale par les parties. La
convention d’arbitrage intervient soit pour soumettre à l’arbitrage un litige déjà né, soit pour
prévoit la résolution arbitrale d’une catégorie de litige encore éventuel. Dans le premier cas, la
convention porte le nom de compromis arbitral, dans le seconde, il s’agit d’une clause
compromissoire.

En matière d’arbitrage presque tout est laissé à la volonté des parties. En effet dès la négociation
de leur relation mutuelle, les parties devraient chercher à s’entendre sur plusieurs points. Il
s’agira du droit applicable qui pourra être celui d’un pays tiers. Elles préciseront la procédure
applicable ainsi que le lieu de l’arbitrage et les arbitres.

Différents intérêts motivent les sociétés à recourir à l’arbitrage malgré son coût relativement
élevé ; ces intérêts sont entre autre une meilleure réponse aux problèmes de technicité, le souhait
d’une plus grande rapidité de la procédure, la recherche de confidentialité dans les affaires.

2. Arbitrage ad-hoc et institutionnel


L’arbitrage ad-hoc est celui qui est spécifiquement prévu dans chaque contrat. En vertu de la
clause compromissoire, les parties s’engagent à confier le règlement de leurs futurs litiges à un
tribunal arbitral dont elles ont choisi le siège et fixé les règles de constitution et de
fonctionnement. Cette formule est assez répandue et utilisée car elle permet de donner une
solution juridique aux litiges courant tout en permettant aux parties d’organiser la procédure.
Mais il s’est révélé, pour les litiges plus lourds et plus difficiles, elle laisse planer des incertitudes
dangereuses.

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C’est pourquoi une autre forme d’arbitrage apparut connu sous l’appellation d’arbitrage
institutionnel. Celui-ci est administré par une institution dont la principale fonction consiste à
fournir des infrastructures et des moyens à l’arbitrage. En effet l’arbitrage institutionnel est
effectué conformément aux règles de procédure publiées par une institution d’arbitrage
particulier : un centre d’arbitrage. Ces institutions ont en général un règlement d’arbitrage lui-
même, une autorité responsable de la nomination des arbitres et de prendre certaines autres
décisions, et une équipe de professionnels qui organise et gère les arbitrages.

Après avoir aborder de manière générale l’arbitrage international, il paraît nécessaire de traiter
les différents Conventions internationales qui ont marquées l’arbitrage international.

B/ Le rôle des conventions internationales


Historiquement, l’arbitrage international a suivi deux courants, les arbitrages de droit public
entre Etat et l’arbitrage du commerce international. Ainsi dans la nécessité d’améliorer le cadre
juridique, des conventions internationales ont été mis en place pour faciliter la résolution des
litiges issues des échanges et des investissements internationaux.

a) La convention de New York pour la reconnaissance et l’exécution des sentences


arbitrales étrangères de 1958
C’est le plus important traité international concernant l’arbitrage commerciale internationale.
En effet c’est l’un des principaux facteurs de l’essor qu’a connu l’arbitrage commerciale. La
convention vise à établir des normes législatives communes pour la reconnaissance des
conventions d’arbitrage ainsi que la reconnaissance et l’exécution par les tribunaux étatiques
des sentences étrangères et des sentences non nationales 2.
La convention a pour objectif principal d’empêcher toute discrimination envers les sentences
étrangères et les sentences non nationales. Elle oblige les Etats contractants à s’assurer que ces
sentences soient reconnues et généralement exécutoires sur leur territoire au même titre que les
sentences nationales. Un objectif secondaire de la Convention est d’obliger les tribunaux des

2
Par "non nationales", il faudrait entendre les sentences qui, bien que rendues sur le territoire de l'État où leur
exécution est demandée, sont considérées comme "étrangères" par la loi de l'État en question parce que la
procédure comporte un facteur d'extranéité, comme c'est le cas, par exemple, lorsque les règles de procédure
d'un autre État sont appliquées.

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Etats contractants à donner pleinement effet aux conventions d’arbitrage en renvoyant à
l’arbitrage les parties qui saisissent d’un litige en violation de leur convention d’arbitrage. La
Convention est ouverte à l’adhésion de tout Etat membre de l’ONU et de tout autre Etat qui est
membre d’une institution spécialisée des Nations Unies ou partie au Statut de la Cour
Internationale de Justice.

b) La Convention de Washington en 1965 pour le règlement des différends relatifs aux


investissements internationaux
Cette convention est entrée en vigueur le 14 octobre 1966 ; la Convention de Washington a
institué une organisation internationale, le CIRDI 3, et elle a défini deux procédures pour le
règlement des différends entre Etats et investisseurs étrangers : la conciliation et l’arbitrage.
Notons que le CIRDI, ne concilie ni n’arbitre ; son rôle est de procurer aux parties des moyens
pour l’instauration de Commissions de conciliation et de tribunaux arbitraux.
Le Centre International pour le Règlement des Différends relatif aux Investissements a été
institué par la Convention de Washington en 1965 pour faciliter la résolution des différends
relatifs aux investissements internationaux et par conséquent promouvoir l’investissement des
étrangers.

c) Le règlement d’arbitrage de la CNUDCI4


La CNUDCI a été institué en décembre 1966 en vue d’harmoniser et d’unifier le droit du
commerce international. Ainsi en 1976 le règlement d’arbitrage a été adopté dans l’objectif de
promouvoir la Convention de New York de 1958, unifier la procédure concernant les principales
étapes de l’arbitrage surtout au niveau de l’arbitrage ah doc. Ce règlement a servi au règlement
d’une grande variété de litiges, à savoir des litiges entre investisseurs et Etats, des litiges entre
Etats et des litiges commerciaux soumis à une institution d’arbitrage. Par ailleurs ce règlement
a été mis en place pour que la procédure puisse être utilisée à la fois dans les pays du Common
Law et les pays de droit civil ; aussi que le règlement puisse être accepté par les pays capitaliste
et socialiste. Ce règlement a été révisé en 2006 puis en 2010 afin de tenir compte des
changements survenus dans la pratique arbitrale.

3
Centre International pour le Règlement des Différends relatif aux Investissements
4
Commission des Nations Unies pour le Droit Commercial International

8
d) Loi type de la CNUDCI sur l’arbitrage commercial international 1985
La Loi type vise à aider les Etats à réformer et à moderniser leurs lois sur la procédure arbitrale
afin de tenir compte des caractéristiques et besoins particuliers de l’arbitrage commercial
international. Elle porte sur toutes les étapes du processus arbitral – convention d’arbitrage,
composition et compétence du tribunal arbitral, étendue de l’intervention du tribunal étatique,
et reconnaissance et exécution de la sentence arbitrale. La loi type est le fruit d’un consensus
mondial sur les aspects fondamentaux de la pratique de l’arbitrage international acceptés par
des Etats de toutes les régions et des différents systèmes juridiques ou économiques du monde.
Des amendements ont été rajoutés en 2006 dont l’objectif est de moderniser l'exigence de forme
pour les conventions d'arbitrage afin de mieux tenir compte des pratiques en matière de contrats
internationaux. Et depuis 2006 Depuis 2006, la version standard de la Loi type est la version
amendée. Le texte original de 1985 est également reproduit car il a servi de base à l'élaboration
de nombreuses lois nationales.

9
Bibliographie
A. BERLAIEN, « La distinction entre les Différend juridiques et les Différends politiques dans la
pratique des organisations internationales », in RBDI, 1975, pp. 405-444.

L. CAFLISCH, « Cent ans de règlement pacifique des différends interétatiques », R.C.A.D.I. 2001.288,
pp. 245-467

G. COHEN-JONATHAN, J.-F. FLAUSS dir., Mesures conservatoires et droits fondamentaux,


Bruxelles, Bruylant,2005, coll. Droit et justice n)65

HORCHANI, F. HORCHANI Règlement pacifique des différends internationaux, Centre de


publications, Tunis, 2002

D. SCHINDLER, « Les progrès de l’arbitrage obligatoire depuis la création de la SDN. » in


RCADI ?1928-V, vol.25, pp.237-361

E. BOREL, « Les voies de recours contre les sentences arbitrales », in RCADI 1935-II, vol.52, pp.5-
105

J-P A. FRANCOIS, « La Cour Permanente d’arbitrage », in RCADI, 1955-I, vol. 87, pp. 457-553

10
WEBOGRAPHIE
https://www.academia.edu/40460320/COURS_DROIT_DU_CONTENTIEUX_INTERNATIONA
10nov,08h44

https://www.doc-du-juriste.com/droit-public-et-international/droit-
international/dissertation/reglement-pacifique-differends-contentieux-international-462911.html
10nov,09h20

https://books.openedition.org/iheid/4200?lang=fr 15nov,22h54

https://uncitral.un.org/fr/texts/arbitration/contractualtexts/arbitration 15nov,28h40

http://www.lextenso-editions.fr/ouvrages/document/233816442 16nov,01h45

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Table des matières
Introduction........................................................................................................................................1

Partie 1 : Notion de contentieux international ....................................................................................2

A / Définition du contentieux international .....................................................................................2

B- Critère de distinction entre contentieux international privé et public ..........................................3

1. Contentieux international public..........................................................................................3

2. Contentieux international privé ...........................................................................................4

Partie 2 : mode de règlement du contentieux international ................................................................5

A/ L’Arbitrage International ............................................................................................................5

B/ Le rôle des conventions internationales ......................................................................................7

a) La convention de New York pour la reconnaissance et l’exécution des sentences arbitrales


étrangères de 1958 .....................................................................................................................7

b) La Convention de Washington en 1965 pour le règlement des différends relatifs aux


investissements internationaux ...................................................................................................8

c) Le règlement d’arbitrage de la CNUDCI ................................................................................8

d) Loi type de la CNUDCI sur l’arbitrage commercial international 1985 ...................................9

Bibliographie .................................................................................................................................... 10

WEBOGRAPHIE ................................................................................................................................. 11

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