Vous êtes sur la page 1sur 8

Fiches d'orientation

Clause abusive | Juillet 2019


Définition
Dans les contrats conclus entre professionnels et non-professionnels ou consommateurs, sont abusives
les clauses qui ont pour objet ou pour effet de créer, au détriment du non-professionnel ou du
consommateur, un déséquilibre significatif entre les droits et obligations des parties au contrat.

Textes :
 C. consom., art. L. 212-1 à L. 212-3, L. 241-1, L. 241-2, L. 822-4 à L. 822-11 ;
anc. art. L. 132-1, L. 135-1, L. 421-6
 C. consom., art. R. 212-1 à R. 212-5 ; anc. art. R. 132-1 à R. 132-5
 C. civ., art. 1171

Décisions fondamentales :
 Civ. 1re, 5 juin 2019, n° 16-12.519
 CJUE 26 mars 2019, aff. C-70/17
 Civ. 1re, 10 oct. 2018, n° 17-20.441
 CJUE 20 sept. 2017, aff. C-186/16
 CJUE 21 déc. 2016, aff. C-154/15
 Civ. 1re, 1er juin 2016, n° 15-13.236
 Civ. 1re, 3 juin 2015, n° 14-13.193
 CJUE 15 janv. 2015, aff. C-537/13
 Civ. 1re, 1er oct. 2014, n° 13-21.801
 Civ. 1re, 14 mai 1991, n° 89-20.999

ACTUALITÉ
Injonction de payer européenne et clauses abusives
Dalloz actualité / François Mélin – 30 janvier 2020
Par un arrêt du 19 décembre 2019, la Cour de justice de l'Union européenne se prononce sur
l'étendue de l'office du juge dans la procédure européenne d'injonction de payer.

Distinction confirmée des qualités de professionnel de l'immobilier et de la


construction
Dalloz actualité / Delphine Pelet – 26 novembre 2019
Une SCI dont l'objet social porte sur l'investissement, la gestion et la location de biens
immobiliers doit être considérée comme une professionnelle de l'immobilier, sans que cette
constatation ne suffise à lui conférer la qualité de professionnel de la construction.

Sommaire
1. Champ d'application
2. Identification des clauses abusives
3. Typologie des clauses abusives
4. Sanction des clauses abusives
4.1 Action en nullité
4.2 Action en suppression
5. Bibliographie

1. Champ d'application
La loi s'applique à tous les contrats de consommation conclus entre un professionnel et un consommateur
ou non-professionnel. Elle ne concerne ni les contrats conclus entre particuliers ni ceux conclus entre
professionnels.
Elle s'applique quels que soient la forme ou le support du contrat. Il en est ainsi notamment des bons de
commande, factures, bons de garantie, bordereaux ou bons de livraison, billets ou tickets, contenant des
stipulations négociées librement ou non ou des références à des conditions générales préétablies.
Enfin, à la faveur de l'ordonnance du 10 février 2016 portant réforme du droit des contrats, le nouvel article
1171 du code civil généralise le mécanisme de sanction des clauses abusives. Désormais, toute personne
physique et morale pourra obtenir des contrats qu'elle a souscrits que soient réputées non écrites – donc
inapplicables – les clauses créant un déséquilibre significatif à son détriment, quoique, au nom de l'impératif
de sécurité juridique, ce dispositif est limité aux seuls contrats d'adhésion.

2. Identification des clauses abusives


La clause litigieuse doit avoir pour objet (clause voulue) ou pour effet de créer un déséquilibre significatif
entre les droits et obligations des parties au contrat.
Sans préjudice des règles d'interprétation prévues par le code civil, le caractère abusif d'une clause
s'apprécie en se référant, au moment de la conclusion du contrat, à toutes les circonstances qui entourent
sa conclusion, de même qu'à toutes les autres clauses du contrat. Il s'apprécie également au regard de celles
contenues dans un autre contrat lorsque la conclusion ou l'exécution de ces deux contrats dépendent
juridiquement l'une de l'autre.
L'appréciation du caractère abusif des clauses ne porte ni sur la définition de l'objet principal du contrat ni sur
l'adéquation du prix ou de la rémunération au bien vendu ou au service offert pour autant que les clauses
soient rédigées de façon claire et compréhensible (C. consom., art. L. 212-1).

3. Typologie des clauses abusives


Sont de manière irréfragable présumées abusives et dès lors interdites (liste noire) les douze clauses
énumérées à l'article R. 212-1 du code de la consommation (ex : réserver au professionnel le droit de modifier
unilatéralement les clauses du contrat relatives à sa durée, aux caractéristiques ou au prix du bien à livrer ou
du service à rendre, contraindre le non-professionnel ou le consommateur à exécuter ses obligations alors
que, réciproquement, le professionnel n'exécuterait pas les siennes).
Sont seulement présumées abusives (liste grise) les dix clauses énumérées à l'article R. 212-2 du code de
la consommation (ex : reconnaître au professionnel la faculté de résilier le contrat sans préavis d'une durée
raisonnable). En cas de litige concernant un contrat comportant une telle clause, le professionnel doit
apporter la preuve du caractère non abusif de la clause litigieuse.

4. Sanction des clauses abusives

4.1 Action en nullité


Les clauses abusives sont réputées non écrites. Mais le contrat restera applicable dans toutes ses
dispositions autres que celles jugées abusives s'il peut subsister sans lesdites clauses.
À l'occasion du litige, le juge pourra d'office réputer non écrite la clause en question par application de l'article
L. 241-1, alinéa 1er du code de la consommation.

4.2 Action en suppression

Sur saisine des associations de consommateurs, le juge peut ordonner, le cas échéant sous astreinte, la
suppression d'une clause illicite ou abusive dans tout contrat ou type de contrat proposé ou destiné au
consommateur (C. consom., art. L. 524-1, 1).

Fiches associées :
 Consommateur
 Déséquilibre significatif

BibliographiePour consulter les documents de la bibliographie, veuillez passer votre souris sur le fonds
documentaire concerné situé à la droite de l'écran dans la zone 'Voir aussi...'. Si votre abonnement vous le permet, vous
pourrez lire le document cité

Encyclopédie
 Répertoire commercial, Clauses abusives, par Natacha Sauphanor-Brouillaud, juin 2014

Revues Dalloz
Articles de références
 Les clauses abusives en matière d'octroi d'un instrument de paiement, N. Kilgus,
AJCA 2017. 172
 Nouvelles clauses abusives en matière de crédit à la consommation affecté à
l'acquisition d'un véhicule automobile, J. Lasserre Capdeville, AJCA 2017. 29
 La protection des personnes morales contre les clauses abusives, A. Fortunato,
AJCA 2017. 25
 Les clauses abusives en droit commun des contrats, L. Gratton, D. 2016. Chron. 22
 La puissance du contractant en droit commun des contrats, G. Loiseau AJCA 2015.
496
 Action collective en suppression de clauses illicites ou abusives dans des modèles
types de contrats destinés aux consommateurs, G. Chantepie, D. 2011. 1659
 Clauses abusives et garanties des consommateurs : la proposition de directive
relative aux droits des consommateurs et la portée de l'« harmonisation complète »,
S. Whittaker, D. 2009. Chron. 1152
 La CJCE franchit une nouvelle étape vers une réelle protection du consommateur,
G. Poissonnier, D. 2009. Chron. 2312
 Clauses abusives - Listes réglementaires noire et grise, J. Rochfeld, RTD civ. 2009.
383
 Protection du consommateur - Pratiques commerciales déloyales ou trompeuses,
J. Rochfeld, RTD civ. 2008. 732
 Crédit à la consommation : la distinction entre clause abusive et irrégularité formelle,
X. Lagarde, D. 2005. Chron. 2222
 Clauses abusives : où va la jurisprudence accessible ?, L'appréciation du rapport
direct avec l'activité, X. Henry, D. 2003. Chron. 2557
 Le consommateur existe-t-il ?, J.-P. Chazal, D. 1997. Chron. 260

Ouvrage
Droit de la responsabilité et des contrats, 2014, œuvre collective sous la
direction de Philippe le Tourneau
 Chapitre 2 - Responsabilité délictuelle et inexécution contractuelle, Matthieu
Poumarède

Ouvrages feuilletables
Cours
 Droit de la consommation, Jean-Denis Pellier, Droit privé, 2e éd., 2019

HyperCours
 Droit civil 2e année (Les obligations), Stéphanie Porchy-Simon, Droit privé, 12e éd.,
2019

Mémentos
 Droit civil. Les obligations, Gérard Légier/Laetitia Tranchant/Vincent Égéa, Droit
privé, 23e éd., 2018

Nouvelle Bibliothèque de Thèses


 Droit de la concurrence et droit commun des obligations. Volume 32. Tome 32, Muriel
Chagny, Droit, 2004

Précis
 Droit civil (Les obligations), François Terré/Philippe Simler/Yves Lequette/François
Chénedé, Droit privé, 12e éd., 2018
 Droit de la consommation, Jean Calais-Auloy/Henri Temple, Droit privé, 9e éd., 2015

Université
 Droit de la consommation, Yves Picod, Droit privé, 4e éd., 2018
Clauses du contrat de travail | Septembre 2019
Définition
Le contrat de travail est un acte juridique qui peut être doté de différentes clauses, dont la nature et la
force obligatoire sont susceptibles de varier selon, principalement, leur rédaction et l'analyse que peut en
avoir le juge.

Texte :
 C. trav., art. L. 1221-1 s.

Décisions fondamentales :
 Soc. 7 juin 2006, n° 04-45.846
 Soc. 23 févr. 2005, n° 04-45.463
 Soc. 25 févr. 2004, n° 01-43.392
 Soc. 3 juin 2003, n° 01-40.376
 Soc. 2 juill. 2002, n° 00-13.111
 Soc. 4 mai 1999, n° 97-40.576
 Soc. 12 janv. 1999, n° 96-40.755
 Soc. 10 juill. 1996, Le Berre, n° 93-41.137

Sommaire
1. Le socle contractuel
2. Élaboration des clauses
3. Mise en œuvre des clauses
4. Sanctions
5. Bibliographie

1. Le socle contractuel
L'analyse du contenu du contrat de travail révèle que toutes ses stipulations n'ont pas nécessairement une
nature contractuelle. Cette affirmation ressort de l'examen des analyses forgées par les juges du contenu
contractuel de l'acte juridique « contrat de travail » jusqu'à l'arrêt Le Berre (Soc. 10 juill. 1996). Cette précision
a des incidences pratiques fortes puisqu'elle permet de délimiter aussi bien des aires d'emprise du pouvoir de
l'employeur sur le salarié et sur le rapport de travail que des aires contractuelles, c'est-à-dire rendant
nécessaire l'accord du salarié pour leur modification.
Le contrat de travail est ainsi doté d'un contenu de principe. Ainsi, sont en principe contractuels :
• le salaire, qu'il s'agisse de son montant ou de son mode de calcul (Soc. 28 janv. 1998) ;
• la nature du travail, c'est-à-dire la qualification du salarié et ses responsabilités (Soc. 28 janv. 2005) ;
• le lieu de travail, s'il est clairement stipulé que le travail sera exclusivement exécuté en un lieu précis ou si
la mutation du salarié est envisagée en dehors du secteur géographique auquel il est affecté (Soc. 4 mai
1999) ;
• le temps de travail, bien qu'il faille distinguer selon qu'est envisagée la durée du travail (par nature
contractuelle, elle peut néanmoins être modifiée de manière unilatérale par l'employeur fondé à exiger du
salarié qu'il exécute, par exemple, des heures supplémentaires dans les limites des règles impératives
posées par la loi, Soc. 20 mars 1961) ou la répartition du temps de travail (si la répartition des horaires sur
la semaine est unilatéralement modifiable par l'employeur pour les salariés ayant conclu un CDI [Soc. 17 oct.
2000], le passage d'un horaire de nuit à un horaire de jour [Soc. 7 avr. 2004] ou d'un horaire fixe à un horaire
variable [Soc. 14 nov. 2000] requièrent l'accord du salarié).
Cet examen rapide du socle contractuel révèle l'existence des clauses informatives. En effet, la fixation du
lieu de travail par une clause ne peut avoir valeur contractuelle que si la clause indique clairement et
expressément avoir une telle valeur (Soc. 3 juin 2003). À défaut d'une telle stipulation, la clause est
insusceptible d'être dotée de force obligatoire, de sorte que la référence au secteur géographique devra être
utilisée pour décider si la mutation du salarié procédait d'une modification du contrat ou d'un changement des
conditions de travail.
Aux côtés de ce socle – plus ou moins contractuel, donc – demeurent des espaces de négociations pour
l'insertion au contrat de travail de clauses. Leur incorporation au contrat suppose néanmoins le respect d'une
double condition : leur insertion au contrat doit, d'une part, être justifiée et, d'autre part, les clauses doivent
être conformes à l'ordre public. Cette double condition se justifie par la nature des clauses insérées au
contrat dans la mesure où elles font, le plus souvent, peser des sujétions nouvelles sur le salarié et servent
l'accroissement du pouvoir de l'employeur (ces clauses sont légion, qu'il s'agisse des clauses d'essai, des
clauses de variation, de mobilité, d'exclusivité ou de clauses liant le salarié même après résiliation du contrat
telle la clause de non- concurrence).

2. Élaboration des clauses


Pour qu'une clause ne soit pas déclarée illicite, elle doit d'abord être justifiée au regard de la nature de la
tâche à accomplir. Cette exigence découle de la conjonction de deux textes : l'article L. 1121-1 du code du
travail et l'article 1129 du code civil [devenu art. 1162 à 1164].
Selon l'article L. 1121-1 du code du travail, d'abord, une clause ne peut avoir pour effet de restreindre un
droit de l'homme ou une liberté fondamentale sans être justifiée par la nature de la tâche à accomplir et
proportionnée au but recherché. Le juge opère donc un double contrôle s'agissant des clauses : un contrôle
de justification de la clause, un contrôle de proportionnalité des prévisions contractuelles. C'est sur ce
fondement qu'ont été jugées illicites les clauses dites de domiciliation (Soc. 13 avr. 2005) puisqu'atteignant
la liberté de choix du domicile.
Selon l'article 1129 du code civil [devenu art. 1162 à 1164], ensuite, les obligations souscrites par les
contractants doivent être déterminées ou, au moins, déterminables. Aussi, et bien que la Cour de cassation
ne fasse pas une référence explicite à ce fondement, ont été déclarées illicites les clauses de mobilité
n'exprimant pas clairement la zone de mobilité (Soc. 7 juin 2006) ou bien encore la clause de variation des
horaires assise sur « les nécessités du service » (Soc. 5 juin 2001).
Bien sûr, la validité des clauses n'est pas sans lien avec la validité du contrat (les clauses insérées au
contrat ne sont opposables que dans la mesure où le contrat est valable et qu'il a, par exemple, été librement
consenti, sans vices…).

3. Mise en œuvre des clauses


Les analyses doctrinales de la mise en œuvre des clauses révèlent que se conjuguent là trois impératifs.
La mise en œuvre ne doit, d'abord, pas être abusive. Le juge contrôle donc autant l'édiction d'une mesure
que son application. Aussi, la mise en œuvre d'une clause d'une manière précipitée ou ayant une finalité non
conforme à l'objet de la clause est susceptible d'être considérée comme abusive.
La mise en œuvre de la clause ne doit pas être contraire aux droits fondamentaux du salarié. Il s'agit
moins là de la rédaction de la clause que de son application : une clause licite ayant pour effet d'atteindre les
droits fondamentaux du salarié se verra ainsi écartée (Soc. 14 oct. 2008).
Le juge fait usage des notions de « bonne foi » et « d'intérêt de l'entreprise » pour écarter l'application
de clauses (Soc. 23 févr. 2005).
Tous ces motifs sont, le plus souvent, conjugués pour justifier que soit écartée une clause du contrat. Ainsi et
à titre d'exemple, le juge peut caractériser l'abus par le motif étranger à l'intérêt de l'entreprise…

4. Sanctions
La sanction première à l'illicéité d'une clause est son inopposabilité aux parties. Néanmoins, ce n'est pas
la seule sanction de l'illicéité qui est aussi susceptible de réparation par des dommages-intérêts. La Cour de
cassation adopte clairement cette position et retient, à propos de la clause de non-concurrence, que
l'application d'une telle clause illicite cause nécessairement un préjudice au salarié devant être réparé par des
dommages-intérêts (Soc. 11 janv. 2006).

Fiches associées :
 Clause de mobilité
 Clause de non-concurrence
 Contrat de travail (Conclusion)
 Contrat de travail (Exécution)
 Contrat de travail (Modification)

BibliographiePour consulter les documents de la bibliographie, veuillez passer votre souris sur le fonds
documentaire concerné situé à la droite de l'écran dans la zone 'Voir aussi...'. Si votre abonnement vous le permet, vous
pourrez lire le document cité

Encyclopédies
 Répertoire travail, Contrat de travail (Clauses particulières), par Yann Aubrée, sept. 2006
 Répertoire travail, Contrat de travail (Exécution), par Antoine Mazeaud, janv. 1993
 Répertoire travail, Contrat de travail (Existence – Formation), par Yann Aubrée, janv. 2014
 Répertoire travail, Contrat de travail : modification, par Sandrine Maillard-Pinon, juin 2015
 Répertoire travail, Harcèlement moral, par Patrice Adam, sept. 2014

Revues Dalloz
Articles de références
 Une clause du contrat de travail peut-elle autoriser l'employeur à procéder
unilatéralement à un passage d'un horaire de nuit à un horaire de jour, M. Véricel,
RDT 2019. 495
 Droit civil et droit du travail : une relation instable ?, G. Loiseau, Dr. soc. 2019. 477
 Actualité du régime juridique du contrat de travail, L. Bento de Carvalho, S.
Tournaux, Dr. soc. 2019. 57
 Chronique d'actualité du régime juridique du contrat de travail, S. Tournaux, Dr. soc.
2018. 653
 Quel contrat de travail au XXIe siècle ?, B. Bossu, Dr. soc. 2018. 232
 Validité des conditions suspensives dans les contrats de travail à durée déterminée,
J. Mouly, Dr. soc. 2017. 568
 Le contrat de travail et les dérogations au droit commun du contrat, J.-Y. Frouin, Dr.
soc. 2017. 696
 Droit du travail : relations individuelles de travail, P. Lokiec, J. Porta, D. 2017. 840
 Le secteur géographique : la fin d'un mystère ?, Y. Pagnerre, RDT 2017. 181
 Chronique d'actualité du régime juridique du contrat de travail, S. Tournaux, Dr. soc.
2017. 136
 Le juge et la modification du contrat de travail, G. Auzero, F. Canut, Dr. soc. 2017. 11
 Impact de la réforme du droit des contrats sur le contrat de travail, Y. Pagnerre, Dr.
soc. 2016. 727
 Chronique d'actualité du régime juridique du contrat de travail, S. Tournaux, Dr. soc.
2016. 650
 Nullité totale de la clause de non-concurrence prévoyant au bénéfice de l'employeur
une faculté de renonciation à tout moment, J. Mouly, Dr. soc. 2016. 187
 Vers une résurrection de la jurisprudence Le Berre ?, J. Mouly, Dr. soc. 2016. 27
 Changer d'employeur dans le cadre du transfert conventionnel du contrat de travail
nécessite toujours l'accord exprès du salarié !, B. Reynès, RDT 2016. 482
 Chronique d'actualité du régime juridique du contrat de travail, S. Tournaux, Dr. soc.
2016. 9
 La survie de la clause de non-concurrence en dépit de la disparition de l'entreprise,
J. Mouly, Dr. soc. 2015. 374
 Les clauses de garantie d'emploi s'appliquent-elles en cas d'inaptitude physique du
salarié ? J. Mouly, Dr. soc. 2015. 559
 La renonciation à une clause de non-concurrence en cours de contrat, J. Mouly, Dr.
soc. 2015. 465
 Chronique d'actualité du régime juridique du contrat de travail, S. Tournaux, Dr. soc.
2015. 206
 Le sort des clauses du contrat de travail d'un rugbyman et de la convention collective
du rugby professionnel, D. Jacotot, RDT 2014. 416
 Validité des clauses imputant la rupture du contrat de travail à l'employeur en cas de
changement de direction, Soc. 10 avr. 2013, n° 11-25.841, J. Mouly, Dr. soc. 2013.
551
 Clause de résidence : la Cour de cassation persiste et signe, Soc. 28 févr. 2012,
n° 10-18.308, D. 2012. 744, C. Varin, RDT 2012. 225
 Une clarification de la distinction entre la modification du contrat de travail et le
changement des conditions de travail, Soc. 13 juill. 2010, n° 08-44.092,
M. Castronovo, RDT 2010. 172
 Droit des contrats et droit du travail (1re et 2e partie), G. Couturier et A. Perulli, RDT
2007. 407
 La clause de non-concurrence, P. Lokiec, S. Robin-Olivier, S. Anderman, P. Rémy,
M. Zumfelde et V. Brino, RDT 2007. 674
 Existe-t-il un jus commune applicable aux clauses du contrat de travail ? M. Mekki,
RDT 2006. 292

Ouvrages feuilletables
Cours
 Droit du travail, François Gaudu/Florence Bergeron-Canut, Droit privé, 6e éd., 2018

Grands arrêts
 Les grands arrêts du droit du travail, Jean Pélissier/Antoine Lyon-Caen/Antoine
Jeammaud/Emmanuel Dockès, Grands arrêts, 4e éd., 2008

HyperCours
 Droit du travail 2020, Cyril Wolmark/Elsa Peskine, Droit privé, 13e éd., 2019

Mémentos
 Droit du travail, Alain Coeuret/Jean-Philippe Lieutier, Droit privé, 1re éd., 2018

Copyright 2020 - Dalloz - Tous droits réservés.

Vous aimerez peut-être aussi