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France, s’ajoute une crise de confiance.

Le risque est
grand. En déconfinant trop rapidement, par exemple, cela pourrait conduire à
relancer la pandémie.
La tentation est grande aussi de profiter de cette
situation où les Français sont fragilisés pour imposer deux mesures dangereuses. La
première serait
une remise en question des libertés publiques. Créer
un Big Brother, tracer numériquement nos déplacements pour pister l’épidémie… avec
comme dégât
collatéral un traçage des individus. Le second risque
est fiscal. Qui va payer la facture ? Certaines voix
suggèrent qu’on pourrait taxer de 10 % les livrets,

Sources : Barclays, IBES.


A savoir, les petits commerces pourront rouvrir à
par
ensuite, sera riche d’enseignements. De nombreux
groupes ont déjà averti qu’ils renonçaient à leurs
objectifs 2020. Mais les investisseurs vont désormais demander plus d’explications.
Et, au regard
des dégâts enregistrés en mars, ils vont extrapoler
avril et, ainsi, affiner leurs estimations pour le
deuxième trimestre. Selon Eric Galiègue, président de Valquant Expertyse, « le
marché mésestime
l’impact économique de cette crise, et les analystes
n’ont fait que la moitié du chemin ». Pour l’expert, « la
variation du bénéfice net par actions de 2020 par rapport à 2019 pour les
entreprises du Cac 40 passera de
+ 10 % avant la crise à – 30 % ». Or, la corrélation
entre les bénéfices et le marché est historiquement
forte !
Boursièrement, la zone des 4.000-4.500 points semble être une zone d’équilibre
après le plongeon de
6.100 à 3.600 points. Si les entreprises tiennent un
discours positif lors de la présentation de leurs
comptes, ou si les Etats-Unis arrivent à enrayer, dans
« Une nouve

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