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SOMMAIRE
INTRODUCTION ......................................................................................................................................... 2
I. DEFINITIONS .................................................................................................................................. 2
1. Essai triaxial : ................................................................................................................................ 2
II. BUT ET INTERET DE L’ESSAI ................................................................................................. 4
1. But de l’essai ................................................................................................................................. 4
2. Intérêt de l’essai............................................................................................................................. 4
III- PRINCIPE DE L’ESSAI ............................................................................................................... 4
1. Principe.......................................................................................................................................... 4
2. Résistance au cisaillement et Critères de ruptures......................................................................... 5
IV- MODE OPERATOIRE DE L’ESSAI ........................................................................................... 8
1. Appareillage .................................................................................................................................. 8
2. Mode opératoire ............................................................................................................................ 9
Essai en conditions consolidées drainées (CD) ........................................................................... 10
Essai en conditions consolidées et non-drainées (CU) ................................................................ 10
Essai en conditions non-consolidées et non-drainées (UU) ........................................................ 11
V- EXPLOITATION DES RÉSULTATS ........................................................................................ 11
VI- ETUDE DE CAS ......................................................................................................................... 14
1. Méthodologie............................................................................................................................... 14
2. Résultats ...................................................................................................................................... 15
3. Analyse des résultats ................................................................................................................... 17
4. Dimensionnement de la fondation ............................................................................................... 21
CONCLUSION ........................................................................................................................................... 24
INTRODUCTION
La connaissance des sols commence toujours par des observations et des mesures, lors d'essais in
situ et d'essais de laboratoire. Les essais in situ, comme le pressiomètre ou le pénétromètre, testent
le matériau dans son état naturel mais dans des conditions de déformation et de drainage complexes
qui en rendent l'interprétation difficile. Les essais de laboratoire offrent une meilleure maîtrise des
conditions de drainage et de chargement et permettent d'explorer plus largement les lois de
comportement des sols. L'essai de laboratoire le plus utilisé est l'essai triaxial. Cet essai a permis
d'établir des concepts importants pour le comportement des sables comme le concept d'état critique
(Roscoe et al., 1958 ; Schofield et Wroth, 1968) ou le concept d'état caractéristique (Luong, 1978).
Il fournit aussi les données expérimentales qui servent de base aux lois de comportement dont la
formulation mathématique est utilisée pour prédire la réponse du sol à des sollicitations plus
complexes. La plupart des modèles de comportement sont issus d'essais triaxiaux. Une fois
généralisés à des sollicitations tridimensionnelles, ils peuvent être introduits dans un code de calcul
pour servir au calcul d'ouvrages complexes.
L’appareil triaxial est aujourd’hui l’élément fondamental de tout laboratoire de mécanique des sols
et nous donne :
La courbe intrinsèque.
L’angle de frottement interne.
La cohésion.
I. DEFINITIONS
1. Essai triaxial :
L'essai de compression tri axiale permet de mieux accéder aux propriétés mécaniques des
matériaux, car il affecte l'état de contraintes in situ. Ce type d'essai permet de contrôler et de
mesurer la pression interstitielle, d'appliquer une gamme de pression de confinement (isotrope ou
anisotrope) pour consolider initialement l'échantillon à un état prédéfini. Les différents types d'essai
réalisables sont : l’essai UU (Unconsolidated-undrained) , l’essai CU (Consolidated-undrained)
,l’essai CU + u (Consolidated-undrained) et enfin l’essai CD (Consolidated-drained) .
Si le remblai est saturé et sans possibilité de drainage, un changement de l'état des contraintes ne
conduit pas à une variation de volume (essai à volume constant) mais induit une modification de
la pression interstitielle.
Essai drainé :
Si le drainage est permis, une augmentation des contraintes conduites à une consolidation et
éventuellement à une modification de la pression interstitielle. Dans ce cas, la variation de la
pression interstitielle est négligeable par rapport à l'accroissement de la contrainte appliquée. Le
type d'essai réalisé dans ce projet est l'essai consolidé drainé.
Consolidation :
La consolidation d'un matériau résulte en général de la variation des contraintes (effectives) qui
lui sont appliquées et se traduit par une variation de volume. La consolidation est isotrope si s1 =
s3 et anisotrope si s1 s3. Cette consolidation a pour effet de rétablir et de simuler l'état des
contraintes in situ avant d'appliquer la charge axiale. Il semble de toute évidence que la
consolidation anisotrope donne de meilleurs résultats de la résistance et des données contrainte-
déformation.
La cohésion c :
C’est la résistance au cisaillement d’un sol sous une contrainte normale nulle, C = S+PtgΦ.
Cisaillement :
Les sols se comportent lorsque la valeur de la contrainte de cisaillement dépasse une certaine
valeur en fonction de la contrainte normale. La rupture se déclare par une déformation continue au
même temps croit avec les contraintes. La courbe intrinsèque étudiée la résistance au cisaillement.
Après la consolidation, l'échantillon est ensuite cisaillé à une vitesse de chargement constante. Le
cisaillement d'une éprouvette de remblai consiste à lui imposer une variation du déviateur (s1 - s3)
jusqu'à la rupture suivant un plan quelconque.
1. But de l’essai
2. Intérêt de l’essai
À partir de l'enregistrement d'un essai triaxial, il est possible de déduire les principales
caractéristiques mécaniques de l’échantillon, y compris l'angle de frottement interne, la cohésion
apparente et l'angle de dilatance. Ces caractéristiques mécaniques sont nécessaires pour les calculs
de dimensionnement ou l'analyse de désordres dans les ouvrages géotechniques : ainsi la
détermination du coefficient de sécurité au glissement d'un talus. Il faut parfois combiner les essais
triaxiaux à d'autres essais pour disposer de toutes les propriétés mécaniques utiles.
L'essai de compression triaxiale est effectué à l'aide d'une cellule triaxiale en acier inoxydable. Le
dispositif doit permettre la mesure de la quantité de fluide drainé afin de contrôler la variation
volumétrique, et peut également être équipé d'un capteur de pression pour mesurer la pression
interstitielle. L'éprouvette est recouverte d'une membrane imperméable avant d'être montée dans la
cellule triaxiale. Une fois l'éprouvette montée, la cellule est remplie du liquide de confinement (de
l'eau ou de l'huile hydraulique). Ce dispositif est ensuite placé entre les deux plateaux de la presse
et branché à l'air afin de consolider l'échantillon à la pression de confinement souhaitée. Lorsque
la variation volumétrique de l'échantillon est stable, l'échantillon a été consolidé et on applique une
charge déviatorique au piston de la cellule triaxiale pour cisailler l'éprouvette jusqu'à la rupture.
La détermination des paramètres caractérisant l'état de rupture d'un remblai nécessite la réalisation
de plusieurs essais sur différentes éprouvettes de remblai. Les éprouvettes sont homogènes. La
résistance au cisaillement d'une éprouvette est déterminée à la rupture de l'éprouvette et elle
correspond soit à la contrainte de cisaillement à la rupture dans le cas des déformations homogènes
par plastification soit à la contrainte tangentielle sur le plan de rupture lors d'une localisation des
déformations à la rupture. Cette résistance au cisaillement est définie par le critère de Mohr-
Coulomb qui est :
Soit une éprouvette du sol de forme cylindrique soumise à un champ de contraintes 1, , , la
contrainte normale s’agissant sur une facette quelconque située dans l’échantillon se décompose
en une contrainte effective ’ supportée par a squelette solide et une pression interstitielle ( =’
+ u). Les contraintes appliquées à un échantillon dans cet essai représentent les contraintes
principales.
C : à la dimension d’une contrainte et s’appelle la cohésion.
: l’ange de frottement interne.
on a : 1 = 3 + q
- 1 Presse triaxiale : de 10 ou 50 kN pour les sols, de 100 à 2000kN sur roches, bâti dynamique de
10 à 40kN (et de 2 à 10Hz) par exemple. Elle est choisie selon le type d’échantillons testés et de
leur raideur présumée (les sols type limon ou argile de petits diamètres sont le plus souvent testés
sur des presses de 10kN)
- 1 à 3 cellules triaxiales : choix selon le type d’essai : production ou recherche. Elles existent de
différentes tailles selon les diamètres à tester et selon l’utilisation que l’on veut en faire (aspect
ergonomique du système : poids et répétition des manipulations). Les cellules sols permettent de
confiner des éprouvettes jusque 1,7 ou 2 ou 3,5MPa. Pour les roches on peut atteindre jusque 64
ou 100MPa (la chambre n’est plus alors en acrylique transparent mais en acier inox de grande
épaisseur et le fluide utilisé est alors de l’huile et non plus de l’eau). Chaque cellule possède 5
robinets pour permettre le remplissage-vidange et les drainages supérieurs et inférieurs. Les
cellules peuvent être équipées de piédestaux et chapeaux interchangeables adaptés aux diamètres
des échantillons à tester (exemple la cellule basique pour petits diamètres accepte les tailles de 35
– 38 ou 50mm).
- Choisir la taille des éprouvettes à tester : selon les carottages disponibles et le diamètre des grains
(Dmax), on choisira les accessoires tels que piédestal et chapeau drainant de diamètre 38 – 50 – 70
ou 100mm ainsi que les consommables nécessaires au montage (membrane, pierres poreuses,
disques non drainants, papiers filtres, joints toriques). Des outils existent aussi pour faciliter le
montage (outil d’installation des bracelets, tendeur de membrane, moules pour échantillons intacts
et remaniés).
- Les sources de mise en pression : les anciens systèmes air-eau fonctionnant avec tableau à
manomètre, régulateurs d’air, cylindres interface et compresseur sont aujourd’hui avantageusement
remplacés par des contrôleurs pression-volume permettant d’injecter des pressions précises tout en
mesurant simultanément les variations de volume. Chaque cellule est alors associée à 2 contrôleurs,
l’un pour le confinement et l’autre pour la contre pression. Chaque contrôleur est une seringue
poussant via un moteur pas à pas et une vis à billes le piston dans le réservoir rempli d’eau. La
pression est régulée par un capteur situé en sortie du contrôleur et la régulation est interne, le
contrôleur peut réguler seul la pression désirée via son écran et son clavier. Chaque pas du moteur
est compté, on connaît donc parfaitement les volumes entrants et sortant donc on mesure très
précisément les variations de volume au sein de l’échantillon. Il est aussi bien-sûr pilotable à
distance via une liaison série ou USB permettant d’automatiser les procédures d’essai.
2. Mode opératoire
L'essai triaxial s'effectue sur un échantillon de sol cylindrique de quelques centimètres de diamètre,
et d'une dizaine de centimètres de hauteur. Dans le cas d’un échantillon de sol, on place le spécimen
à l’intérieur d’une membrane cylindrique en latex équipée de platines circulaires en acier qui
obturent ses extrémités supérieure et inférieure. Le cylindre est plongé dans une cellule étanche en
plexiglas5 où un fluide incompressible sert à appliquer une pression sur la périphérie. Il est ensuite
possible d’appuyer ou de tirer sur la platine supérieure, parallèlement à l'axe du cylindre pour
solliciter le matériau. L'enregistrement consiste à reporter la variation de la force de compression
(ou de traction) en fonction du déplacement du plateau (qui mesure l'écrasement), tout en contrôlant
précisément la pression de confinement. On peut estimer la variation nette de volume de
l'échantillon à partir du débit de fuite.
Dans un essai consolidé drainé, l’échantillon subit une consolidation et est cisaillé par compression
suffisamment lentement pour que la surpression interstitielle due à l'écrasement se dissipe. On place
des blocs poreux en partie supérieure et inférieure de la membrane5 de confinement pour permettre
l'évacuation de l'eau. Le taux de compression axiale est maintenu constant, c'est-à-dire que l'essai
est asservi à vitesse de déformation constante. L’idée est de permettre que la pression interstitielle
soit le plus souvent en équilibre avec les contraintes appliquées. L’essai est donc d'autant plus long
que l'échantillon est peu perméable, car les débits de transfert sont faibles et l'équilibre des
pressions est ralenti d'autant.
Dans un essai consolidé et non-drainé, l'échantillon est maintenu dans une cellule étanche, de sorte
que l'eau interstitielle ne peut s'en évacuer ; en d'autres termes, la teneur en eau de l'échantillon est
maintenue constante, le plus souvent à 100 % (saturation).
Si l'échantillon est fait d'un matériau présentant initialement une cohésion suffisante, on peut
procéder à un essai de compression simple, sans pression de confinement. Ce type d'essai est moins
onéreux et demande bien moins de préparation, mais comme la pression de confinement in situ est
évidemment non-nulle, les résultats de cet essai sont par nature sécuritaires, et peut-être
inutilement. C'est fondamentalement ce type de test qu'on exécute sur les éprouvettes de béton.
Pour trois éprouvettes identiques ( ∅ = 36 mm, h = 2∅) d’un sol donné, on applique pour chacune
les états de contraintes représentés comme suit :
NB : Cet essai ne permet pas la détermination des paramètres effectifs même en mesurant la
pression interstitielle.
Le critère de rupture est :
- En terme de contraintes appliquées sur le plan de rupture :
Figure 8: Cu = f('C)
Le but est de déterminer la vitesse d’écrasement, c’est-à-dire la vitesse à laquelle on peut charger
le sol à l’aide du piston. Cette dernière est déterminée grâce au diagramme déformation – temps.
En effet, en traçant, sur le diagramme, deux droites correspondant au prolongement, de la fin de la
consolidation primaire, et le début de la consolidation secondaire, on obtient une intersection
correspondant à un certain temps. A l’aide de celui-ci et d’une formule spécifique, il est alors
possible de déterminer à quelle vitesse nous allons effectuer l’essai triaxial.
Le but de la deuxième partie est de caractériser le sol. Pour ce faire, nous allons effectuer trois
essais triaxiaux à des pressions hydrostatiques différentes, tout en chargeant progressivement
l’échantillon à l’aide de la force d’écrasement. Le temps et la pression interstitielle sont également
mesurés. A partir de ces valeurs, il est possible d’établir un tableau de résultat dont toutes les
composantes sont utiles pour tracer les différents graphiques nécessaires pour déterminer toutes les
caractéristiques du sol.
Notons qu’il existe plusieurs critères de ruptures dont il est indispensable de traiter la nature afin
de tracer le diagramme de Mohr - Coulomb. Il s’agit en premier lieu de définir le critère de rupture
de manière relativement qualitative à l’aide d’un graphe. Ce graphe possède trois courbes avec
pour chacune un mode de rupture particulier. Nous verrons dans la 2ème partie le graphe en
question ainsi que la méthode nécessaire à la détermination du type de courbe.
2. Résultats
Première parties
Dans cette partie nous cherchons à déterminer les vitesses de chargement et d'écrasement pour les
échantillons 1, 2 et 3 (on ne détaillera les calculs que pour l'échantillon 1 car la méthode de calcul
est la même pour les deux autres). La vitesse d'écrasement est déterminée à l’aide du graphique ci-
dessus (page précédente).
De plus on pose : La vitesse d'écrasement V = (0.2 * hc ) / (t (rupt) * t100 ) avec h : hauteur
consolide (h < h0 pour pouvoir considérer le tassement de l'échantillon).
Pour le premier cas de charge on trouve la vitesse de chargement : V = (0,2 *110 / 2,26 *535) c =
0,0158 mm/min Cette vitesse sera utilisée pour le chargement de notre échantillon dans la 2eme
partie. Soit S la section de notre échantillon. On constate lors de la phase de consolidation une
diminution de Sc due à la pression de l'eau.
Deuxième partie
4. Dimensionnement de la fondation
Pour ce calcul,nous allons travailler en condition drainées donc on a d’après les résultats d’essai
du laboratoire C’= 11,25 kN/m² et ’ = 25,4°.
1
𝑞𝑢 = 𝑞𝑙 = × 𝐵𝛾𝑁𝛾 (𝜑) + 𝐶𝑁𝑐 (𝜑) + 𝐷𝛾𝑁𝑞 (𝜑)
2
Avec :
𝛾 =18 kN/m3
Ainsi, on détermine les valeurs des facteurs de portances en nous servant des valeurs de
𝑁𝑐 , 𝑁𝛾 𝑒𝑡 𝑁𝑞 recommandées par Terzaghi et Peck. On a donc par interpolation ;
𝑁𝑐 (25,4°) = 21,44
𝑁𝛾 (25,4°) = 8,9
𝑁𝑞 (25,4°) = 11,32
1
AN : 𝑞𝑙 = 2 × 𝐵 𝑥 18 𝑥 8,9 + 21,44 𝑥 11,25 + 3 𝑥 18 𝑥 11,32 = 80,1 𝐵 + 852,48
𝑞𝑛𝑒𝑡
La contrainte admissible 𝑄𝑎 est fonction donnée par : 𝑄𝑎 = + 𝛾𝐷 et 𝑞𝑛𝑒𝑡 = (𝑞𝑙 − 𝛾𝐷 )
𝐹𝑠
Pour faire un bon dimensionnement ,il faut que 𝑉𝑑 ≤ 𝑄𝑎 d’où 367,29 ≤ 26,7B + 314,16 donc on
367,29 – 314,16
tire B = = 1,99 m ainsi nous choisirons 2 m comme largeur de fondation
26,7
superficielle.
Résumé
Compte tenu des résultats de laboratoire et de la contrainte admissible, nous avons opté pour les
semelles de largueur B = 2 𝑚 et de profondeur d’encrage D=2,5 m.
Calcul de tassement
Nous allons évaluer le tassement sous notre fondation à l’aide des résultats de l’essai œdométrique.
Le tassement n’est pas assez grand donc nous pouvons dire que notre dimensionnement est bon.
CONCLUSION
Les fondations constituent un des éléments essentiels d'un projet de construction et de leur qualité
dépend la pérennité de l'ouvrage. Il faut savoir que ce sont sur ces fondations que va reposer la
totalité du poids : les charges permanentes de l'infrastructure et de la superstructure, les diverses
charges et le poids des fondations elles-mêmes. Beaucoup de sinistres subis par des ouvrages d'art
procèdent des défauts de conception ou de calcul des éléments des fondations. Aussi, une mauvaise
conception peut conduire à un surdimensionnement de l'ouvrage.
Lors du dimensionnement d'une fondation, deux éléments importants sont à considérer tel que la
capacité portante des sols et le tassement résultant, c'est-à-dire s'assurer que les couches du sol
support sont en mesure de supporter la charge transmise par la fondation. Des résultats obtenus et
de leurs analyses, on peut mettre en évidence certains paramètres caractéristiques en mécanique
des sols.
Quant à l’essai triaxial exécuté, nous pouvons dire que du sol pré-consolidé, nous avons aussi pu
trouver les chemins de contrainte faisant ressortir l’importance de la pression interstitielle.