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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Le Radical : ou mot de base ; il signifie racine et c’est la plus petite unité lexicale du mot.
Attention :Il existe certains mots qui donnent l’impression d’avoir le même radical mais qui ne sont pas de la
même famille car leurs sens sont différents !
Les mots dérivés : ce sont des mots simples auxquels on ajoute des affixes (préfixes ou suffixes ou les deux
combinés)
Exemples : Verbe porter (importer, exporter, déporter, apporter, rapporter, reporter, transporter…..)
Re+verbe=verbe (re+prendre=reprendre)
Il+adjectif=adjectif (il+légal=illégal)
PD
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Remarque:
Beaucoup de préfixes s’associent indifféremment à des noms, des adjectifs ou des verbes :
Dé(s)+nom=nom (Dé(s)+espoir=désespoir)
Dé(s)+adjectif=adjectif (Dé(s)+ordonné=désordonné)
Dé(s)+verbe=verbe (Dé(s)+obéir=désobéir)
La dernière consonne d’un préfixe s’assimile le plus souvent à la consonne initiale du mot de base :
On peut ranger parmi les préfixes certains mots d’origine latine ou grecque dont le français se sert.
Mots latins : multimillionnaire, omnisport….
Mots grecques : automobile, microphone….
La suffixation : c’est l’ajout de suffixes à des mots simples qui nous permet de créer des noms, des
verbes, des adjectifs et des adverbes
Le suffixe détermine le genre du nom : les noms en (-ment) et (-isme) sont masculins, les noms en (-tion) et
(-ité) sont féminins…
Certains suffixes en –et (-ette au féminin) servent à former des diminutifs : fille=>fillette ; jardin=>
jardinet ;…
D’un même verbe peuvent dériver deux ou plusieurs noms, correspondant chacun à une signification
différente de ce verbe.
PD
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
On peut ranger parmi les suffixes certains mots d’origine latine ou grecque dont le français se sert :
Formation d’adverbes :
Doux => douce + ment => doucement ; naturel=> naturelle+ ment => naturellement ; franc=> franche +
ment => franchement ;
Remarque :
Les adjectifs terminés par une voyelle perdent devant le suffixe –ment le « e » du féminin (c-à-d que
pour les adjectifs masculins finissant avec une voyelle, je rajoute directement le suffixe –ment)
PD
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Un mot qui lui-même est un dérivé peut donner naissance à un nouveau drivé soit par suffixation,
soit par préfixation.
PD
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
iche barbiche
habitants d'une région ain, an, ais, ois, ien, in, romain, texan, anglais, chinois, parisien, limousin,
ou d'une ville iste, on, ot, ard, etc. briviste, berrichon, solognot, montagnard
âge, anniversaire aire centenaire
4. le suffixe adverbiale :
Il n'y en a qu'un seul : c'est -ment. Il indique la manière et se forme sur un adjectif (atrocement, doucement,
franchement, etc.).
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
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!!
!!
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
-- Forme composée ou complexe : dix-huit, soixante-dix, quatre-vingts, quatre-vingt-dix, deux cent seize…
les nombres dits complexes sont formés par addition, multiplication ou les deux combinées.
Exemples :
vingt-quatre = vingt + quatre =>addition
quatre-vingts = quatre fois vingt =>multiplication
trois mille quatre cent = trois fois mille + quatre fois cent =>addition et multiplication
Le trait d’union n’est utilisé qu’entre les dizaines et les unités : de dix-sept à quatre-vingt-dix-neuf.
Exemples :
Trois mille neuf cent vingt-trois ; quatre-vingt-six ;deux cent cinquante-trois…
Les nombres composés qui se terminent par « un » ou « onze » se forment avec la conjonction « et »
Exemples :
Vingt et un ; soixante et onze ; cinquante et un ; cent vingt et un ; trente et un…
EXCEPTION : pour 81 et 91 qui s’écrivent sans la conjonction de coordination « et »mais avec un trait
d’union.
Quatre-vingt-un ; cent quatre-vingt-un ; quatre-vingt-onze.
Les adjectifs numéraux cardinaux sont invariablesà l’exception de « un », « vingt », « cent » et « zéro »(qui
n’est pas un nombre mais un nom commun)
Exemples :
Ces douze camions appartiennent à l’entreprise.
Trente maçons travaillent sur ce chantier.
Ce livre comporte soixante pages.
Les quatre concurrents s’affrontent.
Les douze mois de l’année.
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
L’élisionse produit uniquement devant l’adjectif numéral « un » s’il précède un nombre décimal.
Exemples :
Ce meuble a une hauteur d’un mètre dix.(1,10 avec décimales => élision)
Ce stage a une durée de un an. (1 sans décimale => pas d’élision).
Dans les expressions « MINUIT UNE », le mot minute ou seconde (noms féminins) est sous-entendu
et l’on doit toujoursaccorder « un » au féminin singulier.
Exemple : Il est rentré à minuit une. (Rentré à minuit et une minute).
Vingtet Cent prennent un –s lorsqu’ils sont multipliés sans être suivis d’un autre nombre, mais ils
restent invariables lorsqu’ils sont suivis d’un autre nombre :
Exemples : Quatre-vingts ; deux cents ; deux cent deux ; quatre-vingt-huit…
Si « million et milliard » sont employés pour définir une valeur approximative, ces deux nombres
s’écrivent en toutes lettres et sont suivis par la préposition « de » : La production de pétrole devrait
atteindre 27 millions de tonnes.
Si « million et milliard » sont employés pour définir une valeur précise, ces deux nombres
s’écrivent sans la préposition « de »(qui parfois se prononce) mais sont suivis de symboles
monétaires.
La recette s’est élevée à 5 126 000DA(Cinq millions cent vingt-six mille de dinars).
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
À l’exception des adjectifs premier, second et dernier, les adjectifs ordinaux sont composés d’un adjectif
numéral cardinal auquel on ajoute la terminaison ième.
L’adjectif deuxième est remplacé par « second » lorsque les choses nt on parle sont au nombre de deux.
Contrairement à l’adjectif cardinal, l’adjectif numéral ordinal s’accorde en genre et en nombre avec le nom
auquel il se rapporte.
Il prend un trait d’union dans les nombres composés inférieur à cent : la vingt- cinquième heure.
Il prend également la conjonction « et » dans les nombres qui se terminent par « un » ou « onze » :
Les adjectifs numéraux cardinaux s’emploient parfois à la place des adjectifs numéraux ordinaux.
Louis Quatorze => Quatorzième du nom ; le cinq juillet => le cinquième jour de juillet ; la page quatorze =>
la quatorzième page …
1er = premier ; 1re = première ; 2nd = second ; 2e= deuxième ; 2es= deuxièmes…
Les tableaux qui suivent récapitulent les différents adjectifs numéraux ordinaux :
PD
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- tor a ecru- s f tcwk
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17 dix-sept dix-septième
18 dix-huit dix-huitième
19 dix-neuf dix-neuvième
20 vingt vingtième
21 vingt et un vingt et unième
22 vingt-deux vingt-deuxième
30 trente trentième
31 trente et un trente et unième
32 trente-deux trente deuxième
40 quarante quarantième
41 quarante et un quarante et unième
42 quarante-deux quarante-deuxième
50 cinquante cinquantième
51 cinquante et un cinquante et unième
52 cinquante-deux cinquante deuxième
60 soixante soixantième
61 soixante et un soixante et unième
62 soixante-deux soixante-deuxième
70 soixante-dix soixante-dixième
71 soixante et onze soixante et onzième
72 soixante-douze soixante-douzième
80 quatre-vingts quatre-vingtième
81 quatre-vingt-un quatre-vingt-unième
82 quatre-vingt-deux quatre-vingt-deuxième
83 quatre-vingt-trois quatre-vingt-troisième
90 quatre-vingt-dix quatre vingt-dixième
91 quatre-vingt-onze quatre-vingt-onzième
92 quatre-vingt-douze quatre-vingt-douzième
93 quatre-vingt-treize quatre-vingt-treizième
94 quatre-vingt-quatorze quatre-vingt-quatorzième
95 quatre-vingt-quinze quatre-vingt-quinzième
96 quatre-vingt-seize quatre-vingt-seizième
97 quatre-vingt-dix-sept quatre-vingt-dix-septième
98 quatre-vingt-dix-huit quatre-vingt-dix-huitième
99 quatre-vingt-dix-neuf quatre-vingt-dix-neuvième
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
primo
secundo
tertio
quarto
quinto
sexto
septimo
octavo
nono
decimo (décimo)
la moitié double
un demi triple
le tiers quadruple
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
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. cdko a. cr . cdko a. cr
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
un quart quintuple
un trois quarts sextuple
le cinquième septuple
le sixième octuple
le septième nonuple
le huitième décuple
le neuvième centuple...
le dixième
1/2 = un (le)demi
1/2 = une (la) moitié
1/3 = un (le) tiers
2/3 = les deux tiers
1/4 = un (le) quart
1/5 = un (le) cinquième
3/4 = les trois quarts
6/8 = les six huitièmes
3/50 = trois cinquantièmes
1/100 = un centième...
une paire
une demi-douzaine
une douzaine
une dizaine
une vingtaine
une trentaine
une quarantaine
une cinquantaine
une soixantaine
une centaine, des centaines
un cent
un millier, des milliers
Les âges : ce sont des termes qui vont par dizaines à partir de 40, ils servent à qualifier ou bien désigner une
personne ayant atteint un âge bien déterminé.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
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. cdko a. cr . cdko a. cr
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
quadragénaire = 40 ans
quinquagénaire = 50 ans
sexagénaire = 60 ans
septuagénaire = 70 ans
octogénaire = 80 ans
nonagénaire = 90 ans
centenaire = 100 ans
PD
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OW
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yy
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bbuu
bbuu
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. cdko a. cr . cdko a. cr
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
I V X L C D M
1 5 10 50 100 500 1000
Afin de former, lire et écrire les nombres romains qui correspondent à une suite de signes, on utilise les
procédés d’addition et de soustraction.
Le procédé par addition : tout signe placé à la droite d’un autre signe représentant une valeur supérieure ou
égale à la sienne s’ajoute à celui-ci =>Toute unité placée à droite est ajoutée.
On peut additionner jusqu’à trois symboles consécutivement.
Le procédé par soustraction : tout signe placé à la gauche d’un autre signe représentant une valeur
supérieure à la sienne doit être soustrait du nombre indiqué à droite=>Toute unité placée à gauche est
soustraite.
On ne peut soustraire qu’un seul symbole à la fois.
Quand le 4 ou le 9 sont en position d’unité, de dizaine ou de centaine, on utilise le procédé de soustraction.
Exemples :
V(chiffre de base)=5
VI=5+1=6 Le I est placé à droite du cinq => Addition.
IV=5-1=4 Le I est placé à gauche du cinq => Soustraction
Les deux procédés peuvent parfois se combiner (on trouve les deux en même temps).
Exemples :
XIV=10+5-1=14
XCIV=100-10+5-1=94
MDCXCVII=1000+500+100+100-10+5+1+1=1697
Remarque :
Les chiffres romains sont placés par ordre décroissant (du plus grand au plus petit) : LXXII = L (50)
+ XX (20) + II (2), ce qui fait 72.
On ne trouve jamais le même chiffre plus de 4 fois (sauf M) : 300 s’écrit CCC, mais 400 s’écrit CD ;
80 s’écrit LXXX, mais 90 s’écrit XC.
Applications :
XVIII=10+5+1+1+1=18
DCC=500+100+100=700
XCV=100-10+5=95
CDVI=500-100+5+1=406
DCIX=500+100+10-1=609
CLXXXI = 100+50+10+10+10+1=181
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
CC = 100+100=200
CD = 500-100=400
DC = 500+100=600
MM = 1000+1000=2000
MDCCCXCVIII=1000+500+100+100+100+100-10+5+1+1+1=1898
MCMLVIII = 1000+1000-100+50+5+1+1+1=1958
PD
er
er
!!
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. cdko a. cr . cdko a. cr
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- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Dans la langue française, les mots qui se terminent par des consonnes muettes sont masculins à l’exception
d’une trentaine de mots féminins.
Le « b » muet :
Le « c » muet :
Le « f » muet :
Le « d » muet :
Il existe un choix très variés pour cette lettre, quelques exemples sont résumés dans le tableau suivant :
PD
er
er
!!
!!
OW
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Le « s » muet :
Il est important de faire la différence entre le « s » muet qui se trouve à la fin des :
Mots invariables :
-us abus, confus, dessus, inclus, intrus, jus, obus, pus, refus, talus…
-ais Frais, harnais, jais, jamais, mai, marais, palais, rabais, relais, Anglais, Finlandais ainsi que
beaucoup d’autres nationalités…
-as Amas, bras, canevas, gras, glas, gars, judas, lilas, matelas, repas, verglas, cadenas, cas, compas,
tas, embarras, fracas…
-ès Abcès, accès, cyprès, décès, excès, progrès, procès, congrès, grès, succès, très, après, dès,
auprès, près, exprès…
-is Châssis, colis, pis, parvis, rubis, tapis, torticolis….. ainsi que souris, brebis….
-ois Anchois, parfois, pois, quelquefois, toutefois, mois...une fois.
-ours Concours, cours, discours, recours, secours, toujours, velours…
-ous Dessous, absous, remous, sous, vous…
-os Héros, dos, repos, enclos, gros, clos, propos, chaos…
Autres Ailleurs, certes, néanmoins, pers, plusieurs, sans, volontiers…
cas
Lettres Exemples
muettes
-g Bourg, faubourg, coing, étang, hareng, joug, long, poing, rang, sang, shampooing…
-h Almanac,varesh, mammouth, aneth, zenith, luth, schahou shah…
-l Fusil, gentil, outil, persil, sourcil, coutil…
-p Beaucoup, camp, cantaloup, champ, coup, drap, loup, sirop, galop, sparadrap, trop…
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
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er
!!
!!
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w.
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
La phrase est un ensemble de mots logiquement et lexicalement organisés, elle est généralement composée
d’un sujet, d’un verbe et d’un complément ou d’un attribut.
2. Le verbe : c’est le noyau de la phrase, c’est l’élément fondamental auquel se rattachent les différents
constituants de la phrase. Il existe deux sortes de verbes :
Les verbes d’action (plus nombreux) : chasser, étudier, travailler, courir, nommer, manger…
Les verbes d’état : être, sembler, devenir, paraître, demeurer, rester…
3. Le complément du verbe :
3.1 Le complément d’objet : c’est un mot ou un groupe de mots complétant le sens ou l’idée d’un verbe.
- Il fait partie du G verbal.
- Il ne peut être ni supprimé ni déplacé.
- Il peut être un Groupe nominal, un pronom, un infinitif ou une proposition.
- Il existe deux sortes de compléments d’objets :
Le complément d’objet direct (COD) :Il n’est pas introduit par une préposition, afin de le reconnaître, on
place après le verbe qui ?ou quoi ?
Le complément d’objet indirect (COI) : toujours introduit par une préposition (à, dans, pour, sur, entre, en,
par…)
Pour le reconnaître on pose la question : à quoi ? À qui ? De qui ? De quoi ? Pour qui ? Pour quoi ?
COD COI
Un Groupe nominal
L’employé tamponne le document L’employé s’intéresse au document
Quoi ? A quoi ?
Un Pronom
L’employé le tamponne L’employé s’y intéresse.
L’employé tamponne celui-ci L’employé s’intéresse à celui-ci
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
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m
m
k
k
lic
lic
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co
C
C
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m
m
tw o. e tw e
o.
ra ra
w.
w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Quoi ? A quoi ?
On me sourit
A qui ?
Un Infinitif
L’employé veut réussir On l’encourage à travailler
Quoi ? A quoi ?
Une Proposition
Il démontre qu’il avait raison Rappelez-vous de tout ce que vous avez
appris
Quoi ? De quoi ?
CC de temps :
L’étudiant est moins concentré après 12h.
Après 12h, l’étudiant est moins concentré.
CC de cause :
La séance de TP est décalée en raison de problèmes de transport.
En raison de problèmes de transport, la séance de TP est décalée
CC de but :
Etudier pour réussir.
CC de manière :
Il avançait en zigzaguant.
Le sculpteur travaille le bois avec adresse.
CC de matière :
Construire en briques.
CC de distance :
Il se tient à trois pas.
4. L’attribut :
L’attribut est un mot ou un groupe de mots qui expriment la qualité, la nature ou l’état que l’on rapporte au
sujet ou au complément d’objet par l’intermédiaire d’un verbe attributif : être, sembler, devenir, paraître,
demeurer…
L’attribut peut se trouver sous différentes formes :
Un groupe nominal (GN): Ces oiseaux sont des flamants d’Amérique du sud.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
ww
ww
m
m
k
k
lic
lic
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co
C
C
ww
ww
m
m
tw o. e tw e
o.
ra ra
w.
w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Un groupe nominal + un groupe verbal :La voiture démarre / Il est arrivé un malheur…
1.Types de phrase :
-- Phrase déclarative :Elle exprime une affirmation (proposition que l’on avance et que l’on soutient
comme vraie), elle se termine par un point.
Exemples : Il travaille bien. Il ne travaille pas assez.
-- Phrase interrogative : Elle exprime une interrogation. Elle se termine par un point d’interrogation (?)
Exemples : Tu as bien compris ? Est-ce vrai ?
-- Phrase exclamative : Elle exprime un sentiment fort d’admiration ou d’indignation…Elle se termine par
un point d’exclamation ( !)
Exemple : Quelle chance vous avez !
-- Phrase impérative : Elle exprime un ordre, un conseil, un souhait, une prière ou une demande. Elle se
termine par un point (.)
Exemples : Travaille. Pars en vacances.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
ww
ww
m
m
k
k
lic
lic
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co
C
C
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m
m
tw o. e tw e
o.
ra ra
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w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
b. Les compléments circonstanciels ou certains adverbes de lieu ou de temps (ici, là, alors, aussitôt, bientôt,
enfin…)
Exemple : Un rosier pousse près du portail Près du portail pousse un rosier.
Une tour de 15 étages se dresse au bout de la rue Au bout de la rue se dresse une tour de 15 étages.
c. Dans une proposition incise (proposition courte indiquant que l’on rapporte les paroles de quelqu’un ou
pour exprimer une sorte de parenthèse)
Exemple : Il insiste : « Vous viendrez jeudi soir » « Vous viendrez jeudi soir » insista-t-il.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
ww
ww
m
m
k
k
lic
lic
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C
C
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m
m
tw o. e tw e
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ra ra
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w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Important :*Evitez ce genre d’inversion quand il s’agit du pronom « je », l’expression « est ce que »
remplace souvent l’inversion.
Je rêve ? => Rêve-je ? => Est-ce que je rêve ?
Je dis ? => Dis-je ? => Est-ce que je dis ?
*Noter le « t » euphonique (harmonie du son) pour éviter un hiatus (rencontre de deux voyelles) sans oublier
le trait d’union avant et après.
Il chante ? => chante il ? => chante-t-il ?
Inversion complexe quand le sujet est un nom, un pronom indéfini et autres cas.
L’étudiant a compris ? / A l’étudiant-compris ? / L’étudiant a-t-il compris ?
On a compris ? / A on compris ? / A -t-on compris ?
4.3 Négation :
négation simple : l’ordre des mots ne change pas. On introduit 02 éléments : l’adverbe de négation
« ne » avant le verbe, suivi de « pas, personne, rien, jamais, aucun ou ni (seul ou répété après le verbe).
Tu ne demandes pas/ Tu ne demandes jamais/ Tu ne demandes rien/ Tu ne demandes nid’explications ni
de faveurs/ Tu ne demandes ni explications ni faveurs.
Cependant :
*L’un des éléments peut disparaître (généralement le deuxième) : Personne n’écoute.
*A l’oral et dans le langage familier c’est le 2eme élément qui est souvent absent : Je comprends pas / je
crois pas.
*Quand le verbe est à l’infinitif, les 2 éléments sont placés avant le verbe : Ne pas fumer, ne jamais mentir,
ne pas parler.
*Quand le verbe est à l’infinitif passé, il y a deux possibilités pour les éléments :
__Tous les deux avant l’auxiliaire : ne pas avoir compris.
__De part et d’autre de l’auxiliaire : n’avoir pas compris.
Interro-négation :L’ordre des mots suit les mêmes règles que dans l’interrogation.
Tu n’as pas compris ? N’as-tu pas compris ? Est-ce que tu n’as pas compris ? Je te demande si tu n’as pas
compris ? N’a-t-on pas compris ? Lila n’a-t-elle pas compris ?
Autres formes : *La négation peut également porter sur le nom ou l’adjectif en utilisant les préfixes
négatifs : mangeable # immangeable / lisible # illisible / content # mécontent/ violent # non-violent.
* La négation peut aussi s’exprimer par l’introduction de mot signifiant l’idée contraire.
Il fait plus chaud qu’hier / Il ne fait pas plus chaud qu’hier ?/ Il fait moins chaud qu’hier.
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
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NNO
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yy
bbuu
bbuu
too
too
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ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
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Un, une, des Pas un, pas une, pas de Tu as une voiture, des skis ?non je
n’ai pas de voiture, pas de skis.
Quelque(s) Aucun(e), nul(le) Voyez-vous quelque objection ?
non, je n’en vois aucune.
Quelqu’un Personne Quelqu’un pourra t’aider ? non,
personne.
Quelque chose/ tout Rien/ pas tout, rien As-tu besoin de quelque chose ?
non, je n’ai besoin de rien. Tu as
tout compris ? non, pas tout. En
vérité, je n’ai rien compris
Quelque part Nulle part Il l’a rangé quelque part ? je ne
l’ai vue nulle part.
Beaucoup Ne…pas …beaucoup/ ne…aucun Je fais beaucoup d’effort, tu sais !
mais non, tu ne fais pas beaucoup
d’effort, tu n’en fais aucun.
Et…et Pas de…ni de/ ni… ni Il a des frères et des sœurs ? il n’a
ni frères, ni sœurs.
Moi aussi Moi non plus Je ne suis jamais allé en chine et
vous ? moi non plus.
Déjà Non pas encore Il est déjà parti ? non pas encore.
Toujours Ne…plus/ne toujours pas Il est toujours à Lyon ? non, il n y
est plus.
Encore Ne…plus Vous en voulez encore ? non
merci, je n’en veux plus.
Souvent, quelque fois, parfois Ne pas souvent/ ne jamais Il est souvent malade ? non pas
souvent, mais son frère, lui n’est
jamais malade.
Avec ( …et) Sans (…ni) Tu viendras avec ton mari (…et ta
fille) ? Non je viendrai sans lui
(…ni elle).
Le verbe : on emploie l’auxiliaire « être » au même temps que le verbe transitif + le participe passé du
verbe accordé.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
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er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
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k
k
lic
lic
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C
C
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m
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tw o. e tw e
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ra ra
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Si la phrase active a pour sujet le pronom indéfini « on », le complément d’agent est sous-entendu dans la
phrase passive.
Exemples : On acheta es livres à la foire => Des livres furent achetés à la foire.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
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m
m
k
k
lic
lic
co
co
C
C
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m
m
tw o. e tw e
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ra ra
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
La nominalisation
La nominalisation est un procédé permettant de transformer un adjectif, un verbe ou une proposition complétive
introduite par « que » en substantif
Elle est souvent utilisée dans les résumés, les prises de notes, les titres de presse et les discours scientifiques
La nominalisation peut se faire à base d’adjectifs ou de verbe, celle-ci entraine en général une transformation de la
phrase.
Cette conversion demande une grande précision dans le choix des mots.
Exemples :
Yanis était très courtois ; tout le monde l’avait remarqué Tout le monde avait remarqué la grande courtoisie de
Yanis.
Elle est partie plus tôt que prévu ; cela a perturbé le bon fonctionnement du service Son départ prématuré a perturbé
le bon fonctionnement du service.
Cette année la récolte est abondante ; cela est dû à des conditions climatiques exceptionnelles L’abondance de la
récolte de cette année est due à des conditions climatiques exceptionnelles.
L’Inde et le Pakistan discutent d’un pacte de non-agression Discussion d’un pacte de non-agression entre l’Inde et
le Pakistan.
Remarques :
La plupart des suffixes de nominalisation à base adjective aident à former des substantifs féminins.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
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too
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co
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tw o. e tw e
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ra ra
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
A part les adjectifs se terminant par ant ou ent et qui se nominalisent en ance et ence et les adjectifs se terminant en
ible, able et uble se nominalisent en ibilité, abilité et ubilité.
Calmer Le calme
Nominalisation conceptuelle :
Dans le cas de la nominalisation conceptuelle, il ne faut pas transformer un verbe ou un adjectif mais résumer par un
terme, le plus souvent abstrait, une idée complète.
Elle n’admettait pas la moindre critique ; cela agaça vite ses collègues Elle n’admettait pas la moindre critique ; ce
comportement agaça vite ses collègues.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
ww
ww
m
m
k
k
lic
lic
co
co
C
C
ww
ww
m
m
tw o. e tw e
o.
ra ra
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Définition du sens d’un mot : Le sens d’un mot est sa signification, ce que ce mot là veut dire.Il y’a le sens
propre et le sens figuré.
Le sens propre : c’est le sens premier du mot, sa signification d’origine : il renvoie à la réalité.
Le sens figuré : c’est un sens imagé, il renvoie à l’imaginaire, on le retrouve dans différentes
expressions courantes:
Se mettre le doigt dans l’œil
Tomber dans les pommes
Appuyer sur le champignon.
Broyer du noir.
Être dans de beaux draps.
Exemples :
Le lion dévore une proie => Sens propre
Mon frère dévore un livre => Sens figuré
Une terre fertile = où la végétation pousse bien => sens propre
Une imagination fertile = une imagination inventive/ riche =>sens figuré.
La monosémie : un mot monosémique est un mot qui n’a qu’un seul sens.
La polysémie : un mot polysémique est un mot qui a plusieurs sens.
La synonymie :
Les synonymes sont des mots de même nature grammaticale qui ont le même sens ou une signification
presque semblable, on les utilise afin d’éviter la répétition des mots dans le texte.
Un nom a pour synonyme un autre nom, un adjectif a pour synonyme un autre adjectif ainsi que pour le
verbe qui a pour synonyme un autre verbe.
Exemples de synonymes :
Parler = discuter, content= joyeux, mort= décédé, joufflu= bouffi, manger= s’alimenter, appellation=
dénomination…….
L’antonymie:
Les antonymes sont des mots de même nature grammaticale qui ont des sens opposés, on les appelle aussi
les contraires.
Un nom a pour antonyme un autre nom, un adjectif a pour antonyme un autre adjectif ainsi que pour le verbe
qui a pour antonyme un autre verbe.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
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too
too
ww
ww
m
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k
lic
lic
co
co
C
C
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ww
m
m
tw o. e tw e
o.
ra ra
w.
w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Les antonymes sont formés de différentes façons : l’opposition de sens peut se faire entre :
-- Deux mots de racine différente : jeune # vieux, chaud # froid…
--Deux mots de même racine avec des préfixes de sens opposé, les principaux préfixes négatifs sont :
** in-/im-/il-/ir- : capable # incapable, prudence # imprudence, lettré # illettré, réel # irréel…
** mal-/ mé-/ dis-/ a-/ an- : aimé # mal- aimé, entente # mésentente, connaître # méconnaître, courtois #
discourtois, normal # anormal…
** dé-/ dés-/ mé-/ més- : faire # défaire, s’intéresser # se désintéresser, connaître # méconnaître, estimer #
mésestimer…
Exemples d’antonymes :
beauté # laideur, gentillesse # méchanceté, riche # pauvre, grand # petit, croître # décroître, monter #
descendre…
La paronymie :
Les paronymes sont des mots dont la ressemblance phonétique ou graphique (en particulier phonétique)
entraine des confusions.
Exemples de paronymes :
Allocation (subvention) et allocution (bref discours)
Collision (choc) et collusion (une entente secrète)
effraction et infraction (violation de la loi)
émigrer (quitter définitivement son pays d’origine) et immigrer (s’installer dans un pays)
Evoquer (rappeler) et invoquer ( prier)
largeur (dimension) et largesse (générosité)
hiverner (passer l’hiver à l’abri) et hiberner (passer l’hiver dans un état d’engourdissement)
effusion (tendresse) et infusion (tisane)…
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
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OW
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NNO
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C
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tw o. e tw e
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
En général les mots qui se terminent par un « t » muet sont de genre masculin mais on peut rencontrer
quelques-uns de genre féminin.
Exemples : une dent, la forêt, la part, la jument, une enfant, la mort, la guyot (poire)…
Ainsi que dans des mots composés féminins dont le dernier terme est masculin
Exemples : une risque-tout, une assurance-crédit, la quote-part, la mi-août…..
On trouve aussi le « t » muet dans les terminaisons verbales : il finit, il chantait, il rompt…
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
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bbuu
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k
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C
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tw o. e tw e
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
La lettre « x » :
Il ne faut pas confondre entre le « x » muet en fin des mots invariables et le « x » signe du pluriel.
Les mots en –au et en –eau font leur pluriel avec le rajout d’un x à la fin du mot
Les mots en -eu : un jeu (des enjeux), un jeu (des jeux), un lieu (des lieux)…
Ainsi que les adjectifs en –eux qui font leur féminin en –euse : précieux, minutieux, chanceux…
Aussi dans l’adjectif numéral deux.
On le trouve aussi dans les terminaisons verbales : je peux, tu peux, je veux, tu veux…
EXCEPTION : pneu, bleu, émeu, lieu (poisson) prennent un « s » au pluriel.
Les mots en –ou :Tous les mots se terminant par –ou prennent un « s » au pluriel sauf les mots : bijou,
caillou, chou, genou, hibou, joujou et pou qui prennent un « x » au pluriel.
La lettre « z » :
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
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W
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NNO
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yy
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bbuu
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m
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k
k
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lic
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co
C
C
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ww
m
m
tw o. e tw e
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ra ra
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
PD
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er
!!
!!
OW
OW
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NNO
NNO
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yy
bbuu
bbuu
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too
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k
k
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C
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tw o. e tw e
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w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Définition d’une monographie : Une monographie est l’étude détaillée d’un seul sujet bien précis
Structure d’une monographie :La monographie est constituée de plusieurs parties que nous allons détailler
dans ce qui suit.
Le dos : on y trouve le titre et l’auteur. C’est sur cette partie du livre que l’on trouve la cote.
La quatrième de couverture : c’est la dernière page cartonnée du livre. Elle comprend généralement un
résumé du livre et des indications sur l’identité et la spécialité de l’auteur.
Au début :
La page de titre : elle complète les indications de la première de couverture : y sont indiqués le titre exact
(qui peut être différent de celui de la couverture), le nom de tous les auteurs responsables de la publication,
l’éditeur et la collection si le livre appartient à une collection.
Le copyright : (symbolisé par le symbole©) il indique que l’éditeur a passé avec l’auteur de l’ouvrage un
contrat d’une durée déterminée. Le symbole © est généralement suivi de l’année de parution du livre.
Le numéro ISBN : International Standard Book Number est unique pour chaque ouvrage, il est attribué par
l’éditeur et est composé de 13 chiffres.
La préface ou avant-propos : c’est un texte court placé en tête du livre pour le présenter au lecteur. Il n’est
pas présent dans tous les livres et est en général rédigé par une personne autre que l’auteur.
A la fin :Après le texte proprement dit, divisé en chapitres, on trouve à la fin du livre :
La table des matières : elle peut être placée en début ou en fin de livre. Elle énumère les divisions
principales. Si elle est placée en début du livre, on parle plutôt de sommaire.
La table des matières est beaucoup plus détaillée que le sommaire.
L’index : il reprend un certain nombre de mots-clés, classés par ordre alphabétique avec renvoi à la page où
sont développés les sujets.
La bibliographie : c’est la liste des différents documents dont l’auteur s’est servi pour élaborer son ouvrage
Le lexique ou glossaire alphabétique : c’est une liste de mots difficiles employés dans le livre et expliqués
par l’auteur.
Les notes : elles donnent plus de précisions sur certains passages du livre. Ces notes peuvent aussi se trouver
en bas des pages.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
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!!
!!
OW
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NNO
NNO
yy
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bbuu
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C
C
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tw o. e tw e
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ra ra
w.
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. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
La table d’illustrations : c’est la liste récapitulative des photos, des cartes, des schémas ou illustrations que
contient le livre.
L’articulation d’un texte :Les trois grandes divisions d’un exposé ou d’un ouvrage sont les
suivantes:
1. L’introduction : Pour être compris du lecteur, l’auteur doit dès les premières lignes le préparer à
entrer dans le texte en lui indiquant ce qu’il peut en attendre et ainsi de comprendre quel est le
contenu du texte qu’il a sous les yeux, cette partie s’appelle Introduction et est de nature variable
selon les types de textes produits.
2. Le développement :Tout texte constitue un ensemble organisé : l’auteur doit livrer au lecteur les
informations dans un ordre logique, variable selon le message à transmettre. Après s’être fait une
idée claire des divisions que va comporter son texte, il lui reste à les mettre en forme en rédigeant les
paragraphes correspondant et en prévoyant entre ceux-ci les articulations logiques (à l’intérieur d’une
partie, d’un paragraphe à l’autre) et les transitions (d’une grande partie à l’autre).
Le tableau ci-dessous regroupe les principaux articulateurs et leurs utilisations.
3. La conclusion :
La partie appelée « conclusion » clôt le texte et est lue, en général, en dernier. Le lecteur, à partir de
la conclusion, va se former une opinion globale sur ce qu’il vient de lire. Cette partie doit donc être
aussi soignée que l’introduction.
Remarque : Le travail d’écriture d’un texte se termine par la rédaction de l’introduction et de la conclusion,
qui doivent être mises au point en dernier pour être cohérentes avec le contenu du développement.
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
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m
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k
lic
lic
co
co
C
C
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m
m
tw o. e tw e
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ra ra
w.
w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
haCnHgAeNVGi haCnHgAeNVGi
XFC-X eEw XFC-X eEw
FP-D FP-D
PD
PD
er
er
!!
!!
OW
OW
W
W
NNO
NNO
yy
yy
bbuu
bbuu
too
too
ww
ww
m
m
k
k
lic
lic
co
co
C
C
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m
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tw o. e tw e
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ra ra
w.
w.
. cdko a. cr . cdko a. cr
ecru- s f tcwk
- tor a ecru- s f tcwk
- tor a
Le curriculum vitae
L’expression Curriculum Vitae (d’origine latine) signifie la carrière de la vie, le CV constitue l’ensemble
d’évènements de la vie de quelqu’un ; son état civil, ses études, son expérience professionnelle…
Le CV est le passeport obligé lorsqu’on est à la recherche d’un emploi, c’est votre argument de vente. Un
employeur, pour chaque poste annoncé reçoit plus d’une centaine de CV, il doit les parcourir pour
sélectionner les meilleurs candidats. Donc d’un coup d’œil, il doit décider si vous êtes un candidat
intéressant.
Le CV doit se limiter à l’essentiel ; il ne doit contenir que les informations utiles et capables de susciter
l’intérêt chez l’employeur de vous rencontrer pour en savoir plus sur vous et ainsi de vous recruter, Le CV
doit être clair, précis et complet.
Le CV est un document professionnel qui reflète votre image, il doit obéir à certaines règles ; il est constitué
de deux grandes parties : Les rubriques obligatoires et les rubriques libres
Une photo peut être jointe, placée en haut à droite de la page mais elle n’est pas obligatoire.
2. La formation ; les études et les diplômes obtenus : cette rubrique comprend les dates et lieux d’obtention
de vos diplômes. Si vous avez suivi des études supérieures, il faut débuter votre énumération à partir du
baccalauréat. Ne pas indiquer de notes sauf si vous avez obtenu une mention. La présentation doit se
faire du plus récent au plus ancien.
3. L’expérience professionnelle : partie très importante du CV. Toutes les expériences acquises doivent être
mentionnées. Les débutants citeront les stages, travaux temporaires et remplacements. Pour chaque
expérience on énonce : la période (début et fin, désignées par le mois et l’année), le lieu, le nom de
l’entreprise, la fonction ou le poste occupé. Enfin, les connaissances particulières obtenues.
Il existe deux sortes de classement pour montrer l’évolution du parcours professionnel : l’ordre
chronologique (on commence par la formation et on termine par la dernière expérience professionnelle)
et l’ordre anti chronologique dans le cas où le dernier poste occupé est en relation avec le poste
recherché.
4. Les perfectionnements : c’est établir la liste des cours, séminaires, stages suivis à la suite des diplômes
obtenus. Notez la période des stages, les stages, les lieux ainsi que les connaissances acquises.
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6. Les Compétences : dans cette rubrique on synthétise ses compétences en favorisant les savoir-faire ainsi
que les connaissances (ex en informatique, on cite sa maîtrise du Word, Excel, PowerPoint…) ainsi que
ses diverses qualités : ordre, gestion, esprit d’équipe, motivation, détermination…
7. Divers ou centres d’intérêts : les informations ajoutées ici sont les centres d’intérêts culturels ou sportifs
tels que les loisirs et sports pratiqués ; les activités para professionnelles (membre dans des associations
professionnelles, là on indique : la date d’adhésion, type de participation. On précise dans cette rubrique
si on possède le permis de conduire (la catégorie).
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Formes et écriture du CV :
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Lettre d’accompagnement :
Une fois prêt, votre CV ne doit pas être envoyé seul ; il faut qu’il soit accompagné d’une lettre appelée
lettre d’accompagnement. Cette dernière précède votre CV, elle l’annonce. Cette lettre constitue une
accroche qui donnera envie de vous connaître.
Comme pour le CV, la rédaction de cette lettre doit obéir à certaines règles de présentation et de style.
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L’exposé oral :
Prendre la parole pour entretenir les autres de quelque chose que nous connaissons bien, c’est faire un
exposé oral ; Celui-ci se prépare, il ne s’improvise pas, il peut être plus ou moins long mais dans tous les
cas, il est constitué de deux éléments : le message et son support.
Un exposé oral réussi obéit à 3 critères : être écouté, être compris et laisser des traces.
1. Le message :
L’exposé oral ne correspondra pas dans son information à l’intégralité de l’exposé écrit car il est limité dans
le temps, il faudra donc résumer l’écrit tout en gardant les idées essentielles.
Afin de respecter le temps qui lui est imparti, l’orateur devra s’entraîner à répéter plusieurs fois le texte en se
chronométrant.
Il faut s’exprimer oralement en ne s’aidant que d’un plan écrit au tableau, et de quelques notes, on peut
utiliser des fiches contenant chacune l’essentiel d’une idée.
Les mots choisis pour l’exposé oral doivent être parfaitement maîtrisés.
Le message à transmettre doit être compris et doit intéresser.
2. Le support :
Le support essentiel de l’oral est la voix, elle joue un rôle essentiel pour susciter l’intérêt de l’auditoire.
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Pour intéresser :
L’intonation de la voix animera le texte, il faut la faire varier en fonction du discours pour le rendre
vivant (un texte lu avec une voix monotone a pour résultat de lasser et de désintéresser l’auditoire).
Les gestes accompagneront le discours : orienter les mouvements et les gestes, c’est à dire adopter un
comportement qui manifeste l’aisance et l’ouverture vis-à-vis de l’assistance. Il faut veiller à ce que
vos gestes soient naturels et adaptés au discours.
Les expressions du visage : votre regard ne doit pas être vague ou fuyant mais direct et également
distribué sur l’auditoire, vous devez éviter d’avoir les yeux fixés sur votre papier durant tout
l’exposé.
L’orateur doit marquer sa présence par de l’enthousiasme et de la conviction.
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References bibliographique :
Comment vous devez citer les références à la fin de votre manuscrit dans la partie
référence bibliographique : par cas (vous devez les citer par ordre alphabetique !!!)
1- CAS DE LA MONOGRAPHIE
Auteur(s). zone du titre. Zone de l’édition. Zone de l’adresse bibliographique.
Description physique. (collection). ISBN
Auteurs : Nom, Prenom .
Titre : debutant avec une majuscule, ecrit en italique ou souligné.
Zone d’edition : numero d’edition puis les information sur l’edition.
Zone de l’adresse bibliographique : Le lieu (ville) d’edition : le nom de l’editeur, date de
publication.
Description physique : nombre de page ex : p.40
Collection : le nom de la collection.
ISBN : numero d’identification du document.
Ex :
PLAQUET. Marie. Le dernier Inca. Avec la collaboration de Léonard Mann. 8e édition
revue et aurmentée. Paris : PUF ; 1996. 80p. (Que-sais-je ?). ISBN 2-13-047445-4.
Exemple multiples :
LUMBROSO, H. Mécaniques du point : 114 problèmes résolus. 3e éd, Paris : Dunod.
1998. 380 p.
REVUZ, A . Intégration et mesure. In : Encyclopedia Universalis : corpus 12. Paris :
Encyclopedia Universalis, 1990. Pp.406-410.
RIVIERE, J-L. Les animaux sentinelles. Le courrier de l’environnement de L’INRA,
septembre 1993, n*23, pp. 38-45.
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Ex :
COLAS Alain. La formation à l’usage de l’information dans l’enseignement supérieur.
Bulletin des bibliothèques de France. Ed. électronique. 1999-1 [page consultée le 17
juillet 2001] disponibilité sur internet <http://www.enssib.fr/bbf/>.
Exemple :
Tous les métaux et alliages métalliques sont des corps cristallins. L’arrangement de leurs
atomes (ions) est régulier et périodique. (LAKHTINE, 1978, p.20)
Exemple :
Les carbures sont des phase se formant hors équilibre (FREDRIKSSON et al. 1997)