Vous êtes sur la page 1sur 1

Tous les outils logiciels open source de ces distributions sont à disposition des utilisateurs ainsi que

certains outils propriétaires, comme par exemple Matlab.

Comme   évoqué   précédemment,   ces  serveurs   sont   en   accès  libre   en   ssh   avec  les  identifiants  du
compte utilisateur   de Télécom­Paristech. Néanmoins pour répondre au besoin de la réalisation des
tests de performance des algorithmes développées par les chercheurs, certaines machines peuvent
être   réservées   pendant   une   période     fixe   de   manière   à   garantir   l’utilisation   exclusive   de   ces
ressources hardware par le code de l’algorithme à tester.

L’ensemble   de   ces   serveurs   est   supervisé   à   l’aide   du   logiciel   Nagios.   Ce   système   mesure   en
permanence     sur   chaque   serveur,   l’état   de   la   connectivité   réseau,   la   charge   CPU,   l’occupation
mémoire ainsi que l’occupation des différentes partitions des disques locaux. En fonction des mesures
réalisées et des seuils configurés, des alarmes peuvent être générées. Ces alarmes nous informent
au plus tôt d’une surcharge de la machine ou d’une défaillance matérielle. Cet outil de supervision est
complété   par   une   application   Web   propriétaire   qui   permet   aux   utilisateurs   de   visualiser   très
rapidement l’état de charge des serveurs.  

Le cluster de calcul d'IDS contient 14 nœuds (14 serveurs). En tout, il y a 20 GPU. La mémoire, selon


les serveurs, varie de 126 G à 378 G. Le nombre de c œurs par serveurs varie de 24 à 80. La
distribution Linux Debian 9 est installée. La configuration logicielle est adaptable si les logiciels
demandés sont des paquets Debian 9. De nombreuses librairies python sont également installées,
ainsi que l'environnement CUDA. Le logiciel propriétaire matlab est également accessible. Les calculs
sont lancés à l'aide de scripts shell, soumis par qsub.

Vous aimerez peut-être aussi