Résumé de :
La théorie
économique
contemporaine
Le tout coiffé par le marché mondial, il s’agit d’une économie mille-feuille c’est l’économie Glocale, sa tourne entre la
nation et le monde, c’est ‘‘ l’économie hiérarchisée’’ où le local est dans le global, le globale est dans le local.
On est en présence d’une économie globale, en revanche dans cette configuration l’Etat national ne joue qu’un
intermédiaire entre le supranational et l’infranational.
N. POLANZAS a dit : « l’Etat est devenu plus petit que les grands problèmes plus grand que les petits problèmes »
L’Etat est devenu plus grand que les petits L’Etat est devenu plus petit que les grands
problèmes problèmes
L’Etat est devenu incapable de gérer les problèmes C’est plus précisément d’affronter la globalisation
d’approximation, elle est loin des problèmes du guidée par les firmes multinationales. Il s’agit ici d’un
territoire et du local (la pauvreté, l’analphabétisme.) déploiement par le haut, cela désigne que l’ETAT doit
Pour bien s’en occuper. Dans ce champ l’Etat doit céder constituer des blocs régionaux afin de braver ce
une partie de ses compétences à un niveau changement. Autrement dit, les Etat transforment les
infranational. C’est la stratégie de décentralisation qui compétences nationales en des compétences
consiste en un transfert de pouvoirs de l'État vers des régionales par exemple (UE, UMA...).
personnes morales comme les collectivités locales.
Il s’agit d’un déploiement de l’Etat par le bas : c’est la
politique de développement territorial sont décidées
par les collectivités territoriales .
En rentrant dans une ère où il y a Etat stratège subsidiaire, qui réserve à l’échelle supérieur que l’échelle inferieur ne peut
pas le faire, prenons le cadre national donc l’Etat doit être efficace pour gérer les problèmes territoriaux. Ensuite, au
niveau des blocs régionaux ce qu’elle peut faire l’union européenne ce n’est pas la même chose que peut faire l’Etat tout
seul. Chaque Etat et sa capacité.
En conclusion
Personne ne peut nier qu’il fallait subdiviser l’histoire en deux
grandes périodes avant 1974 et après à cause du volume important
des bouleversements successives et cumulatifs.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
Le rationalisme L’humanisme
Désigne que la société est constituée par les C’est la doctrine qui pose la raison discursive
hommes, l’homme il est homme par sa raison comme seule source possible de toute
« je pense donc je suis » connaissance réelle. Autrement dit, le réel ne
Il s’agit d’un mouvement d’idées qui culmina serait connaissable qu'en vertu d'une
en Europe et positon qui places au-dessus explication par la raison déterminante,
toutes les valeurs la personne humaine et la suffisante et nécessaire. Ainsi, le rationalisme
dignité de l’individu s'entend de toute doctrine qui attribue à la
seule raison humaine la capacité de connaître
et d'établir la vérité. Bref il s’agit d’une
attitude intellectuelle caractérisés par la
confiance en Raison.
Dans ce contexte la pensée classique va se constituer, ce sont les pionniers de la science économique
il vont se poursuivre par les néoclassiques avec un approfondissement jusqu'à la crise de 1929 qui va
perturber la logique traditionnelle par un appel à l’intervention de l’Etat et une annulation des
mécanismes de marché.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
Adam Smith C’est le fondateur de la science économique moderne, pour lui les
(1723-1790) individus s’harmonisent sur une base économique et non par un
contrat social) ; avec cette liberté les individus mettent en
commun leur talent chacun se spécialise dans le domaine où il est
mieux. C’est la division sociale de travail qui devient à ses yeux le
principe fondateur de la société.
A l’instar, les actes économiques se traduisent par une
harmonisation des intérêts individuels qui se font essentiellement
dans un marché selon le principe de l’équilibre entre l’offre et la
l’école classique
identifiées et quantifiées.
> Les agents cherchent à maximiser l'utilité des biens consommés,
tandis que les entreprises cherchent à maximiser leur profit.
> Les agents agissent chacun indépendamment, à partir d'une
information complète et pertinente.
> caractéristique de marché libérale « l’atomicité, la fluidité,
l’information parfaite l, l’absence des barrières, la neutralité de la
monnaie, le temps spontané et en fin les ajustements se fait par
les prix »
Léon Walras L’Equilibre walrasien considère comme un axe obligatoire pour
(1834-1910) vérifier l’équilibre dans 3 marchés :
> marché des biens et services : le prix.
> marché de travail : le salaire nominal.
> marché de capitaux : taux d’intérêt.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
ne faut pas confondre entre les deux niveaux, chaque niveau est ses
mécanismes).
(1883-1946)
2) la neutralité de la monnaie :
Pour les Néoclassique, la monnaie est neutre et instantanée c.-à-d. La monnaie
ne sert qu’à réaliser les transactions, il s’occupe à analyser l’économie en terme
réel (il s’agit d’une économie de troc), Or pour Keynes on est en présence d’une
économie monétaire de production, le rôle de la monnaie ne se limite pas dans
les transactions et les échanges mais, la monnaie peut être thésaurisée en vue
de détenir des « encaisses de précaution » (pour faire face aux aléas de la vie),
ou « spéculation » (pour réaliser des profits rapides. Keynes a introduit dans son
analyse la question de temps c.-à-d. on peut cadrer la monnaie entre deux instant
t0 et t1. T0 –t1 avec la même c’est la thésaurisation, t0-t1 avec plus valus c’est
la spéculation Et donc, ce passage va tromper l’équilibre entre la production et
les revenus et subséquemment, la possibilité d’une crise. Alors, la condition de
bouclage est d’anticiper la demande (c’est la demande effective, c’est une notion
introduite par Keynes pour caractériser la demande prévue par les chefs des
entreprises lorsqu’ils décident d’investir et éventuellement d’embauché des
salaries supplémentaire).
3) l’équilibre des prix :
Dans certains marché les prix sont (rigides) # (flexible) ces ajustements sont
plutôt lents et imparfaits .la présence de la rigidité selon eux est essentielle pour
expliquer les effets réels de la demande dans le cycle de production ainsi l’emploi
n’est pas déterminer par le salaire réel il y a un autre facteur qui détermine
l’emploi c’est la demande effective.
En effet, c’est le revenu national qui détermine la demande globale et par
conséquence le niveau de la production et de l’emploi.
>contre les Néoclassique qui dits que l’équilibre de marché ne peut pas se
réaliser que avec la variation des prix c.à.d. les prix sont flexibles à la hausse et à
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
En concluant, L’histoire avant 1974 est très riche par les bouleversements multiples qui frappent les
économies mondiales, chaque approche cherche à trouver la solution noyaux pour faire face à ces
perturbations, alors ; est ce que l’analyse keynésienne va être valable avec le temps ? Dans quelle
mesure la politique keynésienne est le seul politique adapté contre l’évolution de la société ?
Quelle sont les principaux problèmes affrontés par l’analyse keynésienne ?
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
Les néo-libéraux
Avec l’ensembles des bouleversements mondiaux et les changements qu’ont frappés l’histoire, l’approche
keynésienne est devenue incapable et faible de maitriser l’économie.au lieu de crée l’emploi il crée le
chômage, au lieu d’assurer la stabilité des prix elle crée l’inflation, et donc la parenthèse de l’Etat
providence va se fermer totalement, et on va ouvrir une autre consacrée principalement aux néo-libéraux
qui vont remettre en cause l’approche antérieur. Donc la question qui se pose à ce niveau, quelle sont les
bases sur lesquelles vont s’installer les néolibéraux en rejetant ou en développant l’approche
keynésienne ?
Portant de la théorie d’équivalence de D. Ricardo, (les dettes d’aujourd’hui, sont des impôts de demain).
BARRO dit que, les individus savent que pour financer un déficit budgétaire, par un Emprunt public
aujourd’hui, demain se traduira par une augmentation des impôts pour le remboursement. Une telle
connaissance oblige chacun à constituer une épargne en vue de payer ces impôts supplémentaires, cela a
un impact sur le niveau des variables économiques ; c’est la diminution de la demande, et donc la politique
expansionniste keynésienne se trouve contrecarré à court terme et à long terme.
La privatisation La dérégulation
Céder le capital public aux entreprises privés Dans son sens étymologique soit celui de
pour mieux améliorer le mécanisme de supprimer la régulation d’un secteur
marché national, et international vue que c’est économique, par exemple les autorités de
l’ère de l’ouverture aux reste de monde. régulation, ou bien à libérer d’avantage les
prix, par rapport à la situation précédente.
Le but est d’encourager la concurrence et
l’innovation. Elle est vivement contestée par
les altermondialistes qui considèrent qu'il y a
là une concession consciente des États au
pouvoir du seul marché, au détriment de leur
rôle social.
Note :
Si l'on étend la représentation de l'économie de sorte à admettre que les agents maximisent leur utilité
espérée, c'est-à-dire à considérer le monde comme probabiliste, il est nécessaire pour décrire
convenablement le fonctionnement d'une économie de marché d'intégrer la façon dont les agents
forment leur évaluation des grandeurs économiques futures (l’inflation, les taux d'intérêts, le niveau de
leurs revenus futurs, etc.)
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
La théorie de déséquilibre
Il s’agit d’un modèle synthèse de l’analyse néoclassique et keynésienne. Les fondateurs de cette théorie
ont essayé d’introduire la notion de La rationalité imparfaite (limitée, contextuelle, procédurale) de
Herbert Simon dans le niveau macroéconomique. Elle analyse le marché sur des bases nouvelles de la
concurrence imparfaite, au contraire de modèle néoclassique fondé sur les bases de la CPP.
Le court terme dans la théorie du déséquilibre ne semble pas au CT néoclassique, ici on introduit la notion
du temps (diachronique), et la monnaie n’est pas neutre car le fait d’introduire la notion du temps veut
dire que les agents se raisonnent en terme monétaire (temps réel, monnaie active).
Les fondements essentiels de ce courant :
° la monnaie est active n’est pas neutre, c’est avec la même logique que les keynésien.
° des agents représentatifs (ménages représentatifs, entreprises représentatives).
° les échanges se font hors l’équilibre walrasien (en situation de déséquilibre) La notion du marché chez
les NC est abstraite, ici on parle d’un marché réel.
° le déséquilibre est la règle, l’équilibre et l’exception.
° les prix sont fixes à CT et non flexibles comme chez Walras.
° l’ajustement se fait par la quantité et non pas le prix, on parle alors de processus d’équilibre à prix fixe.
Reste à savoir comment se passe cet équilibre avec rationnement (Règle de côté court), Et Comment les
individus prennent leurs décisions vues qu’ils disposent d’une rationalité Limitée (Décision dual).
La nouvelle microéconomie
Depuis un siècle ou plus l’économie mondiale a été dominer par un modèle traditionnel, c’est la
concurrence pure et parfaite , qui prend plusieurs axiomes telle que, individualisme méthodologique : qui
désigne, l’individu est être capable, par ses calculs raisonnable de faire et de prendre des décision, qui sont
plus optimale. ; cela, était aider par la transparence de l’information qui désigne ; le marché est dans une
situation de clarté et tous les mécanismes des prix et renseignements économiques sont connus. ;
s’adjoint à cela ,l’hypothèse de la atomicité : Qui signifie les individus n’ont aucune influence entre eux.
Ce modèle a connu une faiblisse majeur qui a donné en conséquence plusieurs imperfections, C’est à dire
le marché ne peut pas régler le marché, il s’agit d’un modèle fragile face à l’ensemble des changements.
en 1974 c’est le moment convenable de repenser l’économie mais cette fois dans un cadre micro.
La nouvelle microéconomie est une approche qui a pour objectif de dépasser les limites du modèle
walrasien de CPP adopté par les néoclassiques, en s’appuyant essentiellement sur le fonctionnement du
marché en situation de rationalité limitée (imparfaite, contextuelle), c.-à-d. le fait de prendre un ensemble
des décisions qui varient à la variation des contextes ou bien des contraintes, contrairement aux NC qui
ont adoptés une rationalité substantive (parfaite) ; qui s’explique par une seule meilleur décision mêmes
les entreprises, elles prennent des décisions selon un contexte bien définit (l’ignorance optimale),
nous sommes en présence d’une hiérarchie décisionnelle dont les décisions se développent, s’évoluent,
cela veut dire que les acteurs ont tendance à apprendre.
Pour discuter ce raisonnement, il requiert faire appel aux plusieurs théories telle que (la théorie des jeux,
la théorie de l’information, la théorie d’agence qui va se prolonger par la suite sur la théorie de la
gouvernance d’entreprise, afin d’entrer dans la théorie de développement durable) et à travers lesquelles
on peut améliorer l’efficacité de marché et corriger quelques sortes les erreurs et les imperfections du
modèle traditionnel.
Actuellement on parle de l’approche évolutionniste de l’organisation qui vient du terme évolution, cela
signifie qu’au sein de l’entreprise il existe des acteurs qui réagissent entre eux, et non pas des modèles du
taylorisme ou le fordisme. Pour cette approche, la compréhension de l’organisation se fait par
l’accompagner dans son évolution, s’en basent sur la concurrence imparfaite, une analyse diachronique,
des agents réels, d’où on déduit qu’il s’agit d’une économie comportementale.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
La théorie de l’information
Il s’agit d’une microéconomie néokeynésienne, c’est à dire, on admit les bases de l’analyse
macroéconomique keynésienne, (les agents représentative, l’analyse diachronique de la monnaie) le
marché est dans une situation d’asymétrie d’informations et en fin l’ajustement se fait par les prix et non
pas par les quantités. Les fondements de cette théorie :
Dans le cadre de l’asymétrie d’information et sélection adverse et le risque morale (aléa morale) on a deux
théorie qui essaient de projeter ces principes dans le marché de travail et des biens et services.
On constate que sur un marché, l’un des deux acteurs dispose d’une meilleure information (l’asymétrie de
l’information), il en sait plus que l’autre sur les conditions de l’échange, et cela contredit l’hypothèse de la
transparence de l’information du modèle néoclassique du CPP, des individus rationnels qui cherchent leurs
intérêts personnels en maximisant l’utilité individuelle, sont donc prêts à avoir des comportements
opportunistes qui risquent de compromettre le fonctionnement efficace du marché.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
En présence de la concurrence imparfaite qui implique une forme monopoliste du marché dans lequel
chaque entreprise va chercher à dominer le marché, plus la rationalité limitée qui se traduit par des
décisions contextuelles, et l’asymétrie de l’information qui est la base de l’analyse de la nouvelle
microéconomie comment peut-on forger le bon fonctionnement du marché ?
Thorstein Veblen publie en 1899 « Why is Economics not an Evolutionary Science? », le document
fondateur du courant institutionnaliste. Il rejette de nombreux postulats de l'école néoclassique, comme
l'hédonisme individuel justifiant la notion d'utilité marginale, ou l'existence d'un équilibre stable vers
lequel l'économie converge naturellement. Il se concentre sur la compréhension du rôle des institutions
pour modeler le comportement économique. Ce courant a connu son apogée dans les années 1920 et
1930, influençant notamment notablement les mesures prises lors du politique interventionniste mise en
place pour lutter contre la crise de surproduction de 1929.
Le courant institutionnaliste
Pour les institutionnalistes, les institutions qui créent le marché, ils vont tenter de combler les lacunes des
marchés en expliquent le fonctionnement des institutions qui sont l’ensemble des règles et valeurs qui
permettent à une société ou organisation, de s’organiser. Ils peuvent être soit matérielle (organisation,
entreprise, hôpital) ou immatérielle (les valeurs, coutumes, les habitudes).
Rappelons que les néoclassiques ont ignoré les institutions, et dans le même concept, l’individu est isolé,
décontextualiser et l’entreprise est une « boite noire » que personne ne peut connaitre ce qui se passe
dans son intérieur. Les institutionnalistes supposent que sont dans un marché de concurrence imparfaite.
Le principe du pollueur-payeur
L’analyse de Coase a été développer par Stigler en 1966, qu’a dit que : les pollueurs génèrent des externalités positive
et négative pour les autres partenaires, ça peut être des ménages, entreprise, et donc ces derniers supportent ces couts
des transactions et pour résoudre ce problème il suffit d’avoir une compensation monétaire entre les deux parties
autrement dit le pollueur doit indemniser le polluer. En aval, il n’a pas nécessaire à l’Etat d’intervenir pour corriger le
problème puis qu’on arrive à résoudre le problème amicalement. L‘exemple le plus connus c’est le marché de carbone.
Le courant néo-institutionnaliste
Dans le point de l’ignorance des institutions des néoclassiques, les néo-institutionnalistes ont critiqué
fortement l’approche néoclassique à partir de ce point, les Néo-institutionnalistes sont des néoclassiques
qui ont adopté la concurrence imparfaite, pour eux les institutions viennent après le marché pour corriger
ses imperfections, Ils ont pris en compte généralement le concept de coût de transaction, et
l’individualisme méthodologique, c’est à dire les individus cherchent à satisfaire leurs besoin en cherchent
la réalisation de l’intérêt individuel, ces dernier peuvent être des opportunistes, il cherchent à satisfaire
leur besoin dans la mesure où il peuvent mentir, se comporter d’une manière caché, cela se traduit
effectivement par une asymétrie d’information, ici on chercher à éviter ces risques morals dans tous les
niveaux, dans l échanges au sein de marché , et dans les relations au sein de l’organisation.
Dans ses recherches sur les formes institutionnelles les plus efficaces, ils ont adopté deux théorie pour
résoudre ces problèmes de marché de concurrence imparfaite.
La gouvernance d’entreprise
Formes prises le contrôle, des décisions de l’entreprise de façon à assurer leur adéquation aux objectifs fixés par
les actionnaires cette théorie est très efficace dans les sociétés anonymes.
Elle suive l’évolution mondial c’est la domination de la sphère financier sur la sphère réelle, en plus, la théorie
de gouvernance sert à réduire quelque part les couts de transaction issue des conflit d’intérêt entre actionnaire
et manager, en vue de maximiser la valeur actionnarial et ou la capitalisation boursière et la rentabilité
économique, il y a lieu plusieurs forme pour assurer cette objective parmi lesquelles on cite :
- Participé les managers dans les assemblés général.
- Construire un conseil de surveillance pour contrôler les décisions des PDG.
- Offrir aux managers un certain nombre d’action au sein de la société.
La concentration unique sur les acteurs clés de l’entreprises va nous mettre au sein d’une théorie appelé la
théorie des parties prenantes, qui essai de dire que, l’entreprise n’est pas limitée uniquement dans les
actionnaires et les manager, mais elle concerne aussi toutes ses parties prenantes qui influent d’une manière
ou d’une autre les décisions de l’entreprise, positivement ou négativement d’une manière externe ou interne.
Elle veut dire aussi qu’il faut prendre en considération toutes les parties de l’entreprise lorsqu’on veut faire une
action stratégique ou opérationnelle, La prises en compte de cette optique va se prolonger dans ce qu’on peut
l’appeler par responsabilité sociétal de l’entreprises il s’agit d’une combinaison entre la théorie des partie
prenantes et le développement durable.
Le cadre Epistémologique
Avant d’aborder la théorie des jeux, il faut au préalable se référer aux courants précédents ; notamment les
néoclassiques qui ont adopté une analyse basée sur les calculs et l’hypothétique-déduction, pour les
néoclassiques l’harmonisation des intérêts individuels va aboutir à la réalisation de l’optimum collectif dans un
cadre d’individualisme et de décontextualisation des individus c.à.d. une économie abstraite de rationalité dite
« substantive » ou « absolue ».
Au contraire de la théorie des jeux, l’équilibre harmonieux néoclassique ne peut être réalisable, car on est en
présence d’un équilibre dynamique, non coopératif « l’équilibre de Nash non coopératif », dans lequel on étudie
une grande base des interactions et des réactions réalisées dans le même temps, c’est un système
« Dialogique », caractérisé par des décisions qui se font sur la base d’une contradiction mais elles sont
complémentaires, (opposition mais complémentarité), un équilibre aussi dit « conflictuel », qui se réalise dans
les conflits des intérêts et non pas par l’harmonie des intérêts.
Le principal théoricien de la théorie des jeux, c’est le célèbre mathématicien John Van Nean qui a dit
« à partir du moment, où l’on prend en compte la réaction des autres à nos propres actions, on rentre
dans la théorie des jeux ».
Il faut prendre en compte la variation de contexte décisionnel des autres individus, pour que nos décisions
seront les plus optimal et les plus désirables. Cette théorie est très efficace dans le marché d’oligopole (Le
marché de télécommunication marocaine) où il y a un nombre très élevé des acheteurs et un nombre
réduit des vendeurs. À ce niveau chaque producteur cherche à trouver la meilleure situation dans le
marché et celle qui porte deux variable (prix et quantité).
Sur le marché de l’oligopole, la variable stratégique obligatoire est le volume de production puisque
l’homogénéité des produits est respectée ( en situation d’homogénéité des produits les consommateurs
vont acheter les produits les moins chers), en effet si une entreprise a décidé de baisser les prix pour
gagner des parts de marchés, elle doit attendre la réaction des autres entreprises, qui vont naturellement
réagir par la baisse des prix aussi, et par ce comportement les entreprises vont perdre leurs profits et leurs
parts de marché, on parle ici d’une guerre des prix. Dans ce cas l’entreprise doit réagie au niveau de prix.
Le deuxième cas se présent lorsque les deux entreprises appliquent le prix du marché, c’est la tactique
dominante qui peut se réaliser lorsque l’entreprise possède la meilleure position quelle que soit la
situation des autres entreprises, on peut parler d’équilibre dominant lorsqu’il s’agit de deux situations de
tactique dominante (la seule situation favorable pour les deux entreprises). Dans ce cas l’entreprise doit
réagie au niveau de la quantité.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
lorsqu’on veut parler de la variable quantité on entre dans le choix stratégique de l’entreprise et pour
illustrer ce variable volume il faut faire appel au dilemme de prisonnier qui montre « les choix collective
ne correspond pas à la conjonction des choix optimaux individuelle (au contraire de l’analyse classique qui
montre que le choix optimal collective implique directement l’optimum individuelle) » et pareil ce dilemme
des prisonnier, est trop clair dans le marché de duopole où il y a que deux entreprise qui produisent.
Une situation où les acteurs sont devant un choix qui n’est pas celui désirable mais de toute façon il est
applicable, en d’autres sens ; la prison peut être une décision « favorable » en comparaison avec un certain
nombre de contextes et de contraints (soit la perte totale soit moins de perte mais pas forcément le gain).
Trois cas peuvent s’envisager :
Alors la situation la plus favorable, c’est celle qui porte la situation d’équilibre de Nash appelé aussi
équilibre non coopérative il existe essentiellement dans la situation d’agression réciproque.
On ne peut pas dire qu’il y a un équilibre dominant dans l’agression gagnante car les deux acteurs ne
possèdent pas chacun d’une Tactique dominante.
Par conséquent, le choix optimal collectif ne correspond pas à la conjonction des choix optimaux
individuels.
La décision de chacun va déterminer le destin de l’autre, puisque si l’un des deux prisonniers a avoué il va
bénéficier d’une Paine avec remise, alors que l’autre il va avoir une Paine très lourde.
Dans ce contexte, la Paine est évidente, applicable pour les deux, et la seule différence se présente dans la façon
avec laquelle ils vont être condamnés.
La tactique dominante pour les deux jeunes c’est d’avouer, et l’équilibre dominant se fait par l’application d’une
lourde Paine avec remise parce qu’ils ont coopéré
Le fait de nier reste la meilleure décision, mais elle est loin d’être réalisée car dans leur situation, personne ne
va prendre le risque d’être condamné avec une lourde Paine, cette situation peut être réalisée selon la théorie
néoclassique, puisqu’elle considère l’individu isolé, décontextualisé contrairement à la théorie des jeux qui
cherche à réduire les effets négatives.
On résume la théorie des jeux c’est la théorie qu’à dépasser notre discipline, elle est valable dans
tous les domaines, et l’exemple le plus marquant c’est son utilisation dans la guerre froide entre
l’USA et l’URSS, elle est consacrée à prendre des bonnes décisions en utilisent les stratégies
d’acteur.
Merci à Mahfoudi et Sbaouni schéma Omar ben lamine
L’hétérodoxe
L’hétérodoxie en sens large signifie toute action qualifiée Hors-norme, Hors-standard, c’est le fait de
penser différemment, et dans concept de la régulation l’hétérodoxie s’est présentée par rapport à
l’orthodoxie économique « les économistes orthodoxes considèrent que le marché une donnée historique
selon le principe de l’offre et de la demande, alors que pour les hétérodoxes le marché n’est pas une donnée
en sens historique, le marché pour eux s’évolue, se développe avec la société ».
En effet la forme du marché en 19ème siècle est tout à fait différente de celle du 20ème siècle, puisqu’en
19ème siècle, l’économie était purement concurrentielle dans laquelle les ajustements se font par les prix
alors qu’en 20ème siècle, l’économie est devenue monopoliste avec des ajustements en termes des
quantités, dès lors ; la compréhension du marché se fait sur la base de la structure de ce dernier pour
qu’on puisse déterminer le mode de régulation de chaque époque.
Tous les orthodoxies disent que le marché vient en premier et la société vient après, alors que pour les
hétérodoxes le marché est le produit des institutions sociales, il faut donc comprendre ces institutions qui
régularisent le marché.
Les hétérodoxes sont inspirés par le Courant Marxiste, puisque Marx était le seul qui a introduit la notion
de l’historicité du marché, le passage d’une forme de marché à une autre revient aux marxistes, les
hétérodoxes admettent aussi que le marché est le fruit de la société et la monnaie est active (économie
monétaire de production), alors ils ont une inspiration keynésienne, Les hétérodoxes adoptent une
démarche macroéconomique et historique destinée à comprendre l’évolution du capitalisme, en
s’appuyant sur les étapes de l’évolution plus le fonctionnement du capitalisme dans chaque période
(chaque période a un mode de fonctionnement unique).
La théorie de régulation
Michel AGLIETTA, l’un des fondateurs du courant hétérodoxe, dans son thèse de doctorat « régulation et
crise du capitalisme (l’expérience d’USA) » qu’elle a pris l’essor de la théorie de régulation au milieu des
années 1970, elle s’intéresse aux facteurs de déstabilisation lors d’une crise. Elle recherche quelle
configuration institutionnelle a permis de surmonter les crises. L’étude porte sur l’État-nation car les
institutions sont intimement liées à leur cadre national, qui donne par la suite deux défère apports :
L’objet principal de La théorie de régulation est analysé les évolutions du système capitaliste, et pour
chaque étape, il y’a lieu des modes de régulation spécifique, autrement dit analysé les modes de régulation
des régime d’accumulation (structure productive).
Le régime d’accumulation désigne l’ensembles des régularités qui assurent une progression général
d’accumulation de la capitale, c’est régularité permettent de savoir comment l’économie s’adapte avec
les déséquilibre qui naissent de ce processus d’accumulation, en effet le régime d’accumulation est
caractérisé par des formes institutionnelles qui assurent la régulation de système.
Différents régimes d’accumulation sont observables dans le temps et dans l’espace, extensif (si une
configuration productive est étendue sans changement majeur des techniques de production), intensif
(lorsque l’organisation productive est en permanence transformée pour dégager des gains de
productivité).
Bref, dans ce concept, on ne peut pas considérer le marché comme étant une donnée résultant de la
confrontation de l’offre et de la demande, car le marché s’évolue, se développent avec la société, dès lors,
l’approche keynésienne ainsi que la walrasien sont rejetées du fait qu’on parle d’une approche historique.