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Chapitre 10

Graphes
10 Heures

I. Rappels
II. Graphe orienté – Matrice associée à un graphe
1. Graphe orienté
2. Matrice associée à un graphe
3. Distance de deux sommets – diamètre d’un graphe
III. Graphe probabiliste
Graphes 4ème Economie et gestion

I. Rappels
Activité n°3 page 275
1) a) Ce graphe est connexe
b)
sommet A B C D E F
degré 4 3 4 4 3 2
2) a) Tous les sommets sont de degré paire sauf B et E donc ce graphe possède une chaîne eulérienne et par
conséquence on peut parcourir ce graphe en ne passant par chaque sommet qu’une seule fois.
b) E  A  D  E  C  D  F  B  C  A  B
Activité n°1 page 276

Activité n°2 page 276


1) Le plus grand degré des sommets de G est 5
2)

5 6

3) 4 couleurs sont suffisants pour colorier le graphe G et comme   G   4 alors   G   4

Activité n°1 page 277


1) Le poids de la chaîne F  G  C  D est 40  8  75  123
2)
Sommet
A B C D E F G
sélectionné
0       A
0+35 0+33
    F
35 (A) 33 (A)
33+75 33+40
35 (A)   B
108 (F) 73 (F)
35+45
 108 (F) 73 (F) G
80 (B)
73+8
 108 (F) C
80 (B)
80+75 80+80
E
155 (C) 108 (F)
108+130
D
155 (C)
3) A  B  C poids : 80 A  B  C  D poids : 155 A  F  G poids : 73

II. Graphe orienté – Matrice associée à un graphe


1. Graphe orienté
Activité n°1 page 278
1) Le graphe G est un graphe orienté

94 Rjiba Zied
4ème Economie et gestion Graphes

B C

A D

F E

2) A  B  F  E  D
3) a) Non
b) Oui A  F  E

Définition
On appelle graphe orienté un graphe où chaque arrête est orienté, c’est-à-dire qu’elle ne peut être parcourue
que dans un seul sens.
Dans un graphe orienté :
 Une arrête orientée A  B est appelée arc d’origine A et d’extrémité B
 Une boucle est un arc dont l’extrémité et l’origine sont les mêmes
 Une chaine orientée ou un chemin est une suite d’arcs tel que l’extrémité de chacun soit l’origine du
suivant
 Un cycle orienté ou un circuit est une chaîne orientée fermée composée d’arc tous distincts

Activité n°2 page 279


1) DEB A C
2) BACDE
3) Oui : A  C  D  B  A
4) On a 2 arrêtes orientés sortant de D
5) On a 2 arrêtes orientés arrivant à B

Définition
 Une chaîne orientée est dite eulérienne si elle passe une fois et une seule par chaque arête.
 Un cycle orienté eulérien est une chaîne orientée eulérienne fermée.
 Un graphe orienté est dit eulérien s’il admet un cycle orienté eulérien

Activité n°3 page 279


1)
A B C D F I J K L M P Q R S T
d 2 1 1 2 1 d 2 2 1 2 1 d 2 2 1 1 1
d 2 1 1 2 1 d 2 1 1 2 2 d 2 0 1 3 1
d  d  0 0 0 0 0 d  d  0 1 0 0 1 d  d  0 2 0 -2 0

2) A  F  D  B  A  C  D  A est un cycle orienté eulérien donc G1 est un cycle eulérien


J  I  M  J  L  I  K  L  M est une chaîne orientée eulérienne de G2
3) G3 ne possède ni cycle orienté eulérien ni chaîne orientée eulérienne.

Théorème
 Soit G un graphe connexe orienté. Pour tout sommet X de G, on note d  X  le nombre d’arrêtes orientées
sortant de X et par d  X  le nombre d’arrêtes orientés rentrant à X.
 G admet un cycle orienté eulérien si, et seulement si, pour tout sommet X du G on a : d  X   d  X 
 G admet une chaîne orienté eulérienne qui n’est pas un cycle orienté si, et seulement si, pour tout sommet
X de G on a d  X   d  X  sauf pour deux sommets exactement, A et B, on a d  A   d  A   1 et
d  B   d  B   1

Activité n°5 page 280


1)
B C D L M P
d 2 2 2 1 2 1
d 2 2 1 2 2 1
d  d

0 0 1 -1 0 0

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Pour tout sommet X de G on a d  X   d  X  sauf pour D et L où on a d  D   d  D   1 et
d  L   d  L   1 donc G possède une chaîne orientée eulérienne et par suite il est possible de parcourir
toutes les rues du quartier une fois et une seule.
2)
Sommet
D M L C B P
sélectionné
0      D
10 11
   M
10 (D) 11 (D)
∞ 10+9 10+5
 L
11 (D) 19 (M) 15 (M)
11+5 
 B
16 (L) 15 (M)
 15+10
C
16 (L) 25 (B)

P
25 (B)

Le plus court chemin de D à P est donc D  M  B  P

2. Matrice associée à un graphe


Activité n°1 page 280
1)
A1 A2 A3 A4 A5 A6
A1 0 0 0 0 1 1
A2 1 0 0 0 0 1
A3 0 1 0 1 0 1
A4 1 0 1 0 0 0
A5 0 0 0 1 0 0
A6 0 1 1 1 0 0

0 0 0 0 1 1
1 0 0 0 0 1
0 1 0 1 0 1
On retrouve la matrice A  
1 0 1 0 0 0
 
 0 0 0 1 0 0
0 1 1 1 0 0 

Qu’on l’appelle matrice associée au graphe G


2) Le terme qui se trouve à l’intersection de la 3ème ligne et la 2ème colonne de la matrice A représente le
nombre d’arcs reliant A 3 à A 2
Le coefficient situé à l’intersection de la ième ligne et de la jème colonne est égal au nombre d’arcs reliant le
sommet i du graphe au sommet j
3) d  A 2   2 est égal à la somme des termes de la deuxième ligne de la matrice A
d  A 6   3 est égale à la somme des termes de la sixième colonne de la matrice A
4) d  A i  est égal à la somme des termes de la ième ligne de la matrice A
d  A i  est égale à la somme des termes de la ième colonne de la matrice A
5) Il suffit de calculer les sommes des termes de chaque ligne et chaque colonne et d’y faire la différence et de
vérifier que les différences sont tous nul sauf peut-être deux qui sont égaux respectivement à 1 et 1

Définition
Soit G un graphe dont les sommets sont S1 , S2 , …, Sn . On appelle matrice associée au graphe G, la matrice
carrée A   ai,j  d’ordre n où le terme ai,j est le nombre d’arrêtes d’origine Si et d’extrémité S j
1 i,j  n

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Conséquence
 d  Si  est égale à la somme des termes de la i-ème ligne de la matrice associée à ce graphe
 d  Si  est égale à la somme des termes de la i-ème colonne de la matrice associée à ce graphe

Activité n°2 page 281


La matrice du graphe G est M3

Activité n°3 page 282


1) La matrice est symétrique par rapport à sa diagonale on peut parcourir chaque arrête de G dans les deux
sens : le graphe n’est pas orienté
2) La somme de tous les termes de la matrice A est égale à la somme des degrés des sommets du graphe G
Remarques
 La somme de tous les termes de la matrice associée à un graphe non orienté est égale à la somme des
degrés des sommets de ce graphe.
 La matrice associée à un graphe non orienté est symétrique par rapport à sa diagonale.
Activité n°4 page 282
0 1 1 0
1 1 0 0 1 1 0
1 0 0 0 1 0 1 0
1) A1   A2   0 0 1  A3  
1 0 0 0  0 0 1 1 1 0 1
0 0 0 0    0 0 1 0 
 
2)

C
A
D

B
B D

B E
A C
A C

3. Distance de deux sommets – diamètre d’un graphe


Activité n°5 page 282
1) a) A1  A 5  A 4
b) A1  A 5  A1  A5
c) A1  A5  A 4  A 2
0 0 1 0 1
0 0 0 1 0
2) A   1 0 0 0 0
0 1 0 0 1
 
1 0 0 1 0
a1,4  1 , a1,5  0 et a3,4  0 correspondent bien aux nombres des chaînes de longueur 2 reliant A1 à A 4 ,
A1 à A 5 et A 3 à A 4
Le nombre des chaînes de longueur 3 reliant A1 à A 5 est 3

Théorème
Soit G un graphe de matrice associée A. le nombre de chaînes de longueur n joignant le sommet i au sommet
j est égal au terme ai,j de la matrice A n

Activité n°6 page 283


 1 1 2
A 2   0 2 2  donc le nombre des chaînes de longueur 2 de G est 1  1  2  2  2  1  1  2  12
 1 1 2
 

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3 5 8
A4   2 6 8 
3 5 8
 
donc le nombre des chaînes de longueur 4 du graphe G est 3  5  8  2  6  8  3  5  8  48
Activité n°7 page 283
 0 1 0 1
 0 0 0 1
1) A  
0 1 0 1
0 1 1 0
 
2) Il y a une seule chaîne de 1 km reliant S1 à S4 , deux chaînes de 1,5 km reliant S3 à S2 , deux chaines de 2
km reliant S2 à S3 , 4 chaînes de 2 km reliant S4 à S4 et 5 chaînes de 2,5 km reliant S3 à S4 .

Définition
 La distance de deux sommets distincts est la longueur de la plus courte chaîne joignant ces deux sommets
 La distance est infinie, s’il n’existe pas de chaîne joignant ces deux sommets
 La distance d’un sommet à lui-même est, par convention, nulle
 Le diamètre d’un graphe est la plus grande des distances entre deux sommets du graphe

Activité n°9 page 284


1) Pour relier les bassins A et C il faut franchir au moins 3 passerelles
2)
Distance A B C D E F
A 0 1 3 2 2 1
B 1 0 2 2 1 1
C 3 2 0 2 1 2
D 2 2 2 0 1 1
E 2 1 1 1 0 1
F 1 1 2 1 1 0
3) Le diamètre du graphe G est donc 3
4) Pour rendre le diamètre de G égale à 2, il faut ajouter une chaine de langueur strictement inférieur à 3 reliant
AàC

A B

D E C

Théorème
Soit G un graphe de matrice associée A.
 La distance entre deux sommet distincts i et j est le plus petit entier naturel n ( n  1 ) tel que le terme
d’indice i, j de A n est non nul.
n
 Le diamètre du graphe G est le plus petit entier naturel n tel que la matrice  A  Id  où Id est la matrice
unité, ait tous ses termes strictement positifs

Activité n°10 page 285


Le terme d’indice 1, 5 de la matrice M 4 est nul et le terme d’indice 1, 5 de la matrice M 5 est non nul donc 5 est
la distance entre A et S.

III. Graphe probabiliste


Prenons l’exemple d’un taxi qui prend ses clients soit à la gare, soit à l’aéroport.
Le matin, il se positionne à la gare. Quand il prend un client à la gare, 4 fois sur 5, sa course l’emmène dans la
région intra périphérique (donc avec la probabilité 0.8), et il revient se positionner à la gare. 1 fois sur 5, sa

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course l’emmène hors de la ceinture du périphérique (donc avec la probabilité 0,2), et ensuite il va attendre le
client suivant à l’aéroport. Quand il est à l’aéroport, 3 fois sur 5, sa course l’emmène dans la région intra
périphérique (donc avec la probabilité 0,6), et il revient se positionner à la gare. 2 fois sur 5, sa course
l’emmène hors de la ceinture du périphérique (donc avec la probabilité 0,4), et ensuite il retourne attendre le
client suivant à l’aéroport.
On peut appeler « état G » le taxi attendant son client à la gare, et « état A » le taxi attendant son client à
l’aéroport. Au départ, on peut convenir de l’état initial symbolisé par le couple  1 0  : 1 est la probabilité que le
taxi soit à la gare (événement certain) et 0 la probabilité que le taxi soit à l’aéroport (événement impossible,
puisqu’il part de la gare). Après un certain nombre de courses, la position du taxi peut donc être représentée
selon l’arbre de probabilités suivant :

On voit vite les limites d’une telle représentation, dès que les épreuves sont multiples et / ou se répètent plus de
4 fois ! C’est pour ne pas tomber dans cet inconvénient qu’on a recours au graphe probabiliste. Ainsi, la
situation décrite ci-dessus peut se représenter de cette façon :

0.6
0.4 0.8
A G

0.2

Les sommets sont les deux états G et A, les arêtes sont orientées et pondérées par les probabilités
conditionnelles de passer d’un état à un autre.
On représente l’état probabiliste à l’état initial par la matrice ligne P0   1 0  et par la matrice ligne Pn  gn an 
l’état probabiliste à l’état après n course ainsi P1   0.8 0.2  , P2   0.8  0.8  0.2  0.6 0.2  0.4  0.8  0.2 

La matrice P2 n’est que la matrice produit P2  P1  M avec M   0,8 0, 2  .
 0, 6 0, 4 
La matrice M s’appelle la matrice de transition du graphe.

Définition
 On appelle graphe probabiliste un graphe orienté et pondéré dont la somme des poids des arêtes
orientées sortant de chaque sommet vaut 1
 On appelle matrice de transition d’un graphe probabiliste à n sommets, la matrice carrée d’ordre n dont le
terme figurant à la i-ème ligne et la j-ème colonne est égal au poids de l’arête allant du sommet i au
sommet j, si elle existe et à 0 sinon

On vérifie facilement que P1  P0  M


L’état probabiliste après 3 courses est donné donc par la matrice ligne P3  P2  M  P1  M 2  P0  M 3
D’une manière générale :

Rjiba Zied 99
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Théorème
Soit M la matrice de transition d’un graphe probabiliste d’ordre supérieur ou égal à 2. Si Pn est la matrice ligne
décrivant l’état probabiliste à l’étape n et P0 est la matrice ligne décrivant l’état probabiliste à l’état initial, alors
Pn  P0  M n

Remarque
 Si l’état initial est P1 alors Pn  P1  M n1

Activité n°5 page 288


1)
1 1 3
2 2 5

2
5
1 1
2) La matrice de transition de ce graphe est : M   2 2
2 3
 
5 5
4 5 1 n 5 5 1 n
   
3) Soit Pn la propriété : M n   9 9 10 n 9 9 10 n  .
  
 4  4 1
 9 9 10  
54 1 
9 9 10 
  
 1 1  1 1   9 11 
2  2 2   2 2   20 20 
M  
2 3   2 3   11 14 
    
 5 5   5 5   25 25 
45 1 5  5  1   405 495   9 11 
or  9 9 100 9 9 100    900 900    20 20 
44 1 5  4  1   396 504   11 14 
     
 9 9 100 9 9 100   900 900   25 25 
donc P2 est vraie. Supposons que Pn est vraie et montrons que Pn1 l’est aussi :
n n
4 5 1
M n 1
 
 M  M   9 9 10
n
  95  95  101    21 21 
  95  94  101    52 53 
n n
 4  4 1
 9 9 10
n n n n
2 5 1 2 5 1 33 1 
 9  18  10   9  9  10  18  10  9 9  10  
2 2 1
 9
n n n n

 9 9  10  9 45  10  9 9  10  9 45  10  
 2  2 1  2  8 1 2  2 1  3  12 1 

n n
4 5 1 1 
 9  18  10  9 18  10  
1 1
 n n

 9 45  10  9 45  10  
 4  2 1 5 2 1 

n 1 n 1
4 5 1 
 9  9  10   
55 1
9 9 10 
 n 1 n 1
 9 9  10  9 9  10  
 4  4 1 54 1 

D’où le résultat.
n n
4 5 1
 
On a : pn  p0  M   0,15 0,85   9 9 10
n
  n
55 1
9 9 10   n
 4  4 1
 9 9 10   54 1
9 9 10  

100 Rjiba Zied


4ème Economie et gestion Graphes
n n n n

  4  5 1
  9 9 10
   4 4 1
  0,15   
  
 9 9 10
 5 5 1
  0,85  
  
 9 9 10

  0,15   
     0,85 
5 4 1
 9 9 10
donc :
n n

an   4  5 1
 9 9 10     0,15   94  94  101    0,85
n n
   
bn   5  5  1    0,15   5  4  1    0,85
 9 9 10   9 9 10 
lim an  4  0,15  4  0,85  4 et lim bn  5  0,15  5  0,85  4
n  9 9 9 n  9 9 9

Théorème
Pour tout graphe probabiliste d’ordre 2 dont la matrice de transition ne comporte pas zéro, l’état pn à l’étape n
converge vers un état p, dit stable, indépendante de l’état initial p0 . De plus p est l’unique solution de
l’équation XM  X où X   a b  avec a  b  1

Exercice
On souhaite étudier l’évolution des populations respectives dans les deux seules régions X et Y d’un pays P
sachant que :
 La population est supposée rester constante pour les prochaines années
 Au départ : 25% de la population du pays est dans la région X (donc 75% en Y)
 Chaque année, la probabilité qu’un individu quelconque de la région X parte pour la région Y est de 5%
 Chaque année, la probabilité qu’un individu quelconque de la région Y parte pour la région X est de 20%
1) Représenter cette situation par un graphe probabiliste
2) Donner la matrice de transition M ainsi que la matrice ligne P0 correspondante à l’état initial
3) Donner l’état probabiliste à l’étape 1 puis à l’étape 2
4) Justifier que la suite  Pn  converge vers un état stable et déterminer cet état stable puis interpréter ce
résultat dans le contexte
1)
0.05
0.95 0.8
X Y

0.02

2) La matrice de transition de ce graphe est M   0.95 0.05  , son état initial est donnée par la matrice
 0.2 0.8 
ligne P0   0.25 0.75 

3) P1  P0  M   0.25 0.75   0.95 0.05    0.3875 0.6125 


 0.2 0.8 
0.95 0.05 
P2  P1  M   0.3875 0.6125     0.490625 0.509375 
 0.2 0.8 
4) La matrice M de ce graphe probabiliste d’ordre 2 ne comporte pas de zéro donc l’état  Pn  converge vers
un état stable P   x y  avec x  y  1 qui vérifie l’équation P  M  P

P  M  P   x y  

0.95 0.05 
0.2 0.8 
x  0.95x  0.2y
   x y   y  0.05x  0.8y  0.05x  0.2y  0

d’autre part on a x  y  1, on aura donc le système :


0.05x  0.2y  0
xy 1  1 1 
x
y
0
 AX  B avec A   0.05 0.2  , X    et B   
1 
0.05 0.2 1 0.2   4 0.8 
det A   0.05  0.2  0.25 donc A 1  1   
1 1 0.25  1 0.05   4 0.2 
4 0.8   0   0.8 
donc X  A 1  B       
 4 0.2   1   0.2 

Rjiba Zied 101


Graphes 4ème Economie et gestion

L’état stable est donc P   0.8 0.2  ce qui se traduit par le fait, qu’à long terme, la répartition dans les
deux villes se rapproche de 80% en X et 20% en Y

102 Rjiba Zied

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