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Sujets d'examens d’odontologie
FGSO 2
2018-2019
Faculté d’odontologie
Année universitaire
2018-2019
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 2
Durée : 1h
Coefficient : 1,5
Responsable : Pr FARGES
QUESTIONS 1 et 2 : (Pr FARGES) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée
1
Question 3 (10 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
10
3
8
5
6
4
5
6
2
Question 5 (7 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux
affirmations justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,5 point.
3
QCM 5 : Les différents types de fentes
A. Les fentes du palais secondaire sont des fentes des palais dur et/ou mou
B. les fentes du palais secondaire sont des fentes du palais dur uniquement
C. Les fentes du palais secondaire sont plus sévères que celles du palais primaire
D. Les fentes du palais secondaire peuvent être associées à des fentes du palais primaire et de la
lèvre supérieure (fentes labio-palatines)
E. Les fentes du palais secondaire résultent de l’absence de fusion des bourgeons maxillaires
avec le processus intermaxillaire
QCM 7 : Les facteurs impliqués dans la formation des fentes palatines syndromiques
A. Msx1 régule la transcription de Bmp-2 et Bmp-4
B. L’activation du récepteur Bmpr-I induit l’expression de Msx1
C. Msx1 induit la prolifération des cellules ectomésenchymateuses
D. Une absence de fusion des processus palatins est observée chez les souris Msx1-/-
E. L’absence de Msx1 n’est pas suffisante pour induire une fente palatine
QCM 8 : Les facteurs impliqués dans la formation des fentes palatines syndromiques
A. Le TGF-β3 est un facteur de croissance
B. L’inactivation in vitro du TGF-β3 par des oligonucléotides anti-sens induit la fusion des
processus palatins
C. Les souris TGF-β3-/- présentent une fente palatine
D. Le TGF- β3 est impliqué dans la formation de filipodes à la surface des cellules épithéliales de
la zone de fusion
E. Le TGF-β3 est essentiellement exprimé à la surface des cellules issues des crêtes neurales
céphaliques
4
QCM 10 : La différenciation des odontoblastes
A. Les odontoblastes présentent un cytosquelette abondant au sein de leur prolongement
B. La toile terminale constitue un ensemble de glycoprotéines sur lesquelles reposent les
odontoblastes
C. Les organites sont essentiellement contenus dans le corps cellulaire des odontoblastes
D. Les odontoblastes sont liés les uns aux autres par des filaments d’actine et de vimentine
E. Les prolongements odontoblastiques véhiculent de nombreuses vésicules renfermant les
constituants de la prédentine
QCM 13 : La minéralisation
A. Les cristaux d’hydroxyapatite sont formés dans des vésicules matricielles avant leur dépôt au
niveau du front de minéralisation
B. Le calcium transite des capillaires sanguins au front de minéralisation par l’intermédiaire de
canalicules intercellulaires
C. Le calcium est associé à des protéines de liaison dans le cytoplasme
D. Les ATPases alcalines situées dans la membrane des vésicules matricielles facilitent l’accès du
calcium dans ces vésicules
E. La minéralisation de la prédentine n’est pas homogène, il y a formation de calcosphérites qui
vont fusionner pour donner une dentine continue
QCM 14 : Chez les patients atteints de dentinogenèse imparfaite (DGI) de type II,
A. Les racines sont plus longues et la pulpe plus large
B. La couronne dentaire est usée par la mastication
C. L’émail se détache facilement de la dentine
D. Les tubules dentinaires sont plus nombreux et parallèles les uns aux autres
E. L’espace pulpaire est souvent oblitéré par de la dentine
5
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019
Epreuve : BIOMATERIAUX
Date et heure : Jeudi 13 décembre 2018 de 9h à 10h30
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Répartition :
1. Etablir le cahier des charges du biomatériau idéal pour une obturation coronaire suite à une
lésion carieuse. (5 points)
2. Pour chaque propriété citée, donnez un ou des exemples en référence aux biomatériaux
actuellement disponibles sur le marché pour une telle indication (15 points)
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON Année universitaire 2018-2019
Un patient âgé de 45 ans consulte pour un aspect disgracieux de certaines de ses dents.
Il est en bonne santé et ne prend aucun traitement.
L’interrogatoire révèle que ce patient est nageur professionnel, qu’il se brosse les dents matin et soir
avec un dentifrice fluoré.
Son journal alimentaire indique 3 prises alimentaires par jour. Au petit déjeuner, il prend un grand
bol de café sans sucre et 2 tartines de pain beurrés. Au déjeuner, il mange 1 steak haché et des pâtes
cuites al dente ainsi qu’un yaourt sans sucre. Au diner, il mange un grand bol de soupe de légumes,
deux tranches de jambon et un yaourt. Au cours des repas et en dehors, il boit 2 litres d’eau.
Des examens complémentaires montrent :
- un taux salivaire de Streptococcus mutans > à 5 105 CFU
- une consistance salivaire aqueuse
- un pH salivaire de 4,2
- un débit salivaire non stimulé de 0,6 mL/min
- un pouvoir tampon de la salive stimulée de 9 points
La mise en évidence du biofilm par le révélateur GC TriPlaque montre la présence une coloration
rose clair.
1/2
1. Quelles sont vos observations cliniques ? (0,5 points)
2. Décrivez les mécanismes à l’origine des lésions noires observées. D’où proviennent les
éléments en faveur de la reminéralisation et quels sont-ils ? (1,5 points)
3. Expliquez par un schéma l’origine des acides bactériens à partir du métabolisme des glucides de
l’alimentation. (2 points)
4. Identifiez les facteurs de risque carieux présentés par le patient. (1,5 points)
5. Quels conseils adaptés lui donnez-vous ? (0,5 points)
De manière générale :
1. Quelles sont les causes possibles d’une halitose ? (1,25 points)
2. Quelles sont les bactéries responsables d’halitose ? (1,25 points)
3. Quels sont les gaz buccaux responsables de l’halitose ? Quelle est leur origine ? (1,5 points)
4. Quels sont les facteurs buccaux favorisant l’halitose ? (1 point)
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Barème : Note sur 15
Responsable : Dr CARROUEL
Recombination fraction
Marker 0.00 0.01 0.05 0.10 0.20 0.30 0.40
D1S484 -Infinity 2.47 3.68 3.39 1.60 0.83 0.24
D1S506 0.17 0.77 4.23 3.33 1.71 0.92 0.26
D2S2449 -1.02 -0.79 0.86 1.20 1.44 2.39 0.75
D2S510 -Infinity 0.77 2.23 2.33 1.71 0.92 0.26 Figure 2. Analyse de liaison entre
D4S422 -Infinity 2.01 2.68 2.59 1.87 1.04 0.29
D4S506 -Infinity 0.77 2.23 2.33 1.71 0.92 0.26 différents marqueurs et le gène de la
D14S519 -9.02 2.79 2.86 1.70 1.44 1.39 0.75
D14S422 -4.43 1.30 2.75 2.06 1.84 0.89 0.24 maladie
D17S506 -Infinity 0.77 2.23 2.33 1.71 0.92 0.26
D17S2552 -Infinity -0.71 0.86 1.30 1.21 0.72 0.20
Figure 4. Séquençage du gène de la maladie de Léo (A) et de son père II.4 (B)
Après avoir analysé l’ensemble des documents à votre disposition, répondez aux questions suivantes :
Votre patiente s’appelle Alyssa, vous l’avez eu en consultation à l’âge de 5 ans pour un bilan ainsi que pour l’aspect de
ses dents. Elle revient pour une nouvelle consultation à l’âge de 20 ans.
Figure 1. Photographies orales et radiographies panoramiques d’Alyssa à l’âge de 5 ans (sujet IV.1).
Figure 2. Photographies orales d’Alyssa à l’âge de 20 ans (sujet IV.1) Figure 3. Arbre génétique de la famille
Après avoir analysé l’ensemble des documents à votre disposition, répondez aux questions suivantes :
1. Quel type d’anomalie dentaire la patiente IV.1 présente-t-elle ? Justifiez votre réponse. (0,25 points)
2. Quel(s) gène(s) est (sont) connu(s) pour être muté(s) dans ce type d’anomalies dentaires non syndromiques?
(0,75 points)
3. A quelle étape du développement dentaire interviennent ce(s) gène(s) ? (0,25 points)
4. Existe-t-il des syndromes associés à ce type d’anomalies dentaires ? Si oui, lesquels et quels gènes sont connus
pour être mutés ? (0,75 points)
5. Quel diagnostic clinique pouvez-vous faire pour Justine ? Justifiez votre réponse. (1,5 points)
6. A l’aide de l’arbre généalogique, déterminez le mode de transmission de la maladie dans cette famille ? Pour
justifier votre choix, vous écrirez le(s) génotype(s) de chaque membre de la famille (nomenclature : gène a,
allèle sauvage a+, allèle muté responsable de la maladie a- ; les individus de chaque génération seront identifiés
par leur numéro). (0,75 points)
7. Au vu de l’ensemble des éléments que vous possédez, quel(s) gène(s) peut (peuvent) être responsable(s) de
l’anomalie dentaire observée chez cette patiente ? Justifiez votre réponse. (0,75 points)
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019
Durée : 1h
Coefficient : 1,5
Responsable: Pr FARGES
QUESTIONS 1, 2, 3 : (Pr FARGES) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée
1
Question 2 (3,5 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :
1
5
2
6
7
3
2
Question 5 (3,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux affirmations
justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,5 point.
3
QCM 4 : Composition de la pulpe dentaire
A. Une partie de la fibronectine de la pulpe dentaire provient du sérum
B. La fibronectine se lie aux cellules par l’intermédiaire d’une séquence RGA
C. La fibronectine de la pulpe dentaire est synthétisée par les odontoblastes
D. Les métalloprotéinases matricielles sont impliquées dans la maturation de la matrice dentinaire
E. Les métalloprotéinases matricielles sont impliquées dans les phénomènes d’inflammation
4
QCM 9 : La dentine réparatrice
A. Les péricytes peuvent être à l’origine des odontoblastes de remplacement
B. La fibrodentine est un élément mis en place lors des phases précoces de formation de la dentine
réparatrice
C. La dentine réparatrice est divisée en fibrodentine et ostéodentine
D. La fibrodentine présente la particularité de contenir une quantité équivalente de collagène de type I et de
collagène de type III
E. L’orthodentine correspond à l’inclusion de cellules au sein de la fibrodentine
5
QCM 14 : Ingénierie tissulaire
A. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent induire la différenciation des fibroblastes et des
odontoblastes
B. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent induire la différenciation des cellules
endothéliales et des odontoblastes
C. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent favoriser le recrutement des cellules
endothéliales
D. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent induire le recrutement des odontoblastes
E. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent favoriser le recrutement des cellules
immunitaires
6
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Responsable: Dr LUCCHINI
Un patient consulte pour des douleurs localisées dans le secteur 1. Les examens
clinique et radiographique mettent en évidence une lésion carieuse occluso-mésiale
cavitaire de la 16 (site 2 stade 3) avec des limites juxta-gingivales. Les sillons
occlusaux de cette dent sont sains. Ce patient, en bonne santé, âgé de 30 ans,
présente une hygiène bucco-dentaire satisfaisante. Cette lésion carieuse est la
seule constatée lors de l’examen complet de la cavité buccale du patient et il n’a
pas consulté de chirurgien-dentiste depuis 3 ans.
Décrire votre séance de soins en respectant sa chronologie et en justifiant vos
choix.
2FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019
Durée : 1h30
Coefficient : 2
QUESTIONS 1 et 2 : (Dr DUCRET) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée
Dans le cadre d’une préparation dentaire d’une molaire 16 pour la réalisation d’une
prothèse fixée unitaire, une limite cervicale de type congé simple peut être envisagée par
le praticien.
Coefficient : 1
P1 : The next few decades will see great changes in the way energy is supplied and used. In
some major oil producing nations, 'peak oil' has already been reached, and there are
increasing fears of global warming. Consequently, many countries are focusing on the
switch to a low carbon economy. This transition will lead to major changes in the supply and
use of electricity. [A] Firstly, there will be an increase in overall demand, as consumers
switch from oil and gas to electricity to power their homes and vehicles. [B] Secondly, there
will be an increase in power generation, not only in terms of how much is generated, but also
how it is generated, as there is growing electricity generation from renewable
sources. [C] To meet these challenges, countries are investing in Smart Grid
technology. [D] This system aims to provide the electricity industry with a better
understanding of power generation and demand, and to use this information to create a more
efficient power network.
P2 : Smart Grid technology basically involves the application of a computer system to the
electricity network. The computer system can be used to collect information about supply
and demand and improve engineer's ability to manage the system. With better information
about electricity demand, the network will be able to increase the amount of electricity
delivered per unit generated, leading to potential reductions in fuel needs and carbon
emissions. Moreover, the computer system will assist in reducing operational and
maintenance costs.
1
P3 : Smart Grid technology offers benefits to the consumer too. They will be able to collect
real-time information on their energy use for each appliance. Varying tariffs throughout the
day will give customers the incentive to use appliances at times when supply greatly exceeds
demand, leading to great reductions in bills. For example, they may use their washing
machines at night. Smart meters can also be connected to the internet or telephone system,
allowing customers to switch appliances on or off remotely. Furthermore, if houses are
fitted with the apparatus to generate their own power, appliances can be set to run directly
from the on-site power source, and any excess can be sold to the grid.
P4 : With these changes comes a range of challenges. The first involves managing the
supply and demand. Sources of renewable energy, such as wind, wave and solar, are
notoriously unpredictable, and nuclear power, which is also set to increase as nations switch
to alternative energy sources, is inflexible. With oil and gas, it is relatively simple to
increase the supply of energy to match the increasing demand during peak times of the day
or year. With alternative sources, this is far more difficult, and may lead to blackouts or
system collapse. Potential solutions include investigating new and efficient ways to store
energy and encouraging consumers to use electricity at off-peak times.
P5 : A second problem is the fact that many renewable power generation sources are located
in remote areas, such as windy uplands and coastal regions, where there is currently a lack of
electrical infrastructure. New infrastructures therefore must be built. Thankfully, with
improved smart technology, this can be done more efficiently by reducing the reinforcement
or construction costs.
P6 : Although Smart Technology is still in its infancy, pilot schemes to promote and test it
are already underway. Consumers are currently testing the new smart meters which can be
used in their homes to manage electricity use. There are also a number of demonstrations
being planned to show how the smart technology could practically work, and trials are in
place to test the new electrical infrastructure. It is likely that technology will be added in
'layers', starting with 'quick win' methods which will provide initial carbon savings, to be
followed by more advanced systems at a later date. Cities are prime candidates for
investment into smart energy, due to the high population density and high energy use. It is
here where Smart Technology is likely to be promoted first, utilising a range of sustainable
power sources, transport solutions and an infrastructure for charging electrically powered
vehicles. The infrastructure is already changing fast. By the year 2050, changes in the
energy supply will have transformed our homes, our roads and our behaviour.
2
Questions
A.
B.
C.
D.
4) According to paragraph 4, what is the problem with using renewable sources of power?
3
6) The word 'remote' in paragraph 5 could be best replace by:
A. isolated
B. crowded
C. attractive
D. alone
A. permanent
B. complete
C. beneficial
D. in progress
9) In paragraph 6, what can be inferred about the introduction of Smart Grid Technology?
4
Text 2 : The role of science
1) Science plays a crucial role in identifying problems related to how natural systems
function and deteriorate, particularly when they are affected by an external factor. In turn,
scientific findings shape the policies introduced to protect such systems where necessary.
Experts are frequently called upon by politicians to provide evidence which can be used to
make scientifically sound, or at least scientifically justifiable policy decisions.
2) Issues arise as there are frequent disagreements between experts over the way data is
gathered and interpreted. An example of the former is the first scientific evidence of a hole in
the ozone layer by the British Antarctic Survey. (1) The findings were at first greeted by the
scientific community with scepticism, as the British Antarctic Survey was not yet an
established scientific community. (2) Moreover, it was generally believed that satellites
would have picked up such ozone losses if they were indeed occurring. (3) It was not until
the methodology of NASA's Goddard Space Flight Center was reviewed that it became
apparent that data had been overlooked. (4)
3) With regards to the latter, controversy between scientists may arise where data analysis
appears to support one policy over another. In 1991, the World Resource Institute (WRI)
published estimates of net emissions and sinks of greenhouse gases for a number of
countries, including India. The report provoked criticisms among Indian scientists who
argued that the figures had failed to take some significant factors into account, leading to
overestimated emission values. The WRI was accused of blaming less economically
developed countries for global warming; a stance which, if accepted, could impede
industrialisation and sustain, even widen, the wealth gap.
4) Problems regarding the scientific method are well documented and it is widely accepted
by the scientific community that, however consistent scientists are in their procedures, the
results born under different circumstances can vary markedly. A number of factors influence
research, among them the organisation of a laboratory, the influence of prevailing theories,
financial constraints and the peer review process. Consequently, scientists tend to believe
they are not in a position to bear universal truths but to reveal tendencies.
5) However, this is countered by two factors. Firstly, certain scientific institutions wish to
maintain a degree of status as ‘bearers of truth’. Further, policy makers uphold this
understanding by requesting scientific certainties in order to legitimise their policy decisions.
According to a number of authors who have documented this process, decision makers do
not necessarily try to obtain all the information which is or could be made available
regarding an issue. Rather, they select that information which is necessary to fulfil their
goals, information termed as ‘half-knowledge’. Attempts to underplay transboundary issues
such as water provision and pollution are cases in point. Politicians clearly cannot pretend
that certain data do not exist if they are well-known in scientific communities or national
5
borders, but some discretion is evident, especially where there is controversy and
uncertainty.
6) It is important to note that policies regarding scientific issues are influenced in no small
part by societal factors. These include the relative importance of certain environmental
issues, the degree of trust in the institutions conducting the research, and not least the social
standing of those affected by the issue. In other words, environmental problems are in many
ways socially constructed according to the prevailing cultural, economic and political
conditions within a society. It has been suggested, for example, that contemporary 'post-
materialist' Western societies pay greater attention to 'quality' - including environmental
quality – than 'quantity'. This theory does not necessarily assume that people of low-income
countries have no interest in environmental protection, as the example of the Chipko
movement in India clearly demonstrates, but demonstrates that the way a resource is valued
varies widely among different communities.
7) Finally, it cannot be denied that the ‘issue of the day’ changes constantly. One issue
becomes more or less urgent than another, based on current events. Concurrently, new issues
enter the political agenda. It has been noted that it often takes a 'policy entrepreneur',
someone who dedicates time, energy and financial resources to a certain issue, to raise its
profile. Furthermore, whether an issue is taken up by political, environmental or media
groups, depends very much on the degree to which it suits their particular agenda, not to
mention budget.
6
Questions
1) With reference to paragraph 1, which of the following pieces of research would be NOT
be relevant to this article?
A. the effect of climate change on weather patterns in Africa
B. whether or not low level radiation increases the risk of cancer
C. how acid rain impacts species within a lake ecosystem
D. a comparison of the species present in two areas of woodland
A. to show that NASA's Goddard Space Flight Center used unreliable methods of
gathering scientific data
B. to show how data gathering methods and the status of scientists may affect the way
data is regarded
C. to prove that it is wrong to dismiss evidence which comes from a non-established
source
D. to show how NASA and the British Antarctic Survey disagreed over the correct way
to gather ozone data.
A. 1
B. 2
C. 3
D. 4
7
5) In paragraph 5, ‘this’ refers to…
A. Politicians when seeking evidence for policy-making, do not understand the fact that
scientists are unable to act as ‘bearers of truth’.
B. Politicians consider the scientific research that supports their policies as more
legitimate than other research.
C. Scientific institutions encourage politicians to use them for policy-making in order to
improve their status.
D. Politicians, when seeking evidence for policy-making, encourage the belief that
scientists can produce incontestable facts.
A. Scientists are aware that their work cannot present incontrovertible facts.
B. If scientists were more consistent, they could create more reliable evidence.
C. Variations in how research is conducted often affect its validity.
D. Scientists spend more time documenting problems than conducting research.
8) Why are ‘transboundary issues such as water provision and pollution’ referred to in
paragraph 5?
A. to illustrate situations in which politicians pretend that certain data does not exist
B. to illustrate situations in which incorrect information is given by scientific institutions
keen to maintain their status.
C. to illustrate situations in which politicians are selectiive with regards to what data they
gather
D. to illustrate situations in which policy makers request scientists to present them with
scientific certainties, even though none exist.
8
9) What can be inferred about the Chipko movement?
A. An issue only get political or media attention if someone with a high profile is
supporting it.
B. Politicians are only interested in environmental issues if it benefits them.
C. Issues don’t get public attention unless a particular person advocates it strongly.
D. Issues may be overlooked if there are other significant events happening at the time.
11) Read the 6 sentences below. Which 3 sentences best express the most important ideas in
the passage? (Do not choose sentences which focus on minor or incorrect facts). This
question is worth 3 points.
A. Politicians are irresponsible with regards to the type of scientific research they use to
legitimise their policies.
B. It is difficult to establish the extent to which scientific data reveals the truth.
C. Experts tend to reject scientific research on the basis that it does not come from an
established institute.
D. Policy-makers select scientific data to suit their own political agendas.
E. The scientific research which reaches the public domain depends on cultural, social
and economic factors.
F. The level of scientific research in Western countries is a better standard than that in
low-income countries.
9
Listening section : 2 lectures and 2 conversations / 21 Points
Lecture 1 : on Sociology
1) Which of the following is defined as the number of children born per 1000 people per
year?
A. Replacement Level
B. B-Fertility Rate
C. Birth Rate
D. Fertility Level
2) Which of the following countries in the UK has the highest fertility rate?
A. England
B. Scotland
C. Wales
D. Northern Ireland
3) Why is fertility rate in the UK higher than it was twenty years ago?
A. Couples are choosing to have larger families.
B. A higher proportion of women are having children.
C. Women who delayed childbirth are having children now.
D. Fewer women are interested in their careers.
10
Lecture 2 : Biometric recognition
8) What is a faceprint?
9) Identify TWO problems with 2D facial recognition from the list below.
11) Which TWO elements below can be measured by Skin Biometric technology?
A. the curve of someone’s chin
B. the texture someone’s skin
C. the existence of lines on the face
D. the distance between the eyes
11
Conversation 1
13) What does the man imply when he says ‘Well, that’ll teach you for next time won’t it?’
A. He thinks the student was foolish.
B. He feels sorry for the student.
C. He wants to give the student some advice.
D. He expects the same thing to happen again.
14) Why doesn’t the student want to remain where she is staying now?
A. It is too far from the college campus.
B. She doesn’t want to stay with her parents.
C. The rooms are too expensive.
D. She is currently sleeping on the floor.
15) What sort of accommodation may the man be able to offer her in a couple of weeks?
A. a room in a student dorm
B. a room in a motel
C. a room in a shared student flat
D. a room in a private house
16) What is the problem with the accommodation listed in the folder and on the website?
A. It goes out of date very quickly.
B. There aren’t many addresses listed there.
C. Most accommodation was booked up long ago.
D. There is a waiting list for the accommodation listed there.
12
Conversation 2
19) What does the man appreciate most about studying at university?
A. Studying a subject in depth
B. Getting involved in discussions
C. Meeting people with diverse interests
D. Teaching others about what he has learnt
20) The man says that employers will appreciate the woman’s ____.
A. transferable skills
B. ability to train others
C. enthusiasm
D. knowledge of history
13
Writing section / 47 Points
(Integrative writing 17 points - Independent writing 30 points)
The widespread phenomenon of mass communication through cell phones and the internet
has spurred enormous controversy. Many believe that people have become less able to build
bonds with friends and family members. It is impossible to deny that social media is
constantly changing the way that people interact with one another. With the advent of new
technologies that allow for non-simultaneous and distant interaction, people all over the
world are now able to build relationships in a way that was formerly not possible. Some
might say that this is a negative trend, but this new development opens up for unique and
effective connections.
People often feel estranged in their surroundings. There are so many hobbies and interests
that people enjoy, that it can be difficult to find someone who shares the same passions.
Social media is of huge benefit to these people as they are empowered with opportunity for
connection to a widespread community and countless resources. Some may have always
wanted to learn more about a topic without having an avenue to jump in. Social media has
proved itself to be effective in educating people of all ages on a variety of subjects ranging
from rollerblading to string theory.
Moreover, the internet is especially helpful for helping people find a voice. Whereas the first
amendment protects our right to free speech, many people feel that they have lost their
ability to be heard. Social media allows us all to find a new way to speak confidently and
ensures that every person has the opportunity to be heard.
A- We all work or will work in our jobs with many different kinds of people. In your
opinion, what are some important characteristics of a co-worker (someone you work closely
with)? Use reasons and specific examples to explain why these characteristics are important.
OR
B- People work because they need money to live. What are some other reasons that people
work? Discuss one or more of these reasons. Use specific examples and details to support
your answer.
14
Année universitaire
2018-2019
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 2
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Correcteur : B. GROSGOGEAT
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Barème : Note sur 15
Responsable : Dr CARROUEL
De manière générale :
1. Quelles sont les causes possibles d’une halitose ? (1,25 points)
2. Quelles sont les bactéries responsables d’halitose ? (1,25 points)
3. Quels sont les gaz buccaux responsables de l’halitose ? Quelle est leur origine ? (1,5
points)
4. Quels sont les facteurs buccaux favorisant l’halitose ? (1 point)
1/2
Cas clinique 2. (4 points)
Les parents de ce jeune patient âgé de 4 ans consultent pour raison esthétique. Ils rapportent
que, depuis son entrée à l’école, leur petit dernier est l’objet de moqueries de la part des autres
élèves.
L’enfant est en bonne santé et ne prend aucun traitement.
Une patiente de 17 ans consulte pour des sensibilités dentaires au froid sur toutes ses dents.
1. Décrire vos observations cliniques. (1 points)
2. Quels sont les grands types d’usure dentaire ? (1 points)
3. Donnez votre hypothèse de diagnostic étiologique pour cette patiente en expliquant le
raisonnement que vous avez suivi. (1,5 points)
4. Quels conseils pouvez-vous lui donner ? (0,5 points)
2/2
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019
Durée : 1h
Coefficient : 1,5
Responsable: Pr FARGES
1 2
4
3
0
10
5
6
7
9
8
Question 2 (6 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :
Décrivez la structure histologique de l’émail de surface d’une dent n’ayant pas fait son
éruption.
QCM 4 : Vascularisation
A. Une centaine d’artérioles pénètrent dans la pulpe par le foramen apical à partir des artères
dentaires
B. Un réseau abondant de fin capillaires est présent à la périphérie de la chambre pulpaire
C. Certains capillaires pénètrent dans la couche odontoblastique au début de la formation de la
dentine
D. Les anastomoses artério-veineuses contribuent à la régulation de la pression intrapulpaire lors
des processus inflammatoires
E. Le diamètre des veinules pulpaires est minimal dans les canaux radiculaires et à proximité du
foramen apical
QCM 5 : L’innervation
A. L’hypothèse neurophysiologique propose que les odontoblastes agissent comme des neurones
en transmettant l’information au plexus nerveux sous-odontoblastique
B. L’hypothèse hydrodynamique propose que le liquide interstitiel de la pulpe dentaire active les
fibres nerveuses au niveau de l’apex
C. L’hypothèse odontoblastique propose que les odontoblastes reçoivent, intègrent et transmettent
le signal aux extrémités nerveuses du plexus de Raschkow
D. L’hypothèse neurophysiologique propose que les fibres nerveuses soient directement stimulées
au sein des tubules dentinaires
E. L’hypothèse hydrodynamique propose que le déplacement rapide du fluide intratubulaire induise
l’activation des fibres nerveuses du plexus de Raschkow
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Responsable : Dr LUCCHINI
Décrire le protocole opératoire des systèmes adhésifs SAM2. Quels sont leurs
avantages ?
Durée : 1h30
Coefficient : 2
QUESTIONS 1 et 2 : (Dr DUCRET) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée
Dans le cadre d’une préparation dentaire d’une prémolaire 14 pour la réalisation d’une
prothèse fixée unitaire, une limite cervicale de type épaulement peut être envisagée par le
praticien.
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 2
Durée : 1h
Coefficient : 1
Responsable: Dr LAFON
Enoncé
Vous commencez une extraction dentaire sous anesthésie locale de la dent 46 chez un homme de 68 ans,
dont le principal antécédent est une coronaropathie traitée par bêta-bloquant, aspirine, statine, et anti-
hypertenseur de type IEC. Quelques secondes après l’injection de l’anesthésique local, qui a été assez
douloureuse, le patient se lève du fauteuil en vous disant d’une voix étouffée « ça ne va pas, donnez-moi à
boire, j’ai la tête qui tourne, je vais mourir… ». Vous l’asseyez rapidement à nouveau sur le fauteuil
d’examen. Quelques secondes plus tard, il ne réagit plus.
Suite de l’énoncé
Quelques minutes plus tard, votre assistante, venue vous aider, constate que le patient ne respire plus.
Coefficient : 1,5
CONSIGNES :
COPIE 1 :
Question N°1 : (6 points) Dr C. Desbois
COPIE 2 :
Question N°2 : (4,25 points) Dr L. Sautel
Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr SAUTEL
TITRE
J
ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON 1)
___________
Ne rien écrire ici FACULTE D’ODONTOLOGIE
Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr SAUTEL
TITRE
N
ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON
1)
Ne rien écrire ici ___________
FACULTE D’ODONTOLOGIE
Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr VEYRE
TITRE
1 15
2 16
3 17
4 18
5 19
6 20
7 21
8 22
9 23
10 24
11 25
12 26
13 27
14
Ne rien écrire ici ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD
(LYON1)
___________
FACULTE D’ODONTOLOGIE
Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr VEYRE
TITRE
10
11
12
13
14
15
16
17
Schéma N°1 (L. Sautel)
Durée : 1h
Coefficient : 1
Responsable: Pr NATAF
Pour chaque question, réaliser un schéma légendé accompagné le cas échéant d’un court
texte explicatif (2,5 points par question ; correcteur : Pr Serge NATAF)
Durée : 1h
Coefficient : 1
Responsable: Dr FORTIN
Correcteur : Dr FORTIN
Un patient présente une douleur à la pression sur la 16. En bouche il n’y a rien
de particulier à noter en regard de cette dent. A la rétroalvéolaire vous ne voyez
rien si ce n’est un traitement endodontique radiologiquement parfait (3 canaux
obturés jusqu’à l’apex).
Quel autre examen radiologique pouvez-vous envisager et que peut-il révéler qui
puisse expliquer les signes cliniques.
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Responsable: Dr THIVICHON
Question 1 (5 points):
Question 2 (5 points):
Question 3 (5 points):
Durée : 2h
Coefficient : 2
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Responsable: Pr ROBIN
1 – Le cerveau humain :
A – a un poids moyen d’environ 1400 g
B – consomme 2% de l’énergie alimentaire
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
2 – Le cône axonal est le lieu de genèse des potentiels d’action sur le neurone car c’est la région qui
présente :
A – le seuil d’excitabilité le plus élevé
B – la plus grande densité en canaux sodiques voltage-dépendants
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
7 – Le système nerveux central est renseigné sur l’intensité d’un stimulus par :
A – l’amplitude des potentiels d’action
B – la fréquence des potentiels d’action
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
8 – La sclérose en plaques :
A – est provoquée par une dégénérescence de la gaine de myéline
B – ne concerne pas les neurones médullaires
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses
10 – Le GABA :
A – se fixe sur les récepteurs NMDA
B – favorise l’hyperexcitabilité (sensibilisation) des neurones nociceptifs
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
2
11 – Le thé et le café :
A – sont des antagonistes des récepteurs purinergiques
B – exercent une action vasodilatatrice au niveau rénal
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
15 – Les médicaments qui inhibent la recapture de la sérotonine sont indiqués dans le traitement de :
A – la maladie de Parkinson
B – la dépression
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
3
18 – Le bulbe rachidien est rattaché au :
A – diencéphale
B – myélencéphale
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
22 – Au niveau du thalamus, les relais des voies sensitives sont les noyaux :
A – ventro-postérieurs
B – ventro-médians
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
4
25 – Le bulbe rachidien contient :
A – les fibres motrices cortico-spinales
B – le noyau moteur du V
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
27 - Le paléocervelet :
A – correspond anatomiquement aux hémisphères cérébelleux
B – a un rôle essentiel dans la coordination motrice
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
5
32 – Le faisceau spino-thalamique :
A – contient les fibres de la sensibilité douloureuse
B – est principalement constitué de fibres myélinisées de gros diamètre
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
34 – Le réflexe rotulien :
A – est un exemple de réflexe myotatique inverse
B – provoque la flexion de la jambe
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
6
39 – Les muscles faciaux :
A – sont commandés directement par les motoneurones issus du cortex moteur primaire
B – ont une large représentation à la surface du cortex moteur primaire
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
41 – La zone médiane (intermédiaire) des hémisphères cérébelleux est essentiellement impliquée dans le
contrôle de la musculature :
A – posturale, automatique
B – distale, volontaire
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses
7
46 – La sécrétion du cortisol suit un rythme :
A – circadien
B – mensuel
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
48 – L’ACTH (corticotrophine) :
A – est sécrétée par l’antehypophyse
B – déclenche la sécrétion des hormones glucocorticoïdes
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses
8
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Responsable: Pr ROBIN
1
4 – Le nerf glossopharyngien (IX) :
A – participe à l’innervation motrice des muscles constricteurs du pharynx
B – est sensitif pour le tiers postérieur de la langue
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
6 – La sécrétion salivaire de repos assurée par les glandes submandibulaires représente environ :
A – 20% de la sécrétion salivaire totale
B – 70% de la sécrétion salivaire totale
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
2
11 – La saveur acide est capable de déclencher une salivation réflexe grâce à :
A – des connexions entre le noyau du faisceau solitaire et les noyaux salivaires
B – l’activation des mécanorécepteurs desmodontaux
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
12 – La xérostomie :
A – survient généralement lors d’une baisse du débit salivaire de 40 à 50%
B – est plus fréquente chez la femme que chez l’homme
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
16 – La reconnaissance de la nature des saveurs implique des voies nerveuses qui se projettent sur :
A – l’hypothalamus latéral
B – le noyau VPM du thalamus
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
3
18 – L’addiction au chocolat peut s’expliquer par :
A – la libération intracérébrale d’opiacés endogènes
B – le blocage des récepteurs morphiniques par le chocolat
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
4
25 – Le champ récepteur des mécanorécepteurs desmodontaux :
A – est strictement limité à la dent concernée
B – s’étend aux dents adjacentes à la dent concernée
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
29 – Le « coup de piston lingual » qui permet la propulsion du bol alimentaire de la cavité buccale vers le
pharynx nécessite :
A – la contraction des muscles élévateurs de la mandibule
B – le relâchement du muscle mylohyoïdien
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
30 – Lors du temps pharyngien de la déglutition, la fermeture des voies aériennes supérieures s’obtient
par :
A – la contraction des muscles releveurs et tenseurs du voile du palais
B – la contraction des piliers postérieurs du voile
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
5
31 – Le centre bulbaire de la déglutition est :
A – localisé au sein de la formation réticulée
B – capable de moduler la puissance de contraction des muscles déglutiteurs
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
32 – Les forces occlusales qui s’exercent lors du temps buccal de la déglutition représentent une durée
cumulée d’environ :
A – 10 à 15 minutes par 24h
B – 40 à 45 minutes par 24h
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
37 – La fréquence de la voix :
A – dépend de la longueur de la portion vibrante des cordes vocales
B – est plus élevée chez la femme que chez l’homme
C - les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
6
38 – La prononciation des voyelles et consonnes « nasales » nécessite :
A – le relâchement du voile du palais
B – l’élévation du voile du palais contre la paroi pharyngée postérieure
C - les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
43 – La capacité de localiser la douleur est possible grâce à la projection des fibres de la douleur au niveau :
A – du cortex préfrontal
B – du cortex cingulaire antérieur
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
7
45 – Les douleurs neuropathiques sont provoquées par :
A – une stimulation intense des nocicepteurs
B – une lésion des fibres nerveuses périphériques
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
8
Année universitaire
2018-2019
Université Lyon 1
Faculté d’odontologie
FGSO 2
Durée : 1h
Coefficient : 1
Responsable: Dr LAFON
Correcteur : Dr LILOT
Durée : 1h
Coefficient : 1
Responsable: Pr NATAF
Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Responsable: Dr THIVICHON
Question 1 : (5 points)
Vous suivez au niveau dentaire depuis plusieurs années une patiente et une relation de confiance
s’est instaurée. Elle est enceinte et sait qu’elle devra faire vacciner son nourrisson contre
l’hépatite B mais elle est très réticente. Qu’allez-vous lui répondre et avec quels arguments ?
Question 2 : (5 points)
Question 3 : (5 points)
Ne rien
écrire ici ATTENTION : IL EST INTERDIT DE DISSOCIER
LES PAGES DE CE DOCUMENT
Cours Légionellose
Question 1. Concernant les formes cliniques de légionellose, compléter le tableau ci-dessous
(chaque numéro correspond à une réponse) :
Maladie du Fièvre de
légionnaire Pontiac
Taux de mortalité Réponse 1 Réponse 2
Temps d’incubation Réponse 3 Réponse 4
Nature des symptômes Réponse 5 Réponse 6
Symptômes pulmonaire Réponse 7
Symptômes rénaux Réponse 8
Symptômes hépatiques Réponse 9
Symptômes digestifs Réponse 10
Symptômes au niveau du Réponse 11
Système nerveux central
Question 2. Citer 3 antibiotiques prescrits en cas de légionelloses communautaires peu sévères.
Réponses 12, 13 et 14
Question 3. Citer le nom du réseau européen de surveillance des légionelloses acquises lors des
voyages (Réponse 15) et donner sa signification (Réponse 16).
Question 4. Concernant les concentrations des légionelles dans l’eau, indiquer les concentrations
correspondantes :
Seuil: Réponse 17
Niveau d’alerte: Réponse 18
Niveau d’action: Réponse 19
Cours Tuberculose
Question 5. Citer 6 caractéristiques des mycobactéries.
Réponses 20, 21, 22, 23, 24, et 25
Question 10. Quel est le nom du test immunologique utilisé pour diagnostiquer une tuberculose ?
Réponse 31
Question 13. Citer le nom des antibiotiques utilisés durant les 2 premiers mois ?
Réponses 34 et 35
Cours Hépatites
Question 14. Indiquer le virus de l’hépatite correspondant à chacun des schémas ci-dessous.
Question 14. Quelle est la température (Réponse 40) et la durée (Réponse 41) nécessaire pour
inactiver le virus de l’hépatite A ?
Réponse 42
Réponse 43
44550
Réponse 44
Réponse 45
Question 16. Quelle forme d’hépatite observe-t-on en cas de co-infection VHB-VHD ?
Réponse 46
Question 18. Concernant la sérologie lors d’une infection à VHC, indiquer à quoi correspond
chacune des courbes sur la figure ci-dessous :
Réponse 50
48
Réponse 51
49
Cours Herpès
q HHV8 :
Réponses 55 et 56
Question 23. Décrire la conformation dans l’espace (structure 3D) de la protéine PrPc.
Réponse 64
Question 24. Décrire la conformation dans l’espace (structure 3D) de la protéine PrPSc.
Réponse 65
Question 26. Compléter le tableau ci-dessous concernant les différentes formes de maladies à
prion
Réponse
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
Ne rien
écrire ici
Réponse
41
42
43
44
45
46
47
48
49
50
51
52
53
54
55
56
57
58
59
60
61
62
63
64
65
66
67
68
69
70
71