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Sujets d'examens d’odontologie

FGSO 2

2018-2019

Annales de l'Université Lyon 1

Faculté d’odontologie
Année universitaire
2018-2019

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 2

1er semestre – 1ère session


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1

Epreuve : BIOLOGIE DU DEVELOPPEMENT ORO-FACIAL

Date et heure : Mardi 11 décembre 2018 de 9h45 à 10h45

Durée : 1h

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 30

Responsable : Pr FARGES

NE RIEN ECRIRE SUR LE SUJET

QUESTIONS 1 et 2 : (Pr FARGES) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée

QUESTIONS 3, 4, 5 : (Dr BEKHOUCHE) Sont à répondre sur copie d’examen séparée

Question 1 (5 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Citez dans l’ordre les 5 stades de la différenciation améloblastique.

Question 2 (4 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Donnez les 4 évolutions possibles des cellules de la gaine épithéliale de Hertwig.

1
Question 3 (10 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez la coupe histologique suivante montrant le gradient temporo-spatial de


différenciation odontoblastique dans un germe dentaire humain (pas d’abréviations) :

10
3

8
5
6

Question 4 (4 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez le schéma ci-dessous (pas d’abréviations) :

4
5
6

2
Question 5 (7 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux
affirmations justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,5 point.

QCM 1 : Les fentes palatines


A. sont des conséquences traumatiques
B. peuvent conduire à des désordres psychologiques
C. sont plus fréquentes chez les africains
D. sont des anomalies congénitales
E. surviennent le plus souvent du côté droit

QCM 2 : Les processus palatins


A. fusionnent par l’intermédiaire des protéines situées à la surface des cellules issues des crêtes
neurales céphaliques
B. sont composés d’un ectoderme reposant une membrane basale continue
C. fusionnent d’abord avec le septum nasal puis l’un avec l’autre
D. fusionnent l’un avec l’autre puis avec le septum nasal
E. fusionnent par l’intermédiaire des cellules de l’ectoderme

QCM 3 : La fusion des processus palatins


A. conduit à la dégradation de la membrane basale qui sépare les cellules épithéliales de
l’ectomésenchyme en regard de la zone de soudure
B. conduit à la dégradation de la membrane basale seulement au niveau de l’ectoderme oral
C. déclenche une transition épithélio-mésenchymateuse des cellules issues des crêtes neurales
céphaliques
D. conduit à l’apparition de marqueurs mésenchymateux à la surface des cellules épithéliales au
niveau de la zone de jonction entre les processus palatins
E. conduit à l’apparition de marqueurs cellulaires épithéliaux à la surface des cellules issues des
crêtes neurales céphaliques

QCM 4 : L’ossification et la croissance du palais secondaire


A. L’ossification du palais débute à la 8ème semaine de DIU et ne cesse pas
B. L’ossification du palais débute à la 22ème semaine de DIU et cesse entre 1 et 2 ans
C. La fusion complète des 2 parties osseuses survient à l’adolescence aux alentours de 15 ans
D. L’ossification du palais débute du côté nasal du palais
E. L’abaissement du palais résulte d’une résorption du côté nasal du palais

3
QCM 5 : Les différents types de fentes
A. Les fentes du palais secondaire sont des fentes des palais dur et/ou mou
B. les fentes du palais secondaire sont des fentes du palais dur uniquement
C. Les fentes du palais secondaire sont plus sévères que celles du palais primaire
D. Les fentes du palais secondaire peuvent être associées à des fentes du palais primaire et de la
lèvre supérieure (fentes labio-palatines)
E. Les fentes du palais secondaire résultent de l’absence de fusion des bourgeons maxillaires
avec le processus intermaxillaire

QCM 6 : Le syndrome de van der Woude (SVW)


A. Le SVW induit une fente labiale
B. Le SVW conduit à la présence de fente palatine ou labio-palatine
C. Le SVW est dû à une mutation dans le gène du TGFB3
D. Le SVW est dû à une mutation dans le gène IRF6
E. IRF6 régule la différenciation des cellules ectodermiques des processus palatins

QCM 7 : Les facteurs impliqués dans la formation des fentes palatines syndromiques
A. Msx1 régule la transcription de Bmp-2 et Bmp-4
B. L’activation du récepteur Bmpr-I induit l’expression de Msx1
C. Msx1 induit la prolifération des cellules ectomésenchymateuses
D. Une absence de fusion des processus palatins est observée chez les souris Msx1-/-
E. L’absence de Msx1 n’est pas suffisante pour induire une fente palatine

QCM 8 : Les facteurs impliqués dans la formation des fentes palatines syndromiques
A. Le TGF-β3 est un facteur de croissance
B. L’inactivation in vitro du TGF-β3 par des oligonucléotides anti-sens induit la fusion des
processus palatins
C. Les souris TGF-β3-/- présentent une fente palatine
D. Le TGF- β3 est impliqué dans la formation de filipodes à la surface des cellules épithéliales de
la zone de fusion
E. Le TGF-β3 est essentiellement exprimé à la surface des cellules issues des crêtes neurales
céphaliques

QCM 9 : Les interactions gènes-environnement


A. Le fait qu’une femme enceinte fume n’a aucune incidence sur le développement potentiel d’une
fente (labio)-palatine
B. Le fait qu’une femme enceinte fume augmente le risque de développement potentiel d’une fente
(labio)-palatine
C. Les souris GSTT1-/- présentent une fente palatine
D. La protéine Gstt1 est un facteur de transcription impliqué dans la fusion des processus palatins
E. Le gène GSTT1 muté augmente le risque pour le fœtus de développer une fente palatine si la
femme enceinte est fumeuse

4
QCM 10 : La différenciation des odontoblastes
A. Les odontoblastes présentent un cytosquelette abondant au sein de leur prolongement
B. La toile terminale constitue un ensemble de glycoprotéines sur lesquelles reposent les
odontoblastes
C. Les organites sont essentiellement contenus dans le corps cellulaire des odontoblastes
D. Les odontoblastes sont liés les uns aux autres par des filaments d’actine et de vimentine
E. Les prolongements odontoblastiques véhiculent de nombreuses vésicules renfermant les
constituants de la prédentine

QCM 11 : La composition de la dentine


A. Les fibres de collagène constituent le support des cristaux d’hydroxyapatite
B. La matrice dentinaire est composée essentiellement de collagène de type I homotrimérique
C. Du collagène de type V est également retrouvé dans la dentine
D. Les fibres de collagène ont un diamètre plus important près du corps cellulaire
E. Dans la prédentine située autour des prolongements odontoblastiques, les fibres de collagène
sont orientées perpendiculairement aux fibrilles d’ancrage

QCM 12 : La maturation de la matrice dentinaire


A. La sialoprotéine dentinaire est produite après clivage de la DSPP
B. La phosphoprotéine dentinaire est composée à 85% d’acide aspartique (D) et de phosphosérine
(S)
C. Toutes les SIBLINGs ont un rôle important dans la minéralisation de la prédentine
D. La glycoprotéine dentinaire est la SIBLING la mieux caractérisée pour son rôle dans la
minéralisation de la prédentine
E. La famille des SIBLINGs est composée de 5 membres

QCM 13 : La minéralisation
A. Les cristaux d’hydroxyapatite sont formés dans des vésicules matricielles avant leur dépôt au
niveau du front de minéralisation
B. Le calcium transite des capillaires sanguins au front de minéralisation par l’intermédiaire de
canalicules intercellulaires
C. Le calcium est associé à des protéines de liaison dans le cytoplasme
D. Les ATPases alcalines situées dans la membrane des vésicules matricielles facilitent l’accès du
calcium dans ces vésicules
E. La minéralisation de la prédentine n’est pas homogène, il y a formation de calcosphérites qui
vont fusionner pour donner une dentine continue

QCM 14 : Chez les patients atteints de dentinogenèse imparfaite (DGI) de type II,
A. Les racines sont plus longues et la pulpe plus large
B. La couronne dentaire est usée par la mastication
C. L’émail se détache facilement de la dentine
D. Les tubules dentinaires sont plus nombreux et parallèles les uns aux autres
E. L’espace pulpaire est souvent oblitéré par de la dentine

5
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1

Epreuve : BIOMATERIAUX
Date et heure : Jeudi 13 décembre 2018 de 9h à 10h30

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Répartition :

 Total notes ED : sur 10 (soit 1/3 de la note globale)


 Total note examen terminal : sur 20 (soit 2/3 de la note globale)

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

QUESTION(S) : (correcteur : Pr. GROSGOGEAT)

1. Etablir le cahier des charges du biomatériau idéal pour une obturation coronaire suite à une
lésion carieuse. (5 points)

2. Pour chaque propriété citée, donnez un ou des exemples en référence aux biomatériaux
actuellement disponibles sur le marché pour une telle indication (15 points)
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1

Epreuve : ECOSYSTEME BUCCAL ET DYSBIOSE

Date et heure : Jeudi 13 décembre 2018 de 10h45 à 12h15


Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Barème : Note sur 15
Responsable: Dr CARROUEL

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Nom du correcteur : Dr Carrouel

Cas clinique 1. (6 points)

Un patient âgé de 45 ans consulte pour un aspect disgracieux de certaines de ses dents.
Il est en bonne santé et ne prend aucun traitement.
L’interrogatoire révèle que ce patient est nageur professionnel, qu’il se brosse les dents matin et soir
avec un dentifrice fluoré.
Son journal alimentaire indique 3 prises alimentaires par jour. Au petit déjeuner, il prend un grand
bol de café sans sucre et 2 tartines de pain beurrés. Au déjeuner, il mange 1 steak haché et des pâtes
cuites al dente ainsi qu’un yaourt sans sucre. Au diner, il mange un grand bol de soupe de légumes,
deux tranches de jambon et un yaourt. Au cours des repas et en dehors, il boit 2 litres d’eau.
Des examens complémentaires montrent :
- un taux salivaire de Streptococcus mutans > à 5 105 CFU
- une consistance salivaire aqueuse
- un pH salivaire de 4,2
- un débit salivaire non stimulé de 0,6 mL/min
- un pouvoir tampon de la salive stimulée de 9 points
La mise en évidence du biofilm par le révélateur GC TriPlaque montre la présence une coloration
rose clair.

1/2
1. Quelles sont vos observations cliniques ? (0,5 points)
2. Décrivez les mécanismes à l’origine des lésions noires observées. D’où proviennent les
éléments en faveur de la reminéralisation et quels sont-ils ? (1,5 points)
3. Expliquez par un schéma l’origine des acides bactériens à partir du métabolisme des glucides de
l’alimentation. (2 points)
4. Identifiez les facteurs de risque carieux présentés par le patient. (1,5 points)
5. Quels conseils adaptés lui donnez-vous ? (0,5 points)

Cas clinique 2. (7 points)

Une patiente âgée de 24 ans consulte pour halitose.


Le questionnaire médical ne révèle aucune pathologie ni aucune prise de médicament.
Des examens complémentaires révèlent :
- une consistance salivaire aqueuse
- un débit salivaire non stimulé de 0,6 mL/min

De manière générale :
1. Quelles sont les causes possibles d’une halitose ? (1,25 points)
2. Quelles sont les bactéries responsables d’halitose ? (1,25 points)
3. Quels sont les gaz buccaux responsables de l’halitose ? Quelle est leur origine ? (1,5 points)
4. Quels sont les facteurs buccaux favorisant l’halitose ? (1 point)

Dans le cas de cette patiente :


5. Décrire vos observations cliniques. (0,5 points)
6. Quel est votre diagnostic étiologique ? (0,75 points)
7. Quels conseils adaptés donnez-vous à cette patiente ? (0,75 points)

Cas clinique 3. (2 points)

Monsieur X vient pour un détartrage. Il a un diabète non équilibré.

1. Quel est le risque infectieux pour ce patient ? (0,5 points)


3. Comment allez-vous aborder sa prise en charge ? (0,5 points)
2. Sa prise en charge est-elle la même qu’un patient porteur de prothèse aortique ? (0,5 points)
3. Quel est le risque infectieux pour un patient porteur de prothèse aortique ? (0,5 points)
2/2
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON Année universitaire 2018-2019

Date et heure : Mardi 11 décembre 2018 de 8h à 9h30

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1

Epreuve : GENETIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DES ANOMALIES


DENTAIRES

Durée : 1h30
Coefficient : 1,5
Barème : Note sur 15
Responsable : Dr CARROUEL

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN


Nom du correcteur : Dr Carrouel

Cas clinique 1. (10 points)

Vous recevez en consultation Léo âgé de 9 ans et demi.

Figure 1. Radiographie panoramique de Léo (Sujet III.6) et arbre génétique de sa famille.

Recombination fraction
Marker 0.00 0.01 0.05 0.10 0.20 0.30 0.40
D1S484 -Infinity 2.47 3.68 3.39 1.60 0.83 0.24
D1S506 0.17 0.77 4.23 3.33 1.71 0.92 0.26
D2S2449 -1.02 -0.79 0.86 1.20 1.44 2.39 0.75
D2S510 -Infinity 0.77 2.23 2.33 1.71 0.92 0.26 Figure 2. Analyse de liaison entre
D4S422 -Infinity 2.01 2.68 2.59 1.87 1.04 0.29
D4S506 -Infinity 0.77 2.23 2.33 1.71 0.92 0.26 différents marqueurs et le gène de la
D14S519 -9.02 2.79 2.86 1.70 1.44 1.39 0.75
D14S422 -4.43 1.30 2.75 2.06 1.84 0.89 0.24 maladie
D17S506 -Infinity 0.77 2.23 2.33 1.71 0.92 0.26
D17S2552 -Infinity -0.71 0.86 1.30 1.21 0.72 0.20

Figure 4. Séquençage du gène de la maladie de Léo (A) et de son père II.4 (B)

Après avoir analysé l’ensemble des documents à votre disposition, répondez aux questions suivantes :

1. Quel type d’anomalie dentaire Léo présente-t-il ? (0,5 points)


2. Quel(s) gène(s) est (sont) connu(s) pour être muté(s) dans ce type d’anomalies dentaires non syndromiques ?
(1,75 points)
Tourner la page SVP
3. Existe-t-il des syndromes associés à ce type d’anomalies dentaires ? Si oui, quel(s) gène(s) est (sont) connu(s)
pour être muté(s) ? (1 points)
4. A quelle étape du développement dentaire interviennent ce(s) gène(s) ? (0,5 points)
5. Quel diagnostic clinique pouvez-vous faire pour Léo ? Justifiez votre réponse. (1 points)
6. A l’aide de l’arbre généalogique, déterminez le mode de transmission de la maladie dans la famille de Léo ?
Pour justifier votre choix, vous écrirez le(s) génotype(s) de chaque membre de la famille (nomenclature : gène
a, allèle sauvage a+, allèle muté responsable de la maladie a- ; les individus de chaque génération seront
identifiés par leur numéro). (1,25 points)
7. Sur quel chromosome est localisé le gène de la maladie ? Justifier votre réponse. (1 points)
8. Connaissez-vous d’autres techniques permettant de déterminer le locus d’un gène impliqué dans une maladie ?
Si oui, décrivez-les brièvement. (1 points)
9. Quelle est la nature de la mutation entrainant la pathologie observée ? Justifiez votre réponse. (0,5 points)
10. Léo est-il homozygote ou hétérozygote pour la maladie ? Justifiez votre réponse. (0,5 points)
11. Au vu de l’ensemble des éléments que vous possédez, quel(s) gène(s) peut (peuvent) être responsable(s) de
l’anomalie dentaire observée chez Léo ? Justifiez votre réponse. (1 points)

Cas clinique 2. (5 points)

Votre patiente s’appelle Alyssa, vous l’avez eu en consultation à l’âge de 5 ans pour un bilan ainsi que pour l’aspect de
ses dents. Elle revient pour une nouvelle consultation à l’âge de 20 ans.

Figure 1. Photographies orales et radiographies panoramiques d’Alyssa à l’âge de 5 ans (sujet IV.1).

Figure 2. Photographies orales d’Alyssa à l’âge de 20 ans (sujet IV.1) Figure 3. Arbre génétique de la famille

Après avoir analysé l’ensemble des documents à votre disposition, répondez aux questions suivantes :
1. Quel type d’anomalie dentaire la patiente IV.1 présente-t-elle ? Justifiez votre réponse. (0,25 points)
2. Quel(s) gène(s) est (sont) connu(s) pour être muté(s) dans ce type d’anomalies dentaires non syndromiques?
(0,75 points)
3. A quelle étape du développement dentaire interviennent ce(s) gène(s) ? (0,25 points)
4. Existe-t-il des syndromes associés à ce type d’anomalies dentaires ? Si oui, lesquels et quels gènes sont connus
pour être mutés ? (0,75 points)
5. Quel diagnostic clinique pouvez-vous faire pour Justine ? Justifiez votre réponse. (1,5 points)
6. A l’aide de l’arbre généalogique, déterminez le mode de transmission de la maladie dans cette famille ? Pour
justifier votre choix, vous écrirez le(s) génotype(s) de chaque membre de la famille (nomenclature : gène a,
allèle sauvage a+, allèle muté responsable de la maladie a- ; les individus de chaque génération seront identifiés
par leur numéro). (0,75 points)
7. Au vu de l’ensemble des éléments que vous possédez, quel(s) gène(s) peut (peuvent) être responsable(s) de
l’anomalie dentaire observée chez cette patiente ? Justifiez votre réponse. (0,75 points)
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : HISTOLOGIE ET HISTOPATHOLOGIE DENTAIRE

Date et heure : Vendredi 14 décembre 2018 de 10h45 à 11h45

Durée : 1h

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 30

Responsable: Pr FARGES

NE RIEN ECRIRE SUR LE SUJET

QUESTIONS 1, 2, 3 : (Pr FARGES) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée

QUESTIONS 4, 5, 6 : (Dr BEKHOUCHE) Sont à répondre sur copie d’examen séparée

Question 1 (4 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Légendez l’image ci-dessous montrant la dentine en microscopie électronique à balayage (pas


d’abréviations) :

1
Question 2 (3,5 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Légendez le schéma ci-dessous montrant la structure de la pulpite hyperplasique (pas


d’abréviations) :

1
5

2
6

7
3

Question 3 (8,5 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Décrivez les caractéristiques cliniques et histopathologiques de la pulpite aiguë.

Question 4 (3 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez le schéma ci-dessous montrant la vascularisation de la pulpe dentaire (pas


d’abréviations) :

2
Question 5 (3,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez le schéma ci-dessous montrant la réparation du complexe pulpo-dentinaire (pas


d’abréviations) :

Question 6 (7,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux affirmations
justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,5 point.

QCM 1 : La pulpe dentaire


A. La pulpe dentaire est délimitée par l’odonte formé par les odontoblastes
B. La pulpe dentaire est un tissu conjonctif faiblement minéralisé
C. La pulpe dentaire succède à la papille ectomésenchymateuse
D. Les canaux radiculaires ne contiennent pas de pulpe dentaire
E. Les canaux radiculaires sont parfois ramifiés dans leur 1/3 apical

QCM 2 : Composition de la pulpe dentaire


A. L’odontoblaste de transition constitue un stade particulier entre le pré-odontoblaste et l’odontoblaste
sécréteur
B. L’odontoblaste de transition est une cellule moins polarisée que l’odontoblaste sécréteur
C. L’odontoblaste de transition présente un noyau central et des organites autour
D. Les odontoblastes âgés forment une couche de cellules pluristratifiée de type épidermoïde
E. Les odontoblastes âgés contiennent de grandes vésicules lipidiques

QCM 3 : Les cellules de la pulpe dentaire


A. Les cellules mésenchymateuses indifférenciées situées dans des niches périvasculaires peuvent se
différencier in vitro en cellules neuronales
B. Les cellules mésenchymateuses indifférenciées situées dans des niches périvasculaires peuvent se
différencier in vitro en cellules adipocytaires
C. Les cellules mésenchymateuses indifférenciées situées dans des niches périvasculaires peuvent se
différencier in vitro en macrophages
D. Les macrophages sont présents dans la pulpe en plus grande quantité que les cellules dendritiques
présentatrices d’antigènes
E. Les cellules dendritiques présentatrices d’antigènes sont capables d’induire une réponse immunitaire
adaptative

3
QCM 4 : Composition de la pulpe dentaire
A. Une partie de la fibronectine de la pulpe dentaire provient du sérum
B. La fibronectine se lie aux cellules par l’intermédiaire d’une séquence RGA
C. La fibronectine de la pulpe dentaire est synthétisée par les odontoblastes
D. Les métalloprotéinases matricielles sont impliquées dans la maturation de la matrice dentinaire
E. Les métalloprotéinases matricielles sont impliquées dans les phénomènes d’inflammation

QCM 5 : L’innervation et la sénescence


A. L’hypothèse neurophysiologique propose que les fibres nerveuses soient directement stimulées au sein
des tubules dentinaires
B. L’hypothèse hydrodynamique propose que le déplacement rapide du fluide intratubulaire induise
l’activation des odontoblastes qui stimuleront les fibres nerveuses du plexus de Raschkow
C. L’hypothèse odontoblastique propose que les odontoblastes reçoivent, intègrent et transmettent le
signal aux extrémités nerveuses du plexus de Raschkow
D. Les fibrocytes sont des cellules sénescentes présentant un noyau de taille réduite au sein du
cytoplasme (rapport nucléocytoplasmique réduit)
E. La nombre de fibres de collagène est réduit dans la pulpe âgée sénescente

QCM 6 : La réparation du complexe pulpodentinaire


A. Se met en place afin de réparer une pulpe enflammée présentant une forte augmentation de la pression
interstitielle
B. A pour but d’isoler la pulpe du milieu buccal septique
C. Conduit à la formation de dentine secondaire afin de séparer la pulpe du milieu buccal
D. Se met en place afin de protéger la pulpe en cas de pulpite aiguë
E. La dentine réparatrice est produite en cas de progression de l’infection après la mise en place de la
dentine réactionnelle

QCM 7 : La dentine réactionnelle


A. La dentine réactionnelle péripulpaire n’est rien d’autre que le résultat d’une augmentation de la vitesse
de formation de la dentine par les améloblastes
B. La dentine réactionnelle péripulpaire se forme à la périphérie de la pulpe dentaire
C. La dentine réactionnelle péripulpaire est formée par les odontoblastes de remplacement
D. La formation de dentine réactionnelle péripulpaire induit le recul des corps cellulaires odontoblastiques
en direction pulpaire
E. La formation de dentine réactionnelle péripulpaire induit la nécrose des odontoblastes

QCM 8 : Régulation de la formation de dentine tertiaire


A. La dentine constitue une couche imperméable
B. Une solution de TGF-β peut diffuser à travers la dentine
C. L’ajout de TGF-β in vitro sur des tranches de dents peut induire la formation de dentine réparatrice
D. L’ajout de TGF-β in vitro sur des tranches de dents peut induire la production de collagène I
E. Les études in vitro montrent que BMP-7 est la molécule qui induit le plus fortement la synthèse de
matrice extracellulaire par les odontoblastes

4
QCM 9 : La dentine réparatrice
A. Les péricytes peuvent être à l’origine des odontoblastes de remplacement
B. La fibrodentine est un élément mis en place lors des phases précoces de formation de la dentine
réparatrice
C. La dentine réparatrice est divisée en fibrodentine et ostéodentine
D. La fibrodentine présente la particularité de contenir une quantité équivalente de collagène de type I et de
collagène de type III
E. L’orthodentine correspond à l’inclusion de cellules au sein de la fibrodentine

QCM 10 : La dentine réparatrice


A. L’orthodentine est produite par les odontoblastes de deuxième génération
B. Les odontoblastes de remplacement ont une morphologie identique aux odontoblastes de première
génération
C. Les odontoblastes de remplacement sont alignés à l’interface dentine-pulpe
D. Les odontoblastes de remplacement ne sont pas polarisés
E. L’orientation des tubules des odontoblastes de remplacement augmente la barrière physique formée
face à la progression carieuse

QCM 11 : L’endodontie régénérative


A. Vise à reconstruire l’espace endodontique in vitro
B. Vise à régénérer la formation de l’émail suite à une altération
C. Vise à régénérer la pulpe dentaire suite à une altération
D. Repose sur une médecine régénérative basée soit sur une thérapie cellulaire soit sur le recrutement de
cellules hôtes
E. Vise à remplacer la pulpe lésée par un tissu vivant ayant des propriétés similaires

QCM 12 : Avantages/inconvénients de la régénération endodontique


A. Les traitements actuels de la pulpectomie conduisent au remplacement de la pulpe par un matériau
vivant, la Biodentine
B. Les dents ayant subi une pulpectomie sont plus cassantes
C. Les biomatériaux utilisés pour le traitement de pulpectomie ne peuvent pas induire d’allergies
D. Les biomatériaux utilisés pour le traitement de pulpectomie peuvent se détériorer dans le temps
E. La régénération endodontique conduit à la régénération d’une dent « vivante »

QCM 13 : Ingénierie tissulaire


A. L’ingénierie tissulaire cherche à notamment développer des stratégies pour régénérer l’endodonte
B. Une stratégie de l’ingénierie tissulaire consiste en l’association de cellules, d’une matrice
tridimensionnelle et de molécules bioactives
C. L’association de cellules à la matrice tridimensionnelle avant implantation est indispensable
D. Les cellules d’un patient pourraient éventuellement être utilisées dans un implant pour la régénération
de l’endodonte de ce même patient
E. Des cellules de type fibroblastes sont souvent associées à la matrice 3D pour la régénération de
l’endodonte

5
QCM 14 : Ingénierie tissulaire
A. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent induire la différenciation des fibroblastes et des
odontoblastes
B. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent induire la différenciation des cellules
endothéliales et des odontoblastes
C. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent favoriser le recrutement des cellules
endothéliales
D. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent induire le recrutement des odontoblastes
E. Les molécules actives associées à la matrice 3D doivent favoriser le recrutement des cellules
immunitaires

QCM 15 : Cellules souches


A. Les cellules souches de la pulpe dentaire sont faciles à obtenir à partir de dents de sagesse
B. Les SHEDs prolifèrent de manière plus importante que les DPSCs
C. Les SHEDs sont récupérées à partir de troisièmes molaires
D. Les SCAPs sont récupérées à partir de la papille dentaire apicale
E. Les SCAPs peuvent se différencier en neurones

6
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : ODONTOLOGIE CONSERVATRICE

Date et heure : Mardi 11 décembre 2018 de 11h à 12h30

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 15

Responsable: Dr LUCCHINI

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

QUESTION 1 (5 points – correcteur Dr Marion LUCCHINI)

Décrire le protocole opératoire des systèmes adhésifs M&R3.

QUESTION 2 (10 points – correcteur Dr Marion LUCCHINI)

Un patient consulte pour des douleurs localisées dans le secteur 1. Les examens
clinique et radiographique mettent en évidence une lésion carieuse occluso-mésiale
cavitaire de la 16 (site 2 stade 3) avec des limites juxta-gingivales. Les sillons
occlusaux de cette dent sont sains. Ce patient, en bonne santé, âgé de 30 ans,
présente une hygiène bucco-dentaire satisfaisante. Cette lésion carieuse est la
seule constatée lors de l’examen complet de la cavité buccale du patient et il n’a
pas consulté de chirurgien-dentiste depuis 3 ans.
Décrire votre séance de soins en respectant sa chronologie et en justifiant vos
choix.
2FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1


Epreuve : PROTHESES

Date et heure :Vendredi 14 décembre 2016 de 9h00 à 10h30

Durée : 1h30

Coefficient : 2

Barème : Note sur 30

Responsables : Dr VIENNOT et Dr DUCRET

NE RIEN ECRIRE SUR LE SUJET

QUESTIONS 1 et 2 : (Dr DUCRET) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée

QUESTION 3 : (Dr VIENNOT) Est à répondre sur copie d’examen séparée

Question 1 (10 points - Dr Ducret) :

La CFAO semi-directe : faire un schéma et un résumé de 5 à 10 lignes.

Question 2 (10 points - Dr Ducret) :

La classification de Kennedy : faire un schéma pour chaque classe.

Question 3 (10 points - Dr Viennot) :

Dans le cadre d’une préparation dentaire d’une molaire 16 pour la réalisation d’une
prothèse fixée unitaire, une limite cervicale de type congé simple peut être envisagée par
le praticien.

1/ Précisez la ou les indication(s) respective(s) de cette limite

2/ Réaliser un schéma légendé de la molaire 16 préparée comme décrite ci-dessus, en


coupe vestibulo-linguale
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 1

Epreuve : TOEFL BLANC


(Responsable : Pr SEUX)

Date et heure : Mercredi 12 décembre - 9H – 12H

Coefficient : 1

CONSIGNES : correcteur Mme SCALONE

Répondre sur la copie et NON sur le sujet


__________________________________________________________________________

Reading section : 2 texts / 22 points

Text 1 : Smart Energy

P1 : The next few decades will see great changes in the way energy is supplied and used. In
some major oil producing nations, 'peak oil' has already been reached, and there are
increasing fears of global warming. Consequently, many countries are focusing on the
switch to a low carbon economy. This transition will lead to major changes in the supply and
use of electricity. [A] Firstly, there will be an increase in overall demand, as consumers
switch from oil and gas to electricity to power their homes and vehicles. [B] Secondly, there
will be an increase in power generation, not only in terms of how much is generated, but also
how it is generated, as there is growing electricity generation from renewable
sources. [C] To meet these challenges, countries are investing in Smart Grid
technology. [D] This system aims to provide the electricity industry with a better
understanding of power generation and demand, and to use this information to create a more
efficient power network.

P2 : Smart Grid technology basically involves the application of a computer system to the
electricity network. The computer system can be used to collect information about supply
and demand and improve engineer's ability to manage the system. With better information
about electricity demand, the network will be able to increase the amount of electricity
delivered per unit generated, leading to potential reductions in fuel needs and carbon
emissions. Moreover, the computer system will assist in reducing operational and
maintenance costs.
1
P3 : Smart Grid technology offers benefits to the consumer too. They will be able to collect
real-time information on their energy use for each appliance. Varying tariffs throughout the
day will give customers the incentive to use appliances at times when supply greatly exceeds
demand, leading to great reductions in bills. For example, they may use their washing
machines at night. Smart meters can also be connected to the internet or telephone system,
allowing customers to switch appliances on or off remotely. Furthermore, if houses are
fitted with the apparatus to generate their own power, appliances can be set to run directly
from the on-site power source, and any excess can be sold to the grid.

P4 : With these changes comes a range of challenges. The first involves managing the
supply and demand. Sources of renewable energy, such as wind, wave and solar, are
notoriously unpredictable, and nuclear power, which is also set to increase as nations switch
to alternative energy sources, is inflexible. With oil and gas, it is relatively simple to
increase the supply of energy to match the increasing demand during peak times of the day
or year. With alternative sources, this is far more difficult, and may lead to blackouts or
system collapse. Potential solutions include investigating new and efficient ways to store
energy and encouraging consumers to use electricity at off-peak times.

P5 : A second problem is the fact that many renewable power generation sources are located
in remote areas, such as windy uplands and coastal regions, where there is currently a lack of
electrical infrastructure. New infrastructures therefore must be built. Thankfully, with
improved smart technology, this can be done more efficiently by reducing the reinforcement
or construction costs.

P6 : Although Smart Technology is still in its infancy, pilot schemes to promote and test it
are already underway. Consumers are currently testing the new smart meters which can be
used in their homes to manage electricity use. There are also a number of demonstrations
being planned to show how the smart technology could practically work, and trials are in
place to test the new electrical infrastructure. It is likely that technology will be added in
'layers', starting with 'quick win' methods which will provide initial carbon savings, to be
followed by more advanced systems at a later date. Cities are prime candidates for
investment into smart energy, due to the high population density and high energy use. It is
here where Smart Technology is likely to be promoted first, utilising a range of sustainable
power sources, transport solutions and an infrastructure for charging electrically powered
vehicles. The infrastructure is already changing fast. By the year 2050, changes in the
energy supply will have transformed our homes, our roads and our behaviour.

2
Questions

1) According to paragraph 1, what has happened in some oil producing countries?

A. They are unwilling to sell their oil any more.


B. They are not producing as much oil as they used to.
C. The supply of oil is unpredictable.
D. Global warming is more sever here than in other countries.

2) Where in paragraph 1 can the following sentence be placed?


There is also likely more electricity generation centres, as households and communities take
up the opportunity to install photovoltaic cells and small scale wind turbines.

A.
B.
C.
D.

3) Which of the following is NOT a benefit of Smart Grid technology to consumers ?

A. It can reduce their electricity bills.


B. It can tell them how much energy each appliance is using.
C. It can allow them to turn appliances on and off when they are not at home.
D. It can reduce the amount of energy needed to power appliances.

4) According to paragraph 4, what is the problem with using renewable sources of power?

A. They do not provide much energy.


B. They often cause system failure and blackouts.
C. They do not supply a continuous flow of energy.
D. They can't be used at off-peak times.

5) In paragraph 5, what can be inferred about cities in the future?

A. More people will be living in cities in the future than nowadays.


B. People in cities will be using cars and buses powered by electricity.
C. All buildings will generate their own electricity.
D. Smart Grid technology will only be available in cities.

3
6) The word 'remote' in paragraph 5 could be best replace by:

A. isolated
B. crowded
C. attractive
D. alone

7) The word 'underway' in paragraph 6 is closest in meaning to:

A. permanent
B. complete
C. beneficial
D. in progress

8) What is the main idea of the final paragraph? (paragraph 6).

A. To describe who will benefit from Smart Grid technology first.


B. To outline the advantages of Smart Grid technology.
C. To summarise the main ideas in the previous paragraphs.
D. To describe how, where and when Smart Technology will be introduced.

9) In paragraph 6, what can be inferred about the introduction of Smart Grid Technology?

A. The technologies which produce most benefits will be introduced first.


B. The cheapest technologies will be introduced first.
C. The technologies which are most difficult to put into place will be introduced first.
D. Technologically advanced systems will be introduced first.

4
Text 2 : The role of science

1) Science plays a crucial role in identifying problems related to how natural systems
function and deteriorate, particularly when they are affected by an external factor. In turn,
scientific findings shape the policies introduced to protect such systems where necessary.
Experts are frequently called upon by politicians to provide evidence which can be used to
make scientifically sound, or at least scientifically justifiable policy decisions.

2) Issues arise as there are frequent disagreements between experts over the way data is
gathered and interpreted. An example of the former is the first scientific evidence of a hole in
the ozone layer by the British Antarctic Survey. (1) The findings were at first greeted by the
scientific community with scepticism, as the British Antarctic Survey was not yet an
established scientific community. (2) Moreover, it was generally believed that satellites
would have picked up such ozone losses if they were indeed occurring. (3) It was not until
the methodology of NASA's Goddard Space Flight Center was reviewed that it became
apparent that data had been overlooked. (4)

3) With regards to the latter, controversy between scientists may arise where data analysis
appears to support one policy over another. In 1991, the World Resource Institute (WRI)
published estimates of net emissions and sinks of greenhouse gases for a number of
countries, including India. The report provoked criticisms among Indian scientists who
argued that the figures had failed to take some significant factors into account, leading to
overestimated emission values. The WRI was accused of blaming less economically
developed countries for global warming; a stance which, if accepted, could impede
industrialisation and sustain, even widen, the wealth gap.

4) Problems regarding the scientific method are well documented and it is widely accepted
by the scientific community that, however consistent scientists are in their procedures, the
results born under different circumstances can vary markedly. A number of factors influence
research, among them the organisation of a laboratory, the influence of prevailing theories,
financial constraints and the peer review process. Consequently, scientists tend to believe
they are not in a position to bear universal truths but to reveal tendencies.

5) However, this is countered by two factors. Firstly, certain scientific institutions wish to
maintain a degree of status as ‘bearers of truth’. Further, policy makers uphold this
understanding by requesting scientific certainties in order to legitimise their policy decisions.
According to a number of authors who have documented this process, decision makers do
not necessarily try to obtain all the information which is or could be made available
regarding an issue. Rather, they select that information which is necessary to fulfil their
goals, information termed as ‘half-knowledge’. Attempts to underplay transboundary issues
such as water provision and pollution are cases in point. Politicians clearly cannot pretend
that certain data do not exist if they are well-known in scientific communities or national
5
borders, but some discretion is evident, especially where there is controversy and
uncertainty.

6) It is important to note that policies regarding scientific issues are influenced in no small
part by societal factors. These include the relative importance of certain environmental
issues, the degree of trust in the institutions conducting the research, and not least the social
standing of those affected by the issue. In other words, environmental problems are in many
ways socially constructed according to the prevailing cultural, economic and political
conditions within a society. It has been suggested, for example, that contemporary 'post-
materialist' Western societies pay greater attention to 'quality' - including environmental
quality – than 'quantity'. This theory does not necessarily assume that people of low-income
countries have no interest in environmental protection, as the example of the Chipko
movement in India clearly demonstrates, but demonstrates that the way a resource is valued
varies widely among different communities.

7) Finally, it cannot be denied that the ‘issue of the day’ changes constantly. One issue
becomes more or less urgent than another, based on current events. Concurrently, new issues
enter the political agenda. It has been noted that it often takes a 'policy entrepreneur',
someone who dedicates time, energy and financial resources to a certain issue, to raise its
profile. Furthermore, whether an issue is taken up by political, environmental or media
groups, depends very much on the degree to which it suits their particular agenda, not to
mention budget.

6
Questions

1) With reference to paragraph 1, which of the following pieces of research would be NOT
be relevant to this article?
A. the effect of climate change on weather patterns in Africa
B. whether or not low level radiation increases the risk of cancer
C. how acid rain impacts species within a lake ecosystem
D. a comparison of the species present in two areas of woodland

2) What is the purpose of the example of ozone data given in paragraph 2?

A. to show that NASA's Goddard Space Flight Center used unreliable methods of
gathering scientific data
B. to show how data gathering methods and the status of scientists may affect the way
data is regarded
C. to prove that it is wrong to dismiss evidence which comes from a non-established
source
D. to show how NASA and the British Antarctic Survey disagreed over the correct way
to gather ozone data.

3) Where in paragraph 2 does this sentence best fit?


This was because of the way their computers had been programmed to discard any readings
which appeared anomalous.

A. 1
B. 2
C. 3
D. 4

4) Paragraph 3 gives an example of a dispute over…

A. which country was most responsible for producing greenhouse gases


B. the pollution caused by multinational companies in India.
C. how statistics were interpreted and presented.
D. erroneous data which resulted from a poorly-funded experiment.

7
5) In paragraph 5, ‘this’ refers to…

A. the scientific method and its inherent problems.


B. the belief that scientists cannot reveal universal truths.
C. the variation in scientific results under different circumstances.
D. the list of factors which influence scientific research.

6) What is meant by this sentence?


‘Further, policy makers uphold this understanding by requesting scientific certainties in
order to legitimise their policy decisions.’

A. Politicians when seeking evidence for policy-making, do not understand the fact that
scientists are unable to act as ‘bearers of truth’.
B. Politicians consider the scientific research that supports their policies as more
legitimate than other research.
C. Scientific institutions encourage politicians to use them for policy-making in order to
improve their status.
D. Politicians, when seeking evidence for policy-making, encourage the belief that
scientists can produce incontestable facts.

7) Which sentence best sums up the ideas in paragraph 4?

A. Scientists are aware that their work cannot present incontrovertible facts.
B. If scientists were more consistent, they could create more reliable evidence.
C. Variations in how research is conducted often affect its validity.
D. Scientists spend more time documenting problems than conducting research.

8) Why are ‘transboundary issues such as water provision and pollution’ referred to in
paragraph 5?

A. to illustrate situations in which politicians pretend that certain data does not exist
B. to illustrate situations in which incorrect information is given by scientific institutions
keen to maintain their status.
C. to illustrate situations in which politicians are selectiive with regards to what data they
gather
D. to illustrate situations in which policy makers request scientists to present them with
scientific certainties, even though none exist.

8
9) What can be inferred about the Chipko movement?

A. It was an example of how people in low-income countries have little interest in


environmental protection.
B. It was an example of how different people within a community valued a resource
differently.
C. It was an example of how people in a low-income community showed interest in
protecting the environment.
D. It was an example of how people in a low-income community valued quantity over
quality.

10) Which of the following arguments is NOT presented in paragraph 7?

A. An issue only get political or media attention if someone with a high profile is
supporting it.
B. Politicians are only interested in environmental issues if it benefits them.
C. Issues don’t get public attention unless a particular person advocates it strongly.
D. Issues may be overlooked if there are other significant events happening at the time.

11) Read the 6 sentences below. Which 3 sentences best express the most important ideas in
the passage? (Do not choose sentences which focus on minor or incorrect facts). This
question is worth 3 points.

A. Politicians are irresponsible with regards to the type of scientific research they use to
legitimise their policies.
B. It is difficult to establish the extent to which scientific data reveals the truth.
C. Experts tend to reject scientific research on the basis that it does not come from an
established institute.
D. Policy-makers select scientific data to suit their own political agendas.
E. The scientific research which reaches the public domain depends on cultural, social
and economic factors.
F. The level of scientific research in Western countries is a better standard than that in
low-income countries.

9
Listening section : 2 lectures and 2 conversations / 21 Points

Lecture 1 : on Sociology

1) Which of the following is defined as the number of children born per 1000 people per
year?

A. Replacement Level
B. B-Fertility Rate
C. Birth Rate
D. Fertility Level

2) Which of the following countries in the UK has the highest fertility rate?
A. England
B. Scotland
C. Wales
D. Northern Ireland

3) Why is fertility rate in the UK higher than it was twenty years ago?
A. Couples are choosing to have larger families.
B. A higher proportion of women are having children.
C. Women who delayed childbirth are having children now.
D. Fewer women are interested in their careers.

4) What proportion of women in their mid-forties do not have children nowadays?


A. 10%
B. 4%
C. 25%
D. 40%

5) What do French couples who have eight children receive?


A. Cup
B. Medal
C. Money
D. Housing

6) Which of the reasons for low fertility rates is NOT mentioned?


A. Women are increasingly focused on their jobs.
B. People want to enjoy their lives before taking on responsibility.
C. Parents do not have time to have many children.
D. Children are considered to cost a lot of money.

10
Lecture 2 : Biometric recognition

7) Where does the TV show ‘Las Vegas’ take place?


A. In a shopping mall
B. In a police department
C. In a casino
D. In a crime lab

8) What is a faceprint?

A. a code which identifies a face


B. distinctive curves in the face
C. a 2D image of the face
D. the number of nodal points on the face

9) Identify TWO problems with 2D facial recognition from the list below.

A. It is not effective if a picture is dark.


B. The person in the photograph must face the camera.
C. Facial curves change over time.
D. Nodal points cannot be measured

10) What is the problem with the 3D technology?


A. It can only be used when the individual is directly facing the camera
B. The image might change over time
C. It’s impossible to match a 3D image to a 2D image
D. It cannot distinguish between identical twins

11) Which TWO elements below can be measured by Skin Biometric technology?
A. the curve of someone’s chin
B. the texture someone’s skin
C. the existence of lines on the face
D. the distance between the eyes

11
Conversation 1

12) Why is the student looking for accommodation now?


A. The accommodation she booked is no longer available.
B. She forgot to book accommodation earlier.
C. She signed up for the course at the last minute.
D. She dislikes her present accommodation and wants to change.

13) What does the man imply when he says ‘Well, that’ll teach you for next time won’t it?’
A. He thinks the student was foolish.
B. He feels sorry for the student.
C. He wants to give the student some advice.
D. He expects the same thing to happen again.

14) Why doesn’t the student want to remain where she is staying now?
A. It is too far from the college campus.
B. She doesn’t want to stay with her parents.
C. The rooms are too expensive.
D. She is currently sleeping on the floor.

15) What sort of accommodation may the man be able to offer her in a couple of weeks?
A. a room in a student dorm
B. a room in a motel
C. a room in a shared student flat
D. a room in a private house

16) What is the problem with the accommodation listed in the folder and on the website?
A. It goes out of date very quickly.
B. There aren’t many addresses listed there.
C. Most accommodation was booked up long ago.
D. There is a waiting list for the accommodation listed there.

12
Conversation 2

17) What is the main point of the discussion?


A. Job prospects for students doing their course
B. Grades for a recent assignment
C. The advantages and disadvantages of going to college
D. The quality of the teaching on their course

18) Why is the woman concerned?


A. She feels she is not learning anything useful.
B. She has been receiving poor grades.
C. She is not enjoying her course.
D. She is finding the course very difficult.

19) What does the man appreciate most about studying at university?
A. Studying a subject in depth
B. Getting involved in discussions
C. Meeting people with diverse interests
D. Teaching others about what he has learnt

20) The man says that employers will appreciate the woman’s ____.
A. transferable skills
B. ability to train others
C. enthusiasm
D. knowledge of history

21) What is implied about Professor Jacques?


A. She has never worked outside the university.
B. She is a good person to ask about careers.
C. She is more approachable than the other professors.
D. She teaches on both the history and the business course.

13
Writing section / 47 Points
(Integrative writing 17 points - Independent writing 30 points)

Integrative writing (150-225 words):


Compare the text and the listening extract.

Speaking Through Social Media

The widespread phenomenon of mass communication through cell phones and the internet
has spurred enormous controversy. Many believe that people have become less able to build
bonds with friends and family members. It is impossible to deny that social media is
constantly changing the way that people interact with one another. With the advent of new
technologies that allow for non-simultaneous and distant interaction, people all over the
world are now able to build relationships in a way that was formerly not possible. Some
might say that this is a negative trend, but this new development opens up for unique and
effective connections.

People often feel estranged in their surroundings. There are so many hobbies and interests
that people enjoy, that it can be difficult to find someone who shares the same passions.
Social media is of huge benefit to these people as they are empowered with opportunity for
connection to a widespread community and countless resources. Some may have always
wanted to learn more about a topic without having an avenue to jump in. Social media has
proved itself to be effective in educating people of all ages on a variety of subjects ranging
from rollerblading to string theory.

Moreover, the internet is especially helpful for helping people find a voice. Whereas the first
amendment protects our right to free speech, many people feel that they have lost their
ability to be heard. Social media allows us all to find a new way to speak confidently and
ensures that every person has the opportunity to be heard.

Independent writing : Write an essay (300 words minimum) on ONE of the


following questions.

A- We all work or will work in our jobs with many different kinds of people. In your
opinion, what are some important characteristics of a co-worker (someone you work closely
with)? Use reasons and specific examples to explain why these characteristics are important.

OR

B- People work because they need money to live. What are some other reasons that people
work? Discuss one or more of these reasons. Use specific examples and details to support
your answer.
14
Année universitaire
2018-2019

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 2

1er semestre – 2ème session


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : BIOMATERIAUX

Date et heure : lundi 11 février 2019 de 9h à 10h30

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 20

Responsable : Pr. GROSGOGEAT

NE RIEN ECRIRE SUR LE SUJET

Correcteur : B. GROSGOGEAT

1/ Composition et propriétés des résines composites (5 points)

2/ Indications cliniques (5 points)

3/ Précautions d’emploi (5 points)

4/ Perspectives d’optimisation (5 points)


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 2

Epreuve : ECOSYSTEME BUCCAL ET DYSBIOSE

Date et heure : jeudi

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5
Barème : Note sur 15
Responsable : Dr CARROUEL

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

Nom du correcteur : Dr Carrouel

Cas clinique 1. (7 points)

Une patiente âgée de 24 ans consulte pour halitose.


Le questionnaire médical ne révèle aucune pathologie ni aucune prise de médicament.
Des examens complémentaires révèlent :
- une consistance salivaire aqueuse
- un débit salivaire non stimulé de 0,3 mL/min

De manière générale :
1. Quelles sont les causes possibles d’une halitose ? (1,25 points)
2. Quelles sont les bactéries responsables d’halitose ? (1,25 points)
3. Quels sont les gaz buccaux responsables de l’halitose ? Quelle est leur origine ? (1,5
points)
4. Quels sont les facteurs buccaux favorisant l’halitose ? (1 point)

Dans le cas de cette patiente :


5. Décrire vos observations cliniques. (0,5 points)
6. Quel est votre diagnostic étiologique ? (0,75 points)
7. Quels conseils adaptés donnez-vous à cette patiente ? (0,75 points)

1/2
Cas clinique 2. (4 points)

Les parents de ce jeune patient âgé de 4 ans consultent pour raison esthétique. Ils rapportent
que, depuis son entrée à l’école, leur petit dernier est l’objet de moqueries de la part des autres
élèves.
L’enfant est en bonne santé et ne prend aucun traitement.

1. Décrivez vos observations cliniques. (0,5 points)


2. Quelles questions posez-vous aux parents pour comprendre cet état buccal ? (0,75 points)
3. Quel est votre diagnostic étiologique ? (0,75 points)
4. Expliquez les facteurs de risque carieux présentés par le petit patient à ses parents de façon
scientifique et convaincante. (1 point)
5. Quels conseils adaptés donnez-vous aux parents ? (1 point)

Cas clinique 3. (4 points)

Une patiente de 17 ans consulte pour des sensibilités dentaires au froid sur toutes ses dents.
1. Décrire vos observations cliniques. (1 points)
2. Quels sont les grands types d’usure dentaire ? (1 points)
3. Donnez votre hypothèse de diagnostic étiologique pour cette patiente en expliquant le
raisonnement que vous avez suivi. (1,5 points)
4. Quels conseils pouvez-vous lui donner ? (0,5 points)

2/2
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 2

Epreuve : HISTOLOGIE ET HISTOPATHOLOGIE DENTAIRE

Date et heure : Lundi 11 février 2019 : 15h15 – 16h15

Durée : 1h

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 30

Responsable: Pr FARGES

INTITULE DU SUJET D’EXAMEN

QUESTION(S) : FAIRE UNE COPIE SEPAREES POUR LES 2 CORRECTEURS ET


INDIQUER LEURS NOMS SUR CHAQUE COPIE

Question 1 (10 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Légendez le schéma ci-dessous montrant la structure de la dentine sous la jonction


amélodentinaire (pas d’abréviations) :

1 2
4
3
0

10
5

6
7
9

8
Question 2 (6 points – Correcteur Pr J-C. FARGES) :

Décrivez la structure histologique de l’émail de surface d’une dent n’ayant pas fait son
éruption.

Question 3 (3,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez le schéma ci-dessous montrant la réparation du complexe pulpodentinaire (pas


d’abréviations) :

Question 4 (3 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :

Légendez le schéma ci-dessous montrant l’hypothèse hydrodynamique de l’innervation de


la pulpe dentaire (pas d’abréviations) :
Question 5 (7,5 points – Correcteur Dr M. BEKHOUCHE) :
QCMs – Indiquez lisiblement pour chaque QCM la/les lettres (A-E) correspondant aux
affirmations justes (de 1 à 5). Chaque QCM vaut 0,5 point.

QCM 1 : Composition de la pulpe dentaire


A. Les odontoblastes constituent la région la plus périphérique de la pulpe dentaire
B. La couche sous-odontoblastique de Höhl contient de nombreuses cellules indifférenciées
C. La région centrale est riche en capillaires sanguins
D. La couche acellulaire de Weil sépare la région centrale de la couche sous-odontoblastique
E. La couche acellulaire de Weil renferme le plexus de Raschkow

QCM 2 : Les cellules de la pulpe dentaire


A. La couche sous-odontoblastique de Höhl contient des cellules mésenchymateuses
indifférenciées
B. Les odontoblastes de remplacement sont également nommés odontoblastes de troisième
génération
C. La dentine réparatrice est produite par les odontoblastes de première génération pour faire face
à une infection carieuse
D. Les fibroblastes de la pulpe centrale sont reliés entre eux par des jonctions communicantes
E. Les fibrocytes ont une activité métabolique plus importante que les fibroblastes

QCM 3 : Composition de la pulpe dentaire


A. La pulpe dentaire contient une faible quantité de collagène de type II
B. La quantité de collagène de type III est particulièrement importante dans la pulpe dentaire
C. Le versicane est un glycosaminoglycane de haut poids moléculaire
D. La décorine est un protéoglycane de faible poids moléculaire
E. La décorine intervient dans la régulation de la fibrillogenèse du collagène

QCM 4 : Vascularisation
A. Une centaine d’artérioles pénètrent dans la pulpe par le foramen apical à partir des artères
dentaires
B. Un réseau abondant de fin capillaires est présent à la périphérie de la chambre pulpaire
C. Certains capillaires pénètrent dans la couche odontoblastique au début de la formation de la
dentine
D. Les anastomoses artério-veineuses contribuent à la régulation de la pression intrapulpaire lors
des processus inflammatoires
E. Le diamètre des veinules pulpaires est minimal dans les canaux radiculaires et à proximité du
foramen apical

QCM 5 : L’innervation
A. L’hypothèse neurophysiologique propose que les odontoblastes agissent comme des neurones
en transmettant l’information au plexus nerveux sous-odontoblastique
B. L’hypothèse hydrodynamique propose que le liquide interstitiel de la pulpe dentaire active les
fibres nerveuses au niveau de l’apex
C. L’hypothèse odontoblastique propose que les odontoblastes reçoivent, intègrent et transmettent
le signal aux extrémités nerveuses du plexus de Raschkow
D. L’hypothèse neurophysiologique propose que les fibres nerveuses soient directement stimulées
au sein des tubules dentinaires
E. L’hypothèse hydrodynamique propose que le déplacement rapide du fluide intratubulaire induise
l’activation des fibres nerveuses du plexus de Raschkow

QCM 6 : La dentine réactionnelle


A. Est également nommée dentine tertiaire
B. Est divisée en 2 parties la dentine réactionnelle sclérotique et la fibrodentine
C. La dentine réactionnelle sclérotique forme la dentine péripulpaire
D. La dentine réactionnelle sclérotique est fortement minéralisée
E. La dentine réactionnelle sclérotique se forme en réponse à des caries amélo-dentinaires peu
profondes

QCM 7 : La dentine réactionnelle


A. Le collagène ainsi que DSPP constituent des régulateurs majeurs de la formation de dentine
réactionnelle
B. La fibronectine est un facteur de croissance essentiel à l’activation des odontoblastes en
réponse à une infection carieuse
C. Les protéines de la famille du TGF-β sont impliquées dans la formation de dentine réactionnelle
péripulpaire
D. Des protéines de la famille des BMPs sont impliquées dans la formation de dentine sclérotique
E. Les BMPs ont un récepteur de 165 kDa exprimé à la surface des odontoblastes

QCM 8 : La dentine réparatrice


A. Se forme en cas de destruction de la dentine réactionnelle sclérotique
B. La dentine réparatrice est une dentine dite tertiaire
C. La dentine réparatrice est produite par les odontoblastes de troisième génération
D. La dentine réparatrice est produite par les odontoblastes de remplacement
E. La prolifération des cellules de la couche sous-odontoblastique de Höhl est la première étape
de formation de la dentine réparatrice

QCM 9 : La dentine réparatrice


A. La dentine réparatrice se forme après la nécrose des odontoblastes en regard de la lésion
carieuse
B. La fibrodentine est produite par les odontoblastes de remplacement
C. La fibrodentine contient de la fibronectine
D. La fibrodentine joue un rôle similaire à celui des fibrilles d’ancrages de l’épithélium dentaire
interne
E. Si des inclusions cellulaires sont observées dans la fibrodentine on parlera alors d’ostéodentine

QCM 10 : La dentine réparatrice


A. L’orthodentine est produite par les odontoblastes de remplacement
B. Les odontoblastes de remplacement ont un aspect cylindrique
C. Les cellules ectomésenchymateuses de la couche de Höhl interagissent avec la fibrodentine
pour se différencier en odontoblastes de deuxième génération
D. Les prolongements des odontoblastes de remplacement sont parallèles les uns aux autres
E. Les prolongements des odontoblastes de remplacement sont plus courts que ceux des
odontoblastes de première génération
QCM 11 : Stratégies appliquées à la médecine régénérative
A. La transplantation de cellules allogéniques vise à extraire les cellules d’un patient puis à lui
greffer ces mêmes cellules ultérieurement
B. La thérapie cellulaire cherche à recruter des cellules de l’hôte par l’intermédiaire de molécules
chimiques ou biologiques
C. La reconstruction d’une dent entière avec son parodonte in vitro est une stratégie envisagée
dans le cadre de la dentisterie régénérative
D. La régénération endodontique a pour but la re-création d’un tissu pulpaire
E. La régénération endodontique a pour objectif le remplacement d’une dent cariée par une dent
reconstruite in vitro

QCM 12 : Avantages/inconvénients de la régénération endodontique


A. La régénération endodontique est une stratégie économiquement avantageuse
B. les traitements actuels d’une pulpectomie conduisent à la formation d’une dent « morte »
C. La régénération endodontique diminue le risque d’allergies et d’inflammation péri-apicale par
comparaison aux traitements actuels
D. La régénération endodontique conduit à la régénération d’un dent « vivante » mais incapable de
se défendre face aux agressions bactériennes futures
E. La régénération endodontique basée sur la thérapie cellulaire conduirait à la formation de
néodentine

QCM 13 : Cellules souches


A. Les cellules souches adultes sont pluripotentes et donc capables de se différencier en différents
types cellulaires
B. Les cellules de la couche sous-odontoblastique de Höhl sont unipotentes et forment les
odontoblastes de remplacement
C. Les cellules de la couche sous-odontoblastique de Höhl sont également nommées SCAPs
D. Les DPSCs sont des cellules d’origine mésenchymateuse
E. Les DPSCs sont capables de se différencier en lymphocytes T

QCM 14 : Les cellules souches


A. Les cellules souches de la pulpe dentaire sont faciles à isoler par adhésion différentielle
B. La grande plasticité des cellules souches de la pulpe dentaire signifie qu’elles sont capables
d’adapter leur forme à la matrice 3D environnante
C. Les cellules souches de la pulpe dentaire sont multipotentes
D. Les cellules souches de la pulpe dentaire sont capables de se différencier en adipocytes
E. L’utilisation des cellules souches de la pulpe dentaire fait face à des problèmes de bioéthique

QCM 15 : Les cellules souches et la régénération endodontique


A. Les cellules souches de la moelle osseuse prolifèrent plus rapidement que celles de la pulpe
dentaire
B. La régénération endodontique est moins compliquée que pour la régénération d’autres tissus
car l’endodonte ne subit pas de pression
C. Les molécules bioactives utilisées pour la régénération endodontique ont une durée de vie de
plusieurs jours
D. Un problème à résoudre pour la régénération endodontique est la difficulté d’obtenir des
cellules souches de pulpe dentaire
E. L’amélioration des procédures de désinfection constitue une thématique de recherche actuelle
pour la régénération endodontique
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : ODONTOLOGIE CONSERVATRICE

Date et heure : Lundi 11 février 2019 : 13h30 – 15h00

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 15

Responsable : Dr LUCCHINI

NE RIEN ECRIRE SUR LE SUJET

QUESTION 1 (5 points – correcteur Dr Marion LUCCHINI)

Décrire le protocole opératoire des systèmes adhésifs SAM2. Quels sont leurs
avantages ?

QUESTION 2 (10 points – correcteur Dr Marion LUCCHINI)

Donner le cahier des charges idéal d’un biomatériau de restauration coronaire, en


expliquant l’intérêt de chaque propriété.
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
Année universitaire 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 1 – SESSION 2


Epreuve : PROTHESES

Date et heure : Lundi 11 février 2019, 9h – 10h30

Durée : 1h30

Coefficient : 2

Barème : Note sur 30

Responsables : Dr VIENNOT et Dr DUCRET

NE RIEN ECRIRE SUR LE SUJET

QUESTIONS 1 et 2 : (Dr DUCRET) Sont à répondre sur une copie d’examen séparée

QUESTION 3 : (Dr VIENNOT) Est à répondre sur copie d’examen séparée

Question 1 (10 points - Dr Ducret) :

La CFAO directe : faire un schéma et un résumé de 5 à 10 lignes

Question 2 (10 points - Dr Ducret) :

Expliquez les concepts de gradient thérapeutique et d’économie tissulaire en 10-15 lignes

Question 3 (10 points - Dr Viennot) :

Dans le cadre d’une préparation dentaire d’une prémolaire 14 pour la réalisation d’une
prothèse fixée unitaire, une limite cervicale de type épaulement peut être envisagée par le
praticien.

1/ Précisez la ou les indication(s) respective(s) de cette limite

2/ Réaliser un schéma légendé d’une dent 14 préparée comme décrite ci-dessus, en


coupe vestibulo-linguale
Année universitaire
2018-2019

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 2

2ème semestre – 1ère session


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : AFGSU

Date et heure : Lundi 29 avril 2019 de 14h45 à 15h45

Durée : 1h

Coefficient : 1

Barème : Note sur 20

Responsable: Dr LAFON

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Enoncé
Vous commencez une extraction dentaire sous anesthésie locale de la dent 46 chez un homme de 68 ans,
dont le principal antécédent est une coronaropathie traitée par bêta-bloquant, aspirine, statine, et anti-
hypertenseur de type IEC. Quelques secondes après l’injection de l’anesthésique local, qui a été assez
douloureuse, le patient se lève du fauteuil en vous disant d’une voix étouffée « ça ne va pas, donnez-moi à
boire, j’ai la tête qui tourne, je vais mourir… ». Vous l’asseyez rapidement à nouveau sur le fauteuil
d’examen. Quelques secondes plus tard, il ne réagit plus.

Question(s) : (correcteur : Pr RIMMELE)

1) Que devez-vous faire immédiatement ? (3 points)


2) Le patient respire difficilement et bruyamment. Décrivez rapidement les gestes que vous entreprenez,
dans l’ordre dans lequel vous les réalisez, en justifiant. (6 points)
3) Citez au moins 4 causes à évoquer systématiquement dans ce cas. (6 points)

Suite de l’énoncé
Quelques minutes plus tard, votre assistante, venue vous aider, constate que le patient ne respire plus.

Question(s) : (correcteur : Pr RIMMELE)

4) Quel diagnostic portez-vous ? (2 points)


5) Quelles sont vos actions en conséquence ? (3 points)
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1

Epreuve : ANATOMIE TETE ET COU


(Responsable : Dr Veyre)

Date et heure : Mardi 30 avril 2019 de 9h15 à 10h45

Coefficient : 1,5

CONSIGNES :

La question 1 (Dr C. DESBOIS) est à répondre sur une copie d’examen


séparée
Les questions 2 et 3 (Dr S. SAUTEL) sont à répondre sur une copie d’examen
séparée
Les questions 4 et 5 (Dr S. SAUTEL) et les questions 6 et 7 (Dr S. VEYRE) sont
à répondre directement sur les feuilles imprimées qui sont à rendre à la fin de
l’épreuve
___________________________________________________________________________

COPIE 1 :
Question N°1 : (6 points) Dr C. Desbois

Classifications anatomique et fonctionnelle des nerfs crâniens

COPIE 2 :
Question N°2 : (4,25 points) Dr L. Sautel

Décrire les surfaces articulaires de l’articulation-temporo-mandibulaire

Question N°3 : (1,25 points) Dr L. Sautel

Le muscle buccinateur : insertion, trajet, terminaison, action et innervation


ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON 1)
___________
Ne rien écrire ici FACULTE D’ODONTOLOGIE

Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr SAUTEL

Ne rien écrire ici Question N°4 : (2,75 points) Dr L. Sautel

Remplir le tableau ci-dessous avec le titre et les légendes du schéma N°1

TITRE

J
ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON 1)
___________
Ne rien écrire ici FACULTE D’ODONTOLOGIE

Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr SAUTEL

Ne rien écrire ici Question N° 5: (3,75 points) Dr L. Sautel

Remplir le tableau ci-dessous avec le titre et les légendes du schéma N°2

TITRE

N
ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON
1)
Ne rien écrire ici ___________
FACULTE D’ODONTOLOGIE
Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr VEYRE

Ne rien écrire ici Question N° 6: (7,25 points) Dr S. Veyre


Remplir le tableau ci-dessous avec le titre et les légendes du schéma N°3

TITRE

1 15

2 16

3 17

4 18

5 19

6 20

7 21

8 22

9 23

10 24

11 25

12 26

13 27

14
Ne rien écrire ici ACADEMIE DE LYON – UNIVERSITE CLAUDE BERNARD
(LYON1)
___________
FACULTE D’ODONTOLOGIE
Nom : Prénoms :
Epreuve de : ANATOMIE DE LA TETE ET DU COU
Correcteur : Dr VEYRE

Ne rien écrire ici Question N° 7: (4,75 points) Dr S. Veyre

Remplir le tableau ci-dessous avec le titre et les légendes du schéma N°4

TITRE

10

11

12

13

14

15

16

17
Schéma N°1 (L. Sautel)

Schéma N°2 (L. Sautel)


Schéma N°3 (S. Veyre)
Schéma N°4 (S. Veyre)
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : HISTOLOGIE GENERALE

Date et heure : Mardi 30 avril 2019 de 8h à 9h

Durée : 1h

Coefficient : 1

Barème : Note sur 10

Responsable: Pr NATAF

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Pour chaque question, réaliser un schéma légendé accompagné le cas échéant d’un court
texte explicatif (2,5 points par question ; correcteur : Pr Serge NATAF)

Question N°1 : les glandes fundiques

Question N°2 : la niche ostéoblastique des cellules souches hématopoïétiques

Question N°3 : cortex hippocampique et mémoire

Question N°4 : les follicules thyroïdiens


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : IMAGERIE MEDICALE

Date et heure : Lundi 29 avril 2019 de 16h à 17h

Durée : 1h

Coefficient : 1

Barème : Note sur 15

Responsable: Dr FORTIN

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Correcteur : Dr FORTIN

Question 1 : (sur 7,5 points)

Quelle est la différence entre le CBCT (tomographie à faisceau conique) et la


panoramique ? mode d’acquisition, mode de lecture des images.

Question 2 : (sur 7,5 points)

Un patient présente une douleur à la pression sur la 16. En bouche il n’y a rien
de particulier à noter en regard de cette dent. A la rétroalvéolaire vous ne voyez
rien si ce n’est un traitement endodontique radiologiquement parfait (3 canaux
obturés jusqu’à l’apex).
Quel autre examen radiologique pouvez-vous envisager et que peut-il révéler qui
puisse expliquer les signes cliniques.
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : IMMUNOLOGIE GENERALE ET DENTAIRE

Date et heure : Lundi 29 avril 2019 de 13h à 14h30

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 15

Responsable: Dr THIVICHON

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Question 1 (5 points):

Expliquez pourquoi la réponse immunitaire innée est nécessaire à l’initiation de la réponse


spécifique.

Question 2 (5 points):

A l’aide d’un tableau, comparez l’immunisation passive et l’immunisation active

Question 3 (5 points):

Décrivez la composante vasculo-nerveuse de la réponse inflammatoire pulpaire en réponse à une


lésion carieuse
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : INFECTIOLOGIE

Date et heure : Lundi 29 avril 2019 de 8h à 10h

Durée : 2h

Coefficient : 2

Barème : Note sur 20

Responsable et correcteur : Dr CARROUEL

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Question 1. Cours « Les infections microbiennes » (3 points)


a. Définir une maladie de type « épizootique ».
b. Pourquoi la grippe a été très meurtrière en 2014-2015 ?

Question 2. Cours « Légionella et Légionellose » (3 points)


a. Citer les facteurs de risque de légionellose contractée en communauté ou lors d’un voyage.
b. A propos d’un cas de légionellose : exposer l’article « Fontaines réfrigérantes : enquête autour d’un
cas de légionellose » de Tiev et collaborateurs et donner deux autres exemples de légionelloses dues
à l’environnement.

Question 3. Cours « Tuberculose, Lèpre et « Mycobactérioses atypiques » (3 points)


a. Après avoir définit le lipotourisme, vous expliquerez les risques qui en découlent.

Question 4. Cours « Les Hépatites virales » (3 points)


a. Quels sont les modes de transmission de l’hépatite B ?
b. Vaccin de l’hépatite B : Controverse ? Immunisation ?

Question 5. Cours « Les Herpèsvirus » (3 points)


a. Epstein-Barr Virus : mononucléose, lymphome de Burkitt, carcinome nasopharyngé. Décrire les
différences entre ces 3 maladies. Comment un virus peut-il être à l’origine de 3 maladies
différentes ?

Question 6. Cours « Maladies à Prions » (2 points)


a. Scrapie : Décrire la maladie et les craintes actuelles

Question 7. Cours « Virus de l’Immunodéficience Humaine » (3 points)


a. Représenter graphiquement l’évolution de la charge virale, du taux de lymphocytes CD4+ et des
anticorps anti-HIV en fonction de la phase d’infection.
b. Le SIDA fait-il toujours aussi peur ? Pourquoi ? Quelles conséquences sur la prévention ?
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : NEUROPHYSIOLOGIE

Date et heure : Lundi 29 avril 2019 de 10h15 à 11h45

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 30

Responsable: Pr ROBIN

Correcteur : Pr ROBIN (50 QCM)

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET


Cocher sur la grille de réponse :
- A si seule la proposition A est vraie
- B si seule la proposition B est vraie
- C si les propositions A et B sont vraies
- D si les propositions A et B sont fausses

1 – Le cerveau humain :
A – a un poids moyen d’environ 1400 g
B – consomme 2% de l’énergie alimentaire
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

2 – Le cône axonal est le lieu de genèse des potentiels d’action sur le neurone car c’est la région qui
présente :
A – le seuil d’excitabilité le plus élevé
B – la plus grande densité en canaux sodiques voltage-dépendants
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

3 – La myélinisation des fibres nerveuses périphériques est assurée par :


A – les oligodendrocytes
B – les astrocytes
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses
1
4 – La valeur du potentiel de membrane du neurone dépend :
A – de la concentration extracellulaire en Na+
B – de la perméabilité de la membrane au Na+
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

5 – Le potentiel de membrane du neurone au repos :


A – a une valeur proche de la valeur du potentiel d’équilibre du K+
B – favorise une sortie d’ions K+ sous l’effet du gradient de concentration
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

6 – La phase ascendante du potentiel d’action correspond à :


A – une augmentation de la conductance sodique
B – une diminution de la conductance potassique
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

7 – Le système nerveux central est renseigné sur l’intensité d’un stimulus par :
A – l’amplitude des potentiels d’action
B – la fréquence des potentiels d’action
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

8 – La sclérose en plaques :
A – est provoquée par une dégénérescence de la gaine de myéline
B – ne concerne pas les neurones médullaires
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

9 – Les anesthésiques locaux :


A – exercent un effet inhibiteur sur les canaux Na+
B – agissent principalement sur les fibres de gros diamètre (A beta)
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

10 – Le GABA :
A – se fixe sur les récepteurs NMDA
B – favorise l’hyperexcitabilité (sensibilisation) des neurones nociceptifs
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

2
11 – Le thé et le café :
A – sont des antagonistes des récepteurs purinergiques
B – exercent une action vasodilatatrice au niveau rénal
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

12 – La dépolarisation de la membrane post-synaptique est obtenue :


A – par une entrée de Na+ dans le neurone post-synaptique
B – par une sortie de K+ du neurone post-synaptique
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

13 – Les récepteurs cholinergiques muscariniques sont :


A - présents au niveau de la plaque motrice
B - bloqués par l’atropine
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

14 – Les voies centrales noradrénergiques sont impliquées dans :


A – la maladie de Parkinson
B – la maladie d’Alzheimer
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

15 – Les médicaments qui inhibent la recapture de la sérotonine sont indiqués dans le traitement de :
A – la maladie de Parkinson
B – la dépression
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

16 – Lors du phénomène de transduction, la genèse du potentiel de récepteur peut s’effectuer au niveau :


A – de la fibre nerveuse afférente
B – de la cellule réceptrice
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

17 - Les récepteurs à adaptation lente sont :


A – couplés à des fibres à conduction lente
B – des récepteurs toniques
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

3
18 – Le bulbe rachidien est rattaché au :
A – diencéphale
B – myélencéphale
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

19 – Le corps calleux relie les deux hémisphères :


A – cérébraux
B – cérébelleux
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

20 - Les sujets fronto-lésés :


A – décèdent rapidement après la lésion
B – présentent des troubles de l’affectivité
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

21 – Les noyaux gris centraux sont essentiellement impliqués dans :


A – le contrôle de la motricité automatique
B – la régulation de la température corporelle
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

22 – Au niveau du thalamus, les relais des voies sensitives sont les noyaux :
A – ventro-postérieurs
B – ventro-médians
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

23 – L’hypothalamus est essentiellement impliqué dans le contrôle :


A – de la motricité involontaire
B – de la régulation des niveaux de vigilance
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

24 – L’amygdale est une structure :


A – appartenant au système limbique
B – impliquée dans les processus émotionnels
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

4
25 – Le bulbe rachidien contient :
A – les fibres motrices cortico-spinales
B – le noyau moteur du V
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

26 – La substance noire est :


A – située au niveau du tronc cérébral
B – connectée au striatum par une voie dopaminergique
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

27 - Le paléocervelet :
A – correspond anatomiquement aux hémisphères cérébelleux
B – a un rôle essentiel dans la coordination motrice
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

28 – Le corps cellulaire des nerfs rachidiens sensitifs se situe au niveau :


A – de la substance grise de la corne dorsale médullaire
B – des ganglions rachidiens
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

29 - Les voies de la sensibilité tactile épicritique :


A – cheminent au sein du cordon postérieur de la substance blanche médullaire
B – sont constituées de fibre A beta
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

30 – L’aire somesthésique primaire SI :


A – correspond aux aires 5 et 7 de Brodmann
B – est particulièrement étendue pour la représentation de la face et de la main
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

31 – Les voies de la proprioception consciente :


A – se projettent sur les hémisphères cérébelleux
B – sont à l’origine de l’intégration corticale du schéma corporel
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

5
32 – Le faisceau spino-thalamique :
A – contient les fibres de la sensibilité douloureuse
B – est principalement constitué de fibres myélinisées de gros diamètre
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

33 - Les fibres du fuseau neuromusculaire sont innervées par :


A – des motoneurones alpha
B – des fibres sensitives A alpha
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

34 – Le réflexe rotulien :
A – est un exemple de réflexe myotatique inverse
B – provoque la flexion de la jambe
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

35 - Le réflexe myotatique inverse :


A – est déclenché par l’activation des fuseaux neuromusculaires
B – a une finalité protectrice pour le muscle concerné
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

36 – Les motoneurones gamma :


A - provoquent la contraction des fibres extrafusales
B – sont contrôlés par la formation réticulée
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

37 – Le tonus des muscles posturaux est essentiellement contrôlé par :


A – la formation réticulée (voies réticulo-spinales)
B – le cortex moteur primaire (voies cortico-spinales)
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

38 - Les noyaux gris centraux :


A – sont impliqués dans le contrôle de la motricité automatique
B – exercent une influence inhibitrice sur le tonus musculaire
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

6
39 – Les muscles faciaux :
A – sont commandés directement par les motoneurones issus du cortex moteur primaire
B – ont une large représentation à la surface du cortex moteur primaire
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

40 – La voie motrice cortico-spinale :


A – est composée de deux faisceaux
B – dont un seul croise la ligne médiane
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

41 – La zone médiane (intermédiaire) des hémisphères cérébelleux est essentiellement impliquée dans le
contrôle de la musculature :
A – posturale, automatique
B – distale, volontaire
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

42 – Les neurones préganglionnaires du système nerveux orthosympathique sont principalement issus :


A – de la moelle dorsale
B – de la moelle sacrée
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

43 – Le SNA parasympathique a un effet excitateur sur :


A – le coeur
B – la musculature lisse intestinale
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

44 – La dilatation de la pupille peut être obtenue par un agent :


A - sympathicolytique
B - parasympathicomimétique
C - les 2 propositions A et B sont vraies
D - les 2 propositions A et B sont fausses

45 - La mise en jeu du système nerveux orthosympathique :


A – permet la reconstitution des réserves énergétiques de l’organisme
B – favorise une hyperglycémie
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

7
46 – La sécrétion du cortisol suit un rythme :
A – circadien
B – mensuel
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

47 – L’hormone antidiurétique (ADH) :


A – est sécrétée par la neurohypophyse
B – favorise une rétention hydrosodée au niveau rénal
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

48 – L’ACTH (corticotrophine) :
A – est sécrétée par l’antehypophyse
B – déclenche la sécrétion des hormones glucocorticoïdes
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

49 – La sécrétion des hormones thyroïdiennes :


A – est déclenchée par l’ACTH
B – favorise une augmentation du métabolisme basal
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

50 – La phase de résistance du stress se traduit principalement par une sécrétion :


A – d’adrénaline
B – de cortisol
C – les 2 propositions A et B sont vraies
D – les 2 propositions A et B sont fausses

8
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON

ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 1


Epreuve : PHYSIOLOGIE ORO-FACIALE

Date et heure : Mardi 30 avril 2019 de 11h à 12h30

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 30

Responsable: Pr ROBIN

Correcteur : Pr ROBIN (50 QCM)

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Cocher sur la grille de réponse :


- A si seule la proposition A est vraie
- B si seule la proposition B est vraie
- C si les propositions A et B sont vraies
- D si les propositions A et B sont fausses

1 – Le noyau spinal du V est le lieu de relais des informations :


A – proprioceptives oro-faciales
B – tactiles orofaciales
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

2 – Le nerf ophtalmique (V1) :


A – commande les muscles du globe oculaire
B – est à l’origine du réflexe cornéen
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses
3 – Le nerf facial est :
A – sensitif pour le revêtement cutané facial
B – moteur pour les muscles masticateurs
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

1
4 – Le nerf glossopharyngien (IX) :
A – participe à l’innervation motrice des muscles constricteurs du pharynx
B – est sensitif pour le tiers postérieur de la langue
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

5 – Les glandes salivaires suivantes sont des glandes mixtes :


A – submandibulaires
B – parotides
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

6 – La sécrétion salivaire de repos assurée par les glandes submandibulaires représente environ :
A – 20% de la sécrétion salivaire totale
B – 70% de la sécrétion salivaire totale
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

7 – Les ions bicarbonates :


A – sont à l’origine du pouvoir tampon de la salive
B – grâce à une concentration élevée dans la salive primaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

8 – Les mucines salivaires :


A – confèrent à la salive son pouvoir lubrifiant
B – assurent la protection de la muqueuse buccale
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

9 – La formation de la salive primaire correspond essentiellement à :


A – une filtration de NaCl et d’eau dans la lumière acinaire
B – une réabsorption de NaCl à partir de la lumière acinaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

10 – Les influx parasympathiques déclenchent la sécrétion d’une salive :


A – abondante et aqueuse
B – peu abondante et visqueuse
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

2
11 – La saveur acide est capable de déclencher une salivation réflexe grâce à :
A – des connexions entre le noyau du faisceau solitaire et les noyaux salivaires
B – l’activation des mécanorécepteurs desmodontaux
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

12 – La xérostomie :
A – survient généralement lors d’une baisse du débit salivaire de 40 à 50%
B – est plus fréquente chez la femme que chez l’homme
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

13 – La perception de l’arôme d’un aliment (ex : chocolat) :


A – résulte de l’activation des récepteurs olfactifs par voie rétronasale
B – est favorisée par la température intrabuccale
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

14 – L’innervation des bourgeons gustatifs des papilles caliciformes emprunte le trajet :


A – du nerf lingual
B – de la corde du tympan
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

15 – Le noyau du faisceau solitaire est :


A – le premier relais des afférences gustatives périphériques
B – à l’origine de connexions avec les noyaux salivaires
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

16 – La reconnaissance de la nature des saveurs implique des voies nerveuses qui se projettent sur :
A – l’hypothalamus latéral
B – le noyau VPM du thalamus
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

17 – La transduction des saveurs organiques (sucré, umami, amer) implique :


A – l’activation d’une protéine G
B – la mise en jeu des cellules de type I
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

3
18 – L’addiction au chocolat peut s’expliquer par :
A – la libération intracérébrale d’opiacés endogènes
B – le blocage des récepteurs morphiniques par le chocolat
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

19 – Le diagnostic d’un trouble du goût nécessite :


A – une exploration de la fonction olfactive
B – un examen bucco-dentaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

20 – Chez les carnivores, l’anatomie de l’ATM permet des mouvements mandibulaires :


A – uniquement verticaux (ouverture – fermeture)
B – latéraux
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

21 – L’intensité des forces masticatrices physiologiques :


A – est de l’ordre de 20 à 30% des forces de morsure maximales
B – dépend de la dureté du bol alimentaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

22 – La forme des cycles masticateurs :


A – est invariable au cours d’une même séquence masticatrice
B – est indépendante de la morphologie occlusale
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

23 – Les influx périphériques issus des mécanorécepteurs de la cavité buccale :


A – sont indispensables au déclenchement de l’activité rythmique des muscles masticateurs
B – permettent de moduler l’intensité des forces masticatrices en fonction de la texture du bol
alimentaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

24 – La maturation de l’innervation desmodontale :


A – est achevée à la naissance
B – se poursuit jusqu’à l’apparition des contacts occlusaux
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

4
25 – Le champ récepteur des mécanorécepteurs desmodontaux :
A – est strictement limité à la dent concernée
B – s’étend aux dents adjacentes à la dent concernée
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

26 – Au cours de la mastication, les forces masticatrices activent préférentiellement les mécanorécepteurs


desmodontaux à adaptation :
A – lente
B – rapide
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

27 – La capacité de discrimination de l’épaisseur d’un objet est identique :


A – entre des couronnes sur dents naturelles et des couronnes sur implants
B – entre des dents pulpées et dépulpées
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

28 - Les récepteurs préférentiellement impliqués dans la discrimination de l’épaisseur d’objets de grande


taille (> 5mm) sont les récepteurs :
A – desmodontaux
B – musculaires
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

29 – Le « coup de piston lingual » qui permet la propulsion du bol alimentaire de la cavité buccale vers le
pharynx nécessite :
A – la contraction des muscles élévateurs de la mandibule
B – le relâchement du muscle mylohyoïdien
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

30 – Lors du temps pharyngien de la déglutition, la fermeture des voies aériennes supérieures s’obtient
par :
A – la contraction des muscles releveurs et tenseurs du voile du palais
B – la contraction des piliers postérieurs du voile
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

5
31 – Le centre bulbaire de la déglutition est :
A – localisé au sein de la formation réticulée
B – capable de moduler la puissance de contraction des muscles déglutiteurs
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

32 – Les forces occlusales qui s’exercent lors du temps buccal de la déglutition représentent une durée
cumulée d’environ :
A – 10 à 15 minutes par 24h
B – 40 à 45 minutes par 24h
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

33 – La déglutition atypique (ou dysfonctionnelle) est caractérisée par :


A – l’absence d’appui lingual antérieur
B – l’interposition de la langue entre les arcades dentaires
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

34 – La position mandibulaire de repos est essentiellement déterminée par :


A – la viscoélasticité des tissus périmandibulaires
B – le réflexe myotatique trigéminal
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

35 – Le tonus des muscles élévateurs de la mandibule :


A – est contrôlé par la formation réticulée
B – augmente sous l’effet du stress
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

36 – L’espace libre d’inocclusion diminue :


A – lors du sommeil profond
B – en position d’extension de la tête
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

37 – La fréquence de la voix :
A – dépend de la longueur de la portion vibrante des cordes vocales
B – est plus élevée chez la femme que chez l’homme
C - les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

6
38 – La prononciation des voyelles et consonnes « nasales » nécessite :
A – le relâchement du voile du palais
B – l’élévation du voile du palais contre la paroi pharyngée postérieure
C - les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

39 – L’innervation sensitive oro-faciale est très majoritairement assurée par :


A – le nerf facial
B – le nerf trijumeau
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

40 – La sensibilisation des nocicepteurs favorise le développement :


A – d’une inflammation neurogène
B – d’une hyperalgésie primaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

41 – Les afférences nociceptives oro-faciales se projettent principalement au niveau :


A – du sous-noyau caudal
B – du sous-noyau interpolaire
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

42 – Les neurones nociceptifs « non – spécifiques » sont :


A – localisés au niveau des couches superficielles (I, II) du sous-noyau caudal
B – à l’origine des douleurs référées
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

43 – La capacité de localiser la douleur est possible grâce à la projection des fibres de la douleur au niveau :
A – du cortex préfrontal
B – du cortex cingulaire antérieur
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

44 – Les endomorphines ont une action analgésique puissante car :


A – elles sont capables d’activer les systèmes inhibiteurs descendants de la douleur au niveau de la
substance grise périaqueducale
B – elles bloquent l’action de la morphine
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

7
45 – Les douleurs neuropathiques sont provoquées par :
A – une stimulation intense des nocicepteurs
B – une lésion des fibres nerveuses périphériques
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

46 – Les douleurs dites « idiopathiques » :


A – se manifestent sans cause organique évidente
B – surviennent souvent dans un contexte psychologique perturbé (anxiété, dépression)
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

47 – La douleur pulpaire inflammatoire (pulpite) résulte de l’activation majoritaire :


A – des fibres A delta
B – des fibres C
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

48 – Les médiateurs de l’inflammation sont algogènes lorsqu’ils sont placés au contact :


A – de la dentine superficielle
B – de la pulpe
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

49 – L’odontoblaste est candidate à un rôle de cellule sensorielle car :


A – sa membrane possède des canaux ioniques mécanosensibles
B – elle effectue des synapses chimiques avec les fibres nerveuses pulpaires
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

50 – La théorie hydrodynamique de la sensibilité dentinaire :


A – fait intervenir l’activation des fibres C pulpaires
B – est incompatible avec la théorie odontoblastique
C – les deux propositions A et B sont vraies
D – les deux propositions A et B sont fausses

8
Année universitaire
2018-2019

Université Lyon 1
Faculté d’odontologie

FGSO 2

2ème semestre – 2ème session


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : AFGSU Niveau 1

Date et heure : lundi 24 juin de 8h30 à 9h30

Durée : 1h

Coefficient : 1

Barème : Note sur 20

Responsable: Dr LAFON

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Correcteur : Dr LILOT

Question 1 : (/6 points)


Concernant l’expérience de la parabole du bon samaritain :
Précisez succinctement les résultats de cette expérience, l’impact potentiel de ces résultats sur la
prise en charge potentielle des secouristes en situation Geste et Soins d’Urgence, en proposant des
exemples illustratifs précis et contextualisés.

Question 2 : (/7 points)


Vous proposerez des stratégies de protection possibles et réalistes pour les secouristes afin de lutter
contre les effets négatifs potentiels (tirés de cette expérience) et gênant la prise en charge des
secours.

Question 3 : (/7 points)

Vous rappellerez les objectifs de compétences concernant les attitudes/comportement nécessaire


pour les secouristes en illustrant si possibles avec des exemples concrets.
FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : HISTOLOGIE GENERALE

Date et heure : lundi 24 juin de 8h30 à 9h30

Durée : 1h

Coefficient : 1

Barème : Note sur 10

Responsable: Pr NATAF

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Question(s) : 2,5 points par question ; correcteur : Pr Serge NATAF


Pour chaque question, réaliser un schéma légendé accompagné le cas échéant d’un court texte
explicatif

Question N°1 : les glandes fundiques

Question N°2 : les follicules lymphoïdes secondaires

Question N°3 : nerf rachidien et nerf périphérique

Question N°4 : le système hypothalamo-hypophysaire


FACULTE D’ODONTOLOGIE DE LYON
ANNEE UNIVERSITAIRE 2018-2019

FGSO2 – SEMESTRE 2 – SESSION 2


Epreuve : IMMUNOLOGIE GENERALE ET DENTAIRE

Date et heure : Lundi 24 juin de 9h45 à 11h15

Durée : 1h30

Coefficient : 1,5

Barème : Note sur 15

Responsable: Dr THIVICHON

NE RIEN ECRIRE SUR CE SUJET

Question 1 : (5 points)

Vous suivez au niveau dentaire depuis plusieurs années une patiente et une relation de confiance
s’est instaurée. Elle est enceinte et sait qu’elle devra faire vacciner son nourrisson contre
l’hépatite B mais elle est très réticente. Qu’allez-vous lui répondre et avec quels arguments ?

Question 2 : (5 points)

Citez les acteurs impliqués dans l’HS de type 1 et leurs rôles.

Question 3 : (5 points)

Expliquez le rôle des odontoblastes dans l’initiation de la réponse pulpaire


UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON 1) 2018-2019
Ne rien FACULTE D’ODONTOLOGIE – FGSO2 – 2 ème
Session
écrire ici
NOM DE L’EPREUVE : INFECTIOLOGIE
DUREE : 2H00
COEFFICIENT: 2
NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr CARROUEL
Nom :…………………… Prénom :……………….

Ne rien
écrire ici ATTENTION : IL EST INTERDIT DE DISSOCIER
LES PAGES DE CE DOCUMENT

Toutes vos réponses doivent être notées dans la grille ci-jointe.


Chaque réponse est notée sur 0.285 points.

Cours Légionellose
Question 1. Concernant les formes cliniques de légionellose, compléter le tableau ci-dessous
(chaque numéro correspond à une réponse) :

Maladie du Fièvre de
légionnaire Pontiac
Taux de mortalité Réponse 1 Réponse 2
Temps d’incubation Réponse 3 Réponse 4
Nature des symptômes Réponse 5 Réponse 6
Symptômes pulmonaire Réponse 7
Symptômes rénaux Réponse 8
Symptômes hépatiques Réponse 9
Symptômes digestifs Réponse 10
Symptômes au niveau du Réponse 11
Système nerveux central
Question 2. Citer 3 antibiotiques prescrits en cas de légionelloses communautaires peu sévères.
Réponses 12, 13 et 14

Question 3. Citer le nom du réseau européen de surveillance des légionelloses acquises lors des
voyages (Réponse 15) et donner sa signification (Réponse 16).

Question 4. Concernant les concentrations des légionelles dans l’eau, indiquer les concentrations
correspondantes :
Seuil: Réponse 17
Niveau d’alerte: Réponse 18
Niveau d’action: Réponse 19

Cours Tuberculose
Question 5. Citer 6 caractéristiques des mycobactéries.
Réponses 20, 21, 22, 23, 24, et 25

Question 6. Citer les 2 éléments constituant la structure chimique du Cord-factor ?


Réponses 26 et 27
Question 7. Citer le rôle du Cord-factor ?
Réponse 28

Question 8. Quelle proportion de la population mondiale est affectée par la tuberculose ?


Réponse 29

Question 9. Citer 2 conséquences de la tuberculose sur le VIH ?


Réponse 30

Question 10. Quel est le nom du test immunologique utilisé pour diagnostiquer une tuberculose ?
Réponse 31

Question 11. Que détecte ce test ?


Réponse 32

Question 12. Quelle est la durée d’un traitement curatif de la tuberculose ?


Réponse 33

Question 13. Citer le nom des antibiotiques utilisés durant les 2 premiers mois ?
Réponses 34 et 35

Cours Hépatites
Question 14. Indiquer le virus de l’hépatite correspondant à chacun des schémas ci-dessous.

Réponse 36 Réponse 37 Réponse 38 Réponse 39

Question 14. Quelle est la température (Réponse 40) et la durée (Réponse 41) nécessaire pour
inactiver le virus de l’hépatite A ?

Question 15. Concernant l’hépatite B, compléter le schéma ci-dessous :

Les paramètres requis sont manquants ou erronés.

Réponse 42

Réponse 43
44550
Réponse 44

Réponse 45
Question 16. Quelle forme d’hépatite observe-t-on en cas de co-infection VHB-VHD ?
Réponse 46

Question 17. Quelle forme d’hépatite observe-t-on en cas de co-infection VHB-VHD ?


Réponse 47

Question 18. Concernant la sérologie lors d’une infection à VHC, indiquer à quoi correspond
chacune des courbes sur la figure ci-dessous :

Réponse 50
48

Réponse 51
49

Cours Herpès

Question 19. Indiquer le tropisme de chacun des virus cités ci-dessous :


q HSV1, HSV2 , VZV :
Réponses 50 et 51

q EBV, HHV6, HHV7, CMV :


Réponses 52, 53 et 54

q HHV8 :
Réponses 55 et 56

Question 20. Citer 2 antiviraux utilisés en cas d’infection à HHV3


Réponses 57 et 58

Question 21. Citer 2 maladies malignes associées à HHV4


Réponses 59 et 60

Question 22. Citer 3 signes cliniques du syndrome mononucléosique.


Réponses 61, 62 et 63

Cours Maladies à prion

Question 23. Décrire la conformation dans l’espace (structure 3D) de la protéine PrPc.
Réponse 64

Question 24. Décrire la conformation dans l’espace (structure 3D) de la protéine PrPSc.
Réponse 65
Question 26. Compléter le tableau ci-dessous concernant les différentes formes de maladies à
prion

Formes sMCJ gMCJ MCJ acquises


caractéristiques
Réponse 66 variante Kuru

Transmission Réponse héréditaire Réponse 68 Réponse 69 Rites


67 funéraires

Age au début de la 65 ans 52 ans 30 ans 28 ans Réponse


maladie 70

Evolution de la 6 mois Réponse 71 16 mois 18 mois 14 mois


maladie
UNIVERSITE CLAUDE BERNARD (LYON 1) 2018-2019
Ne rien ème
FACULTE D’ODONTOLOGIE – FGSO2 / FGSO3 2 Session
écrire ici
NOM DE L’EPREUVE : INFECTIOLOGIE
N° PLACE : …………….
DUREE : 2H00
COEFFICIENT: 2
NOM DU CORRECTEUR (pour chaque question) : Dr CARROUEL
Nom :………………………………….. Prénom :…………………………………………

Réponse
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écrire ici

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