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Collection « SAVOIR POUR RÉUSSIR »

Titres disponibles (chez le même éditeur)


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— L'effort réalisateur et l'énergie de la réussite.
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— Méthode pratique pour développer la mémoire.
— Méthode rationnelle pour acquérir la maîtrise de soi.
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— La psychologie de l'amour.
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Les marques révélatrices
du
CARACTÈRE
et du
DESTIN

collection - SAVOIR POUR RÉUSSIR"


OUVRAGES D U M Ê M E A UTEUR
(chez le même éditeur)

— Le pouvoir de la volonté, sur soi-même, les autres, le destin.


— Méthode rationnelle pour acquérir la maîtrise de soi.
— L'éducation de la parole.
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— L'effort réalisateur et l'énergie de la réussite.
— Psychologie de l'amour.
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— L'insomnie vaincue.
Paul-C. J A G O T

Les marques révélatrices du

CARACTÈRE
et du

DESTIN
L'art de lire sur le visage
les prédispositions et prédestinations

50e mille

- Dessins de Jean RETAILLE AU

Editions DANGLES
18, rue Lavoisier
45800 ST JEAN DE BRAYE
ISSN : 0337-8268
ISBN : 2-7033-0110-3
@ Éditions Dangles, Paris - 1976
Tous droits de reproduction, de traduction
et d'adaptation^^^jw^spour tous pays.

Introduction

1. — Les sciences d'observation

Il suffit d'un instant de loisir pour donner à la plupart d'entre


nous le désir immédiat de conjecturer, d'après les apparences,
quelles sont les individualités que l'imprévu des circonstances of-
fre à nos yeux.

Cette tendance contribue à répandre les sciences dites « d'ob-


servation ». Dans tous les milieux on rencontre aujourd'hui des
•amateurs de graphologie, empressés à déduire des autographes
-qu'on leur présente d'ingénieuses indications sur le caractère des
scripteurs. La réplique leur est donnée par les chirologues, qu'on
écoute même plus volontiers, puisqu'en sus d'une analyse
-psychologique, ils tirent de l'inspection des mains toutes sortes de
présages. Moins fréquents — moins diserts aussi — mais plus
.nombreux qu'on ne le supposerait, les adeptes de la
-physiognomonie scrutent, sans avoir à le révéler, le mystère de
d ' â m e reflétée par chaque visage.

Ce sont là d'aimables passe-temps dont le lecteur trouvera


plus loin les premiers principes et qui procurent, pour peu qu'on
s'y veuille livrer avec quelque diligence, non seulement d'agréa-
bles distractions, mais aussi de profitables enseignements.
2. — Leur principe général

Qu'ils se réclament de la méthode scientifique ou qu'ils


déclarent s'inspirer des données traditionnelles d'où sont issus les
« arts divinatoires », physiognomonistes et chiromanciens admet-
tent, soit comme résultante de leurs observations, soit comme pos-
tulats connexes aux théories générales de l'occultisme, divers prin-
cipes qu'on pourrait tous déduire du suivant :

Cette loi, de tout temps formulée et vérifiée par les disciples


de la tradition hermétique, se dégage implicitement de l'ensemble
des travaux d'où sont issus les divers systèmes usités aujourd'hui
pour évaluer (d'après des indices morphologiques), les tendances,
facultés, aptitudes de l'individu et pronostiquer les fortuités
heureuses ou néfastes de sa destinée.

En effet, les physiognomonistes — qu'ils se basent d'après


LAVATER sur l'analogie crânio-faciale de l'homme et des animaux
ou, selon LEDOS, sur la typologie planétaire — affirment avoir ob-
servé qu'à la conformation de la face correspondent telles prédis-
positions et telles fatalités : les chirologues interprètent les con-
tours, reliefs et lignes de la main comme autant de signes d'idiosyn-
crasies ou d'éventualités. Quant aux graphologues, dont l'art est de
création récente alors que la physiognomonie et la chiromancie
sont fort anciennes, ils admettent que l'aspect d'un graphisme
correspond à celui de l'individu qui l'a tracé et en tirent des conclu-
sions analogues à celles que permettraient l'analyse du visage ou
celle des paumes.
Le véritable scepticisme consiste à ne rien admettre qu'on
n'ait vérifié ; à ne rien nier, non plus, qu'on n'ait pratiquement
examiné. Telle doit être la position de celui qui aborde une
science expérimentale, en l'espèce l'un ou l'autre des trois sys-
tèmes de psychologie d'observation. Je puis donc engager le lec-
teur à retenir la loi énoncée plus haut, ne fut-ce qu'à titre
d'hypothèse. J'ai la certitude qu'il ne découvrira jamais aucun fait
susceptible d'infirmer ce principe commun aux trois méthodes en
question et qu'il en saisira l'utilité dès ses premiers essais. Il con-
vient d'ajouter à ce sujet que nulle acquisition définitive du savoir
moderne ne s'est, jusqu'ici, montrée en désaccord avec quelqu'une
des assertions de l'antique corps de doctrine des anciens initiés.
Bien au contraire, à mesure que les sciences évoluent on les voit,
en plus d'un point, retrouver et confirmer les conceptions
séculaires de la magie.

3. — L'apport de l'occultisme

Une partie seulement de l'antique synthèse doctrinale en-


seignée en secret dans le silence des sanctuaires de l'Inde, de la
Chaldée, de la Perse, de l'Egypte, nous a été transmise à travers
les âges. Tel qu'il est, cet étrange enseignement mérite l'at-
tention1. En ce qui concerne l'étude des sciences d'observation,
l'occultisme suggère la recherche, singulièrement féconde,
d'analogies communes permettant au praticien de conserver une
même technique opératoire, qu'il s'agisse d'analyser les traits du
visage, les linéaments de l'écriture ou le réseau incisé dans la
main. L'originalité de ce livre sera de tenter la vulgarisation de
cet esprit unitaire des arts divinatoires déductifs, alors que les
meilleurs ouvrages sur ces questions révèlent, de la part de leurs
auteurs, un exclusivisme surprenant, et que les physionomistes ou

1. Voir, du même auteur : « Science occulte et magie pratique » (Editions


Dangles). Epuisé.
les graphologues dénient fréquemment toute exactitude aux con-
clusions du chiromancien tandis que ce dernier considère comme
très inférieures à sa science celles des deux premiers.

4. — Conception occultiste du destin

Essentiellement spiritualiste, l'Antiquité philosophique con-


cevait le problème de l'Etre comme une succession indéfinie
d'existences aboutissant à la connaissance intégrale. Avant de
parvenir à cette ultime finalité, l'âme, évoluant depuis son état
primitif de monade à travers toutes les phases nécessaires à son
parfait développement, parcourait une série de cycles composés
chacun d'une période d'action et d'une période d'assimilation.

Durant une période d'action, l'entité spirituelle, unie aux


véhicules convenables, devait s'adapter à des conditions d'exis-
tence déterminées (la vie terrestre par exemple). Puis, une fois
réalisé tout le progrès rendu possible par ces conditions, l'âme
quittait ses véhicules et inaugurait une période d'assimilation au
cours de laquelle s'épanouissaient les résultats de ses précédentes
initiatives et s'effectuait sa préparation à une nouvelle période
d'action, étroitement dépendante, en ses modalités, de la
précéden te.

D'après cette théorie, nous venons au monde conditionnés


selon nos activités psychiques et physiques antérieures et nous
nous y trouvons situés dans un tel rapport du moi au non-moi
qu'il nous faudra nécessairement passer par les états de cons-
cience — parfois douloureux — indispensables à l'accomplisse-
ment d'un progrès spirituel nous rapprochant du but suprême.

Cette esquisse de la loi rectrice du destin indique suf-


fisamment que celui-ci, loin de s'identifier dans l'esprit des oc-
cultistes avec l'ananke des fatalistes, absurde et arbitraire, se
conçoit comme l'enchaînement logique résultant d'une sorte
d'impulsion imprimée à l'homme dès la naissance, selon ses
assentiments passés à la vérité ou à l'erreur, aux bons sentiments
ou aux mauvais, à l'initiative vers la Connaissance ou à l'indo-
lence jouisseuse des instincts.

Facteur primitif de la trame de la vie, le destin, nous dit l'oc-


cultisme, reste modifiable par la volonté ; non pas que celle-ci
puisse éluder purement et simplement la moindre conséquence
d'une faute, mais substituer à la peine ou au dam impliqués par
cette faute un effort délibéré équivalent et susceptible d'opérer
dans la conscience une modification correspondante ou supérieure
à celle prévue par la Loi (1).

Toute entité plus avancée que la grande moyenne sur le


chemin de l'évolution peut d'ailleurs influer sur une autre ;
éveiller par exemple, dans une âme engagée vers une mauvaise
voie, des perceptions élevées sous l'inspiration desquelles elle
s'arrachera à l'emprise de ses mauvaises prédispositions et fera un
effort pour ne pas déclencher les funestes causalités dont elle
allait alourdir son futur.

Je ne songe nullement à convaincre qui que ce soit de ces


théories. Si, comme je le pense, elles expriment ce que l'état ac-
tuel de notre entendement nous permet de percevoir de la Vérité,
l'expérience, — notre initiatrice à tous — en instruira, quand
l'heure sera venue, chacun de ceux auxquels son exposé semble
aujourd'hui inacceptable.

Il me fallait les rappeler pour envisager l'origine de la notion


du destin et, subsidiairement, de l'art d'en découvrir les signes.

1. Voir du même auteur : « Le pouvoir de la volonté, sur soi-même. sur les


autres, sur le destin » (Editions Dangles).
5. — L e s influences planétaires

Suivant les potentialités prédisposantes ou prédestinatrices


impliquées par l'état évolutif d'une entité prête à l'incarnation
humaine, la période .de vie fœtale s'inaugure à un moment tel que
l'enfant reçoive l'empreinte des influx planétaires aux incidences
et intensités voulues pour l'affecter, sa vie durant, selon que son
passé l'exige.

C'est pourquoi l'examen des positions respectives occupées


par les principaux corps célestes au moment de la naissance et de
l'angle sous lequel le point de la terre où elle a lieu se présente à
leur action, constitue la base d'une des plus sûres méthodes de
prédiction : l'astrologie.

Les astres exercent-ils sur nous une influence ?

L'harmonie cosmique comporte-t-elle une étroite corrélation


entre tous les phénomènes ayant lieu au même instant ?

Je ne saurais préciser laquelle de ces deux hypothèses ex-


plique la relation de l'aspect du ciel de nativité et du destin mais,
ce qu'il importe de noter, c'est que cette relation est expé-
rimentalement vérifiée.

Les règles de l'astrologie chaldéenne, du moins celles qui


nous sont connues, ont été certifiées parfaitement exactes par tous
les chercheurs sérieux qui, sans s'arrêter aux objections
théoriques, ont appliqué ces règles purement et simplement pour
voir quels résultats elles donnent.

Or, à la présence dans le ciel horoscopique de tel ou tel élé-


ment spécial — disons une quadrature de Saturne et de Mars —
correspondent à la fois :
— Une certaine modalité de l'action du non-moi sur le moi
en raison de laquelle l'intéressé occupera, au cours de sa vie,
périodiquement ou une seule fois, telle position circonstancielle.
— Certaines qualifications psychiques.
— Certaines dispositions organiques.
— Certaines formes extérieures.

La physiognomonie et la chiromancie procèdent de l'as-


trologie. Au lieu de chercher à établir par les calculs nécessaires
cette représentation graphique du ciel de naissance qu'on nomme
horoscope, le physionomiste ou le chiromancien s'efforcent de
discerner les signatures corporelles des planètes, sachant bien
qu'en présence des formes engendrées par chacune, ils
connaîtront ses correspondances organiques, psychologiques,
ainsi que les prédestinations en rapport.

6. — La loi de causalité

Le destin ou déterminisme individuel, pronosticable suivant le


ciel de nativité, s'explique, d'après ce qui précède, par la Loi de
causalité en vertu de laquelle l'état présent résulte de la totalité
du passé et prépare l'avenir. Cette hypothèse paraît indispensable
pour concilier celle d'une Justice infinie avec les inégalités mul-
tiples de la naissance, ces inégalités nommées « hasards » par
ceux auxquels un mot tient lieu d'explication.

Les lois de la nature physique manifestent un ordre, une pré-


cision, une rectitude, un enchaînement causal impeccables. Com-
ment hésiter à admettre l'universalité, dans tous les domaines, de
cet ordre, de cette précision, de cette rectitude, de cet en-
chaînement causal ?

D'ailleurs ceux qui veulent savoir n'ont qu'à ouvrir les yeux et
à observer les faits, patiemment et surtout objectivement : Le
désir de connaitre engendre un apport de Lumière.
7. — Le parfait enchaînement causal des phénomènes physiques

Voici un jeune enfant encore incapable de s'analyser. Son


organisme, robuste ou débile, se trouve déjà constitué de manière
à évoluer, plus ou moins vite, vers telle ou telle affection, vers
telle ou telle réaction pathologique, proche ou éloignée, en par-
ticulier vers celle qui arrêtera sa vie. Les éléments de sa cons-
cience : attention, jugement, comparaison, lesquels décideront de
la lucidité avec laquelle il se conduira dans la vie, sont en cours
de développement. Ses facultés subliminales, c'est-à-dire ses apti-
tudes plus ou moins brillantes, leur genre, leur subtilité, leur puis-
sance, il les porte en lui à l'état virtuel. Ce sont ses futurs moyens
d'action et de réalisation. Peut-être a-t-il reçu le germe d'un
talent dont il tirera, sans grand effort, le lucre, la notoriété, la
gloire ? Peut-être restera-t-il, faute d'une aptitude suffisante, rivé à
la médiocrité ? Ses tendances émotionnelles, intellectuelles, ins-
tinctives, normales ou morbides, passives ou véhémentes, qui plus
tard stimuleront ses facultés ou les paralyseront, commencent à
s'accuser. Cet enfant semble donc bien incliné, dès maintenant,
vers un plan d'existence déterminé. Plusieurs facteurs — les plus
importants de son destin — lui sont dès aujourd'hui imposés sous
forme de conditionnements personnels dont les corrélatifs mor-
phologiques apparaissent aux traits de sa physionomie, aux reliefs
de sa main — et même à la déformation qu'imprime celle-ci au
modèle calligraphique de l'alphabet qu'elle s'essaie à copier.

Notre petit sujet subit aussi la résultante des éléments de sa


race, de sa nationalité, de sa localité, de sa classe sociale, de sa
famille, de la situation de ses parents, des qualifications bonnes
ou mauvaises de ceux-ci, notamment de celles dont s'ensuivra
leur prospérité ou leur ruine. Il dépend de l'éducation et du
niveau d'instruction qu'on lui fera donner. Eh bien, l'expérience
atteste que tout cela est écrit.
Allons plus loin. La première chance ou malchance de
l'homme, c'est sans aucun doute sa robustesse ou sa débilité. Mais
un accident occasionnant cécité ou amputation, nous menace en
mainte circonstance. Or, on voit des individus sortir indemnes de
dangers réitérés et prolongés alors que d'autres deviennent infirmes
dans la situation la plus abritée. Je ne crois pas, je l'ai dit, à la
fatalité absolue des prédestinations. Le destin résulte, j'ai essayé de
le montrer, d'inclinaisons primitives modifiables par la volonté et
les influences providentielles. La marque physionomique ou
chiromorphique d'une probabilité d'infirmité accidentelle n'im-
plique pas qu'on ne puisse, par un effort délibéré de réaction, éviter
l'événement malheureux, mais elle existe, invariablement chez tous
ceux qui l'ont subi.

Et vis-à-vis de la fortune, du succès, des honneurs, vis-à-vis


de l'amour, la chance et la malchance ne sont-elles pas des faits
avérés ? En d'autres termes, ne constatons-nous pas jour-
nellement dans les existences que nous observons d'étranges for-
tuités, insuffisamment explicables par le jeu des potentialités per-
sonnelles apparentes chez les individus observés ?

A un moment et dans des circonstances telles que, ration-


nellement, rien ne permettait de le prévoir, un des éléments du
destin, jusque-là demeuré statique dans le subliminal, se résoud
en un dynamisme qui inspire et gouverne le sujet de manière à ce
qu'il se présente au non-moi dans le rapport voulu pour déter-
miner un fait modifiant plus ou moins sa vie. Les astrologues
savent qu'en un pareil moment, la grande horloge planétaire
marque l'heure où l'élément en question passe de la statique à la
dynamique : l'un des corps célestes prédominant dans le ciel de
nativité du sujet repasse, par exemple, à la place qu'il occupait
dans l'écliptique lors de la naissance ou encore se trouve situé de
manière à annuler certains aspects horoscopiques fâcheux ou
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La vue d'une personne ne nous renseigne que sur son aspect


physique, qui peut d'ailleurs être plus ou moins sincère et fac-
tice. Par contre, l'analyse de son écriture, fixant ses gestes in-
conscients, dévoile aux initiés sa nature intime et profonde.
Parmi les nombreux ouvrages sur la graphologie, généralement
très techniques et arides, voici enfin un cours réellement
pratique, conçu de telle manière qu'il permet au lecteur débutant
de s'initier et de pratiquer sur-le-champ la graphologie.
Les connaissances de base que vous retirerez de ce guide vous
permettront immédiatement de mieux connaître votre entourage,
au hasard de vos contacts sociaux, professionnels et affectifs.
Que d'erreurs et de malentendus seraient évités si nous
pouvions appréhender avec exactitude les motivations et le fond
des pensées de ceux à qui nous avons affaire !

« La forme de ce livre est très plaisante ; il réalise la formule an-


cienne et rarement en usage, qui est d'instruire sans ennuyer. »

M. CREPIEUX-JAMIN

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