DESSIN ASSISTÉ
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GÉOMÉDIA S.A.S.
20 Quai MALBERT
CS 42905
29229 BREST Cedex 2
Il est interdit de reproduire intégralement ou partiellement sous quelque support que ce soit le
présent ouvrage (art. L 122-4 et L 122-5 du Code de la propriété intellectuelle) sans
l'autorisation de l'éditeur.
TABLE DES MATIÈRES
i Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
ii Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
I. UTILISATION ........................................................................................................................................... 1
I.1. L’ORGANISATION DES MENUS....................................................................................................... 3
I.2. LE BOUTON DANS LA BARRE D’ÉTAT .......................................................................................... 4
I.3. LES OPTIONS DE CONFIGURATION ............................................................................................... 5
I.3.1. Bibliothèques .................................................................................................................................. 6
I.3.2. Options des échelles ....................................................................................................................... 6
I.3.2.1. Options générales ............................................................................................................................. 6
I.3.2.2. Répertoires ........................................................................................................................................ 7
I.3.3. Options générales ........................................................................................................................... 7
I.3.3.1. Environnement utilisateur .................................................................................................................. 7
I.3.3.2. Points topo. / symboles...................................................................................................................... 8
I.3.3.3. Listings / éditeur ................................................................................................................................ 9
I.3.3.4. Autres options.................................................................................................................................... 9
I.3.4. Options des cotations ....................................................................................................................10
I.3.4.1. Cotations linéaires de géomètres .................................................................................................... 10
I.3.4.2. Cotations linéaires de levé d’intérieur .............................................................................................. 10
I.3.4.3. Cotations surfaciques ...................................................................................................................... 11
I.3.5. Options des talus ...........................................................................................................................11
I.3.6. Options des symboles ....................................................................................................................12
I.4. LES ACCROCHAGES SPÉCIALISÉS ................................................................................................13
I.4.1. Accrochage par matricules ............................................................................................................13
I.4.2. Accrochage sur points topographiques .........................................................................................13
I.5. LA CONFIGURATION DES LISTINGS .............................................................................................14
I.5.1. Paramètres généraux.....................................................................................................................14
I.5.2. Format de la page .........................................................................................................................15
I.5.2.1. Format de la page : mode RTF ........................................................................................................ 15
I.5.2.2. Format de la page : mode Texte ...................................................................................................... 16
I.5.3. En-tête et pied de page ..................................................................................................................17
I.6. LA FONCTION ‘IMPRIMER FICHIER’ .............................................................................................18
I.7. LES CHANGEMENTS D’ÉCHELLE ..................................................................................................19
I.8. LES DIALOGUES COMMUNS ..........................................................................................................20
I.8.1. Choix d’une couleur ......................................................................................................................20
I.8.2. Choix d’un calque..........................................................................................................................21
I.8.3. Choix de multiples calques ............................................................................................................22
I.8.4. Sélection d’un style de texte...........................................................................................................23
I.9. LE VISUALISEUR D’OBJETS............................................................................................................26
iv Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
v Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
vi Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
ix Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
x Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
xi Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
xv Dessin assisté
TABLE DES MATIÈRES
I. UTILISATION
1 Dessin assisté
UTILISATION
2 Dessin assisté
UTILISATION
COVADIS version 17 est accessible via des menus ou des barres d’outils. Les différentes commandes sont regroupées dans six
menus différents :
3 Dessin assisté
UTILISATION
Un nouveau bouton a été ajouté dans la barre d’état d’AutoCAD ® afin de faciliter l’accès à différentes informations. Ce bouton,
dont l’image est , permet ainsi :
• d’accéder aux options de COVADIS en choisissant l’option « Options de COVADIS… » du menu qui
est affiché lorsque le bouton est cliqué,
• d’accéder au dialogue d’affichage des informations sur COVADIS (A propos…) en choisissant
l’option correspondante dans le menu,
• d’afficher une notification via une info-bulle lorsqu’une mise à jour ou une nouvelle version de
COVADIS est disponible,
• d’accéder aux fichiers PDF des manuels d’utilisation et d’installation,
• de lancer le programme permettant la prise de contrôle à distance du PC (TeamViewer Quick Support), par exemple par le
Support Technique de GÉOMÉDIA afin de vous aider à résoudre un problème.
4 Dessin assisté
UTILISATION
Différentes options de configuration du logiciel COVADIS sont disponibles dans un onglet ajouté aux onglets de configuration
d’AutoCAD®.
Pour afficher le dialogue des options de configuration d’AutoCAD ® sélectionnez l’option « Options… » dans le menu Outils ou
dans le menu apparaissant lors d’un clic droit dans la fenêtre graphique ou dans la fenêtre de commande.
Vous pouvez également accéder directement aux options de COVADIS via le bouton sur la ligne d’état d’AutoCAD® (clic
gauche + choisir « Options de COVADIS… »).
Cliquez alors sur l’onglet « Covadis » pour afficher l’arborescence des options de configuration.
L’onglet de configuration de COVADIS est divisé en deux parties : à gauche l’arborescence des différents éléments de
paramétrage et à droite les dialogues de configuration.
Les paragraphes suivants décrivent les principaux éléments de l’arborescence. Ceux qui ne sont pas décrits dans ce chapitre le sont
dans leurs manuels respectifs (États de Terrain, Objets MNT, Profils…).
REMARQUE :
L’ordre des paragraphes ne correspond pas à l’ordre de l’arborescence mais à l’ordre d’importance des paramétrages.
5 Dessin assisté
UTILISATION
I.3.1. Bibliothèques
• « Changement dynamique d’échelle » : active ou désactive le changement dynamique des échelles lors de l’utilisation
de la fonction Echelle du dessin du menu Covadis 2D.
• « Demander l’échelle pour tous les nouveaux dessins » : cocher cette case pour pouvoir spécifier l’échelle à la
création de chaque nouveau dessin. Si la case n’est pas cochée, l’échelle par défaut sera automatiquement utilisée.
• « Echelle par défaut » : sélectionnez dans cette liste l’échelle à proposer lors de la création des nouveaux dessins si la case
précédente est cochée, à utiliser si la case n’est pas cochée, et à proposer lors de
l’ouverture des dessins sans échelle.
Le dialogue d’avertissement sera automatiquement affiché lors de l’ouverture d’un
dessin sans échelle.
Vous pourrez alors sélectionner une échelle en cliquant sur le bouton « Choisir
une échelle » puis en choisissant l’échelle désirée dans la liste (voir l’ajout des
échelles au paragraphe suivant).
Si vous cliquez sur le bouton « Aucune », une échelle de 1 (1/1) sera quand même
sélectionnée pour le dessin ouvert.
6 Dessin assisté
UTILISATION
I.3.2.2. Répertoires
REMARQUE :
Il est possible de définir des échelles sans pour autant leur affecter de répertoire. Dans ce cas, il est préférable de cocher l’option
« Prendre les répertoires de l’échelle la plus proche » vue précédemment, sinon ces échelles risqueraient d’être inutilisables !
7 Dessin assisté
UTILISATION
• « Lire le fichier de configuration des variables pour chaque dessin » : si cette case est cochée,
BLIPMODE=0
vous pouvez spécifier le nom d’un fichier texte d’extension ‘cve’ dans lequel vous aurez indiqué les
UCSFOLLOW=0
noms des variables à initialiser ainsi que les valeurs à leur donner (à chaque ouverture de dessin).
LUPREC=3
Un exemple vous est donné ci-contre.
REGNAUTO=0
• « Mettre à jour le dessin courant » : ce bouton permet de réinitialiser l’environnement Géomètre
etc.
et/ou de réinitialiser les variables système à partir du fichier de configuration. Il peut être utilisé à
n’importe quel moment pendant une session de travail.
8 Dessin assisté
UTILISATION
• « Interpoler en Z les constructions topographiques si cela est possible » : si cette case est cochée, les fonctions de
constructions géométriques (calcul de points ou dessin de points topographiques) interpoleront le Z pour les points calculés
lorsque cela sera possible.
• « Utiliser les attributs poids horizontal (PH) et vertical (PV) » : cochez cette case si vous désirez voir apparaître le
paramétrage des deux attributs PH et PV correspondant aux poids horizontal et vertical des points topographiques (notion
utilisée essentiellement par le logiciel Topojis®-PC).
9 Dessin assisté
UTILISATION
• « Nom du calque » : indiquez dans la zone d’édition le nom du calque de dessin de la cote angulaire ainsi que le l’arc
matérialisant l’angle coté. Le calque peut aussi être sélectionné en cliquant sur le bouton correspondant.
• « Couleur du calque » : permet de spécifier la couleur pour le calque de dessin. Cette couleur n’est affectée au calque que si
celui-ci n’existe pas encore dans le dessin.
• « Se servir du nom de calque des cotations linéaires comme préfixe » : si cette option est cochée, le nom de calque
spécifié pour les cotations sera concaténé au nom indiqué dans le paramétrage des cotations pour obtenir le nom du calque de
dessin des cotations angulaires (par exemple : si les cotations linéaires sont dessinées dans le calque ‘Cotations’, que le nom
pour les cotations angulaires est ‘ Angulaires’, alors les cotations angulaires iront dans le calque ‘Cotations Angulaires’).
• « Positionnement automatique » : si cette case est cochée, les textes de cotation angulaire seront positionnés auto-
matiquement par le programme, sinon, l’option « Distance du sommet » sera prise en compte pour le placement des textes.
• « Texte aligné avec la cotation » : cochez cette case pour que les textes de cotation angulaire soient alignés avec l’arc
matérialisant l’angle coté. Si la case n’est pas cochée, les textes seront alignés avec l’axe X du système de coordonnées
courant. Cette option n’est prise en compte que lors de la création du style de cotation « Cotation Angulaire » (s’il n’y a qu’un
seul style de cotation angulaire) et des styles de cotations du type « Cotation Angulaire <unité> <décimales> <hauteur> »
créés automatiquement lorsque de nouvelles cotations angulaires doivent être effectuées avec des paramètres différents de ceux
des styles déjà définis.
10 Dessin assisté
UTILISATION
• « Recalculer le point d’insertion de la surface à chaque fois » : si cette case est cochée, les textes des cotations
associatives seront automatiquement repositionnés après la modification des contours associés.
• « Enlever la cotation des surfaces ouvertes » : indique, si cochée, que l’ouverture d’une polyligne cotée avec associati-
vité entraînera automatiquement la suppression de la cote. Si la polyligne est à nouveau fermée, la cote sera redessinée.
• « Confirmer la position des cotes d’un simple clic » : si cette case est cochée ainsi que l’option « Confirmer la position
de chaque surface » dans le dialogue de paramétrage de la cotation de surfaces, alors une seule demande sera faite pour la
position du texte de cotation.
• « Gestion de la priorité du coloriage » : cette option n’est utilisée que lors du dessin de talus avec coloriage. Si la case est
cochée, l’ordre d’affichage entre les barbules et les coloriages sera automatiquement géré de telle sorte que les barbules soient
toujours dessinées après les coloriages.
11 Dessin assisté
UTILISATION
• « Optimisation des angles sortants » : le principe est similaire à celui de l’optimisation des angles rentrants, mais
appliqué aux angles sortants. Le schéma ci-dessous vous en montre le principe.
Dans ce cas, la tolérance correspond à la valeur à ajouter à un angle plat (200 grades) pour la recherche des angles sortants.
Dans le dialogue d’exemple la valeur est 15 grades, ce qui signifie que seuls les angles supérieurs à 215 grades seront
considérés comme sortants.
12 Dessin assisté
UTILISATION
Deux nouveaux accrochages relatifs aux points topographiques ont été ajoutés à la version précédente de COVADIS. Le premier
est une généralisation de l’accrochage par matricules pouvant être maintenant utilisé pendant n’importe quelle commande, le
second est un nouvel accrochage objet fonctionnant uniquement sur les points topographiques.
Le nouvel accrochage par matricules de COVADIS est activable par la combinaison de touches <Contrôle+F12>.
Si la liste des points topographiques du dessin courant est actuellement vide, il vous
sera proposé de la créer comme le montre l’exemple de dialogue ci-contre. La liste sera
automatiquement créée à partir de TOUS les points topographiques du dessin courant.
Vous verrez alors apparaître les messages suivants sur la ligne de commande
d’AutoCAD® :
Création de la liste des points en cours ...
... terminée.
859 points topographiques étaient valides.
Lorsque l’accrochage par matricules permanent est activé, le message
suivant est inscrit sur la ligne de commande :
<Accrochage par matricules actif>
et la zone d’état de la fenêtre principale d’AutoCAD® est modifiée de
telle sorte que l’indication « ACCRMAT » apparaisse dans son coin bas
gauche.
Vous pouvez maintenant utiliser cet accrochage dans n’importe quelle commande lorsqu’un point est demandé.
Pour désactiver l’accrochage par matricules, il suffit de retaper au clavier la combinaison de touches <Contrôle+F12>.
REMARQUES :
L’accrochage sur points topographiques de COVADIS est matérialisé par l’icône lorsqu’un point topographique est
présent sous le curseur.
L’accrochage sur points topographiques fonctionne indépendamment des accrochages aux objets d’AutoCAD ®. Ils peuvent
donc être utilisés simultanément en faisant toutefois bien attention à ce que les points accrochés correspondent bien à ceux
désirés.
Les accrochages par matricules et sur points topographiques peuvent être utilisés conjointement.
L’accrochage par matricules permanent ne permet pas de spécifier des séries de matricules de plus de 50 valeurs.
13 Dessin assisté
UTILISATION
Cette option du menu Covadis 2D permet de paramétrer l’écriture des fichiers listings produits avec les différentes fonctions de
COVADIS (à de rares exceptions près).
Cet onglet permet d’effectuer le paramétrage général de l’écriture et de l’affichage des listings.
14 Dessin assisté
UTILISATION
2. Nombres de décimales
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les nombres de
décimales à utiliser pour les différents types de données écrites
dans les fichiers listings.
Il suffit de sélectionner une nouvelle valeur dans une liste
jaillissante puis d’enregistrer la configuration pour que la
modification soit prise en compte dans le prochain listing créé.
3. Police de caractères
Le bouton « … » de ce groupe de paramètres vous permet de
sélectionner la police de caractères à utiliser dans les listings au
format RTF (et uniquement ceux-ci).
Sélectionnez d’abord le nom de la police, ensuite le style de celle-ci
puis terminez avec la hauteur des textes (taille en points). Cliquez
sur le bouton « OK » pour valider votre choix.
De retour dans l’onglet des paramètres généraux, vous pouvez
constater que la zone de prévisualisation de la police a été mise à
jour (en bas du groupe de paramètres).
Vous pouvez taper un autre texte d’exemple dans cette zone si vous
le désirez.
Cet onglet vous permet de spécifier les caractéristiques des pages de listing à imprimer. En fonction du type de listing sélectionné
(format RTF ou autres), la page de propriétés sera différente.
Si ce type de fichier est sélectionné, la configuration de la mise en page se fera à l’aide du dialogue montré en exemple ci-contre.
15 Dessin assisté
UTILISATION
1. Marges
Entrez dans les zones de saisie les marges (en
millimètres) à prendre en compte pour la mise en page, ou
utilisez les boutons prévus à cet effet à droite des zones
d’édition.
2. À partir du bord
Ces deux paramètres permettent de spécifier la position
des premières lignes d’en-tête et de pied de page. Les
valeurs doivent être inférieures aux marges haute et basse.
3. Format du papier
Vous pouvez sélectionner dans la liste jaillissante le
format du papier d’impression. Trois formats fixes sont
proposés : A5, A4 et A3, ainsi qu’un format utilisateur
pour lequel vous devez spécifier la largeur et la hauteur à l’aide des deux paramètres prévus à cet effet (les valeurs sont à donner
en millimètres).
4. Orientation
Vous pouvez modifier l’orientation du papier en choisissant l’option qui vous convient.
REMARQUES :
Tous ces paramètres vous permettent de spécifier les informations relatives au format et à la mise en page des listings. Vous
devez donc faire attention à ce que les valeurs indiquées correspondent réellement au papier utilisé car les programmes de
création des fichiers listings n’effectuent aucun contrôle sur leur validité.
Il n’est pas possible de prévoir le nombre de lignes utiles dans un listing au format RTF, même connaissant tous les
paramètres de format, de mise en page et de police de caractères. Vous devrez donc indiquer le nombre de lignes maximum
à utiliser (entre la marge haute et la marge basse) dans les listings à l’aide du paramètre « Nombre de lignes » accessible
pour les formats autres que RTF (voir ci-dessous).
1. Marges
Entrez dans les zones de saisie les marges à prendre en
compte pour la mise en page, ou utilisez les boutons
prévus à cet effet à droite des zones d’édition. Les marges
à gauche et à droite sont données en caractères (colonnes)
alors que les marges haute et basse sont données en
lignes.
2. Format du papier
Le format du papier est à indiquer en nombre de colonnes (largeur) et de lignes (hauteur). Le choix de l’orientation du papier vous
permet d’inverser les valeurs pour la largeur et la hauteur du papier.
REMARQUES :
Tous ces paramètres vous permettent de spécifier les informations relatives au format et à la mise en page des listings. Vous
devez donc faire attention à ce que les valeurs indiquées correspondent réellement au papier utilisé car les programmes de
création des fichiers listings n’effectuent aucun contrôle sur leur validité.
Utilisez le paramètre « Hauteur » pour spécifier le nombre maximum de lignes imprimables (sans tenir compte des
éventuelles marges haute et basse) pour les fichiers au format RTF.
16 Dessin assisté
UTILISATION
%d remplacé par le numéro du jour (01 - 31), %#d pour supprimer le 0 de début
&f remplacé par le nom du fichier listing
&p remplacé par le numéro de page
&P remplacé par le nombre total de pages
%A remplacé par le nom du jour, %a pour le nom abrégé (lun., mar., …)
%B remplacé par le nom du mois, %b pour le nom abrégé (jan., fév., …)
%c remplacé par la date et l’heure en format abrégé (jj/mm/aa hh:mm:ss)
%#c remplacé par la date et l’heure en format complet (jour mois année, hh:mm:ss)
%H remplacé par les heures (00 - 24), %#H pour supprimer le 0 de début
%I remplacé par les heures (00 - 12), %#I pour supprimer le 0 de début
%m remplacé par le mois (01 - 12), %#m pour supprimer le 0 de début
%M remplacé par les minutes (00 - 59), %#M pour supprimer le 0 de début
%S remplacé par les secondes (00 - 59), %#S pour supprimer le 0 de début
%x remplacé par la date au format abrégé (jj/mm/aa)
%#x remplacé par la date au format complet (jour mois année)
%X remplacé par l’heure au format standard (hh:mm:ss)
%y remplacé par l’année sans le siècle (00 - 99), %#y pour supprimer le 0 de début
%Y remplacé par l’année avec le siècle
&& remplacé par le caractère &
%% remplacé par le caractère %
&l indique que le texte qui suit sera aligné à gauche (défaut)
&c indique que le texte qui suit sera centré
&r indique que le texte qui suit sera aligné à droite
17 Dessin assisté
UTILISATION
Nous pourrions ainsi avoir comme résultat, dans le cas d’un listing au format RTF :
COVADIS version 17
(C) Géomédia S.A.S. 1993-2018
Zones de texte
Cette fonction est proposée dans chaque menu de COVADIS. Elle permet de visualiser et d’imprimer le dernier fichier listing ou
récapitulatif de traitement créé. Le programme associé au type de fichier est automatiquement utilisé.
18 Dessin assisté
UTILISATION
La première fonction du menu Covadis 2D permet d’effectuer le changement d’échelle du dessin courant.
Le paramétrage se fait à l’aide du dialogue montré en exemple ci-contre.
L’échelle courante vous est rappelée et vous devez indiquer la nouvelle échelle
pour le dessin dans la liste jaillissante.
Si la case « Mise à l’échelle automatique » est cochée, une mise à l’échelle
sera automatiquement appliquée à tous les éléments cochés dans la liste. Si la
case n’est pas cochée, seule la valeur de l’échelle sera changée dans le dessin et
aucun objet ne sera modifié.
Pour la mise à l’échelle automatique, il suffit de cocher dans la liste les éléments
à mettre à jour. La colonne libellée « Calques à ignorer » indique, pour chaque
type d’élément, les noms des calques qui ne doivent pas être pris en compte pour
le changement d’échelle. Pour modifier une liste de calques, il suffit de cliquer
avec le bouton droit sur la ligne de l’élément concerné puis de sélectionner
l’option « Ajouter des calques à ignorer pour <désignation> … », ou tout
simplement de cliquer deux fois sur cette ligne.
19 Dessin assisté
UTILISATION
Certaines boîtes de dialogue sont utilisées dans de nombreuses commandes de COVADIS ou appelées à partir d’autres fenêtres de
dialogue.
Dans la plupart des dialogues où une couleur doit être spécifiée, vous trouverez une
liste jaillissante permettant de sélectionner celle-ci parmi les sept couleurs principales
d’AutoCAD® (Rouge = 1, Jaune = 2, … Blanc = 7) ou de choisir l’option
« DuCalque » si le calque associé est défini dans le dessin ou l’option « Autres… »
pour accéder à l’ensemble des 255 couleurs dans le dialogue présenté ci-dessus.
Vous pouvez aussi directement accéder au dialogue de sélection de la couleur en
cliquant avec le bouton droit de la souris sur la liste jaillissante.
20 Dessin assisté
UTILISATION
Caractère Définition
# Remplace n’importe quel caractère numérique unique.
@ Remplace n’importe quel caractère alphabétique unique.
. Remplace n’importe quel caractère non alphabétique unique.
* Remplace n’importe quelle séquence de caractères, y compris une chaîne vide.
L’astérisque peut être utilisé n’importe où dans la chaîne : au début, au milieu ou à la fin.
? Remplace n’importe quel caractère unique.
~ Si c’est le premier caractère dans une séquence, il signifie « tout sauf la séquence ».
[...] Remplace n’importe lequel des caractères entre les crochets.
[~...] Remplace n’importe lequel des caractères autres que ceux entre les crochets.
- Utilisé dans une séquence entre crochets, indique une gamme de valeurs.
, Sépare différentes séquences pour un même filtre.
' Échappement : indique que le caractère suivant doit être traité littéralement.
21 Dessin assisté
UTILISATION
Reportez-vous au paragraphe précédent pour de plus amples informations concernant les possibilités de filtrage.
22 Dessin assisté
UTILISATION
Dans COVADIS, il est possible de gérer et de sélectionner des styles de textes autrement qu’avec la commande STYLE
d’AutoCAD®.
Un fichier nommé Styles.car et placé dans chacun des sous-répertoires d’échelle (\50, \100, \200, …) vous permet de définir vos
styles de textes de façon simple, chaque ligne du fichier correspondant à une définition simplifiée de style :
<Style> <Police> <Hauteur> <Expansion> <Inclinaison> <Reflété> <Renversé> <Vertical>
avec : Style = nom du style de texte (à encadrer par des doubles cotes si le nom contient des espaces)
Police = nom du fichier de police de caractères (l’extension n’est nécessaire que pour les fichiers ‘shx’)
Hauteur = hauteur par défaut pour les textes, celle-ci est donnée en millimètres papier
Expansion = facteur d’expansion du texte (équivalent au facteur d’échelle en X)
Inclinaison = angle d’inclinaison de la police (italique)
Reflété = drapeau de style reflété (symétrie selon l’axe X), mettre "N" pour non et "O" pour oui
Renversé = drapeau de style renversé (symétrie selon l’axe Y), mettre "N" pour non et "O" pour oui
Vertical = drapeau de style vertical, mettre "N" pour non et "O" pour oui
Exemple :
"Arial 1.5" "Arial" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
Style = "Arial 1.5"
Police = "Arial" (implicitement : police de Windows® Arial.ttf)
Hauteur = 1.5 mm
Expansion = 1.0 (valeur par défaut)
Inclinaison = 0.0 (pas d’inclinaison)
Reflété = "N"
Renversé = "N"
Vertical = "N"
Lors de l’installation de COVADIS, un fichier Styles.car est automatiquement placé dans chaque répertoire d’échelle. Un certain
nombre de styles de textes prédéfinis vous sont ainsi proposés.
Vous pouvez enrichir ces fichiers en y ajoutant vos propres définitions de styles à l’aide d’un éditeur de texte, ou grâce au
dialogue de sélection de style qui vous permet, entre autres, d’exporter des définitions existantes vers le fichier Styles.car.
La liste à gauche du dialogue contient tous
les noms des styles de textes présents dans le
dessin courant et/ou dans le fichier Styles.car
de l’échelle courante, ainsi que les icônes
caractérisant les différents styles.
Les cercles rouges et verts indiquent si le
style de texte est défini (cercle vert) ou non
(cercle rouge) dans le dessin courant.
Les autres icônes indiquent :
: Le style de texte n’est défini que dans le
dessin courant.
: Si le cercle est vert, cela signifie que le
style est défini de façon identique dans
le dessin et dans le fichier Styles.car. Si
le cercle est rouge, c’est que le style est
défini dans le fichier Styles.car mais
n’est pas chargé dans le dessin courant.
: Le style de texte est défini dans le dessin
courant et dans le fichier Styles.car,
mais les deux définitions ne sont pas
identiques (hauteurs différentes par exemple).
La plus grande partie du dialogue est occupée par les seize éléments de prévisualisation dans lesquels on retrouve le nom du style,
sa hauteur par défaut ainsi que le nom de la police de caractères utilisée. Le nom de la police est écrit en utilisant la police elle-
même pour vous permettre d’en prévisualiser l’aspect.
Pour sélectionner un style, il suffit de le sélectionner dans la liste ou parmi les éléments de prévisualisation puis de cliquer sur le
bouton « OK ». En double-cliquant sur le nom du style dans la liste ou sur l’élément de prévisualisation correspondant, celui-ci
sera automatiquement sélectionné.
23 Dessin assisté
UTILISATION
La signification des différents boutons à icône du dialogue vous est donnée ci-dessous.
: Affiche les propriétés du style actuellement sélectionné. Trois cas de
figure peuvent se présenter en fonction de la définition du style dans
le dessin et/ou dans le fichier Styles.car.
L’exemple ci-contre montre le dialogue d’affichage des caractéris-
tiques du style "Times 1.5" pour lequel le facteur d’expansion a été
modifié dans le dessin. Ceci a pour effet d’afficher deux onglets dans
le dialogue : l’un pour la définition du style dans le dessin, l’autre
pour la définition du style dans le fichier.
Généralement, un seul onglet sera présent dans le dialogue : soit
« Dans le dessin » si le style n’est défini que dans le dessin courant,
soit « Dans Styles.car » si le style est présent dans le fichier et n’a
pas été défini dans le dessin ou si le style est aussi défini dans le
dessin mais n’a pas été modifié.
: Exporte la définition de style sélectionnée vers le fichier Styles.car. Ce bouton n’est actif que si la définition n’existe pas
dans le fichier ou s’il y a une différence entre la définition du style dans le dessin et celle contenue dans le fichier. Ce bouton
est très intéressant puisqu’il vous permet de mettre à jour le fichier Styles.car sans avoir à l’éditer.
: Importe le style sélectionné dans le dessin courant. Ce bouton n’est actif que si le style n’est pas encore défini dans le dessin
ou s’il y a une différence entre la définition du style dans le dessin et celle contenue dans le fichier. Dans ce cas, l’appui sur
le bouton entraînera la mise à jour de la définition dans le dessin à partir de celle du fichier.
: Importe tous les styles non définis dans le dessin à partir du fichier Styles.car. Les styles déjà définis dans le dessin ne sont
pas mis à jour (s’il y a une différence entre les définitions du dessin et du fichier) comme cela peut être le cas avec le bouton
décrit précédemment.
: Affiche les seize premières définitions de styles dans les éléments de prévisualisation.
: Revient au groupe des seize définitions précédentes.
: Sélectionne la définition de style précédente.
: Sélectionne la définition de style suivante.
: Passe au groupe des seize définitions suivantes.
: Affiche les seize dernières définitions de styles (ou moins) dans les éléments de prévisualisation.
: Cliquez sur ce bouton pour sélectionner le style de texte actuellement utilisé pour un texte ou un attribut dans le dessin. Après avoir
choisi un objet valide, le style correspondant sera automatiquement sélectionné dans la liste ainsi que l’élément de prévisualisation
associé.
REMARQUES :
Vous remarquerez dans des dialogues
de paramétrage le bouton à icône
vous permettant de sélectionner le
style de texte. Dans ce cas, le dialogue
de sélection sera différent de celui vu
précédemment, les boutons
d’importation et d’exportation étant
remplacés par l’option « Retourner
la hauteur par défaut aux
dialogues » qui, si cochée, indique
que les hauteurs de texte dans les
dialogues appelant cette fenêtre seront
automatiquement remplacées par les
hauteurs par défaut des styles
sélectionnés.
Cliquez sur l’icône de la barre de
titre de la fenêtre puis sélectionnez
l’option « Ouvrir ‘Styles.car’ » pour
éditer le fichier.
24 Dessin assisté
UTILISATION
Le contenu du fichier Styles.car fourni avec COVADIS vous est indiqué ci-dessous.
"Arial 1.0" "Arial" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 1.0" "EuroRoman" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 1.5" "Arial" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 1.5" "EuroRoman" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 2.0" "Arial" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 2.0" "EuroRoman" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 3.0" "Arial" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 3.0" "EuroRoman" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 4.0" "Arial" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 4.0" "EuroRoman" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 5.0" "Arial" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 5.0" "EuroRoman" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 6.0" "Arial" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 6.0" "EuroRoman" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 8.0" "Arial" 8.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 8.0" "EuroRoman" 8.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 10.0" "Arial" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 10.0" "EuroRoman" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 1.0" "Times New Roman" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 1.0" "CountryBlueprint" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 1.5" "Times New Roman" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 1.5" "CountryBlueprint" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 2.0" "Times New Roman" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 2.0" "CountryBlueprint" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 3.0" "Times New Roman" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 3.0" "CountryBlueprint" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 4.0" "Times New Roman" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 4.0" "CountryBlueprint" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 5.0" "Times New Roman" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 5.0" "CountryBlueprint" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 1.0" "SansSerif" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 1.0" "Simplex.shx" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 1.5" "SansSerif" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 1.5" "Simplex.shx" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 2.0" "SansSerif" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 2.0" "Simplex.shx" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 3.0" "SansSerif" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 3.0" "Simplex.shx" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 4.0" "SansSerif" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 4.0" "Simplex.shx" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 5.0" "SansSerif" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 5.0" "Simplex.shx" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 1.0" "Verdana" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 1.0" "Romans.shx" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 1.5" "Verdana" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 1.5" "Romans.shx" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 2.0" "Verdana" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 2.0" "Romans.shx" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 3.0" "Verdana" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 3.0" "Romans.shx" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 4.0" "Verdana" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 4.0" "Romans.shx" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 5.0" "Verdana" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 5.0" "Romans.shx" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 6.0" "Verdana" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 8.0" "Verdana" 8.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romand 3.0" "Romand.shx" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 10.0" "Verdana" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romand 6.0" "Romand.shx" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 1.0" "SuperFrench" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romanc 5.5" "Romanc.shx" 5.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 1.5" "SuperFrench" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romanc 10.0" "Romanc.shx" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 2.0" "SuperFrench" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 3.0" "SuperFrench" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 4.0" "SuperFrench" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 5.0" "SuperFrench" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
25 Dessin assisté
UTILISATION
Cet outil vous permet de visualiser n’importe quels objets d’AutoCAD ® ou de COVADIS en 3D dans une fenêtre d’affichage
indépendante des fenêtres du dessin. Cette fenêtre est contenue dans une palette.
Dans cette fenêtre, il est possible :
• d’appliquer au graphisme des objets une déformation en Z,
• d’utiliser un des styles visuels définis dans le dessin courant,
• d’effectuer des zooms et des panoramiques,
• de sélectionner une vue prédéfinie,
• de changer la vue à l’aide de l’outil « orbite 3D »,
• d’ajouter et d’enlever des objets à visualiser.
Un exemple de palette vous est
donné ci-contre.
Pour effectuer les zooms et les
panoramiques, vous devez utiliser la
molette de la souris : la rotation de
celle-ci permet de zoomer, alors que
le déplacement de la souris pendant
que le bouton de la molette est
appuyé permet d’effectuer un
panoramique.
Les rotations en mode « orbite 3D »
s’effectuent en déplaçant la souris
pendant que le bouton gauche est
appuyé.
Le bouton droit permet, quand à lui, d’afficher le menu contextuel proposant les déformations en Z, les styles visuels… Son
arborescence vous est décrite ci-dessous.
Bien entendu, toutes ces opérations ne peuvent s’effectuer que si la palette d’affichage possède le focus du curseur.
REMARQUE :
Des réacteurs temporaires sont placés sur les objets visualisés afin de mettre automatiquement à jour la fenêtre de visualisation
lorsque ces objets sont modifiés.
Permet de supprimer la
déformation en Z dans la Liste des facteurs d’échelle
fenêtre d’affichage. en Z applicables aux objets
prévisualisés.
26 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
27 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
28 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
II.1. GENERALITES
La loi n°95-115 du 4 février 1995 article 25 ainsi que les décrets n°2000-1276 du 26 décembre 2000 et n°2006-272 du 3 mars 2006
imposent de fournir au service public des plans dans le système RGF93 à compter du 10 mars 2009. Le système RGF93 a été mis
en place pour homogénéiser les systèmes au sein de l’Europe (système global) et gagner en précision (compatibilité avec le WGS84
dont les mesures GPS).
Jusqu’alors, les plans étaient rattachés au système géodésique NTF avec une des quatre
projections Lambert Zone I à IV.
COVADIS permet de reprojeter vos plans vectoriels en utilisant les commandes du menu
Systèmes de projection de COVADIS 2D affiché ci-contre.
REMARQUES :
La reprojection d’un plan nécessite de connaître les projections de départ et d’arrivée. Vous ne pouvez donc pas transformer
un plan en coordonnées locales (sans projection) avec ces commandes. Vous devrez utiliser un recalage d’Helmert en
connaissant les coordonnées projetées d’au moins trois points identifiables du plan.
Bien que le RGF93 soit plus précis que la NTF, le fait de reprojeter un dessin de NTF vers RGF93 ne le rendra pas plus précis
pour autant. Il est donc important de connaître l’historique d’un plan pour en apprécier la précision.
Les objets AutoCAD® à reprojeter ne doivent pas avoir de direction d’extrusion.
Cette commande permet de choisir les projections de départ et d’arrivée puis d’effectuer la transformation des objets du dessin.
29 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
Le tableau récapitulant le nombre d’objets transformés s’affiche comme dans l’exemple ci-contre.
Les objets sont triés par catégorie
et des colonnes dénombrent les
incidents intervenus lors de la
reprojection :
• La colonne « Trouvés »
indique le nombre d’objets de
chaque catégorie contenus dans
le dessin.
• La colonne « traités » indique
le nombre d’objets pour
lesquels la reprojection a
fonctionné.
• La colonne « Transformés »
indique le nombre d’objets tels
que les cotations AutoCAD® ou
les hachures sous forme de bloc
pour lesquels un nouvel objet à
été créé en remplacement.
• La colonne « Ignorés »
indique le nombre d’objets n’ayant pas besoin d’être traités. Ce sont par exemple les hachures associatives qui seront redessinées
par AutoCAD® avec leur objet support qui lui aura subi la reprojection.
• La colonne « Supprimés » indique le nombre de références externes qui ont été supprimées du dessin.
• La colonne « Avec erreur » indique le nombre d’objets n’ayant pas pu être reprojetés, notamment parce qu’ils n’étaient pas
dans le domaine de validité de la projection de départ ou dans celui de la projection d’arrivée.
REMARQUE :
Une fois un dessin reprojeté, celui-ci est enregistré avec le préfixe de la projection d’arrivée. Une information indiquant la
projection actuelle est également inscrite dans le dessin. Il s’ensuit que le dessin original n’est pas écrasé.
Appuyez sur le bouton « Terminez + Listing » pour fermer le tableau et afficher le listing de la reprojection comme suit :
30 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
Cette commande est identique à la commande du paragraphe I.2 si ce n’est que la projection d’arrivée est forcément la projection
Lambert II étendu.
Cette commande est identique à la commande du paragraphe I.2 si ce n’est que la projection d’arrivée est forcément la projection
Lambert 93.
Quand on effectue une reprojection, le programme écrit dans le dessin le nom de la nouvelle et de l’ancienne projection.
Cette commande ouvre donc la boîte de sélection des projections de façon à revenir à l’ancienne projection du dessin.
31 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
Les objets AutoCAD® ne sont pas tous transformés de la même façon. Voici la liste des méthodes utilisées pour les principaux types
d’objets
• Les polylignes et les lignes : Chaque sommet est recalculé dans le nouveau système. Pour les segments d’arc, la même méthode
que pour les arcs est utilisée. Il s’ensuit que la tangence entre un arc et un alignement n’est plus exactement respectée.
• Les arcs : Chaque extrémité ainsi que le milieu de l’arc est recalculé. Un nouvel arc passant par ces trois points est dessiné.
• Les cercles : Trois points également répartis sont transformés et un nouveau cercle est construit sur ces points.
• Les blocs : Le point d’insertion est recalculé puis la rotation correspondant à la différence angulaire du nord de chaque projection
est appliquée. Si le symbole est générique (ce n’est pas un symbole d’un répertoire d’échelle) une mise à l’échelle correspondant
à la différence d’altération linéaire est effectuée
• Les textes : Comme pour les blocs mais sans mise à l’échelle.
• Les images raster : Le centre de l’image est transformé et comme pour les blocs une légère rotation et un facteur d’échelle globale
sont appliqués. Il ne s’agit donc pas d’un traitement pixel par pixel mais d’une transformation globale (translation, rotation et
facteur d’échelle) de l’image.
Certains objets propres à COVADIS peuvent également être transformés. Le traitement effectué dépend de l’objet :
• Murs / haies et parcelles : même méthode que pour les polylignes.
• Plates-formes VRD : comme pour les polylignes et les altitudes restent inchangées.
• MNT : chaque sommet est transformé indépendamment, puis un contrôle est effectué pour vérifier qu’il n’y a pas d’intersections
entre les côtés.
• Étiquettes : comme pour les textes.
Si vous constatez un grand nombre d’erreurs, il est possible que les coordonnées de départ ne correspondent pas au domaine de
validité de la projection de départ. Il est également possible que les coordonnées d’arrivée ne soient pas dans le domaine de validité
de la projection d’arrivée.
Le meilleur étant de ne pas dessiner l’objet dans un SCU qui ne soit pas strictement horizontal.
32 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
Si vous avez beaucoup de dessins à reprojeter, cela peut être fastidieux de devoir les ouvrir l’un après l’autre puis de lancer le
changement de projection.
La commande cachée CovaProjChgDoss permet de choisir un répertoire et de
traiter les dessins qui s’y trouvent. Le dossier est choisi dans la boîte classique de
Windows©.
Si le dossier sélectionné ne contient aucun dessin AutoCAD®, le message d’erreur
suivant apparaît.
REMARQUE :
Cette commande utilise un procédé qui n’existe qu’à partir de la version 2004 d’AutoCAD ® et ne sera pas utilisable sur une
version antérieure.
Après une confirmation de votre part, le traitement est effectué pour chaque dessin et un récapitulatif par dessin est écrit dans le
fichier texte COVADIS - Historique Nouvelle Projection.txt créé dans le dossier à traiter. Ce fichier est ouvert en fin de traitement.
==============================================================================
Dossier traité : E:\COVADIS\Exemples\
Nombre de fichiers : 2
Projection de départ : Projection Lambert Zone I
Projection d'arrivée : Projection Lambert 93 Zone 9 (CC50)
==============================================================================
33 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
Cet outil permet de convertir des coordonnées d’un système vers un autre via une boîte de dialogue.
Un exemple de dialogue est montré ci-dessous.
1. Système de départ
La partie gauche du dialogue concerne le système de départ : soit le système WGS84, soit l’un des autres systèmes proposés par
COVADIS. Utilisez la liste jaillissante pour le sélectionner.
Si nécessaire, les informations relatives au système choisi sont rappelées dans les deux zones sous la liste de choix (système
géodésique et ellipsoïde de projection).
Les points à convertir doivent être entrés dans la zone d’édition de gauche. Il est possible de convertir plusieurs points en une seule
opération. Par exemple, vous pouvez coller le contenu d’un fichier de points directement dans la zone d’édition.
Comme cela est stipulé en-dessous de la zone de saisie, les coordonnées des points doivent être séparées soit par des espaces, soit
par des virgules, soit par des points-virgules. Pour les systèmes autres que le WGS84, l’ordre des coordonnées doit obligatoirement
être X, Y puis Z, cette dernière coordonnée étant facultative.
Pour le système WGS84, l’ordre des coordonnées par défaut est longitude, latitude puis hauteur (facultative).
Si vos points sont donnés en latitude-longitude plutôt qu’en longitude-latitude, un mot clef permet de l’indiquer au programme :
#latlon. Ce mot clef doit être spécifié avant le premier point à convertir. Il permet aussi d’indiquer que pour une conversion vers le
système WGS84, les données résultantes doivent être calculées en latitude-longitude.
De la même façon, si les points comportent plus de données que X-Y-Z ou longitude-latitude-hauteur, comme des numéros de points,
des codes de géocodification…, il est aussi possible d’indiquer à partir de quelle valeur commencent les coordonnées grâce au mot
clef #istart.
Par exemple, pour une ligne de données du type « <matricule> <code> <X> <Y> <Z> », il faudra ajouter le mot clef #istart3 avant
le premier point pour indiquer que la première coordonnée est en troisième position.
Un dernier mot clef est disponible pour indiquer le nombre de décimales à utiliser pour les données converties : #ndecim. À l’instar
du mot clef précédent, il doit être suivi du nombre de décimales, comme par exemple #ndecim3 pour ne conserver que 3 décimales
dans les coordonnées issues de la conversion.
2. Système d’arrivée
La partie droite du dialogue concerne le système d’arrivée : soit le système WGS84, soit l’un des autres systèmes proposés par
COVADIS. Utilisez la liste jaillissante pour le sélectionner.
Si nécessaire, les informations relatives au système choisi sont rappelées dans les deux zones sous la liste de choix (système
géodésique et ellipsoïde de projection).
Si des mots clefs sont utilisés dans la zone de saisie des points à convertir, ils seront rappelés dans la zone des résultats
34 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
3. Conversion
Pour effectuer la conversion de coordonnées, il suffit de cliquer sur le bouton ‘>>’. Si des erreurs sont rencontrées lors du traitement
(nombre de coordonnées insuffisant, valeurs incorrectes ou hors système…), le message « *** ERREUR *** » sera indiqué à la
place du résultat pour la ligne en erreur.
4. Exemples
Les exemples ci-dessous montrent différents paramétrages de conversions.
35 Dessin assisté
SYSTEMES DE PROJECTION
Ces 4 commandes permettent d’ouvrir une page Web d’un site de cartographie en ligne (au choix : Google Maps, Mappy,
OpenStreetMap, MapChannels), et de zoomer aux coordonnées du centre du dessin courant.
Chaque commande convertit les coordonnées du centre du dessin en (longitude, latitude), et donc nécessite un système de projection.
Si un système de projection a été préalablement défini, alors il est automatiquement détecté et utilisé.
Sinon, un dialogue permet de sélectionner un système de projection.
36 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
37 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
38 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
III.1. GÉNÉRALITÉS
Le recalage d’un plan se fait sur un nombre de points allant de 3 à 99, un fichier récapitulatif pouvant être écrit sur le disque à l’issue
du calage pour garder une trace des points utilisés, ainsi que des différents coefficients de la transformation.
1. Principe
Elle consiste à ‘adapter’ par la méthode des moindres carrés la figure des points d’appui dans le système de coordonnées initial 1 à
la figure des points homologues dans le système de coordonnées final 2, sans qu’il n’y ait de déformation de la figure initiale.
On applique pour cela à la figure initiale une similitude plane directe, c’est-à-dire le produit d’une homothétie positive, d’une rotation
et d’une translation.
y b y Bt
C
a A
c Ct
At
x x
Système initial a, b, c Système final A, B, C
après transformation At, Bt, Ct
On impose la condition : S = AAt2 + BBt2 + CCt2 minimale.
2. Calcul
La figure initiale doit donc subir une translation de composantes p en x et q en y, une rotation d’angle et une homothétie de rapport
k. Donc pour chaque point transformé :
{Y == q ++ b x −+ a y
Xt p ax by
t
La condition des moindres carrés MMt2 = [(Xt − X)2 + (Yt − Y)2] minimale peut s’écrire :
MMt2 = [(p + a xi − b yi − Xi)2 + (q + b xi + a yi − Yi)2] = F(a, b, p, q)
et pour que F(a, b, p, q) soit minimale, il faut :
F 0, F 0, F 0, et F 0.
= = = =
a b p q
soit un système de quatre équations à quatre inconnues :
1 F
n p + a x i − b y i − Xi = 0
2 p =
(1) (si on a n points)
1 F
n q + a y i − b x i − Yi = 0
2 q =
(2)
Système dont la
1 F
= ... ... = 0 (3) résolution n’est
2 a pas commode
1 F
= ... ... = 0 (4)
2 b
39 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
3. Résolution pratique
Des équations (1) et (2) on obtient les paramètres p et q :
• Détermination des centres de gravité de la figure formée par les points d’appui dans le système de coordonnées initial g(xg, yg)
et dans le système final G(XG, YG) :
• Détermination des coordonnées réduites = coordonnées rapportées aux systèmes d’axes passant par les centres de gravité :
x’i = xi − xg, y’i = yi − yg et X’i = Xi − XG, Y’i = Yi − YG,
Le changement d’axes a permis de réduire le nombre des inconnues à deux : pour que F(a, b) soit minimum, il faut que
F 0, et F 0.
= =
a b
1 F
2 a = i
x’ (a x’i − b y’i − X’i) + y’i (b x’i + a y’i − Y’i) = 0
2 2
a x’i − b x’i y’i − x’i X’i + b y’i x’i + a y’i − y’i Y’i = 0
40 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
{XY == qp ++ ba xx +− ab yy
t
t
ou sous forme
matricielle
Xt
Yt =
p
q +
a
b
−b
a
x
y
2 2
On calcule les coordonnées des points d’appui dans le système, les résidus (vx et vy) et les distances résiduelles (vx + vy ),
puis on applique cette transformation aux autres points du réseau initial.
De plus : a = k cos et b = k sin donc = arctg (b / a) et k = b / sin = a / cos .
Cette fonction permet d’effectuer le recalage du plan en entrant les points (de 3 à 99) nécessaires au calcul des coefficients de la
transformation d’Helmert.
Le recalage s’effectue à partir du dialogue montré en exemple ci-contre.
Le premier onglet rappelle les coordonnées digitalisées ainsi que les coordonnées vraies correspondantes (coordonnées réelles).
Le second récapitule les différents éléments de calcul (voir plus loin).
41 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
: Permet de saisir tous les points de référence à la suite, les points de calage devant déjà avoir été saisis :
Coordonnées vraies du point numéro 1 (format X,Y) : <saisie d’un point de référence>
Coordonnées vraies du point numéro 2 (format X,Y) : <saisie d’un point de référence>
. . .
42 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
5. Calcul / Fichiers
: Cliquez sur ce bouton pour effectuer le calcul des coefficients du calage. Les résultats sont alors affichés dans la zone
prévue à cet effet, la première colonne donnant les valeurs des coefficients des équations de calcul, la seconde indiquant l’erreur
moyenne quadratique (E.M.Q.) ainsi que les transformations effectuées sur les points digitalisés.
Equations : X transformé = P A Xdigitalisé B Ydigitalisé
Y transformé = Q B Xdigitalisé A Ydigitalisé
• « Coefficient A » : valeur A dans les équations
• « Coefficient B » : valeur B dans les équations
• « Coefficient P » : valeur P dans les équations
• « Coefficient Q » : valeur Q dans les équations
• « E.M.Q. » : erreur moyenne quadratique
• « Rotation » : rotation appliquée par rapport à l’origine du repère (0.0,0.0,0.0), sachant que A = Khomothétie cos(rotation),
et que B = K homothétie sin(rotation)
• « Homothétie » : coefficient de l’homothétie appliqué par rapport à l’origine du repère (voir les formules ci-dessus)
• « Translations en X et Y » : composantes du vecteur de translation appliqué aux points digitalisés
: Permet de recharger un fichier de //////////////////////////////////////////////////////////////////////
calage contenant les coordonnées //
digitalisées et vraies des différents // COVADIS - SAUVEGARDE DES POINTS DE CALAGE
//
points. Les fichiers de points de calage // Fichier dessin : F:\Covadis\Exemple.dwg
sont au format ASCII (texte brut) et // Calage effectué le : 20/03/2001 à 17:20:44
possèdent l’extension ‘cld’. Un // Nombre de points : 8
exemple vous est donné ci-contre. //
//////////////////////////////////////////////////////////////////////
: Ce bouton vous permet 1 306644.602612 354734.063586 307500.000000 355500.000000
2 306942.308156 354840.619654 307897.279876 355500.000000
d’enregistrer les points de calage 3 307241.054909 354949.074296 308294.559752 355500.000000
(points digitalisés et points de 4 307166.126134 355155.471442 308294.559752 355774.471377
référence) dans un fichier sur disque 5 307091.197358 355361.868589 308294.559752 356048.942754
6 306792.450604 355253.413947 307897.279876 356048.942754
(voir l’option précédente). 7 306493.703851 355144.959306 307500.000000 356048.942754
« Calcul automatique » : cette option, 8 306568.632626 354938.562160 307500.000000 355774.471377
si elle est cochée, indique que les calculs
doivent être refaits après chaque modification apportée aux points digitalisés ou aux points de référence.
Après un calcul des coefficients de
transformation des points digitalisés, vous
pouvez visualiser les écarts sur les points en
sélectionnant le second onglet du dialogue :
« Ecarts sur les points ».
Différentes informations sont alors données
dans un tableau comme le montre l’exemple
ci-contre.
43 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
6. Validation
: Ce nouveau bouton à icône permet tout simplement de valider le paramétrage avant de pouvoir effectuer le recalibrage de tout
ou partie du dessin courant :
Sélectionnez les objets à transformer (<Entrée> = tout le dessin) :
REMARQUE :
La transformation des entités du dessin à partir de l’adaptation de Helmert se fait uniquement en 2D. Cela signifie que les altitudes
des entités sont conservées et ce, même si le facteur d’homothétie n’est pas égal à 1.
==============================================================================
RECAPITULATIF DU CALAGE POUR DIGITALISATION
==============================================================================
Nom du dessin traité : Exemple
Date de la digitalisation : 20/03/2001
Nombre de points de calage : 8
==============================================================================
Tableau des points utilisés
------------------------------------------------------------------------------
No X digit Y digit X vrai Y vrai
------------------------------------------------------------------------------
1 306644.603 354734.064 307500.000 355500.000
2 306942.308 354840.620 307897.280 355500.000
3 307241.055 354949.074 308294.560 355500.000
4 307166.126 355155.471 308294.560 355774.471
5 307091.197 355361.869 308294.560 356048.943
6 306792.451 355253.414 307897.280 356048.943
7 306493.704 355144.959 307500.000 356048.943
8 306568.633 354938.562 307500.000 355774.471
==============================================================================
Tableau des écarts
------------------------------------------------------------------------------
No X vrai Y vrai d X d Y X transf Y transf Ecart
------------------------------------------------------------------------------
1 307500.000 355500.000 1.443 1.268 307501.443 355501.268 1.921
2 307897.280 355500.000 -0.225 -0.477 307897.055 355499.523 0.528
3 308294.560 355500.000 0.143 -0.434 308294.703 355499.566 0.457
4 308294.560 355774.471 0.113 -0.180 308294.673 355774.291 0.213
5 308294.560 356048.943 0.083 0.074 308294.643 356049.016 0.111
6 307897.280 356048.943 -0.284 0.030 307896.996 356048.973 0.286
7 307500.000 356048.943 -0.652 -0.013 307499.348 356048.930 0.652
8 307500.000 355774.471 -0.622 -0.267 307499.378 355774.205 0.677
------------------------------------------------------------------------------
Valeur de l'E.M.Q. : 0.806143
Angle de rotation : -22.162554 gr
Rapport d'homothétie : 1.25115631
Coef. A d'adaptation : 1.17610291
Coef. B d'adaptation : -0.42681853
Vecteur de translation : -204551.237882,69179.103833
==============================================================================
44 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
COVADIS version 17
(C) Géomédia S.A.S. 1993-2018
Caractéristiques du calage
45 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
Cette commande permet de calculer la meilleure transformation (rotation et translation uniquement) afin de caler un dessin sur des
points connus en coordonnées planimétriques.
La saisie des couples de points de calage s’effectue exactement de la même façon que pour un recalage d’Helmert. Veuillez donc
vous référer à cette commande pour cette partie.
La boîte de dialogue ci-dessous est un exemple de saisie.
Une fois les couples de points saisis, le bouton effectue les opérations suivantes :
1) Calcul des coefficients de la transformation d’Helmert (avec un facteur Khomothétie différent de 1).
Equations : X transformé = P A Xdigitalisé B Ydigitalisé
Y transformé = Q B Xdigitalisé A Ydigitalisé
Les coefficients A et B sont alors égaux à A = Khomothétie cos(rotation) et B = K homothétie sin(rotation)
2) Division de A et B par K homothétie et attribution de la valeur 1 à K homothétie.
3) Calcul des points transformés avec ces paramètres puis recalcul de P et Q.
4) Calcul des points définitifs transformés, des écarts et de l’E.M.Q.
REMARQUE :
Puisque l’on force Khomothétie à 1, il est évident que l’E.M.Q obtenue sera toujours supérieure à celle d’un recalage d’Helmert
classique.
Après validation du dialogue, sélectionnez les objets à traiter ou tapez <Entrée> pour effectuer le traitement sur tout le dessin :
Sélectionnez les objets à transformer (<Entrée> = tout le dessin) :
46 Dessin assisté
RECALAGE D’HELMERT
47 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
47 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
48 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
IV.1. GÉNÉRALITÉS
L’objet utilisé par COVADIS TOPO pour représenter les points topographiques dans AutoCAD ® est un bloc avec attribut(s).
Sa partie graphique peut être soit un point (pour un diamètre nul) soit un anneau (pour un diamètre non nul).
Sa partie attributaire peut contenir chacun des attributs facultatifs suivants :
• matricule du point (étiquette de l’attribut = MAT),
• altitude du point (étiquette de l’attribut = ALT),
• code symbole du point (étiquette de l’attribut = COD),
• le poids horizontal du point (étiquette de l’attribut = PH), pour les fichiers issus de Topojis ®-Pc,
• le poids vertical du point (étiquette de l’attribut = PV), pour les fichiers issus de Topojis ®-Pc.
REMARQUE :
La notion de blocs points topographiques est très importante car ceux-ci sont utilisés dans de nombreuses fonctions de l’applicatif
COVADIS.
49 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
50 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
REMARQUE :
Lorsque les différentes données (matricule, X, Y, Z et code symbole) sont séparées par un ou plusieurs espaces, et que les
coordonnées sont en mètres, il est plus simple d’utiliser le format avec séparateur espace pour la lecture de ce type de fichiers.
51 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
52 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
53 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
REMARQUES :
Les deux formats de fichiers XLS et XLSX sont pris en compte par la commande.
Le fichier de configuration Defaut.cxl n’est pas fourni par défaut mais il sera automatiquement créé lors de la première
demande de paramétrage.
54 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Avant d’insérer un semis de points dans le dessin courant, vous devez définir le bloc point topographique à utiliser. Pour ce faire,
vous pouvez charger un fichier de définition existant ou en créer un nouveau. Cliquez sur le bouton à icône pour accéder à la
gestion des fichiers de configuration des points topographiques.
Le paramétrage du bloc point s’effectue à l’aide du
dialogue ci-contre.
Le groupe de paramètres Bloc point topographique
vous permet de spécifier :
• « Nom du bloc » : entrez dans cette zone de
saisie le nom du bloc à utiliser pour le dessin des
points topographiques.
• « Calque » : tapez le nom du calque d’insertion
des points topographiques ou sélectionnez-le
dans la liste des calques existants en cliquant sur
le bouton .
• « Diamètre du point » : spécifiez dans cette
zone de saisie le diamètre du piqué de point. Si la
valeur est nulle, une entité AutoCAD® de type
POINT sera utilisée, sinon, le point sera
matérialisé par un ANNEAU et un POINT.
• « Couleur de dessin » : utilisez la liste pour
indiquer la couleur de création du calque
d’insertion des points topographiques.
Les différents attributs des blocs points topographiques se configurent de manière identique. Spécifiez les paramètres de dessin d’un
attribut après avoir sélectionné l’onglet qui lui correspond.
• « Créer l’attribut » : ce bouton permet d’activer ou de désactiver la création de l’attribut dans la définition du bloc et, par
conséquent, sa présence dans le dessin. Vous remarquerez les deux icônes et à côté des libellés des onglets pour indiquer
si les attributs doivent être créés ( ) ou non ( ).
• « Calque » : permet de spécifier le nom du calque de dessin de l’attribut. Entrez son nom dans la zone de saisie ou sélectionnez-
le à l’aide du bouton à icône.
• « Style de texte » : le style de texte pour le dessin de l’attribut doit être sélectionné en cliquant sur le bouton à icône .
Reportez-vous au paragraphe I.8.4 pour de plus amples informations sur la sélection d’un style de texte.
• « Justification » : sélectionnez le mode de justification de l’attribut dans cette liste jaillissante. Les
différents modes possibles vous sont indiqués ci-contre.
• « Hauteur de l’attribut » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur de l’attribut en millimètres papier.
Le programme tiendra compte de l’échelle du dessin courant pour la conversion en unités dessin.
• « Couleur de dessin » : choisissez la couleur de dessin de l’attribut dans cette liste jaillissante. La
couleur n’est prise en compte que lors de la création du calque.
• « Rotation » : quatre valeurs vous sont proposées pour l’angle de rotation de l’attribut : 0, 100, 200 ou 300 grades.
• « Décalage en X » : il s’agit de la distance selon l’axe X entre
le point de semis et le point de justification de l’attribut. Hauteur du matricule
Décalage en X (> 0)
55 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
REMARQUES IMPORTANTES :
Seuls les fichiers de définition de points topographiques présents dans le répertoire de l’échelle courante peuvent être pris en
compte par la fonction. En effet, pour permettre les changements d’échelle, seuls les noms des fichiers sont stockés et non les
chemins d’accès complets.
Bien que cela ne soit pas obligatoire, il est fortement conseillé d’utiliser le même nom pour le bloc point topographique et
pour le fichier de définition. Par exemple, si vous désirez utiliser un point topographique nommé ‘PointTopo’, enregistrez
son fichier de définition sous PointTopo.bpt.
Dans chacun des répertoires d’échelle fournis avec COVADIS se trouve un fichier de configuration de point topographique
nommé tcpoint.bpt permettant de définir un bloc nommé TCPOINT.
Les fonctions de COVADIS qui permettent d’insérer des points topographiques (chargement de semis, traitement de fichier
géocodé, immatriculation, …) n’autorisent pas la redéfinition d’un bloc point topographique pour éviter les incohérences
entre les définitions des blocs et les insertions de ces blocs dans le dessin.
Les valeurs à donner pour le diamètre du point, pour les hauteurs d’attributs et les décalages entre le point de semis et ses
attributs sont à spécifier en millimètres. Les programmes effectuent automatiquement le calcul des valeurs correspondantes
en unités terrain (mètres) à partir de l’échelle courante lors de la définition d’un bloc point et de son insertion dans le dessin.
L’accrochage aux objets d’AutoCAD® à utiliser pour relier les points entre eux dépend de la valeur spécifiée pour le diamètre
du point. Si cette valeur est nulle utilisez l’accrochage NODal, et, si cette valeur est non nulle choisissez les accrochages
NODal ou CENtre pour les autres.
Il est toutefois maintenant préférable d’utiliser le nouvel accrochage « sur points topographiques » proposé avec votre logiciel
COVADIS et permettant d’accrocher les points topographiques même en sélectionnant l’un de leurs attributs.
La présence de l’attribut matricule d’étiquette MAT (ou NUMERO pour les fichiers créés avec le logiciel AutoMAP de la
société PC-Vision) est obligatoire dans les points topographiques pour que ceux-ci soient considérés comme tels par les
différentes fonctions de COVADIS.
56 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Le groupe de paramètres Altitudes vous permet de spécifier trois paramètres relatifs aux altitudes et aux attributs associés.
• « Nombre de décimales pour l’attribut » : sélectionnez dans la liste jaillissante le
nombre de décimales à utiliser pour les attributs altitudes des points topographiques dans
le dessin. La valeur couramment utilisée est 2.
• « Insérer les points pour Z = 0.0 » : si cette case est cochée, tous les points
rencontrés dans le fichier lu seront insérés dans le dessin. Si la case n’est pas cochée, les
points d’altitude nulle et sans altitude seront ignorés.
• « Mettre un attribut pour Z = 0.0 » : cochez cette case si vous désirez que les points d’altitude nulle et sans altitude soient
quand même dessinés avec une valeur de ‘0.0’ pour l’attribut altitude. Ce paramètre est essentiellement utilisé lorsque l’altitude
0.0 est significative (au bord de la mer par exemple).
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier le type d’insertion du semis de points (2D ou 3D), d’optimiser la création des
attributs ainsi que de configurer l’insertion automatique de symboles sur les points codés.
• « Insérer le semis de points… » : permet de choisir le mode d’insertion du semis de
points. Si l’option « 2D » est sélectionnée, les points du semis auront tous une altitude
nulle, mais les attributs altitudes (si présents) indiqueront quand même les altitudes des
points levés. Si c’est l’option « 3D » qui est sélectionnée, les points seront insérés à
leur altitude réelle (levée). Cette option est nécessaire pour la création des courbes de
niveaux, pour le dessin de modèles numériques de terrain, ...
• « Supprimer les attributs non renseignés » : cette option permet d’indiquer au programme de ne pas créer les attributs
sans valeur. Par exemple, si l’attribut code symbole est demandé et que l’option est validée, seuls les points ayant un code
symbole posséderont l’attribut d’étiquette COD. Ceci permet de réduire la taille du dessin en éliminant les attributs inutiles.
• « Insérer aussi les symboles sur les points » : cochez cette case si vous désirez utiliser le mécanisme d’insertion des
symboles à partir des codes lus dans le fichier de points. Dans ce cas, le bouton à icône sera actif et vous permettra de
paramétrer l’insertion des symboles.
57 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
• « Table des correspondances » : une table de correspondances peut être utilisée pour remplacer les codes symboles
directement par les noms des blocs à insérer. Spécifiez le nom de la table dans la zone de saisie ou sélectionnez-la en cliquant
sur le bouton . Chaque ligne de la table de correspondance doit être de la forme :
<code>,<symbole>[,<calque>[,<échelle en X>[,<échelle en Y>[,<échelle en Z>]]]]
où : <code> = code du point topographique lu dans le fichier,
<symbole> = nom du bloc à insérer sur le point topographique,
<calque> = nom du calque d’insertion du bloc (s’il n’est pas fourni, la valeur indiquée plus loin sera utilisée),
<échelle en X> = facteur d’échelle en X du bloc à insérer (si elle n’est pas fournie, la valeur indiquée plus loin sera utilisée),
<échelle en Y> = facteur d’échelle en Y du bloc à insérer (égale à l’échelle en X si non fournie),
<échelle en Z> = facteur d’échelle en Z du bloc à insérer (égale à l’échelle en X si non fournie).
Exemples :
1,Borne,Bornes,1
2,Plaque80,Eaux usées,0.8,0.8
3,Plaque120,Eaux usées,1.2,1.2
4,Arbre1,Arbres
5,Boite PTT,PTT,1,0.5,1.5
2. Paramétrage de l’insertion
• « Calque d’insertion » : indiquez dans cette zone de saisie le nom du calque d’insertion des symboles. Cette valeur ne sera prise
en compte que si une table de correspondances n’est pas utilisée ou pour les codes n’ayant pas de calque associé dans la table.
La valeur spéciale $AUTO permet de placer chaque symbole inséré dans un calque qui porte son nom.
• « Couleur de dessin » : il s’agit de la couleur utilisée lors de la création des calques d’insertion des symboles. Les calques déjà
existants avant le chargement du semis de points ne seront pas modifiés.
• « Echelle d’insertion des symboles » : cette valeur sera utilisée pour les facteurs d’échelle en X, Y et Z des symboles insérés
sauf si des valeurs différentes sont spécifiées dans une table de correspondance.
Ce groupe de paramètres vous permet de changer l’immatriculation des points lus dans le fichier avant leur insertion dans le dessin
ainsi que d’effectuer un filtrage sur les points à charger.
• « Nouveau radical » : entrez le radical alphanumérique que vous désirez donner à TOUS les
points du semis, ou laissez vide la zone d’édition si vous ne désirez pas effectuer de modification
(ou pas de radical).
Un matricule possédant un radical alphanumérique est de la forme <radical>.<indice>, le radical
pouvant comporter un nombre quelconque de caractères (lettres majuscules ou minuscules,
chiffres, caractères spéciaux), l’indice pouvant avoir une valeur allant de 1 à 999999.
(Exemples : P.10, LOT.123, ...)
Un matricule sans radical alphanumérique comporte uniquement une valeur numérique (numéro de point). La plupart des
logiciels de calculs topographiques (autres que Topojis®-PC) ne connaissent que ce type de matricules.
• « Incrément d’indice » : cette option vous permet d’ajouter une constante numérique à tous les indices des matricules. Par
exemple, si un premier semis de points a été chargé dans le dessin avec des numéros de points allant de 1 à 1800, et qu’un second
semis doit être inséré dans le même dessin avec des numéros de points allant de 1 à 700, il est préférable d’indiquer un incrément
d’indice de 1999 (par exemple) pour que les nouveaux points soient numérotés de 2000 à 2699 et qu’il n’y ait pas de matricules
doubles.
• « Premier matricule » : permet d’indiquer le matricule du premier point qui sera inséré dans le dessin, tous les points de
matricules inférieurs étant ignorés.
• « Dernier matricule » : permet d’indiquer le matricule du dernier point qui sera chargé dans le dessin, tous les suivants (de
matricules supérieurs) étant ignorés.
58 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Les trois paramètres de ce groupe vous permettent d’ajouter des valeurs constantes aux coordonnées
des points de semis.
Spécifiez les décalages en X, Y et Z dans les zones de saisie prévues à cet effet.
Si une coordonnée ne doit pas être modifiée, entrez une valeur nulle (0.0).
Cliquez sur le bouton « OK » du dialogue de configuration du chargement de semis pour valider les différents paramètres et
commencer le dessin des objets.
REMARQUE :
Vous rencontrerez peut-être le message d’erreur ci-contre. Il est affiché
lorsque les trois conditions suivantes sont réunies :
• un bloc point topographique est déjà défini dans le dessin courant,
• il existe au moins une insertion de ce bloc dans le dessin,
• vous tentez de charger un semis de point en utilisant un autre fichier de
définition mais avec le même nom pour le bloc point topographique.
Ces conditions indiquent que le bloc point topographique devrait être
redéfini, ce qui n’est pas autorisé.
Si le bloc déjà défini n’a pas encore été inséré dans le dessin, il vous sera
alors demandé s’il doit être redéfini (cela est possible puisqu’il n’y a encore
aucune insertion de ce bloc).
Si vous répondez non à la question, le bloc actuellement défini dans le
dessin sera alors automatiquement utilisé pour le chargement du semis, sauf
si vous cliquez sur le bouton « Annuler », auquel cas le programme
annulera le chargement du semis de points.
59 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet d’effectuer différents traitements sur les blocs points topographiques :
• Passage d’un semis de points de 2D en 3D si le bouton d’option « Mettre / garder les points en 3D » est sélectionné. Dans
ce cas, la valeur de l’attribut altitude sera utilisée pour le passage en 3D.
• Passage d’un semis de points de 3D en 2D si le bouton d’option « Mettre / garder les points en 2D » est sélectionné et si,
bien sûr, le semis de points a été inséré en 3D.
• Ajout d’une constante altimétrique aux attributs altitudes si la valeur à ajouter aux altitudes est non nulle, si le semis de points
est en 2D et que le bouton « Mettre ... en 2D » est choisi.
• Ajout d’une constante altimétrique aux attributs altitudes et mise à jour de l’altitude des points topographiques si la valeur à
ajouter aux altitudes est non nulle, si le semis de points est en 3D et que le bouton « Mettre ... en 3D » est choisi.
• Modification du nombre de décimales dans les attributs altitudes à condition que les blocs points soient insérés en 3D.
Le dialogue de paramétrage de la fonction se présente
comme indiqué ci-contre.
2. Opérations à effectuer
« Mettre / garder les points en 2D » : si cette option est choisie, les points topographiques sélectionnés seront mis à l’altitude
nulle. Cette option n’influe pas sur le contenu de l’éventuel attribut altitude des points traités.
« Mettre / garder les points en 3D » : cette option indique que les points topographiques sélectionnés seront mis en 3D. Si un
point est déjà à une altitude non nulle, celle-ci sera conservée. Si un point est à une altitude nulle, son nouveau Z sera pris dans
son attribut altitude. Si l’attribut n’est pas présent, le point restera à l’altitude zéro.
• « Constante altimétrique à ajouter » : cette valeur sera ajoutée à toutes les altitudes des points si l’option de mise en 3D est
choisie et aux valeurs des attributs altitudes.
• « Nouveau nombre de décimales » : utilisez cette liste pour changer le nombre de décimales affichées dans les attributs
altitudes. Ce nombre n’influe en rien sur l’altitude des points insérés en 3D.
60 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet d’insérer des nouveaux points topographiques aux points indiqués par l’utilisateur.
Si aucun point topographique n’est actuellement défini dans le dessin courant, le dialogue de paramétrage sera affiché avec le dernier
fichier de définition utilisé proposé par défaut. Sélectionnez le fichier de configuration à utiliser puis validez le dialogue comme
cela est décrit au paragraphe IV.2.2.
Si au moins un point topographique est maintenant défini dans le
dessin, le dialogue ci-contre est affiché pour vous permettre de
spécifier les différentes options pour l’insertion des points.
4. Attributs
On trouve, dans ce groupe de paramètres, un onglet pour chaque attribut -
autre que le matricule - présent dans la définition du bloc point.
Pour valider la création de l’attribut lors de l’insertion du bloc, enfoncez
le bouton « Créer l’attribut ».
61 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Trois possibilités sont offertes pour renseigner les valeurs des attributs :
« Aucune valeur » : l’attribut ne sera pas renseigné lors de l’insertion du bloc.
« Entrée manuelle » : vous devrez spécifier la valeur de l’attribut pour chaque nouveau point dessiné.
« Valeur constante » : la valeur indiquée dans la zone de saisie sera automatiquement affectée pour cet attribut à tous les blocs
points topographiques insérés avec ce paramétrage.
Dans le cas de l’attribut altitude une option supplémentaire vous permet d’indiquer que la valeur de l’attribut doit être prise dans
l’altitude d’insertion des points topographiques. Le nombre de décimales pour le texte de l’attribut est alors paramétrable.
Le paramétrage de la fonction étant maintenant effectué, cliquez sur le bouton « OK » pour le valider et indiquez les emplacements
des nouveaux points topographiques en accrochant, par exemple, les points caractéristiques d’entités dessinées (extrémités de lignes,
sommets de polylignes, …).
Le message d’invite sur la ligne de commande est le suivant :
Point à immatriculer ou [Paramètres/Rotation/caLque] :
et vous permet, en cours de saisie des points, de modifier les paramètres (option Paramètres), d’indiquer une orientation pour l’axe
X des points topographiques (option Rotation), ou de changer le calque d’insertion des blocs (option caLque).
En fonction de la configuration faite, il peut vous être demandé de valider le matricule ou d’en entrer un autre :
Matricule du point ou [Fin de liste = N.2] <N.2> :
ainsi que de spécifier la valeur d’un attribut :
Altitude du point 'N.2' <0.00> :
Cette fonction permet de créer de nouveaux points topographiques en les insérant automatiquement sur les points caractéristiques
des objets construits dans le dessin.
Le paramétrage est identique à celui de la fonction précédente. Après validation des valeurs,
le dialogue ci-contre est affiché pour demander si les centres des arcs et des cercles doivent
aussi être immatriculés. Cliquez sur le bouton correspondant au traitement à effectuer.
Vous pouvez maintenant sélectionner les entités à immatriculer. Comme pour la fonction
précédente, si des entrées manuelles ont été paramétrées (matricules ou attributs), le
programme s’arrêtera à chaque point pour vous permettre de donner les valeurs attendues.
62 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Comme les deux fonctions précédentes, l’implantation de clothoïdes permet de créer de nouveaux points topographiques le long
d’une clothoïde déjà calculée.
Son paramétrage est rigoureusement identique à celui de la fonction de dessin des points.
Une fois celui-ci effectué, vous devez donner les informations suivantes :
1. point de tangence avec l’alignement droit (point de départ de la clothoïde),
2. second point de l’alignement droit (dans la direction opposée à la tangente de départ),
3. valeur de la constante ‘A’ de la clothoïde calculée (avec son signe),
4. abscisse curviligne du point à calculer (si aucune valeur n’est entrée : retour au 1),
5. distance du point de profil gauche (ou 0.0 si aucun), la valeur précédemment utilisée étant proposée par défaut,
6. distance du point de profil droit (ou 0.0 si aucun), la valeur précédemment utilisée étant proposée par défaut,
7. retour à l’étape 4, pour entrer une nouvelle abscisse.
Comme pour la fonction précédente, si des données sont à entrer manuellement (contrôle des matricules, valeurs des attributs),
celles-ci seront demandées avant l’insertion de chaque point topographique.
63 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet de modifier des objets dans un dessin pour faire correspondre leurs caractéristiques géométriques (sommets,
centres, points d’insertion) avec les positions des points topographiques.
Le paramétrage se fait à l’aide du dialogue ci-contre.
La commande a été complétée pour afficher un dialogue récapitulatif
des opérations effectuées et des sommets restant à traiter.
1. Points topographiques à prendre en compte
Indiquez dans ce groupe de paramètres le mode de sélection des points
topographiques devant servir de support aux objets à traiter :
« Sélection manuelle » : les points topographiques seront à
sélectionner graphiquement après l’appui sur le bouton « OK » ou
après la sélection des objets à traiter si le bouton à icône a été
utilisé.
« Tous les points du dessin » : tous les points topographiques du
dessin seront automatiquement pris en compte.
« Tous les points contenus dans la liste » : seuls les points
topographiques contenus dans la liste seront pris en compte pour
le traitement. Cette option est désactivée si la liste est vide.
2. Objets à traiter
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les types des objets
à traiter (en cochant les cases correspondantes), ainsi que les calques
contenant ces objets.
Le bouton vous permet de modifier la liste des calques alors que
le bouton sert à supprimer l’élément courant (s’il y en a un) dans
la liste.
L’option « Utiliser les noms de calques pour filtrer la sélection manuelle » doit être utilisée lorsque vous désirez sélectionner
manuellement les objets à traiter et que seuls les objets dessinés dans les calques de la liste doivent être pris en compte.
3. Paramètres de traitement
« Rayon de recherche des points topographiques de corrélation » : indiquez dans cette zone de saisie le rayon de recherche des
points autour des sommets, centres ou points d’insertion des entités à modifier.
« Conserver les altitudes des objets en 3D » : si cette case n’est pas cochée, les altitudes des points caractéristiques des entités
modifiées seront automatiquement mises à zéro.
« Mettre en 3D les objets traités (si cela est possible) » : si cette case est cochée, les altitudes des points caractéristiques des
entités traitées seront aussi modifiées pour correspondre aux altitudes des points d’appui. Bien sûr seules les entités cercles,
lignes, polylignes 3D, symboles et faces 3D pourront subir cette transformation.
Cliquez sur le bouton « OK » pour valider le paramétrage et effectuer le traitement ou sur le bouton pour sélectionner
préalablement les objets à transformer.
126 126
123 123
125 125
124 128 124 128
127 127
64 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cliquez le bouton pour dessiner un cercle autour de chaque sommet restant à corréler.
REMARQUES :
En cliquant la case « Masquer les sommets traités », la grille affiche uniquement les sommets non corrélés (lignes de
couleur orange).
Les coordonnées X et Y sont affichées avec 3 décimales. La valeur de Z utilise le nombre de décimales courant du dessin.
65 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet de créer automatiquement la liste de tous les points topographiques du dessin courant sans que l’utilisateur
n’ait à paramétrer les noms des blocs points et leurs calques d’insertion.
Après création de la liste, le nombre de points valides est affiché sur la ligne de commande :
718 points topographiques étaient valides.
REMARQUE :
Pour vider complètement la liste des points topographiques du
dessin courant, choisissez tout d’abord l’option « Remplacer »
puis annulez le dialogue de paramétrage.
66 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
2. Les menus
Trois menus déroulants proposent des commandes concernant la sélection des points de la liste, la modification des points
sélectionnés, et différents moyens de zoomer dans le dessin.
Le fonctionnement de chaque commande de menu est présenté dans le chapitre suivant.
3. La barre d’outils
Sous le titre, une barre d’outils, composée de boutons, d’une liste déroulante et de deux cases à cocher permet d’effectuer rapidement
et facilement des opérations sur les points topographiques affichés (sélection, modification, listing, zoom ...).
Le fonctionnement de chaque composant de la barre d’outils est présenté dans le chapitre suivant.
REMARQUE :
En double-cliquant une ligne de la grille, vous pouvez éditer les caractéristiques du point topographique courant. A la sortie du
dialogue d’édition, les nouvelles valeurs validées sont affichées dans la grille. Si le Z ou l’attribut ALT sont modifiés, alors le
point topographique correspondant est aussi mis à jour dans le dessin.
67 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
1 2 3 4 5 6 7
• Le bouton permet de sélectionner des points topographiques en mode « Trajet ». Indiquez les polylignes de sélection dans
le dessin. Les points topographiques dont le point d’insertion se trouve sur le passage d’une polyligne de sélection sont
automatiquement sélectionnés.
Le message suivant est affiché sur la ligne de commande pour vous inviter à effectuer une sélection de polylignes :
Indiquez les polylignes de sélection ou [caLques] :
Tapez L ou choisissez l’option « caLques » pour sélectionner toutes les polylignes contenues dans un ou plusieurs calques.
Une fois les polylignes choisies, un message récapitule le nombre de points topographiques mis dans la sélection :
2 point(s) topographique(s) dans la sélection
• Le bouton permet de sélectionner des points topographiques en mode « Capture ». Indiquez les contours de sélection dans
le dessin. Les points topographiques situés à l’intérieur d’un contour de sélection sont automatiquement sélectionnés.
Le message suivant est affiché sur la ligne de commande pour vous inviter à effectuer une sélection de polylignes :
Indiquez les contours de sélection ou [caLques] :
Tapez « L » ou choisissez l’option « caLques » pour sélectionner toutes les polylignes contenues dans un ou plusieurs calques.
Une fois les polylignes choisies, un message récapitule le nombre de points topographiques mis dans la sélection :
=> 5 point(s) topographique(s) dans la sélection
• Le bouton permet de sélectionner des points topographiques en mode « Bande de recherche » autour d’une polyligne.
Cliquez les points ou sélectionnez la polyligne. Puis indiquez la largeur de recherche autour de la polyligne, manuellement à la
ligne de commande, ou graphiquement en déplaçant le curseur.
Cliquez les points ou [Polyligne] : p
Sélectionnez une polyligne (2D ou 3D) non fermée :
Demi-largeur de la bande de recherche :
Demi-largeur = 5.00 mètres.
=> 6 point(s) topographique(s) dans la sélection
68 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
REMARQUES :
A la sortie du dialogue, l’altitude des points topographiques du dessin est la valeur d’altitude (Z) affichée dans la grille.
Quand l’attribut ALT est modifié, le nombre de décimales utilisé est le même que le champ « Nouveau nombre de
décimales » de la commande Cov. Edition → Point topographiques → Modification altitudes.
Si un point topographique existe dans la liste mais pas dans le dessin, alors il est automatiquement supprimé de la liste.
Si la position d’un point topographique de la liste est différente de la position réelle dans le dessin, alors c’est la position dans
le dessin qui est affichée et la liste est mise à jour.
Il est nécessaire de cocher l’option « Mettre à jour l’attribut ALT » du menu Modification pour actualiser l’attribut après
une modification du Z.
4) Le bouton de listing
Ce bouton affiche un dialogue de paramétrage de l’écriture du listing des points topographiques.
Sélectionnez le format d’écriture du listing :
« RTF » : un fichier au format RTF sera créé.
« XLS » : un fichier au format XLS sera créé.
« DWG » : le listing sera écrit dans le dessin sous forme d’un tableau.
Dans le champ « Titre », renseignez le titre du listing.
Choisissez les données à écrire en cochant les options correspondantes (le
matricule et les coordonnées X et Y sont toujours écrits).
Indiquez si le listing doit contenir « Seulement les points sélectionnés », ou
s’il doit contenir « Toute la liste ».
Puis choisissez le nombre de décimales pour l’écriture des coordonnées.
69 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Les options suivantes sont actives seulement dans le cas d’un listing « DWG ».
Le tableau des points est dessiné sous la forme d’un ‘vrai’ tableau. La représentation de ce tableau est gérée par un style de tableau
(commande de menu Format → Style de tableau) nommé CovadisTableauPTopo
Ce style de tableau gère le format d’écriture du titre, des en-têtes de colonnes et des données.
REMARQUES :
Si le style de tableau n’existe pas, il est créé automatiquement et ajouté au dessin.
Si le style de tableau existe déjà, alors il est utilisé prioritairement au paramétrage du dialogue.
Renseignez le nom du calque de dessin du tableau, ou cliquez le bouton pour choisir un calque existant.
Cochez l’option « Courant » pour dessiner le tableau dans le calque courant.
Sélectionnez la couleur du calque de dessin dans la liste déroulante.
Cliquez le bouton pour sélectionner le style d’écriture des textes, qui s’affiche dans le champ « Style ».
Conservez la hauteur de texte du style, ou renseignez la hauteur des textes.
Renseignez l’écart entre 2 lignes du tableau, qui correspond à la hauteur d’une cellule.
Cliquez « OK » pour valider le paramétrage, puis cliquez le point haut gauche du tableau dans le dessin.
70 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Un menu contextuel, accessible par clic droit dans la grille, propose des commandes
complémentaires aux boutons de la barre d’outils.
REMARQUES :
Le jeu de sélection peut être utilisé lors de la prochaine demande d’un choix d’objets en tapant simplement « P » au clavier
(pour « sélection Précédente ») à la question : Choix des objets.
Le jeu de sélection peut aussi être utilisé par les commandes d’édition des points topographiques : quand une commande
demande les points topographiques à prendre en compte, choisissez le mode « sélection manuelle » puis tapez « P » comme
Précédent.
Les lignes des points contenus dans le jeu de sélection sont affichées en couleur bleue.
• La commande « Supprimer de la liste » supprime les points sélectionnés de la liste courante. Ils ne sont plus affichés dans la
grille mais restent présents dans le dessin.
• La commande « Supprimer de la liste et du dessin » supprime les points sélectionnés de la liste courante, et les enlève du
dessin (par exemple, pour effacer tous les points d’altitude nulle, ou pour effacer un point trop proche d’un autre point). Ils ne
sont plus affichés dans la grille.
• La commande « Recréer la liste de tous les points » vide la liste courante, et recrée une nouvelle liste à partir des points
topographiques du dessin.
• La commande « Afficher les coordonnées en SCU » permet de modifier le mode d’affichage des coordonnées pour prendre
en compte le repère du SCU courant. Quand les coordonnées sont déjà affichées en SCU, l’intitulé du menu devient « Afficher
les coordonnées en SCG » pour réafficher les coordonnées en repère général.
Pour changer le facteur de zoom automatique autour du point courant, utilisez la commande « Modifier la taille du zoom auto »
et entrez une nouvelle valeur. Une petite valeur (resp. une grande valeur) provoque un zoom plus précis (resp. plus étendu).
Le menu Sélection regroupe des commandes relatives à la sélection de points topographiques, dans la grille ou dans le dessin.
Le menu Modification permet de modifier les attributs ou l’altitude d’un point topographique.
Le menu Zoom permet de modifier l’étendue du zoom dans le dessin.
71 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette commande permet de visualiser tous les points topographiques du dessin, en conservant les éventuels doublons. En cas de
doublons détectés, un avertissement est affiché. Les doublons sont écrits en orange dans la liste déroulante afin de mieux les repérer.
Chaque matricule d’un doublon peut être modifié par la commande du menu Modification → Edition du point ou en
double-cliquant la ligne du point dans la liste.
Une commande du menu Modification permet de ré-immatriculer les points topos en doublon, en commençant la nouvelle
numérotation après le plus grand indice utilisé par les matricules. Un point topographique en doublon est inchangé, les autres points
de même matricule sont renumérotés.
Cette fonction vous permet de visualiser les différents matricules utilisés pour les points topographiques.
Vous devez pour cela commencer par sélectionner les
points à prendre en compte.
Le choix s’effectue grâce au dialogue ci-contre.
« Nom(s) des blocs points + calque(s) » : les blocs
points topographiques seront sélectionnés à partir des
informations données dans les deux listes de droite :
noms des blocs et calques d’insertion des blocs.
Le bouton permet de choisir les noms des blocs à
traiter alors que le bouton permet de choisir leurs
calques de dessin.
Le bouton permet, quant à lui, de supprimer un
élément sélectionné dans une liste.
« Sélection manuelle » : indique que les points
topographiques seront sélectionnés manuellement.
Si la case « Utiliser pour filtrer la sélection
manuelle est cochée », les points topographiques
sélectionnés devront correspondre obligatoirement aux noms de blocs et aux calques indiqués dans les listes.
Après validation du dialogue, vous devrez sélectionner graphiquement les points topographiques à traiter dans le dessin.
« Tous les points du dessin » : choisissez cette option si tous les points topographiques présents dans le dessin courant doivent
être traités. Seuls les blocs possédant l’attribut matricule (MAT ou NUMERO) seront pris en compte.
« Tous les points contenus dans la liste » : si cette option est active, cela indique que la liste des points topographiques pour
le dessin courant n’est pas vide. Choisissez l’option pour que les points contenus dans la liste soient pris en compte pour le
traitement.
Si la case « Filtrage par matricules » est cochée, seuls les points topographiques dont le matricule est supérieur ou égal à la
valeur de « Premier matricule » et inférieur ou égal à la valeur de « Dernier matricule » seront pris en compte pour le traitement.
Ceci vous permet de ne modifier que les points topographiques concernés.
L’option « Filtrer par altitudes » vous permet de filtrer selon les altitudes des points, en saisissant les altitudes minimale et
maximale des points à prendre en compte.
72 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Une fois la sélection des blocs effectuée, le dialogue ci-contre est affiché.
Si différents noms de blocs ont été pris en compte, choisissez celui
pour lequel vous désirez afficher les matricules en utilisant la liste à gauche.
Les matricules sont triés par ordre croissant avec, dans la colonne de gauche,
les différents radicaux utilisés (s’il y en a), et, dans les colonnes de droite, la
liste des indices associés.
Des statistiques diverses sont également affichées :
• le nombre de points traités,
• les coordonnées du coin bas-gauche et du coin bas-droit,
• l’altitude minimale et l’altitude maximale de tous les points sélectionnés.
Le bouton permet de créer un fichier contenant toutes les informations relatives aux matricules des blocs sélectionnés. Le
fichier proposé par défaut sera composé du nom du dessin en cours (avec son chemin d’accès) et de l’extension ‘mat’.
#########################################################
# COVADIS - RECAPITULATIF DES MATRICULES UTILISES #
#=======================================================#
# Nom du dessin : F:\Covadis\Exemple.dwg #
# Traitement du : 20/03/2001 à 17:20:30 #
#########################################################
# Nom du bloc point topographique = TCPOINT #
#===========================#===========================#
# Radical ! Indices # Radical ! Indices #
#---------!-----------------#---------!-----------------#
# E ! 4 # E ! 10 #
# E ! 14 - 15 # E ! 18 - 23 #
# E ! 25 - 81 # E ! 83 - 96 #
# E ! 98 - 112 # E ! 114 - 140 #
# E ! 142 - 153 # E ! 155 - 168 #
# E ! 170 - 201 # E ! 203 - 225 #
# E ! 227 - 230 # E ! 233 #
# E ! 236 # E ! 248 #
# E ! 253 # E ! 262 - 263 #
# E ! 374 # E ! 378 - 379 #
# E ! 386 - 400 # E ! 402 - 405 #
# E ! 407 - 410 # E ! 412 - 427 #
# E ! 450 - 458 # E ! 460 - 461 #
# E ! 555 # E ! 559 #
# E ! 678 # E ! 751 #
# E ! 753 # E ! 757 - 758 #
#########################################################
73 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet de dessiner un tableau de coordonnées de points topographiques directement dans AutoCAD ®.
Cette commande du sous-menu Points topographiques dessine désormais un tableau de coordonnées des points topographiques
directement dans AutoCAD®, comme le fait déjà le bouton « Listing » du dialogue affichant la liste des points topographiques.
Ce tableau est géré par le style de tableau nommé CovadisTableauPTopo, qui permet de modifier simplement sa représentation.
Le choix des points à prendre en compte s’effectue grâce au dialogue présenté au paragraphe IV.11.
Une fois la sélection des points topographiques effectuée, le dialogue ci-contre
vous permet alors de configurer le dessin du tableau des points.
Le tableau des points est dessiné sous la forme d’un ‘vrai’ tableau. La
représentation de ce tableau est gérée par un style de tableau (commande de menu
Format → Style de tableau) nommé CovadisTableauPTopo
Ce style de tableau gère le format d’écriture du titre, des en-têtes de colonnes et
des données.
REMARQUES :
Si le style de tableau n’existe pas, il est créé automatiquement et ajouté au dessin.
Si le style de tableau existe déjà, alors ses propriétés sont remplacées par celles du dialogue de paramétrage.
74 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Ce groupe de paramètres vous permet de configurer la sélection des points topographiques à traiter.
« Nom(s) des blocs points + calque(s) » : les blocs points topographiques seront sélectionnés à partir des informations
données dans les deux listes de droite : noms des blocs et calques d’insertion des blocs.
Le bouton permet de choisir les noms des blocs à traiter alors que le bouton permet de choisir leurs calques de dessin.
Le bouton permet, quant à lui, de supprimer un élément sélectionné dans une liste.
« Sélection manuelle » : indique que les points topographiques seront sélectionnés manuellement.
Si la case « Utiliser pour filtrer la sélection manuelle est cochée », les points topographiques sélectionnés devront
obligatoirement correspondre aux noms de blocs et aux calques indiqués dans les listes.
Après validation du dialogue, vous devrez sélectionner les points topographiques à traiter dans le dessin.
« Tous les points du dessin » : choisissez cette option si tous les points topographiques présents dans le dessin courant doivent
être traités. Seuls les blocs possédant l’attribut matricule (MAT ou NUMERO) seront pris en compte.
« Tous les points contenus dans la liste » : si cette option est active, cela indique que la liste des points topographiques pour
le dessin courant n’est pas vide. Choisissez l’option pour que les points contenus dans la liste soient pris en compte pour le
traitement.
Si la case « Filtrage par matricules » est cochée, seuls les points topographiques dont le matricule est supérieur ou égal à la
valeur de « Premier matricule » et inférieur ou égal à la valeur de « Dernier matricule » seront pris en compte pour le traitement.
Ceci vous permet de créer le fichier uniquement pour les points topographiques désirés.
75 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Différents formats de fichiers de points peuvent être écrits par COVADIS. La sélection
du format se fait dans la liste jaillissante libellée « Format du fichier ».
Le nom du fichier de points à créer peut être saisi dans la zone d’édition « Nom », ou
sélectionné sur le disque en cliquant sur l’icône . Dans ce cas, les extensions
proposées pour les fichiers dépendront du format de fichier choisi.
Un troisième paramètre peut être nécessaire si le fichier de
points est au format colonné, délimité par des séparateurs,
au format Leica® ou au format Sokkia® : il s’agit du nom
du fichier de configuration du format. L’exemple ci-contre
vous montre la partie du dialogue pour un fichier de points
au format Leica®.
Les derniers fichiers de paramétrage utilisés sont toujours proposés par défaut. Pour sélectionner ou pour modifier un fichier de
paramétrage, cliquez simplement sur le bouton .
Le groupe d’éléments Paramètres pour l’écriture vous permet de spécifier différentes options :
« Supprimer les radicaux alphanumériques » : si les matricules des points topographiques sélectionnés pour l’écriture du
fichier contiennent des radicaux, ceux-ci seront automatiquement supprimés si cette case est cochée. Par exemple, le matricule
du point EU.123 sera transformé en 123 dans le fichier.
« Supprimer les points d’altitude nulle » : si cette case est cochée, les points sans altitude (à Z = 0.0 dans AutoCAD®) seront
automatiquement omis lors de l’écriture du fichier.
• « Alignements dans les colonnes » : ce sous-groupe de paramètres permet d’indiquer les côtés d’alignement des matricules
et codes symboles dans leurs colonnes respectives. Cliquez sur les boutons pour sélectionner les modes d’alignement désirés.
76 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Le groupe d’éléments Paramètres pour l’écriture vous permet de spécifier différentes options :
« Supprimer les radicaux alphanumériques » : si les matricules des points topographiques sélectionnés pour l’écriture du
fichier contiennent des radicaux, ceux-ci seront automatiquement supprimés si cette case est cochée. Par exemple, le matricule
du point EU.123 sera transformé en 123 dans le fichier.
« Supprimer les points d’altitude nulle » : si cette case est cochée, les points sans altitude (à Z = 0.0 dans AutoCAD®) seront
automatiquement omis lors de l’écriture du fichier.
• « Nombre de décimales » : utilisez cette liste jaillissante pour spécifier le nombre de décimales pour l’écriture des
coordonnées dans le fichier de points.
Comme pour le format colonné vu précédemment, le menu « Fichier » permet de gérer différents fichiers de paramétrage.
L’appui sur le bouton libellé « Terminer » est équivalent à la sélection de l’option « Quitter » du menu, ainsi qu’à l’appui sur
l’icône de fermeture de la fenêtre .
77 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Si la case « Ecrire la ligne de fin de fichier » (! ----+) est cochée, cette séquence de caractères (nécessaire à certains systèmes)
sera automatiquement écrite à la fin du fichier de points.
4. Décalage d’origine
Entrez dans les zones de saisie les valeurs à soustraire aux abscisses (X) et ordonnées (Y) de tous les points topographiques
sélectionnés avant leur écriture dans le fichier.
Ce décalage ne peut être utilisé qu’avec le format de données sur 8 caractères. Il est inutile si les coordonnées restent inférieures à
10000.0 et que le nombre de décimales n’est pas supérieur à 3.
Comme pour les formats vus précédemment, le menu « Fichier » permet de gérer différents fichiers de paramétrage.
L’appui sur le bouton libellé « Terminer » est équivalent à la sélection de l’option « Quitter » du menu, ainsi qu’à l’appui sur
l’icône de fermeture de la fenêtre .
78 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
2. Décalage d’origine
Entrez dans les zones de saisie les valeurs à soustraire aux abscisses (X) et ordonnées (Y) de tous les points topographiques
sélectionnés avant leur écriture dans le fichier.
Ce décalage est nécessaire pour le format SDR20 si le nombre de caractères pour les coordonnées est supérieur à 10.
Comme pour les formats vus précédemment, le menu « Fichier » permet de gérer différents fichiers de paramétrage.
L’appui sur le bouton libellé « Terminer » est équivalent à la sélection de l’option « Quitter » du menu, ainsi qu’à l’appui sur
l’icône de fermeture de la fenêtre .
79 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
REMARQUES :
Les deux formats de fichiers XLS et XLSX sont pris en compte par la commande.
Le fichier de configuration Defaut.cxl n’est pas fourni par défaut mais il sera automatiquement créé lors de la première
demande de paramétrage.
REMARQUE :
Dans le cas où le code symbole correspondrait au nom des blocs insérés et que deux blocs se trouvent au point d’insertion du
point topographique, les deux noms des blocs seront concaténés. Exemple : si les blocs PTT01 et ECL03 sont placés au même
point, la chaîne inscrite dans le fichier sera : ‘PTT01 + ECL03’.
GéoBase COVADIS
000001 Point P.1005 0 350175.3301 212140.3153 174.2856 gw06
000002 Point P.1006 0 350175.9522 212140.7680 172.6598
000003 Point P.1009 0 350170.0474 212144.5434 173.5482
000004 Point P.1010 0 350173.1806 212146.7534 173.8214
000005 Point P.1011 0 350176.2582 212148.9240 174.0254
000006 Point P.1015 0 350171.7566 212141.5848 174.3265 v017
000007 Point P.1016 0 350175.6769 212144.2709 174.3564 v017
000008 Point P.1017 0 350179.5808 212147.2061 173.8234 v017
000009 Point P.1041 0 350175.6896 212133.9534 173.9962
000010 Point P.1143 0 350180.7392 212135.3841 172.1485 gw01
000011 Point P.1144 0 350182.1492 212136.3786 0.0000
000012 Point P.1145 0 350182.2957 212135.6322 0.0000
000013 Point P.1146 0 350182.6380 212142.5981 172.7234 gw05
000014 Point P.1147 0 350182.0779 212142.5670 0.0000
80 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
81 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
82 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet de modifier les caractéristiques suivantes d’un point topographique :
• calque d’insertion,
• coordonnées du point d’insertion (X, Y et Z),
• angle de rotation,
• facteurs d’échelle (en X, Y et Z),
• valeur des attributs matricule, altitude et code symbole (si présents).
Pour valider les modifications effectuées, il vous suffit de cliquer sur le bouton « OK » ou sur le bouton « Appliquer ». Ce dernier
vous permet en outre de ne pas quitter le dialogue, soit pour effectuer une autre modification, soit pour sélectionner dans le dessin
un autre point topographique à éditer grâce au bouton .
REMARQUES :
La valeur de l’attribut altitude (s’il est présent dans le bloc point topographique) est automatiquement mise à jour après chaque
changement dans la zone d’édition « Z = ».
Le champ « Z = » est affiché en orange si la valeur est nulle et si l’option « Z = 0 => orange » de la liste des points
topographiques est cochée.
Si le point topographique modifié est contenu dans la liste globale (voir les paragraphes IV.8, IV.9 et IV.10) celle-ci sera
automatiquement mise à jour après la commande d’édition.
83 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Un menu contextuel, accessible par un clic-droit, a été mis en place pour les blocs « Points topographiques ». Il propose des
commandes permettant d’agir sur les points topographiques sélectionnés.
• « Edition » : cette fonction, grisée si plusieurs points topos. sont sélectionnés, affiche le dialogue d’édition d’un point topo
permettant de modifier ses caractéristiques (valeur des attributs matricule, altitude et code symbole, coordonnées X Y et Z,
angle de rotation, facteurs d’échelle, calque d’insertion).
• « Afficher les photos » : cette fonction concerne les points topographiques ayant un lien avec des photographies prises sur le
terrain, c’est-à-dire ayant un attribut ATT_PHOTO et contenant le chemin complet vers la photo.
• « Attribut ALT => Z Point » : cette fonction permet de mettre à jour les altitudes d’insertion des points topographiques
sélectionnés à partir du contenu de leur attribut altitude.
• « Z Point => Attribut ALT » : cette fonction permet de mettre à jour les attributs altitudes des points topographiques
sélectionnés à partir de leur altitude d’insertion
• « Sélectionner similaires » : cette fonction crée un jeu de sélection des points topographiques du dessin ayant le même nom
et le même calque.
• « Hauteur des matricules » : cette fonction permet de modifier la hauteur de texte de tous les attributs matricules des points
topographiques sélectionnés
• « Hauteur des altitudes » : cette fonction permet de modifier la hauteur de texte de tous les attributs altitudes des points
topographiques sélectionnés
• « Décalage des matricules » : cette fonction permet de modifier la position des attributs matricules par rapport aux points
d’insertion des points topographiques
• « Décalage des altitudes » : cette fonction permet de modifier la position des attributs altitudes par rapport aux points
d’insertion des points topographiques
• « Mettre en 2D » : cette fonction déplace le point d’insertion à Z=0.0, sans changer la valeur de l’attribut altitude.
• « Suppression points doubles » : cette commande supprime des points trop proches, en comparant la position des points
deux à deux et supprime le premier créé pour n’en garder qu’un seul.
• « Dessiner le tableau des points » : cette fonction permet de dessiner un tableau des coordonnées des points topographiques
directement dans AutoCAD®.
• « Rotation attributs / point » : cette fonction permet de faire tourner les attributs des points topographiques.
• « Réajustement / symbole » : cette fonction permet de modifier les points topographiques sélectionnés en déplaçant les
attributs matricule et altitude de telle sorte qu’ils ne chevauchent plus les symboles insérés aux mêmes points.
84 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet de créer un jeu de sélection contenant uniquement les points topographiques dont les matricules sont entrés
sur la ligne de commande.
Ceci implique que la liste des points topographiques (voir § IV.14) doit avoir préalablement été créée et que seuls les points contenus
dans la liste seront pris en compte.
La sélection pourra être utilisée lors de la prochaine demande d’un choix d’objets en tapant simplement « P » au clavier (pour
« sélection Précédente »).
REMARQUES :
Les séries de matricules peuvent être données dans l’ordre croissant ou décroissant des matricules. Ainsi « 100−105 » et
« 105−100 » sont toutes les deux des séries correctes.
Si l’un des matricules d’une série n’existe pas dans la liste des points topographiques, le reste de la série sera quand même
pris en compte et un message d’avertissement sera affiché :
Attention : matricule '109' non trouvé !
Cette fonction permet de mettre dans un jeu de sélection les points topographiques se trouvant sur le passage des polylignes
sélectionnées graphiquement ou par calques.
Le message suivant est affiché sur la ligne de commande pour vous inviter à effectuer une sélection de polylignes :
Indiquez les polylignes de sélection ou [caLques] :
Tapez « L » ou chosissez l’option « caLques » pour sélectionner toutes les polylignes contenues dans un ou plusieurs calques.
Une fois les polylignes indiquées, les messages suivants vous récapitulent les nombres de polylignes choisies et de points
topographiques mis dans la sélection :
1 polyligne(s) sélectionnée(s).
=> 12 point(s) topographique(s) dans la sélection.
La sélection pourra être utilisée lors de la prochaine demande d’un choix d’objets en tapant simplement « P » au clavier (pour
« sélection Précédente »).
85 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette fonction permet de mettre dans un jeu de sélection les points topographiques se trouvant à l’intérieur ou sur le passage des
polylignes fermées sélectionnées graphiquement ou par calques.
Le message suivant est affiché sur la ligne de commande pour vous inviter à effectuer une sélection de polylignes :
Indiquez les polylignes de sélection ou [caLques] :
Tapez « L » ou choisissez l’option « caLques » pour sélectionner toutes les polylignes contenues dans un ou plusieurs calques.
Une fois les polylignes indiquées, les messages suivants vous récapitulent les nombres de polylignes choisies et de points
topographiques mis dans la sélection :
2 contour(s) sélectionné(s).
=> 13 point(s) topographique(s) dans la sélection.
La sélection pourra être utilisée lors de la prochaine demande d’un choix d’objets en tapant simplement « P » au clavier (pour
« sélection Précédente »).
Cette commande du sous-menu Points topographiques permet de créer un jeu de sélection contenant uniquement les points
topographiques positionnés à l’intérieur d’une bande de recherche autour d’une polyligne.
Cliquez les points ou [Polyligne] : P
Sélectionnez une polyligne (2D ou 3D) non fermée
Après avoir cliqué les points ou sélectionné une polyligne existante, déplacez le curseur pour visualiser dynamiquement la bande de
recherche. Cliquez dans le dessin pour valider la largeur de la bande de recherche affichée à l’écran, ou entrez manuellement une
valeur de largeur.
Les points topographiques capturés dans la bande de recherche forment un jeu de sélection, et leur nombre est affiché à la ligne de
commande.
86 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Cette commande permet d’effectuer des changements de repère en vue de transformer un semis de points levés sur une façade en un
semis de points disposés dans un plan parallèle à (xOy).
87 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
8. Le tableau de résultats
Ce tableau affiche un point par ligne. Les colonnes contiennent le matricule, les coordonnées et l’écart (positif ou négatif) du point
au plan vertical passant par les deux points de base de la façade.
Il est possible de sélectionner des points dans le tableau avec la souris et les touches <Ctrl> et <Shift>. Une
fois la sélection réalisée, vous avez accès au menu contextuel ci-contre par le clic droit de la souris.
Ce menu permet de supprimer de la liste le(s) point(s) sélectionné(s). Vous pouvez aussi activer ou désactiver
la sélection. Les points désactivés n’ont pas de coche devant le matricule et ne seront pas traités.
Le tri des points topographiques s’effectue en cliquant sur les colonnes « Matricule » ou « Ecart ». Cela permet, entre autres, de
sélectionner plus facilement les points dont l’écart à la façade est trop important pour ensuite les supprimer ou les désactiver.
88 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
Certains applicatifs fonctionnant dans l’environnement AutoCAD® nécessitent des points topographiques représentés par des entités
de types POINT (pour le piqué) et TEXTE (pour les matricules et les altitudes). COVADIS utilisant une structuration des données
différentes (bloc point topographique avec attributs), cette fonction permet d’effectuer une transformation automatique d’un semis
de points pour résoudre cet inconvénient.
Le dialogue de paramétrage vous permet de sélectionner les
blocs à traiter selon trois modes :
« Nom(s) des blocs + calque(s) » : tous les blocs dont
les noms sont indiqués dans la première liste et se trouvant
dans les calques spécifiés dans l’autre liste seront pris en
compte pour le traitement.
« Sélection manuelle » : les blocs seront sélectionnés
graphiquement par l’utilisateur.
Si au moins l’une des listes n’est pas vide et que la case
« Utiliser pour filtrer la sélection manuelle » est
cochée, les noms de blocs et/ou de calques seront pris en
compte pour filtrer la sélection et donc, pour ne garder
que les blocs correspondants dans la sélection.
« Tous les blocs avec attributs » : cette option indique
que tous les blocs avec attributs insérés dans le dessin
vont être traités.
Exemple :
Soient les blocs points topographiques PointTopo, insérés dans le calque NouveauxPoints, définis par un point (partie
graphique) et par les attributs d’étiquettes MAT (matricule) et ALT (altitude) construits respectivement dans les calques TopoMat
et TopoAlt. La décomposition paramétrée comme dans la figure représentant le dialogue donnera le résultat suivant :
• création d’une entité de type POINT dans le calque NouveauxPoints_G pour chaque insertion du bloc traité,
• création d’une entité de type TEXTE dans le calque TopoMat_T pour chaque attribut matricule du bloc point,
• création d’une entité de type TEXTE dans le calque TopoAlt_T pour chaque attribut altitude du bloc point.
89 Dessin assisté
POINTS TOPOGRAPHIQUES
90 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
91 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
92 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
V.1. GÉNÉRALITÉS
93 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
4. Attributs
On trouve, dans ce groupe de paramètres, un onglet pour chaque attribut
autre que le matricule présent dans la définition du bloc point.
Pour valider la création de l’attribut lors de l’insertion du bloc, enfoncez
le bouton « Créer l’attribut ».
Trois possibilités sont offertes pour renseigner les valeurs des attributs :
« Aucune valeur » : l’attribut ne sera pas renseigné lors de l’insertion
du bloc.
« Entrée manuelle » : vous devrez spécifier la valeur de l’attribut pour chaque nouveau point dessiné.
« Valeur constante » : la valeur indiquée dans la zone de saisie sera automatiquement affectée pour cet attribut à tous les blocs
points topographiques insérés avec ce paramétrage.
Dans le cas de l’attribut altitude une option supplémentaire vous permet d’indiquer que la valeur de l’attribut doit être prise dans
l’altitude d’insertion des points topographiques. Le nombre de décimales pour le texte de l’attribut est alors paramétrable.
REMARQUES :
Si cette fonction n’a pas encore été utilisée dans le dessin courant et que la construction d’un nouveau point topographique
est demandée, elle sera automatiquement exécutée pour vous permettre de paramétrer l’insertion du nouveau point.
Si le paramétrage de l’insertion des points topographiques a déjà été effectué dans le dessin courant, il sera automatiquement
pris en compte pour toutes les nouvelles constructions.
94 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
Permet de construire des points topographiques par projection de points le long d’une P3
droite, la projection pouvant être faite perpendiculairement à cette droite ou selon une
direction quelconque.
P1 P2
1. Donnez les deux points de la droite de projection. B
2. Sélectionnez la méthode de projection : perpendiculaire ou selon une direction. d3 P’3
3. Si la projection se fait selon une direction : spécifiez les deux points matérialisant P’2
cette dernière. A P’1
4. Indiquez les différents points à projeter sur la droite de projection. Points projetés
Droite de projection
95 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
5. Si deux intersections ont été trouvées, cliquez près de celle qui doit être conservée
pour le dessin du point topographique.
Second cercle
4. Si deux intersections ont été trouvées, cliquez près de celle qui doit être conservée
Droite
pour le dessin du point topographique.
Cercle
96 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
Seconde
Solution parallèle
97 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
Cette commande permet de construire des points topographiques par intersection d’une Station
direction et d’un plan vertical défini par deux points. Elle permet donc, par exemple, Référence
de calculer les points d’une façade (par gisement et angle vertical). des angles
S
Ah1
1. Indiquez la station du levé.
Ah2
Sélectionnez la station (<Entrée> = aucune / point) : R
1
REMARQUE :
L’altitude des points créés est calculée avec le z d’insertion de la station et non la valeur de l’attribut ALT.
98 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
REMARQUE : Second
point
Seules les projections se trouvant entre les deux points de base seront conservées.
99 Dessin assisté
CONSTRUCTIONS DE POINTS
VI.1. GÉNÉRALITÉS
REMARQUES :
Les fonctions transparentes présentent la particularité d’être utilisables pendant des
commandes d’AutoCAD®. Le principe est le même que pour les commandes ’ZOOM ou
’REDESS, qui peuvent être lancées alors qu’une commande de dessin est en cours.
Les fonctions de calcul de points ou d’accrochage par matricule renvoient directement à la
commande en cours les coordonnées du point calculé, celui-ci étant alors utilisé par cette
commande de la même façon que si l’on avait accroché un point existant.
Les fonctions transparentes ne peuvent pas être utilisées pendant d’autres fonctions
transparentes ni pendant des commandes de COVADIS.
Dans le cas où le gisement serait donné par deux points saisis par leur matricule, faire
précéder les matricules purement numériques par le symbole ‘/’ ou le symbole ‘:’ afin
d’éviter la confusion entre la valeur du gisement et le matricule numérique.
Ce groupe de fonctions permet de dessiner des entités lignes, points ou polylignes selon différentes
méthodes de construction ou de simplification de la procédure.
Cette fonction permet de dessiner une LIGNE entre deux points, le second étant calculé par rayonnement par rapport au premier.
Il faut d’abord indiquer le point de départ de la ligne par pointage, par accrochage ou en N Gisement 1
entrant son matricule sur la ligne de commande (si la liste des points topographiques a
été précédemment créée). Il est aussi possible d’entrer les coordonnées du point au
clavier (par exemple : 123.564,4569.587). En tapant <Entrée>, la fonction utilise
P1
automatiquement le dernier point entré. Gisement 2
Point origine de la ligne ou [Dernier] <Dernier> :
P3
L1
Entrez ensuite la valeur du gisement, puis la longueur de la ligne. Il est possible de P2
choisir un segment de référence par deux points ou en tapant le caractère <g> au clavier L3
pour choisir un segment existant. Le gisement ou la longueur du segment L2 3 lignes dessinées :
est calculé puis utilisé par la fonction. Une longueur négative modifie le gisement P0 - entre P0 et P1,
- entre P0 et P2,
de 200 grades. Point de base - entre P2 et P3.
Gisement des lignes ou [seGment] :
Longueur de la ligne ou [seGment] :
La ligne est construite dans le calque courant.
Le programme vous permet de saisir une nouvelle longueur. Elle sera utilisée pour dessiner une autre ligne qui partira du dernier
point créé avec un gisement identique. Tapez <Entrée> pour terminer la saisie des longueurs ou pour recommencer la fonction avec
un nouveau gisement.
Cette fonction permet de dessiner des entités POINT calculées par rayonnement à partir d’un point de base.
Il faut d’abord indiquer le point de base par pointage, par accrochage ou en entrant son N Gisement 1
matricule sur la ligne de commande (si la liste des points topographiques a été
précédemment créée). Il est aussi possible d’entrer les coordonnées du point au clavier
(par exemple : 123.564,4569.587). En tapant <Entrée>, la fonction utilise
P1
automatiquement le dernier point entré. Gisement 2
Point origine de la ligne (<Entrée> = dernier point) :
P3
L1
Entrez ensuite la valeur du gisement, puis la distance entre les deux points. Il est possible Point P2
de choisir un segment de référence par deux points ou en tapant le caractère <g> au de L3
clavier pour choisir un segment existant. Le gisement ou la distance du segment est base L2
calculé puis utilisé par la fonction. Une distance négative modifie le gisement de 200 P0 3 points dessinés en
grades. P1, P2 et P3
Gisement -> points à créer ou [seGment]:
Distance du point de base ou [seGment] :
Le point est construit dans le calque courant.
Le programme vous permet de saisir une nouvelle longueur. Elle sera utilisée pour dessiner un autre point à partir du point d’origine
avec un gisement identique. Tapez <Entrée> pour terminer la saisie des distances ou pour recommencer la fonction avec un autre
gisement.
Cette fonction permet de dessiner des entités POINT calculées par rayonnement à partir d’un point de base pour le premier point
créé, puis du point précédent pour les autres.
Il faut d’abord indiquer le point de base, un gisement et une distance. Les données sont N Gisement 1
entrées de la même manière que dans les commandes précédentes.
Point de base du calcul (<Entrée> = dernier point) :
Gisement -> points à créer ou [seGment]: P1
Distance du point précédent ou [seGment]: Gisement 2
Cette fonction automatise le lancement de la commande de dessin d’une polyligne d’AutoCAD ® et active automatiquement
l’accrochage par matricules de COVADIS (cf. § VI.5).
Il ne vous reste plus qu’à entrer les matricules des points de passage de la polyligne.
Cette fonction automatise le dessin d’une polyligne représentant un rectangle en spécifiant 3 points et une éventuelle altitude.
Les deux premiers points correspondent à la base du rectangle, le troisième donnant sa hauteur.
Cette fonction lance la commande POLYLIGN d’AutoCAD® après avoir demandé le point de départ. Quelle que soit l’altitude de
ce premier point, la polyligne sera dessinée à une altitude nulle (Z = 0.0).
Cette commande permet de calculer un cercle passant par N points, N devant être au minimum égal à 2.
Elle autorise la sélection d’entités AutoCAD® de types ‘point’ et ‘insertion de symbole’ (donc aussi les points topographiques).
Trois cas peuvent se présenter :
1. Deux objets sont sélectionnés le cercle passe par les deux points qui
définissent son diamètre.
2. Trois objets sont sélectionnés le cercle passe par les trois points.
3. Plus de trois objets sont sélectionnés le cercle moyen est calculé par une
méthode utilisant les moindres carrés (méthode de Kåsa et Coope).
Dans tous les cas, le cercle est dessiné avec les propriétés courantes (calque, couleur…).
Ce groupe de fonctions transparentes permet d’obtenir des renseignements à partir des entités de la base de données graphiques.
Tous les points demandés peuvent être donnés soit par cliquage, soit par accrochage, soit par entrée d’un matricule, à condition que
la liste des points topographiques ait été préalablement créée.
Permet d’afficher les coordonnées d’un point de la base de données (point d’insertion, extrémité, intersection, ...). Si le système de
coordonnées courant n’est pas le système de coordonnées générales (SCG), les coordonnées du point seront exprimées dans le
système général ainsi que dans le système de coordonnées courant (SCU) :
Coordonnées SCG : X = 306774.784, Y = 354940.413, Z = 0.000
Coordonnées SCU : X = 389003.230, Y = 262240.255, Z = 0.000
ou
Coordonnées SCG : X = 306774.784, Y = 354940.413, Z = 0.000
Permet d’afficher le gisement entre deux points de la base de données, dans le système de coordonnées courant :
Gisement = 50.5909g, distance plane = 73.364m
Permet d’afficher le rayon et les coordonnées du centre d’un cercle défini par trois points sélectionnés. Si le système de coordonnées
courant n’est pas le général, les informations seront données dans les deux systèmes :
SCG : Rayon = 34.795, Centre = 306764.157, 354958.272, 0.000
SCU : Rayon = 34.795, Centre = 388997.650, 262260.274, 0.000
ou
SCG : Rayon = 34.795, Centre = 306764.157, 354958.272, 0.000
Indiquez tout d’abord les deux points du segment, puis spécifiez les différents points
pour lesquels les distances doivent être calculées. dY Point à traiter
P2
dX
P0
Point de base
Cette fonction permet de calculer et d’afficher différentes informations relatives à une séquence de points :
• la distance cumulée, augmentée au fur et à mesure de la saisie des points,
• la distance partielle entre le dernier point acquis et le point précédent,
• la distance directe (droite) entre le premier et le dernier point saisis.
Une fois la commande lancée, il vous suffit d’indiquer les points à prendre en compte. Par exemple :
Point d'origine des distances : <saisie du premier point>
Point suivant (<Entrée> = fin) : <saisie du second point>
Distances : partielle = 460.1752, cumulée = 460.1752, droite = 460.1752
Ce groupe de fonctions transparentes permet de calculer des points selon différentes méthodes, à partir de points existants ou
d’informations entrées au clavier.
Elles sont généralement utilisées pendant des commandes de construction (LIGNE, POLYLIGNE, ...), tout comme les accrochages
aux objets d’AutoCAD (extrémité, nodal, …).
Pour les fonctions qui nécessitent un point de base (point d’origine de la construction), le dernier point utilisé dans le dessin sera
proposé par défaut. Ceci permet de dessiner une polyligne (par exemple) en utilisant le dernier sommet comme point de départ de
la construction du point suivant sans avoir à le spécifier (en appuyant sur la touche <Entrée>).
A chaque point demandé, vous pouvez répondre soit par pointage, soit par accrochage, soit en tapant son matricule au clavier.
Pour les valeurs d’angles et de distances, vous pouvez taper la valeur au clavier ou la spécifier par deux points (pointage, accrochage
ou matricules), ou sélectionner un segment après avoir tapé <g> puis <Entrée>.
REMARQUE :
Si aucune commande d’AutoCAD® n’est en cours lors de l’utilisation d’une de ces fonctions, les coordonnées du point calculé
seront affichées sur la ligne de commande :
Point calculé = 387417.173,264807.340,0.000
Permet de calculer des points en indiquant un gisement et une distance par rapport à un
point de base. Si des points alignés doivent être dessinés, les distances de construction
doivent être données par rapport au point de base. Gisement 2
Permet de calculer des points en indiquant un gisement et une distance par rapport à un
point de base. Si des points alignés doivent être dessinés, les distances de construction
doivent être données relativement aux points précédents (distances partielles). Gisement 2
Permet de calculer des points par projection de points le long d’une droite, la projection P3
pouvant être faite perpendiculairement à cette droite ou selon une direction quelconque.
1. Donnez les deux points de la droite de projection. P2
P1
2. Sélectionnez la méthode de projection : perpendiculaire ou selon une direction. B
d3 P’3
3. Si la projection se fait selon une direction : spécifiez les deux points matérialisant
cette dernière. P’2
Points projetés
Droite de projection
Permet de calculer un point sur une droite orthogonale à un segment de seuil. La distance Droite de seuil
entre le point de base et le point à calculer peut être spécifiée ou calculée par projection
P0
du point de base sur une ligne de seuil. Points
P’0
1. Donnez le point de base du calcul. de base
P0
2. Indiquez le second point du segment de base. Dist. 1 Seconds
points du
3. Spécifiez les deux points de la droite de seuil ou entrez la distance plane entre le segment
Dist. 2 P1
point de base et le point à calculer. P’0
4. Spécifiez une nouvelle droite de seuil ou entrez une autre distance pour calculer un P2
nouveau point dans la même direction.
Cette fonction utilise le principe de la fonction précédente mais considère que le segment précédemment tracé fournit le point de
base du calcul ainsi que le second point du segment de base (référence angulaire).
Il ne vous reste qu’à indiquer l’angle et la distance vers le point à calculer.
Cette fonction transparente ne doit bien entendu être utilisée que pendant une commande de dessin d’AutoCAD ® (LIGNE ou
POLYLIGN par exemple).
4. Si deux intersections ont été trouvées, cliquez près de celle qui doit être conservée
Droite
pour le calcul du point.
Cercle
Seconde
Solution parallèle
Cette commande est identique à la précédente excepté que la distance est égale à la longueur du segment qui donnera la direction
perpendiculaire.
Cette commande est identique à la précédente excepté que la distance est égale à la longueur du segment qui donnera la direction
perpendiculaire.
REMARQUE :
L’altitude des points créés est calculée avec le z d’insertion de la station et non la valeur de l’attribut ALT.
REMARQUE : Second
point
Seules les projections se trouvant entre les deux points de base seront conservées.
Cette fonction transparente permet de spécifier des points en indiquant leur matricule plutôt qu’en les accrochant à l’écran.
La liste des points topographiques doit avoir été préalablement créée (voir le paragraphe IV.14).
Une fois sélectionnée, la fonction vous demande d’entrer des matricules au clavier, ou de taper sur la touche <Entrée> pour revenir
à la commande en cours (celle-ci est d’ailleurs indiquée).
Différentes méthodes peuvent être utilisées pour indiquer les matricules :
• <matricule> pour donner un matricule unique.
Dans ce cas le point correspondant (s’il existe) sera envoyé à la commande en cours.
• <matricule_1>,<matricule_2>, ... ,<matricule_n> pour donner une série de matricules.
Dans ce cas les points correspondant aux matricules spécifiés (s’ils existent) seront envoyés dans l’ordre indiqué à la commande
en cours.
• <matricule_1>–<matricule_n> pour donner une série de matricules.
Dans ce cas, les points correspondant aux matricules indiqués, ainsi que tous les points de matricule intermédiaire, seront envoyés
à la commande en cours.
Les deux dernières méthodes peuvent être utilisées sur une même ligne de matricules pour indiquer un grand nombre de points de
passage pour la commande en cours (POLYLIGNE par exemple) :
<matricule>,<série de matricule>,<série de matricules>,<matricule>, ...
REMARQUES :
L’accrochage par matricules ‘permanent’ (voir le § I.2.1), activable par la combinaison de touches <Control+F12> peut être
utilisé à la place de cette fonction.
Les séries de matricules peuvent être données dans l’ordre croissant ou décroissant des matricules. Ainsi « 100−105 » est
correct mais « 105−100 » l’est aussi.
Si un des matricules d’une série n’existe pas dans la liste des points topographiques un message d’avertissement sera affiché,
mais tous les autres points de la série seront pris en compte.
Lorsqu’une série (ou plusieurs) de plus de 50 points doit être spécifiée, il faut impérativement utiliser cette fonction car
l’accrochage par matricules ‘permanent’ ne permet pas d’envoyer plus de 50 points à la commande en cours.
VII.1. GÉNÉRALITÉS
Cette fonction permet de choisir le symbole courant à insérer en même temps que chaque nouveau point topographique ou par la
fonction Insérer symbole courant.
Le dialogue de sélection se présente comme
dans l’exemple ci-contre.
Les onglets en haut du dialogue représentent
les quatre catégories de symboles avec en plus
un onglet pour tous les symboles définis dans
le dessin (si aucun symbole n’est défini,
l’onglet est absent).
• « A l’échelle » : tous les symboles des
répertoires définis pour l’échelle courante
sont regroupés dans cet onglet.
• « Dessin » : tous les symboles définis dans
le dessin courant sont récapitulés dans cet
onglet.
• « Générique » : tous les symboles géné-
riques (déformables) ne se trouvant pas
dans les onglets 3D et Intérieur sont
regroupés dans cet onglet. Par défaut, ce
sont les symboles des sous-répertoires
\Générique et \Symboles Linéaires qui sont
pris en compte.
• « 3D » : les symboles tri-dimensionnels du
sous-répertoire \Symboles 3D sont regrou-
pés dans cet onglet.
• « Intérieur » : les symboles pour l’habil-
lage des plans d’intérieur (situés dans le sous-répertoire \Intérieur) sont rassemblés dans cet onglet.
En plus du regroupement en catégories, les symboles sont triés par familles : ‘Adduction d’eau’, ‘Eaux pluviales’, …
Chaque famille est définie par un préfixe (exemple : Acc pour la famille ‘Accessoires’) de un caractère ou plus dans le fichier de
configuration CovSymbole.ini situé dans le sous-répertoire \Config. De nombreuses familles sont prédéfinies dans ce fichier en
fonction des différentes catégories de symboles fournis :
Préfixes utilisés par les symboles de COVADIS
Familles
A l’échelle Générique 3D Intérieur Symb. linéaire
Accessoires ACC
Cuisine CUI
Escaliers ESC
Fenêtres FEN
Mobilier MOB
Portes POR
Sanitaires SDB
Symb. Linéaire GEO
Adduction d’eau A GA ZA
Eaux pluviales W GW ZW
Eaux usées U GU ZU
Electricité E GE ZE
Flèches Nord Y GY ZY
Gaz G GG ZG
Luminaires L GL ZL
Mobilier urbain M GM ZM
Navigation N GN ZN
Routes R GR ZR
SNCF, chemin de fer S GS ZS
Téléphone, PTT P GP ZP
Télévision et câble F GF ZF
Topographie T GT ZT
Végétation V GV ZV
Le symbole courant peut être sélectionné dans l’arborescence, en cliquant sur l’image de prévisualisation, dans la liste jaillissante
libellée « Symbole courant » ou en tapant directement son nom dans la zone d’édition de cette liste. Si un symbole courant a déjà
été sélectionné, son nom sera proposé par défaut. Sinon, c’est le premier symbole de l’onglet « A l’échelle » qui sera proposé.
Des couleurs différentes sont utilisées pour le fond des images de prévisualisation : gris pour tous les symboles d’une même famille,
noir pour les autres symboles affichés sur la ‘page’ (groupe de seize symboles), et vert pour le symbole actuellement sélectionné.
Cette dernière valeur est paramétrable dans l’onglet des options de COVADIS (cf. § I.1.5).
Le groupe de paramètres « Calque d’insertion » permet de sélectionner le calque de dessin
des symboles ainsi que sa couleur par défaut. Ce calque n’est évidemment pris en compte
que lorsque les symboles sont insérés avec des commandes de COVADIS.
« Calque courant » : si cette case est cochée, les autres paramètres sont automati-
quement désactivés et les symboles seront dessinés dans le calque courant, comme c’est le
cas pour la commande d’insertion de symbole d’AutoCAD®.
Si la case n’est pas cochée, le calque de dessin sera celui dont le nom est indiqué dans la
zone de saisie. Si le calque n’existe pas lors de l’insertion d’un symbole, il sera créé avec
la couleur par défaut spécifiée. S’il existe déjà, la couleur sera ignorée, même si elle est
différente de la valeur actuelle.
Le paramètre « Insertion du symbole en 3 dimensions » doit être validé (case cochée) si les symboles doivent être insérés à
la même altitude que les points indiqués (points calculés ou accrochés). Si l’altitude des symboles doit être nulle, décochez la case.
Dans le cas de la fonction de sélection d’un symbole (décrite ici), le paramètre « Rendre le symbole courant » est toujours
validé mais non modifiable puisqu’il s’agit bien de choisir un nouveau symbole pour le rendre courant. Il est modifiable dans les
fonctions d’insertion de symboles décrites plus loin dans ce chapitre.
La signification des différents boutons à icône du dialogue vous est donnée ci-dessous.
: Affiche les seize premiers symboles de l’onglet courant : Affiche les seize derniers symboles (ou moins) dans les
dans les éléments de prévisualisation. éléments de prévisualisation.
: Revient au groupe des seize symboles précédents. : Cliquez sur ce bouton pour sélectionner un symbole
: Sélectionne le symbole précédent. dans le dessin. Après avoir choisi un objet valide, le
symbole correspondant sera automatiquement
: Sélectionne le symbole suivant. sélectionné dans la liste ainsi que l’élément de
: Passe au groupe des seize symboles suivants. prévisualisation associé.
Cliquez sur le bouton « OK » pour valider la sélection du nouveau symbole courant. Vous pouvez aussi cliquer directement deux
fois sur son image pour le choisir et sortir du dialogue de sélection.
Cette fonction permet d’insérer le symbole courant (sélectionné avec la fonction vue précédemment) dans le dessin.
Deux cas de figures peuvent se présenter :
1. Si l’option « Utiliser la commande ‘INSERER’ d’AutoCAD » n’a pas été cochée dans le dialogue de configuration (voir le
paragraphe I.1.5), il ne vous sera demandé que les points d’insertion des symboles.
REMARQUES :
L’angle de rotation du système de coordonnées courant n’est pas pris en compte pour l’insertion des symboles selon ce
mode. Les symboles sont systématiquement orientés avec leur axe X aligné avec l’axe des X du système de coordonnées
générales (ce qui correspond à un angle de rotation de 100 grades dans le système angulaire des géomètres-experts).
Si le symbole courant sélectionné contient un ou plusieurs attributs, ceux-ci ne seront pas ajoutés à l’insertion de bloc.
Lors de la demande du point d’insertion, il vous est toujours possible de choisir d’utiliser la commande INSERER
d’AutoCAD®. Pour ce faire, sélectionnez l’option proposée sur la ligne de commande.
2. Si l’option est cochée, la commande INSERER sera utilisée pour l’insertion du symbole et vous pourrez spécifier l’une ou
l’autre des options disponibles pour cette commande (rotation, facteurs d’échelle, …) avant ou après avoir indiqué le point
d’insertion.
REMARQUES :
L’angle de rotation du système de coordonnées courant n’est pas pris en compte pour l’insertion des symboles selon ce
mode. Il vous sera demandé après le point d’insertion du symbole.
Si le symbole courant sélectionné contient un ou plusieurs attributs, ceux-ci seront automatiquement ajoutés à l’insertion
de bloc, mais il ne vous sera pas demandé de valeur, les valeurs par défaut (si présentes) étant utilisées.
Cette fonction affiche le dialogue de sélection d’un symbole (vu précédemment au paragraphe VII.2), mais en ne proposant que
l’onglet des symboles à l’échelle du dessin.
Sélectionnez le nouveau symbole à insérer dans le dessin et indiquez, si besoin est, s’il doit être inséré en 3D et/ou s’il doit remplacer
le symbole courant.
Son calque d’insertion peut aussi être spécifié si nécessaire.
L’insertion du symbole est effectuée selon l’une des deux méthodes vues ci-dessus.
Cette fonction est similaire à la précédente, mais le seul onglet proposé est celui des symboles génériques.
Cette fonction est similaire à la précédente, mais le seul onglet proposé est celui des symboles 3D.
Cette fonction est similaire aux précédentes, mais le symbole à insérer peut être sélectionné dans tous les onglets.
COVADIS TOPO vous propose différentes méthodes d’insertion des symboles automatisant et simplifiant grandement les
procédures par rapport à la commande INSERER d’AutoCAD®.
Ces méthodes se rapprochent beaucoup des principes du levé codé pour les symboles.
Pour toutes les fonctions décrites ci-après, vous devez tout d’abord indiquer le nom du symbole à insérer :
Entrez le nom du symbole ou [Choisir] <a007> :
en validant le nom du dernier symbole utilisé ou en spécifiant l’option Choisir vous permettant d’indiquer le nom du symbole dans
le dialogue de sélection (paragraphe VII.2).
Les autres paramètres à donner dépendent du mode d’insertion du symbole.
REMARQUES :
Dans le cas de l’insertion d’un symbole sur plusieurs points, le programme considère que le symbole est défini dans un carré
de 1 sur 1 (en unités dessin) et que son point de base pour l’insertion est en bas à gauche.
Dans le cas d’un symbole circulaire, le programme considère que le diamètre du symbole est de 1 unité dessin et que son
point d’insertion est au centre du cercle.
Cette fonction permet d’insérer un symbole à partir de deux points : le premier pour le point
P2
d’insertion, le second pour la direction de l’axe X du symbole.
Second
Les facteurs d’échelle du symbole sont automatiquement mis à 1.0 dans les trois directions. P1 point
Premier point
eY
Cette fonction est identique à la précédente, mais il vous est en plus demandé de spécifier les
facteurs d’échelle en X et en Y du symbole. P2
Second
P1 point
Premier point
Le premier point sera le point d’insertion du symbole, le second donnera l’orientation de l’axe
X du symbole ainsi que le facteur d’échelle en X (largeur), le troisième, quant à lui donnant le P2
Second
Premier
facteur d’échelle en Y (hauteur). point P1 point
Cette fonction permet de dessiner un symbole carré construit à partir de deux points sur l’une
de ses diagonales.
P1
Premier point
Cette fonction permet de dessiner un symbole carré construit à partir de deux points sur l’un
de ses côtés.
P2 Second
Le symbole est toujours à gauche de la direction premier point – second point. point
P1
Premier point
Vous pouvez aussi entrer l’angle de rotation du symbole ou taper <Entrée> pour aucune
Premier point
rotation. = centre du cercle
Cette fonction automatise l’utilisation de la commande MESURER d’AutoCAD®, en permettant de spécifier les différents
paramètres dans une boîte de dialogue, et en proposant de traiter toutes les entités linéaires d’un ou plusieurs calques (lignes, arcs,
cercles, polylignes, splines, ellipses) ou de sélectionner les objets à « mesurer » avec le bloc indiqué.
Cliquez sur le bouton « OK » pour valider le paramétrage et laisser le programme effectuer la sélection des objets à traiter, ou sur le
bouton « Choisir les objets < », pour valider le paramétrage et choisir graphiquement les objets à mesurer avec la fonction.
Dans les deux cas, la validation du paramétrage entraîne automatiquement la sauvegarde des différentes valeurs pour que celles-ci
vous soient proposées par défaut lors de la prochaine utilisation de la fonction.
Cette fonction sert à insérer automatiquement des blocs sur les points caractéristiques des objets sélectionnés.
Seules les entités de type ligne, polyligne, arc et cercle peuvent être traitées. Les blocs seront alors insérés :
• aux deux extrémités pour les lignes,
• sur chaque sommet pour les polylignes et, éventuellement, au centre de chaque segment d’arc,
• aux deux extrémités pour les arcs et, éventuellement, au centre de l’arc,
• au centre des cercles, si la case à cocher correspondante est validée.
2. Bloc à insérer
• « Nom du bloc » : inscrivez le nom du bloc à positionner dans la zone
de saisie, ou sélectionnez-le dans la liste des blocs définis dans le
dessin courant en cliquant le bouton « Choix ... ». Seuls les blocs
définis peuvent être utilisés par la fonction.
• « Echelle du bloc » : entrez l’échelle d’insertion des blocs (facteurs
égaux selon les trois directions) ou utilisez le coulisseau associé.
• « Insérer au centre des arcs et des cercles » : validez cette case à cocher si vous désirez que des blocs soient aussi insérés
au centre des segments d’arcs (polylignes et arcs) et des cercles.
3. Calque d’insertion
• « Nom » : indiquez dans la zone de saisie le nom du calque dans lequel doivent être insérés les blocs. Celui-ci peut aussi être
sélectionné dans la liste des calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton « Choix ... ».
• « Couleur » : entrez le numéro de la couleur pour le calque de dessin ou sélectionnez-le dans la boîte de dialogue de choix des
couleurs en cliquant sur le bouton image. La couleur DuCalque (256) permet de ne pas modifier la couleur actuelle du calque
de dessin (s’il existe).
L’insertion automatique des blocs commence lorsque l’un des boutons « OK » ou « Choisir les objets <» est sélectionné. Les
paramètres des groupes 1 et 2 sont alors enregistrés pour être proposés lors de la prochaine utilisation de la fonction.
Ce sous-menu propose des fonctions de chargement des bibliothèques dans les dessins pour en faire
des fichiers prototypes, ainsi qu’une fonction d’exportation des blocs définis dans un dessin vers des
fichiers séparés sur disque et une fonction de dessin de tous les symboles d’une bibliothèque regroupés
par familles.
Cette option du menu permet de charger toutes les définitions des symboles de la bibliothèque DDE (fichier nommé DDEProto3.dwg
situé dans le sous-répertoire \Support de COVADIS), et de définir tous les calques, styles de textes et types de lignes nécessaires à
l’élaboration des plans pour les DDE.
Cette fonction permet d’exporter tout ou partie des définitions de blocs du dessin courant vers des fichiers dessins séparés
(d’extension ‘dwg’) sur le disque. Elle peut donc être utilisée pour extraire les symboles des fichiers prototypes et les placer dans
les répertoires des différentes échelles.
Pour chaque symbole extrait, un cliché sera aussi créé. Les fichiers dessin créés auront les noms des symboles (+ l’extension ‘dwg’
bien sûr), alors que les noms des clichés seront de la forme ‘dwg_<nom de bloc>.sld’, le préfixe ‘dwg_’ étant ajouté pour indiquer
qu’il s’agit d’un cliché pour un symbole.
Comme vous pouvez le constater sur l’exemple, le dialogue contient un élément d’affichage vous permettant de prévisualiser les
symboles avant leur exportation. Seuls les objets graphiques sont affichés, les textes et attributs étant matérialisés par leur rectangle
d’enveloppe.
Exemple :
Si l’on considère que l’exportation porte sur les 11 symboles listés dans le dialogue ci-dessus, les fichiers seront placés dans le
répertoire C:\Program Files\Geomedia SA\Covadis\1000 et auront les noms suivants :
Nom du bloc Dessin du symbole Cliché du symbole
L010 L010.dwg dwg_L010.sld
L011 L011.dwg dwg_L011.sld
L012 L012.dwg dwg_L012.sld
L013 L013.dwg dwg_L013.sld
L014 L014.dwg dwg_L014.sld
L015 L015.dwg dwg_L015.sld
L016 L016.dwg dwg_L016.sld
L017 L017.dwg dwg_L017.sld
L018 L018.dwg dwg_L018.sld
L019 L019.dwg dwg_L019.sld
L020 L020.dwg dwg_L020.sld
Cette fonction permet de dessiner l’ensemble des symboles d’une bibliothèque (symboles pour l’échelle courante, symboles
génériques et d’aménagement intérieur ou symboles 3D).
Les différents objets seront dessinés dans le calque courant et en tenant compte de l’échelle courante.
Une mise en page sommaire vous permet d’imprimer le résultat page par page.
1. Bibliothèque à dessiner
Sélectionnez le bouton d’option correspon-
dant à la bibliothèque à dessiner :
« Symboles de l’échelle » : tous les
symboles contenus dans les différents
répertoires associés à l’échelle courante
seront dessinés (voir les options de
configuration des échelles au paragraphe
I.1.1).
« Symboles génériques » : tous les symboles contenus dans les différents répertoires des symboles génériques seront dessinés.
Par défaut, trois répertoires sont pris en compte : \Générique, \Symboles Linéaires et \Intérieur.
« Symboles 3D » : tous les symboles contenus dans les différents répertoires des symboles 3D seront dessinés. Par défaut, seul
le répertoire \Symboles 3D est pris en compte.
2. Format de la page
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les dimensions de la feuille de papier qui sera utilisée pour imprimer le dessin de
la bibliothèque.
• « Hauteur » : permet de donner la hauteur de la page en centimètres.
• « Largeur » : permet de donner la largeur de la page en centimètres.
• « Marge » : permet d’indiquer la marge à prendre en compte tout autour de la page. La zone de dessin sera réduite d’autant sur
les quatre côtés.
3. Case de chaque symbole
Permet d’indiquer au programme la taille des cases pour le dessin des symboles.
• « Dimension » : entrez dans cette zone de saisie la longueur du côté d’une case carrée élémentaire pour le dessin des symboles.
• « Hauteur du symbole » : permet de spécifier la hauteur réservée pour écrire le nom des symboles.
Les paramètres restants servent à définir les textes des titres et à indiquer si l’échelle des symboles doit être ajustée pour occuper le
plus d’espace possible dans les cases :
• « Style de texte » : permet de sélectionner le style de texte à utiliser pour les écritures dans la liste jaillissante contenant les
noms des styles définis dans le dessin courant.
• « Hauteur des titres » : permet de spécifier la hauteur de texte à appliquer au titre et aux noms des familles de symboles.
• « Ajuste l’échelle des symboles » : cochez cette case si l’échelle des symboles doit être différente de 1 pour adapter au mieux
la taille des symboles avec l’espace disponible dans les cases.
Cliquez sur le bouton « OK » pour valider le paramétrage. Vous devez alors indiquer le point haut gauche du dessin de la
bibliothèque des symboles.
VIII. L’HABILLAGE
VIII.1. GÉNÉRALITÉS
Le module HABILLAGE de COVADIS vous propose différentes fonctions de dessin et d’habillage des plans. Les symboliques
linéaires et les talus peuvent être associatifs, ce qui signifie qu’un changement effectué sur l’objet de base (symbolique linéaire) ou
sur le haut ou le bas d’un talus entraîne automatiquement une régénération de la représentation graphique.
Les fonctions proposées par le module sont :
• gestion des styles de textes,
• dessin et encadrement de textes,
• numérotation automatique de parcelles, bâtiments, etc.,
• symbolisation des limites de subdivision fiscale, de parcelle, de lieu-dit, de section cadastrale, de feuille cadastrale, de commune,
de département et d’état.
• symbolisation des haies vives, des haies simples, des haies de différentes largeurs, des clôtures légères, des lignes d’arbres, et de
différents types de murs (simple, de soutènement et à grille),
• symbolisation de différents types de réseaux EDF (basse, moyenne, haute et très haute tension), PTT (aérien et souterrain), et
assainissement (unitaire, eaux usées et eaux pluviales).
• autres symboliques diverses et variées : bord de fossé, haut de talus, crête de talus, bordure de fossé, passage piétons, amorce de
bâtiment, bâtiment, ruine, glissière de sécurité, etc.,
• génération de symboliques linéaires personnalisées,
• utilitaires de création, de modification et de gestion des symboliques linéaires,
• traitement global de toutes les polylignes d’un calque ou sélectionnées graphiquement,
• dessin automatique des talus (différents modèles), et édition a posteriori des paramètres de dessin,
• dessin automatisé des bâtiments avec structuration des objets graphiques créés,
• hachurage paramétrable et automatique de toutes les polylignes fermées ou ouvertes d’un calque,
• coloriage de contours fermés ou de polygones décrits par des objets quelconques,
• dessin de marquages au sol (ligne blanche et zébra),
• découpage de zones dans un dessin pour extraction, recopie, création de bloc ou effacement.
REMARQUE :
Dans le menu, les groupes de fonctions dont le libellé est suivi par les trois points (« ... ») indiquent qu’une boîte de dialogue
avec des icônes permet de sélectionner directement le modèle de symbolique désiré (limite, clôture, réseau ou talus).
Dans COVADIS, il est possible de gérer et de sélectionner des styles de textes autrement qu’avec la commande STYLE
d’AutoCAD®.
Un fichier nommé Styles.car et placé dans chacun des sous-répertoires d’échelle (\50, \100, \200, …) vous permet de définir vos
styles de textes de façon simple, chaque ligne du fichier correspondant à une définition simplifiée de style :
<Style> <Police> <Hauteur> <Expansion> <Inclinaison> <Reflété> <Renversé> <Vertical>
avec : Style = nom du style de texte (à encadrer par des doubles cotes si le nom contient des espaces)
Police = nom du fichier de police de caractères (l’extension n’est nécessaire que pour les fichiers ‘shx’)
Hauteur = hauteur par défaut pour les textes, celle-ci est donnée en millimètres papier
Expansion = facteur d’expansion du texte (équivalent au facteur d’échelle en X)
Inclinaison = angle d’inclinaison de la police (italique)
Reflété = drapeau de style reflété (symétrie selon l’axe X), mettre "N" pour non et "O" pour oui
Renversé = drapeau de style renversé (symétrie selon l’axe Y), mettre "N" pour non et "O" pour oui
Vertical = drapeau de style vertical, mettre "N" pour non et "O" pour oui
Exemple :
"Arial 1.5" "Arial" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
Style = "Arial 1.5"
Police = "Arial" (implicitement : police de Windows® Arial.ttf)
Hauteur = 1.5 mm
Expansion = 1.0 (valeur par défaut)
Inclinaison = 0.0 (pas d’inclinaison)
Reflété = "N"
Renversé = "N"
Vertical = "N"
Lors de l’installation de COVADIS, un fichier Styles.car est automatiquement placé dans chaque répertoire d’échelle. Un certain
nombre de styles de textes prédéfinis vous sont ainsi proposés.
Vous pouvez enrichir ces fichiers en y ajoutant vos propres définitions de styles à l’aide d’un éditeur de texte, ou grâce au dialogue
de sélection de style qui vous permet, entre autres, d’exporter des définitions existantes vers le fichier Styles.car.
La liste à gauche du dialogue contient tous les
noms des styles de textes présents dans le
dessin courant et/ou dans le fichier Styles.car
de l’échelle courante, ainsi que les icônes
caractérisant les différents styles.
Les cercles rouges et verts indiquent si le style
de texte est défini (cercle vert) ou non (cercle
rouge) dans le dessin courant.
Les autres icônes indiquent :
: Le style de texte n’est défini que dans le
dessin courant.
: Si le cercle est vert, cela signifie que le
style est défini de façon identique dans le
dessin et dans le fichier Styles.car. Si le
cercle est rouge, c’est que le style est
défini dans le fichier Styles.car mais
n’est pas chargé dans le dessin courant.
: Le style de texte est défini dans le dessin
courant et dans le fichier Styles.car, mais
les deux définitions ne sont pas
identiques (hauteurs différentes par exemple).
La plus grande partie du dialogue est occupée par les seize éléments de prévisualisation dans lesquels on retrouve le nom du style,
sa hauteur par défaut ainsi que le nom de la police de caractères utilisée. Le nom de la police est écrit en utilisant la police elle-
même pour vous permettre d’en prévisualiser l’aspect.
Pour sélectionner un style, il suffit de le sélectionner dans la liste ou parmi les éléments de prévisualisation puis de cliquer sur le
bouton « OK ». En double-cliquant sur le nom du style dans la liste ou sur l’élément de prévisualisation correspondant, celui-ci sera
automatiquement sélectionné.
La signification des différents boutons à icône du dialogue vous est donnée ci-dessous.
: Affiche les propriétés du style actuellement sélectionné. Trois cas de
figure peuvent se présenter en fonction de la définition du style dans le
dessin et/ou dans le fichier Styles.car.
L’exemple ci-contre montre le dialogue d’affichage des caractéris-
tiques du style "Times 1.5" pour lequel le facteur d’expansion a été
modifié dans le dessin. Ceci a pour effet d’afficher deux onglets dans
le dialogue : l’un pour la définition du style dans le dessin, l’autre pour
la définition du style dans le fichier.
Généralement, un seul onglet sera présent dans le dialogue : soit
« Dans le dessin » si le style n’est défini que dans le dessin courant,
soit « Dans Styles.car » si le style est présent dans le fichier et n’a
pas été défini dans le dessin ou si le style est aussi défini dans le dessin
mais n’a pas été modifié.
: Exporte la définition de style sélectionnée vers le fichier Styles.car. Ce bouton n’est actif que si la définition n’existe pas dans
le fichier ou s’il y a une différence entre la définition du style dans le dessin et celle contenue dans le fichier. Ce bouton est
très intéressant puisqu’il vous permet de mettre à jour le fichier Styles.car sans avoir à l’éditer.
: Importe le style sélectionné dans le dessin courant. Ce bouton n’est actif que si le style n’est pas encore défini dans le dessin
ou s’il y a une différence entre la définition du style dans le dessin et celle contenue dans le fichier. Dans ce cas, l’appui sur le
bouton entraînera la mise à jour de la définition dans le dessin à partir de celle du fichier.
: Importe tous les styles non définis dans le dessin à partir du fichier Styles.car. Les styles déjà définis dans le dessin ne sont
pas mis à jour (s’il y a une différence entre les définitions du dessin et du fichier) comme cela peut être le cas avec le bouton
décrit précédemment.
: Affiche les seize premières définitions de styles dans les éléments de prévisualisation.
: Revient au groupe des seize définitions précédentes.
: Sélectionne la définition de style précédente.
: Sélectionne la définition de style suivante.
: Passe au groupe des seize définitions suivantes.
: Affiche les seize dernières définitions de styles (ou moins) dans les éléments de prévisualisation.
: Cliquez sur ce bouton pour sélectionner le style de texte actuellement utilisé pour un texte ou un attribut dans le dessin. Après
avoir choisi un objet valide, le style correspondant sera automatiquement sélectionné dans la liste ainsi que l’élément de
prévisualisation associé.
REMARQUES :
Vous remarquerez dans des dialogues
de paramétrage le bouton à icône
vous permettant de sélectionner le style
de texte. Dans ce cas, le dialogue de
sélection sera différent de celui vu
précédemment, les boutons d’importa-
tion et d’exportation étant remplacés
par l’option « Retourner la hauteur
par défaut aux dialogues » qui, si
cochée, indique que les hauteurs de
texte dans les dialogues appelant cette
fenêtre seront automatiquement rem-
placées par les hauteurs par défaut des
styles sélectionnés.
Cliquez sur l’icône de la barre de
titre de la fenêtre puis sélectionnez
l’option « Ouvrir ‘Styles.car’ » pour
éditer le fichier.
Le contenu du fichier Styles.car fourni avec COVADIS vous est indiqué ci-dessous.
"Arial 1.0" "Arial" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 1.0" "EuroRoman" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 1.5" "Arial" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 1.5" "EuroRoman" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 2.0" "Arial" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 2.0" "EuroRoman" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 3.0" "Arial" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 3.0" "EuroRoman" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 4.0" "Arial" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 4.0" "EuroRoman" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 5.0" "Arial" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 5.0" "EuroRoman" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 6.0" "Arial" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 6.0" "EuroRoman" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 8.0" "Arial" 8.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 8.0" "EuroRoman" 8.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Arial 10.0" "Arial" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "ERoman 10.0" "EuroRoman" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 1.0" "Times New Roman" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 1.0" "CountryBlueprint" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 1.5" "Times New Roman" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 1.5" "CountryBlueprint" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 2.0" "Times New Roman" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 2.0" "CountryBlueprint" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 3.0" "Times New Roman" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 3.0" "CountryBlueprint" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 4.0" "Times New Roman" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 4.0" "CountryBlueprint" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Times 5.0" "Times New Roman" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Country 5.0" "CountryBlueprint" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 1.0" "SansSerif" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 1.0" "Simplex.shx" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 1.5" "SansSerif" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 1.5" "Simplex.shx" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 2.0" "SansSerif" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 2.0" "Simplex.shx" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 3.0" "SansSerif" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 3.0" "Simplex.shx" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 4.0" "SansSerif" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 4.0" "Simplex.shx" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"SSerif 5.0" "SansSerif" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Simplex 5.0" "Simplex.shx" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 1.0" "Verdana" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 1.0" "Romans.shx" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 1.5" "Verdana" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 1.5" "Romans.shx" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 2.0" "Verdana" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 2.0" "Romans.shx" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 3.0" "Verdana" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 3.0" "Romans.shx" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 4.0" "Verdana" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 4.0" "Romans.shx" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 5.0" "Verdana" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romans 5.0" "Romans.shx" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 6.0" "Verdana" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 8.0" "Verdana" 8.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romand 3.0" "Romand.shx" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"Verdana 10.0" "Verdana" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romand 6.0" "Romand.shx" 6.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 1.0" "SuperFrench" 1.0 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romanc 5.5" "Romanc.shx" 5.5 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 1.5" "SuperFrench" 1.5 1.0 0.0 "N" "N" "N" "Romanc 10.0" "Romanc.shx" 10.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 2.0" "SuperFrench" 2.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 3.0" "SuperFrench" 3.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 4.0" "SuperFrench" 4.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
"French 5.0" "SuperFrench" 5.0 1.0 0.0 "N" "N" "N"
Cette fonction du sous-menu Habillage de COVADIS 2D permet de construire des entités de type TEXTE (simple ou multiligne)
aux endroits indiqués, les valeurs des textes correspondant à une numérotation automatique paramétrable.
Les textes peuvent être uniquement
numériques (1, 125, 7895, …), alphanumé-
riques avec un radical et un indice numérique
(A12, Lot 6, …), mais peuvent aussi utiliser un
indice alphabétique (12a, 12b, Bâtiment 1a,
Bâtiment 1b, …).
Une flèche de rappel peut être utilisée pour
déporter la numérotation, pour une parcelle
trop petite par exemple. Dans ce cas, la
numérotation sera effectuée à l’aide d’une
entité MTEXT (texte multiligne) et d’une ligne
de repérage (entité LEADER).
Une boîte de dialogue, divisée en quatre
groupes de paramètres, permet de configurer
la fonction de numérotation.
1. Numérotation
Ce groupe de paramètres vous permet
d’indiquer la valeur de départ de la numéro-
tation, l’incrément de l’indice et de spécifier
les contrôles à effectuer.
• « Valeur de départ » : entrez dans cette zone de saisie la valeur pour le premier texte de numérotation. Cliquez sur le bouton
pour que le programme recherche la dernière valeur utilisée dans le calque de dessin et vous la propose après avoir
incrémenté son indice de 1.
REMARQUE :
Un nouveau paramètre a été ajouté pour ajouter un radical aux valeurs : il n’est donc plus utile d’entrer le radical dans cette zone.
• « Incrément d’indice » : cette valeur permet d’indiquer le pas entre deux valeurs consécutives. Par exemple un pas de 1 fera
passer la valeur ‘B1’ à ‘B2’ et la valeur ‘12c’ à ‘12d’, alors qu’un pas de 3 fera passer la valeur ‘B1’ à ‘B4’ et la valeur ‘12c’ à
‘12f’. Si ce paramètre ainsi que précédent commencent par des ‘0’ (comme dans le dialogue montré en exemple), alors l’indice
utilisé commencera lui aussi par des ‘0’. Par exemple, si valeur de départ et l’incrément d’indice sont ‘001’, les indices auront
des valeurs formatées allant de ‘001’ à ‘999’ (l’indice suivant sera ‘1000’).
• « Chaîne de préfixe » : cette chaîne de caractères sera automatiquement ajoutée au début des valeurs de numérotation.
• « Chaîne de suffixe » : cette chaîne de caractères sera automatiquement ajoutée à la fin des valeurs de numérotation.
• « Proposer les valeurs avant écriture » : si cette option est cochée, vous devrez valider chaque valeur de numérotation.
Vous aurez aussi la possibilité d’indiquer une valeur différente de celle proposée.
• « Contrôler la numérotation » : cochez cette case pour indiquer au programme de vérifier chaque valeur de numérotation.
En mode automatique (option précédente non cochée), les valeurs existantes seront sautées : si la valeur de départ est ‘B12’ et
que la valeur ‘B14’existe déjà, le programme passera de ‘B12’ à ‘B13’, puis de ‘B13’ à ‘B15’.
2. Calque de dessin
Ces paramètres permettent de définir le nom et la couleur du calque de dessin des textes de numérotation.
• « Nom » : entrez le nom du calque de dessin dans cette zone ou sélectionnez-le dans la liste des calques existants après avoir
cliqué sur le bouton .
• « Couleur » : utilisez cet élément du dialogue pour choisir la couleur de création du calque de dessin. Si le calque existe déjà,
sa couleur ne sera pas modifiée.
« Courant » : cochez cette case pour dessiner les objets de numérotation dans le calque courant.
4. Ecritures
Ces paramètres définissent le type d’objet à utiliser pour la numérotation ainsi que les caractéristiques principales dans le cas des
textes simples et multilignes.
« Textes simples » : cette option indique que des entités textes simples vont être utilisées pour la numérotation. Dans ce cas,
les flèches de rappel ne seront pas disponibles.
« Textes multilignes » : cette option indique que la numérotation se fera à l’aide de textes multilignes. Dans ce cas, les flèches
de rappel pourront être utilisées.
« Attributs de bloc » : avec cette option, vous pourrez utiliser un bloc avec attributs pour la numérotation. Les caractéristiques
de dessin des textes ne seront pas utilisées dans ce cas.
• « Style » : le dernier style utilisé par la fonction vous est proposé par défaut. Vous pouvez en choisir un
autre en cliquant sur le bouton .
• « Justification » : cette liste jaillissante vous permet de sélectionner le mode de justification des textes
parmi les différentes propositions (voir ci-contre).
• « Hauteur » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur en millimètres pour les textes de numérotation.
Cette hauteur tient bien sûr compte de l’échelle courante du dessin.
• « Orientation » : vous pouvez spécifier dans cette zone d’édition l’angle d’orientation des textes par rapport au système de
coordonnées courant. Cliquez sur le bouton pour indiquer graphiquement l’orientation à l’aide de deux points.
• « Bloc » : les blocs avec attributs présents dans le dessin vous sont proposés dans cette liste. Sélectionnez le bloc à utiliser pour
la numérotation ou cliquez sur le bouton pour rechercher le bloc sur le disque.
• « Attribut » : choisissez dans cette liste l’étiquette de l’attribut à utiliser pour la numérotation. Pour chaque numérotation, le bloc
sera inséré et cet attribut aura pour valeur le texte de numérotation.
• « Autre 1 » : cette liste permet de sélectionner un autre attribut auquel sera attribuée une valeur constante, saisie dans la zone
d’édition associée.
• « Autre 2 » : même utilisation que précédemment, mais pour un second attribut.
Pour valider le dialogue et commencer la numérotation, cliquez sur le bouton « OK ». Les paramètres sont automatiquement
enregistrés pour vous être proposés lors de la prochaine utilisation de la fonction.
Si l’option « Proposer les valeurs avant écriture » est cochée, le programme vous propose de valider la première valeur de
numérotation :
Texte de numérotation ou [Paramètres] <B91> :
Sélectionnez l’option Paramètres pour revenir au dialogue de paramétrage.
Si les flèches de rappel doivent être dessinées, le programme vous demande d’indiquer la position de la flèche :
Extrémité de la flèche de rappel :
Tapez <Entrée> si aucune flèche n’est désirée pour le texte de numérotation courant.
Vous devez alors indiquer le point d’insertion du texte :
Position pour le texte 'B91' ou [Paramètres/Orientation/Flèche inactive] :
L’option Paramètres vous permet de revenir au dialogue de paramétrage, l’option Orientation permet, quant à elle, d’indiquer une
nouvelle orientation pour les textes de numérotation, alors que l’option Flèche inactive permet de désactiver l’utilisation des flèches
de rappel. Dans ce dernier cas, l’option Flèche active sera proposée pour le prochain texte.
Le programme bouclera jusqu’à ce que vous appuyiez sur la touche <Echap> (à n’importe quel moment) ou sur la touche <Entrée>
lors de la demande de la position du texte.
Cette fonction permet d’améliorer la présentation d’un plan en effectuant un encadrement ombré ou non autour des textes
sélectionnés.
Le paramétrage de la fonction s’effectue à l’aide du dialogue ci-contre.
Celui-ci est divisé en quatre groupes de paramètres.
3. Dessiner un ombrage
Si cette option est cochée, un ombrage pourra être ajouté au cadre autour du texte pour lui donner un effet tridimensionnel.
« Epaisseur égale à la hauteur multipliée par » : la hauteur de chaque texte est multipliée par la valeur indiquée pour obtenir
l’épaisseur du trait de l’ombrage.
« Utiliser une épaisseur constante de » : la zone de saisie vous permet de spécifier directement l’épaisseur en millimètres.
« Grouper les objets composant un encadrement » : cochez cette case pour rassembler dans un groupe AutoCAD ® les
différents objets d’un même encadrement (trois objets : le cadre + deux solides 2D pour l’ombrage).
4. Calque de dessin
Ces deux paramètres permettent de définir le nom et la couleur du calque de dessin des objets d’encadrement.
• « Nom » : entrez le nom du calque de dessin dans cette zone ou sélectionnez-le dans la liste des calques existants après avoir
cliqué sur le bouton .
• « Couleur » : utilisez cet élément du dialogue pour choisir la couleur de création du calque de dessin. Si le calque existe déjà,
sa couleur ne sera pas modifiée.
Cliquez sur le bouton « OK » pour activer un traitement global par calques ou sur le bouton pour sélectionner manuellement les
entités textes à traiter.
Exemples :
1. Type de symbolique
Trois types de symboliques sont disponibles :
« Lignes parallèles » : permet de
construire des objets matérialisés par trois
éléments linéaires parallèles (lignes, arcs,
polylignes), comme pour les murs à grille. Un type de ligne particulier
est appliqué à l’élément central, différent de celui de l’entité elle-même
(et donc des deux autres éléments).
« Objet avec traits » : un trait dont l’incli-
naison est paramétrable est appliqué à
intervalles réguliers le long de la génératrice
(élément linéaire dont les sommets ont été saisis, par opposition aux
éléments issus d’un décalage). De plus, un traitement particulier est
effectué dans les angles pour obtenir un meilleur effet visuel.
« Objet avec hachures » : des hachures
sont utilisées pour symboliser des murs, des
haies ou tout autre objet.
2. Position de la symbolique
L’élément principal de l’objet est sa génératrice. Il s’agit de la courbe saisie (ou convertie) qui peut être ensuite fermée ou lissée. La
symbolique est dessinée à partir de cette génératrice, mais elle fait partie intégrante de l’objet lui-même.
Trois positions sont possibles pour le dessin de la symbolique :
« A gauche de la génératrice »,
« Centrée sur la génératrice »,
« A droite de la génératrice ».
Ces possibilités sont très utiles pour construire des objets à partir d’un levé sur le terrain, par exemple pour dessiner des murs dont
le levé se ferait certaines fois par la droite et d’autres par la gauche.
• « Modèle » : dans le cas d’un hachurage à partir d’un modèle prédéfini, cette liste permet de sélectionner le nom du modèle à
utiliser. Tous les modèles présents dans le fichier AcadIso.pat sont proposés.
• « Echelle du modèle » : permet de spécifier l’échelle à appliquer à un modèle prédéfini.
• « Angle de hachurage » : pour donner l’angle de rotation d’un modèle de hachures prédéfini ou l’angle d’orientation des traits
parallèles dans le cas d’un hachurage utilisateur. L’angle de hachurage peut être pris en compte de quatre façons différentes :
« Côté 1 » : le premier côté de l’objet sert de référence angulaire, un seul hachurage pour tout l’objet est suffisant.
« Côtés » : un hachurage différent est nécessaire pour chaque segment de l’objet et chaque hachurage utilise un angle
calculé par rapport au segment de la génératrice auquel il se rapporte.
« S.C.G. » : l’angle de hachurage est calculé par rapport au système de coordonnées générales, un seul hachurage pour tout
l’objet est suffisant.
« Corde » : l’angle de hachurage est calculé par rapport à la droite passant par les premier et dernier sommets de la courbe
génératrice. Un seul hachurage est nécessaire.
• « Espacement des traits » : pour les deux types de hachurage utilisateur (croisé ou non), cette zone d’édition permet d’indiquer
l’écart entre deux traits consécutifs. La valeur est donnée en millimètres.
• « Couleur de la symbolique » : permet de dessiner les hachurages avec une couleur différente de celle de l’objet.
REMARQUES :
La gestion des fichiers de définition se fait de façon tout à fait classique, soit à l’aide du menu Fichier, soit à l’aide de la
barre d’outils. Il est ainsi possible :
- de créer un nouveau fichier de définition,
- d’ouvrir un fichier de définition existant en allant le rechercher sur le disque ou en le sélectionnant dans la liste des défini-
tions présentes dans le répertoire courant,
- d’enregistrer les modifications effectuées,
- de copier la définition actuellement chargée vers un autre fichier (enregistrer sous un autre nom),
- de quitter le dialogue.
Par défaut, le répertoire courant est le répertoire de l’échelle du dessin.
Lorsqu’un fichier est ouvert via le dialogue de sélection de fichier et que le dossier proposé par défaut est modifié, le dossier
contenant le fichier choisi devient alors le nouveau dossier courant. Seules les définitions présentes dans le nouveau dossier
courant sont affichées dans la liste jaillissante.
Il n’est pas nécessaire d’enregistrer une définition pour pouvoir l’utiliser (construction de nouveaux objets ou conversion
d’objets existants) : si vous validez le dialogue et qu’une différence est trouvée entre la définition stockée sur le disque et
celle du dialogue, l’enregistrement vous sera proposé. En répondant « Non », vous indiquez que la définition existante ne
doit pas être réécrite mais que la version courante doit être utilisée pour le dessin.
La première fois que la commande CovaHabMurCreer est exécutée, le dialogue est affiché. Les fois suivantes, le dernier
paramétrage est utilisé par défaut. Pour forcer l’affichage du dialogue, utilisez la commande +CovaHabMurCreer. A
l’inverse, la commande –CovaHabMurCreer n’affiche jamais le dialogue mais demande le nom du fichier de définition à
utiliser sur la ligne de commandes.
Une fois le dialogue de paramétrage du dessin validé ou le fichier de définition spécifié, le nom du fichier courant ainsi que la largeur
d’objet courante vous sont rappelés sur la ligne de commande :
Le fichier de définition courant est 'Mur_Grille_G.dmu'.
La largeur courante est 0.5000 m.
Vous êtes ensuite invités à saisir le point de départ de l’objet (sur la courbe génératrice) ou à choisir l’une des options disponibles :
Point de départ ou [Largeur/Convertir/Paramètres] :
• « Largeur » : pour changer la largeur de l’objet à dessiner.
• « Convertir » : pour sélectionner les entités qui doivent être converties en objets murs / haies. Les objets autorisés sont les
lignes, les polylignes, les arcs, les cercles et les objets murs / haies. Dans ce dernier cas, il ne s’agit pas d’une conversion,
mais d’un remplacement de la définition des objets par la définition courante, la largeur des objets modifiés pouvant être
conservée. Le choix des objets à convertir se fait soit par une sélection graphique à l’écran, soit par une sélection de calques
(option à spécifier lors de la demande de sélection des objets).
• « Paramètres » : vous permet de revenir au dialogue de définition des objets.
Une fois le premier point saisi, un nouveau message d’invite est affiché :
Point suivant ou [Arc/Paramètres] :
• « Arc » : pour passer en mode de saisie d’arcs (voir plus loin).
• « Paramètres » : vous permet de revenir au dialogue de définition des objets.
Lorsque l’option « Arc » est sélectionnée, le programme passe en mode de saisie d’arcs, vous demandant par défaut d’indiquer le
point final de l’arc à construire (début de l’arc tangent au segment précédent) :
Extrémité de l'arc ou [Second point/Ligne/Paramètres/Clore/annUler] :
• « Second point » : pour ne pas tenir compte de la direction de tangence de départ et construire l’arc par trois points. Vous
devez alors indiquer un point intermédiaire sur l’arc, puis le point final.
• « Ligne » : pour repasser en mode de saisie de segments droits.
Pour terminer la saisie, tapez sur la touche <Entrée> ou utilisez l’option « Clore » si l’objet doit être fermé.
REMARQUES :
La représentation graphique des objets murs/haies étant faite par décalage de la courbe génératrice, il faut veiller à ne pas
faire s’intersecter des segments.
Pour les commandes de COVADIS utilisant la liste des segments visibles (cotation de surface, division de surface, cumul
d’aires, etc.), les objets murs/haies fournissent leur enveloppe entière. Ainsi, pour un mur, les segments des deux côtés et des
lignes de fermeture sont renvoyés aux commandes. Dans le cas d’un objet fermé, les deux contours (externe et interne) sont
fournis.
Les objets murs/haies sont dérivés des polylignes allégées d’AutoCAD®. Ainsi, de nombreuses commandes peuvent leur être
appliquées (prolongement, ajustement, coupure, étirement, édition de polyligne, …).
Deux types de menus contextuels sont disponibles (en général en cliquant avec le bouton droit de la souris) :
• le menu contextuel après sélection, affiché lorsqu’un ou plusieurs objets sont déjà sélectionnés,
• les menus contextuels des poignées, affichés lorsque une poignée spéciale (ronde et de couleur verte avant surbrillance) d’un
objet est sélectionnée (mise en surbrillance, de couleur rouge par défaut).
Ces menus donnent accès à des commandes permettant de traiter le raccordement des objets murs/haies avec des segments droits,
ainsi qu’une commande de conversion des objets en polylignes.
REMARQUES :
Les alignements ne sont possibles qu’avec des courbes non fermées.
Les distances d’allongement et de rétrécissement des segments de début et de fin d’un objet sont limitées. Elles ne pourront
pas dépasser la largeur de l’objet ni la moitié de la longueur du segment modifié.
Comme pour toute entité AutoCAD®, il est possible de modifier les propriétés d’un
objet mur/haie en effectuant un double clic sur sa représentation graphique.
En plus des caractéristiques principales de l’entité (groupe « Général »), vous
pouvez modifier la quasi-totalité des propriétés de l’objet.
Il n’est en effet pas possible de changer la définition utilisée pour la création d’un
objet via cette interface. Si vous désirez remplacer la définition actuelle d’un objet
par une autre, utilisez l’option « Convertir » de la commande de dessin des objets
vue précédemment.
Cette option du menu Habillage vous permet de choisir une symbolique de limites à appliquer à des objets linéaires.
Le choix du modèle se fait à l’aide du dialogue de sélection
par images d’AutoCAD® comme le montre l’exemple ci-
contre.
Pour sélectionner un type de limite, cliquez sur son nom ou
sur son image puis sur le bouton « OK », ou cliquez
directement deux fois sur le nom ou l’image.
Tous les modèles proposés utilisent la symbolique linéaire
pour matérialiser les limites. Reportez-vous au paragraphe
VIII.13 plus loin dans ce chapitre pour une description
complète de cette fonction.
Les caractères <C>, <D> et <G> affichés après les noms de
limites indiquent si la symbolique est Centrée ou dessinée à
Droite ou à Gauche de l’entité de base (objet habillé par la
symbolique).
Le dessin ci-dessous vous montre les différentes limites proposées par COVADIS :
Subdivision fiscale
Parcelle
Lieu-dit
Section cadastrale
Feuille cadastrale
Commune
Département
Etat
Cette option du menu Habillage vous permet de choisir une symbolique de clôture, de haie ou de mur à appliquer à des objets
linéaires.
Le choix du modèle se fait à l’aide du dialogue de sélection
par images d’AutoCAD® comme le montre l’exemple ci-
contre.
Pour sélectionner un type de clôture, cliquez sur son nom ou
sur son image puis sur le bouton « OK », ou cliquez
directement deux fois sur le nom ou l’image.
La plupart des modèles proposés utilisent la symbolique
linéaire pour matérialiser les clôtures. Reportez-vous au
paragraphe VIII.13 plus loin dans ce chapitre pour une
description complète de cette fonction.
Seuls les murs simples et avec grille utilisent un autre mode
de paramétrage et seront décrits plus loin.
Les caractères <D> et <G> affichés après les noms de limites
indiquent si la symbolique est dessinée à Droite ou à
Gauche de l’entité de base (objet habillé par la symbolique).
Le dessin ci-dessous vous montre différentes clôtures (autres que les murs simples et à grille) proposées par COVADIS :
Clôture légère
Haie simple
Haie vive
Haie de largeur 1m
Ligne d’arbres
Mur de soutènement
Cette option permet de symboliser les murs simples à l’aide de hachures AutoCAD ® ou de traits parallèles.
L’ensemble des paramètres permettant de définir un mur simple est contenu dans
un fichier texte (ASCII) à l’extension ‘sym’.
Un éditeur a été intégré à COVADIS pour vous permettre de gérer ces
paramètres.
Deux possibilités existent pour activer l’éditeur :
• Sélectionnez l’option « Dessin des clôtures » dans le sous-menu
Habillage, puis optez pour l’image « Mur simple ».
• Tapez COVAMURSIMP dans la ligne de commandes d’AutoCAD®.
Le nom du fichier de la configuration courante est affiché dans la barre de titre
de la fenêtre ; le caractère « * », éventuellement présent après le nom, indique
que le fichier a été modifié depuis le dernier enregistrement.
Au démarrage, l’éditeur affichera toujours le dernier fichier de configuration lu.
L’éditeur peut être décomposé en trois zones principales : la barre de menus, la
barre d’outils et la zone de visualisation du paramétrage.
Ce menu est utilisé pour la gestion de fichier de paramétrage de mur simple : création, ouverture,
enregistrement.
Les différentes options du menu sont décrites ci-dessous :
• « Nouveau » : permet de créer un nouveau paramétrage.
• « Ouvrir… » : permet de charger un fichier de paramétrage existant grâce à la boîte de dialogue de
sélection des fichiers.
• « Enregistrer » : permet de sauvegarder les modifications effectuées dans le paramétrage sous le nom de fichier courant.
• « Enregistrer sous… » : permet de sauvegarder le paramétrage courant sous un autre nom ou à un autre emplacement sur le
disque.
REMARQUE :
Si le paramétrage courant a été modifié mais n’est pas sauvegardé lorsqu’une des options « Nouveau », « Ouvrir… » et
« Quitter » est sélectionnée, une boîte de dialogue vous propose d’effectuer une sauvegarde ou d’annuler.
La barre d’outils est constituée de boutons permettant d’accélérer l’accès aux commandes principales du menu.
Sur chaque bouton est dessinée une icône symbolisant la commande associée. Lors du passage de la souris sur une icône, un message
(info bulle) est affiché pour rappeler la fonction du bouton.
VIII.8.1.3. Le paramétrage
REMARQUE :
Dans le cas d’un hachurage, validez les options « Dessiner le côté opposé » et « Conserver les lignes de fermetures »
pour que l’associativité soit active.
plus bas).
P1
Une fois le premier côté du mur indiqué, il vous suffit de pointer dans la
direction de dessin du côté opposé. Le mur est alors symbolisé en P2
Cette option du menu Habillage vous permet de choisir une symbolique pour représenter les linéaires des réseaux d’assainissement,
d’électricité et du téléphone.
Le choix du modèle se fait à l’aide du dialogue de sélection
par images d’AutoCAD® comme le montre l’exemple ci-
contre.
Pour sélectionner un type de réseau, cliquez sur son nom ou
sur son image puis sur le bouton « OK », ou cliquez
directement deux fois sur le nom ou l’image.
Tous les modèles proposés utilisent la symbolique linéaire
pour matérialiser les réseaux. Reportez-vous au paragraphe
VIII.13 plus loin dans ce chapitre pour une description
complète de cette fonction.
Le dessin ci-dessous vous montre les différentes symboliques de réseaux proposées par COVADIS :
Electricité B.T.
Electricité M.T.
Electricité H.T.
Electricité T.H.T.
Téléphone aérien
Téléphone souterrain
Cette option du menu Habillage vous permet de choisir une symbolique pour effectuer diverses représentations.
Le choix du modèle se fait à l’aide du dialogue de sélection
par images d’AutoCAD® comme le montre l’exemple ci-
contre.
Pour sélectionner un modèle, cliquez sur son nom ou sur son
image puis sur le bouton « OK », ou cliquez directement
deux fois sur le nom ou l’image.
Tous les modèles proposés utilisent la symbolique linéaire.
Reportez-vous au paragraphe VIII.13 plus loin dans ce
chapitre pour une description complète de cette fonction.
Le dessin ci-dessous vous montre différentes symboliques diverses proposées par COVADIS :
Bord de fossé
Haut de talus
Crête de talus
Bordure de trottoir
Passage piétons
Amorce de bâtiment
Bâtiment
Ruine
Feeder
Glissière de sécurité
Triangles
Carrés
La commande entre alors dans une boucle de saisie demandant d’indiquer un point afin
Polyligne de projection
de construire un mur. La sortie se fait par la touche <Echap> :
Point extrémité du mur :
Le but de cette commande du menu Habillage de COVADIS 2D est d’automatiser le dessin des symboles pour les murs mitoyens
et privatifs.
Le programme affiche cette invite en ligne de commande :
Mur Mitoyen : Sélectionnez le segment ou [priVatif/Paramètres] :
Lorsque vous sélectionnez un segment, le programme recherche (cas du mur mitoyen) l’autre coté du mur et place le symbole à
l’intérieur et au milieu du mur. Le symbole est perpendiculaire au mur.
Vous pouvez changer de mode en tapant la lettre V. L’affichage devient :
Mur Privatif : Sélectionnez le segment ou [Mitoyen/Paramètres] :
Cette fonction permet de sélectionner une définition de symbolique linéaire et de l’appliquer à un ou plusieurs objets sélectionnés
manuellement ou par calque.
Une symbolique linéaire est toujours appliquée à un objet de base (ligne, polyligne, arc, cercle, ellipse ou spline) et peut être
associative ou non. Dans tous les cas les seules modifications possibles sur cet objet sont un changement de type de ligne ou
d’épaisseur : il ne sera jamais déplacé ou décalé, et encore moins effacé.
Différents objets peuvent composer la représentation graphique d’une symbolique linéaire :
• un ou plusieurs objets de même type que l’entité de base, créés par décalage par exemple,
• un ou plusieurs objets de type différent : par exemple le décalage d’une spline donne une ellipse, ou pour appliquer une épaisseur
à une ligne il faut obligatoirement dessiner une polyligne 2D,
• des insertions de blocs : si des symboles doivent être positionnés régulièrement le long de l’entité de base,
• d’autres symboliques linéaires (dites « complémentaires »).
Insertions de blocs
Nouvel objet = entité de base
Entité de base
décalée puis épaissie
Périodicité des symboles
Décalage Epaisseur
REMARQUE :
A un même objet ne peut être associée qu’une seule symbolique linéaire.
Les fichiers de définition des symboliques linéaires sont automatiquement et uniquement recherchés dans le répertoire principal de
l’échelle courante (le premier dans la liste s’il y en a plusieurs).
Le dernier fichier de définition vous est automatiquement proposé par défaut.
Le paramétrage de la fonction s’effectue à l’aide du
dialogue montré en exemple ci-contre. Celui-ci est
divisé en deux groupes de paramètres : l’un pour la
définition de symbolique linéaire à appliquer,
l’autre pour les objets à traiter.
REMARQUE :
Reportez-vous aux paragraphes VIII.15 et suivants pour de plus amples informations sur la définition et la gestion des
symboliques linéaires.
Cette fonction permet de traiter simultanément un ensemble de polylignes choisies pour effectuer les modifications suivantes :
• ouverture des polylignes fermées (option Ouvrir de la commande PEDIT),
• fermeture des polylignes ouvertes (option Clore de PEDIT),
• lissage des polylignes (option Lissage de PEDIT),
• lissage spline des polylignes (option Pspline de PEDIT),
• retrouver les segments d’origine des polylignes (option Retrouver de PEDIT),
• donner une épaisseur constante aux polylignes (option Epaisseur de PEDIT),
• modifier le drapeau de génération des types de lignes pour les polylignes (option Typelign gen de PEDIT),
• inverser le sens de description des polylignes,
• donner une altitude constante à tous les sommets des polylignes,
• transformer des polylignes lissées avec l’option Pspline en entités de type SPLINE.
Cette fonction a été principalement implémentée pour le traitement des polylignes 2D (commande POLYLIGN dans AutoCAD®).
En effet, les options Lissage, Epaisseur et Typelign gen ne sont pas disponibles avec la commande PEDIT lorsqu’une polyligne
3D (construite avec la commande 3DPOLY) a été sélectionnée.
Si vous tentez tout de même d’effectuer ces opérations sur des polylignes 3D, des messages d’erreurs apparaîtront.
Selon la valeur de l’option « Autoriser les sélections composées (objets + calques) » décrite au paragraphe I.1.2.4 du
chapitre UTILISATION, le programme vous demandera :
Sélectionnez les objets à traiter ou [caLques] :
ou
Sélectionnez les objets à traiter <Entrée = calque(s)> :
Choix des objets:
pour vous permettre de choisir manuellement les polylignes à traiter ou de traiter toutes les polylignes contenues dans un ou plusieurs
calques. Le premier mode de sélection vous permet même de combiner des sélections manuelles et par calques.
Si au moins une polyligne est déjà sélectionnée avant d’exécuter la commande (elle doit donc avoir ses poignées affichées), il ne
vous sera pas demandé de choisir d’autres objets, les polylignes actuellement sélectionnées étant directement prises en compte pour
le traitement.
Les trois lignes d’options suivantes sont affichées si au moins une polyligne a été sélectionnée, pour vous proposer les différentes
possibilités de traitement :
Choisissez une option :
[Ouvrir/Clore/Lissage/Pspline/Retrouver/Epaisseur/TypelignGen/Inverser/Altitude/
transFormer en spline/Sortir] <Sortir> :
Tapez la lettre de l’option désirée puis appuyez sur la touche <Entrée> pour exécuter les modifications sur les polylignes choisies.
L’option Sortir permet de terminer la fonction après que les différents traitements aient été effectués.
Ce sous-menu du menu Habillage vous propose différentes fonctions pour la définition et la gestion
des symboliques linéaires.
La gestion des fichiers de définition peut être effectuée à l’aide d’un menu ou d’une barre d’outils.
Les combinaisons de touches à la droite des options indiquent que ces options sont accessibles via des
raccourcis clavier. Ainsi, si vous tapez la combinaison <Contrôle+O>, le dialogue d’ouverture d’un fichier
de définition sera affiché.
« Nouveau » : crée un nouveau fichier de définition avec les paramètres par défaut. Si la définition
courante a été modifiée, il vous sera demandé si elle doit être enregistrée.
« Ouvrir… » : permet de sélectionner sur le disque le fichier de définition à ouvrir.
Les fichiers de définition sont enregistrés dans le répertoire de l’échelle courante, et
ont l’extension ‘syl’.
« Enregistrer » : sélectionnez cette option pour enregistrer les modifications
apportées à la définition courante. Si aucun nom n’a encore été affecté à cette
définition (SansNom.syl), c’est l’option suivante qui doit être utilisée.
« Enregistrer sous… » : cette option permet d’enregistrer la définition courante tout en spécifiant le nom du fichier à créer.
« Quitter » : termine le dialogue de gestion des définitions. Si la définition courante a été modifiée, il vous sera demandé si
elle doit être sauvegardée.
La zone du dialogue
montrée en exemple ci-
contre regroupe les para-
mètres généraux.
Le cliché associé à la
symbolique linéaire est
affiché à droite dans un
élément sur lequel vous
pouvez cliquer pour choi-
sir une autre définition de
symbolique à charger à
l’aide du dialogue vu
précédemment au paragraphe VIII.13.
1. Informations générales
Ce groupe de paramètres vous permet d’indiquer une description pour la symbolique et de spécifier ses modes d’utilisation.
• « Désignation » : entrez dans cette zone de saisie le texte de description pour votre symbolique linéaire. C’est ce texte qui est
rappelé dans le dialogue de paramétrage du dessin ainsi que dans la liste des définitions lors d’une sélection (§ VIII.13).
« Indiquer le côté de dessin des objets » : si cette case est cochée, il vous sera demandé le côté de dessin de la symbolique
pour chaque objet à habiller, à condition qu’il y ait réellement un décalage (copie décalée de l’entité de base) ou que l’option
suivante soit elle aussi validée.
« Tenir compte du côté pour le dessin des symboles (facteur d’échelle en Y) » : si cette option est cochée, le facteur
d’échelle en Y des symboles sera positif si le Option cochée Option non cochée
dessin de la symbolique est fait à gauche de
l’objet de base, négatif sinon.
Cette option n’est active que si la précédente a Dessin à gauche
été cochée. Objet de base
Si elle n’est pas cochée, le facteur d’échelle en
Y des symboles sera toujours positif. Dessin à droite
Un exemple vous est donné ci-contre.
« Mesurer les objets de base en 3D (si possible) » : cette option indique, si elle est cochée, que les entités de base vont être
mesurées en 3D, ce qui signifie que la distance entre deux symboles consécutifs sera mesurée le long de l’entité et non sur la
projection de l’entité sur un plan d’altitude constante. Bien entendu, cette option n’a de validité qu’avec des entités 3D telles que
les lignes, les splines et les polylignes 3D.
« Insérer les symboles en 3D (si possible) » : si cette option est cochée, les altitudes d’insertion des symboles seront prises
sur l’entité de base, à condition bien sûr que l’entité de base soit une ligne en 3D, une spline ou une polyligne 3D. Il n’est pas
nécessaire que l’option précédente soit validée pour que celle-ci le soit.
2. Dessin de la symbolique
Ce groupe de paramètres vous permet d’indiquer si les objets matérialisant la symbolique (autres que l’entité de base) doivent :
« Hériter des propriétés de l’objet de base » : le calque de dessin, le type de ligne, la couleur, l’épaisseur de ligne et style de
tracé de l’entité de base seront affectés à tous les autres objets composant la symbolique.
« Hériter des propriétés courantes » : le calque de dessin, le type de ligne, la couleur, l’épaisseur de ligne et style de tracé
courants seront affectés à tous les autres objets composant la symbolique.
« Utiliser en plus les propriétés suivantes » : si cette case est cochée, les objets composant la symbolique seront dessinés
dans le calque indiqué dans la zone d’édition. Si le calque n’existe pas lors du dessin de la symbolique il sera automatiquement
créé avec la couleur par défaut indiquée.
En bas à gauche de la zone graphique sont affichées les coordonnées du curseur lorsque celui-ci se trouve au-dessus de l’espace de
prévisualisation. Ces coordonnées sont toujours exprimées en millimètres avec le point de départ de l’entité de base comme origine.
L’élément libellé « Répét. » vous permet de spécifier le nombre de répétitions du modèle dans la zone de prévisualisation. La
longueur du modèle dépend de la périodicité de positionnement des symboles ainsi que la longueur du type de ligne utilisé.
Si la largeur du modèle est beaucoup plus grande que sa longueur, le programme ajustera automatiquement le nombre de répétitions
pour une meilleure visibilité de l’aperçu.
Le bouton à icône vous permet de créer automatiquement le cliché associé à la symbolique linéaire courante. Ce cliché est
divisé en deux parties : la partie graphique qui contient les mêmes informations que sur l’aperçu et la partie texte contenant la chaîne
de caractères de description de la symbolique, ou, s’il n’y a pas de description, le nom du fichier de définition.
Cette fonction permet de modifier la définition de symbolique linéaire associative appliquée à une entité, puis de mettre à jour cette
entité ou de changer la définition de symbolique appliquée à une entité.
Sélectionnez tout d’abord l’entité de base sur laquelle la symbolique est appliquée ou n’importe quel autre objet de la symbolique :
Sélectionnez la symbolique à modifier :
Le dialogue de définition des symboliques linéaires est alors affiché, avec le fichier correspondant à la symbolique choisie (voir le
paragraphe précédent). Deux cas de figures peuvent se présenter :
1. Si la définition de la symbolique est modifiée, le programme vous
demandera si toutes les symboliques dessinées qui utilisent ce fichier de
définition doivent être mise à jour ou non.
Une réponse positive entraînera la mise à jour du dessin, alors qu’une
réponse négative indiquera que les modifications doivent être ignorées.
Dans ce cas, une incohérence temporaire existera entre le fichier de
définition de la symbolique et sa représentation graphique dans le dessin. Cette différence sera supprimée lors de l’utilisation de
la fonction de régénération des symboliques (voir plus loin) ou lors d’une mise à jour automatique en réaction à la modification
de l’entité de base (associativité).
2. Si une autre définition a été chargée dans le dialogue, le programme vous
demandera si la symbolique sélectionnée doit être remplacée par celle
chargée.
Cliquez sur le bouton « OK » pour valider le remplacement.
Cette fonction permet de remplacer les symboliques associatives choisies par de nouvelles symboliques.
Les symboliques à modifier peuvent être sélectionnées en cliquant sur leur objet de base ou n’importe quel objet les composant.
Le message de sélection sur la ligne de commande vous permet aussi d’entrer deux options :
Sélectionnez les objets des symboliques à changer ou [TOutes/caLques] :
• « Toutes » : pour indiquer que toutes les symboliques actuellement dans le dessin doivent être prises en compte,
• « caLques » : pour indiquer que la sélection des symboliques à traiter doit être faite en sélectionnant les objets de base dans un
ou plusieurs calques.
Lorsque le choix est terminé, appuyez sur la touche <Entrée>. Le programme vous indique alors le nombre de symboliques
sélectionnées, ainsi que le nombre de définitions concernées :
Nombre de symboliques à modifier = 2 / 4
(2 définitions actuellement utilisées.)
Dans l’exemple ci-dessus, le dessin contient quatre symboliques linéaires, deux ont été sélectionnées pour être remplacées et elles
utilisent toutes les deux une définition différente.
Le dialogue de choix d’une symbolique est ensuite affiché pour vous permettre de sélectionner la symbolique de remplacement.
Validez ce dialogue pour effectuer la mise à jour des symboliques dans le dessin :
=> Nombre de symboliques modifiées = 2 / 2
Cette fonction permet d’effectuer un traitement global des entités contenues dans un dessin et de leur appliquer des symboliques
linéaires, les différents traitements étant décrits dans un fichier texte.
Le fichier peut être placé n’importe où sur le disque mais doit posséder l’extension ‘asl’. Un fichier d’exemple vide vous est fourni
avec COVADIS dans le sous-répertoire \Config de l’installation.
Chaque ligne du fichier contient les informations sur un traitement à effectuer et est de la forme :
<Fichier><espace(s)><Calques><espace(s)><Associativité>
avec : <Fichier> = nom du fichier de définition de symbolique à appliquer, les différentes formes autorisées étant :
Fichier (nom du fichier sans extension)
Fichier.syl (nom du fichier avec extension)
C:\Geo2000\200\Fichier.syl (nom complet du fichier)
"Ma Définition" (nom du fichier sans extension, entre guillemets)
"Ma Définition.syl" (nom du fichier avec extension, entre guillemets)
"C:\Geo2000\200\Ma Définition.syl" (nom complet du fichier, entre guillemets)
<espace(s)> = un ou plusieurs espaces de séparation des données
<Calques> = nom du ou des calques des entités de base à traiter :
Calque1 (un seul nom de calque)
Calque1,Calque2,Calque3 (plusieurs noms de calques)
"Premier Calque" (un seul nom de calque, entre guillemets)
"Premier Calque,Second Calque" (plusieurs noms de calques, entre guillemets)
<Associativité> = drapeau d’activation de l’associativité ou non :
1 (associativité activée)
0 (associativité désactivée)
REMARQUE :
Les symboliques sont appliquées telles quelles sans tenir
compte de l’éventuelle demande du côté de dessin des objets.
Les symboliques doivent donc être définies vers la droite ou
vers la gauche (selon le résultat escompté) par rapport au sens
de levé des objets de base.
Cette fonction permet de dessiner chaque modèle de symbolique linéaire défini pour l’échelle courante du dessin.
Il vous suffit de cliquer le point de départ pour le dessin (point haut gauche) pour obtenir un résultat similaire à celui montré en
exemple ci-dessous, les textes et objets de base étant dessinés dans le calque courant et le style courant étant utilisé pour les
descriptions (à gauche) et les noms des fichiers de définition (à droite).
Cette fonction effectue le listing des différentes symboliques utilisées dans le dessin sous forme de tableau.
Un exemple vous est donné ci-dessous.
==============================================================================
TABLEAU RÉCAPITULATIF DES SYMBOLIQUES LINÉAIRES UTILISÉES
==============================================================================
Dessin : F:\Tests2000\Dessin1.dwg
Échelle : 1/200
Nombre : 5
==============================================================================
Nombre Fichier Description
------------------------------------------------------------------------------
5 AssEP.syl Assainissement Eaux Pluviales
3 AssEU.syl Assainissement Eaux Usées
4 BordureTrottoir.syl Bordure Trottoir
2 PassagePietons.syl Passage Piétons
2 PttA.syl Tél. aérien
==============================================================================
Cette fonction permet de mettre à jour la liste des fichiers de définition des symboliques linéaires pour une échelle donnée à partir
des définitions existantes pour une échelle de référence.
Le paramétrage s’effectue à partir du dialogue montré en
exemple ci-contre.
Le premier groupe de paramètres concerne l’échelle des
définitions à recopier :
• « Valeur de l’échelle » : sélectionnez dans cette liste
jaillissante l’échelle de référence pour la mise à jour.
Toutes les échelles définies (voir paragraphe I.1.1) sont
présentes, l’échelle courante étant proposée par défaut.
• « Nombre de définitions » : le nombre de fichiers de
définition de symboliques linéaires pour l’échelle de
référence vous est indiqué. Le bouton vous permet de
visualiser les différentes définitions à l’aide du dialogue
de sélection d’une symbolique linéaire (cf. § VIII.13).
• « Nom du répertoire » : le chemin d’accès au répertoire
où sont placés les fichiers de définition des symboliques linéaires vous est rappelé dans cette zone du dialogue.
Le second groupe de paramètres, quant à lui, concerne l’échelle des définitions à mettre à jour :
• « Valeur de l’échelle » : sélectionnez dans cette liste jaillissante l’échelle à mettre à jour. Toutes les échelles définies sauf
l’échelle de référence sont présentes dans la liste, l’échelle suivant l’échelle courante étant proposée par défaut.
• « Nombre de définitions » : le nombre de fichiers de définition de symboliques linéaires pour l’échelle à mettre à jour vous est
indiqué. Le bouton vous permet de visualiser les différentes définitions (description, nom de fichier et cliché) à l’aide du
dialogue de sélection d’une symbolique linéaire (cf. § VIII.13).
• « Nom du répertoire » : le chemin d’accès au répertoire où sont placés les fichiers de définition des symboliques linéaires à
mettre à jour vous est rappelé dans cette zone du dialogue.
« Réécrire les fichiers de définition déjà existants » : si vous cochez cette case, tous les fichiers de définition présents dans
le répertoire source seront pris en compte pour la mise à jour de l’échelle de destination. Si la case n’est pas cochée, seuls les
fichiers qui n’existent pas dans le répertoire de l’échelle à mettre à jour seront pris en compte.
Cliquez sur le bouton « Mettre à jour ! » pour effectuer la mise à jour. Pour les différents fichiers pris en compte, le programme
effectue tout d’abord la lecture du fichier, modifie les facteurs d’échelle en X et Y des symboles en fonction du rapport des échelles
(destination / source), puis enregistre le fichier de définition dans le répertoire de destination en lui donnant le même nom que le
fichier source.
Cette fonction effectue une régénération des différentes symboliques linéaires associatives présentes dans le dessin courant.
Pour ce faire, chaque symbolique est entièrement redessinée en fonction des informations de définition contenues dans le dessin, et
non à partir du fichier de définition de la symbolique.
Si le fichier de définition a été modifié, les changements effectués ne seront pris en compte que si la fonction de rechargement des
définitions est utilisée (voir ci-dessous).
Cette fonction recharge toutes les définitions utilisées par les symboliques linéaires associatives du dessin courant, puis effectue une
régénération de ces symboliques.
Le récapitulatif du traitement effectué est affiché dans la fenêtre de texte d’AutoCAD® , comme par exemple :
Nombre de réacteurs à mettre à jour = 16.
Nombre de symboliques à recharger = 5.
=> Nombre de symboliques rechargées = 5.
=> Nombre de réacteurs mis à jour = 16.
Cette fonction permet de supprimer des symboliques associatives dans le dessin courant.
Les symboliques à supprimer peuvent être sélectionnées manuellement en cliquant soit sur l’objet de base, soit sur n’importe quelle
entité qui compose une symbolique.
De plus, deux options vous sont proposées lors de la demande de sélection :
Sélectionnez les objets des symboliques à effacer ou [TOutes/caLques] :
• « Toutes » : pour indiquer que toutes les symboliques actuellement dans le dessin doivent être prises en compte,
• « caLques » : pour indiquer que la sélection des symboliques à traiter doit être faite en recherchant les objets de base dans un
ou plusieurs calques.
Lorsque le choix est terminé, appuyez sur la touche <Entrée>. Le programme efface alors tous les objets matérialisant les
symboliques sélectionnées, sauf les objets de base, et vous indique le nombre de symboliques supprimées :
Nombre de symboliques effacées = 2 / 16
COVADIS propose six méthodes de représentation des talus, ainsi que quatre fonctions de dessin automatique par calque pour les
deux types simples.
Le choix du modèle se fait à l’aide du dialogue de sélection
par images d’AutoCAD® comme le montre l’exemple ci-
contre.
Pour sélectionner un type de talus, cliquez sur son nom ou
sur son image puis sur le bouton « OK », ou cliquez
directement deux fois sur le nom ou l’image.
VIII.16.1. Le paramétrage
Une fenêtre unique permet de paramétrer les différents types de talus. Elle présente un menu et une barre d’outils remplissant les
mêmes fonctions : la création d’un nouveau fichier de paramétrage, l’ouverture, l’enregistrement et l’enregistrement sous un autre
nom d’un fichier ‘syt’. La liste déroulante contient les fichiers de paramétrage présents dans le répertoire /Config de COVADIS. Il
suffit d’y sélectionner le fichier de paramétrage pour afficher ce dernier.
• « Associatif » : si cette option est cochée, toute modification sur le haut de talus ou le(s) bas de talus provoquera le recalcul des
barbules.
• « En 3D » : si cette option est cochée, les barbules seront en 3D, les altitudes des hauts et bas de talus étant prises en compte.
• « Répartir les barbules » : si cette option est cochée, l’espacement entre les barbules sur le haut de talus sera ajusté pour chaque
segment de façon à avoir une barbule sur les sommets du haut de talus.
• « Calculer les thalwegs » : dans le cas d’un haut de talus constitué d’une polyligne fermée, vous pouvez vous dispenser
d’indiquer des bas de talus si cette option est cochée. Le programme calcule alors des lignes de thalweg et les adopte comme bas
de talus.
• « Dessiner les triangles » : si cette option est cochée, des triangles sont dessinés le long du
haut de talus. Leur taille est par défaut égale à l’espacement entre deux barbules mais peut être
modifiée via les propriétés de l’objet talus
Ce type de talus est surtout utilisé quand la distance entre le haut et le bas
du talus est importante.
Le principe est de dessiner plusieurs couches de barbules. La première
couche est composée de traits courts sur le haut de talus. La seconde
couche dispose des barbules ayant une longueur calculée avec le rapport
court/long (ici 30%). Ces barbules sont disposées toutes les deux barbules
courtes. La troisième couche suit le même principe et ainsi de suite
jusqu’à atteindre le bas de talus.
REMARQUE :
Pour les objets talus de type normal ou large, la sélection d’un bas de talus n’est pas nécessaire à condition que le haut de talus
soit fermé (par clore) et que le calcul des thalwegs soit activé dans le paramétrage.
Dans cette version de COVADIS, les talus sont des objets qui peuvent être modifiés
simplement via les propriétés d’AutoCAD®.
Parmi ces propriétés nous retrouvons le calque, la couleur…, soit les propriétés
générales communes à tous les objets. Il y a également le type de talus (à choisir dans
la liste), les caractéristiques des barbules et enfin le dessin des triangles ainsi que leurs
dimensions. Les propriétés numériques sont exprimées en millimètres donc ce sont des
unités papier.
Cette commande n’est disponible que si un seul objet talus est sélectionné. Le programme demande alors de sélectionner le ou les
lignes de bas talus à ajouter.
Sélectionner le ou les pieds de talus additionnels :
Une fois la sélection effectuée, l’objet talus se recalcule en tenant compte de ces nouvelles contraintes.
REMARQUE :
Si vous sélectionnez un bas de talus déjà affecté à l’objet, il ne sera pas ajouté en double. Cela autorise la sélection par fenêtre
de capture.
Pour que la copie d’un objet talus demeure associative, il est nécessaire de copier en même temps, c’est à dire dans la même opération
de copie, le haut et le(s) bas de talus.
La décomposition d’un objet talus dessine des lignes indépendantes à la place du graphisme des barbules.
La commande THALWEGS n’apparait pas dans les menus COVADIS. Elle demande de sélectionner un haut de talus fermé.
Veuillez sélectionner le haut de talus :
Elle dessine dans le calque 0 les polylignes représentant l’intersection des
talus intérieurs (pente constante) construits sur le pourtour. Ces polylignes
peuvent servir de bas de talus.
Cette fonction permet d’automatiser le dessin de bâtiments ainsi que la structuration en couches associée (contour, hachurage /
remplissage / croisillons).
Le paramétrage de la fonction s’effectue
à l’aide du dialogue montré en exemple
ci-contre.
Différents paramétrages peuvent être
sauvegardés grâce au menu Fichier.
2. Paramétrage de la symbolique
La symbolique peut être paramétrée à condition que la case d’option « Hachures / croisillons » soit cochée.
« Hachurer les contours » : sélectionnez cette option si les contours de bâtiments doivent être hachurés ou remplis.
« Dessiner les croisillons » : choisissez cette option s’il s’agit du dessin de bâtiments légers (hangars, garages, …).
• « Calque » : entrez dans la zone de saisie le nom du calque de dessin de la symbolique ou sélectionnez-le dans la liste des
calques existants en cliquant sur le bouton .
• « Couleur » : sélectionnez dans cette liste la couleur à utiliser pour la création du calque de dessin. Si le calque existe déjà, sa
couleur restera inchangée.
• « Ecart » : spécifiez dans cette zone d’édition l’écart entre deux traits de hachures consécutifs. Si la valeur est nulle, un hachurage
solide sera utilisé à la place du hachurage à 50 grades par rapport au premier côté du bâtiment.
« Double hachurage » : cochez cette case pour dessiner un hachurage croisé à 100 grades.
« Hachurage associatif » : cochez cette case si vous souhaitez que l’associativité soit activée pour les hachurages. Cette option
n’est prise en compte que pour les contours fermés : nous verrons avec la fonction suivante que la symbolique des bâtiments
peut être appliquée a posteriori à des polylignes fermées ou ouvertes.
3. Options de dessin
« Confirmer les distances entre les points » : cette option, si elle est cochée, indique que chaque distance calculée entre deux
points consécutifs sur le contour d’un bâtiment pourra être confirmée ou modifiée. Ceci vous permet d’entrer des distances
chaînées au lieu de prendre en compte les distances entre les points levés.
« Indiquer les objets inclus pour le hachurage » : si cette option est cochée, le programme vous demandera, avant d’effectuer
les hachurages, de sélectionner les objets inclus dans le contour de bâtiment qui ne doivent pas être superposés au hachurage (ou
au remplissage solide).
Une fois le paramétrage validé par le bouton « OK », le programme vous propose de spécifier le premier point du bâtiment :
Premier point du bâtiment ou [Paramètres] :
L’option Paramètres vous permet de revenir au dialogue de configuration avant d’indiquer le premier point d’un nouveau bâtiment.
Il n’est pas nécessaire de sauvegarder la configuration courante dans un fichier pour pouvoir l’utiliser.
Spécifiez ensuite le second point du contour :
Second point :
Une fois le second point donné, la ligne d’options suivante est affichée :
Point suivant ou [Angle-distance/Fermer à angle droit/annUler/Clore/Sortir] <Fermer> :
avec : Point suivant : Option active vous permettant d’indiquer le point suivant sur le contour.
Si l’option « Confirmer les distances entre les points » est cochée, le programme vous
proposera de valider chaque distance entre le point indiqué et le point précédent :
Distance du point précédent <4.7435> :
Tapez <Entrée> pour accepter la distance ou entrez la valeur chaînée.
Angle-distance : Option indiquant que le prochain point doit être spécifié par l’entrée d’un angle et d’une distance
par rapport au point précédent.
Fermer à angle droit : Il s’agit de l’option par défaut qui permet de clore le contour en créant un angle droit entre les
premier et dernier points entrés.
Annuler : Sélectionnez cette option pour annuler le segment précédemment tracé (sauf pour le premier
segment du contour).
Clore : Cette option vous permet de fermer le contour sans créer d’angle droit (fermeture directe du
dernier point entré vers le premier point).
Sortir : Permet de quitter la boucle de saisie des
points suivants.
Le message ci-contre est affiché pour vous
permettre, si vous le désirez, de supprimer la
polyligne dessinée avec les points précédem-
ment indiqués.
Une fois la saisie des sommets du contour terminée par l’une des options Fermer ou Clore, la symbolique demandée peut être
appliquée.
Si un hachurage doit être effectué, il sera fait automatiquement à moins que les objets internes doivent être indiqués. Dans ce cas,
sélectionnez-les à l’invite :
Sélectionnez les objets intérieurs à prendre en compte :
Choix des objets :
Si des croisillons doivent être dessinés, le message suivant vous proposera d’indiquer les quatre points ou de sélectionner l’option
Auto pour que le programme les dessine automatiquement à partir des quatre premiers points du contour.
Croisillon : premier point du premier segment ou [Auto] <Auto> :
Lorsqu’un bâtiment a été dessiné, le programme revient à la première invite pour vous permettre d’en construire un nouveau :
Premier point du bâtiment ou [Paramètres] :
REMARQUE :
Les points nécessaires à la construction des bâtiments peuvent être donnés selon différentes méthodes :
saisie manuelle au clavier,
pointage à l’écran,
accrochage d’objets existants (points topographiques par exemple),
entrée des matricules des points topographiques à condition que la liste des points ait été initialisée.
hachurage
er
1 point double
croisillons
2ème point hachurage
Cette fonction permet d’appliquer une symbolique de bâtiments à des contours déjà construits, sans passer par la commande de
dessin des bâtiments. Elle s’applique aussi aux contours ouverts, mais sans propriété d’associativité.
Le dialogue de paramétrage vu au paragraphe précédent est tout d’abord affiché pour vous permettre de sélectionner le mode de
représentation des bâtiments.
Une fois le paramétrage validé en cliquant sur le bouton « OK », le message suivant est affiché sur la ligne de commandes :
Sélectionnez le contour à traiter ou [Paramètres/caLques/Sortir] <caLques> :
Vous pouvez alors sélectionner les contours un par un, sélectionner l’option caLques pour choisir les noms des calques des entités
à traiter, ou tout simplement quitter la fonction grâce à l’option Sortir.
Cette commande du menu Habillage de COVADIS 2D permet de représenter simplement des portes et des fenêtres à l’aide d’une
polyligne composée d’un segment droit et d’un arc.
Pour spécifier les paramètres de dessin, commencez par indiquer le point correspondant à l’emplacement des gonds :
Premier point de la porte (côté gonds) :
Saisissez ensuite le point qui déterminera la largeur de la porte (ou de la fenêtre), une évolution dynamique vous permet de
prévisualiser le résultat :
Second point (côté ouvrant) :
Pour finir, indiquez le sens d’ouverture en cliquant du côté désiré :
Côté de l'ouverture :
Vous pouvez alors commencer la saisie d’une nouvelle porte ou fenêtre, ou terminer la commande en tapant < Entrée>.
Cette fonction permet d’effectuer un hachurage automatique de tous les contours fermés (polylignes fermées et cercles) contenus
dans un calque donné. Elle peut être utilisée, par exemple, pour effectuer un hachurage global de tous les bâtiments d’un calque, soit
pour ne pas sauvegarder les hachures dans le dessin (gain de place), soit pour utiliser des paramétrages différents, en fonction de
l’échelle de tracé.
Le hachurage est entièrement configurable à l’aide de la boîte de
dialogue ci-contre, tous les paramètres étant automatiquement
sauvegardés sur le disque pour être proposés par défaut lors des
utilisations suivantes de la fonction.
1. Calques / couleur
• « Calque des contours » : indiquez le nom du calque qui
contient les contours à traiter dans la zone de saisie ou
sélectionnez-le dans la liste des calques existants en cliquant sur
le bouton « Choix ... ».
• « Calque des hachures » : écrivez dans la zone de saisie le
nom du calque dans lequel seront dessinés les blocs de hachures
ou sélectionnez-le dans la liste des calques existants en cliquant
sur le bouton « Choix ... ».
• « Couleur de hachurage » : entrez le numéro de la couleur de
dessin des hachures dans la zone de saisie ou sélectionnez
directement celle-ci dans le dialogue de choix d’une couleur. La
couleur DuCalque (256) permet de ne pas modifier la couleur
actuelle du calque de dessin (s’il existe).
3. Définition du hachurage
Ce groupe de paramètres permet de définir l’aspect du hachurage
à appliquer aux différents contours sélectionnés. Certains
paramètres seront désactivés en fonction du type de hachurage
sélectionné.
• « Nom du motif » : tapez le nom du motif de hachures
prédéfini dans la zone de saisie ou cliquez le bouton
« Choix ... » pour le sélectionner dans la boîte de dialogue
prévue à cet effet (voir ci-contre).
Dans ce cas, utilisez les boutons « Précédent » et « Suivant »
pour vous déplacer dans les icônes, et cliquez l’icône
correspondante pour sélectionner un motif.
• « Echelle du motif » : entrez l’échelle de dessin du motif de
hachures prédéfini dans la zone de saisie ou utilisez le
coulisseau associé.
• « Angle SCU / 1er côté » : ce paramètre permet d’indiquer l’angle de rotation du modèle de hachures prédéfini ou l’angle
d’orientation des traits de hachures utilisateur.
En fonction du bouton d’option choisi, l’angle de rotation sera relatif au système de coordonnées courant ( SCU) ou relatif au
premier côté dessiné de chaque contour ( 1er côté).
Vous pouvez entrer la valeur désirée dans la zone de saisie ou la spécifier en donnant deux points à l’écran, après avoir cliqué le
bouton « Saisir ... ».
• « Ecart entre les traits » : permet de donner la distance entre deux traits de hachures consécutifs pour le type utilisateur.
Entrez la valeur dans la zone de saisie ou utilisez le coulisseau associé.
« Double hachurage » : cochez cette case pour indiquer que le hachurage utilisateur doit être croisé à 100 grades.
« Hachurage associatif » : validez cette case à cocher si vous désirez que les hachurages dessinés possèdent la propriété
d’associativité, c’est-à-dire qu’ils soient remis à jour lors de la modification des contours auxquels ils correspondent.
« Tenir compte des objets visibles inclus » : si cette case à cocher est validée, le programme effectuera, lors du hachurage de
chaque contour, une recherche des objets se trouvant à l’intérieur du contour. Si des objets sont trouvés, ils seront utilisés pour
effectuer le hachurage en mode Normal (un contour hachuré sur deux).
Les types d’objets inclus pris en compte sont : polylignes fermées, cercles, textes, blocs avec attributs (la partie graphique ainsi
que les attributs du bloc seront traités).
Pour traiter tous les objets du calque indiqué, cliquez simplement sur le bouton « OK ». Les paramètres sont alors sauvegardés et, si
des contours sont trouvés, ils sont hachurés automatiquement en tenant compte de toutes les options de configuration données.
Les modèles de hachures prédéfinis ci-dessous ont été ajoutés à ceux d’AutoCAD® par COVADIS :
Verger (1) Verger (2) Pépinière Broussaille Bois (1) Bois (2)
Espace boisé classé Marais (1) Marais (2) Tourbière Lande (1) Lande (2)
Vigne (1) Vigne (2) Houblonnière Rizière Canne à sucre Cimetière (1)
Cimetière (2) Cimetière musulman Cimetière israélite Pavés (1) Pavés (2) Pavés (3)
Cette fonction permet d’obtenir un effet de coloriage par remplissage à l’aide d’entités SOLIDES des contours sélectionnés.
Le dialogue de configuration est divisé en trois groupes de paramètres.
Toutes les valeurs sont automatiquement sauvegardées après chaque
utilisation pour être proposées par défaut lors du prochain lancement de
la fonction.
1. Sélection des contours
Ce groupe de paramètres permet de spécifier le mode de sélection des
contours devant être coloriés :
« Choisir les objets » : ce bouton d’option indique que les contours
à colorier doivent être sélectionnés manuellement un par un.
« Pointer à l’intérieur » : utilisez ce bouton d’option si le contour à
colorier n’existe pas en tant qu’entité unique (polyligne fermée ou
cercle), mais s’il s’agit d’un polygone délimité par des entités
distinctes (lignes, polylignes, arcs et cercles).
Dans ce cas, après la validation du paramétrage, le programme
créera une sélection de tous les objets valides visibles à l’écran, puis
vous demandera de pointer à l’intérieur de chaque polygone à
colorier, le contour délimitant la zone indiquée étant alors
automatiquement construit en mémoire pour effectuer le coloriage.
« Traiter tout le calque <nom> » : si ce bouton d’option est sélectionné, tous les contours contenus dans le calque indiqué
seront traités par la fonction de coloriage.
Entrez le nom du calque dans la zone de saisie ou sélectionnez-le dans la liste des calques existants (bouton « Choix ... »).
2. Textes/attributs inclus
Ce groupe de paramètres permet d’indiquer si des textes ou des attributs se trouvant à l’intérieur des contours doivent être pris en
compte par la fonction de coloriage, et donc rester visibles après traitement.
« Ne pas en tenir compte » : sélectionnez ce bouton d’option s’il n’y a pas d’objet inclus dans les contours ou pour ne pas en
tenir compte.
« Sélectionner les objets » : si cette option est choisie, et si le traitement des contours ne se fait pas pour l’ensemble des objets
d’un calque, vous devrez indiquer quels sont les objets inclus (textes et attributs) devant être pris en compte pour le coloriage, et
ce, pour chaque contour sélectionné.
« Objets dans le calque <nom> » : cette option permet d’indiquer le nom du calque contenant tous les objets inclus devant
être pris en compte par la fonction de coloriage.
Entrez le nom du calque dans la zone de saisie ou cliquez sur le bouton « Choix ... » pour le sélectionner dans la liste des calques
définis du dessin courant.
• « Marge autour des textes/attributs inclus » : si des textes ou des attributs inclus doivent être pris en compte, vous pouvez
définir une marge autour de ceux-ci pour les rendre plus lisibles. La valeur de la marge doit bien sûr tenir compte des hauteurs
des textes et des attributs (par exemple, il ne serait pas intéressant de mettre une marge de 5.0 pour des hauteurs de 1.0).
3. Calque de coloriage
• « Nom » : entrez le nom du calque de dessin des solides de remplissage dans la zone de saisie, ou sélectionnez-le dans la liste
des calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton « Choix ... ».
• « Couleur » : entrez le numéro de la couleur pour le calque de dessin dans la zone de saisie ou sélectionnez dans la boîte de
dialogue de choix des couleurs en cliquant sur le bouton image.
« Grouper les objets créés pour un même coloriage » : cette case à cocher permet d’indiquer au programme si tous les
solides servant au coloriage d’un même contour doivent être rassemblés dans un groupe non nommé. Ce qui permettra, par la
suite, de sélectionner plus facilement les entités matérialisant le coloriage.
Le traitement commence une fois que le paramétrage a été validé par le bouton « OK ».
En fonction de la configuration choisie, vous aurez à sélectionner les contours
un par un ou à pointer à l’intérieur de chaque polygone à colorier, à moins qu’un
H1
traitement global par calque ait été préféré.
H3
Si des objets inclus doivent être pris en compte, vous devrez les indiquer
manuellement (pour chaque contour à colorier) à moins qu’un calque les
contenant ait été spécifié, et que le bouton d’option correspondant ait été
sélectionné.
Lorsqu’un traitement global est terminé, ou qu’aucune sélection manuelle n’est H2
faite (touche <Entrée>), le programme revient automatiquement au dialogue de H4
paramétrage. Appuyez sur « Annuler » pour terminer la fonction.
Cette fonction est similaire à la précédente, mis à part que les contours
ne sont pas sélectionnés directement, mais par l’intermédiaire de blocs
‘identifiants’ possédant un attribut dont la valeur est le code de maintien
du contour associé.
Ceci permet d’utiliser des contours créés par reconstitution à partir
d’objets limites et d’objets identifiants (voir le chapitre sur le module
TOPOLOGIE / POLYGONES), avec mise à jour automatique d’un
attribut du bloc identifiant avec le code de maintien des contours
(polylignes fermées).
Cette fonction est principalement utilisée en relation avec le module de
liaisons à des bases de données externes (Connexion BD).
Les groupes de paramètres ‘Textes/attributs inclus’ et ‘Calque de
coloriage’ sont identiques à ceux de la fonction précédente.
Le groupe ‘Sélection des identifiants’ permet d’indiquer le mode de
sélection des blocs identifiant les contours :
« Choisir les objets » vous permet de cliquer les identifiants un par
un,
« Sélection précédente » indique que tous les objets utilisés dans
la dernière sélection effectuée doivent être traités,
« Traiter tout le calque <nom> » signifiant que tous les identi-
fiants contenus dans le calque indiqué doivent être traités.
Quel que soit le mode de sélection des objets identifiants, vous devez obligatoirement donner l’étiquette de l’attribut maintien du
contour dans la zone de saisie du paramètre « Nom de l’attribut maintien du contour ».
Pour valider le paramétrage et commencer le coloriage, cliquez sur le bouton « OK ». Les différentes valeurs de configuration sont
alors automatiquement sauvegardées pour être proposées lors de la prochaine utilisation de la fonction.
REMARQUE :
Seuls les blocs identifiants possédant l’attribut maintien du contour indiqué seront pris en compte pour le coloriage. Dans tous
les autres cas un message d’erreur sera affiché.
Cette fonction permet de colorier des contours fermés à partir d’un fichier texte contenant soit les maintiens des contours, soit les
maintiens des identifiants de contours (voir la fonction précédente). De tels fichiers peuvent être créés, par exemple, avec le module
de liaisons à des bases de données externes d’AutoCAD ®.
Le dialogue de configuration est divisé en cinq groupes de paramètres.
2. Types de maintiens
Il est prévu dans la fonction la possibilité de traiter deux types de
fichiers de maintiens :
« Maintiens des contours » : pour les fichiers contenant
directement les maintiens des contours à colorier,
« Maintiens des identifiants » : pour les fichiers contenant les maintiens des identifiants de contours (voir la fonction
précédente). Dans ce cas, les identifiants doivent correspondre à des blocs avec attributs, un des attributs contenant la valeur du
maintien du contour à colorier.
4. Textes/attributs inclus
Ce groupe de paramètres est identique à celui du coloriage direct des contours, mis à part que la sélection manuelle des objets inclus
n’est plus proposée, du fait que le traitement est fait sur l’ensemble des maintiens contenus dans le fichier indiqué.
5. Calque de coloriage
Ce groupe de paramètres permettant de spécifier le nom et la couleur du calque de dessin des solides de remplissage est identique à
celui de la fonction de coloriage direct des contours.
Pour valider le paramétrage et commencer le coloriage, cliquez sur le bouton « OK ». Les différentes valeurs de configuration sont
alors automatiquement sauvegardées pour être proposées lors de la prochaine utilisation de la fonction.
Cette fonction permet d’effectuer des découpages de zones dans un dessin AutoCAD ® pour extraire les objets sélectionnés, les
recopier, créer un bloc, ou effacer tout simplement ces objets.
Les objets totalement inclus dans une zone sélectionnée seront intégralement traités, alors que les objets partiellement inclus seront
automatiquement découpés.
Le dialogue ci-contre, divisé en quatre groupes de paramètres, permet de configurer
l’opération de découpage.
1. Mode de sélection
Indiquez le mode de sélection des objets à traiter dans ce groupe de paramètres :
« Polyligne fermée » : le polygone de sélection est déjà matérialisé par une
entité de type polyligne fermée.
« Polygone fenêtre » : les différents points du polygone de sélection vont être
donnés graphiquement. Dans ce cas, une polyligne fermée sera automati-
quement dessinée pour matérialiser la sélection.
2. Opération à effectuer
Spécifiez le type d’opération à effectuer dans ce groupe de paramètres :
« Copier les objets » : les objets sélectionnés seront copiés et ne subiront donc
aucune transformation.
« Extraire les objets » : tous les objets se trouvant à l’intérieur de la zone ou
coupant celle-ci seront effacés ou ajustés de telle sorte qu’elle soit vide après le
traitement.
4. Autres options
« Découper les hachurages (plus d’associativité) » : si cette case est cochée, les hachurages qui chevauchent la zone de
découpe seront eux aussi traités, mais alors ils ne seront plus associatifs (s’ils l’étaient, bien entendu). Toutefois, le découpage
d’un hachurage entraîne automatiquement la création de deux nouveaux hachurages (ou plus).
« Sélectionner les textes partiellement inclus » : cette option permet d’indiquer au programme de traiter aussi les textes qui
chevauchent la zone de découpe mais qui ne sont pas totalement inclus dans celle-ci. Cette option n’est pas valable pour ‘les
textes multilignes’ qui ne seront traités qu’à l’unique condition que leur point d’insertion soit dans la zone.
« Réinsérer les blocs extraits (BLOC et WBLOC) » : cette case à cocher n’est accessible que si l’opération à effectuer est
« Extraire les objets ». Elle permet d’indiquer au programme qu’il lui faudra, une fois la définition de bloc ou le nouveau dessin
créé et les objets effacés à l’intérieur de la zone, insérer le nouveau bloc ou le nouveau dessin de telle sorte qu’il prenne la place
des objets effacés.
IX.1. GÉNÉRALITÉS
Le module SIGNALISATION de COVADIS 2D permet de concevoir et éditer la signalisation horizontale (marques sur chaussée) et
verticale (panneaux).
Les principales caractéristiques du module sont les suivantes :
• le dessin de la signalisation horizontale (longitudinale et transversale). Ces signalisations ressemblent à des polylignes, mais ont
une représentation graphique réaliste adaptée à leur modulation.
• la gestion des zones de modulation et des pictogrammes associés à une signalisation horizontale,
• le dessin des flèches et des pictogrammes,
• le dessin des autres marquages sur chaussée (passages pour piétons, ralentisseurs, damiers, zébras et chevrons …),
• le dessin des panneaux de signalisation verticale, par l’intermédiaire d’une palette d’outils dédiée,
• l’écriture des listings et quantitatifs,
• la projection de la signalisation sur un MNT pour une représentation réaliste en vue 3D.
Toutes les commandes du module SIGNALISATION sont accessibles dans une barre de menus spécialisée.
Il s’agit d’une boîte de dialogue spéciale, contenant des listes jaillissantes et des boutons permettant de faire apparaître des menus.
Cette barre de menus doit être activée grâce à l’option « Afficher la barre d’outils » du sous-menu « Signalisation » du menu Covadis 2D.
REMARQUES :
L’activation de la barre d’outils se fait automatiquement lorsque le curseur passe au-dessus. Lorsque le curseur se trouve en
dehors de la barre, c’est AutoCAD® qui est actif.
La position de la barre de menus, et son état (affichée ou non) sont toujours automatiquement sauvegardés lors de sa fermeture
ou de celle d’AutoCAD®.
Pour libérer le plus d’espace possible dans la zone de travail, un système de réduction automatique de taille a été mis en place. Pour
l’activer, il suffit de cliquer sur l’icône représentant une punaise enfoncée (en haut à droite de la barre de menus), pour la
transformer en icône de punaise vue de profil.
Une fois le mode de réduction actif, la fenêtre du dialogue passera à sa taille minimale automatiquement après environ une seconde
sans que la barre de menus n’ait été activée.
Le simple fait de passer au-dessus de la barre avec le curseur lui fait reprendre sa taille normale, pour vous permettre d’utiliser l’une
de ses fonctions. Elle se réduira automatiquement après une seconde d’inactivité.
Pour revenir au mode de fonctionnement sans réduction, il vous suffit de cliquer à nouveau sur l’icône de la punaise.
Les deux exemples ci-dessous vous montrent la barre de menus dans les deux cas de figures.
La barre de menus peut être divisée en 7 zones distinctes regroupant des commandes et des options :
1. la zone de paramétrage, composée d’un unique bouton avec menu,
2. la zone de dessin des marquages sur chaussée longitudinaux et transversaux, composée d’une liste déroulante des marquages,
d’une liste déroulante des épaisseurs et d’une liste déroulante des centrages, et d’un bouton avec menu pour les commandes de
création et de gestion de ces marquages,
3. la zone des pictogrammes, composée d’un unique bouton avec menu, donne accès aux commandes de création des pictogrammes
(flèches de rabattement, voie cyclable, …),
4. la zone des autres marquages, composée d’un unique bouton avec menu, donne accès aux commandes de création des passages
pour piétons, des ralentisseurs, des damiers, des zébras …,
5. la zone de la signalisation verticale, composée d’un unique bouton avec menu, donne accès aux commandes de création des
palettes des panneaux, et de gestion des panneaux et des objets multi-blocs,
6. la zone des listings, composée d’un unique bouton avec menu, donne accès aux commandes d’écriture des différents listings de
la signalisation,
7. la zone de projection 3D, composée d’un unique bouton avec menu, donne accès aux commandes de projection de la signalisation
sur un MNT.
1 2 3 4 5 6 7
Cette zone de la barre de menus est composée de 3 listes jaillissantes et d’un bouton de menu contenant des commandes de création
et d’édition de la signalisation horizontale.
La première liste contient les libellés des différents marquages possibles. Le libellé visible est le marquage courant.
La deuxième liste contient les différentes épaisseurs applicables au marquage courant.
La troisième liste contient les centrages applicables au marquage courant.
La hiérarchie des menus est donnée ci-après :
Cette zone ne comporte qu’un unique bouton avec menu groupant les commandes permettant de dessiner des flèches ou des
pictogrammes dans le dessin.
Cette zone ne comporte qu’un unique bouton avec menu groupant les commandes permettant de dessiner les autres marquages.
Cette zone ne comporte qu’un unique bouton avec menu groupant les commandes permettant de créer et afficher la palette des
panneaux, et de gérer les panneaux d’un dessin.
Cette zone ne comporte qu’un unique bouton avec menu groupant les commandes permettant de générer des listings et des
quantitatifs pour la signalisation horizontale et verticale.
Ce sous-menu du module SIGNALISATION permet d’initialiser le paramétrage de dessin des futures signalisations horizontales.
IX.3.1. Paramétrage …
REMARQUES :
Ce dialogue de paramétrage général s’affiche toujours au lancement de la première commande de la barre d’outils.
Le paramétrage est conservé dans le dessin.
La position de la bande continue d’une signalisation horizontale mixte est aussi modifiable par le gestionnaire de propriétés.
Cette commande est à exécuter quand l’échelle est trop grande pour
distinguer correctement les lignes discontinues. Chaque marquage est
représenté par un trait continu, de couleur différente selon le type.
Pour chaque marquage, sélectionnez sa couleur en cliquant le bouton de
la colonne « Couleur » et son épaisseur de trait dans la liste déroulante
de la colonne « Epaisseur (mm) ».
Les commandes de ce sous-menu permettent de dessiner des signalisations horizontales (longitudinales et transversales), de les
modifier et de les compléter par des pictogrammes. Elles permettent également de gérer les zones de modulation.
IX.4.1. Présentation
Une signalisation horizontale (longitudinale ou transversale) ressemble à une polyligne sur laquelle un type de ligne spécial est
appliqué pour représenter le type de modulation (T1, T2, etc.).
Une signalisation peut comporter plusieurs modulations différentes, chacune étant délimitée sur l’étendue d’une zone. Le graphisme
de la modulation s’étend sur toute la zone.
Des pictogrammes, représentant des flèches de rabattement, ou des flèches directionnelles, peuvent être associés à une signalisation.
Comme ils sont associés, une modification de la géométrie de la signalisation provoque un repositionnement du pictogramme,
l’objectif étant de conserver son abscisse sur la signalisation. Quand un pictogramme est déplacé, son abscisse et son orientation
sont recalculées par rapport à la nouvelle position.
Un texte d’informations rappelle la modulation, le multiple de U et la largeur (en centimètres) de chaque signalisation.
IX.4.2. Dessiner
Cette commande permet de dessiner une nouvelle signalisation, comme on le ferait pour une polyligne.
Les paramètres courants sélectionnés dans la barre d’outils (le marquage, le multiple de U et le centrage) sont appliqués à la nouvelle
signalisation.
Point de départ :
Cliquez le point suivant dans le cas d’un segment, ou entrez l’option ‘A’ pour dessiner un arc, ou l’option ‘P’ pour afficher le
dialogue de paramétrage.
Extrémité de l'arc ou [Second point/Ligne/Paramètres] :
Dans le cas d’un arc, cliquez l’extrémité de l’arc, ou entrez l’option ‘S’ pour cliquer un point de passage, ou l’option ‘L’ pour revenir
à une construction linéaire, ou l’option ‘P’ pour afficher le dialogue de paramétrage.
Point suivant ou [Arc/Paramètres/Clore/annUler]:
Cliquez le point suivant, ou entrez l’option ‘A’ pour choisir une construction par arc, ou l’option ‘P’ pour afficher le dialogue de
paramétrage, ou l’option ‘C’ pour clore la signalisation et terminer la saisie, ou l’option ‘U’ pour annuler le dernier point saisi.
Cette fonction permet de créer rapidement une nouvelle signalisation, par conversion d’une polyligne 2D ou d’un axe en plan.
Sélectionnez les objets à convertir ou [caLques/tYpes de ligne] :
Dans le cas de la conversion d’un axe en plan, une confirmation de l’effacement est demandée même si l’option « Effacer les
entités converties » est cochée dans le paramétrage général.
Cette commande permet de créer une nouvelle signalisation, par décalage d’une signalisation
existante, ou d’une polyligne 2D, ou d’un axe en plan.
Sélectionnez les objets à décaler ou [caLques] :
REMARQUES :
La signalisation décalée est associée à son parent (si le parent est une signalisation horizontale ou un axe en plan) : si la
géométrie du parent est modifiée, alors la géométrie de la signalisation décalée est recalculée. Pour annuler ce comportement
et libérer la géométrie de la signalisation décalée, faites un clic doit sur la signalisation décalée et exécutez la commande
Signalisation décalée : désassocier.
Une signalisation construite par décalage ne peut pas être modifiée par ses poignées car sa géométrie dépend de celle du
‘parent’. Il faut la désassocier du parent (via le menu contextuel) pour libérer sa géométrie.
IX.4.5. Rappel
Cette commande affiche un dialogue de rappel des normes de dessin de la signalisation horizontale.
Le premier onglet rappelle pour chaque type de marquage la modulation et la largeur à adopter, comme indiqué dans l’article 113-2
du livre 7 de l’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière (IISR).
Le second onglet rappelle, sous forme de graphique, la géométrie de chaque type de modulation discontinue : la longueur du trait,
l’intervalle entre 2 traits successifs, et le rapport plein/vide (cf. article 113-1 du livre 7 de l’Instruction Interministérielle sur la
Signalisation Routière).
Ce dialogue est non modal : il peut rester afficher à l’écran, sans empêcher de travailler dans la zone de dessin située au-dessous.
Ses dimensions peuvent être réduites en cliquant le bouton : il est alors « replié ». En cliquant le bouton , le dialogue reprend
sa taille normale.
Pour copier rapidement les propriétés d’une signalisation vers une autre signalisation, utilisez le bouton de copie de propriétés
d’AutoCAD® ( ou ).
Les propriétés (modulation, largeur unitaire, centrage) de la première zone de modulation sont recopiées vers la signalisation de
destination.
Comme pour tout objet AutoCAD®, la fenêtre de propriétés affiche des informations
relatives à la signalisation sélectionnée.
Ces informations sont regroupées en 4 catégories :
• « Général » : ce sont les informations communes à tous les objets AutoCAD®
• « Géométrie » : on retrouve les informations sur les sommets (comme une polyligne).
• « Propriétés » : cette catégorie rappelle si l’objet est verrouillé, quel est son produit
de marquage, son nombre de zones de modulation ….
• « Verrouillé » : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et empêcher toute
modification par les poignées.
• « Afficher les textes » : permet d’activer ou désactiver l’affichage des noms des
zones de modulations.
• « Hauteur des textes » :
• « Produit de marquage » : sélectionnez dans la liste le produit de marquage à
appliquer à l’objet.
• « Nombre de zones » : nombre total de zones de modulation de l’objet.
• « Définition de la première zone » : cette catégorie permet de modifier rapidement les
propriétés (marquage, centrage, largeur …) de la première zone de modulation.
• « Marquage » : sélectionnez le marquage à appliquer à la première zone de
modulation.
• « Type de marquage » : ce champ rappelle si le marquage est simple ou mixte.
• « Position de l’axe » : sélectionnez le centrage à appliquer à la zone de modulation.
• « Modulation » : ce champ rappelle la modulation de la première zone.
• « Longueur des bandes » : ce champ rappelle la longueur d’une bande.
• « Intervalle entre bandes » : ce champ rappelle l’intervalle entre 2 bandes.
• « Abscisse de départ » : indique l’abscisse du premier point de la première bande, relativement au premier point de l’objet.
• « Largeur unitaire (U) » : sélectionnez la largeur unitaire à appliquer à la zone de modulation.
• « Largeur des bandes » : sélectionnez le multiple de U.
• « Ecart entre les bandes » : dans le cas d’une modulation mixte, c’est l’écart latéral entre la bande continue et les bandes
discontinues.
• « Position de la ligne continue » : sélectionnez dans la liste la position de la ligne continue, soit « A gauche », soit « A droite ».
REMARQUE :
Si la fenêtre de propriétés reste vide, quittez AutoCAD ® puis redémarrez une fois en tant qu’administrateur (clic droit sur l’icône
COVADIS du bureau, puis lancez la commande Exécuter en tant qu’administrateur).
IX.4.8. Poignées
Quand une signalisation horizontale est sélectionnée, ses poignées apparaissent aux points stratégiques. Elles sont matérialisées par
des carrés, des triangles ou des ronds :
• les poignées carrées apparaissent aux sommets et ont le même fonctionnement que pour une polyligne : déplacement ou
étirement de la géométrie,
• les poignées triangulaires signalent le point départ d’une zone de modulation (autre que la première). En glissant une poignée
le long de la signalisation, le point de départ de la zone de modulation est modifié,
• les poignées rondes indiquent la position d’un pictogramme associé à la signalisation.
REMARQUES :
Si une signalisation est verrouillée, alors ses poignées ne s’affichent pas afin d’éviter toute modification de sa géométrie.
Une signalisation construite par décalage ne peut pas être modifiée par ses poignées car sa géométrie dépend de celle du
‘parent’. Il faut la désassocier du parent (via le menu contextuel) pour libérer sa géométrie.
• Si c’est le premier sommet, alors le menu jaillissant permet d’ajouter un sommet (qui sera le nouveau
premier sommet), ou de supprimer un sommet (seulement si la signalisation a plus d’un segment).
• Si c’est le dernier sommet, alors le menu jaillissant permet d’ajouter un sommet (qui sera le nouveau
dernier sommet) ou de supprimer un sommet (seulement si la signalisation a plus d’un segment).
• Si c’est un sommet intermédiaire, alors le menu jaillissant propose une unique commande pouvant
supprimer le sommet.
• Si le sommet est le milieu d’un segment droit, alors le menu jaillissant permet d’insérer un nouveau
sommet ou de convertir le segment en arc. Dans ce dernier cas, il faut cliquer un point de passage du
nouvel arc.
• Si le sommet est le milieu d’un arc, alors le menu jaillissant permet d’insérer un nouveau sommet ou
de convertir l’arc en segment droit, entre ses deux extrémités.
• Si la poignée est l’emplacement d’un pictogramme, alors le menu jaillissant permet de le modifier
ou de le supprimer.
• Si la poignée est l’emplacement d’une zone de modulation, alors le menu jaillissant permet de la modifier
ou de la supprimer.
• Si c’est la poignée du nom de la signalisation, alors le menu jaillissant permet de repositionner le nom
à sa position par défaut.
Pour accélérer les modifications sur une signalisation, des raccourcis clavier sont disponibles :
• Double-clic : ouvre le dialogue de modification de la zone sélectionnée,
• « CTRL » + double-clic : propose d’ajouter une nouvelle zone de modulation à l’objet sélectionné,
Un menu contextuel s’affiche par un clic droit sur une signalisation sélectionnée.
• Pictogramme : Ajouter permet d’ajouter un pictogramme à la signalisation
sélectionnée,
• Pictogramme : Modifier propose de modifier un pictogramme d’une signalisation,
• Pictogramme : Enlever propose d’enlever un pictogramme à une signalisation,
• Zone de modulation : Ajouter permet de compléter la signalisation par une zone de
modulation,
• Zone de modulation : Modifier propose de modifier une zone de modulation existante,
• Zone de modulation : Enlever permet d’enlever une zone de modulation existante,
• Zone de modulation : Accès riverain permet d’ajouter un accès riverain à une
signalisation,
• Signalisation décalée : Modifier permet de modifier le déport d’une signalisation
décalée,
• Signalisation décalée : Désassocier permet de couper le lien entre une signalisation
décalée et son parent,
• Afficher le sens permet de dessiner des flèches de sens le long d’une signalisation,
• Inverser le sens permet de modifier le sens de parcours d’une signalisation,
• Coter (Etiquettes) permet de dessiner des étiquettes d’informations sur la signalisation,
• Convertir en polyligne permet de recréer la polyligne à partir de la géométrie d’une signalisation.
• Coupure permet de couper une signalisation en un point donné,
• Jonction permet de joindre 2 signalisations consécutives et jointives,
• Associer un état de terrain permet de projeter altimétriquement une signalisation sur un MNT.
REMARQUE :
Si le menu contextuel n’apparaît pas, vérifiez la valeur de la variable AutoCAD ® PICKFIRST (elle doit valoir 1).
Les commandes de ce sous-menu permettent d’effectuer des opérations sur les signalisations horizontales du dessin
Cette commande permet d’inverser le sens de parcours d’une signalisation. Des flèches temporaires s’affichent sur chaque
signalisation existante pour rappeler le sens courant.
La géométrie est conservée, les pictogrammes et les zones de modulation associées sont inchangés.
Le côté de dessin d’une signalisation continue est inchangé.
Le contenu des étiquettes de cotation est mis à jour.
La géométrie des signalisations construites par décalage est recalculée pour tenir du nouveau sens du parent.
Cliquez le bouton pour accéder au gestionnaire des modèles d’étiquettes et modifier le paramétrage (textes, ancrage, mise en
forme, dimensions, etc.).
Indiquez l’intervalle séparant 2 étiquettes consécutives. Entrez une valeur importante pour insérer des étiquettes seulement au point
de départ des zones de modulation.
Précisez le calque de dessin des étiquettes, ainsi que sa couleur. Si le nom du calque commence par le signe ‘+’, alors le calque de
la signalisation est utilisé comme préfixe.
Cochez la case « Vider le calque des étiquettes » si vous désirez vider le calque avant d’effectuer la cotation.
Cette commande permet de dessiner la polyligne 2D correspondant à la géométrie des signalisations sélectionnées.
L’objet converti est effacé si l’option « Effacer les entités converties » est cochée dans le dialogue de paramétrage.
IX.5.4. Coupure
Cette commande permet de couper une signalisation en deux, par indication d’un point de coupure.
Sélectionnez la signalisation horiz. à traiter :
REMARQUE :
Les signalisations construites par décalage de la signalisation initiale avant coupure deviennent des objets indépendants.
IX.5.5. Jonction
Cette commande permet de compléter une signalisation existante en la concaténant avec une signalisation consécutive, pour former
une signalisation unique.
Sélectionnez la première signalisation :
Sélectionnez la deuxième signalisation :
Cliquez les 2 signalisations. Des flèches temporaires s’affichent sur la première signalisation pour rappeler son sens. Les éléments
(zones de modulation, pictogrammes) de la deuxième signalisation sont ajoutés à la première, puis elle est supprimée du dessin.
REMARQUES :
Les signalisations construites par décalage de la signalisation initiale avant prolongement deviennent des objets indépendants.
Il est impossible de joindre 2 signalisations ayant des produits de marquage différents, ou des largeur unitaire (U) différentes.
Les 3 commandes suivantes permettent d’ajouter un pictogramme à une signalisation horizontale, de le modifier ou de l’enlever.
Ce dialogue non modal rappelle les règles d’implantation des flèches de rabattement.
Le premier onglet rappelle les distances de présignalisation.
Le second onglet rappelle les interdistances entre flèches.
Cette commande permet de modifier les propriétés d’un pictogramme d’une signalisation.
Cliquez sur le pictogramme à modifier.
Les propriétés modifiables sont :
• le sens de parcours,
• l’échelle,
• le déport par rapport à la signalisation.
Le déport peut être saisi directement, ou alors calculé pour positionner le pictogramme au
milieu d’un segment connu par 2 points.
Entrez la nouvelle valeur de déport (négative pour changer le côté), ou cliquez le bouton
pour cliquer 2 points entre lesquels le pictogramme sera centré.
La commande Modifier le pictogramme permet de modifier le sens, l’échelle et le déport latéral entre le point de base du
pictogramme et la signalisation horizontale.
La commande Enlever le pictogramme supprime le pictogramme sélectionné.
Dans le cas de pictogrammes multiples, ces 2 commandes agissent sur tous les pictogrammes du même groupe.
Le point de départ de la zone de modulation est identifié par une poignée triangulaire.
Cliquez sur la zone à modifier. Le dialogue précédent s’affiche avec les propriétés de la zone sélectionnée. Modifiez les propriétés
puis validez les modifications par « OK ».
Cliquez dans la zone de modulation à enlever. Les propriétés de la zone précédente s’appliquent à l’emplacement de la zone
supprimée.
REMARQUES :
Ces 3 commandes sont aussi présentes dans le menu contextuel des objets « Signalisation ».
On ne peut pas enlever la première zone de modulation.
L’étendue des zones de modulation est aussi modifiable par les poignées triangulaires.
Il est possible de choisir une zone « vide » pour interrompre partiellement un marquage sur une courte longueur.
Cette commande simplifie l’insertion dans une signalisation existante d’une discontinuité pour le passage des riverains.
Cette discontinuité est une zone de modulation de type T’2 de longueur 3 mètres.
Pour afficher le menu contextuel d’une zone de modulation, positionnez le curseur sur sa poignée afin
d’afficher le menu jaillissant.
Les commandes Modifier la zone et Enlever la zone ont un fonctionnement identique aux commandes de
la barre d’outils présentées ci-dessus. Elles évitent la sélection de la zone à traiter.
Cette commande permet d’afficher ou de masquer l’affichage des textes écrits au point de départ de chaque zone de modulation, et
récapitulant la modulation, le multiple de U et l’épaisseur.
Cette commande permet de modifier le côté et le déport latéral d’une signalisation créée par décalage, par rapport à son parent.
Sélectionnez la signalisation horiz. à traiter :
REMARQUE :
On ne peut pas ré-associer une signalisation avec une autre signalisation.
Cette commande de menu, précédée d’une coche si elle est activée, permet d’afficher ou de masquer les
infobulles qui s’affichent lorsque le curseur est situé au-dessus d’une signalisation horizontale.
L’infobulle rappelle la modulation, le multiple de U, l’épaisseur de ligne (en centimètres), et l’abscisse du curseur calculée sur la
signalisation.
Les commandes de ce sous-menu permettent d’insérer des objets ‘Pictogrammes’ dans le dessin.
Un pictogramme est un objet graphique de COVADIS, formé d’un ou plusieurs contours fermés, avec remplissage.
Point de base :
Second point :
Par un clic droit sur un objet sélectionné, un menu contextuel apparaît et propose quelques commandes
pour modifier rapidement un pictogramme.
• cochez l’échelle à appliquer au pictogramme. L’échelle courante est précédée d’une coche. Si le facteur
d’échelle n’est pas applicable au pictogramme, la commande est inopérante.
• Centrer entre 2 points : cette commande permet de positionner le pictogramme au milieu de 2 points
sélectionnés.
• Sélectionner similaires : cette commande permet de sélectionner tous les pictogrammes ayant le même
modèle que le pictogramme courant.
• Priorité d’affichage : après exécution de cette commande, l’affichage du pictogramme est prioritaire sur le reste du dessin. Cela
permet de le visualiser même s’il est inséré dans une zone de peinture.
• Verrouillé : cochez cette option pour verrouiller le pictogramme courant. Les poignées ne sont plus affichées : il n’est plus
modifiable graphiquement dans le dessin.
IX.6.5. Poignées
Un objet « Pictogramme » comporte 2 poignées permettant de
modifier sa géométrie :
• une poignée carrée de position,
• une poignée ronde, pour modifier l’orientation.
Cette commande permet de créer un pictogramme à partir d’un bloc du dessin, sous certaines conditions : le nom du bloc doit
commencer par le préfixe ‘PICTO’, et le bloc doit contenir au moins une polyligne fermée. Seules les polylignes 2D fermées sont
traitées.
Les pictogrammes Indication de piste cyclable, et Stationnement réservé aux handicapés ont une nouvelle propriété « Fond de
couleur ». Lorsqu’elle est activée, un rectangle de couleur est dessiné autour du pictogramme. Ce fond de couleur est respectivement
vert et bleu.
IX.6.8. Mesurer
Cette commande permet d’insérer, à intervalle régulier, de multiples exemplaires d’un même pictogramme le long d’une
signalisation horizontale.
Sélectionnez la signalisation horizontale à mesurer :
Des flèches temporaires sur la signalisation choisie indiquent son sens.
Sélectionnez le pictogramme de référence :
Cliquez à l’écran le pictogramme devant être inséré.
Spécifiez l'intervalle (m) <10.0000> :
Spécifiez le déport (m) <2.0000> :
Saisir un déport positif pour représenter le pictogramme à droite de la signalisation, un déport négatif sinon.
Ces commandes permettent de dessiner rapidement d’autres marques sur chaussée, comme les passages pour piétons, les zigzags
pour stationnement de bus … Le principe général est de dessiner rapidement à l’écran un marquage, et de l’affiner en changeant ses
caractéristiques par la fenêtre de propriétés, ou par les commandes du menu contextuel.
Durant la construction, un affichage dynamique du futur marquage facilite sa saisie.
Un passage pour piétons est un objet graphique COVADIS représentant les bandes d’un passage pour piétons.
Les passages pour piétons sont délimités par des bandes rectangulaires ou parallélépipédiques blanches, parallèles à l'axe de la
chaussée, d'une longueur minimale de 2,50 m en ville et de 4 à 6 mètres en rase campagne ou dans les traverses de petites
agglomérations. La largeur de ces bandes est de 0,50 mètre et leur interdistance varie de 0,50 mètre à 0,80 mètre
Premier point :
Second point :
Cliquez les 2 points qui donneront la longueur et l’orientation du passage pour piétons, qui est centré sur ces 2 points.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
• Ajuster le début : cette commande permet de modifier la géométrie des bandes situées à
proximité du point de départ : elles sont ajustées par rapport à une polyligne 2D de
coupure (exemple : un bord de trottoir), avec un décalage de 30 cm (correspondant à la
largeur du caniveau).
• Ajuster la fin : de la même manière que précédemment, cette commande permet de
modifier la géométrie des bandes situées à proximité du point de fin.
• Limiter à un contour : cette commande permet de modifier le contour de chaque bande
pour ne garder que la partie située à l’intérieur d’un contour fermé.
• Redessiner : cette commande « annule » les 3 commandes précédentes et affiche les
bandes dans leur totalité.
• Répartir les bandes : cette commande modifie la valeur d’écartement entre chaque bande,
pour éliminer l’écart entre le point de départ et la première bande, et l’écart entre le point
de fin et la dernière bande.
• Aligner avec un segment : cette commande permet d’aligner l’objet avec une ligne ou un segment de polyligne. Le point de fin
est modifié pour respecter la nouvelle orientation.
• Perpendiculaire à un segment : cette commande permet de modifier l’objet pour le rendre perpendiculaire à une ligne ou à un
segment de polyligne (ex : un bord de trottoir). Le point de fin est modifié pour respecter la nouvelle orientation.
• Aligner les bandes / segment : cette commande modifie l’inclinaison des bandes, de manière à les aligner avec un segment
sélectionné.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est dessiné à l’intérieur
d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage devient prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : cette commande permet de verrouiller la géométrie de l’objet, afin d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.1.3. Poignées
REMARQUES :
Si la géométrie est modifiée, alors l’ajustement est perdu et les bandes redeviennent complètes.
Si un passage pour piétons est ajusté, un écart de 0.30 m est automatiquement créé pour simuler le caniveau (voir schéma
ci-dessous).
On ne peut pas modifier l’inclinaison d’un passage pour piéton ajusté.
Le remplissage des bandes dépend de la variable système FILLMODE. Si cette variable vaut 1, les bandes sont remplies, sinon
seul leur contour est affiché.
Le sommet de départ et le sommet de fin sont dotés de poignées multifonctions. En plaçant le curseur sur une poignée, un menu
jaillissant permet d’exécuter des actions spécifiques.
• Si c’est le sommet de début, alors le menu jaillissant permet d’ajuster le début par rapport à une
polyligne, ou de limiter la géométrie à l’intérieur d’un contour fermé.
• Si c’est le sommet de fin, alors le menu jaillissant permet d’ajuster le début par rapport à une polyligne,
ou de limiter la géométrie à l’intérieur d’un contour fermé.
IX.7.1.5. Exemple
Le graphique ci-dessous illustre la géométrie d’un passage pour piétons, ajusté au début et à la fin relativement à 2 polylignes
symbolisant un bord de trottoir.
Une bande d’éveil de vigilance (aussi appelée bande podo-tactile) est un objet graphique COVADIS représenté par un contour
rectangulaire et des petits cercles disposés en quinconce (pour les plots en forme de dômes). Ce dispositif tactile est destiné à alerter
les personnes aveugles et malvoyantes (PAM) d'un danger imminent sur leur cheminement.
Premier point :
Second point :
Cliquez les 2 points qui donneront la longueur et l’orientation de l’objet, qui est centré sur ces 2 points.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
• Parallèle à : cette commande permet de modifier la géométrie de l’objet pour le rendre parallèle à un
passage pour piétons sélectionné.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il
est dessiné à l’intérieur d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage devient prioritaire par
rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : cette commande permet de verrouiller la géométrie de l’objet, afin d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.2.3. Poignées
Un objet « Bande d’éveil de vigilance » comporte des poignées permettant de modifier sa géométrie :
• une poignée au point de départ, pour modifier sa position (et aussi l’orientation et la longueur),
• une poignée au point de fin, pour modifier sa position (et aussi l’orientation et la longueur),
• une poignée au point milieu, pour la translation,
• une poignée à chaque sommet.
IX.7.2.4. Exemple
Le graphique ci-contre illustre la géométrie d’une bande d’éveil de vigilance.
IX.7.3. Ralentisseur
Un ralentisseur est un objet graphique COVADIS représenté par plusieurs contours fermés avec remplissage. La géométrie de
chaque contour dépend d’un modèle. C’est un aménagement de modération de la vitesse en agglomération comportant une
surélévation de la chaussée.
Dos d’âne (Largeur = 0.70m, Hauteur = 2m fixe) Plateau (Largeur = 0.70m, Hauteur = 2m variable)
Cliquez le premier point de l’objet, ou choisissez une option (‘D’ ‘P’ ‘R’ ‘B’) pour changer le modèle du ralentisseur.
Cliquez le second point qui indiquera la longueur et l’orientation de l’objet.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
La ligne de menu correspondant au modèle courant est précédée d’une coche.
La ligne de menu correspondant au côté courant est précédée d’une coche.
• Dos d’âne : sélectionnez ce menu pour appliquer le modèle « Dos d’âne ».
• Plateau : sélectionnez ce menu pour appliquer le modèle « Plateau ».
• Dent de requin : sélectionnez ce menu pour appliquer le modèle « Dent de requin ».
• Barbule (Belgique) : sélectionnez ce menu pour appliquer le modèle « Barbule pour la Belgique ».
• Côté gauche : exécutez cette commande pour dessiner le ralentisseur à gauche du segment fictif reliant
les 2 points cliqués.
• Côté droit : exécutez cette commande pour dessiner le ralentisseur à droite du segment fictif reliant les 2 points cliqués.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est dessiné à l’intérieur
d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage est prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.3.3. Poignées
Un coussin berlinois est un objet graphique COVADIS représenté par un contour rectangulaire, intégrant 3 contours triangulaires
contigus, réalisés sur la partie montante du coussin. C’est un aménagement de modération de la vitesse en agglomération comportant
une surélévation de la chaussée.
Premier point :
Second point :
Cliquez les 2 points qui donneront la longueur et l’orientation de l’objet, qui est centré sur ces 2 points.
La longueur du coussin est comprise entre 3 et 4 mètres. Si la distance séparant les 2 points n’est pas comprise dans cet intervalle,
alors la longueur de l’objet est arrondie à celle de ces 2 valeurs la plus proche.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est
dessiné à l’intérieur d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage est prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.4.3. Poignées
IX.7.4.4. Exemple
Une ligne zigzag est un objet graphique COVADIS représenté par une polyligne brisée de couleur jaune, conformément au schéma
ci-dessous. Cette ligne signifie qu'il est interdit de stationner ou de s'arrêter sur toute la zone marquée, pendant la période où circulent
les autobus.
Premier point :
Second point :
Cliquez les 2 points qui donneront la longueur et l’orientation de l’objet. Sa longueur est matérialisée sur au moins 10 mètres. Sa
longueur s’ajuste de manière à dessiner une partie complète.
IX.7.5.3. Poignées
IX.7.6. Damiers
Un damier est un objet graphique COVADIS représentant un quadrillage bicolore dans un contour fermé.
Dans le cas d’un carrefour, il matérialise le passage d'une voie réservée aux transports en commun. Le damier est composé de carrés
blancs de 0,80 m à 1,20 m de côté.
Dans le cas des voies de détresse, destinées à arrêter un véhicule en perdition, le damier est composé de carrés de couleur rouge et
blanche. Chaque carreau du damier mesure 1,5 m de large sur 3 m de long.
Premier point ou [Contour] :
Cliquez le point de départ du contour, ou choisissez l’option ‘C’ pour sélectionner un contour existant.
Autre point ou [annUler] :
Dans le cas de la saisie des points, cliquez les autres points du contour. Terminez par <Entrée>.
Cliquez le contour :
Dans le cas de la sélection d’un contour, cliquez le contour, de type polyligne fermée ou cercle.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
• Ajouter un sommet : cette commande permet d’ajouter un sommet sur le segment du contour qui est le
plus proche du point cliqué.
• Supprimer un sommet : cette commande permet de supprimer le sommet de contour qui est le plus
proche du point cliqué.
• Dessiner le contour : cette commande dessine une polyligne 2D représentant le contour de l’objet.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est dessiné à l’intérieur
d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage devient prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.6.3. Poignées
La poignée d’orientation, et les sommets du contour, sont dotés de poignées multifonctions. En plaçant le curseur sur une poignée,
un menu jaillissant permet d’exécuter des actions spécifiques.
IX.7.6.5. Exemples
Exemple : à gauche, représentation d’un damier pour un carrefour, à droite d’un damier pour voie de détresse.
Une zone de peinture est un objet graphique COVADIS similaire à une hachure de type SOLID. Il représente un contour fermé
totalement rempli.
Premier point ou [Contour/Hachure] :
Cliquez le point de départ du contour, ou cliquez l’option ‘C’ pour sélectionner un contour existant, ou l’option ‘H’ pour sélectionner
une hachure.
Autre point ou [annUler] :
Dans le cas de la saisie des points, cliquez les autres points du contour. Terminez la saisie par <Entrée>.
Cliquez le contour :
Dans le cas de la sélection d’un contour, cliquez le contour, de type polyligne fermée ou cercle.
Cliquez la hachure :
Dans le cas de la sélection d’une hachure, cliquez la hachure. Seul son contour extérieur est utilisé pour délimiter la zone de peinture.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
• Ajouter un sommet : cette commande permet d’ajouter un sommet sur le segment du contour qui est le
plus proche du point cliqué.
• Supprimer un sommet : cette commande permet de supprimer le sommet de contour qui est le plus
proche du point cliqué.
• Dessiner le contour : cette commande dessine une polyligne 2D représentant le contour de l’objet.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est dessiné à l’intérieur
d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage devient prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.7.3. Poignées
Un objet « Zone de peinture » comporte plusieurs poignées à chaque contour permettant de modifier sa géométrie.
Les sommets du contour sont dotés de poignées multifonctions. En plaçant le curseur sur une poignée, un
menu jaillissant permet d’ajouter un sommet, ou de supprimer le sommet courant.
Le zébra, comme le chevron, est un objet graphique COVADIS, formé de plusieurs contours remplis, dessiné entre 2 limites.
Il représente des surfaces de chaussées normalement interdites à la circulation. Les hachures, de couleur blanche, sont inclinées à 2
(parallèlement à la rive) pour 1 (perpendiculairement à celle-ci) ; leur largeur est de 0,50 m et leur espacement, mesuré entre
parallèles est de 1,35 m. Le schéma de dessin de ces marquages est détaillé dans l’annexe C.3 du livre 7 de l’Instruction
Interministérielle sur la Sécurité Routière (IISR).
Cliquez la polyligne ou la signalisation à partir de laquelle les hachures vont commencer. Si le bord de référence est fermé, il est
demandé de cliquer obligatoirement la polyligne centrale, sinon il faut sélectionner le bord de terminaison sur lequel les hachures
vont s’arrêter puis cliquer une polyligne centrale (optionnelle).
Les hachures sont calculées le long de la polyligne centrale. Si elle est inconnue, le programme détermine une polyligne centrale,
en faisant une moyenne des 2 premières polylignes. Cette seconde méthode est donc moins précise.
REMARQUES COMMUNES :
Le point d’origine d’un bord doit être un sommet de l’autre bord. Un bord ne doit pas couper la polyligne centrale.
Les 2 bords ne doivent pas être trop écartés car un zébra est limité par une valeur d’écartement maximal.
Les 2 bords doivent être orientés dans le même sens.
L’utilisation d’une polyligne centrale améliore la qualité graphique de l’objet.
Dans le cas d’un contour fermé, et d’une polyligne centrale obligatoire, le gisement de la polyligne centrale détermine les
angles des bandes de peinture, celles-ci étant dessinées à l’intérieur du contour fermé.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
• Echanger les bords : cette commande permet d’échanger les 2 bords, l’un devenant le bord de terminaison,
l’autre devenant le bord de référence.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est dessiné à l’intérieur
d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage devient prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.8.5. Poignées
IX.7.8.6. Exemples
Une inscription sur chaussée est un objet graphique COVADIS similaire à un texte, mais respectant les dimensions préconisées par
l’article 118-7 de l’Instruction Interministérielle sur la Signalisation Routière.
Les caractères des inscriptions sont fortement dilatés dans le sens de la hauteur des caractères, pour tenir compte de l'incidence sous
laquelle ils sont vus. Lorsque la limitation de vitesse est inférieure ou égale à 50 km/h, les lettres et les chiffres doivent avoir une
hauteur minimale de 1,50 mètre. Lorsque la limitation de vitesse est supérieure à 50 km/h, les lettres et les chiffres doivent avoir une
hauteur de 4 mètres.
Pour l’écriture de texte en milieu urbain, il est aussi possible de choisir une dimension plus petite. Dans ce cas, les caractères du
texte ne sont pas étirés : ils subissent simplement un changement d’échelle et restent homogènes. Ils sont basés sur une police de
type ARIAL.
Inscription sur chaussée : taille 1.50 mètre Inscription sur chaussée : taille 4 mètres
IX.7.9.1. Dessin
La fenêtre de propriétés permet d’intervenir sur la géométrie de l’objet, et aussi d’en donner
des informations complémentaires.
• « Position » : indique le point de base de l’objet.
• « Verrouillé » : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute
modification par les poignées.
• « Libellé » : permet de modifier le libellé de l’objet.
• « Taille » : sélectionnez dans la liste déroulante la taille désirée (« 4 m », « 1,5 m » ou
« Urbain »),
• « Hauteur » : ce champ est visible uniquement dans le cas d’une taille « Urbain »,
sélectionnez dans la liste la hauteur personnalisée pour les caractères.
• « Orientation » : ce champ est visible uniquement dans le cas d’une taille « Urbain »,
sélectionnez le sens d’écriture du texte (soit « Horizontale », soit « Transversale »).
• « Seulement le contour » : indique si les caractères doivent être remplis, ou si seul leur
contour doit être dessiné (pour indiquer une dépose, par exemple)
• « Orientation (gr) » : angle entre les 2 points de référence par rapport à la verticale.
• « Surface de peinture (m²) » : indique la surface de peinture nécessaire pour remplir
l’objet (0 si la propriété « Seulement le contour » vaut « Oui »).
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires
• Parallèle à : cette commande permet de modifier la géométrie de l’objet pour le rendre parallèle à un
objet sélectionné. Le point de fin est recalculé pour tenir compte de la nouvelle orientation.
• Perpendiculaire à : cette commande permet de modifier la géométrie de l’objet pour le rendre
perpendiculaire à un objet sélectionné. Le point de fin est recalculé pour tenir compte de la nouvelle
orientation.
• Retourner : cette commande applique une rotation de 200gr à l’objet par rapport au point de base.
• Ajuster entre 2 points : cette commande modifie l’espacement entre chaque caractère du texte, de manière à les répartir sur une
longueur mesurée entre le point de départ et un point à cliquer. Si la longueur est plus petite que la longueur normale du texte,
alors elle n’est pas prise en compte
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet dans le cas où il est dessiné à l’intérieur
d’une zone de peinture ou d’une hachure. Son affichage est prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : cette commande permet de verrouiller la géométrie de l’objet, afin d’empêcher toute modification par les poignées.
IX.7.9.4. Poignées
IX.7.9.5. Exemple
Cet objet représente les bandes d’avertissement, fixées sur la chaussée à l’approche d’une zone dangereuse où il faut ralentir.
Sélectionnez la courbe de référence (poly. 2D ou sign. horiz.) ou [Rappel] :
Un trait élastique relie le curseur à sa projection sur la courbe. Cette projection sera la position de la zone dangereuse.
Un autre trait relie le curseur à la position de la première bande rugueuse. On visualise ainsi l’étendue de la répartition des bandes.
L’option « Rappel » affiche un dialogue récapitulant les écartements entre les bandes, selon la vitesse de parcours.
Par un clic droit sur l’objet, un menu contextuel apparaît, et propose des commandes complémentaires.
• Priorité d’affichage : cette commande permet de modifier l’ordre d’affichage de l’objet. Son
affichage est prioritaire par rapport au reste du dessin.
• Verrouillé : permet de verrouiller la géométrie de l’objet, et d’empêcher toute modification par les
poignées.
• Rappel : cette commande affiche le dialogue de rappel des règles de calcul des écartements.
IX.8.3. Poignées
Elles permettent le déplacement de la totalité des bandes rugueuses le long de la courbe de référence.
Après avoir déplacé la poignée, sa projection sur la courbe de référence est recalculée, et les bandes rugueuses sont repositionnées.
La signalisation verticale repose sur un groupe de plusieurs palettes d’outils, classées par type (Type A, Type B …), permettant
d’insérer facilement dans le dessin des nouveaux objets multi-blocs.
IX.9.1. Objets multi-blocs
Un objet multi-blocs est un objet graphique COVADIS, constitué de plusieurs blocs, qui a la particularité d’avoir un graphisme
différent selon qu’il est vu en 2D (vue de dessus) ou en 3D. Cela permet d’afficher un graphisme simplifié et figuratif pour la vue
2D, tout en affichant une représentation complète et réaliste en vue 3D.
Un objet multi-blocs nécessite de définir quel(s) bloc(s) sont affichés en vue 2D, et quel(s) bloc(s) sont affichées en vue 3D.
IX.9.2. Panneau
Un panneau est un objet multi-blocs particulier, défini par un seul bloc, identique en 2D et en 3D. Dans la vue ‘3D’, le bloc est
automatiquement pivoté pour être affiché verticalement.
Un support vertical, de hauteur variable, peut compléter le panneau pour augmenter son réalisme.
Exemple de représentation d’un panneau composé de 2 symboles (A16 + M2a), avec un support vertical
ATTENTION :
Les blocs définissant les panneaux et installés par COVADIS ont des dimensions par défaut qui ne correspondent pas forcément
à la réalité.
IX.9.2.1. Positions
Le nom des symboles est affiché au dessus du panneau, ainsi que la gamme (GN : gamme Normale, GG : Grande gamme …).
En vue de dessus, un rectangle symbolise le panneau.
Pour créer des panneaux avec plusieurs symboles, il suffit de glisser-déposer un panneau de la palette sur la position 3D d’un
panneau existant. Dans ce cas les symboles se cumulent sur le même panneau. Les symboles sont superposés l’un au dessous de
l’autre sur la hauteur du support.
ATTENTION :
Changer la gamme d’un panneau ne modifie pas les dimensions de ses blocs. La
seule méthode consiste à changer l’échelle des symboles du panneau.
La hauteur sous panneau dépend des dimensions verticales des symboles 3D du
panneau. Il est donc capital d’appliquer des dimensions réalistes et conformes à la
gamme pour obtenir une valeur cohérente.
En cumulant la hauteur hors-sol et la hauteur enterrée, on peut calculer la hauteur
totale du support.
Par un clic droit sur un panneau, un menu contextuel propose des commandes complémentaires.
• Editer la définition : cette commande permet de modifier la définition du panneau, et de
changer les blocs le composant.
• Editer les propriétés : cette commande permet de modifier la valeur des attributs (pour les
blocs qui en comportent), de changer l’échelle ou d’appliquer un décalage par rapport à son
point de base (cf. page IX.9.14).
• Synchroniser : cette commande régénère la géométrie d’un symbole du panneau si sa
définition graphique a été modifiée.
• Rapprocher les blocs : cette commande comble les espacements et évite les superpositions
entre les symboles composant le panneau.
• Support de panneau : cette commande permet de paramétrer le support du panneau.
• 2D : Orienter selon 2 points : cette commande permet d’orienter, dans la vue 2D, le panneau dans la direction indiquée par 2
points.
• 2D : Orienter verticalement : cette commande permet d’orienter le panneau verticalement dans la vue 2D.
• 3D : Orienter selon 2 points : cette commande permet d’orienter, dans la vue 3D, le panneau selon la direction indiquée par 2
points.
• 3D : Orienter selon la vue : cette commande permet d’orienter le panneau face à la vue courante.
• Orienter selon une polyligne : cette commande permet d’orienter un panneau par rapport à une polyligne, en appliquant le
gisement de la tangente au point le plus proche sur la polyligne.
• Séparer les positions (auto) : cette commande permet de séparer la position 2D et la position 3D du panneau, en appliquant un
décalage de 1 mètre en X et en Y entre la position 2D et la position 3D.
• Séparer les positions (manuel) : cette commande permet d’indiquer la nouvelle position 2D du panneau.
• Fusionner les positions 2D et 3D : cette commande annule la séparation des positions 2D et 3D. La position 2D prend la valeur
de la position 3D.
• 2D : Textes des noms des symboles : cette commande permet de choisir le style de texte et la hauteur d’écriture des textes
rappelant le nom des symboles du panneau.
• 3D : Caler la position / MNT : cette commande permet de projeter la position 3D sur un MNT.
REMARQUE :
Si le menu contextuel n’apparaît pas, vérifiez la valeur de la variable AutoCAD ® PICKFIRST (elle doit valoir 1).
IX.9.2.5. Poignées
Les palettes des panneaux sont créées par la commande de menu Créer les palettes des panneaux … de la barre d’outils.
Dans le dialogue, indiquez le répertoire contenant les blocs (au
format DWG) à utiliser pour remplir les palettes. Le répertoire
des panneaux de Covadis est indiqué par défaut. Cliquez le
bouton pour sélectionner un autre répertoire.
Indiquez le calque d’insertion par défaut des panneaux, ou
cliquez le bouton pour sélectionner un calque existant dans
la liste des calques.
Après validation par « OK », les palettes sont automatiquement
créées. Elles portent chacune le nom du sous-dossier contenant
les panneaux (Type A, Type AB, Type AK …).
Les palettes sont regroupées dans un groupe de palettes appelé Covadis.Signalisation, qui devient le
groupe actif. Seules les palettes de panneaux du groupe actif sont visibles.
Pour changer le groupe actif, faites un clic droit sur le titre général de la palette puis cochez le groupe
de palettes à activer.
REMARQUES :
Les fichiers des palettes sont stockés dans le dossier de l’utilisateur pour la version d’AutoCAD concernée, plutôt que dans
un sous-dossier de l’installation de Covadis. Cela permet aussi de pouvoir créer sans risque de conflit les palettes pour
différentes versions d’AutoCAD (exemple pour un AutoCAD 2013 sous Windows 7 64
bits : C:\Users\<Nom>\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\RegisteredTools\CovaSignalisation.atc)
A l’issue de la commande, il est recommandé de quitter AutoCAD ® pour enregistrer correctement les palettes créées.
Il est possible de changer le calque d’insertion d’un panneau : clic droit sur un panneau de la palette, puis exécuter la
commande Propriétés… La propriété « Calque » est modifiable dans le dialogue Propriétés de l’outil.
Consultez l’annexe en fin de document pour obtenir plus d’informations sur les palettes.
Cette commande, équivalente à la commande Outils → Palettes → Palettes d’outils (ou au bouton ), permet d’ouvrir ou de fermer
la fenêtre des palettes d’outils.
Cette commande affiche, à la ligne de commande, des informations sur les noms et les emplacements des fichiers de palettes d’outils.
******************************************************************************************
Emplacement des fichiers de palettes d'outils
=> C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\ToolPalette
Emplacement des outils enregistrés
=> C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\RegisteredTools
******************************************************************************************
Catalogues existants :
1) 'Tool Palettes Window' (21 palettes) est référencé par le fichier :
'C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\ToolPalette\AcTpCatalog.atc'
2) 'Covadis.Signalisation' (14 palettes) est référencé par le fichier :
'C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\ToolPalette\CovaSignalisation.atc'
3) 'Covadis.Silhouettes' (8 palettes) est référencé par le fichier :
'C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\ToolPalette\CovaSilhouettes.atc'
******************************************************************************************
Fichiers de palettes d'outils enregistrés :
1) C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\RegisteredTools\AcTpTools.atc
=> Module associé : AcTcTools.arx (OK)
2) C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\RegisteredTools\CovaSignalisation.atc
=> Module associé : e:\covadis\x64\14\programmes\covmvblockpalette19.arx (OK)
3) C:\Users\Nom\AppData\Roaming\Autodesk\AutoCAD 2013\R19.0\fra\Support\RegisteredTools\CovaSilhouettes.atc
=> Module associé : e:\covadis\x64\14\programmes\covmvblockpalette19.arx (OK)
******************************************************************************************
Groupes de palettes :
1) Annotation et conception
2) Caméras
3) Civil
4) Conception paramétrique
5) Création 3D
6) Electrotechnique
7) Fabrication
8) Lignes de repère
9) Lumières génériques
10) Lumières photométriques
11) Structurel
12) Styles visuels
13) Tableaux
14) Covadis.Signalisation
15) Covadis.Silhouettes
******************************************************************************************
Après validation par « OK », le(s) panneau(x) sélectionnés sont complétés par un support.
REMARQUES :
Les profils normalisés (IPN) sont modélisés par un parallélépipède vertical.
La hauteur sous panneau dépend des dimensions verticales des symboles 3D du panneau. Il est donc capital de leur affecter
des dimensions réalistes pour obtenir une valeur cohérente.
Cette commande affiche le dialogue de définition d’un panneau ou d’un objet multi blocs. Par ce moyen, il est possible de modifier
ou de compléter la définition d’un objet existant.
Cette commande permet d’éditer un panneau ou d’un objet multi blocs : modifier les échelles, changer la valeur des attributs.
IX.9.14.1. Attributs
IX.9.14.2. Décalages
Cet onglet affiche les décalages (en 2D et en 3D) de chaque symbole par
rapport au point d’insertion du panneau.
IX.9.14.3. Echelles
IX.9.14.4. Dimensions
Cet onglet récapitule les dimensions de chaque symbole de la définition
‘3D’ et calcule la hauteur cumulée de tous les symboles.
Cliquez le bouton pour accéder au gestionnaire des modèles d’étiquettes et modifier le paramétrage (textes, ancrage, mise en
forme, dimensions, etc.).
Précisez le nom du calque de dessin des étiquettes, ainsi que sa couleur. Si le nom du calque commence par le signe ‘+’, alors le
calque de l’objet est utilisé comme préfixe.
Cochez la case « Vider le calque des étiquettes » pour indiquer s’il est nécessaire de vider le calque avant d’effectuer la cotation.
IX.9.17. Mesurer …
Cette commande permet d’implanter un panneau à intervalle régulier le
long d’objets linéaires choisis. Par exemple, elle est utile pour
positionner des délinéateurs le long d’une courbe.
Cette commande permet de replacer latéralement un panneau existant à une distance imposée d’une courbe. Par exemple, elle peut
être utilisée pour replacer des panneaux à une distance réglementaire d’un bord de trottoir.
Sélectionnez la courbe de référence :
Distance latérale (m) <1.3000> :
Sélectionnez l'objet à replacer :
La projection orthogonale du panneau sur la courbe est calculée, puis il est déplacé pour tenir compte de la distance latérale saisie.
Entrez une distance latérale négative pour replacer le panneau à gauche de la courbe.
IX.9.20. Implanter
Cette commande permet de modifier l’emplacement d’un panneau existant pour le positionner à une distance donnée d’un point
situé sur une courbe de référence (exemple : un panneau A1a relativement à une distance de danger d’un virage à droite).
Sélectionnez la courbe de référence :
Cliquez le point de référence :
Distance (m) <50.0000> : 20
Déport (m) <1.3000> :
Sélectionnez l'objet à réimplanter :
La commande demande la sélection de la courbe de référence, puis d’un point sur cette courbe.
Ensuite indiquez la distance (le long de la courbe) à laquelle le panneau doit être implanté, et le déport latéral.
Entrez une valeur négative pour la distance afin de commencer avant le point de référence (c'est-à-dire inversement au sens de la
courbe).
Puis sélectionnez dans le dessin le panneau à implanter.
Les coordonnées de la nouvelle position sont indiquées en ligne de commande.
Illustration : panneau A1a+M1 avant un virage à droite, avec distance négative / point
de référence.
IX.9.21. Paramétrage
IX.9.22. Décomposition
A la décomposition d'un panneau ou d'un objet multi-blocs, les éléments représentés en 3D (vue en perspective) sont dessinés dans
un calque différent des éléments 2D (vue plane) : <calque de l'objet>_3D. Cela permet d’afficher uniquement les blocs 2D (ou 3D)
en gelant le calque adéquat.
IX.9.23. Listings
• Le premier listing récapitule la signalisation linéaire, par produit de marquage. Les informations sont la largeur et la longueur.
Echelle 1:1
Flèche de rabattement à gauche 2
Flèche directionnelle 'Tout droit et à droite' 1
Indication de piste (ou voie) cyclable 4
Total 7
• Le quatrième listing rappelle les points d’insertions (X, Y) des pictogrammes, et leur surface.
Flèche de rabattement
X Y Echelle Surface (m²)
306851.463 355018.580 1/1 1.55
306853.575 355029.661 1/1 1.55
Total = 2 3.11
• Le cinquième listing informe sur les propriétés des autres marquages (surface, longueur, modèle …).
Damiers
Quantité Modèle Surface totale (m²) Surface blanche (m²)
1 Carrefour 198.68 99.48
1 Voie de détresse 255.73 127.12
Total = 2 454.40 226.60
Zones de peinture
Stationnement de bus
Quantité Longueur (m) Surface de peinture (m²)
2 38.28 4.59
Coussins berlinois
Quantité Surface de peinture (m²)
1 0.38
Zébras et chevrons
Quantité Modèle Surface de peinture (m²)
1 Zébra 16.03
Total = 1 16.03
Ralentisseurs
Quantité Modèle Surface de peinture (m²)
2 Dos d'âne 11.90
Total = 2 11.90
Ce listing comptabilise le nombre d’occurrences de chaque symbole. Les occurrences sont groupées par gamme de panneau.
Etat Quantité
Inconnu 0
A poser 6
Existant 27
A déposer 1
Ce listing récapitule les positions 3D de chaque objet (panneau ou multi-bloc), groupées par gamme.
Gamme : Normale
A13a 306852.087 355012.503 0.000
A13b 306860.234 355021.283 0.000
A13b+M1 306857.850 355031.102 0.000
…
Ce listing rappelle la définition de chaque objet multi-bloc : son (ses) bloc(s) pour la vue 2D, son (ses) bloc(s) pour la vue 3D, ainsi
que les attributs de chaque bloc.
Cette nouvelle commande dessine un tableau récapitulatif de l’utilisation des panneaux : nom, quantité et aperçu.
Ce tableau est régi par un style de tableau nommé CovadisTableauPanneaux, modifiable par la commande de menu Format →
Style de tableau.
Ces 2 commandes ont pour but de projeter la signalisation horizontale ou verticale sur un MNT. Elles fonctionnent sur le même
principe de sélection préalable des objets à projeter, puis de sélection du MNT (ou plus précisément de l’état de terrain).
Un état de terrain symbolise une triangulation, et est utilisé pour le calcul des altitudes, ou pour la projection 3D. Il est créé à partir
de données sources, qui sont soit des faces 3D modélisant une triangulation, soit un objet MNT.
Si le dessin ne contient pas d’état de terrain, alors il est proposé de le créer.
Si le dessin ne contient pas d’objet MNT, mais des faces 3D, alors le dialogue
ci-contre est affiché. Il propose de convertir les faces en objet MNT. Il permet
également de créer un nouvel état de terrain.
Si le dessin contient un objet MNT, mais aucune face 3D, alors le dialogue ci-
contre est affiché. Il propose de créer un état de terrain ayant le même nom que
l’objet MNT.
Si le dessin contient à la fois des faces 3D et un objet MNT, alors c’est le dialogue
ci-contre qui s’affiche.
REMARQUE :
La projection 3D des objets de signalisation n’est pas recalculée automatiquement si la source de données d’un état de terrain est
modifiée. Elle doit être mise à jour pour une visualisation correcte en 3D. Pour cela, il faut recommencer la commande de
projection
IX.9.24.1. Exemple
L’image ci-dessous illustre la projection d’objets de signalisation sur un MNT, selon un point de vue isométrique.
IX.10. ANNEXES
Titre général
Rappel du nom.
Image de l’outil.
Nom de l’outil.
Nom de la palette
Les panneaux sont rassemblés dans des palettes ayant pour nom la catégorie du panneau (Type A, Type AB …).
Dans chaque palette, les outils (panneaux ou silhouettes) sont identifiés par une image et un nom.
Pour insérer un outil dans le dessin courant, cliquez-le dans la palette puis spécifiez sa position dans le dessin.
Dans le cas d’un rendu d’un dessin ayant des grandes coordonnées, il arrive que le résultat du calcul soit
une image toute noire (la variable système TARGET, cible de la vue, a la valeur erronée (0, 0, 0) où il n’y
a pas de dessin).
Pour corriger ce problème, exécutez la commande Affichage → Orbite → Orbite libre (ou le bouton ).
Puis effectuez un clic droit dans le dessin pour afficher le menu contextuel ci-contre. Exécutez la
commande Zoom vers l’étendue, puis la commande Quitter. Exécutez à nouveau la commande de rendu.
Une autre solution consiste à créer une caméra (menu Affichage → Créer une caméra ou bouton ).
Ensuite il faut afficher la vue de la caméra (commande de menu Affichage → Vues existantes ou bouton
, puis sélectionner la caméra).
Une troisième solution consiste à se positionner en 3D à l’aide des commandes POINTVUE ou VUEDYN
puis à enregistrer la vue correspondante (par la commande Affichage → Vues existantes puis cliquez le
bouton « Nouveau … »)
IX.10.5. Ombres
Pour bénéficier des ombres en mode rendu, il faut au moins une source de lumière active (par exemple le soleil), et activer le calcul
des ombres.
Le soleil se paramètre par la commande Affichage → Rendu → Lumières → Propriétés du soleil ou par la commande Covadis 3D →
Volet paysager → Ensoleillement.
Dans la fenêtre des propriétés du soleil, il faut activer l’état (dans la catégorie Général).
L’emplacement géographique est modifiable en cliquant le bouton (loupe sur le globe terrestre).
Le module Volet Paysager permet aussi de modifier l’emplacement géographique (commande de menu Ensoleillement)
Dans les paramètres avancés du rendu, il faut activer le calcul des ombres en allumant
l’ampoule.
IX.10.6. Rendu
Pour AutoCAD® 2007 à 2009, le rendu fonctionne correctement uniquement en vue 3D à partir du style visuel réaliste.
X.1. GÉNÉRALITÉS
Les palettes d’outils sont apparues dans AutoCAD® 2004. Ce sont des onglets contenant des icônes sur lesquelles l’utilisateur clique
afin de déclencher une action.
L’accès à la fenêtre qui gère les palettes s’effectue par le bouton de la barre d’outils Standard d’AutoCAD® ou en tapant la
commande _ToolPalettes ou encore par le menu Outils / Palettes / Palettes d’outils (Ctrl+3 est le raccourci clavier). Lancer la
commande ouvre ou ferme la fenêtre contenant les palettes.
COVADIS version 12 propose deux commandes qui créent des palettes à partir d’une base d’articles ou d’une table de codes.
Cela permet de dessiner plus facilement les objets à métrer ou les éléments d’un plan topo.
La commande de création est située dans le menu Covadis 2D / Palettes d’outils et est aussi présente dans le menu Cov.Calculs.
Vous pouvez également taper la commande PalCreationTC en ligne de commande.
Les outils sont présentés avec une icône et un texte composé du code et de son commentaire. L’icône
représente le symbole ou une polyligne selon le cas. Le point d’interrogation jaune signifie qu’il
manque des propriétés de dessin au code correspondant. Dans ce cas, veuillez modifier la table de
codes et relancer la commande de création des palettes.
La commande de création est située dans le menu Covadis 2D / Palettes d’outils et est aussi présente dans le menu Covadis VRD / Métré
avec base d’articles.
Vous pouvez également taper la commande PalCreationBA en ligne de commande.
Les outils sont présentés par défaut avec une icône et un texte composé du numéro et du nom
de l’article. L’icône représente le symbole ou une polyligne selon le cas. Le point
d’interrogation jaune signifie qu’il manque des propriétés de dessin à l’article correspondant.
Ce peut être le nom de symbole ou le type d’objet à dessiner. Dans ce cas, veuillez modifier
la base d’articles et relancer la commande de création des palettes.
Vous pouvez regrouper les palettes dans des groupes. Cela est pratique s’il y a beaucoup de palettes. Cette possibilité n’existe pas
pour les versions d’AutoCAD® 2004.
Pour créer un groupe, faites un clic droit dans la fenêtre d’affichage des palettes et l’option « Personnaliser… » ouvre une autre
fenêtre dans laquelle vous créerez vos groupes de palettes. Ensuite, faites glisser les palettes de la liste de droite dans le groupe
souhaité (la palette Espaces verts appartient au groupe COVADIS dans l’exemple ci-dessous).
Une fois le(s) groupe(s) créé(s) et rempli(s), fermez cette fenêtre et sélectionnez le groupe à afficher en faisant un clic droit dans la
barre de titre de la fenêtre qui affiche les palettes. Les noms des groupes sont proposés. Vous pouvez également afficher « Toutes
les palettes ».
REMARQUE :
Les palettes sont stockées dans le répertoire Support de COVADIS. Pour effacer d’un coup les palettes créées par la commande,
il suffit d’effacer les répertoires ToolPalette et RegisteredTools présents dans Support.
XI.1. GÉNÉRALITÉS
Cette fonction permet de dessiner sur les sommets des polylignes des petits carrés simulant les ‘grips’ (poignées) qui sont affichés
lors de la sélection des objets. Ces ‘grips’ sont temporaires car il suffit de redessiner l’écran pour qu’ils disparaissent.
Quatre couleurs sont utilisées en fonction des différents cas rencontrés :
◼ cyan pour le premier point d’une polyligne,
◼ vert pour les points intermédiaires,
◼ jaune pour le dernier point de la polyligne, sauf si celle-ci est fermée,
◼ rouge pour indiquer les sommets multiples (digitalisés plusieurs fois).
Si des polylignes sont sélectionnées avant le lancement de la commande, elles seront automatiquement prises en compte pour le
dessin des grips. Sinon, le message d’invite suivant vous sera proposé :
Sélectionnez les polylignes ou [caLques] :
Vous pouvez alors choisir les polylignes à traiter ou sélectionner l’option caLques pour effectuer un traitement par calque. Les
deux modes de sélection des polylignes peuvent être combinés grâce aux options Supprimer (anciennement Retirer, pour les
versions d’AutoCAD® antérieures à la version 2000) et Ajouter.
Cette fonction permet d’indiquer les sens de parcours des polylignes à l’aide de vecteurs temporaires ou de polylignes.
Si des polylignes sont sélectionnées avant le lancement de la commande, elles seront automatiquement prises en compte pour le
dessin des flèches matérialisant les sens de parcours. Sinon, le message d’invite suivant vous sera proposé :
Sélectionnez les polylignes ou [paRamètres/caLques] :
Vous pouvez alors choisir les polylignes à traiter ou sélectionner l’option caLques pour effectuer un traitement par calque. Les
deux modes de sélection des polylignes peuvent être combinés grâce aux options Supprimer et Ajouter.
L’option paRamètres vous permet de choisir entre de dessin de vecteurs temporaires ou de polylignes :
Utiliser des entités AutoCAD pour dessiner les flèches [Oui/Non] <Non> :
Répondez Non pour utiliser des vecteurs temporaires, puis indiquez la longueur des flèches en pixels :
Longueur des flèches (en pixels) <25> :
Répondez Oui pour dessiner des polylignes, puis indiquez la longueur des flèches en unités dessin :
Longueur des flèches (en unités dessin) <25.0000> :
Cette fonction permet de dessiner des textes de numérotation au-dessus de chaque sommet des polylignes sélectionnées.
• « Calque des textes » : indiquez le nom du calque dans lequel doivent être
dessinés les textes de numérotation. Celui-ci peut aussi être sélectionné dans
la liste des calques du dessin courant en cliquant sur le bouton .
• « Couleur du calque » : choisissez la couleur pour le calque de dessin.
• « Style des textes » : sélectionnez le nom du style à utiliser pour la
numérotation en cliquant le bouton .
• « Hauteur des textes (mm) » : indiquez la hauteur des textes.
« Reprendre le matricule du point topographique » : si un point
topographique est trouvé en un sommet, le numéro est son matricule.
« Cliquer la position de chaque texte » : si l’option est cochée, il faut
indiquer la position du texte pour chaque sommet, sinon le numéro est écrit
au-dessus du sommet.
Une fois le paramétrage accepté (et automatiquement enregistré), sélectionnez les polylignes à numéroter.
Cette fonction permet de créer une polyligne ‘moyenne’ entre deux polylignes sélectionnées. Le programme demande de
sélectionner deux polylignes et affiche le nombre de sommets et la longueur 2D de chacune et affiche le message :
Nombre de points pour calculer ou [Direct/polyligne A/polyligne B/Union] <Direct> :
Si les polylignes ont le même nombre de sommets, la méthode directe est
Moyenne entre 2 polylignes
proposée. Elle consiste à relier tous les points ‘milieux’ des sommets des deux
polylignes pour créer une nouvelle polyligne.
Polyligne n° 1
Il est également possible de ne considérer que les sommets de la première (ou
de la seconde) polyligne, les sommets homologues étant calculés sur l’autre Polyligne
polyligne au prorata de l’abscisse. moyenne
Vous pouvez enfin prendre en compte les sommets des deux polylignes en Polyligne n° 2
choisissant l’option Union.
REMARQUE :
Les segments d’arcs des polylignes sont automatiquement ignorés car seuls les sommets sont pris en compte.
Cette fonction permet de traiter simultanément un ensemble de polylignes choisies afin d’effectuer les modifications suivantes :
• ouverture des polylignes fermées (option Ouvrir de la commande PEDIT),
• fermeture des polylignes ouvertes (option Clore de PEDIT),
• lissage des polylignes (option Lissage de PEDIT),
• lissage spline des polylignes (option Pspline de PEDIT),
• retrouver les segments d’origine des polylignes (option Retrouver de PEDIT),
• donner une épaisseur constante aux polylignes (option Epaisseur de PEDIT),
• modifier le drapeau de génération des types de lignes pour les polylignes (option Typelign gen de PEDIT),
• inverser le sens de description des polylignes,
• donner une altitude constante à tous les sommets des polylignes,
• transformer des polylignes lissées avec l’option Pspline en entités de type SPLINE.
Cette fonction a été principalement implémentée pour le traitement des polylignes 2D (commande POLYLIGN dans AutoCAD®).
En effet, les options Lissage, Epaisseur et Typelign gen ne sont pas disponibles avec la commande PEDIT lorsqu’une polyligne
3D (construite avec la commande 3DPOLY) a été sélectionnée.
Si vous tentez tout de même d’effectuer ces opérations sur des polylignes 3D, des messages d’erreurs apparaîtront.
Selon la valeur de l’option « Autoriser les sélections composées (objets + calques) » décrite au paragraphe I.1.2.4 du
chapitre UTILISATION, le programme vous demandera :
Sélectionnez les objets à traiter ou [caLques] :
ou
Sélectionnez les objets à traiter <Entrée = calque(s)> :
Choix des objets:
pour vous permettre de choisir manuellement les polylignes à traiter ou de traiter toutes les polylignes contenues dans un ou plusieurs
calques. Le premier mode de sélection vous permet même de combiner des sélections manuelles et par calque.
Si au moins une polyligne est déjà sélectionnée avant d’exécuter la commande (elle doit donc avoir ses poignées affichées), il ne
vous sera pas demandé de choisir d’autres objets, les polylignes actuellement sélectionnées étant directement prises en compte pour
le traitement.
Les trois lignes d’options suivantes sont affichées si au moins une polyligne a été sélectionnée, pour vous proposer les différentes
possibilités de traitement :
Choisissez une option :
[Ouvrir/Clore/Lissage/Pspline/Retrouver/Epaisseur/TypelignGen/Inverser/Altitude/
transFormer en spline/Sortir] <Sortir> :
Tapez la lettre de l’option désirée puis appuyez sur la touche <Entrée> pour exécuter les modifications sur les polylignes choisies.
L’option Sortir permet de terminer la fonction après que les différents traitements aient été effectués.
Cette fonction permet d’afficher des informations relatives à une polyligne sélectionnée.
Les informations sont divisées en quatre groupes :
1. Objet
Dans ce groupe sont affichées les informations relatives au dessin de l’entité :
• le nom de son calque,
• sa couleur, éventuellement précédée de « DuCalque » si aucune couleur ne lui est directement affectée,
• son type de ligne, éventuellement précédé de « DuCalque » s’il n’est pas directement affecté à la polyligne, mais au calque.
2. Généralités
Le contenu de ce groupe dépend des caractéristiques géométriques de la polyligne :
• pour une polyligne 2D ouverte : son altitude et sa longueur,
• pour une polyligne 2D fermée : son altitude, son périmètre et sa surface,
• pour une polyligne 3D ouverte : ses longueurs 2D (projetée) et 3D (réelle),
• pour une polyligne 3D fermée : son périmètre 2D, son périmètre 3D et sa surface 2D (projetée).
3. Drapeaux
Il s’agit des drapeaux de génération de la polyligne :
• polyligne fermée ou non,
• drapeau de génération des types de lignes actif ou inactif (pour les polylignes 2D uniquement),
• type de lissage utilisé : aucun, normal (polylignes 2D) ou spline.
4. Sommets
La liste des sommets de la polyligne est affichée dans ce groupe, avec en plus les valeurs des rayons ainsi que les coordonnées des
centres pour les segments d’arcs.
S’il s’agit d’une polyligne 3D, seules les coordonnées X, Y et Z sont indiquées dans la liste déroulante.
Le bouton « Fichier… » vous permet de copier l’ensemble des informations affichées vers un fichier texte. Le nom du dessin courant
vous est proposé par défaut avec l’extension ‘p2d’ s’il s’agit d’une polyligne 2D ou ‘p3d’ s’il s’agit d’une polyligne 3D.
Des exemples de dialogues vous sont montrés ci-dessous pour les deux types de polylignes :
Cette fonction permet de coter de façon associative ou non des objets linéaires, sans utiliser les fonctions de cotation associative
d’AutoCAD®, mais en dessinant automatiquement des textes paramétrables le long des segments choisis.
La configuration de la cotation se fait à l’aide d’une boîte de
dialogue, celle-ci étant divisée en cinq groupes de paramètres.
Reportez-vous au paragraphe I.1.3.1 pour les options relatives aux
cotations linéaires et angulaires.
1. Type de cotation
Quatre types de cotation vous sont proposés :
« Entre 2 points » : permet d’effectuer une cotation de
distance, de gisement et/ou de pente entre deux points
quelconques. La ligne de cotation (entre les deux points) peut
également être créée.
« Segments » : permet de coter la longueur, le gisement et la
pente des segments de lignes, d’arcs ou de polylignes indiqués.
« Polylignes » : permet de coter l’ensemble des segments d’une
polyligne et inscrire les distances entre sommets, les gisements
des segments droits, les pentes des segments droits, ainsi que les
angles entre les segments droits consécutifs. Cette option peut
aussi être utilisée pour coter des lignes ou des arcs.
« polyGone » : permet d’effectuer les mêmes cotations que
pour une polyligne, mais en cliquant à l’intérieur d’une zone
délimitée par des lignes, arcs, cercles et polylignes, le polygone
étant automatiquement calculé à partir de ces objets et du point
interne.
« Cumul de segments » : permet de coter des distances cumulées le long des polylignes. Seule la cotation de distance est
accessible pour ce type de cotation.
2. Options
« Cotation Associative » : si cette case est cochée, les textes de cotation seront associatifs, ce qui signifie que si l’objet coté est
modifié (déplacé, tourné, étiré, …) le texte de cotation sera automatiquement mis à jour pour suivre l’élément coté ou pour
afficher la nouvelle longueur du segment.
REMARQUE :
L’associativité n’est activée que pour les cotations de segments (sauf cumul) et de polylignes et à condition que seules les
distances (longueurs de segments) soient demandées.
« Dessiner ligne de cotation » : cette option n’est disponible que pour la cotation entre deux points. Si elle est cochée, une
ligne sera automatiquement dessinée entre les deux points ayant servi à la cotation.
« Tiret de chaque côté » : cochez cette case si le texte de cotation doit être encadré par deux tirets. Par exemple -12.32 m- au
lieu de 12.32 m.
« Tenir compte de l’altitude » : si cette case est cochée, les altitudes des sommets des entités cotées seront prises en compte
pour le calcul des distances (longueur de segment) et des pentes, à condition que l’option « Polylignes » soit sélectionnée.
3. Données
Ce groupe de paramètres vous permet de sélectionner les données à prendre en compte pour la cotation :
« Distance » : cochez cette case pour que la distance entre les deux extrémités d’un segment coté soit inscrite le long de ce
segment. Vous pouvez en plus spécifier le nombre de décimales pour la cote ainsi que le suffixe pour l’unité (par exemple).
« Gisement » : cochez cette case pour inscrire le gisement des segments droits cotés. Le nombre de décimales ainsi que le
suffixe pour l’unité peuvent également être paramétrés.
« Pente » : si cette case est cochée, la pente des segments droits sera indiquée le long de ces segments. L’information dessinée
ne sera intéressante que si l’objet est en 3D (ligne ou polyligne 3D).
« Angle » : cochez cette case pour coter les angles des segments consécutifs sur les polylignes ou les polygones. Les cotations
angulaires sont effectuées à l’aide d’un style de cotation AutoCAD ® et des entités correspondantes. Le nombre de décimales et
l’unité pour les angles peuvent aussi être paramétrés grâce aux listes jaillissantes.
4. Texte de cotation
Ce groupe de paramètres vous permet de définir les caractéristiques des textes de cotation ainsi que leur positionnement par rapport
aux segments cotés.
• « Style » : indiquez le style de texte à utiliser pour les textes de cotation en le sélectionnant dans la liste jaillissante ou en le
choisissant grâce au dialogue de sélection des styles (cf. § I.6.4) après avoir cliqué sur le bouton .
• « Hauteur » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur pour les textes de cotation. Le bouton vous permet de cliquer deux
points dans le dessin pour définir la hauteur des textes.
• « Décalage » : cette zone d’édition vous permet de spécifier la valeur du décalage entre les segments cotés et les textes de
cotation. La valeur peut aussi être indiquée graphiquement après avoir cliqué le bouton .
• « Format » : il s’agit d’une zone d’édition permettant d’effectuer un formatage étendu pour l’écriture des distances.
Vous pouvez ainsi indiquer un préfixe et/ou un suffixe ainsi que le nombre de décimales pour le texte de cotation.
La chaîne spécifiée doit être de la forme <préfixe>$(VAL,<décimales>)<suffixe>, soit par exemple : L = $(VAL, 3) m.
Lorsque cette zone est non vide, le suffixe pour les distances (voir le groupe de paramètres précédent) est désactivé.
• « Position » : il s’agit de la position des textes de cotation par rapport aux segments cotés. Différentes
valeurs vous sont proposées comme le montre l’image ci-contre.
« Manuelle » : la position des textes de cotation vous sera demandée pour chaque segment coté. Vous
devrez alors cliquer du côté d’écriture des textes.
« Au-dessus » : les textes seront automatiquement positionnés au-dessus des segments par rapport au système de
coordonnées générales.
« En dessous » : les textes seront automatiquement positionnés en dessous des segments par rapport au système de
coordonnées générales.
« Au milieu » : les textes des cotations de distances seront positionnés au milieu des segments cotés.
« A gauche (intérieur) » : les textes seront placés à gauche des segments en tenant compte du sens de description des objets
cotés, ou à l’intérieur pour les polylignes fermées.
« A droite (extérieur) » : les textes seront placés à droite des segments en tenant compte du sens de description des objets
cotés, ou à l’extérieur pour les polylignes fermées.
5. Calque
• « Nom » : indiquez dans la zone de saisie le nom du calque dans lequel doivent être dessinés les textes de cotation. Celui-ci peut
aussi être sélectionné dans la liste des calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton .
• « Couleur » : sélectionnez la couleur de création du calque de dessin à l’aide de cette liste jaillissante.
Le dialogue de paramétrage est identique à celui du paragraphe précédent sauf dans sa partie inférieure représentée ci-dessous :
• « Cote < 1.00 m en centimètre » : permet de coter des
levés d’intérieurs en centimètres
• « Flèche gauche » : positionne le symbole que vous aurez
choisi dans la liste attenante ou avec le bouton de sélection.
Idem à droite
• « Echelle » : est l’échelle d’insertion des symboles flèches.
1. Texte de cotation
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les caractéristiques des textes de
cotation :
• « Style » : indiquez le style de texte à utiliser pour les textes de cotation en le
sélectionnant dans la liste jaillissante ou en le choisissant grâce au dialogue de
sélection des styles (cf. § I.6.4) après avoir cliqué sur le bouton .
• « Hauteur » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur pour les textes de cotation.
Le bouton vous permet de cliquer deux points dans le dessin pour définir la
hauteur des textes.
• « Orientation » : cette zone d’édition vous permet de spécifier la valeur de l’angle
d’orientation des textes de cotation. La valeur peut aussi être indiquée graphique-
ment après avoir cliqué le bouton .
• « Décimales » : sélectionnez le nombre de décimales pour les coordonnées grâce à
cette liste jaillissante.
2. Calque
• « Nom » : indiquez dans la zone de saisie le nom du calque dans lequel doivent être
dessinés les textes de cotation. Celui-ci peut aussi être sélectionné dans la liste des
calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton .
• « Couleur » : sélectionnez la couleur de création du calque de dessin à l’aide de cette liste jaillissante.
Cliquez sur le bouton « OK » pour valider le paramétrage et commencer à indiquer les différents points à coter :
Désigner un point : <point à coter indiqué>
Point bas gauche des cotations : <point bas gauche des cotations indiqué>
Un exemple de cotation des coordonnées d’un point caractéristique vous en donné ci-contre :
Cette fonction permet d’effectuer une cotation par abscisses et ordonnées sur une ligne de base définie par deux points.
Deux types de calculs peuvent être utilisés pour la cotation :
• Abaissement de la perpendiculaire depuis un point vers la ligne de base. Dans ce cas deux valeurs sont indiquées : la distance
entre le point indiqué et le point calculé sur la ligne de base, ainsi que l’abscisse (distance cumulée) au point calculé.
• Intersection d’une ligne quelconque avec la ligne de base. Dans ce cas, seule l’abscisse au point d’intersection est indiquée.
Le paramétrage s’effectue à l’aide du dialogue montré en exemple ci-contre.
1. Texte de cotation
Ce groupe de paramètres vous permet de spécifier les caractéristiques des textes de
cotation :
• « Style » : indiquez le style de texte à utiliser pour les textes de cotation en le
sélectionnant dans la liste jaillissante ou en le choisissant grâce au dialogue de
sélection des styles (cf. § I.6.4) après avoir cliqué sur le bouton .
• « Hauteur » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur pour les textes de cotation.
Le bouton vous permet de cliquer deux points dans le dessin pour définir la
hauteur des textes.
• « Décimales » : sélectionnez le nombre de décimales pour les valeurs grâce à cette
liste jaillissante.
2. Calque
• « Nom » : indiquez dans la zone de saisie le nom du calque dans lequel doivent être dessinés les textes de cotation. Celui-ci peut
aussi être sélectionné dans la liste des calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton .
• « Couleur » : sélectionnez la couleur de création du calque de dessin à l’aide de cette liste jaillissante.
Le paramètre « Ordonnée mini » vous permet de spécifier la valeur minimale d’ordonnée à coter. Si la distance entre un point
rabattu et la ligne de base est inférieure à cette valeur, seule l’abscisse du point sera indiquée.
Si la case « Dessin de la ligne » de base est cochée, une entité de type LIGNE sera dessinée entre les deux points indiqués pour
définir la ligne de base servant aux calculs de rabattement et d’intersection.
Validez le paramétrage en cliquant sur le bouton « OK ». Le programme vous demande alors d’indiquer les deux points de la ligne
de base, le premier point spécifié étant considéré comme l’origine des abscisses.
La ligne de base étant maintenant connue, l’invite suivante vous permet de choisir l’opération à effectuer :
[Rabattement/Intersection/Sortie] <Sortie> :
Choisissez l’option Rabattement pour indiquer les différents points à rabattre sur la ligne de base ou l’option Intersection pour
spécifier les points d’intersection à coter. L’option Sortie, quant à elle, vous permet de sortir de la fonction.
Points rabattus
Cette fonction permet de coter des pentes, par exemple, sur des profils en long, en travers ou sur des profils types.
Les entités créées sont des textes simples (comme pour la cotation linéaire vue précédemment) et elles indiquent la pente d’un
segment en valeur réelle (0.025 par exemple) ou en pourcentage (2.5 %), considérant que les distances sont mesurées selon l’axe
des X du système de coordonnées courant, et les altitudes selon l’axe des Y.
La configuration de la fonction se fait à l’aide de la boîte de dialogue ci-
contre, divisée en trois groupes de paramètres.
Pour valider le paramétrage et commencer la cotation des pentes, cliquez sur le bouton « OK ». Les différentes valeurs de
configuration sont alors automatiquement sauvegardées pour être proposées lors de la prochaine utilisation de la fonction.
Sélectionnez alors les différents segments à coter sachant que le côté de sélection du segment est important puisqu’il détermine le
signe de la pente (négatif si c’est une pente, positif s’il s’agit d’une rampe).
Points de sélection
Cette commande du menu Cotations / Divisions de COVADIS 2D permet de coter les héberges et façades à l’aide d’un texte
simple et d’une flèche de rappel. Le contenu du texte est toujours la valeur de la coordonnée Y (dans le système de coordonnées
général) de la pointe de la flèche, et correspond donc, pour un plan de façade, à une altitude.
La cotation est effectuée par l’intermédiaire d’un objet propre à COVADIS, ce qui permet de gérer parfaitement ses caractéristiques
(position du texte par rapport à la flèche de rappel en fonction de l’angle de rotation par exemple) ainsi que la mise à jour en temps
réel de la valeur lors d’un déplacement.
Lors du lancement de la commande, une boîte de dialogue vous montre le
paramétrage courant et vous permet ainsi de la modifier. Elle est divisée en trois
groupes de paramètres.
5. Flèches de cotation
Dans ce groupe de paramètres, vous pouvez définir les
caractéristiques des flèches de rappel. Le schéma ci-contre vous Espace avant le texte
montre l’utilisation des différentes valeurs. 65.38
Les différentes valeurs sont données en millimètres pour tenir Largeur de la flèche
compte de l’échelle courante du dessin. = Espace avant
Longueur de la flèche le texte
6. Calque de dessin
Ces paramètres permettent de définir le nom et la couleur du calque de dessin des textes de cotation.
• « Calque » : entrez le nom du calque de dessin dans cette zone ou sélectionnez-le dans la liste des calques existants après avoir
cliqué sur le bouton .
• « Couleur » : utilisez cet élément du dialogue pour choisir la couleur de création du calque de dessin. Si le calque existe déjà,
sa couleur ne sera pas modifiée.
« Calque courant » : cochez cette case pour dessiner les objets de cotation dans le calque courant.
Une fois le paramétrage validé, un objet de cotation temporaire est visible à la position du curseur, et si vous déplacez celui-ci, la
valeur affichée change dynamiquement. Spécifiez le point à coter où débutera la flèche de rappel :
Indiquez le point à coter ou [Paramètres] :
Un second point est nécessaire pour définir la direction de la flèche de rappel :
Direction de la flèche de cotation :
Une fois ces informations entrées, l’objet de cotation est créé, et il vous est possible d’en construire un nouveau. L’option
« Paramètres » proposée vous permet de modifier les caractéristiques des cotations à venir.
Les objets de cotation d’héberges et façades peuvent être modifiés à l’aide de deux poignées (grips).
• La poignée se trouvant à la pointe de la flèche permet de déplacer l’objet. Pendant le déplacement, le texte de cotation est mis à
jour dynamiquement.
• La poignée se trouvant à l’autre extrémité de la flèche permet de faire tourner l’objet par rapport à la pointe de la flèche. Dans
ce cas, la valeur du texte reste constante mais sa position et son sens d’écriture par rapport à la flèche sont modifiés en fonction
de l’angle de rotation. Ceci permet de toujours conserver la lisibilité.
Exemple de cotation
1. Général
• Renseignez l’intitulé du titre placé en en-tête du tableau.
• Saisissez le nom du calque de dessin du tableau ou sélectionnez-le
par le bouton . Une liste déroulante permet de choisir la
couleur de création du calque (si le calque existe déjà, il conservera
sa couleur d’origine). Cochez l’option « Calque courant » pour
dessiner le tableau dans le calque courant.
• Choisissez le style en cliquant le bouton puis indiquez la
hauteur des textes.
2. Colonnes
Les colonnes dont la case est cochée seront présentes dans le tableau.
Vous pouvez modifier les en-têtes des colonnes ainsi que la largeur
exprimée en pourcentage de la largeur de feuille. Notez que la colonne
« Sommet » peut être rappelée en fin de tableau en cochant la case
« Rappeler la colonne Sommet à droite ».
3. Totaux
La zone inférieure du tableau ou du listing peut contenir des totaux pour les distances, les angles aux sommets et la surface en mètres
carrés ou hectares.
Le tableau dessiné peut être soit un quadrillage avec des textes, soit un « vrai » tableau AutoCAD.
Lorsque vous appuyez sur le bouton <OK> le programme demande de sélectionner le périmètre à traiter. Puis vous devez donner le
point d’insertion du tableau (correspondant à son point haut-gauche).
Le tableau créé dans le dessin est associatif, c’est-à-dire que toute modification effectuée sur la polyligne modifiera le tableau.
L’orientation du tableau est celle du système de coordonnées courant.
Lorsqu’un sommet est déplacé, le programme demande si l’orientation des
étiquettes doit être conservée. Répondez <Non> pour recalculer les bissectrices
et <Oui> pour conserver les orientations des symboles.
REMARQUES :
Le tableau et les symboles forment un GROUPE au sens d’AutoCAD ®. Vous pouvez accéder individuellement à chaque
élément du groupe en mettant la variable PICKSTYLE à zéro ou en utilisant le raccourci clavier <Ctrl>+ <H>.
Pour déplacer un tableau, il est nécessaire d’utiliser la commande Déplacer un tableau du menu. De même, pour effacer
un tableau, utilisez la commande Supprimer un tableau du menu.
La commande Déplacer un tableau ne demande de choisir le tableau que si le dessin en comporte plusieurs. La commande
Supprimer un tableau demande systématiquement de choisir le tableau à supprimer.
Utiliser ces deux commandes pour supprimer ou déplacer un tableau périmétrique plutôt que celles d’AutoCAD ®.
Cette fonction permet de coter la surface plane de contours fermés ou de polygones quelconques. Les cotations peuvent être
associatives lorsque des contours fermés sont traités.
Le dialogue de configuration est divisé en trois groupes de paramètres comme le montre
l’exemple ci-contre.
2. Texte de cotation
Ce groupe de paramètres permet de configurer les textes de cotation.
• « Style » : indiquez le style de texte à utiliser pour les textes de cotation en le sélectionnant dans la liste jaillissante ou en le
choisissant grâce au dialogue de sélection des styles (cf. § I.6.4) après avoir cliqué sur le bouton .
• « Hauteur » : entrez dans cette zone de saisie la hauteur pour les textes de cotation. Le bouton vous permet de cliquer deux
points dans le dessin pour définir la hauteur des textes.
• « Orientation » : cette zone d’édition vous permet de spécifier la valeur de l’angle d’orientation des textes de cotation. La valeur
peut aussi être indiquée graphiquement après avoir cliqué le bouton .
• « Préfixe » : vous pouvez spécifier dans cette zone de saisie une chaîne de caractères à utiliser comme préfixe pour tous les
textes de cotation. Par exemple, pour indiquer qu’il s’agit d’une surface, vous pouvez mettre : ‘S =’.
• « Format » : choisissez dans cette liste jaillissante le format d’écriture des cotations de surface.
REMARQUE :
Si vous désirez utiliser le format ‘12375 m²’, assurez-vous préalablement que le caractère ‘²’ fait
bien partie des caractères disponibles pour le style sélectionné. Si tel n’était pas le cas, il serait
systématiquement remplacé par le caractère ‘?’.
• « Décimales » : sélectionnez le nombre de décimales pour les valeurs grâce à cette liste jaillissante.
3. Calque
• « Nom » : indiquez dans la zone de saisie le nom du calque dans lequel doivent être dessinés les textes de cotation. Celui-ci peut
aussi être sélectionné dans la liste des calques définis dans le dessin courant en cliquant sur le bouton .
• « Couleur » : sélectionnez la couleur de création du calque de dessin à l’aide de cette liste jaillissante.
Deux options complémentaires sont disponibles. Elles permettent de paramétrer l’associativité des cotations et le mode de
spécification de la position des textes :
« Cotation associative » : cette case ne peut être cochée que si l’option « Sélection de polylignes » a été choisie. Dans ce
cas, une modification sur un contour entraînera automatiquement la mise à jour du texte de cotation correspondant.
« Confirmer la position de chaque surface » : si cette option est cochée, le point d’insertion du texte de cotation vous sera
demandé pour chacun des contours sélectionnés pour être cotés.
Si l’option « Sélection de polylignes » a été choisie, le message suivant vous demandera de sélectionner les polylignes fermées
à coter :
Sélectionnez les entités à coter [pointage Intérieur] <Entrée = fin> :
L’option pointage Intérieur vous permet de passer du mode de cotation de polylignes fermées au mode de cotation par pointage à
l’intérieur de polygones quelconques.
Si l’option « Pointage dans un polygone » a été choisie, le message suivant vous demandera de cliquer à l’intérieur des zones
à coter, le programme recherchant automatiquement les contours correspondants :
Pointez dans le polygone à coter [Sélection des polylignes] <Entrée = fin> :
L’option Sélection des polylignes vous permet de passer du mode de cotation par pointage à l’intérieur de polygones quelconques
au mode de cotation de polylignes fermées.
Si l’option « Confirmer la position de chaque surface » a été cochée, il vous sera demandé d’indiquer le point d’insertion du
texte de cotation :
Point d'écriture du texte <Entrée = pas de texte> :
L’option de configuration générale des cotations de surfaces « Confirmer la position des cotes
d’un simple clic » (voir le paragraphe I.1.3.3) permet de limiter à une seule demande le point
d’insertion du texte de cotation. Si la case n’est pas cochée, le message suivant vous permettra
d’indiquer la position ainsi que l’angle de rotation du texte :
Déplacer la souris ou [Rotation/Déplacer/Fin] <Fin> : S= 1794.86 m²
Cette fonction permet de diviser des contours pour en obtenir de nouveaux, en spécifiant l’aire devant être calculée ainsi que le mode
de division à utiliser (parallèle à un côté, parallèle à une direction quelconque, passant par un point particulier ou parallèle à une
ligne brisée).
Les contours fermés à traiter peuvent être indiqués de deux façons à l’aide des deux boutons « < Polyligne » et « < Polygone » :
en sélectionnant des polylignes fermées (avec l’option Clore de la commande POLYLIGN),
en pointant dans des polygones fermés délimités par des objets linéaires de types ligne, polyligne, arc et cercle.
Dans ce cas, les contours seront virtuellement reconstruits en mémoire avant de pouvoir être divisés.
La boîte de dialogue ci-dessous permet de paramétrer complètement la division de surfaces après avoir sélectionné le contour à
diviser. Les valeurs de configuration (sauf les deux aires) sont automatiquement sauvegardées lors de la validation du dialogue. Elles
sont proposées par défaut lors des utilisations ultérieures de la fonction.
2. Type de division
Quatre modes de calculs des nouveaux contours sont disponibles :
« Parallèle à un côté » : cette option indique que le calcul doit être fait parallèlement à un des côtés (segments droits) du
contour à diviser.
Si vous avez choisi ce type de division, vous devrez alors sélectionner le côté du contour servant de base au calcul, sachant que
celui-ci fera partie du nouveau contour et que la ligne matérialisant la division lui sera parallèle.
« Parallèle à une direction » : cette option vous permet de diviser un contour parallèlement à une direction quelconque.
Indiquez les deux points qui déterminent cette direction. Le programme dessine alors un rectangle enveloppant le contour, ainsi
qu’une ligne coupant ce rectangle.
Tous les deux sont orientés selon la direction donnée par les deux points.
Cliquez alors du côté de la ligne centrale correspondant à la zone dans laquelle doit être effectué le calcul.
« Passant par un point » : validez cette option si la division doit se faire à partir d’un point quelconque se trouvant sur le
contour.
Vous devez alors indiquer le point de passage obligé pour la ligne de division (par accrochage) ainsi que le côté devant faire
partie du nouveau contour calculé, en sélectionnant le segment correspondant à droite ou à gauche du point de division.
« Parallèle à une ligne brisée (segments) » : Vous devez d’abord indiquer le premier point en cliquant près du sommet, le
sommet le plus proche du curseur étant matérialisé par un carré de couleur verte :
Premier sommet de la ligne brisée :
Le premier sommet acquis, le déplacement du curseur entraîne la mise en surbrillance de la suite de segments commençant au
premier indiqué et se terminant au sommet le plus proche du curseur. Si le curseur est à l’extérieur du contour à diviser, les
segments sont pris selon le sens de création, si le curseur est à l’intérieur, le contour est parcouru dans le sens inverse.
Dernier sommet de la ligne brisée :
Une fois la ligne brisée déterminée, le calcul est effectué et le résultat dessiné en fonction du paramétrage établi. Le dialogue est
automatiquement réaffiché en considérant que le contour restant est à diviser à nouveau. L’aire extraite du contour par le calcul
précédent est aussi conservée dans le dialogue pour, par exemple, effectuer des divisions successives avec une même valeur
d’aire.
3. Calcul de la surface
Une fois le contour à diviser sélectionné selon une des deux méthodes vues précédemment, le programme indique, dans ce groupe
de paramètres, l’aire du contour choisi. Vous devez alors entrer dans la zone de saisie « Aire à calculer » la valeur de la surface à
calculer (obligatoirement inférieure à l’aire affichée), ainsi que la « Tolérance » de calcul.
Les tolérances sont proposées dans une liste jaillissante contenant les valeurs 1.0, 0.1, 0.01, 0.001 et 0.0001.
Par exemple, si le programme recherche une surface de 1000.0m² avec une tolérance de 0.1, la valeur calculée sera obligatoirement
contenue dans l’intervalle [999.9m² , 1000.1m²].
4. Entités à créer
Ce groupe de paramètres vous permet d’indiquer la façon de matérialiser le résultat d’une division de surface :
« 1 ligne de division » : indique que seule la ligne matérialisant la division du contour pour obtenir la nouvelle surface sera
dessinée dans le calque spécifié (groupe de paramètres 1).
« 1 nouveau contour » : signifie que seul le contour correspondant à la valeur de surface recherchée sera construit.
« 2 nouveaux contours » : permet de créer le contour ayant pour aire la valeur calculée (comme pour l’option précédente),
mais aussi le contour complémentaire, c’est-à-dire le reste du contour divisé après soustraction du contour calculé.
« Effacer le contour de départ » : cette option n’est disponible que si les contours divisés sont choisis par la sélection de
polylignes fermées, et que l’option précédente soit validée.
Dans ce cas, le contour ayant servi à effectuer le calcul sera automatiquement détruit.
Une fois le paramétrage validé par la sélection du bouton « OK », vous devez donner au programme les différentes informations
nécessaires au calcul, en fonction du type de division sélectionné.
170.529 m²
270.529 m²
100.000 m²
REMARQUES :
L’objet « parcelle » de COVADIS peut également être utilisé pour les calculs de divisions de surfaces. Si l’objet contient des
trous (parcelles incluses), ils seront ignorés car seul le contour externe est pris en compte !
Dans le cas de la division d’un objet « parcelle », si le choix de « 2 nouveaux contours » a été fait pour les entités à créer,
alors ce seront deux objets « parcelles » qui seront créés à l’issue de la division.
Cette commande du menu Cotations / Divisions de COVADIS 2D permet d’effectuer un redressement de limite parcellaire, c'est-
à-dire, remplacer une limite commune à deux parcelles constituée de plusieurs segments droits (ligne brisée) par une nouvelle limite
composée d’un seul segment droit.
Il est possible de faire passer la nouvelle limite par un point précis (borne existante par exemple) et de modifier les aires des parcelles
modifiées en ajoutant une certaine valeur à l’une ou à l’autre.
La procédure de redressement d’une limite peut se diviser en six étapes.
3
2
1
Cette commande de calcul d’aires cumulées par pointage dans des polygones (du menu Cotations / Divisions de COVADIS 2D)
a été enrichie pour :
• pouvoir soustraire des aires à l’aire totale,
• pouvoir prendre en compte les contours des objets murs / haies (se reporter aux fonctions d’habillage 2D) ainsi que les objets
plates-formes (projets multi plates-formes dans COVADIS VRD).
Les entités linéaires visibles à l’écran sont tout d’abord automatiquement sélectionnées, afin que leurs segments puissent être utilisés
pour les calculs d’aires.
Vous devez ensuite pointer dans le premier polygone à traiter. L’aire du polygone calculé est alors affichée.
Vous pouvez ensuite pointer dans d’autres polygones, leurs aires seront alors affichées sur la ligne de commande, ainsi que le cumul
des aires des différents polygones sélectionnés.
Pour effectuer un nouveau cumul, il suffit de taper sur la touche <Entrée>. Le programme vous demande alors de pointer à nouveau
dans le premier polygone à prendre en compte pour le calcul.
L’option « seGments » affichée lors de la demande de pointage dans les polygones vous permet d’indiquer au programme qu’il doit
recréer la liste des segments des objets visibles lorsque, par exemple, vous avez déplacé la fenêtre de visualisation sur le dessin
(panoramique).
La seconde option « Soustraire », disponible une fois qu’une première aire a été calculée, permet de basculer en mode
‘soustraction’ : toutes les aires suivantes seront soustraites du total. Pour revenir au mode ‘addition’, il suffit de choisir l’option
correspondante (« Ajouter »).
L’exemple ci-dessous vous montre une séquence de messages sur la ligne de commande pour calculer la somme de deux surfaces
puis en soustraire deux autres au total :
Pointez dans le premier polygone à calculer ou [seGments] <Entrée = fin> :
Surface du polygone = +163.048 m² => Surface totale = +163.048 m²
Pointez dans le polygone à ajouter ou [Soustraire/seGments] <Entrée = fin> :
Surface du polygone = +89.884 m² => Surface totale = +252.933 m²
Pointez dans le polygone à ajouter ou [Soustraire/seGments] <Entrée = fin> : s
Pointez dans le polygone à soustraire ou [Ajouter/seGments] <Entrée = fin> :
Surface du polygone = -10.116 m² => Surface totale = +242.817 m²
Pointez dans le polygone à soustraire ou [Ajouter/seGments] <Entrée = fin> :
Surface du polygone = -7.481 m² => Surface totale = +235.336 m²
Pointez dans le polygone à soustraire ou [Ajouter/seGments] <Entrée = fin> :
Cette commande du menu Cotations / Divisions de COVADIS 2D calcule l’aire de hachures AutoCAD® quel que soit le motif de
hachures utilisé. Le principe est de créer des hachures temporaires, de même géométrie, constituées de traits verticaux espacés d’une
valeur d’échantillonnage. Une valeur approchée de la surface est égale à la somme des longueurs des traits multipliée par la valeur
d’échantillonnage.
Le programme affiche la valeur d’échantillonnage en mètres puis demande de sélectionner le hachurage.
La valeur d'échantillonnage est de 0.100000 m.
Sélectionnez le hachurage ou [Echantillonnage] (<Entrée> = arrêt) :
Une fois le groupe de hachures sélectionné, COVADIS affiche la valeur approchée.
=> Surface calculée = 864.3477 m².
Il est possible de modifier la valeur d’échantillonnage en utilisant l’option Echantillonnage (en frappant la lettre E ou en utilisant
le menu contextuel AutoCAD®).
Valeur d'échantillonnage <0.0100> :
Le programme boucle sur la sélection du hachurage jusqu’à ce que vous y mettiez fin en frappant la touche <Entrée> ou <Echap>.
REMARQUES :
Cette commande est surtout utile pour les versions antérieures à AutoCAD® 2006 car les versions suivantes affichent les
surfaces des hachures dans la palette des propriétés.
Il s’agit bien de la surface des hachures et non de la surface des contours délimitant ces hachures qui est calculée. La surface
des trous dans les hachures n’est donc pas comptabilisée.
Si la valeur calculée ne s’affiche pas, cela provient certainement de la valeur d’échantillonnage qui est trop petite et génère
des hachures temporaires trop denses. Il convient alors d’augmenter cette valeur.
Plus la valeur d’échantillonnage est petite, meilleure est l’approximation mais cela augmente le temps de calcul.
XII.1. GÉNÉRALITÉS
Ce module de COVADIS 2D introduit l’objet ÉTIQUETTE permettant de coter des entités ponctuelles (point, symbole…), linéaires
(polyligne, ligne, arc…) ou surfaciques (polyligne fermée, hachures…). Les caractéristiques principales de ces objets sont les
suivantes :
• Bibliothèque de modèles d’étiquettes dans un fichier externe.
• Gestionnaire de modèles d’étiquettes permettant de modifier leurs définitions (graphisme, contenu…), d’en importer dans le
dessin et d’enrichir la bibliothèque.
• Cotation de points, de blocs et de sommets.
• Cotation de segments (ligne ou arc), de la corde des arcs, de cumul de segments ou entre 2 points.
• Cotation de surfaces (polylignes fermées…).
• Cotation de pente sur MNT.
• Associativité / objet coté : une modification de la géométrie de l’objet coté met à jour le graphisme et les valeurs affichées.
• Modification dynamique : à l’aide des poignées spécialisées, de la palette de propriétés ou du menu contextuel, il est possible de
déplacer ou de réorienter à tout moment une étiquette.
• Palette de propriétés permettant de modifier directement la position ou l’orientation des objets ÉTIQUETTES, mais aussi de
renseigner certaines informations affichées.
• Menu contextuel permettant l’accès aux commandes de modification.
En plus d’être applicable aux entités AutoCAD®, ce nouvel objet est utilisé par les modules métiers de COVADIS
(ASSAINISSEMENT ET RÉSEAUX DIVERS, PROJET MULTI PLATES-FORMES et PROJET LINÉAIRE PAR PROFILS TYPES).
XII.2. UTILISATION
L’ensemble des commandes de création et de modification des étiquettes est regroupé dans
le sous-menu Cotations par étiquettes du menu Covadis 2D. Les étiquettes peuvent aussi
être modifiées via un menu contextuel (lorsqu’une étiquette est sélectionnée) ou à l’aide de
la palette de propriétés.
Le menu contextuel est affiché lorsque vous cliquez avec le bouton droit de la souris et
qu’une étiquette est sélectionnée. Il permet un accès rapide aux principales commandes
de modification ; celles-ci dépendent de la définition du modèle de l’étiquette.
Certaines des propriétés d’une étiquette ou communes à plusieurs étiquettes peuvent être modifiées directement dans la palette de
propriétés.
Un modèle d’étiquette définit la manière dont l’étiquette sera dessinée : son contenu, le style et la hauteur des écritures, la couleur,
l’aspect du cadre, les pointes des lignes de rattachement…
Organisé par catégorie d’objets, le gestionnaire des modèles d’étiquettes vous permet d’ajouter et de personnaliser vos propres
modèles.
La bibliothèque des modèles d’étiquettes est stockée dans une base de données au format XML (extension ‘xml’).
Par défaut, le fichier utilisé est CovaEtiquettes.xml se trouvant dans le sous-répertoire \Config de l’installation de COVADIS ; pour
désigner un autre fichier, affichez les options d’AutoCAD ® du menu Outils, rendez-vous dans l’onglet « Covadis », sélectionnez la
branche « Bibliothèques » dans l’arborescence et appuyez sur le bouton de la ligne correspondante du tableau.
INTERÊT DU PARAMÈTRE :
Ce paramètre permet à plusieurs utilisateurs de partager le même fichier (en le mettant sur un serveur par exemple) et de se référer,
par conséquent, à la même bibliothèque de modèles d’étiquettes.
Il s’agit d’un éditeur permettant de gérer les modèles d’étiquettes dans le dessin courant ainsi que dans la bibliothèque.
1 2 3
Entre la cotation d’un point et celle d’un segment, de nombreux aspects, telles que les informations à écrire ou la représentation
graphique de l’étiquette, divergent ; c’est pourquoi les modèles sont répertoriés par catégorie d’objets :
Tronçon
Symbole
Symbole et solide 3D
Eléments du module SIGNALISATION
Objets panneau et multi-bloc
Objet signalisation longitudinale
Eléments du module PROJET LINÉAIRE PAR PROFILS TYPES
Objet axe en plan
Objet axe en plan
Objet plate-forme (module PROJET MULTI PLATES-FORMES)
Eléments du profil en long
Section et symbole
Objet marque
XII.3.2.2. Gestion des modèles d’étiquettes dans la bibliothèque et dans le dessin courant
Les modèles d’étiquettes peuvent être définis (et stockés) dans la bibliothèque ou dans un dessin. Lorsqu’un modèle doit être réutilisé
dans plusieurs dessins, il est préférable de l’enregistrer dans la bibliothèque pour qu’il soit directement accessible sans avoir à le
redéfinir.
La bibliothèque est un fichier au format XML stocké dans le sous-répertoire \Config de l’installation de COVADIS 2D ; par défaut,
le nom du fichier bibliothèque est CovaEtiquettes.xml.
La gestion des modèles d’étiquettes se fait simplement à l’aide de six boutons et d’une liste contenant les noms des différents modèles
présents dans la bibliothèque et/ou dans le dessin courant. Dans presque tous les cas, les actions liées aux boutons sont effectuées
sur le modèle courant, c’est-à-dire celui sélectionné dans la liste.
Devant chaque nom se trouvent deux icônes dont les significations sont les suivantes :
le cercle vert indique que le modèle est chargé dans le dessin courant,
le cercle rouge indique que le modèle n’est pas chargé dans le dessin,
le modèle est défini dans la bibliothèque, et, si le cercle vert est présent, alors il est défini de façon identique dans le dessin,
le modèle n’est défini que dans le dessin courant (le cercle est forcément vert),
le modèle est défini de façon différente dans le dessin et dans la bibliothèque (le cercle est donc vert).
En sélectionnant un nom de modèle dans la liste, un clic droit fait apparaître un menu contextuel permettant d’accéder
à d’autres fonctions :
Pour afficher ou modifier une définition, vous devez tout d’abord sélectionner le modèle dans la liste.
Si le modèle est défini dans le dessin et dans la bibliothèque, le bouton vous permet d’afficher (ou de modifier) la définition du
dessin, alors que le bouton permet de traiter la définition de la bibliothèque.
Les trois boutons suivants permettent d’activer le mode d’édition et de valider ou non les modifications effectuées.
Annulation
Ignore toutes les modifications effectuées sur le modèle courant depuis la dernière validation.
Termine le mode d’édition : les paramètres peuvent être consultés mais ne sont plus modifiables.
Libre
L’étiquette est orientable à votre guise, soit par le biais d’une poignée de rotation (cf. XII.13.3), soit en modifiant la propriété
« Angle d’orientation (gr) » de la palette AutoCAD® des propriétés, soit par application de la commande Modifier l’orientation
(cf. § XII.13.2).
Ce mode d’orientation n’est pas proposé si l’étiquette est ancrée sur l’objet coté (hormis pour la cotation de sommet de
segment).
Selon le SCU
L’orientation de l’étiquette est celle du SCU courant. Etiquette orientée selon l’angle du symbole coté
Selon la vue
X
L’étiquette est orientée parallèlement à la vue dans
Y =
laquelle elle est affichée ; ce mode est pertinent si vos = 17
présentations comprennent plusieurs fenêtres. 72 000
00 00
00 .0
= angle du symbole 0. 0
L’orientation de l’étiquette est celle du symbole coté ; la
00
rotation du symbole met à jour l’étiquette qui sera
automatiquement réorientée.
Fig. 1 : étiquette orientée selon la bissectrice Fig. 2 : étiquette perpendiculaire au segment d’arrivée
(cotation de l’altitude d’un sommet) (cotation de l’altitude d’un sommet)
Fig. 8 : étiquette parallèle à la flèche directionnelle Fig. 9 : étiquette perpendiculaire à la flèche directionnelle
(cotation de pente / MNT) (cotation de pente / MNT)
4. Mode d’ancrage
Le groupe de paramètres ‘Ancrage’ permet de spécifier le mode d’ancrage :
« Ancrer l’étiquette sur l’objet coté » : tout déplacement de l’objet coté implique celui de l’étiquette.
Spécifiez la position par défaut de l’étiquette par rapport à l’objet coté :
• « Position » : choisissez dans la liste déroulante le côté d’ancrage…
• « Distance / objet coté » : saisissez la distance 2D entre l’étiquette et l’objet coté (cf. fig. 4).
Fig. 1 : côté d’ancrage / objet coté Fig. 2 : côté d’ancrage / objet coté
(cotation de la longueur 2D d’un segment) (cotation de l’altitude d’un sommet)
Fig. 3 : étiquette centrée sur la flèche directionnelle Fig. 4 : distance / objet coté
(cotation de pente / MNT)
« Dissocier les points d’ancrage et d’insertion » : l’étiquette est alors positionnable indépendamment de l’objet coté.
Spécifiez la position par défaut de l’étiquette par rapport au
point d’ancrage par le biais des paramètres « Delta X » et Etiquette "libre" (ou non ancrée)
« Delta Y » (cf. schéma ci-contre). (cotation de l’altitude d’un sommet)
Z = 100.00
Delta Y
Delta X
REMARQUE :
Les paramètres de positionnement par défaut sont appliqués uniquement à la création des étiquettes ; si vous modifiez a posteriori
ces paramètres, ils n’auront aucun impact sur les étiquettes existantes.
Interlignes
X = 1700000.00
Y = 7200000.00
Z = 100.00