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un tableau de
bord en 2018 ?
DATA STORYTELLING - REPORTING
Sommaire
Il faut alors repenser la façon de lire la donnée, de la diffuser pour qu'elle soit
mieux utilisée.
Comment faire ?
Nous avons créé ce guide pour vous donner des conseils et des exemples
pour créer le tableau de bord le plus ef cace et le plus simple à comprendre.
La donnée n'est utile que si elle est claire et bien comprise. À travers ce livre
blanc, nous répondrons à ces trois questions:
Depuis 2014, Toucan Toco aide les décisionnaires et opérationnels des grands
groupes à mieux comprendre leurs enjeux business à travers la visualisation
de leurs données.
Notre mission : faire acte de pédagogie pour transformer des données brutes
complexes en des Dataviz et des Histoires interactives. Nous créons une
catégorie logicielle : le Data StoryTelling.
Pour imager, un Directeur Marketing n’a pas les mêmes besoins de reporting
qu’un opérationnel responsable des campagnes digitales.
La première dé nition de ce qu’est la Data visualisation (ou Dataviz), c’est l’art
de raconter des chiffres de façon claire et pédagogue, là où Excel est limité.
Le Data Storytelling est un concept relativement récent, qui prend appui sur
la Data Visualisation. L’idée est de pouvoir aller plus loin dans la facilité de
compréhension et la pédagogie.
Les données vont raconter une histoire à partir des besoins du métier. On
dépasse alors le simple fait de présenter des séries de chiffres dans un
tableau. L’information est accessible et compréhensible par tous, grâce à
l’histoire que l’on raconte.
La complexité est d’avoir une vision homogène sur leur business et la
performance de leur service. Alors oui, le digital est là. Oui, les entreprises se
transforment et de nouveaux projets voient le jour.
Aujourd’hui, les mentalités et les challenges évoluent. La collecte des
données est devenue un moyen, et non une n. L’objectif est désormais de
prendre des décisions quotidiennement, simplement et rapidement.
Lorsque l’on a des données à disposition, l’objectif est d’utiliser ces chiffres
pour communiquer et rendre l’information plus digeste. Il faut être capable de
remettre ces données dans un contexte narratif.
Plutôt que de nous parler simplement de chiffres, chaque clip fait l’objet d’une
histoire spéci que dans laquelle chacun de nous se reconnaît. Dans
sa dernière campagne (voir vidéo ci-dessus), l’objectif était de sensibiliser au
port de la ceinture.
C’est le même schéma de pensée en entreprise. Plutôt que de simplement
montrer la courbe de croissance des ventes, essayons d’y ajouter le
pourquoi de cette croissance !
Sur le site, spécialement développé pour le projet, on peut alors rechercher
son université - seules les Américaines sont à l’honneur, pour récupérer tout
un tas d’informations : acoustique, genre musical, durée moyenne d’écoute,
etc. Suivant les recherches, les données ne sont plus statiques et peuvent être
triées selon nos envies.
`Les données présentées ne sont pas gées et évoluent dans le temps. Restez
quelques secondes sur la page et vous verrez de nouveaux petits oiseaux
Twitter se dessiner.
Là encore, plutôt qu’un simple chiffre actualisé toutes les secondes, nous
avons une frise visuelle renforçant le message : il y a des millions
les jours, grâce au Data Storytelling rendra vos reportings bien plus
intéressants.
Oui, ils sont excellents dans l’exploration de données. Mais, comme nous
l’avons évoqué ce sont des outils à destination de data scientists qui
souhaitent obtenir des requêtes précises.
Elles ont donc besoin d’avoir un outil qui puisse leur simpli er la lecture et la
prise de décisions, grâce aux données à disposition.
Mais aujourd’hui, le comité est d’humeur curieuse. Une question arrive. Ils
veulent avoir plus de détails sur le top 3 des ventes, en volume ET en valeur.
Aïe, ce n’était pas prévu. Les dizaines de chiers Excels existent, mais
l’information n’est pas directement disponible. Par ailleurs, les slides gées
Powerpoint n’aident pas vraiment notre Directeur Commercial…
Avec un outil adapté à ce type de contexte, nous n’aurions pas laissé notre
Directeur, seul face à lui-même.
La question était pourtant simple et très pratique : passer d’une vue globale
Top 10 à un peu plus de détail sur un Top 3.
L’objectif est de faire le lien entre toutes ces données pour en ressortir une
information actionnable. A l’échelle d’un grand groupe, un tel projet
peut prendre des allures de labyrinthe sans n. On ne parle même pas du cas
où le projet à une dimension internationale, avec des dizaines de pays et
liales à aligner sur le même référentiel.
Le challenge est d’obtenir une vision uni ée de la donnée, quel que soit la
zone géographique ou les outils déployés dans chacun des services.
Heureusement, le Data Storytelling s’adresse à toutes les personnes qui
veulent comprendre l’essentiel des données pour prendre les bonnes
décisions, au quotidien.
Quel que soit votre projet, gardez à l’esprit que l'interactivité, le storytelling et
la collaboration doivent être les piliers d’un projet data réussi !
Comment les données
peuvent elles augmenter
votre performance ?
Beaucoup de managers n’ont pas d’appétence signi cative pour les chiffres.
L’analyse de données peut alors devenir décourageante, voire même pénible
dans la collecte, l'agrégation et la présentation. Or, les entreprises ont
aujourd’hui de plus en plus de datas à leur disposition, qu’elles soient internes
ou externes.
Leur maîtrise devient donc un réel enjeu permettant d’identi er par exemple
de nouvelles opportunités de marché. Il est indispensable d’exploiter ses data
pour mettre en place de nouvelles solutions et faire face à chaque nouveau
challenge.
C'est pourquoi vous devez être au clair avec vos objectifs et vos priorités. Si
votre expérience vous permet de les identi er avec con ance, votre instinct
ne doit pas vous induire en erreur.
Il faut orienter vos efforts là où ils auront de l’impact et pour cela, il faut
analyser et comprendre les datas à votre disposition. À la manière des OKR -
pour Objectifs et Key Results”, mis en place chez Google, les orientations
stratégiques doivent être évaluées de façon tangible et objective.
La gestion des compétences par la data est un outil de pilotage transversal. Il
vous permet d’identi er des pistes d’amélioration et de proposer de nouvelles
formations adaptées.
Cette visualisation permet par exemple d’analyser les axes de progression
et d’amélioration des compétences d’un point de vue général et de cibler les
domaines où il est nécessaire d’accentuer la formation.
C’est aussi un très bon moyen d’envisager la mobilité interne sur des postes
adaptés aux compétences et aux aspirations de vos collaborateurs. Il faut
donc comprendre le ux de vos effectifs pour en anticiper les changements
possibles entre les différentes équipes.
Lorsque vos employées ont conscience que leur contribution quotidienne est
prise en compte et évaluée, ils sont d’autant plus motivés à poursuivre leurs
efforts.
Vos datas vous permettent d’avoir à disposition du contenu objectif et sûr,
pour échanger avec votre équipe. Les feuilles Excel, souvent indigestes et les
présentations Powerpoint échangées sont sources d’erreurs et
d’incompréhension.
Prendre des décisions rapidement est devenu un vrai challenge. Pour gagner
en ef cacité, il faut gagner du temps, sans pour autant perdre en qualité et en
ef cacité.
Nos small apps vous permettent d’avoir accès à tous vos indicateurs clés de
performance. Vous êtes ainsi capable de comprendre d'aller plus ou moins
loin dans le détail, de manière extrêmement simple et intuitive.
Outil de reporting :
comment motiver ses
équipes ?
Quelles solutions peuvent alors être mises en place pour motiver de nouveau
vos collaborateurs? Un outil de reporting est une solution crédible pour
renforcer la communication et la relation manager-employé mais aussi pour
faciliter la gestion des objectifs.
Cette valorisation va permettre au salarié d’y voir plus clair sur ses points
d’amélioration et ses axes de travail, co-construits avec son manager. Les
objectifs sont donc plus clairs pour le salarié et ses efforts sont alignés avec
la stratégie de l’entreprise. Le deal est win-win.
Lorsque ces axes sont dé nis en amont, cela permet de suivre l’avancement
de chacun de ses collaborateurs. Le pilotage de ces OKR rend vos employés
plus indépendants dans l’accomplissement de leurs tâches. Cette liberté et
cette vision du management les motivent davantage et leur épanouissement
professionnel s’en ressent.
Les règles d’or de la
construction d’un tableau
de bord.
La construction d’un tableau de bord doit répondre à des règles spéci ques, et
nous vous donnons les nôtres dans cet article !
Règle n°1 : Privilégiez les con gurations par
défaut.
La première règle est une règle de simplicité. La majorité des solutions de
tableau de bord sont fortement personnalisables. Imaginez un Excel doppé
aux fonctionnalités.
Ces outils vous permettent d’aller très loin, d’imbriquer plusieurs graphiques
sur un même écran et de croiser des milliers de données entre elles. Un
conseil: ne le faites pas. Visez la simplicité.
Laissez les croisements complexes aux data scientist. Nos clients sont des
grands groupes, leurs problématiques sont complexes. Cependantnous avons
toujours le même conseil, faites simple.
Par ailleurs pensez utilisateur nal. Que ce soit vous ou une autre équipe,
vous ne voulez pas obtenir une information en 3 clics, ou en ayant 10 ltres à
paramétrer.
Proposez une seule manière de consommer votre graphique. Pro tez en pour
faire parler vos données en les scénarisant, faites du data storytelling.
Mon conseil est donc de faire con ance à l’outil que vous utilisez. Suivez les
modèles par défaut.
Règle n°2 : Design First, Data Second.
Pourquoi Design First ? La collecte de donnée est une étape des plus cruciales,
certes. Mais le design rst permet un gain de temps considérable grâce à la
capacité d’itérer sans avoir investi de temps dans la structuration des
données.
Testez votre utilisateur nal avec une feuille de papier et proposez une
manière de consommer la donnée. Tout ce qui compte c’est le besoin exprimé
par votre utilisateur.
L’avantage du design rst est de pouvoir projeter son utilisateur et de prendre
des retours immédiats sans avoir investi trop de temps.
Cette étape permet ainsi de plus facilement faire le tri dans ce que nous
voulons réellement raconter à travers nos visualisations.
Règle n°3 : Un graphique pour un besoin
Le choix de plusieurs graphiques sur un seul tableau de bord correspond
souvent à notre peur de ne pas voir un indicateur clé. C’est pour cela qu’autant
de tableaux de bord sont exhaustifs. Seulement dans la prise d’information au
jour le jour c’est la simplicité et la pertinence de l’information qui l’emporte
sur l’exhaustivité.
Il est plus facile de comprendre une information si elle est unique . La grande
problématique des outils de BI, c’est le côté trop exhaustif et de ce fait
incompréhensible des dashboards.
Avec un message pour un écran, l’histoire que vous voulez raconter à travers
votre graph est tout de suite plus claire. Après tout, l’utilité d’un tableau de
bord est de raconter une histoire à travers vos datas.
De plus, le choix d’un seul graphique par écran vous permet d’intégrer des
actions sur ce même graphique. Un clic pour agrandir une zone plonger dans
un niveau de granularité plus élevé pour obtenir des informations plus
précises. Vous alliez ainsi simplicité et capacité d’exploration.
Règle n°4 : Les humains ne sont pas des
robots
Une règle qui traite strictement de la forme, une règle pour les gouverner tous.
Par exemple, vous voulez éviter d’écrire 10.5.2017 mais plutôt 10 Mai 2017
lorsque vous traitez une date/période. Cela évite la confusion avec la mise en
forme des dates. Prenons pour exemple les dates internationales.
Vous pouvez donc créer une confusion en écrivant 10.5.2017 plutôt que 10 Mai
2017. En fonction du pays où vous vous trouvez, on se devinera pas forcément
à quelle date cela correspond.
Les humains ne sont pas des robots, évitez de les traiter comme tel.
Si vous souhaitez dépasser les 3 ltres sur un seul écran, c’est que vous avez
besoin de raconter une nouvelle histoire. Pensez cela comme le choix de
votre tenue le matin. La règle de “pas plus de 3 couleurs” est bien valable,
sinon vous perdez l’harmonie de votre accoutrement !
Après avoir suivi ces règles d’or, vous êtes maintenant capables de construire
les plus belles histoires imaginables grâce à des tableaux de bords à la fois
simples, précis et pédagogues ! Licence Toucan mention Très bien pour tous !
4 règles pour construire des
KPIs qui ont du sens !
Mais alors, quels indicateurs mettre en place ? Comment s’y retrouver parmi
les montagnes de données à disposition ?
Pourquoi dé nir des KPIs est essentiel au succès de votre business ?
Comment utiliser les KPIs comme outil de partage entre vos collaborateurs
?
Un KPI peut prendre différentes formes : croissance du chiffre d’affaires, taux
d’absentéisme ou taux de pénétration sur votre marché.
La seconde catégorie d’indicateurs concerne l’impact de vos actions sur votre
marché - impact metrics.
Quelques exemples : votre part de marché sur une catégorie de produit, les
ventes de vos produits en e-commerce ou le taux de désabonnement à votre
service.
Ces indicateurs doivent être alignés avec les objectifs de l’entreprise. Il ne sert
à rien de récolter des données et de construire des indicateurs pour les
présenter simplement en réunion. Vous allez nécessairement passer du
temps et de l’énergie à les produire. Il n’y aura rien de plus décourageant que
de ne pas pouvoir les rendre actionnables à terme.
UN CONSEIL : ne mesurez que ce dont vous avez besoin pour piloter vos
objectifs trimestriels et annuels.
N’hésitez pas à partager vos idées, vos indicateurs pour discuter et en évaluer
la pertinence. Vos collaborateurs doivent aussi se sentir impliqués dans ce
processus de création. Après tout, ils seront le re et de leur travail quotidien.
KPIs : partagez l’information !
Les indicateurs mis en place par vos collaborateurs et vous-même doivent
être l’huile de votre moteur. Ils font partie inhérente du bon fonctionnement
de votre équipe.
Le plus est l'ennemi du bien
Petit point d’attention. Lorsque l’on manipule de nombreuses données, nous
avons tendance à multiplier le nombre d’indicateurs à suivre. Le plus est
l’ennemi du bien. Beaucoup de reportings sont surchargés de données, sans
que l’on puisse comprendre facilement chacun des indicateurs présentés.
Nous avons déjà abordé la question des reportings dans un précédent article :
Comment choisir le bon graphique pour ses reportings ?
Gardez à l’esprit que ces KPIs ne sont qu’un moyen de comprendre ce qui
fonctionne ou non et de prendre les bonnes décisions rapidement. Prenez le
temps de les exploiter, de les comprendre et d’en tirer les leçons pour votre
stratégie.
Reporting : comment
choisir le bon graphique
pour ses données
Avec le temps, les grands groupes ont acquis autant de données qu’il y’a de
morts dans les lms de Q.Tarantino. Une montagne pour ainsi dire. Ceci est
dû à l’héritage des dix dernières années d’investissement en collecte de
données : La ruée vers le Big Data.
L’enjeu aujourd’hui est d’être capable d’utiliser ces données à disposition. Or,
nous ne savons ni en extraire des informations ni les rendre actionnables.
En bref, le reporting est inexistant ou embryonnaire dans la majorité des
organisations. Cela tient au fait que, jusqu’à maintenant, les outils de business
intelligence ne s’adressaient qu’à des utilisateurs experts en traitement de
données.
Par ailleurs peu de formations existent sur les sujets de la restitution des
données. Les opérationnels sont souvent livrés à eux même.
C’est ici que cet article sur la visualisation de données prend tout son sens.
Savoir bien représenter des informations, c’est offrir la possibilité à son
équipe de comprendre des sujets complexes en un coup d’oeil.
Qu’importe l’outil que vous utilisez pour représenter vos données, nous
voulons vous partager notre expérience et expertise sur ce sujet. Dans cet
article, nous répondrons aux deux questions suivantes :
Le reporting, c'est pas sorcier !
Voici 5 étapes que vous devez avoir en tête lorsque vous construisez vos
graphiques :
Le lecteur sera ainsi perdu face à ces graphiques trop compliqués, et se
retrouvera dans l’obligation de faire une des informations à retenir. Vous
n’êtes donc pas certain de communiquer le bon message.
Dé nissez votre audience, ses besoins et sélectionnez les indicateurs les plus
importants. Une fois le périmètre dé ni, tenez-y vous ! Toutes autres idées
sortant de ce périmètre doivent être adressées dans un nouveau reporting,
par exemple.
Itérez plusieurs fois jusqu’à ce que votre reporting soit pertinent. Gardez en
tête que pour réaliser un bon tableau de bord, une règle prime : un graphique =
un message.
Etape 5 : Un bon reporting est actionnable
Que ce soit pour le pilotage de la performance commerciale ou de la
communication nancière, la présentation des indicateurs de performance
de votre département doit amener à prendre des actions.
Bubble chart
Objectif : Permet de mettre en relation 3 indicateurs a n d’illustrer des
corrélations. Parfait pour comparer des ensembles complexes.
Trop de bulles peuvent rendre le graphique dif cile à lire. Ce graphique a donc
une capacité en volume de données limitée. Cela peut être pallié par
l'interactivité : cliquer sur des bulles permet de faire apparaître des
informations cachées, pour aller dans plus de détails.
Ex : ici Bubble Chart des relations entre les différentes maisons de Game Of
Thrones. En cliquant sur les bulles, on pourrait découvrir des informations
précises sur les actions effectuées par les différents protagonistes des
familles, et leur impact sur les relations entre elles. Data viz is comin’.
Force directed graph
Objectif : Ce graphique est idéal pour analyser des réseaux ou des liens entre
plusieurs entités.
Application : La superposition d’un bar chart et d’un line chart est idéale pour
corréler un volume et une variation.
Scorecard
Objectif : Ce graphique offre la possibilité d’illustrer des dizaines
d’indicateurs n’ayant pas (ou peu) de rapports direct entre eux.
Un Score Card qui n'est évidemment plus d'actualité (Toulouse devant Lyon ?
Vous y croyez ?)
2. Comment comparer ses données ?
Barchart
Horizontal Barchart
Centered average leaderboard
Objectif : Idéal pour comparer des indicateurs en volume ou des ux par
entité en fonction d’une moyenne.
Application : Utilisez la moyenne de référence a n de représenter des
données de performance. Comparez la performance de plusieurs entités ou
individus par rapport à un objectif.
Ce genre de graph est souvent utilisé pour étudier une répartition (genre/
âge/catégorie socio professionnelle).
Slopegraph
Objectif : Montre la tendance d’une variation entre une date t et t+1 par entité.
Application : Analyse l’évolution entre deux situations. Plus vos barres sont
entremêlées plus le classement de départ a été bouleversé.
Ce type de visualisation est utilisé pour le traçage de données variées. Ce
graphique est idéal pour comparer de nombreuses variables et voir les
relations entre elles. Par exemple, si vous deviez comparer la performance
d’un éventail de produits sur deux années.
Bullet Chart
Heatmap
Cartographie
Exemple avec une cartographie des artistes préférés de nos amis américains
par état. Malgré la domination des MCs Jay-Z et Drake, la présence de nos
frenchies Daft Punk est à noter, cocorico.
3. Comment montrer des données temporelles
?
Linechart
Application : Les graphiques linéaires sont utilisés pour af cher une valeur
quantitative sur un intervalle ou une durée continue.
Ce graphique est le plus souvent utilisé pour montrer des tendances et des
relations. Les graphiques linéaires aident également à fournir une vision
globale sur un intervalle donné, pour voir comment il s'est développé au cours
de cette période.
Limitez à 3 lignes pour garder une lecture facile.
Timeline
Stacked Barchart
Waterfall
Letse go !
Application : Plus sérieusement, le waterfall permet de comprendre le
cumul de valeurs positives et négatives sur une période donnée.
Un graphique en cascade peut être utilisé pour montrer comment une valeur
initiale est affectée par des valeurs intermédiaires, positives ou négatives, et
aboutit à une valeur nale.
Tree map
Le tree map est une option plus compacte et plus ef cace pour l'af chage des
hiérarchies, et donne un aperçu rapide d’une structure. C’est également un
moyen pertinent de comparaison entre différentes entités.
Verbatims
Objectif : Illustrez vos performances par des verbatims clients et explorez des
données en format texte.
1. Contextualiser
Un bon reporting n’est rien sans contexte. Ajoutez des commentaires, des
sources, des unités, des légendes, des glossaires …
Il n'y a pas de tableau de bord type en nance. Chaque département, métier,
industrie a ses propres codes et c'est cette pluralité qui exige un niveau de
personnalisation poussé.
Le second est de hiérarchiser ses KPI par importance. Un seul mot d’ordre :
aller à l’essentiel. N’oubliez pas qu’un tableau de bord a deux fonctions : servir
la prise de décision et permettre de la communiquer à ses managers ou son
équipe. C'est contre intuitif, les créateurs de dashboards nanciers ont
souvent peur de laisser des données capitales de côté. Cependant personne
ne veut et ne peut suivre l'activité de son entreprise avec 20 indicateurs.
Lors d’une présentation, le but n’est pas simplement de dire ses résultats,
mais d’offrir une vue d’ensemble de son activité. Il faut plonger en granularité
et comprendre les raisons d’une uctuation précise. A n de permettre à une
audience de comprendre les données, un effort pédagogique doit être réalisé
a n de les contextualiser. C'est que l'on appelle le data storytelling.
Chaque KPI raconte une histoire sur l’activité de l’entreprise. Que ce soit en
RH sur l’évolution des effectifs ou en nance dans la compréhension du bilan,
toute donnée est porteuse de message. Confucius disait: une image vaut mille
mots. Chaque graphique doit avoir un message clair et précis a n de faciliter
la compréhension d’informations complexes.
Votre environnement, vos projets, vos objectifs et vos contraintes évoluent,
un bon tableau de bord accompagne cette évolution, s’il ne la guide pas. Il faut
donc à tout moment véri er que votre tableau de bord comporte des
indicateurs qui correspondent toujours à vos besoins et qui poussent vos
équipes à agir.
Plus les données sont faciles à lire, plus leur compréhension sera rapide. La
prise de décision sera alors facilitée. Par ailleurs, les lecteurs ne sont pas
toujours familiers au format des données qui leur sont présentées. Il est donc
important de rendre l’information accessible.
---
Les 6 étapes pour faire un
tableau de bord RH simple
et ef cace !
Ainsi, on se rend bien compte qu’un tableau de bord RH dédié n’est autre
qu’un outil de pilotage de l’activité, de suivi et d’évaluation des équipes.
Durant cette période, certaines actions peuvent être suivies pour en tirer des
analyses et optimiser le processus RH sur le long terme.
En effet, les indicateurs et KPI ne sont plus l’exclusivité du marketing. Ils
doivent être utilisés par les autres départements de votre entreprise et
notamment pour les Ressources Humaines. C'est pourquoi nous avons décidé
de vous présenter 5 exemples de tableau de bord RH utilisé par nos clients.
Exemple 4 : Tableau de bord RH sur le recrutement
En n, le recrutement fait partie inhérente de la vie d’une entreprise. Un
outil de reporting RH pour le recrutement vous permettra de faciliter
certaines étapes de votre recrutement.
Votre temps doit ainsi être passé à analyser, comprendre et communiquer sur
vos talents. Le retraitement et le classement de vos données doivent donc
être simpli és et automatisés.
Mais ils facilitent aussi la compréhension de vos données pour les rendre
accessibles au plus grand nombre. Grâce à ces outils et à la data visualisation,
vous êtes capable de valoriser vos indicateurs pour prendre les meilleures
décisions !
Construire un tableau de
bord de suivi de
l'absentéisme
Pour découvrir d'autres cas d'applications spéci ques, nous avons écris un
précédent article sur les problématiques de recrutement.
Pilotage des absences dans le temps
Ce reporting permet de mettre en avant l’évolution de l’absentéisme sur une
période donnée et de mesurer l’impact d’une politique visant à lutter contre ce
phénomène.
Business Intelligence : ce
que 200 projets nous ont
appris !
Vous ne devriez pas avoir besoin d’être analyste pour extraire la valeur de vos
données. En revanche, vous avez des questions auxquelles votre outil de
Business Intelligence doit pouvoir répondre facilement.
En réalisant des projets dans les groupes du CAC40, nous pu comprendre le
vrai besoin des collaborateurs de grands groupes : celui de rendre leurs
données complexes, compréhensibles et actionnables.
Nous vous partageons donc ce que nous avons appris de tous nos projets et
collaborations avec nos clients.
Business Intelligence : les 6 idées fortes de
nos clients !
#1 - La mobilité sinon rien
La création de rapport chez nos clients pouvait prendre plusieurs jours, voir
plus lorsqu’il fallait les adapter pour smartphone et tablette. L’accès multi-
support doit devenir la norme.
Nos clients réclament des solutions mobiles. Avoir accès à la donnée lorsque
nous sommes assis derrière notre bureau n’est plus vrai aujourd’hui et limite
clairement le potentiel de l’outil. Les collaborateurs en entreprises demandent
plus de exibilité pour consulter leurs données.
Plus votre solution sera facile à prendre en main, plus elle sera utilisée et
plébiscitée par les utilisateurs. Je vous assure qu’il y a quand même mieux
que Excel pour manipuler de la donnée et la rendre claire et actionnable.
#3 - La data visualisation : une image vaut mille mots
Une feuille de calcul demande d’analyser les données des lignes et des
colonnes, puis de créer des tableaux que vous allez ensuite transformer en
graphiques plus ou moins compréhensibles suivant le niveau de détails
attendu.
#4 - Flexibilité de la solution
Les données à disposition sont organisées en silo. C’est la réalité de la plupart
des entreprises et notamment des grands groupes. Beaucoup de données
sont récupérées sans en utiliser le potentiel en croisant les données par
exemple. Nos clients et partenaires l’ont bien compris : croiser différentes
sources de données leur a permis d’apporter bien plus de valeurs à
leurs clients.
Il est pourtant cohérent de commencer petit avant de voir plus grand !
Certains de nos clients ont choisi de commencer à travailler sur des petits
projets avant d’industrialiser le traitement de la donnée à des équipes bien
plus larges.
#6 - L'excellence opérationnelle comme maître mot
“Pourquoi ne pourrions-nous pas interagir avec les données présentées lors
d’une réunion, par exemple ?” Ma réponse fut simple et directe : “Bien sûr, c’est
possible !"
Quel que soient les outils utilisés en entreprises, le collaboratif est plus que
jamais d’actualité. Les équipes projet ont besoin d’échanger entre elles, mais
aussi avec des collaborateurs externes !
Filtrer, trier, surligner, annoter, partager : voici des usages que nous avons pu
observer sur nos applications.
Chacun de vous dispose d’une mine d’or d’information. Ne passez pas à côté
en déterminant des objectifs clairs pour votre solution de Business
Intelligence.
Lorsque vous serez prêt, nous serons à vos côtés pour parcourir ensemble le
dernier kilomètre de vos données !
En savoir plus
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