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193-195)
Compara la definición de las palabras siguientes en dos diccionarios
franceses y dos españoles, respectivamente. Fíjate en las diferencias y
extrae conclusiones.

COMPARACIÓN DE DICCIONARIOS FRANCESES


DICCIONARIO 1: Portail lexical CNRTL http://www.cnrtl.fr/definition/
DICCIONARIO 2: Académie française (9 ª edición): www.academie-
francaise.fr/le-dictionnaire/consultation-en-ligne

Cartable
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A.− Vx. Grand portefeuille, grand buvard de bureau tenant lieu de sous-main.
Rem. Attesté ds Lar. 19e, Lar. Lang. fr. ainsi que ds GUÉRIN 1892 et QUILLET 1965.
B.− P. ext.
1. Vx, rare. Carton à dessin. Oscar envahit tout avec ses chevalets, ses cartables, ses boîtes à couleur, ses
pinceaux (REYBAUD, Jérôme Paturot,1842, p. 246).
2. Cour. Sac le plus souvent en cuir, à poignée ou à bretelles, dans lequel les écoliers mettent leurs livres et leurs
cahiers. Cartable de collégien, d'écolier. :
... Edmond et Léonard ont posé leurs cartables, deux sacs de faux cuir jaune, tachés d'encre, et qui laissent voir le
carton aux coutures; les courroies lâches pendent le long des pieds de la chaise... GENEVOIX, Raboliot,1925, p.
233.
Prononc. et Orth. : [kaʀtabl̥ ]. Ds Ac. 1932. Étymol. et Hist. 1. 1635 (MONET, Abr. du parallèle des lang. fr. et
lat. : Cartable, livre blanc à écrire); 2. 1810 (E. MOLARD, Le Mauvais lang. corrigé, p. 62 : Cartable. Dites grand
portefeuille); 1814 (JOUY, L'Hermite de la Chaussée d'Antin, t. 5, p. 138). Se rattache au lat. charta (carte*), mais
l'orig. de la 2epartie du mot est obsc. Dep. Spitzer ds Z. rom. Philol., t. 43, 1923, p. 322, l'hyp. couramment reçue
(BL.-W.5; DAUZAT 1973; REW3, no1866; v. aussi FEW t. 2, p. 630b) est celle d'un empr. au lat. médiév.
monastique c(h)artabulum (le suff. -abulum exprimant la notion de contenance, cf. cunabula, acetabulum,
digitabulum, turibulum), attesté dans le domaine ital. en 1368 au sens de « registre » ( DEI, s.v. cartabello);
cependant l'apparition tardive du mot fr. et sa rareté en lat. médiév. sont difficiles à expliquer; d'autre part,
l'alternance du suff. -ulum/-ellum que Spitzer invoque pour expliquer l'a. prov. cartabel « feuille volante » (fin
XIIIes. ds RAYN.) et l'ital. cartabello, scartabello (XVes. ds DEI), si elle est fréquente en lat. vulg., fait difficulté
pour la lang. savante (FEW, loc. cit.; COR., s.v. cartapacio). COR. et DEI, loc. cit., DEVOTO, s.v. cartabello
expliquent le groupe de mots romans correspondant à cartable par un chartae tabula/tabella, ces 2 derniers mots
étant bien attestés en lat., mais le syntagme ne semblant pas l'être en lat. médiév. L'hyp. d'un empr. à l'esp.
cartapel « ensemble de feuilles volantes » (EWFS2), relativement récent (1612 ds COR.) fait difficulté du point de
vue phonét.; l'esp. est plutôt empr. (avec influence de papel « papier ») à l'a. prov. cartabel. Fréq. abs. littér. : 35.
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DICCIONARIO 2: Dictionnaire de l’Academie Française

(1)CARTABLE n. m. XVIIe siècle. Probablement emprunté du latin médiéval *c(h)artabulum, « récipient à


papier », dérivé de charta (voir Charte).
Sac rigide et plat dans lequel les écoliers mettent leurs livres et leurs cahiers. Porter son cartable sur le dos.

Fournaise
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A.−
1. Grand four où brûle un feu très fort. Chaleur, lueur de fournaise; jeter dans, sortir de la fournaise. Ces
tourbillons de feu que vomit une fournaise embrâsée (DUPUIS, Orig. cultes,1796, p. 279).Le fer et l'acier
ruissellent dans les fournaises de nos fonderies (FRANCE, Voie glor.,1915, p. 24):
1. Par les carreaux noircis de suie et rougeoyants, elle apercevait des ombres et, de temps en temps, quand on tirait
des pièces de fer rougi d'une fournaise béante, elle voyait jaillir soudain une éclatante lueur dans laquelle des
formes nettement tranchées couraient et se hâtaient. ROY, Bonheur occas.,1945, p. 219.
♦ Région. (Canada). Calorifère, chaudière. Le nonagénaire (...) fume sa pipe, les pieds étendus dans la fournaise,
dont la petite porte entr'ouverte diffuse une lumière rosée (A. NANTEL, La Terre du huitième,1942, p. 104 ds D.
ROGERS, Dict. de la lang. québécoise rurale, Montréal, 1977).Fourneau à huile. Poêle à mazout.
− P. métaph. Je brûle dans la fournaise du désir de la vérité (BLOY, Journal,1895, p. 210).
♦ Spéc. [P. allus. à la Bible, Daniel chap. 3] Le vrai sentiment chrétien de la nature, c'est celui qui s'affirme à
chaque page des psaumes et dont le cantique des trois jeunes hommes dans la fournaise est la plus magnifique
expression (GILSON, Espr. philos. médiév.,1931, p. 130).
− Foyer d'un fourneau. L'épaisse cuisinière (...) découvrait la fournaise et tisonnait les flammes (ADAM, Enf.
Aust.,1902, p. 39).
− P. méton.
a) Grande chaleur qui se dégage de la fournaise :
2. La porte, grande ouverte, laissait voir sept chaudières à deux foyers. Au milieu de la buée blanche, dans le
sifflement des fuites, un chauffeur était occupé à charger un des foyers, dont l'ardente fournaise se faisait sentir
jusque sur le seuil... ZOLA, Germinal,1885, p. 1154.
b) Feu violent. À chacune de leurs promenades, l'incendie changeait, des fournaises nouvelles ajoutaient leurs
brasiers à cette couronne de flammes (ZOLA, Œuvre,1886, p. 111):
3. Cependant, par les fenêtres d'en bas, je voyais que tout le rez-de-chaussée n'était plus qu'une fournaise ardente;
et je m'aperçus qu'on l'avait empli de paille pour favoriser l'incendie. MAUPASS., Contes et nouv.,t. 2, Garde, 1884,
p. 983.
♦ En partic. Feu de l'enfer :
4. ... Jésus dira qu'à l'époque de la palingénésie, « le Fils de l'Homme enverra ses anges, qui sépareront les justes
des méchants, et jetteront les méchants dans la fournaise ardente. » P. LEROUX, Humanité,t. 2, 1840, p. 854.
2. P. anal. et p. métaph.
a) Lieu surchauffé. Le soleil qui frappait sur les ardoises du toit faisait une fournaise de la petite église
(MAUPASS., Contes et nouv.,t. 1, Mais. Tellier, 1881, p. 1194).Sous le ciel commençait à ronfler la fournaise de la
lande (MAURIAC, Th. Desqueyroux,1927, p. 188).Je ressors me sécher sous la véranda-fournaise (GIDE, Retour
Tchad,1928, p. 947).
b) P. exagér. Grande chaleur. La fournaise de la canicule (ARNOUX, Roi,1956, p. 319).
B.− P. métaph. et au fig.
1. [En parlant d'une activité humaine] Centre d'intense activité. Il faut bien me permettre un rire innocent avant de
me jeter dans la fournaise de mes travaux! (BALZAC, Lettres Étr.,t. 2, 1850, p. 436):
5. La grand'salle n'était plus qu'une vaste fournaise d'effronterie et de jovialité où chaque bouche était un cri,
chaque œil un éclair, chaque face une grimace, chaque individu une posture. HUGO, N.-D. Paris,1832, p. 58.
− Spéc., dans le domaine militaire.Champ de bataille. Tranquille, souriant à la mitraille anglaise, La garde
impériale entra dans la fournaise (HUGO, Châtim.,1853, p. 277).La fournaise de Verdun dévorait nos effectifs
(JOFFRE, Mém.,t. 2, 1931, p. 235).Jeter d'autres divisions dans la fournaise (MARTIN DU G., Thib.,Épil., 1940, p.
811).
2. [En parlant de choses] Concentration d'objets rutilants. La salle à manger était une fournaise de choses gaies
(HUGO, Misér.,t. 2, 1862, p. 641).
Prononc. et Orth. : [fuʀnε:z]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. Ca 1121 « grand four où brûle un feu ardent
» (St Brandan, éd. E. G. R. Waters, 912 : Cume buche de fornaise); p. ext. 1654-55 la fournaise du mont Etna
(D'ABLANCOURT, Lucien, Mort de Peregrinus); 2. 1823 « lieu où règne une chaleur intense » la fournaise de
l'équateur (LAS CASES, Mémor. Ste-Hélène, t. 2, p. 523); 3. 1831 « lieu d'intense activité (ici intellectuelle) »
(HUGO, Feuilles automne, p. 718). Réfection avec dés. fém. d'un a. fr. fornais mal attesté (WACE, Conception N.
D., éd. W. R. Ashford, ms. L. Picard, 1782; pour l'ex. de Florimont ds GDF., cf. T.-L., s.v. fornaise, p. 2123, ligne
20) mais prob. fém. comme son étymon le lat. class. fornax et la plupart des formes qui en sont issues (cf. REW3,
3451 et FEW t. 3, p. 724b). Fréq. abs. littér. : 378. Fréq. rel. littér. : XIXes. : a) 513, b) 841; XXes. : a) 650, b)
327. Bbg. JUNEAU (M.). Glanures lex. dans Bellechasse et dans Lévis. In : Trav. de ling. québécoise. 1. Québec.
1975, p. 180.
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DICCIONARIO 2: Dictionnaire de l’Academie Française

(1)FOURNAISE n. f. XIIe siècle, fornaise. Issu du latin fornax, augmentatif de furnus, « four ».
Grand four, foyer où brûle un feu violent. Une fournaise ardente. Jeter du charbon dans la fournaise. Au Canada,
calorifère, chaudière.   Par ext. Feu ardent. Le toit en flammes s'effondra dans la fournaise. La fournaise d'un
volcan. Fig. Lancer des troupes dans la fournaise, à l'endroit du champ de bataille où le combat fait rage.   Par
exag. Se dit d'un lieu où il fait très chaud. Sa chambre sous les toits est une fournaise.

Repriser
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DICCIONARIO 1: Portail lexical CNRTL

Remettre en état une étoffe, un vêtement déchiré ou troué en faisant une reprise. Synon. raccommoder,
ravauder.Linge à repriser; repriser une veste, un jupon, du linge, une tapisserie, des chaussettes. Rentré chez lui,
Évariste trouva sa mère assise à la fenêtre, qui reprisait des bas (A. FRANCE, Dieux ont soif, 1912, p. 83).Quant à
l'idée, simple pourtant, de rapiécer un tissu, les Péruviens eux-mêmes ne la connurent pas, mais se contentèrent
de repriser les trous (LOWIE, Anthropol. cult., trad. par E. Métraux, 1936, p. 128).P. métaph. Saurai-je, d'ici
juillet, terminer mon livre? J'en doute. J'ai passé ces trois derniers jours à repriser les derniers chapitres − lus à
Martin du Gard, à mon passage à Paris (GIDE, Journal, 1924, p. 790).
− Subst. + à repriser.Qui sert à repriser. Fil, coton à repriser. C'est ce petit gros homme vilain qui vend tristement
toute la journée des boutons et de la laine à repriser (COLETTE, Naiss. jour, 1928, p. 65).
− Part. passé en emploi adj. Qui a été reprisé. Chandail reprisé, bas reprisés. Gaspard prit sa défroque, − elle
était de bure bleue, quelque peu reprisée aux coudes, − mais avant de l'enfiler, il se mit à en palper les doublures
(POURRAT, Gaspard, 1922, p. 87).Comme j'enlevais péniblement mon tricot de laine, très reprisé, il a tourné le
dos (BERNANOS, Journal curé camp., 1936, p. 1232).
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DICCIONARIO 2: Dictionnaire de l’Academie Française


(9ª edición)
« Aucun document ne correspond à ces critères. »
(8ª edición)
(1)REPRISER. v. tr. Raccommoder en faisant une reprise. Repriser un vêtement. Repriser des bas.

Conclusiones:
COMPARACIÓN DE DICCIONARIOS ESPAÑOLES
DICCIONARIO 1: DRAE, Diccionario de la lengua española, 22ª ed., 2001
http://www.rae.es/recursos/diccionarios/drae
DICCIONARIO 2: Diccionario de uso del español María Moliner, 3ª edición, DVD,
2008

Aspaviento
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DICCIONARIO 1: DRAE
(De aspaventar)
1. m. Demostración excesiva o afectada de espanto, admiración o sentimiento.
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DICCIONARIO 2: Diccionario de uso del español María Moliner
(del it. spavento, espanto)
m., gralm. pl. Demostración exagerada, con gestos o palabras, de una impresión, como *admiración, *susto o
asombro, o de un sentimiento: ‘No me convence, a pesar de tantos aspavientos’. 1 Alharaca. 2 Aguaje, *aparato,
cuento, esparajismo, espaviento, hazañería, parajismo, pasmarota, patarata. 4 Aparatero, aspaventero,
aspaventoso, cuentista, *exagerado, pamplinero. 4 Aspaventear. 4 *Ademán. *Afectación. *Asombrarse.
*Exagerar. *Melindre. *Palabrería. *Ponderar. *Simular.

Departamento
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DICCIONARIO 1: DRAE
(Del fr. departement).
1. m. Cada una de las partes en que se divide un territorio cualquiera, un edificio, un vehículo, una caja, etc.
2. m. Ministerio o ramo de la Administración Pública.
3. m. Distrito a que se extiende la jurisdicción o mando de un capitán general de Marina.
4. m. En las universidades, unidad administrativa de docencia e investigación, formada por una o varias cátedras
de intereses afines.
5. m. piso (‖ vivienda).
6. m. En algunos países de América, provincia (‖ división de un territorio sujeta a una autoridad administrativa).
V. tienda por departamentos

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DICCIONARIO 2: Diccionario de uso del español María Moliner
(del fr. departement)
1 m. Cada una de las partes en que se divide un local o espacio por medio de paredes u otro medio de separación.
2 Apartamento, apartamiento, capilla, compartimiento, *división, *parte, sección. 4 *Tabique. 5 Hispam.
Apartamento, piso.
2 Cada una de las partes en que se divide una *oficina, organismo, etc. 1 Sección. 5 Particularmente,
departamento ministerial.
3 División territorial de ciertos países, como Francia y varios países hispanoamericanos. 2 *Distrito.
departamento ministerial Ministerio.

Operar
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DICCIONARIO: DRAE
(Del lat. operāri).
1. tr. realizar (‖ llevar a cabo algo). U. t. c. prnl.
2. tr. Med. Ejecutar sobre el cuerpo animal vivo, con ayuda de instrumentos adecuados, diversos actos curativos,
como extirpar, amputar, implantar, corregir, coser, etc., órganos, miembros o tejidos.
3. intr. Dicho de una cosa: Producir el efecto para el cual se destina.
4. intr. Obrar, trabajar, ejecutar diversos menesteres u ocupaciones.
5. intr. Negociar, especular, realizar acciones comerciales de compra, venta, etc.
6. intr. Llevar a cabo acciones de guerra, mover un ejército con arreglo a un plan.
7. intr. Maniobrar, llevar a cabo alguna acción con auxilio de aparatos.
8. intr. Realizar operaciones matemáticas.
9. intr. Robar, estafar, llevar a cabo actos delictivos.
10. prnl. Someterse a una intervención quirúrgica.
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DICCIONARIO: Diccionario de uso del español María Moliner
(del lat. operāri)
1 intr. *Actuar u *obrar; realizar acciones con cierto fin: ‘Tenemos que operar con pocos medios [o sin suficiente
conocimiento del asunto]’. 5 Particularmente, *negociar: realizar acciones comerciales de compra, venta, etc.:
‘Opera con grandes sumas de dinero. Hoy no se ha operado en la bolsa’. 5 Realizar combinaciones con números o
expresiones según las reglas matemáticas, para llegar a un resultado: ‘Operar con números decimales’.
2 tr. Ejecutar en 3alguien una operación quirúrgica. 1 Intervenir. 2 *Cirugía. 5 (reflex.) Hacerse operar: ‘Se va a
operar del apéndice’.
3 Producir con una acción o intervención cierto 3resultado: ‘Operar un milagro [una transformación, una
curación, un efecto beneficioso]’. 1 Obrar, realizar. 5 prnl. Producirse: ‘Se ha operado un cambio favorable en el
enfermo’. 1 Realizarse.

Conclusiones:

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