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DU GEB
bovins 2019
Productions lait et viande
LES STRUCTURES DE PRODUCTION EN ÉLEVAGE
* Les vaches croisées de père laitier sont désormais comptabilisées comme laitières.
* Les vaches croisées de père laitier sont désomais comptabilisées comme laitières (2005 à 2018).
NOMBRE DE VACHES PRÉSENTES AU 1er JANVIER PAR PRINCIPAUX TYPES RACIAUX (1 000 TÊTES)
Source : SPIE-BDNI, traitement Institut de l’Élevage
* Calcul basé non pas sur les déclarations mais sur la race des parents.
LA VIANDE BOVINE EN FRANCE
2010 2018
En 1 000 têtes En 1 000 têtes En 1 000 tonnes En % des gros bovins
Vaches 1 644 1 697 612 47 %
Génisses 673 621 225 17 %
Boeufs 258 156 61 5%
Taureaux 1 141 975 405 31 %
Total gros bovins 3 715 3 413 1 287 100 %
Total veaux 1 433 1 215 173
250
Espagne Allemagne 242
224 221
Allemagne Irlande
183 2018 215
Grèce Belgique
109
2017
Belgique 106
Pologne
2008
51 83
Algérie Italie
50 73
Pays-Bas Royaume-Uni
27 71
Royaume-Uni Espagne
Perte maturation : 1 %
Viande nette
commercialisable : Viande/poids
269 kg de carcasse : 68 %
• Os : 16 %
• Gras : 11 %
• Déchets : 5 %
JB + T.
15 %
JB +
20 % type laitier
Taureaux
80 % type viande 31 %
Import :
Environ 32 %
type laitier plus de 80 %
de vaches
Export :
86 % de JB Vaches
48 % type laitier Vaches 61 %
52 % type viande 47 %
Environ 68 %
type viande
100% 2%
3%
7% 3%
90%
14%
80%
44% Reproduction
70% 14% 44%
Génisse
60%
74%
Bœuf
50%
29% Jeune bovin
40%
Mâles, €/kg vif 2008 2017 2018 Femelles, €/kg vif 2008 2017 2018
Charolais U 400 kg 2,22 2,64 2,70 Charolais U 400 kg 2,07 2,41 2,46
Limousin U 350 kg 2,47 2,84 2,90 Limousin U 270 kg 2,44 2,74 2,81
LE LAIT ET LES PRODUITS LAITIERS EN FRANCE
Livraisons
Nombre de livreurs
(en millions de litres)
Évolution Évolution
2005 2017 2005 2017
en % en %
FRANCE 22 702 23 908 +5 97 975 56 984 - 42
Bretagne 4 718 5 442 + 15 18 283 11 296 - 38
Pays de la Loire 3 300 3 782 + 15 13 070 7 874 - 40
Normandie 3 285 3 737 + 14 10 400 7 870 - 24
Auvergne-Rhône-Alpes 2 522 2 451 -3 15 910 9 338 - 41
Hauts-de-France 2 104 2 288 +9 8 313 4 890 - 41
Grand-Est 2 155 2 221 +3 8 171 4 766 - 42
Bourgogne-Franche-Comté 1 451 1 608 + 11 6 597 4 488 - 32
Nouvelle-Aquitaine 1 619 1 137 - 30 6 639 2 803 - 58
Occitanie 1 007 754 - 25 5 257 2 624 - 50
Centre-Val de Loire 466 430 -8 1 500 823 - 45
(1) Il s’agit du lait produit par les vaches laitières et non pas du lait livré.
2008 2018
* Industrielles.
** Y compris autoconsommation et vente directe.
Importations Exportations
Solde en
Millions d’€ % Millions d’€ % millions d’€
40%
IAA
35%
2% RHD
2% Ménages
30%
Exportations
25%
2%
19 % 2%
20%
6%
6%
15% 1%
14 % 1%
10%
8%
14 %
5% 11 %
6% 5%
0%
Fromages Laits liquides Beurre Ingrédients secs
et Ultra-frais
LES PRODUCTIONS BOVINES EN EUROPE
* Production de lait par VL, en moyenne annuelle, sur la base de la moyenne des effectifs de l’année précédente et de l’année retenue
LES ÉCHANGES DE PRODUITS LAITIERS EN 2018 (EN MILLIONS DE TONNES ÉQ. LAIT)
Source : GEB-Institut de l’Élevage d’après FAO, FIL et TradeMap
Conso./hab.
Exportations Importations Production Consommation (kg éq. lait/
hab.)
Nouvelle-Zélande 20,0 0,3 21,8 2,1 438
UE à 28 18,7 1,0 167,0 149,3 291
USA 12,9 1,9 98,7 87,7 270
Australie 3,1 1,1 9,3 7,3 298
Chine 0,0 14,8 30,8 45,6 33
Russie 0,3 3,7 31,5 34,9 238
Inde 0,3 0,1 167,0 166,8 123
Mexique 0,5 4,2 12,4 16,1 125
Brésil 0,2 1,0 35,4 36,2 174
Argentine 1,8 0,0 10,5 8,7 197
Ukraine 0,5 0,1 10,1 9,7 228
LES ÉCHANGES DE VIANDE BOVINE EN 2018 (EN MILLIERS DE TONNES ÉQ. CARCASSE)
Source : GEB-Institut de l’Élevage d’après diverses sources (USDA, Eurostat, MLA, CONAB, TradeMap…)
Conso./hab.
Exportations Importations Production Consommation
(kgéc)
Inde 1 440 - 4 300 2 900 2,1
Brésil 1 890 - 9 050 6 140 29,5
Australie 1 530 - 2 300 781 31,0
USA 1 320 1 290 12 200 12 200 37,1
Nouvelle-Zélande 570 - 670 110 23,0
Chine - 2 300* 6 440 8 760* 6.3*
Vietnam 744* 810 224 290* 3.0*
Japon - 800 433 1 230 9,7
Russie - 420 1 300 1 770 12,5
Corée du Sud - 500 279 777 15,0
UE à 28 280 330 7 930 7 980 15,6
* Les exportations du Vietnam et de Hong-Kong vers la Chine sont difficiles à estimer, en raison de la prédominance du marché « gris ».
2014-2020 : les soutiens couplés à l’élevage bovin
Aide aux bovins allaitants (ABA)
Les références historiques 2013 n’existent plus. Le nombre d’animaux primés est calculé annuellement à partir du
nombre d’animaux présents éligibles sur chaque exploitation, sous réserve d’application d’un stabilisateur permettant de ne
pas dépasser le plafond national de 3 845 000 vaches allaitantes primées.
Animaux éligibles : vaches de race allaitante ou mixte non dédiées à la production laitière. Les génisses ne sont plus éligibles
depuis la réforme (sauf pour les nouveaux producteurs à hauteur de 20 % maximum des vaches présentes). Par contre, il y a
toujours la possibilité de remplacer 30 % de l’effectif primable par des génisses, pendant la période de détention obligatire (PDO).
Critères d’éligibilité :
• Détenir au moins dix vaches éligibles OU 3 vaches éligibles parmi 10 UGB de vaches/brebis/chèvres.
• Une vache ne peut ouvrir un droit à l’ABA qu’une seule fois sur une campagne donnée.
En conséquence, en cas de transfert d’une vache entre deux exploitations, la dite vache sera primable dans l’exploitation
qui aura déposé sa demande d’aides la première, si elle détenait cette vache au moment de la demande. Si cette vache
est déclarée par le cédant, elle peut néanmoins remplacer une vache présente au premier jour de la PDO du repreneur et
sortie en cours de PDO.
• Taux de productivité minimal de 0,8 veau/vache/15 mois. Dérogation à 0,6 veau/vache/15 mois pour les animaux
transhumants et les cheptels de Corse. Si ce taux n’est pas atteint, le nombre de vaches primées sera ajusté.
• Maintien du veau sur l’exploitation pendant 90 jours.
Aide à la vache laitière
Animaux éligibles : vaches de race laitière ou mixte ou issue d’un croisement avec l’un de ces types raciaux, et destinée à
la production de lait. Il y a aussi une PDO de 6 mois.
Montant indicatif des primes couplées par vache
Ces montants sont appliqués avec transparence des GAEC, en €/vache.
Rappel : transfert du premier au second pilier de 4,2% qui impactera sans doute toutes les enveloppes des aides du premier
pilier.