Le comportement d’achat du
consommateur sur internet
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
CONCLUSION
Première partie
On peut définir les clients virtuels comme, des groupes communiquant à l’aide
de mails, internet, courrier, téléphone, pour des raisons professionnelles,
sociales, éducatives, ou autres.
Pour se procurer les biens nécessaires sur internet, cette communauté peut
utiliser des forums très connus comme Yahoo Questions / Réponses, au monde
3D temps réel comme SecondLife.Com .
Il est à signaler que le mot virtuel est utilisé pour, exprimer ou démontrer
l’absence du contact face à face.
Le principe est de réunir, sur un site Web, des internautes possédant un centre
d’intérêt commun (animaux, sport, cuisine…) ou présentant une caractéristique
sociodémographique commune (parents, femmes, seniors, homosexuels…).
Face à cette diversité, plusieurs termes sont utilisés pour désigner une
communauté virtuelle : communauté en ligne, communauté électronique,
communauté d’intérêts, communauté virtuelle d’intérêts économiques, site de
réseau social, etc…
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Première partie
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Première partie
B to C B to B
• Internet • EDI/VAN
FOURNISSEURS
CONSOMMATEURS TV Interactive ENTREPRISES • Internet
• • Extranet PARTENAIRES
CITOYENS • ... • ...
• Internet
B-to-G
• EDI/VAN
• ...
• Internet • Internet
ADMINISTRATION
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Première partie
a) En Europe
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(NOIE, 1999, p. 2)
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Première partie
% % %
Nombre Pénétration d’internautes d’internautes
d’internautes d’internet ayant acheté en ligne dans
(en millions) en ligne la population
Allemagne 49 59 59 35
Grande-Bretagne 38 63 71 48
Italie 29 49 25 12
France 26 43 54 23
Espagne 17 39 19 7
Source : Nielson/NetRatings et Forrester Research
b) Au Maroc
Le e-commerce est l'un des secteurs ou le Maroc est le plus en retard comparé à
d'autres secteurs technologiques. Et pour cause, le e-commerce dépend de
beaucoup de paramètres, techniques et économiques, mais aussi psychologiques.
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Première partie
En effet, je dis il semblerait car cette enquête se base sur une minorité infime de
la population. Seules 150 personnes y ayant été conviées« partout au Maroc »,
ce qui ne fait pas grand chose à côté des 34 000 000 de marocains qui y réside.
25% des sondés ont pour leur part déjà commandé sur plus d’un site internet
parmi la vingtaine de sites de commerce en ligne aujourd’hui disponibles au
Maroc. Ils estiment à plus de 77% que l’achat sur internet n’est pas encore dans
les habitudes des marocains mais ils pensent à plus de 90% que l’e-commerce
va très fortement se développer au Maroc au cours des 2 à 3 prochaines
années. Pour ce qui concerne les facteurs qui favorisent le développement du
commerce sur internet, près de 41% des internautes ne pensent pas qu’il est lié
au développement du paiement par carte bancaire sur internet. Plus encore, à la
question de savoir si la possibilité de payer par carte bancaire leur était
offerte, 54% préféreraient utiliser le service de paiement à la livraison, 30%
utiliseraient peut-être le service de paiement par carte bancaire et seuls 16%
l’utiliseraient très certainement.
La, une fois de plus, si les sondés font partie des clients existants de la
parapharmacie, on à déjà une sélection précise du profil étant donné qu’ils ont
déjà passé au moins une fois commande sur le net. De plus, le manque
d’expérience de la communauté les laisse pour moi sceptique à communiquer
leur n° de carte sur internet. (tout comme nous l’étions il y’à 5 ou 10 ans.)
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Première partie
standard (même tarif qu’en belgique) mais beaucoup plus lent. Alors que le
salaire moyen est de 200€. Ca fait déjà un sacré trou dans le budget.
Enfin, pour ce qui concerne le facteur principal poussant à passer une
commande sur internet, 49% citent le service de livraison à domicile et 40%, les
prix pratiqués qui sont inférieurs sur Internet.
a) La désintermédiation
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Première partie
Producteur
Désintermédiation
Contact direct avec les
clients
Indépendance
Marge de distribution Distributeur
Viabilité des niches
Client
L’impact de la désintermédiation a été en fait limité, car son succès repose sur la
réunion de cinq conditions peu rencontrées :
- Il faut amortir les frais de structure (la vente directe nécessite une
infrastructure particulière qui passe par un web) ;
- Il faut une marque forte (il faut qu’elle génère du trafic et qu’elle crée de
la confiance) ;
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Première partie
Producteur
Création de
Trafic
Création de
Trafic
Nouveaux intermédiaires Distributeur
Recherche
D’information
Clients
c) La rétromédiation
Producteur
Qualification
Information des prospects
Conseil
Relationnel Distributeur
e-distributeur
Réalisation
Client de la transaction
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Deuxième partie
Les internautes se regroupent selon leurs affinités, leurs goûts et envies, leurs
passions ou encore sont poussés par des intérêts divers (professionnels,
politiques, religieux…). Il s‟agit donc, à travers ces communautés, de répondre à
un besoin latent et primaire de sociabilité. Le besoin communautaire sur Internet
est exacerbé par le support lui-même : effectivement il n‟est pas rare pour les
Internautes avertis ou non de se sentir perdus sur Internet. L‟existence d‟une
surabondance d‟informations de qualité très inégale et le sentiment d‟infiniment
grand, induit par un support sans limite géographique, poussent les internautes à
se regrouper, plus encore que dans la vie réelle où nous évoluons à travers un
référentiel espace-temps maîtrisé.
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Deuxième partie
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Deuxième partie
Second Life : Créé en 2003, ce site est techniquement le plus abouti, puisqu‟il
permet à ses membres de vivre effectivement une seconde vie dans un univers
virtuel en 3D possédant sa propre monnaie (le dollar Linden). Ce qui pouvait
paraître comme un jeu en ligne (dans la veine des best sellers des jeux vidéos :
« les Sims »), est en fait un véritable site d‟échanges où s‟engouffre bon nombre
de sociétés ou encore partis politiques. Les activités marchandes à l‟initiative
des membres se sont considérablement développées, et on estime à 400 millions,
le nombre de dollars US circulant entre résidents chaque année. Le potentiel
économique de ce site communautaire est donc sans précédent. Cependant, avec
15 millions de résidents en septembre 2008 (mais seulement 1 million d‟actifs
tous les mois et un tassement de la fréquentation), Second Life doit faire face à
de multiples problèmes : baisse des recettes publicitaires (avec ses 100 millions
de membres, Facebook est un média plus puissant), développement de la
concurrence (le géant Google a ainsi lancé « Lively » en juillet dernier),
menaces des autorités publiques de taxation des transactions effectuées au sein
du site, etc.
Mais afin d‟être efficace, les organisations doivent s‟adapter au média Internet et
à ses caractéristiques. Ainsi, nous ne nous adressons plus à un segment, mais à
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Deuxième partie
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Deuxième partie
Pour résumer, d‟un point de vue marketing, nous pouvons constater que les
entreprises cherchent à adopter, au sein de leurs organisations, une démarche
relationnelle. Ainsi, l‟interaction entreprise/client revêt toute son importance et
devient, par ce fait, un réel enjeu stratégique. Aussi, face à ces deux tendances, il
n‟est pas surprenant de constater que des communautés virtuelles se soient
développées sur Internet. En effet, elles permettent à la fois de répondre aux
besoins des individus (volonté de se regrouper) et aux aspirations des entreprises
(volonté de se rapprocher de leur marché).
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Deuxième partie
On parle d'abus quand le temps passé dans le monde dit « virtuel » est plus élevé
que celui passé dans le monde réel et que cela interfère sur les obligations au
quotidien. Les conséquences aux niveaux scolaires ou professionnels, familiaux,
psychosociaux sont importantes. Lorsque l'individu perd tout contrôle sur son
comportement, on parle alors de dépendance.
Au niveau psychologique, deux risques émergent par rapports aux autres. Tout
d'abord, le rapport à la réalité peut être modifié : possibilité de confusion entre la
réalité et la fiction vécue à travers les jeux. Ensuite, le comportement solitaire du
jeu exclut une part de sociabilité, favorise l'isolement et le repli sur soi.
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Deuxième partie
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Deuxième partie
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Deuxième partie
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Deuxième partie
Une fois sur le site marchand, le consommateur est amené à évaluer l‟offre
commerciale selon ses besoins et les propositions de la concurrence. Les
processus d‟évaluation varient en fonction du type de comportement. Dans le
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Deuxième partie
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Deuxième partie
Dans les trois pays couverts par l‟étude, internet a pratiquement deux fois
plus d’influence auprès des consommateurs que la télévision.
Bien que de grandes tendances communes sont observées dans les trois pays
concernés, il existe des particularités nationales :
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Deuxième partie
consultent régulièrement des wikis tel que Wikipédia, contre 48% des
britanniques.
- enfin les britanniques s‟intéressent beaucoup aux médias sociaux. Près d‟un
tiers d‟entre eux possèdent un profil sur un site type Facebook.
Selon le BCG, les cinq principales raisons données par les Européens pour
consommer en ligne sont :
Les différents acteurs liés au numérique qui peuvent être les gouvernements, les
fournisseurs d‟infrastructures en passant par les détaillants et transporteurs
doivent réfléchir afin d‟adapter leurs business models et faire face à cette
économie qui monte.
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Deuxième partie
b) Au Maroc
Des sites e-commerce ont déjà vu le jour au Maroc, le plus grand succès pour le
moment est celui de MicroChoix, ce dernier a su convaincre et fidéliser une
clientèle bien avant la mise en place du paiement en ligne. le paiement se faisait
par chèque ou à la livraison.
Pour le moment, c'est cette confiance qui a du mal à s'installer, et les internautes
Marocains ont encore du mal à franchir le pas, bien que les sites e-commerce
proposent en général des produits moins cher, le fait de ne pas avoir un vendeur
en face, et de pouvoir toucher le produit rebute encore.
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Deuxième partie
Malgrès tout, c'est un marché en pleine expansion et qui ne doit pas être délaissé
dans notre pays, ce défaut de confiance été un obstacle pour tous les pays qui ont
adopté le commerce électronique avant le Maroc, mais il a été franchis grâce aux
efforts des e-commercant, et l'implication et le professionnalisme des banques et
assurances.
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CONCLUSION