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All content following this page was uploaded by Pierre Xavier Thivel on 06 January 2016.
Cette étude présente une application de méthodes outil de production. La méthodologie générale de
standards utilisées en milieu industriel sur une station conception d’un système diagnostic / maintenance s’ap-
d’épuration des eaux usées de papeterie (Norampac – plique donc aux matériels périphériques à la production
Avot Vallée, Pas-de-Calais, France). Une analyse fonc- telle que la station d’épuration, unité fonctionnelle
tionnelle de type interne et externe, une analyse de importante qu’il convient de ne pas oublier dans la clas-
Pareto et une analyse des modes de défaillance, de leur sification générale du matériel telle que l’a décrite
effet et de leur criticité (Amdec) ont été appliquées Monchy[1].
sur l’usine de dépollution. Elles ont permis d’établir une
L’amélioration de la fiabilité de la station d’épuration, et
liste des éléments critiques de la station (dégrilleur,
donc la maîtrise de la qualité des effluents qui en sont
convoyeur) conduisant à une non conformité des rejets
(sortie de station, boues) puis de proposer des amélio- issus, fait partie intégrante du travail du service de main-
rations sous la forme d’un plan de maintenance pré- tenance. Comme le proposent Toscanno et Lyonnet[2],
ventive. Enfin un indice de conformité des eaux en sor- la mise en place d’un plan de maintenance préventive
tie a été proposé pour pérenniser l’étude. s’appuie sur trois étapes :
- une analyse fonctionnelle de l’installation,
The installation under study is a water treatment - une analyse dysfonctionnnelle,
plant used by the paper industry (Norampac Avot- - une définition des actions préventives à mettre en
Vallée, Pas-de-Calais, France). The aim is to develop place.
an indicator which shows how well the installation is Il s’agit, à partir de données brutes et de terrain, d’ex-
functioning and to create preventive maintenance traire les informations nécessaires à la synthèse d’un
schemes. First, an external and internal functional système diagnostic et d’établir « les actions destinées à
analysis and a Pareto analysis will be used to specify maintenir un bien dans un état spécifié, pour accomplir
the critical points of the installation. Then a failure ana- une fonction requise »[3].
lysis will be completed using the FMEA method L’étude présentée ici concerne la mise en place d’un plan
(Failure Mode and Effects Analysis). This method will de maintenance préventive et d’un indicateur de bon
permit us to elaborate on the details of the mainte- fonctionnement sur la station d’épuration de la papeterie
nance plans. Finally, an indicator of the treatment « Norampac Avot-Vallée » et repose sur un travail plu-
plant’s efficiency will be proposed. This monthly com-
ridisciplinaire regroupant des compétences du génie des
puted indicator will link the treatment plant operation
procédés et de la maintenance. Les données utilisées
and the water output quality. It can be defined as a tar-
get to reach or as a low threshold. This work is a first pour réaliser ce travail nous ont été fournies par les ser-
step towards a more elaborate model which will allow vices maintenance et environnement. Il s’agit du suivi des
us to optimize the treatment plant efficiency. données physico-chimiques de l’effluent le long de la filiè-
re de traitement, de l’historique des pannes sur l’en-
semble de la station d’épuration ainsi que les plans de
INTRODUCTION l’installation et de certains gros équipements. La
démarche suivie utilise les outils classiques de la mainte-
Le renforcement des exigences réglementaires et le res- nance à savoir une analyse fonctionnelle de type externe
pect des normes de rejets (définies dans le cadre de l’ar- / interne, une analyse par diagramme de Pareto et une
rêté préfectoral ICPE DCVC-EIM-CP/GM n°99-195 de analyse des modes de défaillance, de leur effet et de leur
1999 en ce qui concerne l’usine étudiée ici) obligent les criticité (Amdec). L’objectif est d’améliorer la disponibi-
entreprises à entretenir et à maîtriser leur station de lité de la station d’épuration et donc d’améliorer la qua-
traitement des effluents de la même manière que leur lité des eaux rejetées dans le milieu naturel ou des eaux
recyclées vers le cycle de fabrication. Enfin, un indicateur lyse constitue le préalable à la mise en œuvre de la sûre-
de performance global de la station a été développé à té de fonctionnement et de l’analyse dysfonctionnelle.
l’image du taux de rendement synthétique (TRS) tradi- Son objectif est de déterminer et d’identifier clairement
tionnellement utilisé en production. le rôle des différents processus de la station d’épuration
ainsi que les interactions existant entre ceux-ci. Cette
MÉTHODOLOGIE ET OUTILS UTILISÉS démarche s’appuie sur des approches méthodiques
basées sur différents outils[5,6]. L’analyse fonctionnelle
L’étude a été découpée en plusieurs étapes :
effectuée est de type analyse fonctionnelle externe
- constitution d’un dossier technique regroupant les (Afe) / analyse fonctionnelle interne (Afi). L’Afe permet
données de terrain, d’obtenir une liste des fonctions précises de l’installation
- élaboration d’une analyse fonctionnelle et d’une analy- et des liens avec les éléments externes. L’Afi établit l’en-
se de Pareto, semble des fonctions de chaque équipement de l’instal-
- élaboration d’une analyse dysfonctionnelle à partir de lation et leurs interactions. Afin de compléter l’analyse
laquelle sera construit le plan de maintenance préventive. fonctionnelle et de cibler l’étude dysfonctionnelle, une
La première étape du travail consiste à rassembler l’en- analyse de Pareto[7] y a été associée. Basée sur le prin-
semble des documents nécessaires à l’élaboration du cipe des 80/20 (80 % des richesses sont détenues par
diagnostic/maintenance. La gestion de la documentation, 20 % des individus) l’analyse de Pareto permet sur un
du bon de livraison au plan constructeur en passant par ensemble de phénomènes observés (pannes) de faire
le mode d’utilisation des matériels, fait partie intégrante apparaître les principales causes d’un problème et de les
des tâches du service de maintenance[1]. Le dossier tech- hiérarchiser. Elle se met sous la forme d’un diagramme
nique a donc été réalisé en partenariat avec ce service. sur lequel apparaît le pourcentage de défaillances de
Ce dossier peut contenir le plan d’ensemble du procé- chaque équipement (classé par ordre décroissant)
dé étudié, les plans mécaniques des équipements, les représenté sous forme différentielle et cumulée.
plans électriques, l’ensemble des références des maté- Enfin dans un troisième et dernier temps, l’objectif de
riels, l’historique des interventions de maintenance cor- l’analyse dysfonctionnelle est de déterminer les points
rective. La masse d’information ainsi accumulée sert de faibles du procédé et dans la mesure du possible d’y
base à l’élaboration des analyses fonctionnelle et dys- remédier par la mise en place d’un plan de maintenance
fonctionnelle. préventive. La méthode choisie pour réaliser cette
Dans un deuxième temps, une analyse fonctionnelle du étude est l’analyse des modes de défaillances, de leur
système « station d’épuration » a été effectuée. Il s’agit effet et de leur criticité (Amdec)[8]. L’Amdec est une
d’une « démarche qui consiste à rechercher, ordonner, méthode structurée et systématique permettant de
caractériser, hiérarchiser et/ou valoriser les fonctions » détecter et d’évaluer les défaillances d’un système ou
attendues d’un processus par un utilisateur . Cette ana-
[4] d’un moyen de production à partir d’une hiérarchisation
des défaillances suivant
Tableau 1 : Cotation des critères de l’Amdec leur criticité (C). Celle-ci
F Fréquence G Gravité tient compte de la fré-
1 Très faible Probabilité d’apparition très faible 1 Sans Pas d’arrêt de ligne, quence d’apparition de la
(moins d’une fois tous les six ans) influence pas de non qualité défaillance (F), de la gravi-
2 Faible Probabilité d’apparition faible 2 Significatif Arrêt de ligne inférieur à 15 min, té de son effet (G) et de sa
(observé environ 1 à 2 fois Non qualité sans arrêt de ligne détectabilité (D) par
en six ans) simple calcul :
3 Moyenne Probabilité d’apparition moyenne 3 Grave Arrêt de ligne de 15 minutes C=F.G.D
(observé environ 1 fois l’an) à 8 heures,
Non qualité avec arrêt de ligne Chaque critère est codifié
(tableau n°1).
4 Elevée Probabilité d’apparition élevée 4 Très grave Arrêt de ligne supérieur
(observé plusieurs fois par an) à 8 heures,
La réalisation d’une
Non qualité non détectée Amdec repose sur une
sur la ligne connaissance précise du
D Détectabilité C Criticité C = F x G x D système et de son envi-
ronnement (rôle de l’ana-
1 Très aisée Signe avant-coureur 1 minimum
Alerte automatique lyse fonctionnelle) et du
retour d’expérience (his-
2 Moyenne Signe avant-coureur 8 Seuil de criticité à fixer
Pas d’alerte automatique
torique des pannes et des
interventions techniques).
3 Faible Signe avant-coureur 27 Seuil de criticité à fixer
Elle est ciblée sur la zone
difficilement décelable
et les éléments a priori les
4 Nulle Pas de signe avant-coureur 64 maximum plus critiques.
Dossier technique
Dans le cadre de cette étude, un lot de documents Traitement des eaux usées
regroupant le plan d’ensemble de la station, le synop- Boues mixtes
tique de traitement des effluents, un schéma d’ensemble
mécanique de la presse à boues, les cahiers de suivi jour- Traitement Sable et
nalier des interventions techniques a été constitué en des boues refus de
partenariat avec le service maintenance. À ce dossier dégrillage
technique, a été ajouté, afin de répondre aux objectifs
fixés (garder dans le temps une qualité des eaux Transport
conformes), le relevé quotidien des mesures physico-
chimiques effectuées le long de la filière de traitement
par le personnel de la station dans le cadre de l’auto- Épandage
surveillance.
La station d’épuration étudiée traite les eaux usées pro-
venant de l’usine de production de papier pour ondulé
écru ou blanc de Norampac-Avot Vallée située à
Blendecques dans le Pas-de-Calais (France). La figure 1 Boues Engrais Mise en Eaux
papetières : décharge épurées :
(construite sur le principe de l’arbre des procédés[9]) retour - rejet canal
montre que la station d’épuration a pour fonction de usine - retour usine
traiter les eaux usées de l’unité de production en vue Figure 1 : Entrées et sorties
d’obtenir : de la station d’épuration
- une eau épurée de qualité acceptable par le milieu
naturel,
- une eau épurée de qualité acceptable pour une réutili- 7 000 m3. L’aération et le brassage des effluents sont
sation en production, assurés par 6 turbines (55 kW chacune) et 2 agitateurs
- des boues de qualité acceptable pour une valorisation de fond (15 kW chacun). Le temps de séjour dans le
par épandage agricole, réacteur est de l’ordre de 30 h. Le clarificateur est de
- des boues papetières recyclées dans le procédé de type cylindro-conique. Il présente une surface de 707 m2
fabrication. pour une hauteur de 3,5 m. Le temps de séjour est d’en-
Les trois premiers points seront pris comme étant les viron 10 h. Le débit moyen journalier mesuré est de
fonctions principales de la station d’épuration, le dernier 5 682 m3/j pour le mois de septembre 2001. Le taux de
étant alors une fonction complémentaire de la station. recirculation est de l’ordre de 200 %. La figure 2 pro-
L’unité de traitement considérée est une filière de type pose une représentation schématique de l’installation de
classique comprenant une étape de traitement primaire traitement ainsi que les différentes boucles de recircula-
(dégrillage, dessablage, décantation), suivie d’une étape tion. La station a été découpée en quatre zones dis-
biologique (bassin à boues activées et clarificateur). Le tinctes pour établir l’analyse fonctionnelle (zone 1 : pré-
traitement biologique s’effectue dans un réacteur de traitement, zone 2 : décantation primaire, zone 3 : trai-
Eaux usées
ZONE 1
Relevage
Recyclage d’une partie des boues papetières en usine Retour
usine
ZONE 2 ZONE 3
Tableau 2 : Points de contrôle et données physico-chimiques sur l’année 2000 est de 13 ± 3 jours. L’âge
(septembre 2001) des boues représente leur temps de séjour
Points de contrôle Mesure Valeur moyenne dans l’étage biologique. Il est égal au rapport
entre la quantité de boues contenue dans le
Sortie fosse Débit 5 682 m3/j
de relevage bassin biologique et dans le clarificateur sur la
quantité de boues passée en presse quoti-
MES 6,732 kg/m3
diennement. Cette valeur élevée provient
Sortie dégrilleur Température 28 °C d’un dysfonctionnement du traitement des
Sortie décanteur Débit boues 1376 m3/j boues (multiples arrêts suite à des problèmes
primaire Débit effluent 4994 m3/j sur la toile d’égouttage et arrêt de 3 jours
MES effluent 0,252 kg/m3
DCO effluent 1,953 kg/m3 O2
suite à un problème d’alimentation en eau de
DBO5 effluent 0,763 kg/m3 O2 rinçage de la presse).
Bassin d’aération MES 6,39 kg/m3 Analyse fonctionnelle externe et
Volume après 112 mL interne
décantation 30’ (V30)
Âge des boues 187 j Cette analyse fonctionnelle a été réalisée
Matières volatiles 47 % d’abord sur l’ensemble du processus puis sur
O2 dissous 0,0032 kg/m3
chacune des quatre zones définies sur la figu-
Sortie clarificateur Niveau de lit de boues 25 % re 2.
Taux de recirculation 200 %
L’Afe et l’Afi globales sont représentées sur
des boues
MES dans la recirculation 10,627 kg/m3 les figures 3 et 4. Celles-ci font apparaître les
débit de boues en excès 306 m3/j (boues fonctions principales de l’installation (ex :
biologiques) épurer) ainsi que les flux entrants (ex : éner-
Canal de rejet Débit d’eau recyclée 2 837 m3/j gie électrique) ou sortants (ex : macro-
Débit d’eau rejetée 1 934 m3/j déchets) de l’installation.
MES 0,048 kg/m3
DCO 0,205 kg/m3 O2
Une description et une définition fonction-
DBO5 0,030 kg/m3 O2 nelle de chaque zone de traitement sont
Température 26,3 °C détaillées dans le tableau 3 qui fait également
pH 7,9 apparaître les différents sous-processus. La
P 0,0002 kg/m3
N 0,0011 kg/m3 figure 5, quant à elle, correspond à l’analyse
interne du processus de pré-traitement. À ce
Sortie du stockeur Débit (boues biologiques 526 m3/j
de boues et primaires) niveau d’analyse apparaissent les différents
Concentration 13,116 kg/m3 équipements constitutifs du processus
Sortie Siccité 28 %
(vannes, pompes, vis d’extraction…) dont les
références sont imposées par le service
tement biologique et clarification, zone 4 : traitement maintenance qui gère l’ensemble des matériels.
des boues). L’analyse fonctionnelle établie pour chaque zone permet
L’ensemble des interventions techniques curatives ou ainsi de connaître en détail chaque équipement, ses
préventives est consigné et enregistré au niveau de la fonctions et les matériels concernés (pompes,
station d’épuration et du service maintenance. Le vannes…).
registre de l’historique des pannes et des interventions Complétée par une analyse de Pareto basée sur la fiabi-
de 1999 à 2001 nous a été confié et nous a permis de lité, l’analyse fonctionnelle a permis de déterminer les
connaître l’ensemble des défaillances du système. Dans éléments critiques des différentes zones. La figure 6 pré-
un premier temps, seul l’historique de l’installation sur sente l’analyse Pareto obtenue pour la zone 1. Sur cette
l’année 2001 a été pris en compte. figure, il apparaît que 80 % des pannes sont dues au élé-
Par ailleurs, les données physico-chimiques disponibles ments S2020 (dégrilleur), Z2010 (convoyeur) et P1022
sur cette unité (débits, demande chimique en oxygène (pompe de relevage).
DCO, matières en suspension MES, demande biochi- L’Afe/Afi et l’analyse Pareto ont permis de mettre en
mique en oxygène DBO5, indice de Mohlmann IM, oxy- évidence les éléments critiques de chaque zone. Ainsi,
gène dissous O2) sont relevées ou mesurées périodi- ont été repérés par zone :
quement à différents points de contrôle. Les points de - zone 1 : dégrilleur S 2020 et convoyeur Z2010 (60 %
contrôle et les valeurs moyennes sur le mois de sep- des pannes), la pompe P1022 est un élément redondant,
tembre 2001 sont donnés dans le tableau 2. La produc- - zone 2 : pompes P 2070 et P 2080 (70 % des pannes),
tion de boues, pesée à la bascule, pour ce mois est de - zone 3 : réducteur et agitateur (83 % des pannes),
694 T. L’âge des boues indiqué dans ce tableau est - zone 4 : rouleaux du PressDeg, vérins du PressDeg,
important (187 jours) alors que la moyenne observée pompe P 4060, agitateur A 4010 (85 % des pannes).
Eaux Eaux
usées recyclées Boues
(usine) papetières
(usine)
Fp 3 Boues
Polymères traitées
de floculation Fc 10
Fc 4 Fp 2 (épandage)
Fc 1
Nutriments Fc 7 Macro-déchets
Station
d’épuration Fp 1
Fc 8
Fc 6
Air
Fc 2 Sable
Fc 9
Fc 3
Énergie
électrique Polystyrène
Fc 5
Eaux
Fluides Opérateur épurées
industriels
Eaux
usées Fp 1
Macro-déchets
Fc 7
Prétraiter
Fc 8
Fc 3
Énergie Fa Sable
électrique
Fc 9
Décanter
polystyrène
Fc 2
Fb Fc 12
Opérateur Fc 6 Boues Boues
Air Traiter Fc 11 Boues papetières papetières
biologiquement sortie Fc 10
Fc 1 Fc 14 (usine)
Fc 5 Fc Fc 11 clarificateur Fc 12
Nutriments
Fluides Clarifier Fc 11
industriels Traiter Fc 4 polymère
Fc 13 les boues de floculation
Fp 1
Vers l’ensemble
des processus Eaux Fp 2
épurées
Boues
Fp 3 traitées
Eaux (épandage)
recyclées
(usine)
Fonctions internes
Fa : Enlever de l’eau les éléments indésirables Fb : Enlever de l’eau les MES et les flottants Fc : Réduire biologiquement la pollution
Fc 11 : Gérer l’excès de boues biologiques Fc 12 : Gérer les boues papetières Fc 13 : Relever une partie de l’eau épurée
pour la presse
Fc 14 : Recirculer les eaux de filtration des boues
Tableau 5 : Extrait de l’arrêté préfectoral, normes de rejet une feuille de calcul Excel.
Concentration en kg/m3 Flux
Celle-ci permet, entre
Max journalier Moyen mensuel Max journalier Moyen mensuel Spécifique en autres, de visualiser auto-
kg/j kg/j moyenne mensuel matiquement par change-
kg/T
ment de couleur les
MES 0,080 0,075 280 224 0,7 valeurs non conformes et
DCO 0,350 0,320 1200 960 0,6 donc de calculer facilement
DBO5 0,075 0,060 240 192 3 le TQS. Ainsi sur la pério-
de durant laquelle a été
N global 0,030 0,030 75 50 -
faite une partie de ce tra-
vail (250 jours) une note
Tableau 6 : TQS année 2002 (%)
globale égale à 0 a été
janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre
observée pendant 50
87 89 73 83 87 63 84 87 87 90 93 74 jours, le TQS est alors de
Eaux
usées
Fc 3
Énergie
électrique Fp 1
S1020
F1 F4
Fc 2
Opérateur
P1021 P1022
F2 F5 P2030
Vers l’ensemble
des processus V1221 V1222 F9
Fc 8 Sable
F3 F6 X2050
V1601 V1602 F8 F 10
R2060
F7
F 11
Fc 7 F 13 F 12
Macro-déchets Z2010 S2020 P2060
Fa
Eaux
dégrillées
dessablées