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Lycée Avenue Tahar Sfar SECTION : 4 Sc Ex 1

Sousse

DEVOIR DE SYNTHESE N° 1 EPREUVE : MATHEMATIQUES
05 – 12 – 2008
Dga – Layouni DUREE : 2 heures  Coef. : 3

Ce sujet comporte 2 pages

EXERCICE 1 : (4 points)
Pour chaque question, une seule proposition est exacte. Indiquer sur la copie le numéro de la question et
la lettre correspondant à la réponse choisie. Aucune justification n’est demandée.
1) Soit f la fonction définie sur [1,4] par f(x)= x2+4x ; Cf sa courbe représentative dans un
repère orthonormé (O,Åi ,Åj ) et A et B deux points de Cf d’abscisse respectives 1 et 4
Le point M où la tangente à Cf en M est parallèle à la droite (AB) est :
5 33
a) M( , ) b) O(0,0) c) M(2, 4)
2 4
2) Soit dans Ê, l’équation (E) : z2 (1+5i)z+10i=0. On désigne par z1 et z2 les racines de (E)
a) z1 =1 et z2 =10i b) z1 + z2 = 1 5i c) z1z2=10i

3) La forme exponentielle de 1+ei2 avec ]0, [ est :


2
a) 2cos ei b) 2cos ei c) 2isin ei
4) Si (un) est une suite strictement croissante alors:
a) (un) converge b) (u n) converge ou lim un=+õ c) (un) converge et lim un=+õ
n n

5) (un), (vn) et (wn) sont trois suites définies sur É et telles que un ≤vn ≤wn pour tout n É
On suppose de plus que lim vn= õ alors :
n

a) lim un = õ b) lim wn =+õ c) lim wn = õ


n n n

EXERCICE 2 : (6 points)
1) Résoudre dans Ê l'équation : z²+ 3z+1=0.

2) Soit P(z)=z3+( 3 i)z²+(1 i 3)z-i.


a) Montrer que l’équation P(z)=0 admet une solution imaginaire z0 dans Ê .
b) Déterminer les réels a et b tel que : P(z)=(z-i)(z²+az+b).
3) a) Résoudre dans Ê l’équation P(z)=0
b) En déduire les solutions de P(z)=0 sous forme exponentielle.
4) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé (O,Å u ,Å
v ), on considère le point A
i 3
d'affixe zA=i , le point B d'affixe zB = et C le point d'affixe zC , le symétrique de B par
2
rapport à l'axe des abscisses. Déterminer la nature du triangle ABC

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EXERCICE 2 : (6 points)
On considère l’équation (E) : 2z2 4z +(3 i 3 )=0 .
1) Calculer (2+2 3i)2
2)a) Résoudre dans  l’équation (E)
b) Ecrire les solutions sous forme exponentielle.
3) Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O,Å
u ,Å
v ), on considère les points
1 i 3 3+i 3
A et C d’affixes respectives = et β =
2 2
a) Montrer que OAC est un triangle rectangle.
b) Déterminer l’affixe du point B tel que OABC soit un rectangle.
4) Soit l’équation (E ) : z² 2z 2i sin eiθ = 0 ; avec ]0, [.
a) Montrer que : 2i sinθ e =e
iθ 2iθ
1
b) Résoudre dans Ê l’équation (E ) .On désignera par z la solution ayant une partie
imaginaire négative et par z" l’autre solution.
c) Déterminer pour que l’on ait z = et z" =

EXERCICE 2 : (5 points)
u0 3 v0 4
On considère les deux suites (un) et (vn) définies, sur É, par : un vn et un 1 vn
un 1 vn 1
2 2
1) Calculer u1, v1, u2 et v2.
2) Soit la suite (wn) définie, pour tout entier naturel n, par : wn=vn un
1
a) Montrer que la suite (wn) est une suite géométrique de raison .
4
b) Exprimer wn en fonction de n et préciser la limite de la suite (wn).
3) Montrer que les suites (un) et (vn) sont adjacentes.
un 2vn
4) On considère la suite (t n) définie sur É, par : tn
3
a) Montrer que la suite (tn) est constante.
b) En déduire la limite des suites (un) et (vn).

EXERCICE 2 : (6 points)
1) Résoudre dans Ê l'équation : z² 2z+2=0.
2) Pour tout z Ê , on pose P(z ) = z3 (2+i)z2 + 2(1 + i )z 2i .
a) Démontrer que l’équation P (z ) = 0 admet dans Ê une solution imaginaire z0.
b) Déterminer les réels b et c tels que, P (z ) = (z – i )(z2 + bz + c).
c) Résoudre dans Ê l’équation P (z ) = 0 .
3) Soit l’équation (E ) :z² 2(1–cos )z + 2(1 cos ) = 0 ; avec ]0, [ .
a) Résoudre dans Ê l’équation (E ) pour tout ]0, [.
b) Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé direct (O,Åi ,Åj ). On considère Les
points A, B et C du plan d’affixes respectives ZA = i, ZB =1–e i et ZC=1 ei
Déterminer les réels pour que ABCO soit un parallélogramme.

EXERCICE 2 : (5 points)
u0 1 v0 2
On considère les deux suites (un) et (vn) définies, sur É, par : un vn et un 1 vn
un 1 vn 1
2 2
1) Soit la suite (wn) définie, pour tout entier naturel n, par : wn=vn un
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a) Montrer que la suite (wn) est une suite géométrique de raison .
4
b) Exprimer wn en fonction de n et préciser la limite de la suite (w n).
3) Montrer que les suites (un) et (vn) sont adjacentes et quelle convergent vers la même limite L
n
4) On considère à présent la suite (Sn) définie sur É, par : Sn wk
k 0
a) Exprimer Sn en fonction de n.
n
b) Exprimer (uk 1 uk ) en fonction de Sn puis en fonction de un et u0.
k 0
c) En déduire un en fonction de n. En déduire la valeur de L

EXERCICE 2 : (5 points)
Soit m un réel non nul
1) Résoudre dans Ê l’équation (E) : z2 2iz (1+m2)=0
2) Pour tout z  , on pose P(z)= z3–3iz2 (3+m2)z+i(1+m2).
a) Vérifier que P(i)=0.
b) Déterminer les nombres complexes a, b et c tels que P(z)=(z i)(az2+bz+c).
c) Résoudre dans Ê l’équation P(z)=0

3) Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O,Å


u,Å
v ), on considère les points A, M’ et M’’
d’affixes respectives i ; i+m et i m.
a) Vérifier que A est le milieu de [M’M’’]
b) Montrer que le triangle OM’M’’ est isocèle
c) Déterminer les valeurs de m pour que le triangle OM’M’’ soit équilatérale.
EXERCICE 2 : (5 points)
Soit m un réel non nul
1) Résoudre dans Ê l’équation (E) : z2+2z+(1+m2)=0
2) Pour tout z Ê, on pose P(z)= z3+2(1 i)z2+(1+m2 4i)z 2i(1+m2)=0.
a) Vérifier que 2i est une racine de l’équation P(z)=0.
b) Déterminer les nombres complexes b et c tels que P(z)=(z 2i)(z2+bz+c).
c) Résoudre dans Ê l’équation P(z)=0

3) Dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct (O,Å


u,Å
v ), on considère les points A, B, M’ et
M’’ d’affixes respectives 2i ; 2 2i ; 1 im et 1+im.
a) Montrer que AM’BM’’ est un parallélogramme
c) Déterminer m pour que AMB’M’’ soit un rectangle.

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