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2016-‐17 1/10
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MIT
:
ITEM
152
Infections
cutanéomuqueuses
bactériennes
et
mycosiques
o Surface
cutanée
sépare
notre
organisme
du
milieu
extérieur,
portage
constant
et
o Prélèvement
bactériologique
n’est
pas
obligatoire.
Indications
:
physiologique
de
micro-‐organismes
• Études
épidémiologiques.
o Protection
naturelle
contre
l’agression
des
micro-‐organismes
pathogènes
:
• Échecs
de
traitement.
• Protection
mécanique
o
!!!
En
l’absence
d’une
dermatose
préexistante
suspecter
une
gale
ou
une
• Protection
chimique
pédiculose.
• Protection
biologique
o Survenue
d’une
infection
bactérienne
conséquence
d’une
altération
d’un
ou
Formes
cliniques
plusieurs
de
ces
mécanismes
de
défense
o Ecthyma
:
impétigo
creusant
réalisant
une
ulcération
profonde
dans
le
derme
due
I.
INFECTIONS
CUTANEOMUQUEUSES
BACTERIENNES-‐ au
Streptocoque
β
hémolytique
du
groupe
A.
IMPETIGO
• Diabétiques
++
ou
éthyliques.
• Atteint
les
membres
inférieurs.
• Cicatrice
séquellaire.
Physiopathologie
o Impétiginisation
:
caractérise
l’évolution
en
impétigo
d’une
dermatose
préexistante
(eczéma,
varicelle)
ou
secondaire
au
grattage
(pédiculose,
gale).
o Impétigo
infection
de
la
couche
cornée
de
l’épiderme
du
à
Staphylococcus
aureus
o Forme
étendue
:
ou
à
Streptococcus
pyogènes
ou
à
l’association
des
deux.
• <2%
de
la
surfance
corporelle
o 70%
des
impétigos
en
France
sont
dus
à
S.aureus,
alors
que
dans
les
pays
en
voie
• ≤5
sites
lésionnels
de
développement
Streptococcus
pyogenes
est
prédominant.
o Fréquent
chez
les
enfants,
plus
particulièrement
en
milieu
défavorisé.
o Contagieux
avec
possibilité
d’auto-‐inoculation
et
petites
épidémies
familiales
ou
de
Examens
complémentaires
collectivités.
o Impétigo
bulleux
staphylococcique
liée
à
la
production
locale
par
S.aureus
de
Aucun
examen
complémentaire
indispensable
toxines
dites
exfoliatines
A
et
B.
Complications
Clinique
o Contagion
++
o Diagnostic
clinique
o Complications
exceptionnelles
:
• Impétigo
staphylococcique
:
la
lésion
élémentaire
est
une
bulle
fragile.
• Locales
:
• La
bulle
se
trouble,
devient
pustule
ou
se
rompt
pour
laisser
place
à
une
§ Abcès
sous
cutanés.
érosion
suintante
ou
recouverte
de
croutes
jaunâtres
mélicériques.
§ Lymphangites.
• Placards
polycycliques.
• Glomérulonéphrite
post-‐streptococcique.
• Coexistance
de
lésions
d’âge
différent.
§ Contrôle
de
la
protéinurie
à
3
semaines
de
l’épisode
infectieux
• Localisation
classique
chez
l’enfant
:
pourtour
de
la
bouche
(péri-‐anal/péri-‐ • Rhumatisme
articulaire
aigu.
génital
chez
le
nourrisson).
• Syndrome
toxinique
:
épidermolyse
staphylococcique
(érythème
diffus,
o État
général
conservé,
apyrexie,
parfois
adénopathie
satellite.
décollement,
signe
de
Nikolski
+)
o Pas
de
cicatrice.
2016-‐17 2/10
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MIT
:
ITEM
152
Infections
cutanéomuqueuses
bactériennes
et
mycosiques
Traitement
Clinique
o Si
formes
peu
étendues
:
o Folliculite
superficielle
:
• Traitement
local
suffisant,
antiseptique
locaux
et
antibiotiques
topiques
• Infection
de
la
partie
superficielle
du
follicule
pilosébacé.
3x/jour
pendant
5
jours
(acide
fusidique,
mupirocine).
• Pustule
centrée
par
un
poil,
associée
à
un
érythème
péri-‐folliculaire.
o Si
formes
étendues
ou
lésions
multiples
• Localisation
:
• Antibiothérapie
systémique
active
contre
Staphylococcus
aureus
et/ou
le
§ Régions
pileuses
des
cuisses,
périnée,
bras,
dos
streptocoqueβ
hémolytique
du
groupe
A
§ Paupière
=
orgelet.
• Amoxicilline-‐acide
clavulanique
7
jours.
§ Sycosis
:
poils
durs
(barbe
et
pubis).
• Pristinamycine
si
allergie.
• Pas
de
cicatrice
o Renforcer
les
mesures
d’hygiène
personnelle
:
• Apyrexie
• Douche
quotidienne.
o Furoncle
:
• Ongles
coupés
courts.
• Folliculite
profonde
et
nécrosante
avec
atteinte
du
follicule
pilosébacée
• Lavage
des
mains.
dans
sa
totalité.
o Éviction
scolaire
indiquée
jusqu’à
guérison
complète.
• Papule
ou
nodule
inflammatoire
douloureux
centrés
par
une
pustule
sur
o Dépistage
des
contacts.
une
zone
pileuse.
o Traitement
étiologique
d’une
dermatose
prurigineuse
sous
jacente.
• Après
quelques
jours
zone
nécrotique
au
centre
:
bourbillon.
o Contrôle
de
la
BU
3
semaines
après
l’épisode
infectieux.
• Cicatrice
séquellaire.
• Apyrexie.
II
INFECTIONS
CUTANEOMUQUEUSES
BACTERIENNES-‐ • Du
au
S.aureus
qui
à
la
particularité
de
produire
éventuellement
une
toxine,
la
leucocidine
de
Panton-‐Valentine.
FOLLICULITES,
FURONCLES
ET
AUTRES
INFECTIONS
CUTANEES
STAPHYLOCOCCIQUES
Examens
complémentaires
FOLLICULITES
Aucun
examen
complémentaire
indispensable
o Recherche
de
portage
au
niveau
nasal,
pharyngé,
périnée,
aisselles,
anus
si
Physiopathologie
furonculose.
• Antibiogramme
pour
rechercher
la
toxine
PVL
o Staphylococcus
aureus
est
responsable
de
la
majorité
des
folliculites.
o Infection
du
follicule
pilo-‐sébacé.
Complications
o Facteurs
favorisants
:
• Macération/mauvaise
hygiène.
o Le
furoncle
peut
évoluer
vers
des
complications
locales
et
locorégionales
:
• Frottements.
• Anthrax
résulte
d’un
conglomérat
de
plusieurs
furoncles
• Rasage.
• furonculose⇔répétition
de
furoncles
sur
plusieurs
mois
• Corticothérapie.
• Abcès
primitif
• Lymphangite
2016-‐17 3/10
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MIT
:
ITEM
152
Infections
cutanéomuqueuses
bactériennes
et
mycosiques
o Complications
systémiques
:
bactériémie,
localisations
secondaires
(endocardites,
o En
cas
de
furonculose
:
en
plus
des
mesures
précédentes,
le
traitement
doit
infections
ostéo-‐articulaires)
comporter
la
désinfection
des
principaux
gites
de
portage
:
o Staphylococcie
maligne
de
la
face
:
• Douche
antiseptique
quotidienne.
• Placard
extensif
du
visage
+
fièvre
+
frissons
• Pommade
antibiotique
x
2/jour
(mupirocine)
dans
les
vestibules
nasaux.
• Complication
grave,
très
rare
actuellement
grâce
aux
antibiotiques.
• Secondaire
à
un
furoncle
de
la
face,
résulte
d’une
thrombophlébite
septique
des
veines
de
la
région
centrofaciale.
AUTRES
INFECTIONS
CUTANEES
STAPHYLOCOCCIQUES
• Complication
majeure
est
la
thrombophlébite
du
sinus
caverneux.
Formes
cliniques
Diagnostics
différentiels
o Panaris
:
infection
du
repli
unguéal,
repli
unguéal
inflammatoire
et
douloureux
et
o Autres
folliculites
:
dermatophytes,
folliculite
candidosique,
pityrosporique
ou
à
augmenté
de
volume.
Le
traitement
est
l’incision
et
le
drainage
et
les
antiseptiques
BGN
locaux.
Un
antibiotique
systémique
peut
être
associé.
o Folliculites
non
infectieuses
:
maladie
de
Behçet,
maladie
de
Crohn
o Abcès
:
=
collection
de
pus.
Nodule
ou
plaque
inflammatoire
érythémateuse
très
o Hidradénite
suppurée
(maladie
de
Verneuil)
douloureuse,
fièvre
rare,
état
général
conservé,
adénopathies
et
lymphangite
o Sur
le
visage,
kyste
épidermique
inflammatoire
ou
surinfecté
parfois
associées.
S
aureus
est
l’agent
infectieux
le
plus
souvent
isolé,
émergence
mondiale
de
SARM.
Traitement
d’abord
chirurgical
avec
drainage
de
l’abcès.
Une
antibiothérapie
complémentaire
est
recommandée
en
cas
de
:
Traitement
• Localisations
«
critiques
»
(visage)
• Immunodépression
o Dans
tous
les
cas
:
mesures
d’hygiène
générales
:
• Volume
important
de
l’abcès
>
5cm
• Lavages
des
mains
fréquents
avec
des
antiseptiques.
• Échec
du
drainage
• Éviter
la
manipulation
du
furoncle.
• Âges
extrêmes
• Soins
antiseptiques
locaux
pluriquotidiens.
• Présence
de
signes
généraux
• Éviter
sous-‐vêtements
synthétiques.
o Lymphangite
est
due
au
S.aureus
ou
au
Streptococcus
pyogenes,
cliniquement
• Sycosis
:
trainée
linéaire
inflammatoire
érythémateuse
qui
part
de
l’origine
de
l’infection
et
§ Mousse
à
raser
antiseptique.
se
dirige
vers
le
relais
ganglionnaire
locorégional,
adénopathies
satellites
et
fièvre,
§ Rasoirs
jetables.
état
général
conservé.
Traitement
repose
sur
l’antibiothérapie
systémique
§ Espacer
le
rasage.
o Thrombophlébite
septique
superficielle
o Pour
les
furoncles
:
• S
aureus
a
un
caractère
thrombogène
très
important.
• Pansements
imbibés
d’alcool
à
70°.
• Cliniquement
cordon
inflammatoire,
induré
à
la
palpation
qui
débute
au
site
• Pénicilline
du
groupe
M
durée
de
traitement
de
10
jours
infecté
(site
de
la
perfusion+++).
• Antibiothérapie
réservée
aux
terrains
avec
comorbidités,
aux
formes
• Traitement
repose
sur
l’antibiothérapie
et
l’élimination
de
la
porte
d’entrée
exposant
à
une
complication,
telle
que
le
furoncle
de
la
face
qui
expose
à
la
o Cellulite
ou
dermohypodermite
bactérienne
:
plaque
inflammatoire
staphylococcie
maligne
de
la
face
:
érythémateuse
et
douloureuse
associée
à
un
œdème
local
et
de
la
fièvre.
§ Amoxicilline-‐acide
clavulanique
7
jours.
§ Pristinamycine
si
allergie.
2016-‐17 4/10
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:
ITEM
152
Infections
cutanéomuqueuses
bactériennes
et
mycosiques
III.
INFECTIONS
CUTANEOMUQUEUSES
BACTERIENNES-‐ • Membres
supérieurs
si
antécédent
de
curage
ganglionnaire
surtout.
• Thorax
si
antécédent
de
thoracotomie.
ERYSIPELE
(DERMO-‐HYPERDERMITE
BACTERIENNE)
o Fièvre
entre
38°
et
40°
avec
frissons.
o Placard
cutané
inflammatoire
bien
circonscrit
et
œdémateux,
douloureux.
Evolution
o Pas
de
nécrose,
pas
de
crépitation,
pas
de
choc,
ni
hypoesthésie.
o Adénopathies
inflammatoires
régionales
fréquentes,
parfois
trainée
de
o Guérison
obtenue
en
une
dizaine
de
jours
sous
antibiothérapie.
lymphangite.
o Risque
évolutif
principal
est
la
récidive
favorisée
par
une
une
insuffisance
veineuse
o Recherche
de
la
porte
d’entrée
locorégionale,
le
plus
souvent
une
fissuration
inter
ou
lymphatique
chronique
ou
la
persistance
d’une
porte
d’entrée
et
le
surpoids.
orteil
mécanique
ou
d’origine
mycosique.
o Principal
facteur
favorisant
local
lymphœdème
chronique.
o Terrain
:
Epidémiologie
• Lymphoedème.
• Insuffisance
veineuse.
o Concerne
surtout
l’adulte
après
40
ans,
rare
chez
l’enfant.
• Obésité.
o Topographie
concerne
surtout
les
jambes.
Facteurs
de
risque
:
o Obésité.
Examens
complémentaires
o Insuffisance
veineuse.
o Lymphoedème.
o En
absence
de
signe
de
gravité
aucun
examen
complémentaire
indispensable
o Antécédent
d’érysipèle.
o Positif
o Porte
d’entrée.
• Hyperleucocytose
souvent
marquée
>
12000
avec
polynucléose
neutrophile
• Syndrome
inflammatoire
biologique
net,
CRP
souvent
>
150
Physiopathologie
• Examens
bactériologiques
peu
contributifs
(hémocultures
positives
<
10%
des
cas)
o Dermohypodermite
bactérienne
aigue
non
nécrosante
liée
le
plus
souvent
à
un
o Différentiel
streptocoque
β
hémolytique
du
groupe
B,
C
ou
G.
• Réalisation
d’un
écho
doppler
n’est
pas
systématique
sauf
si
on
suspecte
o Sensibilité
à
la
pénicilline
est
de
100%.
une
phlébite
profonde
o Symptomatologie
inflammatoire
bruyante
liée
à
un
superantigène.
Complications
Clinique
o En
l’absence
d’amélioration
:
o Diagnostic
clinique.
• Abcès
sous
cutané.
o Dans
la
forme
habituelle
érysipèle
siège
au
membre
inférieur,
tableau
de
«
grosse
• Forme
nécrosante
évoluant
à
bas
bruit.
jambe
rouge
aigue
fébrile
»
unilatérale.
o Mortalité
<
1%
o Bourrelet
périphérique
au
visage
++.
o Localisations
:
Diagnostics
différentiels
• Membres
inférieurs
90%.
• Visage
5-‐10%.
o Phlébite
surale.
2016-‐17
5/10
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:
ITEM
152
Infections
cutanéomuqueuses
bactériennes
et
mycosiques
§ Évolution
chronique,
parsemée
de
poussées
intermittentes.
• D’une
atteinte
phanérienne
associée.
§ Diagnostic
différentiel
:
périonyxis
bactérien
(staphylococuqe
doré,
• Du
risque
d’effets
secondaires
et
d’interactions
médicamenteuses.
streptocoque),
dermatophytes.
• Du
cout.
o Infections
cutanées
à
Malessezia
furfur
:
o Antifongiques
locaux
:
• Pityriasis
versicolor
:
• Molécules
:
imidazolés,
pyridones,
allylamines.
§ Macules
individualisées
puis
confluentes,
rosées
puis
chamois.
o Antifongiques
généraux
:
§ Achromiques
après
exposition
solaire.
• Fluconazole,
polyènes,
terbinafine,
amphotéricine
B.
§ Pas
de
prurit.
• 3
semaines.
§ Diagnostic
:
«
scotch
test
cutané
»
et
examen
microscopique.
V.
INFECTIONS
A
DERMATOPHYTES
Examens
complémentaires
Physiopathologie
Pas
toujours
pratiqué
en
routine
car
la
présentation
clinique
est
souvent
évidente,
en
raison
de
l’efficacité
du
traitement
d’épreuve
antifongique
local
o Positif
o Champignons
filamenteux.
o Trois
genres
de
dermatophytes
:
• Indications
:
§ Atypie
clinique
ou
doute
diagnostique
• Macrosporum
sp.
§ Lésions
récidivantes
• Epidermophyton
sp.
§ Résistance
à
un
traitement
adapté
• Trychophyton
sp.
• Prélèvement
des
lésions
cutanéo-‐muqueuses
se
fait
à
l’écouvillon,
o 3
types
de
reservoir
:
prélèvement
de
l’ongle
se
fait
par
un
découpage
d’un
fragment
de
tablette
• Tellurique.
• Examen
direct
recherche
des
levures
bourgeonnantes
et
la
présence
de
• Humain.
pseudo-‐filaments
• Animal.
• Culture
sur
milieu
de
Sabouraud
permet
le
développement
des
colonies
en
48
heures
Clinique
o Si
infection
profonde
:
sérologie
VIH.
o Absence
d’atteinte
muqueuse.
Traitement
o Recherche
de
cas
dans
l’entourage.
o Intertrigo
des
petits
plis
:
o Traitement
des
facteurs
favorisants,
traitement
simultané
de
tous
les
foyers.
• Porte
d’entrée
des
érysipèles.
• Savon
alcalin
si
vulvo-‐vaginite.
• Facteurs
favorisants
:
macération,
chaussures
synthétiques.
o Traitement
local,
parfois
associé
à
un
traitement
général
en
cas
d’atteinte
• Fissuration
+/-‐
prurit
étendue,
inaccessible
à
un
traitement
local
simple,
associé
à
un
contexte
de
déficit
• Pli
interdigital
au
niveau
des
pieds.
immunitaire.
o Intertrigo
des
grands
plis
:
o Choix
des
antifongiques
tient
compte
:
• Fond
sec.
• De
la
localisation
et
de
l’étendue
des
lésions.
• Extension
à
distance
du
pli.
• Du
terrain.
• Bords
polycycliques.
2016-‐17 8/10
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mémento
o
o
o
o
o
o
o
o
o
o
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