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Windows et Linux.
Sommaire
[masquer]
#
# See slapd.conf(5) for details on configuration options.
# This file should NOT be world readable.
#
include /etc/openldap/schema/core.schema
include /etc/openldap/schema/cosine.schema
include /etc/openldap/schema/inetorgperson.schema
include /etc/openldap/schema/nis.schema
include /etc/openldap/schema/samba.schema
On intègre les schémas samba et automount en plus des schémas par défaut.
pidfile /var/run/openldap/slapd.pid
argsfile /var/run/openldap/slapd.args
TLSCACertificateFile /etc/pki/tls/certs/ca-bundle.crt
TLSCertificateFile /etc/pki/tls/certs/slapd.pem
TLSCertificateKeyFile /etc/pki/tls/certs/slapd.pem
access to dn.children="ou=Users,dc=exemple,dc=com" \
attrs=userPassword,shadowLastChange,sambaLMPassword,sambaNTPassword,sambaPw
dLastSet
by anonymous auth
by * none
access to dn.children="ou=Admins,dc=exemple,dc=com" \
attrs=userPassword,shadowLastChange,sambaLMPassword,sambaNTPassword,sambaPw
dLastSet
by anonymous auth
by * none
access to dn.children="ou=Computers,dc=exemple,dc=com" \
attrs=userPassword,shadowLastChange,sambaLMPassword,sambaNTPassword,sambaPw
dLastSet
by anonymous auth
by * none
access to *
by self write
by * read
On met en place des restrictions d'accès sur certains attributs de manière à ce
que seuls les administrateurs LDAP et le titulaire de la fiche puissent écrire les
attributs sensibles, et on bloque l'accès aux autres utilisateurs sur ces champs.
L'accès à toutes les autres données de l'annuaire peut donc se faire de manière
anonyme.(On peut sécuriser ça en venant forcer l'authentification des utilisateurs
pour lire il suffit pour cela de remplacer :
by * read
par
by users read
by anonymous auth
#######################################################################
# ldbm and/or bdb database definitions
#######################################################################
database bdb
suffix "dc=exemple,dc=com"
rootdn "cn=Manager,dc=exemple,dc=com"
rootpw secret
Il faut ensuite venir créer la racine de l'annuaire, ça peut être fait simplement à
l'aide de la commande smbldap-populate contenue dans les smbldap-tools. Il est
aussi possible de le faire à la main avec un fichier ldif de ce type :
dn: dc=exemple,dc=com
objectclass: top
objectclass: dcObject
objectclass: organization
o: exemple
dc: exemple
description: Racine de l'annuaire
2 Configuration de samba
La configuration de Samba se fait dans le fichier /etc/samba/smb.conf
[global]
workgroup = EXEMPLE
netbios name = SRV
hosts allow = 192.168. 127.0.0
log file = /var/log/samba/access.log
log level = 1
max log size = 10
security = user
encrypt passwords = true
socket options = TCP_NODELAY SO_RCVBUF=8192 SO_SNDBUF=8192
dns proxy = no
domain logons = Yes
domain master = Yes
preferred master = Yes
os level = 66
local master = Yes
wins support = Yes
guest account = nobody
printing = cups
printcap name = cups
oplocks = No
level2 oplocks = No
kernel oplocks = No
;option LDAP
passdb backend = ldapsam:ldap://127.0.0.1
ldap suffix = dc=exemple,dc=com
ldap machine suffix = ou=Machines
ldap user suffix = ou=Users
ldap group suffix = ou=Group
ldap admin dn = "cn=Manager,dc=exemple,dc=com"
# Table d'encodage des caractères (je fixe sur celui-là pour avoir le même
que sous windows)
Unix Charset = ISO8859-15
#SMBLDAP-TOOLS
[netlogon]
comment = Network Logon Service
path = /home/netlogon
guest ok = yes
writable = no
share modes = no
browseable = no
[profiles]
path = /srv/profiles
browseable = no
guest ok = yes
Adresse du serveur LDAP, on peut facilement en mettre plusieurs sur cette ligne
pour faire une tolérance de panne
Ce sont les chemins de recherche dans la base LDAP pour les différents
éléments.
Le DN du Manager, l'utilisateur qui aura les pleins pouvoirs sur la base LDAP
ldap passwd sync fait en sorte que les mots de passe Windows et Linux soient
toujours identiques.
Chemin pour les profiles itinérants Windows %L est le LogonServer et %U le nom
de l'utilisateur.
smbpasswd -W
dn: uid=user1,ou=Users,dc=example,dc=com
cn: user1
objectClass: top
objectClass: account
objectClass: posixAccount
objectClass: shadowAccount
uid: user1
userPassword:: eMNoen1gVuZerulrbsFdre9PVAJRSIROSL3sS4LESS09
uidNumber: 1000
gidNumber: 1000
homeDirectory: /home/ldap/user1
loginShell: /bin/bash
L'utilitaire devrait vous demander un mot de passe entrez celui que vous avez
mis comme rootpw dans votre fichier slapd.conf (ben oui on a mis le rootdn dans
la commande).
Et voilà vous venez de rajouter un utilisateur dans votre annuaire vous devriez
pouvoir faire su – user1 maintenant sur n'importe quel client bien configuré.
3.2.1 Configuration
Le fichier smbldap_bind.conf contient les informations de connexion qu'utiliseront
les smbldap-tools donc de toute évidence il faut mettre ici un compte utilisateur
qui a le droit de créer des entrées diverses dans la base LDAP, pour le moment
nous mettrons le Manager, celui qui a tous les droits.
/etc/smbldap/smbldap_bind.conf :
slaveDN="cn=Manager,dc=exemple,dc=com"
slavePw="secret"
masterDN="cn=Manager,dc=exemple,dc=com"
masterPw="secret"
Le fichier smbldap.conf, contient toute la configuration des tools à
proprement parler, séparé en trois grandes parties :
La configuration du domaine et l'accès au LDAP :
# Le nom du domaine, s'il est non défini la valeur sera celle de samba
sambaDomain="EXEMPLE"
3.2.2 Utilisation
smbldap-useradd : le premier utilitaire et surement un des plus utilisé qui permet
de venir ajouter des utilisateurs simplement dans la base LDAP avec les attributs
POSIX et/ou SAMBA.
Vous pouvez constater que l'on retrouve le module pam_ldap.so dans les 4
sections.
host ldap1.example.com
base dc=example,dc=com
ldap_version 3
port 389
scope one
pam_filter objectclass=posixaccount
pam_login_attribute uid
pam_member_attribute gid
pam_password crypt
nss_base_passwd ou=Users,dc=example,dc=com
nss_base_shadow ou=Users,dc=example,dc=com
nss_base_group ou=Group,dc=example,dc=com
bind_policy soft
Dans ce fichier il faudra modifier la ligne scope one par scope sub si l'on utilise
des sous-OU.
BASE dc=example,dc=com
URI ldap://ldap1.example.com/
L'attribut files en début de ligne spécifie qu'il doit d'abord chercher dans les
fichiers en local et venir compléter ses informations avec LDAP. Nous pouvons
aussi voir les autres lignes et ajouter LDAP à certaines suivant les informations
que nous voulons dans notre annuaire.
smbldap-useradd -w NomOrdinateur$
Le nom du compte
Vous pouvez écrire le nom du compte avec ou sans le $ à la fin mais je vous conseille de
prendre l'habitude de le mettre afin de bien garder en tête que tout ce qui finit par $ est un
ordinateur Windows. Si vous ne le mettez pas smbldap-useradd le fera pour vous.
5.2 Ajout de l'ordinateur Windows dans le domaine
De ce coté-là aussi ça donne dans la simplicité, si tout a été bien configuré cette
étape devrait se faire en moins de 5 minutes.
L'option qui nous intéresse est un peu cachée, il faut aller dans :
Panneau de configuration
Système
Onglet nom de l'ordinateur
Modifier
Une fois dans cette petite boîte de dialogue tout est relativement facile, en haut
vous trouverez une case contenant le nom actuel de l'ordinateur et en bas deux
cases avec un bouton radio pour activer l'une ou l'autre. Il faut activer la case
« Domaine » et dedans vous viendrez saisir le nom que vous avec donné à votre
domaine dans la configuration de Samba ( ici EXEMPLE ).
Windows vous demandera alors de saisir des informations d'identification veillez
à bien saisir un nom d'utilisateur et un mot de passe ayant les droits
administrateurs sur le domaine.
Une fois que Windows vous aura confirmé l'entrée dans le domaine il vous
restera seulement à redémarrer, une fois arrivé sur la boite d'ouverture de
session Windows vous pourrez constater la présence d'une liste de choix en bas,
sélectionnez le nom du domaine et entrez les informations d'identification d'un
utilisateur du domaine.
Vous voilà maintenant avec une station qui peux utiliser les différents comptes
utilisateurs de votre base LDAP.
dn: uid=root,ou=Admins,dc=example,dc=com
cn: root
objectClass: top
objectClass: account
objectClass: posixAccount
objectClass: shadowAccount
uid: root
uidNumber: 0
gidNumber: 0
userPassword:: eMNoen1gVuZerulrbsFdre9PVAJRSIROSL3sS4LESS09
homeDirectory: /root
loginShell: /bin/bash
N'oubliez pas de changer le mot de passe avant l'insertion dans l'annuaire. Cela
ne fonctionne bien évidemment que s'il n'a pas été spécifié d'uid minimal
définissable par LDAP. Sinon, un reboot en single-user voire un CD de secours
s'impose...
Dans ces cas-là, toujours conserver un terminal root dans un coin pour pouvoir
modifier la configuration entre deux tests qui font échouer un su - root ou
un ssh root@localhost.
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