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Prologue
Chapitre 1
Fatima
Moi (exaspérée) : Ok !
Ibrahima
Chapitre 2
Fatima
****
Ibrahim
*****
Mère Halima
Je suis énormément contente que ma fille se soit
mariée avec une si riche famille. Désormais je n’ai
plus honte de sortir parce que tous les voisins me
respectent.
Fatima
Depuis que mon beau père m’a dit que mon mari sera
là bientôt, je tremble comme une feuille morte. Je ne
sais pas comment je dois me comporter vis-à-vis de
lui et ça me stresse énormément.
Mais comme mon beau père vit seul avec son fils,
nous avons fait d’une pierre deux coups. Il m’a fait
visiter mon appartement qui se trouve au troisième.
Une anorexique ?
Moi :Heu..
Ibrahim (surpris) : Donc si je comprends bien, en plus
d’avoir une maigrichonne, j’ai une amatrice ? Tu n’as
jamais eu de copain dans ta vie ?
Chapitre 4
Ibrahima
Moi : Bonjour.
Papa : Ah comment tu vas ? Viens t’asseoir on doit
parler !
Fatima : Bonjour.
Papa : Ma fille comment tu vas ? Bien dormi ?
Fatima : Al hamdoulilah on rend grâce à Dieu !
J’espère qu’il en est de même pour vous.
Papa : Ça va. Vous sortez ?
Moi : Oui. On doit faire quelque course. Karim et
Bouba viendront aujourd’hui pour diner.
Papa : Pense à aller saluer ses parents. Ok ? C’est
désormais ta famille.
Moi : Ok !
Moi : Allo ?
Awa : Comment tu vas chéri ? J’ai appris que tu es
désormais un homme marié.
Awa c’est le meilleur plan cul que j’ai eu de toute ma
vie.
Karim
Fatima : Excusez-moi !
Bouba : Oh désolé ! Tu es voilée c’est ça ?
Fatima : Oui.
Fatima
Mère Halima
Moi : Bonjour.
Anta : Comment allez-vous madame ?
Moi : Je vais bien. Est-ce que ma fille est là ?
Anta : Non elle est sortie depuis cet après midi pour
faire des courses.
Moi : Et son mari ?
Anta : il est sorti aussi.
Fatima : Bonsoir.
Moi : Comment tu vas ?
Ibrahim : Je ne savais pas que tu devais sortir.
Fatima (bégayant) : Heu.. Oui.. J’ai oublié de te
prévenir.
Ibrahim (ton sec) : À l’avenir fait tout pour ne pas
oublier.
Fatima : Ah ok !
Moi : Vous étiez allées acheter quoi ?
Mounas : Chose de jeune fille maman.
Moi : Ah ok ! J’aimerais te parler quelques secondes.
Mounas, ça ne te dérange pas j’espère ?
Mounas : Non pas du tout. Allez y, je vais profiter me
reposer un peu. On a trop marchés.
Mounas
Moi : Allo ?
Bouba :Comment va la plus belle?
Moi (sourire jusqu’aux oreilles) : je vais bien et toi ?
Bouba : Maintenant que je t’entends, ça va super
bien. Tu as bien dormie ?
Moi : Je ne me plains pas.
Bouba : J’espère que tu ne va pas déprogrammé pour
ce soir. J’ai hâte de contempler à nouveau ton
magnifique sourire.
Moi : Non pas du tout. Moi aussi j’ai hâte de te
revoir.
Bouba : On se fait un diner chez moi ? Comme ça on
apprendra à se connaitre.
Moi : Ok ! À ce soir.
Ibrahima
Moi : Je dérange ?
Fatima : Heu.. Non.. Façon j’ai finie. Je vais libérer la
douche.
Moi : Ça va ?
Fatima : Ibrahim ?
Moi : Oui ?
Fatima : Je suis désolée.
Moi (étonné) : Désolé ? Mais pourquoi ?
Fatima : Je ne suis même pas capable de te donner
envie de moi.
*******
Moi : OK !
Fatima
****
J’ai pris tout mon temps. J’ai même utilisée des gels
de douche qui sentent bon pour avoir une odeur
agréable sur le corps. J’ai juste passé du rouge sur
mes lèvres que je me suis mise à caresser du bout des
doigts.
Ibrahim : Tu aimes ?
Moi : Oui j’aime.
Ibrahim : Tu veux que je continue ?
Moi : Oui
Ibrahim : Fait moi une phrase correcte.
Moi (honteuse) : Oui, je veux que tu continues.
Ibrahim : Caresse-moi !
Moi : Merci !
Ibrahim : Merci à toi de m’avoir donné ce privilège.
Chapitre 8
« Vos épouses sont pour vous un champ de labour.
Allez à votre champ comme vous le voulez et œuvrez
pour vous-même à l’avance. Craignez Allah et sachez
que vous le rencontrerez et faite gracieuse annonce
aux croyants » (Coran sourate 2 verset 223)
Ibrahima
Moi : Allo ?
Bouba : Connard ! Depuis tout ce temps je tente de
te joindre en vain.
Moi : Tu oublies que je suis marié ?
Bouba : Ne me dis pas que t’étais occupé à faire ce
que je pense que tu faisais ?
****
****
Nous avons pris la direction du restaurant après avoir
effectués la dernière prière. C’est moi qui lui ai
choisie une tenue et je dois avouer qu’elle est
vraiment ravissante à l’intérieur.
Chapitre 9
Abdel : Allo ?
Moi : Comment tu vas ?
Abdel : Bien et toi ? Tu es où ?
Moi : Je suis à moins de cinq minutes. J’espère que tu
es à la maison.
Abdel : Oui, je t’attends !
Moi : Ok !
Fatima
Je ne sais pas qui est cette femme, mais son
comportement ne me plais vraiment pas et
visiblement je ne suis pas la seule vu l’air que mon
mari affiche.
Moi (honteuse) : Ok !
Ibrahim (ton taquin) : J’ai l’impression que y en a
une, qui n’a pas des idées très catholiques.
****
Ibrahim : J’arrive !
Fatima
****
****
Moi : Dis-moi?
Mounas : Oui ?
Moi : Je me trompe ou bien entre Bouba et toi il se
passe quelques choses ?
Mounas : Mais d’où sort tu celas ? Il est gentil c’est
tout.
Moi : Ok dis-je peu convaincu.
Médicament ?
Chapitre 11
« Le meilleur des hommes, est le meilleur avec sa
femme » (Hadith du prohète Psl)
Ibrahima
Moi : Allo ?
Karim : comment tu vas ?
Moi : al hamdoulilah et toi ? Tu m’appel de bonne
heure.
Karim : je vais bien. T’as parlé à ton père ce matin ?
Moi (surpris) : parler à papa ? Mais de quoi ?
Karim : il a demandé à nous voir chez lui à 12h.
Moi : je te jure que c’est toi qui me l’apprends.
Karim : je t’appelais pour te demander si tu
connaissais le motif mais je suis étonné d’autant plus
que c’est moi qui t’informe.
***
Moi : pardonne-moi !
Fatima :…
Moi : Allo ?
Inconnu : Ibrahim ? C’est Halima. La mère de ta
femme.
Moi : ah bonjour tata. Comment allez-vous ?
Mère Halima : bien et toi ?
Moi : ça va al hamdoulilah.
Mère Halima : peux tu passer à la maison avec ta
femme aujourd’hui ? J’aimerais vous parlez d’un
truc.
Ils se sont passés le mot papa et elle pour me gâter
tous mes plans ou quoi ?
Moi : oui ?
Mère Halima : j’aimerais qu’elle m’accompagne
demain chez une de ses tantes qui est gravement
malade.
Moi (gêné) : Ok !
Mère Halima : Merci beaucoup.
Fatima
Finalement, nous sommes retournés à la maison après
un coup de fil qu’il a reçu de je ne sais qui. Il a
prétexté une urgence en disant qu’on devait remettre
cela pour très bientôt.
Karim : Allo ?
Moi : salam Karim. C’est Fatima, la femme de ton
ami.
Karim : waleykoum salam ! Comment tu vas ?
Moi : al hamdoulilah. Es tu en mesure de parler
actuellement ?
Karim : attends que je me déplace.
Mère Halima
Abdel et moi on se connait depuis mon adolescence.
Moi j’étais la jeune fille frivole qui cherchais toujours
à me faire de l’argent gratuit et lui, le jeune homme
qui avait de l’argent et qui ne s’en privais pas pour
appâter les filles avec.
<< il n'y a pas pire qu'une mauvaise femme mais rien n'est
comparable à une bonne femme >>
Ibrahim
Il n'a pas voulu me dire grand chose au téléphone, donc j'ai été
obligé de mentir à ma femme chose que je n'ai pas aimé pour aller
le rencontrer.
Après lui avoir souhaité une bonne journée j'ai pris la direction de
la maison.
L'islam enjoint aux enfants d'être bon avec leurs parents quand
bien même ces derniers seraient injustes envers eux, mais que faire
lorsqu'on a un père dont un sourire à notre encontre nous est
méconnaissable ?
Il m'a trouvé une femme. J'avoue que je comptais lui faire vivre
tous les supplices du monde, mais Dieu dans toute sa bonté m'a
donné un trésor. Comment aurais je pu la haïr ? Elle n'est pas le
genre de femme qu'il faut haïr bien au contraire.
Il n'y a que sur ce point que je peux dire que mon père s'est bien
comporté vis à vis de moi.
Moi : Salam !
Papa : Wasalam ! Où étais tu passé ?
Moi : faire un tour.
Pour te faire sortir de tes gond, y'a pas plus fort que papa.
Demain ? Il a dit demain ? J'ai dû faire appel à tous mes sens pour
ne pas craquer une énième fois.
C'est bien une première. Si ce n'était pas Fatima qui tenait à ce que
je respecte sa décision, j'allais prendre des congés tranquillement.
Moi : OK !
*****
J'avoue avoir faim, mais là il y'a une autre faim que j'aimerais
assouvir.
Elle n'a pas tardée à se retrouver nue dans mes bras, ma bouche
embrassant chaque parcelle de son corps.
Je lui ai fait l'amour tendrement avant qu'on ne reste l'un dans les
bras de l'autre.
Nous avons poursuivis toute l'après midi sous les draps et je vous
passe des commentaires. Elle commence à se lâcher petit à petit et
j'adore cela.
******
À mon grand étonnement elle n'était pas à la maison. Elle m'a juste
laissé un petit mot en me disant qu'elle se rend vite fait chez sa
mère.
Moi : salam
Karim : comment tu vas ?
Moi : bien et toi ?
Karim : ça va. Juste que je n'ai pas eu de retour concernant ton
voyage.
Moi : excuse moi. J'étais hyper occupé hier. Bref, je dois voyager
en soirée.
Karim : et il t'a donné le nom de l'entreprise ?
Moi : non aussi étonnant soit il. Il dit qu'il me fera signe une fois
sur place.
Karim : OK. Dans tous les cas je peux voyager à ta place. Si tu
changes d'avis, fais-moi signe.
Moi : merci.
****
Elle est rentrée vers 12h à la maison. J'ai tenté de la joindre durant
tout ce temps en vain et j'avoue que ça commençait vraiment à
m'énerver.
Moi : tu ne sais pas qu'on dit téléphone portable parce que tu dois
l'avoir à porté de main ?
Fatima (m'embrassant) : ne te fâche pas mon amour. J'avais
quelques courses à faire.
Moi : course plus important que ton mari ? Il est déjà 12h et rien
n’est au feu.
Fatima : je ne compte pas préparé aujourd'hui.
Moi (étonné) : et pourquoi ?
Fatima : j'ai déjà parlé à Karim et c'est lui qui ira à ta place. Je
nous ai réservé une chambre dans un des hôtels de la place. On a
bien droit à une lune de miel n'est ce pas ?
Chapitre 14
Mère Halima
Moi : salam !
Abdel : oui salam !
Moi (m’asseyant) : j’ai tenté de te joindre en vain.
Abdel : je n’avais pas envie de te parler.
Abdel : ce soir !
Moi : pourquoi elle ?
Abdel : pardon ?
Moi : pourquoi choisir la femme de ton fils ?
Abdel : écoutes Halima, si tu dois t’en prendre à une
personne, ce n’est pas à moi. Si tu n’étais pas une
pute et menteuse de la première catégorie, elle
n’écoperait pas à ta place. Je ne le ferais pas parce
que j’en aurais envie, crois moi. Je le ferais juste pour
te faire du mal. Pour que tu ressentes tout ce que j’ai
ressentis quand tu te jouais de moi. Pauvre con que
j’étais, je pensais que tu m’aimais au lieu que tu
écartais à qui bon le voulait pour quelques liasses de
billets.
Il l’a dit avec une telle rage que j’ai juste eu envie de
prendre mes jambes à mon cou. Je m’apprêtais à
répondre lorsque les coups sur la porte on retentit.
Fatima
Moi : pardonne-moi.
Ibrahim : si tu veux vite expulser la purée, attèle toi
sur le bout. Le reste ne procure pas autant de plaisir
que ça.
Nous avons sortis nos valises qui ont été soulevés par
le gardien. Une fois à l’intérieur, il m’a attiré
directement vers lui.
Fatima
Ibrahim : tu m'aimes ?
****
****
Ibrahim
Oui, je sais que j'ai été con. Que je ne devais pas faire
ceci patati et patata, mais on peut dire tout ce qu’on
veut, l'homme est faible devant une paire de fesses
bien douillet..
Mounas
Maman : as tu réfléchis ?
Moi : réfléchir à quoi ?
Maman : arrête de jouer avec moi. Écoute, si ça ne
tenait qu'à moi tout ceci n'aurait pas lieu. Mais je ne
peux pas aller à l'encontre des décisions de ton père.
Si tu sais qu'aucun homme ne veut de toi
actuellement, obéis à ces ordres. Qui sait, peut être
que cet homme prendra soin de toi.
Chapitre 17
Fatima
Ibrahim : tu me boude ?
Ibrahim : pardonne-moi.
Moi : OK !
Ibrahim : donc tout ce que je viens de dire, c'est
seulement à un OK que j'ai droit ?
Moi : oui.
Moi : allô ?
Mounas : Bonsoir ma belle.
Moi : comment tu vas ?
Mounas : ça va un peu et toi ?
Moi : ça va Dieu merci.
Mounas : tu es sûre ? J'ai l'impression que t'as la voix
d'une personne abattue.
Moi : non ce n'est pas grand chose. Alors comment se
porte la famille ?
Mounas : ça va. Juste que je suis dans un sacré
pétrin.
Moi (inquiète) : qu'est ce qui se passe ?
Mounas : demain je passerais pour t'expliquer.
Moi : rien de grave j'espère.
Mounas : je ne sais pas. Bref, on se dit à demain. Je
vais sortir vite fait.
Moi : Ok !
*****
Je le savais.
Mounas
*****
Chapitre18
Boubah
Moi : Salam !
Fatima : wasalam ! Boubah, comment tu vas ? Ça fait
plaisir de te voir.
Moi : le plaisir est partagé dis je en m'asseyant.
Ibrahim
Fatima
Moi : Ibrahim…
Ibrahim : oui ? Qu’est ce qui se passe ?
Moi : Allo ?
Karim : comment va la plus belle ?
*****
Moi : salam !
Papa : waleykoum Salam ! Comment tu vas ma fille ?
Moi : ça va al Hamdoulilah et vous ?
Papa : ça va. Comment va ton mari ? Il s’occupe bien
de toi apparemment.
Moi (souriant) : il va bien Dieu merci.
Mounas
C’est normalement aujourd’hui que Boubs est censé
passé mais jusqu’à lors, je n’ai aucune réponse claire.
Depuis hier, il ne répond ni à mes messages, ni à mes
appels. J’ai tellement peur que j’ai perdue l’appétit.
Moi : Allo ?
Boubs : où es tu ?
Moi : c’est comme ça qu’on salut ?
Boubs : ne me pousse pas à te poser deux fois la
même question.
Moi : je suis chez moi. D’ailleurs où veux tu que je
sois ?
Boubs : indique-moi ta maison. On doit se voir.
Moi : ça ne peut pas attendre ?
Boubs : non !
Fatima : ça va ?
Moi : heu.. En fait, tu dois me couvrir parce que je
dois sortir vite fait. Si on me demande où je vais, je
dirais que je t’accompagne faire des courses.
Fatima : tu sais très bien que je déteste mentir. En
plus je suis censée passé la journée chez toi. Qu’est
ce qui est si important que ça pour que tu me fausse
compagnie ?
Moi : je t’expliquerai tout plus tard dis je en enfilant
quelque chose.
Elle me boude mais là je ne peux pas faire grand-
chose sinon Boubs risquerait de débarquer ici après
avoir mené des enquêtes.
****
****
Chapitre 20
Boubah
Moi : Mounas ?
Mounas : ….
Moi : Tu es devenue sourde et enceinte en même
temps ?
*****
Je suis arrivé une trentaine de minutes après chez
Ibrahim. J’ai salué son père que j’ai croisé dans les
escaliers avant de sonner à sa porte.
Ibrahim : Oû es tu ?
Fatima : ….
Ibrahim : tu commences déjà à me mentir ? Je
t’attends ici as t il dit avant de raccrocher.
Moi : je n’ai pas duré avec Mounas. J’ai fait juste une
heure de temps avec elle.
Ibrahim : et alors ? Chez elle ce n’est pas loin. Si
vraiment elle n’était plus avec elle, elle serait déjà ici.
Ibrahim
Fatima : Bonsoir.
Moi : ….
Fatima : Ok !
*****
Boubs : Allo ?
Moi : je suis vraiment désolé pour tout à l’heure.
Boubs : c’est moi qui suis désolé. Je l’ai fait passer
pour une menteuse.
Moi : ne t’inquiète pas c’est déjà réglé bien vrai
qu’elle me fasse toujours un peu la tête. Alors, quelle
est l’urgence ?
Boubs : le test est positif. Elle est enceinte de deux
semaines.
Moi : merde ! Tu tiens le coup ?
Boubs : selon toi ? J’ai l’impression que le ciel m’est
tombé sur la tête. Ce qui me tue le plus c’est qu’elle a
piquée une crise tout à l’heure soit disant qu’elle
n’aurait pas aimé porter cet enfant. À croire qu’elle a
apprit au même moment que moi qu’elle est enceinte.
Moi : ce n’est pas une chose à écarter. Il se peut que
ce soit l’arroseur arrosé. Elle voulait te piéger et
maintenant c’est elle qui se retrouve piéger. Avez-
vous au moins pu discuter convenablement ?
Boubs : c’est ce que j’avais prévu mais elle est sortit
de ma voiture en vrac après avoir piqué sa crise de
folie.
Moi : je suis désolé pour ce qui t’arrive.
Boubs : je n’y peux rien.
Moi : que comptes-tu faire ?
Boubs : je n’en sais rien encore. Tout ce que je sais,
c’est que j’ai fauté et je dois assumer.
Moi : tu sais, ce n’est pas parce qu’elle est
matérialiste que ça signifie que c’est une mauvaise
femme. En plus tu peux très bien l’amener à changer.
Il suffit juste que toi aussi tu te comporte bien avec
elle. A moins que Dieu en décide autrement, vous
êtes désormais liés à vie. J’ai appris en très peu de
temps que notre vie peut changer du jour au
lendemain. Qu’avec un peu d’effort et de sincérité, on
peut changer les choses. Je ne te demanderais
vraiment pas de te marier. Mais l’amour est quelque
chose qui se construit au fur et à mesure.
Boubs : je suis vraiment perdu. Mais est ce que la
religion accepte cela ?
Moi : non pas du tout. Tu n’as pas le droit d’épouser
une femme enceinte. Il faut qu’elle accouche d’abord
et même pour ça, si tu tombe sur une famille stricte,
ils ne te donneront jamais leurs filles en mariage.
Boubs (poussant un soupir) : Ok merci. Je te tiendrais
au courant.
Moi : du courage. Je suis là pour toi.
C’est une situation que je ne souhaiterais même pas à
mon pire ennemi. Mais si elle a pu être amie avec ma
femme durant tout ce temps, c’est qu’il doit quand
même avoir du bon en elle. Enfin, c’est ce que
j’espère pour lui.
Mounas
fatima.
Awa : bonsoir.
Moi : bonsoir.
Ibrahim : awa ?
Awa : oui. Enfin tu es là. Comment tu vas ?
******
Ibrahim (inquiet) : ça va ?
Moi : oui.
Ibrahim : je t'ai fait mal ? Pourquoi tu pleures ?
Moi : juste le plaisir, juste le plaisir dis je en
chuchotant tout bas.
Ibrahim : je t'aime.
Moi : moi encore plus.
Mounas
Je crois que s'il apprend que ce n'est pas lui qui m'a
déflorée, je rejoindrais ma tombe illico.
Boubah
C’est bien la première fois que j’ai aussi mal que ça
pour une personne. Je savais que ces parents allaient
mal le prendre mais je me suis dis qu’en sachant que
j’allais épouser leurs filles, ils n’allaient pas trop lui
en vouloir. Le comportement de son père m’a
littéralement sidéré et je pensais même qu’à un
moment, il allait la battre devant nous surtout
lorsqu’il s’est arrêté devant elle.
Papa lui a dit que ce n’est pas lui qui m’a envoyer
engrosser la fille d’autrui donc il ne laissera pas cela
comme ça. Même si elle n’a pas ripostée je sais
qu’elle fera tout pour ne pas que cela se produise.
Fatima
*****
Mounas
Son père enfin je crois que c'est son père, m'a fait une
très belle impression. Ça m'a énormément touchée
tout ce qu'il a dit hier mais qu'en est il de sa mère ?
Approuve t elle ce mariage ? Ne me fera t elle pas
souffrir ?
Moi : Salam
Fatima : waleykoum Salam. Comment tu vas ?
Moi : ça va comme une fille qui s'est faite chassée
Ibrahim : ça ira ne t'inquiète pas. Joins toi à nous.
Fatima : oui il a raison. Tu sais, nulle ne peut
échapper à son destin et dis toi juste que ce n'est
qu'un passage parmi tant d'autres.
Moi : OK !
Fatima
Ibrahim : je dérange ?
****
Moi : allô ?
Papa Abdel : comment tu vas ?
Moi : al hamdoulilah et vous ?
Papa Abdel : ça va. Passe me voir stp j'aimerais te
parler.
Moi : Ibrahim ?
Ibrahim :….
****
Ibrahim
Dès le premier jour que je l’ai vu, elle ne m’a pas fait
bonne impression et vous connaissez tous le proverbe
qui dit que la première impression est la meilleur
parce que ça détermine déjà l’idée qu’on se fera de la
personne.
Il se peut que je me trompe mais vu la manière dont
Boubah est dans le pétrin, je me dis que j’ai
forcément raison.
****
Boubah
Moi : Salam !
Mounas
Boubah : Merci.
Moi (étonnée) : Tu me remercie pourquoi ?
Boubah : j’ai crû que tu allais rétorquer quelque
chose.
Moi (me tournant vers lui) : je suis peut être impoli
envers toi, mais on m’a appris ce que c’est que le
respect.
Ibrahim
J’ai passé une très belle soirée hier. Ma femme m’a
dit qu’elle passera la journée chez sa mère dont j’ai
prévu inviter Karim et Boubah pour qu’on puisse
décompresser.
****
J’ai profité qu’on soit tous autour d’un bon thé pour
entamer le sujet.
Il semblait distrait.
Mère Halima
****
Je ne peux pas croiser les bras sans rien faire, je dois
aider ma fille à ne pas tomber dans les mailles de ce
pervers. Jusqu’à lors je trouve étrange qu’il n’ait pas
encore agit. On ne se parle même plus et quand je
l’appel, il ne décroche pas. Que manigance t il ? Je le
connais assez pour savoir que quand il est silencieux,
c’est parce qu’il prépare un grand coup.
Fatima
Vendu ?
Karim
Fatima : Allo ?
Moi (étonné) : Qu’est ce que t’as ? T’es grippé ? T’as
une voix cassée
Moi : Fatima ?
Elle porte des lunettes fumées et je suppose que c’est
pour cacher ses yeux.
Mounas
*****
Boubs : bonsoir.
Moi : bonsoir dis je en m’asseyant. Tu es ici depuis ?
Boubs : juste une heure de temps. La bonne m’a dit
que tu n’es pas sorti de ta chambre depuis le matin.
Tu es malade ?
Moi : du tout. Je passe mon temps à dormir. Je
suppose que c’est lié à mon état. Je vais me servir
pour manger, je te serre aussi ?
****
****
Chapitre 28
« Ne désespérez pas de la miséricorde d’Allah »
coran (39 : 53)
Fatima
Moi : salam !
Anta : wasalam ma fille ! Comment tu vas ?
Moi : je vais un peu bien dis je en m’asseyant.
Anta : on n’en a pas l’air.
********
Moi : excuse-moi.
Ibrahim (ton dur) : si tu oses me dire que tu as pleuré
juste pour rien, tu m’entendras crois moi. Qu’est ce
qui ne va pas avec toi Fatima ?
*******
Ibrahim
Moi : Fatima ?
Fatima : hmmm ! Qu’est ce qui se passe ?
Mounas
Fatima
******
******
Boubah
***
Fatima : Ibrahim ?
SECRET DE FAMILLE
Chapitre 31
Mounas
****
Moi : salam !
Fatima : Mounas ? Mais ça fait longtemps.
Waleykoum salam. Rentre !
Papa Abdel
Je suis rentré hyper épuisé hier soir. Mon voyage ne
s’est pas passé comme je le voulais et ça me mets
hors de moi.
Fatima ne m’a rien fait loin de là. Son seul péché est
d’être la fille de cette femme. Jamais cet enfant ne
verra le jour tant que je m’appellerais Abdel
Bah……………..
Chapitre 32
Ibrahim
****
Nous sommes allés dire au revoir à papa mais il ne
nous a même pas regardés. Il s’est juste contenté de
dire à Fatima qu’elle le décevait énormément.
Mère Halima
Abdel : Allo ?
Moi : qu’est ce que tu veux ?
Abdel (rire sec) : qu’est ce que je veux ? Non mais tu
t’entends parler ?
Moi : je te demande ce que tu veux. Parle ou bien je
raccroche sur le champ.
Abdel (ton agressif) : tu crois parler à qui ?
Chapitre 33
Boubah
******
Fatima
Cela me fait mal de découvrir que mon mari est
toujours en contact avec cette fille en sachant
comment elle m’a rabaissée.
Moi : Allo ?
Néné (en pleure) : viens me chercher. J’ai tout dit à
ton père et je crains qu’il ne veuille plus avoir affaire
à moi. Il est partit Fatima. Ton père m’a abandonné.
Abdel
Moi : Salam !
Anta (se levant) : bonsoir monsieur. En quoi puis je
vous aidez ?
Moi : je veux qu’on apporte à manger aux enfants
demain. J’ai crû comprendre que Fatima est assez
fatiguée actuellement pour préparer. Comme c’est sa
première grossesse, j’aimerais qu’on lui facilite la
tâche.
Anta : j’y ai aussi pensée mais Ibrahim m’a dit qu’ils
allaient se débrouiller et que ce n’était pas la peine
que je me déplace.
Ibrahim
Je le savais ! Je le savais !
Mounas
*****
Chapitre 35
Mounas
Fatima
Chapitre 36
Ibrahim
Je suis un vrai con. Comment ai-je pu lui parler de la
sorte ? Comment ai-je pu la comparer à mon père ? Je
m’en veux énormément de m’être emporter.
******
Mère Halima
Père Abdel
Boubah
Lui pardonner ?
Karim
Chapitre 38
« Ne craignez rien. Je suis avec vous : J’entends et je
vois » Sourate 20
Fatima
Moi : entrez !
Maman : comment vas-tu ? Rien ne te fais mal
j’espère.
Moi : Al hamdoulilah.
Ça fait deux jours que je suis sortie et le médecin m’a
demander de me reposer. Donc même le petit doigt je
ne bouge pas. C’est Ibrahim qui me fait même
prendre ma douche en me lavant comme un bébé. Je
sais que s’il pouvait prier à ma place, il l’aurait fait
aussi.
Ibrahim : Allo ?
Moi : Salam ! C’est Mounas.
Ibrahim : Ah mounas, comment vas-tu ?
Moi : je vais bien et toi ? Comment se porte Fatima et
le bébé ?
Ibrahim : Al hamdoulilah, ils vont bien.
Moi : Dieu merci ! En fait, j’aimerais te parler stp.
C’est assez urgent.
Ibrahim : tu n’as pas de problème j’espère.
Moi : ça n’à rien avoir avec moi, mais plutôt avec
Fatima. Stp, je ne serais pas longue.
Ibrahim : ok il n’y a pas de problème. Accorde-moi
juste trente minutes et je viendrais.
Ibrahim
Chapitre 39
Mounas
Je l’ai serrée dans mes bras avec la peur qu’elle ne
disparaisse. Je me disais à l’instant que si c’était un
rêve, je ne voulais pas me réveiller.
******
Karim
Fatima : Allo ?
Moi : comment va la plus belle ?
Fatima : Al hamdoulilah et toi ?
Moi : je rends grâce à Dieu. Ecoute, j’attends ton
mari actuellement parce qu’on doit se rendre chez son
père pour rencontrer Anta.
Fatima (implorant) : non, Anta n’à rien avoir avec
mon empoisonnement. Laissez la en dehors de ça je
vous en supplie.
Moi : détrompe-toi. Je ne compte pas parler de ça. Je
crois que ton mari rentrera très abattue ce soir. Je t’en
supplie, soutiens le et soit patiente. Laisse le te dire
lui-même ce qui se passe. Ne le brusque surtout pas
par peur qu’il se braque.
Fatima : tu m’inquiète vraiment.
Moi : ne t’inquiète pas. Je veux simplement que tu
fasses attention à vous deux. Ces semaines à venir ne
seront pas du tout repos mais vous devez vous serrez
les coudes. Prie beaucoup pour ton couple.
Fatima : je te fais confiance. Protège le je t’en
supplie.
Moi : je ne vous abandonnerais jamais. Tu peux
compter sur moi.
Moi : salam !
Boubah : tu es chez toi ? J’aimerais te parler.
Moi : oui mais je m’apprête à sortir avec Ibrahim.
Qu’est ce qui se passe ?
Boubah : rappelle-moi à ton retour !
Sa voix est vraiment bizarre. J’espère pour lui qu’il
n’a pas de problème.
******
Moi : bonsoir !
Gardien : bonsoir monsieur.
Moi : est ce que ton patron est là ?
Gardien : il est sortit depuis ce matin.
Moi : et Anta ?
Gardien : elle est à l’intérieur.
Moi : comment va tu ?
Anta : bien et toi ? Mais ton oncle est sortit !
Moi : je vais bien. Je suis venue pour te voir.
Anta (fronçant les sourcils) : qu’est ce qui se passe ?
Moi : je ne vais pas passer par quatre chemins. Je sais
que tu es la mère d’Ibrahim. Je suis venue avec lui
parce que j’aimerais que tu le lui dises toi-même. Il
est assis dans sa voiture et il nous attend.
Ibrahim
J’ai vraiment du mal à comprendre pourquoi Karim a
tenu à ce qu’on vienne rendre visite à Anta. Il
paraissait tellement stressé que je me posais mille et
une questions durant tout le long du trajet.
Quels sont les secrets que cache cette figure qui n’a
jamais pu être paternel pour moi ?
Moi : Allo ?
Boubah : comment vas-tu ?
Moi : pas du tout bien dis-je énervé. Je ne sais pas ce
qui se passe avec Karim. Il m’a emmené jusqu’à chez
cet homme soit disant qu’il voulait me dire quelque
chose d’important et là, il fait comme si de rien était.
Boubah : calme toi ! Je vais essayer de discuter avec
lui pour en savoir un peu plus.
Moi : non laisse tomber. Si c’est important, il
reviendra vers moi. Et toi comment tu vas ? J’ai
appris pour toi et Mounas. J’aimerais qu’on discute
là-dessus.
Boubah (catégorique) : il n’y a rien à dire ! C’est la
cadette de mes soucis actuellement.
Moi : ne parle pas comme ça. Je sais qu’elle s’est mal
comportée mais crois moi qu’elle regrette.
Boubah (ton ironique) : quel mensonge as t elle
encore inventée pour que tu prennes son partie ?
*****
Le trajet jusqu’à la maison a été difficile pour moi.
J’avais peur de me perdre dans mes pensées et de
cogner une personne ou la voiture de quelqu’un.
Je l’ai serré très fort dans mes bras sans rien dire. Je
sentais juste son cœur se soulever à cause des
battements réguliers.
******
Je ne sais pas à quel moment on s’est endormis mais
c’est aux alentours de 02h du matin que j’ai ouvert
les yeux.
Fatima
Chapitre 41
« Et vos efforts sur terre seront sans aucun doute
récompensées » Sourate l’homme.
Boubah
Papa : Boubacar ?
Moi : ok !
Mounas
J’attends Ibrahim qui doit venir me rendre visite
d’une minute à l’autre. Il me dit que ça à quelque
chose avoir avec Awa et j’espère qu’il a pu trouver
une solution pour se débarrasser de cette folle.
Fatima
Ibrahim
Mère Halima
Chapitre 43
Fatima
J’ai tout fait pour ne pas lui en vouloir mais plus les
semaines passent, plus ma douleur se transforme en
colère.
*****
Moi : je le ferais.
Abdel
Moi : Allo ?
Lui : bonsoir patron.
Moi : oui bonsoir. J’espère qu’il n’y a pas de
problème.
Lui : nous étions prêts à faire notre boulot mais une
jeune femme est allée lui rendre visite.
Moi : quelle femme ?
Lui : pas très grande de taille et enceinte aussi.
Moi : attendez qu’elle parte et faites ce que vous avez
à faire. Si sa mère est là-bas, attacher la de telle sorte
qu’elle voit ce que sa fille subit par sa faute.
Lui : bien.
*****
Moi : Allo ?
Halima : comment tu vas mon amour ?
Moi (agacée) : épargne moi ton hypocrisie stp. Toi et
moi savons très bien ce qu’il en est.
Halima (rigolant) : n’empêche, on peut se montrer
courtois au moins.
Mère Halima
Chapitre 44
Karim
Fatima
Ibrahim : Allo ?
Moi (énervée) : tu es un vrai lâche Ibrahim. J’ai tout
fait pour ne pas te détester mais c’est impossible. Tu
es mauvais et tu ne penses qu’à toi. Figure toi que
Abdel avait fait levé des hommes pour me faire du
mal et si ça n’avait été Boubah, qui sait dans quel état
je serais actuellement ? Je te jure que s’il arrive
quelque chose à mon enfant parce que tu n’as pas
assez de cran pour affronter tes problèmes, je ne te le
pardonnerais jamais.
Ibrahim
****
Fatima
Moi : et pourquoi ?
Karim
Chapitre 46
« Le paradis se trouve aux pieds de nos mères »
Karim
Ibrahim
******
Moi : ok papa !
Lui : c’est une très bonne femme. Je sais des choses
que Boubah ne peux pas savoir. Certes elle a commit
des erreurs dans son passé mais s’il s’entête à jouer
au dur, il n’aura que ses deux yeux pour pleurer
lorsqu’elle lui filera entre les doigts.
Moi : je lui dirais ça papa.
Mère Halima
******
Ibrahim
******
Chapitre 48
Fatima
*****
*****
Karim : Allo ?
Moi : comment tu vas ?
Karim : je vais bien et toi ?
Moi : Al hamdoulilah. Excuse-moi mais j’ai vu ton
appel en retard.
Karim : ce n’est pas grave. J’espère que tu vas bien.
Moi : je rends grâce à Dieu et de ton côté ?
Karim : mis à part le fait que maman est entrain de
me brancher à une jeune fille, ça va.
Moi : il est grand temps que tu te marie déjà.
Karim : je ferais en sorte que tu la connaisses. Si tu
me donnes le feu vert, je le ferais sans hésiter.
Moi (rigolant) : c’est vraiment trop d’honneur pour
moi mais il n’y a pas de problème.
Karim : si tu valides je sais que ce sera une bonne
femme pour moi.
Moi : marché conclu alors. J’espère que je serais
simplement l’homonyme de ta première fille.
Karim : je le ferais avec joie.
Moi : ok !
Karim : en fait je t’appelais pour te parler d’un truc.
Moi : rien de grave j’espère.
Karim : crois moi que j’ai même honte de te le dire
mais je n’ai pas de choix. Awa et moi viendrons
aujourd’hui chez toi pour qu’elle te présente ses
excuses.
Mère Halima
****
Chapitre 49
Karim
Je ne sais pas ce qu’elle a raconté à maman, mais
depuis hier elle ne m’adresse pratiquement pas la
parole.
*****
Ibrahim
*****
Fatima
*****
Mounas
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Moi : je l’espère.
Boubah : je peux ?
Moi : oui rentre lui dis je en rehaussant la fermeture
de ma robe.
Boubah : comment va la plus belle ?
Moi (souriant) : depuis que tu es là, je peux dire que
ça va.
Boubah : et ma princesse, elle va bien ?
Moi : ça va. Juste qu’elle pleure trop la nuit.
Boubah : t’inquiète pas, dans peu de temps on sera
marié et je t’aiderais à t’occuper d’elle.
Moi : j’ai trop hâte. Au fait, et ta mère ? Je ne pensais
pas qu’elle serait venue ici.
Boubah : elle sait avec qui elle fait ses choses. Papa
n’a pas eu à lever la voix sur elle pour qu’elle vienne.
Moi : j’espère qu’elle finira par m’accepter.
Boubah : si je l’ai fait, c’est qu’elle le fera aussi.
******
Karim
Ibrahim
******
Epilogue
FIN