Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
1
Représentation ? [2] Représentation [3]
=
z Représenter Ù Approximer dans le contexte z Exemple
/
d’une tâche (activité?) particulière z X=(y+2)/z x
+ z
z Représenter Ù Structure de symboles pour
« décrire » une approximation du « monde » y 3
(un modèle du monde) dans le contexte
d’une tâche particulière.
Cette composition nécessite Int(=), interprétation de l’égalité entre deux
z Interpréter une structure (une représentation) termes, dont l’un est Int(x) et l’autre obtenu par l’application de Int(/) à deux
autres termes , le premier résultant de l’application de Int(+) à Int(y) et à Int(3)
Ù Composition de l’interprétation des et l’autre étant Int(z).
différents symboles la constituant
18/10/2004 Représentation Connaissances 7 18/10/2004 Représentation Connaissances 8
2
Les réseaux sémantiques
Logiques modales (Argumentation Intelligence Artificielle)
Sémantique de quelques
Définition IA relations « privilégiées »
z Un réseau sémantique est un graphe orienté et z Appartenance d’individus à une classe
étiqueté (un multi-graphe en fait car rien n’empêche d’individus AKO (A kind of) Ù appartenance
deux nœuds d’être reliés par plusieurs arcs). z B(A) /* A appartient à la classe B */
z Une « sémantique » (au sens de la logique) est z Relation de spécialisation (IsA).Ùsorte_de
associée par le biais des relations. z B(A) /* A est une classe sorte_de classe B*/
z Réseau = conjonction de formules logiques
associées à chacun des arcs
Nécessité de différencier les concepts
R individus (appartenance) des concepts classe
A B Ù R(A,B) (sorte_de) !
Prédicat binaire
18/10/2004 Représentation Connaissances 15 18/10/2004 Représentation Connaissances 16
3
Exemple de réseau
sémantique (dénotationnel) Exercice
z Décrivez un réseau sémantique
représentant un étudiant/enseignant du
master recherche
1. Pour une tâche d’évaluation au sein du Master
(évaluation de l’étudiant)
2. Pour une tâche d’évaluation au sein du Master
(évaluation de l’enseignant)
z Tentez de donner une sémantique aux
relations proposées
18/10/2004 Représentation Connaissances 19 18/10/2004 Représentation Connaissances 20
4
S-Graph / Le graphe conforme
à un support. Support : exemple.
z Un graphe conceptuel est relatif à un « support », qui définit des
contraintes syntaxiques permettant décrire un domaine
d’application.
z Cette notion de support regroupe:
z Un ensemble de « types de concepts », structurés en treillis,
représentant une hiérarchie « sorte-de » acceptant l’héritage multiple.
z Un ensemble de « types de relations »
z Un ensemble de « graphes étoiles », appelés « bases », montrant
pour chaque relation quels types de concepts elle peut connecter
(signature de relation). B, Base des relations (graphes étoile)
z Un ensemble de « marqueurs » pour les « sommets concepts »: un
marqueur « générique » et un marqueur « individuel »
z Une relation de conformité, qui définit les contraintes d’association
entre un type de concept et un marqueur (si le type « t » est associé Tc, Le treillis des concepts
au marqueur « m » Ù Il existe un individu m qui « est_un » t.
Isomorphisme de S-graphe
Projection : exemple (iso-projection)
5
Opérations de généralisation =
Opérations de spécialisation inverses de la spécialisation
z Règles de spécialisation z Règles de généralisation
z Suppression des sommets-r « jumeaux » (simplification). // z Addition de sommets-r « jumeaux »
2 relations de même type et ayant les mêmes voisins. z Extension élémentaire (restriction) : il s’agit de remplacer
z Restriction élémentaire (restriction) : il s’agit de remplacer une étiquette « e » d’un sommet-c par une autre étiquette
« e’ » de plus haut niveau (pour tout arc r-c avec le label i,
une étiquette « e » d’un sommet-c par une autre étiquette type(c) ≤ type du ième voisin du sommet-r du graphe étoile
« e’ » telle que e’≤e et e’ conforme au type. Btype(r))
z Fusion élémentaire : deux sommets-c « c » et « c’ » de z Eclatement élémentaire : duplication d’un sommet-c, en
même étiquette et appartenant à 2 s-graphes sont deux sommets c1 et c2, avec des étiquettes identiques, et
fusionnés pour donner un nouveau s-graphe. l’ensemble des arcs adjacents à ces nouveaux sommets
est une bi-partition de l’ensemble des arcs adjacents à c.
z G est une spécialisation de H si H appartient à une
séquence de spécialisation arrivant à G. z G est une spécialisation de H si H appartient à une
séquence de spécialisation arrivant à G.
z La relation de spécialisation s’écrit : ≤ z La relation de spécialisation s’écrit : ≤
18/10/2004 Représentation Connaissances 31 18/10/2004 Représentation Connaissances 32
6
Logique de descriptions Principes des LD
z Un concept permet de représenter un z Un concept et un rôle possèdent une description
ensemble d’individus structurée élaborée à partir de constructeurs
z Une sémantique est associée à chaque description
z Un rôle représente une relation binaire entre
de concept et de rôle par l’intermédiaire d’une
individus. interprétation.
z Concept Ù entité générique d’un domaine z Représentation des concepts et des rôles relèvent
z Individu Ù une entité singulière, une instance du niveau terminologique Ù TBox
d’un concept. z Description et manipulation des individus relèvent
du niveau factuel ou niveau des assertions ABox
Concept primitif
Exemple La famille de langage AL
Est_subsumé_par
Rôle
Définition de concept
Constructeurs
Éléments syntaxiques
7
Satisfiabilité, équivalence,
Notion d’interprétation incompatibilité de concepts
8
Méthodes des tableaux
Normalisation-Comparaison sémantiques
z Développement et factorisation des z La question « Est-ce que C subsume D » est
définitions remplacée par « Est-ce que DΠ⌐C est non
satisfiable ? ».
z Production des « formes normales » de
z La méthode est la réfutation.
description.
z Il est possible de donner à la démonstration une
z Comparaison forme d’arbre fini étiqueté qui est appelé
« tableau sémantique » où chaque branche
mémorise une série d’évaluations possibles pour
les énoncés testés.
Base de connaissances
terminologique Exemple
TBox
ABox
9
Complexité de la Conclusion sur la représentation
subsomption? de la connaissance
z Si le langage est pauvre (pas de and ni z Richesse expressive Ù complexité
restrict par exemple) alors Complet et z Lecture toujours difficile
Polynomial z Mécanismes de « calcul » (projection,
z Si le langage est expressif, alors NP- subsomption, etc.) ne permettent pas des
Complet, voire Incomplet et exponentiel… expressions de requêtes toujours « simples »
(il faut reformuler).
z Ne règle pas le « frame » problem…
10