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LA CONCEPTION HISTORIQUE
DES „LUMIÈRES" FRANÇAISES
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102 E. MOLNÁR
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇAISES 103
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104 E. MOLNÁR
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L V CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇAISES 105
l'évolution comme un cercle qui revient sans cesse à son point de départ. On
savait que la nature était engagé dans un mouvement pérpétuel. «Mais ce mou-
vement», d'après la conception de l'époque, «décrivait aussi un cercle pérpétuel,
par conséquent ne bougeait jamais de sa place ; il produisait toujours les mêmes
résultats.»11 Ainsi les philosophes de l'ère des lumières enfermaient le change-
ment dans les cadres métaphysiques des résultats immuables.
Comment s'était formée la conception du «changement immuable»? «Le
mouvement astronomique et mécanique (terrestre), de même que la vie des
plantes, des animaux et de l'homme ont implanté dans l'esprit des hommes
non seulement l'idée du mouvement, mais aussi plus précisément d'un mouve-
ment qui revient sans cesse à son point de départ.»12 L'expérience a montré
que la vie des plantes, des animaux et des hommes, en passant par la naissance
et l'anéantissement des individus, recommence toujours sur un certain point.
A cette époque-là, la science n'avait pas encore élargi les horizons étriqués de
l'expérience directe; au contraire, les premiers résultats scientifiques semblaient
confirmer la conception généralement répandue. L'astronomie avait révélé par
exemple que les planètes suivaient des trajectoires qui se rejoignaient sans cesse,
ce qui avait permis à Diderot d'affirmer que l'univers restera tel qu'il était,
et d'ajouter à l'image de la nature immuable, offerte par la science la notion
d'une loi naturelle, éternelle et immuable. D'Holbach écrit que la nature est
simple, uniforme et obéit à des lois immuables.
L'époque des «lumières» avait donc sa théorie de l'évolution, malgré les
conceptions métaphysiques qui prévalaient à l'époque. En effet, ce qui caracté-
rise la conception métaphysique ce n'est pas la négation de l'évolution, mais
une compréhension limitée de celle-ci. Aussi, la contradiction essentielle de
leur conception de l'évolution n'est-elle pas celle entre la négation métaphysique
de l'évolution et son affirmation dialectique, mais celle qui oppose la théorie
métaphysique et bornée de la bourgeoisie à la théorie dialectique du prolétariat.13
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106 E. MOLNÂR
La conception métap
des philosophes de l'ère
mécanique du monde.
du mouvement mécan
les phénomènes mécan
La conception mécan
«de toutes les sciences
des corps solides, célest
C'est pourquoi la méca
ments de lieu des corp
D'où résultait la tran
mécaniques à tous les
biologiques, en un mo
En appliquant les mé
les philosophes de l'ère
siques et mécanistes. L
de la société ; les mét
miner l'ensemble et c
culiers. Les philosoph
parties constitutives d
agrégat d'individus en
la résultante d'un con
communauté, renoncé
Cette conception ind
uniquement par la pen
dans la situation écono
la société telle qu'elle
Partant des conditions
aux besoins matériels
d'individus dispersés,
chande. Et tout semb
geois un contrat pour
de l'époque des lumièr
la fondation de la société et de l'État.
Par la doctrine individualiste du contrat social, la philosophie des «lumiè-
res» s'est engagée dans une voie où il était impossible de découvrir les véritables
lois de la société. Ces lois sont d'une nature différente de celles de la vie indivi-
duelle ; on ne peut les découvrir qu'en partant de la société elle-même.
La philosophie des «lumières» considérait l'individu comme un être naturel,
dont toutes les manifestations vitales, tous les mouvements existants sont
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇAISES 107
déterminés par les lois de la mécanique. Elle ne voyait dans l'homme qu'une
construction mécanique, une machine. Selon d'Holbach qui appliquait le
plus rigoureusement le point de vue de la mécanique, tout ce qui existe dans
la nature, obéit aux lois universelles de la mécanique, et tout ce que l'homme
fait est la manifestation de la force de l'inertie, de la pesanteur qui pèse sur
nous, des forces d'attraction et de répulsion, de la volonté de conservation, en
un mot de cette énergie que l'homme partage avec tous les êtres existants.
C'est cette conception scientifiquement étayée, conception dite de sociologie
naturaliste , qui sert de base au courant mécaniste de la sociologie bourgeoise.
Mais comme il est impossible de comprendre la société en partant des
individus humains, il est également impossible de déduire l'action humaine
des lois de la mécanique. La loi mécanique de l'inertie, selon laquelle les corps
conservent leurs mouvements uniformes et rectilignes, n'est qu'une phrase
vide de sens si nous l'appliquons à l'action humaine, car cette dernière est
autre chose, et plus que le mouvement des corps matériels, c'est une forme supé-
rieure du mouvement, et comme telle, elle obéit à des lois supérieures. C'est
pourquoi la philosophie des lumières explique l'homme et, partant, les événe-
ments historiques, non pas à l'aide des lois de la mécanique, mais par celles
de la psychologie. Elle considère les mobiles, et, la plupart du temps, les passions
des individus, comme le moteur de la vie sociale et de l'histoire. Cependant,
la satisfaction de ces mobiles et passions est gouvernée par les «opinions» des
individus. Le fait que ces philosophes aient identifié les passions avec la notion
du mouvement mécanique, l'amour et la haine avec l'attraction et la répulsion
universelles, ne change rien au caractère psychologique de cette conception.
En fin de compte le raisonnement métaphysique aboutit par l'intermé-
diaire de la conception mécaniste à la conception idéaliste de l'histoire. Selon
cette conception «d'idéalisme subsiste „en haut" dans le domaine des sciences
sociales».15 C'était là la troisième borne de la conception historique de la philo-
sophie des lumières, conception qui caractérisait non seulement les idéalistes,
mais aussi les matérialistes.
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108 E. MOLNÁR
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇAISES 109
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1 10 E. MOLNÁR
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇAISES 111
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112 E. MOLNÁR
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES »LUMIÈRES« FRANÇAISES 113
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114 E. MOLNÁR
27 Le courant géographique de la sociologie bourgeoise est souvent classé parmi les systèmes
idéalistes des sciences sociales, sous prétexte qu'il déduit les faits historiques et les institutions
sociales directement de la psychologie sociale. Mais, avec de telles prémisses, on pourrait consi-
dérer le matérialisme historique lui-même comme un système idéaliste, car il ne met pas en
doute le fait que les événements historiques et les institutions sociales sont déterminés directe-
ment par les idées. C'est pourquoi la sociologie géographique doit être jugée autrement que la
sociologie mécanique. Cette dernière est un système idéaliste, car il explique en dernière analyse,
la société effectivement par les lois de la psychologie, même s'il la subordonne aux lois de la
mécanique. La sociologie géographique, par contre n'est pas un système idéaliste, car elle expli-
que la société en dernière analyse, non à l'aide des facteurs idéaux ou psychologiques, mais en
partant de ses conditions matérielles. C'est pourquoi il faut considérer la sociologie géographique
comme un système matérialiste. Tout de même le matérialisme géographique est un système
de sciences sociales aussi faux que le matérialisme économique qui, tout en expliquant la société
en partant de son mode de production matérielle, ne comprend pas le rôle social actif des forces
politiques et idéologiques.
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES »LUMIÈRES« FRANÇAISES 115
hommes des facultés identiques. Les hommes ne naissent pas, mais deviennent
ce qu'ils sont, intelligents ou stupides, bons ou méchants, dit Helvétius, l'un
des représentants les plus conséquents de cette opinion. Or, les hommes, leurs
facultés intellectuelles et morales se développent différemment sous l'in-
fluence des conditions sociales, de l'«éducation».
L'homme n'est en réalité rien d'autre que ce que l'éducation fait de lui.
Or, l'éducation dépend des lois et du gouvernement. Le caractère et la façon
de penser des peuples change lorsque changent les formes de gouvernement • . .
un autre gouvernement suggère à la même nation des pensées sublimes et basses,
un caractère persévérant ou léger, cordial ou modeste. (Helvétius). Cette
dernière pensée peut être formulée par les notions scientifiques d'aujourd'hui
en ces termes: la psychologie et l'idéologie sociales sont déterminées par l'ordre
politique et juridique de la société qui change dans l'histoire.
En opérant de la sorte, les matérialistes ont appliqué à la vie sociale le
principe fondamental du matérialisme philosophique, suivant lequel les sensa-
tions et les pensées de l'homme viennent du monde extérieur.28 Comme la
conscience est déterminée par l'existence, ainsi la conscience de l'homme vivant
dans le cadre de la société est façonnée par les conditions de l'existence sociale.
La doctrine matérialiste suivant laquelle les hommes sont les produits
des rapports sociaux et les changements de ces derniers amènent également des
changements chez les hommes, représente un progrès sérieux dans la conception
de la société. On ne pensait plus que les hommes, êtres naturels, avaient formé
la société, on estimait que c'était la société qui avait fait des hommes des êtres
sociaux. Les matérialistes ont donc reconnu la priorité de la société sur l'in-
dividu.
Considérée comme une partie d'un ensemble, leur thèse suivant laquelle
l'ordre politique et juridique détermine la psychologie et l'idéologie de la société
n'était pas tout à fait fausse. Il y a en effet un certain rapport entre la psycho-
logie et l'idéologie de la société et l'ordre politico- juridique. Si les grands proprié-
taires féodaux pouvaient tout se permettre, sans craindre ni seigneurs, ni lois,
c'est parce que dans l'ordre politico- juridique de la société féodale ils disposaient
du pouvoir d'État armé. Au cours du développement socialiste, la psychologie
et l'idéologie socialistes de la société sont déterminées directement par le travail
éducatif du parti communiste et de l'État du prolétariat.
Mais les matérialistes ont établi cette relation de telle manière qu'ils
identifiaient les rapports déterminant l'existence sociale avec les conditions
politico- juridiques. Leur enseignement sous cette foi me (ils prétendaient que
1 es hommes sont en dernière analyse les produits des conditions politico-juridi-
ques, donc qu'il fallait voir dans l'ordre politico- juridique le facteur déterminant
de l'existence sociale) était essentiellement faux, il ne servait plus le développe-
28 Cf. Marx - Engels, Die heilige Familie , v. MEGA Tom. I. Vol. 3. p. 305.
8*
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116 E. MOLNÁR
29 La conception des matérialistes selon laquelle la société est formée par la législation,
était, en tant que loi générale des sciences sociales, fausse. Mais eu égard aux conditions histo-
riques données , ils avaient raison d'attendre de la législation la création de la société «rationnelle»
(c'est-à-dire la société bourgeoise). Le développement spontané avait déjà engendré les condi-
tions de production bourgeoises, mais leur plein développement était entravé par les formes
politico-juridiques de la féodalité. Pour que les conditions bourgeoises de production puissent
librement s'épanouir, il fallait créer les conditions politico -juridiques qui leur convenaient, et
cette tâche incombait à la législation c'est-à-dire au pouvoir d'État. Mais les matérialistes
n'avaient pas compris que cette tâche ne pouvait être accomplie que par le pouvoir d'État
révolutionnaire de la bourgeoisie et que, de cette façon, la condition préalable de la transfor-
mation était la prise en main par voie révolutionnaire du pouvoir d'État.
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRAi'Ç'ISES 1 ! 7
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118 E. MOLNÁR
33 La méfiance qu'ils nourissaient à l'égard des masses pour des raisons de classe , ils
les motivaient par des arguments généraux puisés dans l'histoire. D'Holbach écrit qu'il suffit
de jeter un coup d'oeil rapide sur l'histoire des démocraties antiques et modernes pour voir
que le peuple est en général conduit par la folie et par la colère.
34 Nous rencontrons parfois des idees dialectiques, ou historiques matérialistes comme
celles que nous venons de citer également chez les matérialistes philosophiques. En contradiction
avec ses vues fondamentales métaphysiques, Diderot souleva l'idée que tous les êtres vivants
sont issus d'une source primitive commune et ont évolué au cours de millions d'années. A une
certaine période il attaquait même la propriété privée et la société âpre au gain qui se fondait
sur elle tout en justifiant le renversement de l'inégalité par la voie de révolution. Helvétius,
de son côté, tenta l'explication du développement politique non seulement par l'accroissement
de la population, mais aussi par les progrès de l'industrie, c'est-à-dire par les antagonismes
entre les différents groupes nés à la suite de ce développement.
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇ AISES 119
Dans son ouvrage sur l'origine de l'inégalité entre les hommes qu'Engels
qualifia de «chef d'oeuvre dialectique», 35 Rousseau partit de l'état naturel,
c'est-à-dire de l'âge primitif, où les hommes vivaient isolés les uns des autres
dans la liberté et dans l'égalité. Cet état prit fin avec l'apparition de la propriété
privée qui était en rapport avec le développement de la technique et des connais-
sances. Les deux découvertes techniques qui étaient à l'origine d'une telle évolu-
tion étaient le traitement des métaux et l'agriculture. La propriété privée devint
par la suite la source de tous les maux de la société, car celui qui, le premier,
entoura un morceau de terre et dit : «c'est à moi», creusa le tombeau de l'égalité.
A partir de cette époque, la civilisation ne cessa de progresser, mais l'huma-
nité tomba dans l'esclavage. C'est sur la base de la propriété privée, que naquit
la contradiction entre riches et pauvres. Cette contradicition fut suivie, après
l'organisation de l'État (de la magistrature), par celle entre seigneurs et esclaves.
L'État devint l'appui de l'inégalité et passa au despotisme qui, aggrava jusqu'à
l'extrême les inégalités, de sorte que, vis-à-vis du despote, tous étaient égaux
dans l'injustice. C'était le degré extrême de l'inégalité, le point final qui ferme
le cercle et qui coïncide avec le point de départ. Le despote qui s'appuie sur la
violence pourra méditer sur le «triste retour des choses» quand sa domination
sera renversée par la révolution également violente. La révolution rétablira
l'égalité primitive, mais à un degré plus élevé, sur la base de la conservation
et du partage égal de la propriété privée, et conformément aux principes qui
découlent du contrat social.
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120 E. MOLNÁR
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LA CONCEPTION HISTORIQUE DES «LUMIÈRES» FRANÇAISES 121
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122 E. MOLNÁR
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ERRATA ET CORRIGENDA
115. 22 - 23. qui avait fait des hommes qui façonnaient les hommes,
des êtres sociaux êtres sociaux
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Page Ligne Au lieu de : Lire
118. 21. nous ne pouvons parler nous ne pouvons parler au
sens précis du mot
122. 11 - 12. historiques modernes historiques bourgeoises mo-
dernes
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