1. Regardez la vidéo „Serment d'Hippocrate: à l'origine de l'éthique
médicale”. Résumez le contenu de la vidéo. Mettez l’accent sur l’évolution de la médecine et l’éthique médicale. (200 mots)
Le Serment d'Hippocrate a représenté pendant de nombreux siècles
une référence pour les jeunes spécialistes et simplement pour le monde concernant les choses qu'un spécialiste devrait et ne devrait pas faire. Puis, si nous regardons le passé, le niveau des sciences médicales a considérablement augmenté en raison de la révolution intellectuelle, si nous analysons l'Hippocrate - il a été l'un des premiers à détacher la médecine en tant que science des pratiques et croyances religieuses, ce qui a nui aux causes réelles de nombreuses maladies, maladies ou pathologies de l'époque. Ainsi, Hippocrate a jeté les bases d'une analyse éthique du médecin qui porte aujourd'hui le nom d'éthique médicale. Son serment est l'engagement du jeune spécialiste à apporter un soutien médical à toute personne en souffrance, et le diagnostic et la communication médecin- patient à rester secrets, en même temps, un bon médecin doit s'abstenir de faire certaines choses, en grande partie inégales. La discrétion et le soulagement de la souffrance sont tout aussi importants, car Hippocrate a dit que la médecine et la philosophie sont des sœurs, donc un bon médecin doit être un peu philosophe. Enfin, depuis le XXe siècle, le serment d'Hippocrate est devenu un rituel spécial que les jeunes spécialistes achèvent leurs études de médecine, que tout le monde respecte.
2. Lisez le texte du Serment d’Hippocrate ci-dessous. Ecrivez trois règles clé
d’éthique et morale qui doivent être respectées par les médecins dans l’exercice de son métier d’après le Serment d’Hippocrate.
1. Tout patient doit être considéré comme une personne souffrante,
qui doit être aidée quel que soit son statut social. 2. Le traitement, le diagnostic et les investigations ne resteront qu'entre le médecin- patient et ne seront dits que si le patient le souhaite. 3. Aucun médecin ne fera de mal à son patient, quelle que soit sa personnalité ou son attitude.