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d’études : (2017-2018)
Réaliser par :
SALMA BOUAROUA
LOUBNA BABA
BASMA AIT AICHA
Encadre par : Ms AZIZ EL ATIKI
Sommaire :
Remerciement…………………………………………………………………………….2
Notion et symbole………………………………………………………………………….3
Figures ……………………………………………………………………………………..4
Introduction général…………………………………………………………………………5
2017/2018
PROJET DE FIN D’ETUDES (CP2A) 1
Remerciement :
2017/2018
PROJET DE FIN D’ETUDES (CP2A) 2
Notion et symboles :
2017/2018
PROJET DE FIN D’ETUDES (CP2A) 3
Les figures :
2017/2018
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Introduction générale
2017/2018
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Introduction générale
Le Maroc est un pays de tradition agricole et rurale, et dispose d’une richesse de pêche
importante. Le secteur de la transformation est un secteur stratégique qui contribue au PIB
national à hauteur de 8%, et qui génère 4,1 milliards d’euros et qui emploie 60.000
travailleurs. Le secteur présente de grandes capacités de développement, auxquelles il faut
ajouter qu’il n’est pas tout à fait organisé actuellement, qu’il est fragile et peu compétitif, il
peut donc représenter une bonne opportunité d’affaires. Les activités industrielles qui
regroupent le secteur sont : les fruits, les légumes, le poisson, les conserves, la viande (bœuf
et agneau), la volaille, les boissons, les huiles, les produits laitiers, la farine, les céréales, les
aliments pour les animaux, le tabac, en plus d’autres produits alimentaires. Les trois premières
activités sont les plus importantes et sont orientées vers l’exportation, avec les poissons ; le
reste est exclusivement développé pour répondre à la demande intérieure. Vu que le secteur
agroalimentaire est stratégique pour le développement socioéconomique du Maroc, de
nombreux programmes agricoles et ruraux, ainsi que des réformes structurelles sont menés à
bien. Nous pouvons prendre l’exemple du Plan Maroc Vert et du Pacte pour l’Emergence
Industrielle ;
PLAN MAROC VERT
I. Donc le but de notre projet est d’étudier le secteur d’agroalimentaire qui est un
paramétré majeur dans l’économie marocain, et qui nous a permis de poser la
problématique qui s’articule autour de la question principal suivante :
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Qui est la contribution de l’industrie agroalimentaire sur dans l’économie Marocain
dans la région Fès Meknès ?
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Chapitre 1 : l’industrie agroalimentaire
I. INTODUCTION :
L'industrie agroalimentaire est dominée par de grands acteurs structurés et pluridisciplinaires et
par une multitude de petits acteurs spécialisés dans un type de production. Par ailleurs, ce secteur
est fortement dépendant des performances de l'agriculture et du prix des intrants qui
approvisionnent les industries alimentaires en matières premières. Ainsi, un contrat-programme
est en cours de négociation entre les professionnels et les ministères de tutelle afin de favoriser le
développement du secteur. Un des défis du secteur est de moderniser les méthodes de production
et de distribution des différentes filières et de valoriser davantage les ressources agricoles.
Ainsi que le secteur d’industrie agroalimentaire a été retenu par le projet EDEC pour l’importance
de sa contribution à la richesse du pays, du développement des exportations et de l’emploi. Quatre
filières ont été retenues pour bénéficier de l’appui du programme en complément bien entendu de
l’appui des plans nationaux Maroc Plan Vert et Emergence. Il s’agit :
Pour la filière oléicole : La conserve de l’olive de table et l’huile d’olive
Pour la filière des conserves de légume : La transformation de la tomate industrielle
Pour la filière des conserves de fruit : La transformation de l’abricot
Pour les industries de deuxième de transformation : les secteurs de la Biscuiterie,
chocolaterie et confiserie.
II. Les différentes branches d’industrie agroalimentaire :
L’analyse des exportations cumulées des 4 filières retenues, après avoir enregistré une croissance
de 15% en 2011 grâce à une excellente campagne agricole d’olive, les exportations ont chuté de
16% en 2013 et ce malgré le doublement des résultats des secteurs BCC.
Dans la situation de performance discontinue, il est difficile pour le Maroc de maintenir et
développer ses marchés à l’exportation compte tenu de la concurrence internationale. L’analyse
des 4 filières retenues a mis en évidence les principales contraintes qui suivent :
o Le manque de productivité de l’amont agricole et les insuffisances des
approvisionnements de l’aval industriel en quantité, en qualité et en prix,
o Le maintien de la vente en vrac pour la filière olive sur le marché intérieur ce qui favorise
le marché informel au détriment du secteur organisé exportateur,
o L’inexistence d’une offre adaptée au marché intérieur devant favoriser la consommation
de produits emballés afin d’en assurer la traçabilité et le développement des marques,
o L’offre marocaine demeure basique, les capacités d’innovation sont très faibles tant sur le
plan de la formation des compétences que sur le plan des appuis financiers,
o Les appuis à l’export, malgré les efforts réalisés au cours des dernières années, restent
insuffisants par rapport à des pays similaires et concurrents.
o Les moyens mis en œuvre pour renforcer les associations et fédérations professionnelles
et surtout les interprofessions demeurent insuffisants.
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1. La Filière Oléicole
La filière oléicole marocaine assure l’emploi de plus de 19000 personnes dans sa partie transformation
qui est composée de :
62 unités de conservation qui traite annuellement 172 000 T d’olive de table dont 42% est
exportées pour une valeur de 1,1 Milliard de DH
128 unités de trituration modernes, 605 unités semi-modernes et 16000 maâsras ou moulins
traditionnels pour une production annuelle qui varie entre 180 à 200 000 T d’huile d’olive
pour une valeur globale de 3,6 à 4 MMDH
La valeur globale de la production de la filière est estimée à 6 MMDH pour une valeur ajoutée de 1,3
MMDH2.
La filière oléicole sera la principale bénéficiaire du Plan Maroc Vert qui prévoit pour l’ensemble des
filières un investissement de 150 Milliards de DH d’ici 2020 pour une valeur ajoutée multipliée par
2,5.Analyse SWOT de la filière oléicole :
FORCE : FAIBLESSES :
Appui étatique dans le cadre du plan Maroc Vert Production
Production Performances culturales faibles : rendements
Superficie plantée en augmentation. insuffisants, fluctuation des récoltes, trop de
Accroissement des surfaces irriguées petites exploitations, coûts élevés de la cueillette
Bonne réputation de l’olive de conserve manuelle.
marocaine Manque d’appuis de conseillers agricoles
Bon niveau de satisfaction des besoins intérieurs Profil variétal peu diversifié.
par la production nationale ; Approvisionnement :
Transformation Fluctuation de l’offre et faible qualité de la
Nombreux transformateurs. matière première ;
Matériel en amélioration dans les principales Mauvaises conditions de récolte et de collecte
entreprises exportatrices des olives ;
Bon Niveau d’extraction d’huile de la « Circuit d’approvisionnement jonché par les
Picholine marocaine » intermédiaires.
Commercialisation Inflation des prix devenus non compétitifs
- Absence de quotas et de droits de douane sur Transformation
l’UE. Irrégularité de l’approvisionnement ;
Nombreux accords de libre échange Transformation peu encouragée car fiscalité
(TVA) pénalisante ;
Effets néfastes d’un secteur informel
prépondérant de conserveries d’olives ;
Niveau technologique de l’outil de
transformation peu développé ;
Nécessité de raffinage pour les 80% de la
production d’huile lampante
Absence d'auto - contrôle et d'assurance qualité
au niveau des unités de transformation
Critères de classification décalés par rapport aux
critères européens
Commercialisation
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Structures commerciales insuffisantes ;
Marché local dominé par le vrac donc par
l’informel et la vente au détail
Absence de promotion commerciale collective.
Marchés autres que l’UE dans pays émergents
insuffisamment développés.
Peu de produits à forte valeur ajoutée.
Des frais d’approche lourds et contraignants
OPPORTUNITES : MENACE :
- Disponibilité de terres non limitée ; Manque de rigueur de certains opérateurs
- Potentiel de développement de l’irrigation ; (traçabilité, HACCP…) ;
- Techniques culturales facilement améliorables ;
- Important potentiel du marché intérieur par suite de Peu de visibilité concernant la réforme fiscale
l’évolution de la consommation (faible taux de couverture (diminution du gap TVA entre produits agricoles
des besoins du pays) et sa produits transformés) ; maintien du vrac
Appréciation de l’art culinaire Marocain Croissance de la même dans les GMS
consommation des pays européens ;
Nombreux accords de libre échange
Peu de préoccupations environnementales ;
Forte concurrence des pays méditerranéens,
l’Espagne en particulier ;
Concurrence déloyale du secteur informel sur le
marché national ;
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Forces et faiblesses au niveau de l’amont agricole :
FORCE : FAIBLESSE :
Qualité dégustative reconnue de la variété Etalement limité de la campagne sur un mois
Canino Mauvaises conditions de production
Incitations pour le renouvellement du verger Non maîtrise des techniques de production
Les industriels s’impliquent de plus en plus dans agricole et de la récolte (mode de culture
la composante agricole (Agrégation) traditionnel)
Meilleure Implication des agriculteurs pour Utilisation limitée des variétés performantes
Réaliser la production dans les meilleures Productivité faible, tributaire des conditions
conditions possibles. climatiques
Existence de superficies d’extension favorables à Mauvaises Conditions de transport
la production Manque d’intégration et de moyens de
Amélioration des conditions de transport. communication efficaces entre agriculteurs et
Potentiel de productivité et de rentabilité industriels
important Approvisionnement (pour certaines unités) à
Faible coût de la main d’œuvre travers une multitude de canaux impliquant un
grand nombre d’intermédiaires
Non-respect des clauses du contrat par les deux
Parties contractuelles (cas d’achat par contrat).
Vieillissement du verger
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Analyse SWOT de la chaîne de valeur :
Force : FAIBLESSE :
Marché national BCC en croissance : Coûts de production pour le marché national non
Consommation per capita de produits des compétitifs par rapport aux produits importés en
secteurs analysés, aujourd’hui faible par rapport franchise de droits de douane
aux pays voisins ou développés Faiblesse des industries de 1ère transformation
Quelques sociétés pilotes structurées et Additifs techniques importés à des prix non
organisées dans chaque activité et capables de compétitifs (gélifiants, épaississants, texturants,
créer un leadership industriel vers la émulsifiants), arômes et colorants
compétitivité et l’exportation. Pas d’unité nationale équipée pour la préparation
Les entreprises du secteur, du fait de leur de corps gras adaptés aux BCC
structure propre de distribution, ont un contrôle Sauf pour quelques exceptions, insuffisance de
assez fort sur les circuits de distribution, compréhension et de compétences marketing
pour des métiers qui en exige le maximum.
Insuffisance des capacités d’innovation
Faiblesse de productivité, résultant des
insuffisances managériales, de formation de la
main d’œuvre de l’utilisation insuffisante des
capacités de production ainsi que de
technologies innovantes pour la productivité.
Taille limitée des entreprises rendant plus
difficile leur positionnement à l’international
Formation supérieure technique peu adaptée aux
besoins de la profession,
Pas de réelles compétences nationales en
conception du facing. Qualité d’impression
moyenne. Quasi impossibilité de réaliser au
Maroc les films de qualité supérieure.
Système bancaire structurellement peu orienté
vers les PME
Opportunités Menaces : MENACE :
Structuration en cours du secteur autour des Risque de continuer à copier des modèles
entreprises les plus dynamiques technologiques et commerciaux dépassés
Qualité des productions des entreprises les plus Retards dans le changement de culture
performantes au niveau international permettant d’entreprise au niveau de certains entrepreneurs
de lutter à armes égales (en ce qui concerne la du secteur.
qualité) sur le marché national et à l’export L’absence de culture produit et l’incapacité de
Coûts de production à l’export compétitifs nombreuses entreprises à s’engager dans une
Fortes opportunités de pénétration du secteur approche centrée sur la satisfaction du client
dans des marchés voisins comme l’Algérie et Culture de l’innovation produit et technique très
l’Afrique de l’Ouest qui sont en phase de peu répandue risquant de maintenir le secteur
démarrage avec un besoin de produits adaptés à dans une logique de copie peu génératrice de
ces marchés valeur ajoutée
Ouverture du marché européen dans le cadre de L’AB2C manque de moyens et de structure
l’Accord d’Association, Accords d’Agadir permanente
Ouverture des marchés africains dans le cadre Menaces graves de certains accords de libre-
d’accord bilatéraux et régionaux échange tant que persistent des droits de douane
Volonté de l’Etat de développer des capacités inadéquats sur les intrants
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industrielles compétitives et à forte valeur Absence de lutte significative contre l’informel
ajoutée commercial, destructeur reconnu de richesses
économiques et d’emplois.
Obstacles culturels à l’assimilation de la gestion
industrielle moderne dans les petites entreprises
Absence d’appuis scientifiques
Des espèces vivant sur les fonds marins (les poissons, les crustacés et les céphalopodes) ;
Des ressources pélagiques composées essentiellement de sardines, de maquereaux, d’anchois
et de chinchards ;
Des poissons migrateurs composés principalement d’espèces qui effectuent des migrations
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Avec une superficie globale de 111.400 ha en 2012/2013, la filière des agrumes constitue la
principale source de revenus pour 13.000 producteurs d’agrumes. Cette filière permet de
procurer, directement ou indirectement, un total de 21 millions de journées de travail par an
(soit près de 90.000 emplois permanents) et des recettes à l’export s’élevant à plus de 2,9
milliards de dirhams en 2013. Il est à signaler que 65% de la superficie totale plantée en
agrumes est équipée en système de micro irrigation.
La production annuelle moyenne d’agrumes réalisée au cours des campagnes agricoles 2008-2013,
s’est élevée à près de 1,6 million de tonnes, dont plus de 541 milles tonnes destinées à l’exportation
(soit près de 34% de la production). Le reste de la production (66%) est destiné à la consommation en
frais au niveau du marché intérieur et à la transformation. Particulièrement, la compagne 2013/2014
devrait enregistrer, sous l’impulsion du Plan Maroc Vert, un record de production avec plus de 2,2
millions de tonnes (cf. point : I.3.2.4. Perspectives de développement de la filière).
Sur le plan économique, les agrumes ont concentré près de 31% des exportations des produits
agroalimentaires frais en moyenne sur la période 2007-2013 avec un taux de croissance annuel moyen
de 2,1% et ces exportations ont oscillé autour d’une moyenne de 3,1 milliards de dirhams (période
2007-2013).
La production agrumicole provient des périmètres irrigués et les régions de production des agrumes
sont Souss-Massa (41% de la production globale), le Gharb (19%), l’Oriental (15%), Tadla (15%),
Haouz (8%) et Loukkos (2%). Le conditionnement des agrumes est réalisé au niveau de 48 stations de
conditionnement dont 24 au Souss, 20 dans les régions du centre et 17 dans l’Oriental. Ces stations,
d'une capacité totale de conditionnement de l'ordre 1.200.000 tonnes ont traité au cours des 5 dernières
campagnes (de 2007/2008 à 2011/2012) près de 70% de la production globale.
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IV. CONCLUSION :
Selon ce même rapport, les agriculteurs marocains s’adonnent à l’exploitation de produits primaires à
l’état brut au lieu de procéder à la transformation et à la valorisation des produits locaux. Aussi pour
remédier à cette situation, un contrat-programme relatif au développement des industries
agroalimentaires au Maroc, a été signé durant les Assises de l’agriculture de 2017. Pour revenir au
comportement du dirham alimentaire, durant ces dernières années, la DEPF a relevé des changements
«positifs» dus, entre autres, aux actions stratégiques engagées par le Plan Maroc Vert. Ces
changements sont visibles au niveau de la part de la valeur ajoutée des branches, issue de la demande
finale alimentaire. Celle-ci a enregistré un gain de 6,6 points, passant de 67,8% en 2007 à 74,4% en
2014.
Derrière cette bonne performance, l’industrie agroalimentaire a vu sa part s’améliorer de 5,8 points
durant cette période et à l’agriculture avec un surplus de 2,5 points pour atteindre 30,5% en 2014,
contre 28% en 2007. De ce fait, une baisse des parts des importations des produits alimentaires finales
et intermédiaires entre 2007 et 2014 a été enregistrée. «Ces dernières se sont nettement décélérées
durant la fin de la période d’étude induisant ainsi, une baisse de leurs poids dans la demande finale
alimentaire. Les importations finales ont vu leur part reculer de 1,7 point entre 2007 et 2014 pour
atteindre 13,3% en 2014. De même pour la part des importations intermédiaires qui a régressé de 2,7
points entre les deux dates pour se situer à 7,1% en 2014», constate la DEPF. De son côté, la part des
services a stagné autour de 1% durant toute la période d’étude qui précise que «la non-amélioration de
cette part dans la valeur des produits alimentaires signifie que les services ne sont pas suffisamment
incorporés à l’offre alimentaire». À signaler que les taxes représentaient près de 6% de la valeur de la
dépense alimentaire en moyenne sur la période 2007-2014.
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Chapitre 2 : l’industrie agro-alimentaire à la région Fés-Méknes
I- Introduction :
Fès-Meknès est l’une des régions les mieux loties au niveau national, en termes de
potentialités agricoles. Conditions climatiques favorables à une diversification agricole,
existence d’un potentiel important en terrains Bour pouvant faire l’objet d’aménagements
fonciers, important bassin de terres irrigables, savoir-faire séculaire en matière de productions
agricoles…. À ces atouts s’ajoute une dynamique industrielle et commerciale importante
autour des filières agricoles avec l’émergence d’un tissu d’organisations professionnelles des
agriculteurs, des efforts de modernisation des vergers et secteur avicole et l’existence d’une
importante infrastructure agro-industrielle privée notamment pour le lait, l’olivier et les
céréales. Ces atouts font que les opportunités d’investissement demeurent importantes,
d’autant plus qu’il y a un retard à rattraper en matière de productivité et de valorisation des
productions, notamment au niveau des principales filières. En termes d’encouragement des
investisseurs, le CRI de la région rappelle plusieurs incitations : l’existence d’un cadre
juridique favorable aux investissements agricoles, la place de la région dans la stratégie des
pouvoirs publics, notamment pour le développement rural… Mais de toutes ces actions, le
Plan Maroc vert (PVM) est sans conteste le principal vecteur de développement du secteur
dans la région.
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II- L’effet du PMV sur la région :
Lancé en 2009 par le ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime, le PMV a
donné un coup d’accélérateur à toutes les filières agricoles. Pour la région, il a fixé
plusieurs objectifs à travers la mise en valeur de l’ensemble du potentiel agricole
territorial. Deux piliers de développement ont été établis : le premier vise le
développement accéléré d’une agriculture moderne, compétitive, à haute valeur
ajoutée et adaptée aux règles du marché, et le second ambitionne la mise à niveau
des acteurs fragiles et la lutte contre la pauvreté rurale à travers l’amélioration du
revenu agricole. En termes d’objectifs chiffrés, l’on a placé la barre très haute :
augmentation de 34% de la production céréalière, hausse de 200% de la production
d’olives, bond de 80% de la production du maraîchage et des légumineuses, de
78% pour le lait, de 69% pour les viandes rouges et une augmentation de 349%
pour les viandes avicoles. Près de 7 ans après le lancement du plan, les efforts
commencent à donner les résultats escomptés. Ainsi, selon la Direction régionale
de l’agriculture, le rendement moyen est actuellement de 30 quintaux/hectares
contre 19 Qx/Ha auparavant. Certains producteurs plus performants peuvent
produire jusqu’à 60 Qx/Ha. «Le PMV, destiné à moderniser et structurer le secteur
agricole, est désormais devenu un facteur clé de la croissance socio- économique
et de la compétitivité de l’agriculture marocaine», indique la direction. Selon elle,
la région Fès-Meknès va, à terme, représenter 40% de la production agricole
nationale, et le plateau de Saiss sera le 2e grenier du Maroc en termes de
production de céréales.
III- LE SIAM :
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La vocation agricole de la région est confortée par l’organisation du «Salon
international de l’agriculture au Maroc» (SIAM) à Meknès. Cette année, le salon a
tenu sa 11e édition, en avril dernier, sous le thème «Agriculture résiliente et
durable». Pendant 6 jours, il a été organisé sur une superficie globale de 172.000
m², a reçu plus d’un million de visiteurs et 1.220 exposants, 21 délégations
étrangères y ont pris part, et il a connu la participation de 63 pays. À cela
s’ajoutent les conférences-débats, la signature des conventions… Au fil des
années, le SIAM a opéré une montée en puissance qui lui a valu une renommée
internationale.
1-MAASSRA :
2- CONSERVE OUALILI :
C'est en 1981 que CONSERVES OUALILI fait son apparition au Maroc, avec
l'ouverture à Meknès de son usine agroalimentaire. Olives, huile d'olive, citron confis.
harissa, confiture. condiments. etc. ... Des produits qui ont su conquérir très tôt le
marché local et international grâce à leur qualité, à notre base compétitive. notre
capital humain et à travers une politique constante d'élaboration et de recherche à
l'étranger et au Maroc. CONSERVES OUALILI vise essentiellement la satisfaction
des besoins divers de tous ces clients, car notre équipe s'est dotée des outils de
production très sophistiqués. pour des produits de premier choix et une capacité de
production annuelle de 18 000 tonnes toutes variétés confondues.
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C’est en 1956 que Monsieur Brahim Zniber a démarré son aventure viti-vinicole. Sa
passion de la terre et de la vigne, associée à une farouche volonté de redonner aux vins
marocains leurs lettres de noblesse, a été à l’origine de la création en 1976 de l’ancêtre
des Celliers de Meknès, la société « Samavin », devenue au fil des temps, « Meknès
Vinicole ». Puis « Meknès vins », et enfin « Les Celliers de Meknès ». Les Celliers de
Meknès est aujourd’hui la société marocaine la plus importante du secteur, et a
toujours été au cœur de l’évolution de la viti viniculture marocaine. Des premières
Appellations d’Origine Garantie, à la création en 1998 de la première Appellation
d’Origine Contrôlée : « Les Coteaux de l’Atlas ». Ainsi qu’à la création en 2003 du
premier « Château » marocain « Château Roslane », « les Celliers de Meknès » ont
toujours œuvré à rehausser la qualité des vins marocains, fruit d’un travail acharné,
d’une passion partagée par des hommes et des femmes engagés dans une quête
permanente de la qualité. Les vins issus des chais de Meknès représentent aujourd’hui
des produits reconnus tant au niveau national qu’international et les nombreuses
médailles et récompenses obtenues lors de concours internationaux prestigieux en
témoignent. Avec plus de 25 millions de bouteilles produites annuellement, « les
Celliers de Meknès » ont l’ambition de voir des vins marocains authentiques,
originaux et qualitatifs de plus en plus présents sur toutes les tables du monde.
5-MINOTRIE OTHMANE :
Minoterie Othmane a été créée en Août 1994. Elle commercialise une gamme de
produits, 100 % à base du blé dur, depuis juillet 1995. Tout au long de ces années,
Minoterie Othmane a tissé des relations commerciales avec plus de 350 clients actifs
sur plus de 1000 clients identifiés, dans les quatre coins du royaume. Dans un marché
fortement concurrentiel, Minoterie Othmane a su s’imposer par sa rigueur et
régularité. Classée parmi les cinq premières unités de blé dur au niveau national, elle
est considérée comme l’une des entreprises les plus importantes et une référence dans
le secteur.
6- AICHA :
En 1929, la marque Aïcha existe déjà sur les boîtes de conserve de l’établissement «
Neyron & Sibut » qui destine alors l’essentiel de sa production à l’export. Mais son
histoire commence réellement lorsque la famille Devico rachète l’entreprise en 1962,
qui s’appellera désormais LCM (Les Conserves de Meknès). Son dirigeant décide dès
cette époque d’investir sur le marché local et de mettre en avant sa marque, Aïcha. En
quelques années, il assure à LCM une place de choix sur le marché agroalimentaire au
Maroc. Dans l’usine d’Aïn Slougui à Meknès, Aïcha fonde sa réputation d’excellence
autour de sa conserverie, destinée aux deux produits phares – confiture et concentré de
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PROJET DE FIN D’ETUDES (CP2A) 19
tomates ; de son huilerie et de sa raffinerie ultramoderne dont les huiles raffinées sont
destinées en grande partie à l’export.
7- VALENCIA :
AGRO JUICE PROCESSING (AJP) est la plus jeune équipe opérant dans
l’agroalimentaire en Afrique. Ce nouvel entrant a démarré ses activités en juin 2011 à
Meknès. L’entreprise s’estive fait remarquer par la commercialisation de jus sous la
marque Valencia. Cette dernière a visé en premier lieu à démocratiser son produit
auprès des consommateurs. Cette démocratisation passera donc par l’instauration d’un
rapport qualité/prix très considérable et cela dans le but d’intégrer le jus de fruit dans
les habitudes de consommation des marocains qui ne sont pas encore très friands de
jus de fruits industrialisés en comparaison avec les pays de la région. Valencia a ainsi
redistribué les cartes dans le marché des jus de fruit au Maroc ; offrant un produit de
qualité exceptionnelle dans un emballage sain et écologique à des prix imbattables.
Devant un tel succès nous ne pouvons dénier l’habileté avec laquelle le groupe AJP a
su gérer les quatre variantes du marketing mix.
8- CENTRALE LAITIER :
La centrale laitière est une société anonyme crée en 1959.elle fait partie du groupe
Omnium Nord-Africain (ONA) qui est le principal actionnaire avec 55,10 % des
actions. La société est spécialisée dans l’agro-alimentaire, plus précisément dans le
secteur laitier. Son capital s’élève à 94.200.000 MDH et son introduction en bourse
était le 07/10/1974. L’entreprise est pionnière dans ce secteur et monopoliste environ
60% du marché. Elle travaille sous licence obtenue du groupe mondial «GERVAIS-
DANONE» ce qui lui permet d’utiliser les processus protégés de ce groupe et
d’apposer leur marque sur les produits de l’usine, celle-ci étant un gage de qualité
certain.
9-CONSRVES NORA :
Son Activité est l’export-import de toutes conserves de légumes, fruits ou jus de fruits,
graines de semences.
10-PROVIMAC :
Son activité est la fabrication d'aliments composés pour l'alimentation des animaux
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PROJET DE FIN D’ETUDES (CP2A) 20
11- STE DE VINIFICATION ET DE COMMERCIALISATION DU VIN :
Son activité est l’achat vente création et l’exploitation de toutes usines et raffineries
d'huile import-export transformation de tous produits agricoles -tous produits de
savonneries.
13-Moulins Fejjaline :
14-Saiss Céréales :
V -Conclusion :
Ces plans portent sur l’augmentation des niveaux de production des différentes filières
identifiées, l’amélioration de la qualité et des conditions de commercialisation de la
production, l’amélioration des niveaux de valorisation de l’eau d’irrigation avec, en
toile de fond, des impacts chiffrés sur la création d’emplois. Les plans régionaux, pour
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avoir été largement débattus au niveau local, ont été assimilés par les partenaires. Le
plan, dans son ensemble, est mis en œuvre, en ce qui concerne la préparation du cadre
institutionnel devant servir à sa conduite, et des premières réalisations sont déjà
identifiables (voir encadré). Pas de temps à perdre, 2020 c’est demain.
I- Introduction :
Echantillons : 70 personnes
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Type des questions : fermes et ouverts
JAOUDA :
Tout commence en 1987 avec la création de Copag, sous l’impulsion de Taoufik hadj
Ahmed et de M’hamed Loultiti, agriculteur de la région de Taroudant et actuel
président. L’ambition première était alors d’organiser la production d’agrumes et de
profiter du processus de libéralisation des exportations décidé par les pouvoirs publics
marocains à la fin des années 80. La Copag se lance donc dans l’exportation de fruits à
destination de l’Europe principalement. Ce n’est qu’en 1993 qu’une petite laiterie est
inaugurée sur le même site de Taroudant grâce au cheptel de vaches laitières que
possédaient les adhérents. 6 000 litres de lait étaient alors collectés par jour et
transformés pour être vendus dans la région sous forme de sachets de lait pasteurisés
et de yaourts emballés en pots préformés, d’abord sous l’appellation El Jaouda.
DANONE :
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Créée dans les années quarante, Centrale Laitière est pionnière de l'industrie laitière
au Maroc. Dès 1953, l'entreprise devient partenaire du groupe Danone, référence
mondiale avec qui elle partage les savoir-faire. Centrale Laitière devient filiale en
1981 du Groupe ONA, bénéficiant de l'expertise, des synergies et du réseau de
compétences du premier groupe privé marocain. Au cours de ses longues années
d'existence, Centrale Laitière n'a cessé d'innover et de créer des produits sains et
équilibrés, au service du bien-être de millions de consommateurs à travers tout le
Royaume. Cette société a une production annuelle qui dépasse les 626 631 tonnes de
lait et de produits laitiers ultra frais tel que les desserts, les boissons, les yaourts et les
fromages. Par conséquent, celle-ci détient 65% de parts de marchés. De plus, Centrale
Laitière fédère et soutient 850 centres de collecte regroupant 112 000 éleveurs laitiers
à travers tout le Maroc. Sa flotte de camions citernes sillonne chaque jour six grandes
zones de collecte : Tadla, Haouz, Doukkala, Chaouia, Gharb - Loukkos et Saiss -
Zemmour. Centrale Laitière maintient une relation étroite avec les éleveurs
partenaires, leur apportant un soutien important et une formation permanente. Enfin,
Centrale Laitière compte à ses actifs quatre sites de production (Salé, El Jadida,
Meknès et Fkih Ben Salah), 550 camions, 21 agences commerciales et une distribution
dans plus de 65 000 points de vente.
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Figure1 :
Commentaire1 :
Après les résultats de synthèse de réponses la plupart d’échantillon sont des consommateurs
fidèles des produits laitier et dériver.
Figure2 :
Commentaire 2 :
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27.9% des personnes utilisent les produits laitiers chaque semaine.
Figure3 :
Commentaire 3 :
Alors la conclusion c’est qu’il y a une domination de marque de la marque de Danone par un
pourcentage de 62.3%.
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Figure 4 :
Commentaire 4 :
Cette courbe explique la cause pour laquelle les répondeurs préfèrent la marque Danone :
Qualité : 48.5%
Gout : 40.6
Figure5 :
Commentaire 5 :
Après la synthèse le produit le plus utilisable dans la marque Danone c’est le yaourt.
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6-avez-vous déjà vu la procédure de production ?
Figure 6 :
Commentaire 6 :
Après l’observation la plupart des répondeurs n’ont jamais l’occasion de connaitre le processus de production
d’une boite agroalimentaire.
Figure 7
Commentaire 7 :
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Donc un important pourcentage des répondeurs sont satisfait de produit proposé par la marque
Danone (lait yaourt…)
8- si non, pourquoi ?
Commentaire 8 :
Conclusion :
Le résumer de cette enquête c’est que l’entreprise leader dans le domaine laitier et dérivés est
Danone grâce à la qualité.
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III- AJP agro juice processing :
Agro Juice Processing est un complexe Agro-industriel basé à Meknès, spécialisé dans la
production, conditionnement ainsi que la commercialisation de jus de fruits, Jus au lait et
Lait aromatisé. AJP est spécialisé également dans l’importation et la distribution des
produits agroalimentaires à travers ses 12 plateformes de distribution réparties sur
l’ensemble du Royaume.
Certifié HACCP / ISO 22000, Agro Juice Processing est l’un des complexes agro-
industriels les plus sophistiqués à l’échelle continentale doté d’une technologie de pointe
développée par Tetra Pak.
Agro Juice Processing est le leader dans l’industrie des jus au Maroc avec sa marque de
jus « Valencia ».
Agro Juice Processing est présent dans plusieurs continents, exportant les jus de fruits
100%, nectars, boisons, jus au lait et lait UHT aromatisé. Ses produits sont disponibles
dans différents formats : 1L, 250ml, 200 ml et 125 ml.
Grâce à son pôle recherche et développement, Agro Juice Processing est la marque leader
dans l’innovation des produits axés sur la santé.
Taille : PME
En plus de la large gamme des jus valencia Ajp commercialise plus de 300 référence de
produits fabriquer par ces partenaire national les biscuits , les cracks , les gaufres , sauces
concentré de tomate
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Refroidissement : diminuer la température de produit (jus lacté >7°C).
Pasteurisation : traitement thermique le jus est chauffé à température > 95°C pendant 30
seconds.
3) Nature de demande :
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IV- KOUTOUBIA :
Koutoubia est entreprise marocaine opérant dans le secteur agroalimentaire, spécialisée dans
la charcuterie. Elle a été fondée en 1985 à Mohammédia par Mohamed Belghiti Khennoussi,
un Marocain résidant à l'étranger (France), rachetée par Taher Bimezzagh. La marque connaît
un véritable succès à partir de 19993, actuellement Koutoubia produit plus de 8 millions de
tonnes par an et approvisionne 70 % du marché marocain et avec pas moins de 60 produits
différents.
2) Nature de demande :
3) Nature de demande :
Le marché local
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V- CONCLUSION :
On constate après l’enquête qui était réaliser que la plupart de population acquissent leurs
besoins quotidiennes des produits alimentaire à base de plusieurs critères permis elles c’est la
qualité et l’image de l’entreprise c’est pourquoi l’entreprise DANONE et préférable que
JAOUDA par exemple.
Aussi après l’étude de cas des deux sociétés agroalimentaire VALACIA et KOUTOUBIA on
observer la diversité des produits commercialiser et les différentes types de demandes sois
locales ou vers l’étranger on trouve dans ces deux cas éducatives que chaque boite se vocalise
sur certain marché potentiel et partagent le but d’augmenter le chiffre d’affaire par
l’amélioration de processus de production et la réduction des dépenses.
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Conclusion général :
Conclusion générale :
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Malgré la présence de grandes entreprises dans les secteurs d’activité analysés, la production
nationale reste insuffisante par rapport à la demande du marché qui continue à être satisfaite
par les produits importés. Mais cette demande est encore insuffisante pour des raisons liées
aux habitudes de consommation.
ANNEXE :
Annexe 1 :
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Annexe 2 :
Annexe 3 :
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Annexe 4 :
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Annexe 5 :
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Biographie :
Feuille_de_route_secteur_agroalimentaire_final
Agroalimentaire-MAROC-2014
export agrumes
Fiche_Resumee_agroalimentaire
http://www.lorpm.eu/upload/portail/Secteurs_metiers/web_FS_agr
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https://www.lemoci.com/fiche-pays/maroc/
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pdf
https://www.usinenouvelle.com/l-usine-maroc/
http://lavieeco.com/news/histoire-des-marques-au-
maroc/koutoubia-plus-de-10-millions-de-kg-2225.html
http://lavieeco.com/news/histoire-des-marques-au-maroc/jaouda-
17-ans-25-millions-de-berlingots-de-lait-yaourts-et-jus-vendus-
chaque-jour-18702.html
http://www.copag.ma/nos-activites/
https://www.doc-etudiant.fr/Commerce/Management/Rapport-
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XCAS/ISIN/profilCompany;jsessionid=CEA0DC7E5D2FD7895B
D11DD101EBB290.FDD0092FFA904E69FA
http://valenciamaroc.com/notre-ethique/#1490797666373-
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https://www.kerix.net/fr/annuaire-entreprise/sonaco
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