Nous avons tous écouté cet argument censé être infaillible, sur les inégalités salariales, les
différentes associations et figures du féminisme contemporain, les médias de masse, les
politiciens de tout bord et les célébrités artistiques, sportives et intellectuelles, tout le
système politico- médiatique bien-pensant parle d'une seule voix et répète un mensonge à
des fins idéologiques, en espérant que celui-ci, à défaut d'être vrai, aura au moins le mérite
d'ancrer cette fausse réalité dans l'imaginaire collectif, et c'est bien l'objectif.
Le procédé expliqué, nous pouvons commencer à analyser la crédibilité d'une telle étude,
nous savons tous, et des études très sérieuses, et cette fois-ci réellement irréfutables le
montrent, que les hommes s'orientent naturellement vers des métiers à forts salaires (des
métiers plus techniques), et de l'autre côté, les femmes s'orientent, malgré certaines mesures
d'imposition de quotas prises par certains pays occidentaux, vers des métiers à faibles
salaires (des métiers en relations avec les sciences humaines notamment), et ces mêmes
études montrent aussi que la plupart, avec certaines exceptions évidemment, des plus gros
salaires, c'est-à-dire, les grands patrons des grandes entreprises, sont des hommes, car ces
derniers prennent plus d'initiations et sont plus entreprenants que leurs collègues féminins,
ces données fausses considérablement une moyenne globale à tous les hommes, concernant
sur l’ensemble de leurs revenus, car les plus gros salaires, même s'ils ne représentent pas la
majorité, vont élever la moyenne, et de ce fait fausser l'idée qu'on pourra s'y faire.
Un autre point, que nous allons juger faible, de cette étude, et des études de ce type de
manière générale, c'est la prise en compte de travail à temps partiel, ce critère contribue
considérablement à la baisse de la moyenne générale des salaires chez les femmes, tout
simplement, car les femmes travaillent plus à temps partiel que les hommes.
Un autre argument qui viendrait contredire les conclusions de cette étude, les hommes
travaillent généralement plus longtemps (heures de travail par semaine), et s'orientent vers
des métiers risqués et souvent très loin de chez eux, ce qui augmente leurs revenus avec des
heures supplémentaires payées en double, et les primes relatives au risques pris et à
l'éloignement.
La plupart des pays possèdent des grilles de salaires, relatives à chaque métier et aux heures
de travail et à l'ancienneté, sans préciser ni distinguer entre les hommes et les femmes, par
exemple un enseignant homme du secteur public, ayant une charge horaire de 35 heures et
possédant une expérience de 15 ans dans l'enseignement par exemple, va toucher le même
salaire qu'une femme enseignante avec les mêmes caractéristiques, et cela dans la plupart
des pays occidentaux, ce qui contredit l'argument d'une quelconque discrimination
systémique envers les femmes de la part d'un soi-disant système patriarcat.
D'autre études, dont celle mentionnée fait partie, qui essaient de prendre le maximum de
critères possible, pour éviter de tomber dans une simplification absurde mentionnée un peu
plus haut, arrive facilement à un chiffre plus correct et plus réaliste de 12,8 %, ce chiffre
fait tout de même référence à un écart de salaire, entre les femmes et les hommes, et en
appliquant la règle mathématique utilisée dans l'étude, le produit en croix, ce pourcentage
descend à 10,5 %, cet écart mimine reste tout de même un écart, mais peut être expliqué par
des critères subjectifs relatifs à la nature de chaque individu, au moment de négocier son
salaire, par exemple, un homme ou une femme, confiant(e) et sûr(e) de lui ou d'elle, va
négocier un salaire plus élevé qu'un homme ou une femme qui travaille dans la même
entreprise, occupant un même poste et avec les mêmes atouts professionnels que la
personne décrite précédemment, mais dont les caractéristiques humaines sont à l'opposé.
Sans distinction de sexes, deux hommes occupant dans une même entreprise, un poste
identique, ne touchent pas forcément le même salaire, un écart qui s'explique par des
critères subjectifs, certains mentionnés précédemment, et non pas par une discrimination
automatique causée par le système patriarcat, favorable uniquement aux hommes, sinon les
employeurs vont recruter que des femmes pour faire baisser leurs charges, notamment celle
salariale, ils existent des facteurs impossibles à mesurer ni à intégrer dans une étude
globalisée, avec le même raisonnement, nous pouvons aller encore plus loin, et intégrer
d'autres critères parfois subtiles, et qui sont incalculables pour être intégrer correctement
dans une étude.
Un tweet datant de de l’entreprise française des chemins de fer SNSF, mettant en avant un
écart de salaires entres ceux des femmes et ceux des hommes de 4 %, a déclenché les
foudres des féministes 2.0, qui réclamaient violement et sans essayer de comprendre le
chiffre de 0 %, malgré les explications de l’entreprise qui mettait en avant l’ancienneté de
ses employés, les heures de travail et le positionnement dans l’entreprise, des critères que
nous pouvons ajouter à ceux subjectifs, les féministes 2.0 ne réfléchissant que par leur
idéologie n’avaient que faire de leurs explications, et ne se donnaient même pas la peine de
comprendre comment fonctionne et se gère une entreprise, un exemple typique du poids de
l’écart cette fois-ci réel, entre l’idéologie de ces féministe et la réalité.
Un mensonge répété plusieurs par plusieurs personnes, surtout si celles-ci sont influentes,
n'a pas pour but de le rendre vrai, mais l'objectif réside à implanter dans l'imaginaire
collectif, une soi-disant injustice sociale qu'il faudrait rapidement corriger, et de ce fait
culpabiliser les masses à des fins idéologiques, dans le but de faire progresser les idées des
défenseurs de cette idéologie, qui ne se soucient plus de chercher la vérité ni atteindre un
objectif concret et sein, mais jouent sur l'émotion à défaut d'avoir de vrais arguments, les
meneurs le savent bien et manipulent ce qu'on appellent en sociologie, les suiveurs, comme
leur nom l'indique, suivent naïvement, en buvant les paroles des meneurs, et croient servir
une cause juste idéalisée par l'endoctrinement de cette même idéologie, ce qui fait d'eux,
des idiots utiles d'une machination qui les dépasse, ne soyez ni l'un ni l'autre, forgez votre
propre opinion, en réfléchissant par vous-même, et en ayant un esprit critique pour ne pas
avaler tout ce qu'on nous raconte.
40 ans jour pour jour, après la création de la première chaîne d'informations en continu
CNN, le premier juin 1980, symbole de la domination étasunienne sur l'information et de
l'influence que possède le pays de l'oncle Sam sur le monde. En effet avec la
démocratisation progressive de la télévision dans les foyers de beaucoup de pays du monde,
la culture étasunienne et anglo-saxonne de manière générale, pénétraient les consciences
des gens, au travers des médias de masse, le cinéma, la musique et les nouvelles
technologies qui étaient révolutionnaires pour l'époque.
L'information n'est que le reflet de l'idéologie que nous voulons transmettre, nier cette
évidence, c'est faire preuve de mauvaise foi, et se cacher derrière une soi-disant neutralité et
objectivité journalistique que personne n'applique ni même ne croit, aux médias étasuniens,
s'ajoutent ceux européens tellement bien-pensants et politiquement correct pour la plupart,
les États des pays qu'on croyaient morts ou absorbés, par la vague de la victoire de la guerre
froide par les États-Unis d'Amérique, contre-attaquent et mettent en pratique l'expression,
le retour du feu.
Nier cette guerre de l'information, c'est nier la guerre tout court, car si notre siècle est
épargnés pour l'instant d'une guerre direct comme celles réalisées au XIXème siècle pour la
domination et l’hégémonie d'une nation sur les autres, notre siècle sera celle de la guerre de
l'influence, une influence qui passera sans doute par l'information, celui qui détiendra et
aura le monopole de l'information, pourra la manipuler et étendre sa sphère d'influence,
tous les pays l'ont compris, et ceux qui croient que l'information est faite par des
journalistes, tenus par leur rôle de médiateur entre l'information et le public, et se doivent
donc d'être neutres et objectifs, sont très loin de la réalité, le métier de journaliste, à
quelques exceptions près, a beaucoup évolué, le journalisme est devenu une idéologie et les
journalistes, des agents de cette idéologie, d'autres acteurs géopolitiques l'ont compris et
essaient de faire pencher la balance, et jouent ouvertement leurs cartes, à défaut d'illusions,
jouent cartes sur table et annoncent la couleur, ils ont le mérite d'être francs et directs,
même si leurs ambitions sans insoupçonnées, mais ceux qui les considèrent comme les
camp du mal absolu, font preuve d'un amateurisme et reçoivent le retour du bâton, un bâton
synonyme de neutralité journalistique et qui depuis longtemps se sont cachés derrière.
Chacun doit forger lui-même son opinion, critiquer positivement c'est vouloir comprendre
et en savoir plus, nous ne partageons que des éléments qui se voudraient pertinents, libre à
vous d'être ou non d'accord.