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Orthogéométrie ibérique. 1
Il se pourrait donc, et c’est ma conviction, que la confusion ne
soit pas si confuse que cela ; la Sainte Vierge ayant joué volontairement sur les
difficultés de la traduction. Côté farceur du peuple-fée, ou préparation du futur ?
D’autant que Zumarraga, située au nord de l’Espagne, reçut la
visite de la Noble Dame en 1931, sans doute pour marquer le 400 è anniversaire
de l’événement mexicain.
Quant à Zamora, qui eut droit à son atterrissage d’OVNI, c’est
une autre curiosité, qui va, là aussi dans le sens d’une ‘’ divine ‘’ galéjade.
C’est l’épisode archi connu de l’atterrissage d’un OVNI aux
abords de la ville de Socorro, au Nouveau-Mexique, le 24 avril 1964. J’ai
présenté ma solution orthogéométrique dans la revue Sentinel Ufo News, à
Châlons en Champagne en octobre 2005, et dans ma conférence du site Internet
de Radio Ovni de J.N. Degain. Il s’agit du triangle rectangle demi-carré long :
Socorro-Alamogordo-Clovis, puisque aucune ville de France ne porte le nom de
ce monarque, Louis premier, occulté par L’Histoire, et remplacé par Louis
deux dit le Pieux. ( selon Clovis, par Michel Rouche, page 202 ).
Plus extraordinaire encore, et montrant bien que tout est calculé
par les Responsables des OVNI, l’unique et irrécusable témoin de cet
atterrissage, attiré sur les lieux par les ufonautes, est un policier du nom de
Lonie Zamora !
Quand les coïncidences sont trop nombreuses, elles
deviennent des actes volontaires.
Tout ceci méritant réflexion, j’optai pour la réalisation de deux
cercles ayant comme centres respectifs : Guadalupe et Zamora, mieux placés
que Zumarraga, par exemple, trop haute géographiquement.
Restait à trouver les extrémités des rayons comme points de
chute. Il me parut logique que ce fut Fatima pour le premier, et les grottes
d’Altamira pour le second ; les diamètres étant de 560 et 480 kilomètres.
L’ensemble couvrait une bonne partie des deux pays.
Rapidement, quelques tracés se dégagèrent, certains fournissant
les angles d’un trapèze entièrement inscrit dans le cercle Guadalupe-Fatima,
dont les deux côtés avaient une longueur égale à la petite base, soit 363
kilomètres ; la grande base mesurant 480 kilomètres, et la hauteur : 359. Aucun
rapport remarquable ne se dégage de ces chiffres.
Croquis n° 1 ci-dessous :
Orthogéométrie ibérique. 2
On remarquera que l’angle sud de ce trapèze est le résultat de la
perpendiculaire à la ligne Fatima –Albacète, issue des Grottes d’Altamira, et
survolant le posé de Aguilar de Campoos, et terminant sa course à celui de
Algésiras.
Pour finir cette figure, Guadalupe et La Codosera ( A.M. 1945 )
s’associent pour déterminer le coin ouest.
Croquis N° 2 ci-dessous :
Orthogéométrie ibérique. 3
Enfin l’angle sud-ouest E est sur la prolongation de la ligne allant
du posé de Cambril del Mar, à celui de Almendralejo. Ce tracé possède la
particularité de recouper la trajectoire qui relie les coins ouest et est du cône-
trapèze, et qui se prolonge également jusqu’à Ibiza. Ce qui serait très banal, si ce
recoupement ne s’effectuait pas en plein sur la perpendiculaire de cette relation
ouest-est. Elle part du coin sud du cône, passe par Guadalupe pour terminer sur
ce cercle en F. Nous verrons que cette lettre a son importance.
Le coin est du trapèze confirme la validité de l’angle C du
pentagone, en envoyant un émissaire qui coupe Cuenca, pour aller saluer
Zumarraga ( A.M. 1931 ).
Attaquons à présent une série de lignes orthoténiques pures.
J’entends bien sûr, par lignes orthoténiques, des droites se recoupant entre elles,
ou avec les côtés des deux figures géométriques, qu’elles ne font que confirmer,
ce qui n’est déjà pas si mal. Le tout selon des configurations insolites, mais sans
former de nouveaux polygones.
Croquis N° 3 :
Orthogéométrie ibérique. 4
Commençons par le côté est-sud du trapèze. Il est traversé en son
milieu par une ligne qui prend sa source sur le croisement ouest des deux
cercles, situé au Portugal. Elle se poursuit toujours dans ce pays, par
l’atterrissage de Oliveira Do hospital, puis en Espagne avec Guadalupe, pour
finir au posé de La Union.
Croquis N° 4 :
Croquis N° 5 :
Orthogéométrie ibérique. 5
Autour du côté B – C. Son centre n’est pas concerné, mais il sert
de carrefour à deux autres droites. Excusez du peu pour la première, mais le petit
atterrissage de Salamanca, fait pâle figure entre Fatima et Lourdes ( A.M 1858 ).
Le troisième partenaire comporte trois apparitions mariales, et
deux posés d’OVNI. Ces derniers sont : Gerena et Guadalcanal. Les visites de la
Vierge sont réservées à El Escorial ( 1981 ), Aranzazu ( 1469 ), et le désormais
connu Zumarraga.
Croquis N° 6 ci-dessous :
Orthogéométrie ibérique. 6
Croquis N° 7 :
Croquis N° 8 :
Orthogéométrie ibérique. 7
Le dernier côté A –E du pentagone entre en scène. Comme par
hasard, son milieu se place sur la circonférence de centre Zamora. Une ligne
issue de ce point passe par Oliveira do Hospital pour rejoindre Calenda ( A.M.
1640 ), où un amputé d’une jambe depuis plusieurs années, retrouva celle-ci
greffée, un matin à son réveil.
Toujours sur A – E, mais partant du point sécant avec le cercle
Zamora, une perpendiculaire à : coin sud du cône / Guadalupe / F, poursuit sa
route jusqu’à rencontrer sur le cercle Guadalupe, la ligne Oliveira do Hospital /
Calenda.
Croquis N° 9 ci-dessous :
Orthogéométrie ibérique. 8
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Orthogéométrie ibérique. 9