(La louange est à Allah le Seigneur des mondes à Lui nous demandons l’aide dans les
affaires mondaines et religieuses. Que Dieu élève davantage en degré le rang de notre
maître Mouhammad le sceau des prophètes et qu’Il le préserve de ce qu’il craint pour sa
communauté et sa famille, pure et ses compagnons élus ni de force que par Allah, Al-
^Aliyy, Al-^adhim.
Après cette introduction, certes la science est une lumière et l’ignorance est un
égarement une confusion et une destruction. Parmi ce qui est honteux de la part du
responsable, c’est d’agrée pour lui-même l’état des gens abjects et en perdition.
D’après Talhah Ibnou ^Oubaydi-Llah, que Dieu l’agrée, qu’un bédouin est venu au Messager de Allah Salla
Llahou ^alayhi wa sallam en ayant les cheveux ébouriffés. Il a dit: « Ô Messager de Allah, informe-moi ce que
Allah a rendu obligatoire sur moi au sujet de la prière ». Il lui a dit, ce qui signifie : « les cinq prières à moins
d’ajouter des prières sounnah ». Il a dit « informe moi de ce que Allah a rendu obligatoire sur moi au sujet du
jeûne ». Il a dit, ce qui signifie : « le mois de Ramadan à moins que tu ajoutes des jeûnes sounnah ». Puis il a
dit « informe moi de ce que Allah a rendu obligatoire sur moi au sujet de la Zakat », Alors le Messager de Allah
Salla Llahou ^alayhi wa sallam l’a informé de la Loi de l’Islam. Il a dit : « par Celui qui t’a honoré, je n’ajouterai
pas quelque chose ni n’en diminuerai de ce que Allah a rendu obligatoire sur moi ». Alors, le Messager de Allah
Salla Llahou ^alayhi wa sallam a dit, ce qui signifie : « Il a réussi, s’il dit vrai » ou « il rentre au paradis, s’il dit
vrai » fin de citation.
(Dès lors, j’ai vu) en cela (l’importance de rassembler ce résumé) extrait des livres :
« Kifayatou l-ghoulam » et son explication de ^Abdoul Ghaniyy An-Naboulouciyy, du même
auteur « Nihayatou l-mourad », du « Moukhtasar ^Abdoullah Al-harariyy selon le Madh-hab
al Hanafiyy » et son explication appelé « ^oumdatou l-Hanafiyyah », « Minah dhiljalal fi
Islahi ^ilm al Hal », « Nourou l-idah », « ^aqida At-Tahawiyy » et ses explication de Al
Ghaznawiyy, Al Qounawiyy, Mankoubaris, Al Maydaniyy, Al Harariyy, « Al ^aqidah al
mourchidah » et « ^aqidah Al ^Awamm » et son explication appelé « Nourou-dhalam »,
1
Chaykh Ismaïl dit:
Certes, il est obligatoire sur chaque personne responsable de connaître une quantité de science
de sorte que s’il fait preuve de manquement en cela, il sera désobéissant de parmi les grands
pécheurs, méritant le châtiment intense de l’enfer. Dans le livre Al-Anouâr Al-lâmi^ah, il est
dit « et c’est la science sur laquelle dépend la validité de la foi de parmi les sujets de la
religion, la science par laquelle la personne s’engage même pour un acte recommandé liée
aux règles de jurisprudence tel que l’ablution, la prière, le jeûne, la zakât obligatoire sur lui
et le hajj qu’il veut accomplir. Et c’est la science indispensable avant que la personne ne
s’engage dans les transactions, un emploi et un mariage. Parmi elle, il y a les règles de la
récitation de la Fatihah, la science de l’état du cœur pour qu’il s’efforce de le guérir et le
purifier », Fin de citation. C’est à dire, par la connaissance des obligations du cœur pour qu’il
s’en acquitte et la connaissance des péchés du cœur afin de s’en préserver. Il s’ensuit de
connaître comment faire le repentir après la désobéissance tout comme l’a rapporté Al-
Khatib1 de ^Abdoullah fils de Al-Moubarak lorsqu’il fut interrogé au sujet de ce qui est
obligatoire sur toute personne d’apprendre de parmi la science, alors il a dit : « L’homme ne
s’engage en rien sans science, il demande et apprend. C’est cela qui est obligatoire pour les
gens d’acquérir comme science ». Il (Ibnoul-Moubaarak) a expliqué sa parole en disant “Si la
personne n’a pas de bien ce n’est pas obligatoire sur lui qu’il apprenne la Zakât, mais s’il
possède 200 dirhams, il est obligatoire sur lui d’apprendre combien il doit payer, quand il
doit payer et à qui il doit la payer. Le reste des choses suit cette règle ». Fin de citation.
(Je l’ai appelé un des plus brefs résumés dans la science immédiate selon l’école des
maîtres hanafiyy), qui indique, en peu de parole comprenant beaucoup de sens, sa petitesse
et sa simplicité à être appris. J’ai aussi éclairci ses termes par une explication concise de ce
livre que j’ai appelé “Idhhâr al-ifadat min awjaz al-Mukhtasarât fi ^ilmil hal ”, qui signifie :
L’exposé des bénéfices hanafite de parmi les plus concis des résumés, pour indiquer ce qu’il
contient comme utilités dans ce qu’il comprend des bases de la croyance, des ramifications
des adorations, sans manquer l’explication de l’apostasie et de ses jugements, et les jugements
de certaines transactions et des péchés des organes et du repentir et ces sujets n’ont pas été
réunis ainsi si ce n’est dans « Moukhtasar ^Abdillah al-Harariyy » et « ^Oumdatoul
hanafiyyah » dans ce qui a été cité précédemment de parmi les livres résumés et ces deux sont
vastes que celui-ci et à Allah al-^aDHiim je demande qu’il y ait en ce livre et en son
explication un bienfait général pour moi et autrui le jour où ni bien ni progéniture ne sera
profitable si ce n’est celui qui vient au jugement avec un cœur pur. (Et c’est en Allah que je
place ma confiance et à Lui je me fie) c’est à dire c’est à Lui que je retourne dans les
moments de joie et de peine.
(Les sujets les plus importants de l’Islam sont cinq), comme l’indique le Hadith de Al-
Boukhariyy, qui signifie : « L’islam est basé sur cinq sujet important », fin de citation. (Le
témoignage), c’est à dire la science, la croyance et la reconnaissance (qu’il n’y a pas d’autre
dieu que Dieu), Lui seul qui n’a pas d’associer (et que MouHammad est le messager de
1
Al-Baghdadiyy dans son livre « Al-faqih walmoutafaqqih ».
2
Chaykh Ismaïl dit:
Dieu) salla l-lahou ^alayhi wa sallam, (d’accomplir la prière) c’est à dire l’accomplir
continuellement, (s’acquitter de la zakat) c’est à dire de la donner, (de jeuner) le mois de
(RamaDan, le pèlerinage à la maison sacrée) c’est à dire la Ka^bah (pour celui qui en est
capable) celui qui a la capacité en cela. (Et les sujets les plus importants de la foi sont au
nombre de six) tout comme l’indique le Hadith célèbre de Jibril. (La croyance en Allaah)
ta^aalaa selon ce qui est obligatoire, (en Ses anges) selon ce qui est obligatoire, (en Ses
livres) révélés, (en Ses messagers) c’est à dire en Ses prophètes qui ont été envoyé en
totalité, (au Jour dernier) durant lequel les esclaves seront jugés (et à la prédestination)
c’est à dire qu’Il fait exister les choses tel qu’Il a voulu qu’elles soient, par conséquent il est
obligatoire d’avoir le cœur ferme que tout ce qui a lieu dans ce monde que cela soit une
substance ou un acte, il est par la prédestination de Allah, que cet acte soit (du bien ou du
mal) tout deux entre en existence par la Science de Allah, Sa Volonté, Sa Puissance et Son
attribut de Créer.
Chapitre : (La signification de : Il n’y a pas d’autre dieu que Allaah et que nul autre ne
créer) c’est à dire ne fait surgir du néant à l’existence (si ce n’est Allaah), tout comme cette
parole honorée a été expliquée selon les matouridites et les ach^arites, que Dieu les agrée. Par
conséquent, tout ce qui est dans les cieux et au-dessus, ce qui est sur la terre et au-dessous, et
ce qui est entre les cieux et la terre, nul autre que Lui ne le crée, c’est à dire nul autre ne les
fait surgir du néant à l’existence si ce n’est Allaah soubHaanah, que cela soit une substance,
un acte, une quantité, un corps, un attribut, un mouvement, une immobilité, une idée
passagère ou une réflexion. (Et cela implique que nul ne mérite l’adoration), c’est à dire
qu’on le glorifie de l’extrême glorification (si ce n’est Allaah). Il a créé l'univers dans sa
totalité, le monde supérieur et le monde inférieur, al-^arch - le Trône - et al-koursiyy - le
piédestal- les cieux et la Terre et ce qu’ils contiennent et ce qu’il y a entre eux. Aucune
particule ne bouge si ce n’est par Sa Volonté et aucune feuille ne tombe sans qu’Il ne le sache.
Il n’est pas une graine dans les ténèbres de la terre, ni une plante verte ou desséchée sans que
cela ne soit inscrit dans le table préservée. Il englobe toute chose par Sa science et dénombre
toute chose parfaitement.
Il a la Vie, Il ne s’anéantit pas, Il n’est pas atteint par la somnolence ni par le sommeil. Il fait
ce qu’Il veut, Il a la puissance sur toute chose, Il réalise ce qu’Il veut, Il a la souveraineté, Il
n’a nul besoin d’autrui, Il a la toute-puissance et la non-fin, Il a la prédestination et la
création. Il a les noms parfaits. Rien ne s’oppose à ce qu’Il prédestine et rien ne prive de ce
qu’Il donne. Il fait ce qu’Il veut de ce qui Lui appartient et Il légifère pour Sa création par ce
qu’Il veut. Il n’attend aucune récompense et ne craint aucune punition. Il n’a pas d’obligation
et n’est assujetti à aucune loi. Tout bienfait de Sa part est par Sa grâce et tout châtiment de Sa
part n’est que justice. On ne Le questionne pas sur ce qu’Il fait mais les esclaves seront
questionnés.
Il existait avant la création, Il n’a ni début ni fin, ni haut ni bas, ni droite ni gauche, ni avant ni
arrière. Il n’est ni composé, ni un composant. On ne dit pas : quand a-t-Il existé, ni où était-Il,
ni comment. Il existait alors qu’aucun endroit n’existait. Il a fait exister les êtres et Il a établi
le temps. Il ne dépend pas du temps et Il n’est pas spécifié par l’endroit. Aucune chose ne
L’accapare au détriment d’une autre.
3
Chaykh Ismaïl dit:
(La signification que MouHammad est le messager de Allaah. Et que MouHammad fils
de ^Abdoullah fils de Abdoul MouTTalib al Hachimiyy), c’est à dire descendant des fils
de Haachim, du fait que ^Abdoul Moutallib est le fils de Haachim, fils de ^Abdou Manaaf, (al
Qourachiyy), c’est à dire un descendant de la tribu de Qouraych, du fait que la lignée de
Haachim retourne à Fihr qui est surnommé par Qouraych et il est donc Haachim fils de
^Abdou Manaaf fils de QouSay fils de Kilaab, fils de Mourrah fils de Ka^b fils de Lou’ayy
fils de Ghaalib, fils de Fihr, fils de Maalik, fils de An-naDr fils de Kinaanah, fils de
Khouzaymah, fils de Moudrikah fils de Ilyaas, fils de Moudar fils de Nizaar, fils de Ma^add,
fils de ^Adnaan, (est l’esclave de Allaah et son messager pour l’ensemble de la création),
parmi les humains et les jinns, (qu’il est véridique dans tout ce qu’il a rapporté) et transmis
de la part de Allaah. (Parmi cela, il y a le châtiment de la tombe), pour une partie des gens
(et sa félicité), pour une partie des gens (l’interrogatoire des deux anges Mounkar et
Nakir), au mort après son enterrement à savoir : « Qui est ton Seigneur, Qui est ton Prophète
et quelle est ta religion ? », (les anges), ils sont des être responsable doter d’une âme, ils ne
mangent pas, ne boivent pas, ils ne dorment pas, ils ne sont ni masculin ni féminin, ils ne
désobéissent pas à Allaah dans ce qu’Il leur ordonne et ils font ce qu’Il leur ordonne (les
prophètes), et se sont des hommes de parmi les humains, Allaah a fait descendre la révélation
sur eux et leur a ordonnés d’appeler les gens à Son adoration et de transmettre la révélation.
En outre celui de parmi eux qui a été ordonné de suivre la Loi d’un Messager qui était avant
lui, il est alors un prophète non-messager, tel que Dawoud et Soulayman, ils ont été ordonnés
de suivre la Loi de la Thora qui a été descendu sur notre maitre Mouça. Et celui qui a été
ordonné de suivre une Loi qui lui a été révélé, même si un seul jugement change des
jugements de la Loi du Messager qui était avant lui, il est alors un Prophète-Messager, tel que
Mouça et Haroun2, Içaa et MouHammad que Allaah les élève davantage en degré,(les livres),
révélé sur les Prophètes tel que la Thora, l’évangile et le Qour^an, (le jour du jugement),
c’est le jour où les morts sortent de leur tombe pour l’exposition des actes, (la résurrection),
c’est la sortie des morts de la tombe après la reconstitution des corps qui ont été assimilés et le
retour des âme aux corps (le rassemblement), qui est le rassemblement des gens après cela
pour l’interrogatoire, (l’exposition des actes), qui est par l’exposition des actes de chaque
personne qu’il a accompli durant la vie d’ici-bas (la récompense), c’est à dire la rétribution
donnée aux croyants dans l’au-delà pour leurs bonnes oeuvres de ce qui les réjouiront, (le
châtiment), c’est la rétribution que recevra l’esclave dans l’au-delà, leur causant la souffrance
pour les mauvais actes qu’ils ont commis (la balance), et c’est un corps sur lequel les actes
seront pesés, (le pont), c’est un pont qui surplombe l’enfer et auquel les gens parviendront
pour le traverser. Certains chuteront au premier pas, d’autres tomberont après une certaine
distance parcourue et une partie traversera le pont et sera sauvée. (l’intercession), dans l’au-
delà qui est la demande pour que le châtiment soit levé pour certains croyants. (l’enfer), c’est
à dire la géhenne, et c’est la demeure du châtiment qui est en dessous de la septième terre, (le
paradis), c’est la demeure de la félicité qui est au-dessus du septième ciel, (l’éternité de ces
deux demeures), c’est à dire pour le paradis et l’enfer, alors les gens du paradis resteront
éternellement dans sa félicité sans mort ni anéantissement et les gens de l’enfer resteront
éternellement dans son châtiment sans fin ni allègement ni repos, (le faite que les croyants
verront Allaah ta^aalaa par leur yeux), c’est à dire par les yeux de leur tête (dans l’au-
delà) mais non pas comme sont vu les créatures dans une direction, devant, derrière, dessus,
2
Mouça et Haroun ^alayhi-maa salaam, il a été révélé sur eux une seule Loi. (La thora).
4
Chaykh Ismaïl dit:
dessous, droite ou gauche, du fait que celui qui est vu dans une direction il est créé et spécifier
par un corps, une image et un endroit. Et Allaah ta^aalaa ne ressemble pas aux créatures. Il
n’est donc pas caractérisé par le corps ni l’image ou par le fait d’être dans une place mais
plutôt Il existe et Il ne ressemble pas aux existants, Il n’est pas concerné par la place et Il n’est
pas concerné par l’écoulement du temps. Quoi que tu puisses imaginer en ton esprit, Allaah ne
ressemble pas à cela. C’est pour cela que les croyants qui eux sont dans un endroit Le verront
(sans comment, sans endroit, sans direction) et il n’y a pas entre eux et Lui de distance tel
que l’a dit l’Imam Abou Haniifa, que Dieu l’agrée, dans « Al-Fiqhoul Akbar ». Ceci du fait
que la distance est ce qu’il y a entre deux corps et Allaah azzawajjal n’est pas un corps, (et) la
croyance (que les prophètes) dans leur totalité sans exception (sont préservés de la
mécréances), et ils n’adorent donc pas autre que Allaah ne serait-ce le temps d’un clin d’œil,
ni dans l’enfance ni dans l’âge adulte (et) ils sont préservés de tomber dans (les grands
péchés), tel que la fornication, (et des petits péchés indiquant la bassesse) tel que de voler
un grain de raisin et regarder le regard furtif aux femme ajnabiyah (étrangère) avec désir,
(avant la prophétie tout comme après). Et ils sont préservés de tout attributs de bassesse,
ainsi que de tout attributs physiques ou comportementaux, qui les empêcheraient d’établir la
preuve, qui repousse les gens d’eux ou qui les empêchent d’entendre leur appel. (Leur
religion) à tous, que Dieu les élèves davantage en degré, (est l’Islam). En raison de la parole
de Allaah dans Sourat Âl^Imrân verset 85:
ِ ِ ِ ِ ىِف ِ ِ ِ
َ َو َم ْن َيْبتَ ِغ َغْيَر ا ِإل ْسالَم ديناً َفلَ ْن يُ ْقبَ َل مْنهُ َو ُه َو ٱألَخَرة م َن ٱخلَـٰس ِر
ين
qui signifie: «Et quiconque choisit une religion autre que l’Islam elle ne sera pas acceptée de
lui et il sera parmi les perdants dans l’au-delà». (Le premier d’entre eux est Adaam) le père
des humains, (et le dernier d’entre eux) et le meilleur d’entre eux, (est MouHammad, que
Dieu l’élève davantage en degré).
Chapitre : (La meilleure des obligations), la plus éminente et la plus importante et c’est (la
croyance en Allaah), c’est à dire selon ce qui est digne de Lui, ta^aalaa, par la foi que Son
être ne ressemble pas aux êtres, qu’Il a les attributs de perfection propre à Lui. Qu’Il est
Unique sans associé dans Son Être ou Ses Attributs. Il existe sans commencement et sans fin,
toute chose a besoin de Lui et Lui n’a besoin de rien. Il est vivant, d’une vie qui ne ressemble
pas à notre vie ; sans la fusion d’une âme à un corps et sans avoir besoin de sang ou de nerf. Il
sait toutes choses, par une science qui n’augmente pas et ne diminue pas, ce qu’Il veut est et
ce qu’Il ne veut pas n’est pas. Il a la Puissance, rien ne le rend incapable. Il entend toutes
choses audibles, par une ouïe exempte de début et de fin, qui ne change pas, sans avoir besoin
d’oreille ni aucuns autres organes. Il voit toutes les choses visibles, par une vue exempte de
début et de fin, sans avoir besoin de pupilles ou de rayons de lumière. Il parle par une parole
exempt de début et de fin et n’est pas des successions ou des séquences, elle n’est pas de lettre
ou de son, ni une langue, elle ne ressemble pas à notre parole. Toutefois il a été révélé à notre
maître MouHammad Sallallâhou ^alayhi wa sallam, le miracle du Qour’aan en langue arabe,
et il lui a été révélé dans la langue de son peuple qui est une expression de la Parole de Allaah
qui est Son attribut. Ces termes révélés sont donc appelés « parole de Allaah » également, ceci
du fait qu’il n’est pas composé par un être humain ni par un ange. (Et) la croyance (en Son
messager) envoyé aux humains et aux Jinns, MouHammad (sallallâhou^alayhi wa sallam),
selon ce qui est digne de Lui.
Et le plus grand des péchés est la mécréance sous ses différentes sortes et la plus grave
L’athéisme (Et la plus laide c’est l’apostasie. Et elle est de trois sortes, des croyances par
les paroles), par les actes), (Et chaque sorte se ramifie de branches nombreuses. De
5
Chaykh Ismaïl dit:
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(De parmi) les exemples de (la seconde) des sortes de l’apostasie, c’est l’apostasie par les
actes : (la prosternation pour une idole), et c’est la statue telle que la représentation qui a
été prise pour être adoré (ou) tel que pour (le soleil ou le feu) (ou pour le chayTaan), du fait
que cet acte-là, les musulmans sont unanimes qu’il ne provient que de la part du mécréant, (et
jeter le Qour^aan (un livre du Hadiith, un livre de religion, une feuille du Qour’aan)
dans les ordures (ou dans un endroit répugnant) que Allaah ta^aalaa nous en préserve)
car cela montre un rabaissement envers lui et tel que cela piétiner le nom de Allaah
volontairement, délibérément, tout en sachant que ce qu’il piétine c’est le nom de Allaah.
Abou Haniifa a dit : « Celui qui prie sans purification il mécroit ». Al khoulaaSah et d’autre il
est rapporté par abou ^aliyy as soukhdiyy qui dit que celui qui prie sans se diriger vers la
qiblah ou il a prié avec une impureté sur lui est ce qu’on dit qu’il mécroit comme celui qu prie
sans wouDouu’ !? Non car dans certain cas il y a des tolérance. En revanche la prière sans
wouDouu’ elle ne se rapporte pas à ce même cas alors il mécroit. Mais ibnou ^Abidin dans
Douroul moukhtar a repliqué à cela en disant que la prière est valable dans la question de
celui qui est emputé des deux mains et des deux pieds et qu’il a des entaille sur le visage docn
la prière est valable sans purification et sans tayyamoum. A partir du moment que la raison de
la non déclaration de la mécréance elle est en raison de la permission suite à une excuse alors
il implique néecessairement la parole de non déclaration de mécérance pour celui qui prie
sans wouDouu’. Alors il apparaît que celui qui prie sans wouDouu’ il n’a pas mécru.
Celui qui prie sans wouDouu’ par gêne alors il n’a pas mécru.
(Et de parmi la troisième sorte :) (de dire à un musulman) et il sait qu’il est musulman
(« Ô mécréant ») et cela (sans interprétation) (c’est à dire qu’il vise le sens propre qu’il
est véritablement mécérant), c’est à dire sans qu’il ne vise par cette expression la
ressemblance au mécréant, c’est à dire qu’il ne veut pas par elle « ô celui qui ressemble au
mécréant dans la bassesse de tes actes » mais plutôt il veut par cela que sa religion est de la
mécréance alors qu’il sait qu’il est sur l’Islam, alors certes celui qui a dit cela apostasie dans
ce cas-là. (Et) parmi elles (le fait de se moquer d’un des noms de Allaah ta^aalaa) tel que
de dire que le nom Ar-RaHmaan n’est pas bien, (ou de Sa promesse) au obéissant par la
récompense tel que de dire que le paradis est le jeu des enfants ou que les félicités du bas
monde ou une partie de celles-ci est meilleure que le Paradis, (ou de Sa menace ou du
chatiment)), par le fait de rabaisser la menace de Allaah envers les désobéissants et les
mécréants, tel que de dire « demain je vais me réchauffer dans le feu de la géhenne” ou que
“son châtiment sera une jouissance pour moi”, de sorte que ce qui est pareil à ce rabaissement
provienne (celui qui insulte l’enfer ce n’est pas de la mécréance et ce n’est pas interdit) (de
celui à qui n’échappe pas que cela Lui est attribué soubHaanah). C’est à dire, de celui qui
sait que le nom dont il se moque est un nom de Allâh ta^âlâ ou que la promesse dont il se
moque fait partie de la loi ou que la menace qu’il dément a bien été transmise par le Prophète,
^alayi s-salâtou was-salâm. Quant à celui qui rabaisse une promesse alors qu’il ne sait pas
6
Chaykh Ismaïl dit:
qu’elle est une promesse de Allaah ou qui dément un châtiment alors qu’il ne sait pas que
c’est un châtiment de Allaah, alors il ne mécroit pas. (Et) de même parmi les paroles
d’apostasie qui font sortir de l’Islam (le rabaissement de l’Islam) en l’insultant par exemple,
(ou de la Ka^ba ou du Qour^an), en les insultant ou en les rabaissant (ou d’un jugement
de la Loi (de l’islam)), par le fait de dire que la Loi est injuste envers la femme ou que la
permission du divorce est un manque de sagesse ou que les jugement de l’héritage ne
conviennent pas à notre époque ou que la permission pour l’homme de regrouper entre deux
épouses ou trois ou quatre est une injustice envers les épouses et ce qui est semblable à cela,
(d’un prophète ou d’un ange) en insultant certains d’entre eux même si ce n’est qu’un seul
parmi eux ou de le rabaisser.
Utilité. Ibnou Jouzayy a dit dans “Al-Qawânîn Al-Fiqhiyah”: « Il n’y a pas de divergence sur
le fait de rendre mécréant celui qui nie la divinité ou l’unicité de Dieu, ou qui a adoré avec
Dieu quelqu’un d’autre, ou qui était sur la religion des juifs, des chrétiens, des mages
(adorateurs du feu) ou des Sabi’ah (adorateurs des étoiles). De même celui qui croit au
houloul c'est-à-dire que Dieu s’incarnerait dans les créatures-, à la réincarnation, que Dieu
n’est pas Vivant, qu’Il ne sait pas toute chose ou il nie un des attributs de Dieu - c'est-à-dire
parmi les treize attributs qui ont été cités précédemment -ou il dit que quelqu’un d’autre que
Dieu a crée le monde. Mécroit celui qui dit que Dieu est issu de quelque chose, ou il a
prétendu qu’il s’est assis en séance avec Dieu, ou il a prétendu que le monde est éternel ou il
a douté dans tout cela.
Mécroit aussi celui qui prétend la prophétie de quiconque après notre Maître Mouhammad,
Sallallâhou ^alayhi wa sallam, ou qu’il rende permis le mensonge pour les Prophètes,
^alayhimou s-sâlâtou wa s-sâlâm, ou il dit que le Messager a été envoyé seulement aux
Arabes - c'est-à-dire que le Prophète ^alayhis-sâlâtou was-sâlâm a été envoyé aux arabes
uniquement - ou que la personne prétende avoir reçu la révélation, ou qu’elle entre
véritablement au Paradis dans cette vie.
Mécroit également celui qui rend tous les compagnons mécréants, ou qui nie quelque chose
qui est connu de toute évidence dans la religion ou celui qui entre dans l’église en se
mélangeant au chrétien tout en portant leurs emblèmes qui leurs sont spécifiques ou il dit que
les adorations sont levées pour certains saints. Celui qui renie une lettre ou plus du Qour’aan
ou qui en ajoute, c’est à dire par entêtement, c’est à dire tout en sachant qu’elle n’en fait pas
parti ou qui l’a changée par entêtement ou qui dit que le Qour’aan n’est pas un miracle, ou
qui dit la récompense et le châtiment sont sensorielle ou qui a dit que les Imam sont mieux
que les Prophètes ». Fin de citation
Il n’y a aucune différence dans le jugement d’apostasie au sujet de celui qui prononce ces
paroles précitées, qu’il les ait dites dans un état de satisfaction ou dans un état de colère, du
fait qu’il est obligatoire de glorifier Allaah ^azza wa jall et Son Messager et Ses Anges et Sa
Loi dans les deux états. Et il n’y a aucune différence également entre le fait qu’il vise par sa
parole la sortie de l’Islam ou non du moment où il connaît sa signification, même si il ignore
les conséquences. Personne n’a jamais conditionné le fait que la personne sache qu’elle est
mécréante ou le fait de viser d’être mécréante pour être jugée mécréante, comme le prouve la
Parole de Allah ta^âlâ dans Sourate Al-Kahf verset 103-104 :
ُ َض َّل َس ْعيُهُْ\م فِى ْال َحيَا ِة ال ُّد ْنيَا َوهُ ْم يَحْ َسبُوْ نَ أَنَّهُ ْم يُحْ ِسنُوْ ن
« ص ْنعًا َ َ» قُلْ هَلْ نُنَبِّئُ ُك ْم بِاألَ ْخ َس ِر ْينَ أَ ْع َماالً الَّ ِذ ْين
Ce qui signifie: «Dis (O Mouhammad !): Devrions Nous t’informer de ceux dont
les actes ne valent rien? Ceux dont les efforts, dans cette vie, sont parties en
vain, alors qu’ils pensaient bien faire».
7
Chaykh Ismaïl dit:
« َولَئِ ْن َس ْألتَهُ ْم لَيَقُوْ لُ َّن إنَّ َما ُكنَّا نَ ُخوْ ضُ َون َْل َعبُ قُلْ أَبِاهللِ َو َءايَاتِ ِه َو َرسُوْ لِ ِه ُك ْنتُ ْم تَ ْستَه ِْزئُوْ نَ الَ تَ ْعتَ ِذرُوْ ا\ قَ ْد
» َكفَرْ تُ ْم بَ ْع َد إ ْي َمانِ ُك ْم
Ce qui signifie : «Et si tu leur demandes (O Mouhammad !), ils diront: “Nous
étions seulement en train de passer le temps et de jouer”. Dit: ” Est-ce de Dieu,
de Ses versets, et de Ses Prophètes que vous étiez entrain de vous moquer!? Ne
cherchez pas d’excuses ! Vous avez mécru après avoir été croyants ».
Et la plupart des mécréants tel que les adorateurs des idoles par exemple il ne vise pas d’être
sur la mécréance mais plutôt ils pensent qu’ils sont sur la vérité et leurs états que celui-ci
n’empêche pas qu’ils soient jugés mécréants par unanimité. Et l’exemple d’autre qu’eux
parmi les mécréants est le même qu’ils le soient d’origine ou apostat.
(02.08.18) Chaykh ismail dit :
Chapitre : (Il est un devoir pour celui dont il est provenu de lui une apostasie de revenir
immédiatement à l’Islam en délaissant sa cause) c’est à dire en délaissant la cause de
l’apostasie dès lors si son apostasie était de marcher sur le mouS’Haf par exemple, son retour
à l’islam ne sera pas valable qu’importe le nombre de fois qu’il témoigne dès lors qu’il
marche toujours déçu, (et) il lui est obligatoire également pour le retour à l’Islam (de
prononcer les deux témoignages) ou ce qui donne leur même sens en langue arabe ou par
autre qu’elle de parmi les langues. Par conséquent, s’il ne retourne pas à l’Islam par ce que
nous avons cité, le Hâkim (le juge) le tue obligatoirement si c’était un homme et c’est
recommandé de la part du Hâkim de lui dire de s’en repentir avant cela. En outre, s’il
s’agissait d’une femme, elle est emprisonnée jusqu’à ce qu’elle témoigne. Et il est obligatoire
pour celui dont il est provenu de lui l’apostasie de regretter ce qui est provenu de lui (comme
si il avait la tristesse dans son cœur pour avoir commis cela) et l’intention ferme de ne pas
revenir à ce qui est pareil à cela.
Chapitre : (Par l’apostasie est annulé ; le jeûne) il est obligatoire sur lui de revenir
immédiatement à l’Islam et si c’était pendant RamaDaan, il est obligatoire sur lui de
s’abstenir du reste de la journée de ce qui annule le jeûne et de rattraper ce jour. (si qqun par
exemple à fait l’image du jêune en pensant qu’il était musulman alors qu’il était apostat. Si
cette personne durant le RamaDaan alors le jour où il a apprend son apostasie il devra
rattraper ce jour là). (Et le mariage avant la consommation) c’est à dire que le contrat de
mariage est annulé entre les deux époux si l’un des deux apostasient avant que l’homme
consomme le mariage (faire le rapport sexuel) avec son épouse. (Et également) le contrat de
mariage est annulé par l’apostasie (après) la consommation. (Et son contrat de mariage
n’est pas valable) c’est à dire l’apostat ni avec une musulmane ni avec autre qu’elle. (une
chrétienne où une juive si elle quitte sa religion pour une autre ou pour l’athéisme alors
le musulman ne peut pas se marier avec elle sauf si elle devient musulmane) (Et
l’interdiction de ce qu’il égorge) il n’est donc pas permis d’en consommer même si il a
égorgé tout comme les musulmans égorgent, (et il n’hérite pas) de ce lui qui meurt de parmi
ses proches musulmans (et on n’hérite pas de lui) c’est à dire que si il meurt apostat sans être
revenu à l’Islam ces proches musulmans n’hérite pas de lui (de ce qu’il a acquis dans son
état d’apostasie) mais plutôt ses biens seront, un fay’ après avoir remboursé ses dettes qu’il a
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Chaykh Ismaïl dit:
contracté dans son état d’apostasie, ils seront dépensés dans l’intérêt des musulmans de
manière conforme à la Loi, telle que les frontières limitrophes et la construction des viaducs et
des ponts et les besoins des juges religieux et les savants, les mouftis et les armées. (Et il
n’est pas permis de prier en sa faveur) dans ce cas-là et on ne demande pas pour lui la
miséricorde ou le pardon car cela est un démenti du Livre de Allaah (et il n’est pas permis de
l’enterrer dans un cimetière des musulmans) car il n’en fait pas parti.
Chapitre : La purification
FarD : l’obligation qui a été confirmé par les preuves catégoriques : Qour’aan, Hadiith
moutawatir (le prophète a dit mot à mot ainsi) et…
Le waajib : l’obligation qui a été confirmé par la une preuve avec une forte
présomption : le Hadiith aHad (rapporté par un ou deux), l’ijtihad, l’analogie.
Si on délaisse le farD et le waajib c’est un péché mais le fait de délaissé un FarD c’est
plus grave.
(Chapitre) (les signes de la puberté) c’est à dire les signes par lesquels on sait la puberté de
l’homme ou de la femme, dès lors on le juge pubère s’il a été trouvé un seul de ces signes
même s’il n’a pas été trouvé d’autre que celui-là. Ils sont au nombre de cinq. (Compléter
quinze années) lunaires, (Al Hitilaam-l’émission du maniyy) par la sortie du maniyy de sa
propre personne et ces deux signes sont (pour l’homme et pour la femme et l’IHbal 3 pour
l’homme uniquement et les menstrues) et le minimum est de 9 années lunaire (et la
grossesse) et elles sont (pour la femme) spécifiquement.
Lorsque c’est liquide c’est l’équivalent du dirham du point de vu de la surface. Et si c’est pas
liquide comme les selles alors là se sera le poids.
Lorsque c’est waajib d’éliminer la najaacah alors si il ne le fait pas alors la prière sera valable
mais il aura commis un péché.
3
(le fait que le garçon a eu un rapport est que la femme est tombé enceinte)
4
c’est à dire selon ces conditions et cela va être expliqué in chaa’Allaah
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Chaykh Ismaïl dit:
Chapitre : les devoirs (fard) du WouDou, c’est à dire ces piliers sans lesquels le woudou
n’est pas valable si l’un d’entre eux est délaissé, ils sont en nombre de (quatre), La première
laver le visage, c’est à dire laver le visage en entier avec de l’eau depuis le début de la pousse
des cheveux jusqu’au menton et d’une oreille à l’autre avec l’égoutement (dégoutement,
gouttement) ne serait-ce que par une seul goutte selon Abou Hanifah et MouHammad. Abou
Youssouf a dit comme chafiyy, il dit que c’est l’écoulement qui est obligatoire. La deuxième,
laver les bras coudes compris et ce qu’il y a dessus comme poils et protubérance. La
troisième, humecter le quart de la tête, c’est l’équivalent de al naSiah (ceci est le devant de
la tête au dessus du front) Et la quatrième, laver les deux pieds et ce qu’il y a dessus tel
qu’un orteil supléementaire chevilles comprises, qui sont les deux os saillant en bas de la
jambe ou le fait d’humecter, essuyer les khouf si les conditions sont remplies.
Chapitre : parmi ces conditions (c’est à dire les condition de validité du woudou, est que
l’eau soit purificatrice, tel que l’eau du ciel (pluie), de mer, de rivières, de la source, du puit,
de la neige et de la grêle5 de sorte que quelque chose n’ait pas pris la dominance, de
parmis les choses qui sont pures. Cette dominance elle est dans les choses solide par la
cuisson (par exemple si qqun a mis des lentils dans l’eau alors l’eau viendra épaisse alors dans
ce cas là elle perdra son caractère naturel) ou par une partition (comme ci une cérérale a été
mis dans l’eau et que l’eau vient comme de la farine) de sorte que l’eau elle ne va plus être à
son état naturel. Son état naturel est le fait qu’elle soit liquide et qu’elle coule. Ou bien il aura
perdu son nom d’eau comme le nabidh des dattes, même si cette eau là reste fine. Si l’eau ne
sort pas de son caractère fin et qui coule c’est à dire qu’elle n’a pas perdu son nom d’eau alors
il n’y a pas de nuisance si ces attributs (tous) ont changé par quelque chose qui est solide tel
que le safran ou un fruit ou les feuilles d’un arbre. Pour les liquides par ce qui va changer les
caractérisitque de l’eau. Si il avait trois caractéristiques qui se distinguent de l’eau et qu’il en
a changé deux caractéristiques des caractérisitques de l’eau comme la couleur et le goût ou la
couleur et l’odeur alors le WouDouu ne sera pas valable par cela (si une seul caractéristique
aura changé alors l’eau reste purifiante). Et si il n’avait que deux caractéristique seulement et
il a changé une seule caractéristique de l’eau tel que la couleur ou le goût alors le WouDouu
n’est pas valable par cela. En commentaire dans le loubab il a dit : tel que le lait qui se
différencie dans la couleur et le goût, donc si les deux on pris le dessus ou l’un des deux alors
on peut pas utiliser pour le WouDouu ou sinon non.
Et si il n’avait qu’une caractéristique et qu’il n’a changé qu’une caractrérisitque de l’eau
comme le goût le WouDouu n’est pas valable par cela 6. Si le liquide qui a été mélangé n’a pas
de caractéristique par lequel il se distingue de l’eau tel que l’eau utilisé (l’eau utilisé pour le
WouDouu’) donc dans ce cas ce qui est pris en considération c’est la prise de dessus de cette
eau par le poids, si donc elle a été supérieur par le poids à l’eau alors le WouDouu’ n’est pas
valable par cela.
Et parmi les conditions de la purification (qu’une impureté ne soit pas tombé dedans) non
pas un cadavre qui n’a pas de sang qui coule, même si elle ne l’a pas changée, (dès lors
qu’elle est en petite quantité et qu’elle est stagnante ; et qu’elle n’ait pas changée) même
si une partie à subit un changement (si elle est en grande quantité) la personne fait donc le
wouDouu’ dans la partie qui n’a pas changé dans un autre où est tombé l’impureté. (Et qu’il
ne soit pas apparu une de ses caractéristiques) et c’est la couleur ou le goût ou l’odeur (si
elle coule) c’est dont on ne peut répéter l’utilisation et il a été dit même si c’est une paille
(c’est pour dire qu’il y a un mouvement ne serais-ce très léger) et sinon (c’est à dire qu’elle ne
5
par cela est exclue ce qui est issus de l’essorement de l’arbre ou du fruit.
6
Comme certaine pastèque qui n’ont qu’une seule caractéristique ou la courge. Alors leur
liquide ne se différencie de l’eau que par le goût.
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Chaykh Ismaïl dit:
coule pas) l’eau devient impure. (pour démontrer que l’eau coule c’est quand par exemple
tu prends de l’eau et si tu reprends la chose qu’il y avait ds l’eau est parti). (Et qu’elle
n’est pas été utilisé pour lever un Hadath ou ce qui est similaire) car dans ce cas là il
n’enlève pas le Hadath. (ce qui est similaire englobe que ce soit le ghousl obligatoire ou
recommandé tel que le renouvelement du WouDouu’). La petite quantité c’est celle dont le
bord bouge lorsque l’autre bord bouge rapidement et l’eau en grande quantité c’est ce qui est
contraire à cela. De parmis les plus récent, cette quantité là (la grande quantité), ils l’ont
estimée à ce qui a une aire de 10 coudée sur 10 coudée par la coudée de qirbaas, c’est à dire
d’une distance de 7 poignées (prises) de sorte que lorsque on puise de cette eau il n’y a pas le
fond qui apparaît et pareil à cela la forme qui est carée, ronde ou triangulaire. Ce qui est
ciruclaire c’est ce qui fait 36 coudées de périmètre (son diamètre est de 11 coudée et 1/5 de
coudée, ce qui est triangulaire c’est que chaque côté il fait 15 coudées plus le 5 ième d’une
coudées.
Chapitre : (ce qui annule le WouDouu) (ce qui sort des deux orifices inférieurs) que ce
soit habituel tel que l’urine ou quelque chose d’inhabituel tel que les vers mais pas des gaz de
l’organe génitale que ce soit de l’homme ou de la femme ce n’est considéré que comme un
simple frottement, (le sang qui coule et la lymphe et pue) de son endroit de sortie, un endroit
qu’il est obligatoire de purifié dans le WouDouu’ ou le ghousl comme si cela a coulé à
l’intérieur du nez du faite que l’intérieur du nez et de la bouche il est obligatoire de le purifié
dans le ghousl contrairement si cela coule à l’intérieur de l’organe génital ou à l’intérieur de
l’œil (c’est à dire ici ça n’annule pas), (le vomi s’il remplit la bouche) que ce soit de la
nourriture, de l’eau ou une acidité mais pas si c’était des glaires (même si ça vient à remplir la
bouche) que ce soit des glaires qui proviennent de la tête ou de la gorge, (et) parmi ce qui
annule le WouDouu’ (la perte de la raison) tel que l’évanouissement, la folie ou l’ivresse
mais pas pour celui qui dort en étant en prière qu’il soit debout, dans le Roukou^ ou le
soujoud et de même si il est bien assis sur son postérieur sans qu’il soit appuyé sur quelque
chose de sorte à ce que si on enlève cette chose en tomberait (et le Qahqahah) le fait de rire
avec un son que ce soit délibéré ou par distraction et cela à lieu par le fait qu’il soit entendu
par celui qui est à côté de lui, de celui qui est pubère et en état d’éveil (dans une pière
comportant un Ruku^ et le soujoud, le fait de rire) qu’il soit imam, ma’moum, ou qu’il
prie tout seul, qu’il soit un homme ou qu’il soit une femme, que ce soit une prière obligatoire
ou une prière recommandé. Si il dort dans la prière, dans une des positions puis il a rie de
sorte a émettre un son son WouDouu’ n’est pas annulé par ce rire sonore mais sa prière est
annulée.
Chapitre : (ce qui rend le ghousl obligatoire) c’est à dire les causes de son obligation (sont
cinq) quatre d’entre elles sont rendues obligatoire sur la personne dont il est provenu cela et
c’est (le rapport sexuel dans un organe) que ce soit le vagin ou l’anus d’un être humain
(c’est à dire cela exclue l’animal et le jinn) vivant et qui supporte le rapport même si cela à
lieu sans émission de maniyy, le ghousl est donc obligatoire sur l’homme et la femme (la
sortie du maniyy) à la partie apparente du corps par le plaisir et par à-coup et par
l’interruption du sang (des menstrues) et l’interruption du sang des (lochies) et le ghousl
n’est pas obligatoire suite à l’accouchement si il n’est pas suivit de sang, selon les deux élèves
et l’imam Abouu Haniifah il a dit elle doit faire le ghousl par précaution (et) la cinquième
c’est ce qui rend le ghousl obligatoire pour autre que celui qui est concerné (la mort).
Chapitre : (les devoirs du ghousl) c’est à dire ces piliers (sont trois) (le fait de rincer la
bouche (maDmaDah) le fait de se rincer le nez (istinchaaq) le fait de répandre de l’eau
sur tout le corps) la peau comme les oreilles ou le nombril ou la sortie de l’organe sexuel et
11
Chaykh Ismaïl dit:
les cheveux, poils tel que les moustaches, les sourcils et les cheveux de la tête, l’intérieur de la
barbe même si elle est épaisse par de l’eau purificatrice et non pas en ce qu’il y a une
difficulté comme l’intérieur de l’œil.
Chapitre : celui qui a annulé sont WouDou^ lui sont interdites, alors qu’il est en état de
Hadath 4 choses : 1) la prière. 2) le tawaf, autour de la Ka^ba car il a le même jugement que
la prière 3) toucher le mousHaf et le porter, sauf si c’est avec un intermédiaire non attaché
au Qour’aan et le fait de permettre à l’enfant de le toucher ou le porter pour l’apprentissage.
(Ce qui est interdit pour celui qui est jounoub) il y a 6 choses (ces 4 choses-là) c’est à dire
la prière, le tawaf, toucher et porter le Qour’aan (ainsi que de réciter le Qour^an par la
langue et le fait de rentrer dans la mosquée. Il est interdit par les menstrues 9 choses
toutes ces choses précitées et il s’agit de la prière, du tawaf, de porter et toucher le Qour’aan,
de réciter le Qour’aan et de rentrer dans la mosquée ainsi que le jeûne et le fait l’épouse
permet à son mari et l’esclave qui permette à son maître de jouir d’elle.
Chapitre : les causes du tayyamoum c’est à dire les choses qui le rend permise sont 4. (Être
dépourvu d’eau) nécessaire ou la quantité suffisante pour lever le grand ou le petit Hadath
dans une distance de 1 mile le mile c’est 4000 pas et le pas c’est 1,5 coudés et la coudée c’est
6 poignée c’est à dire 24 doigts et le doigt c’est 6 grain d’orge mis les uns au dessus des autres
et le grain d’orge c’est 6 poile de mulet même si il était dans une ville et concernant le
voyageur lui il cherche l’eau même si c’est par le fait d’envoyer quelqu’un pour la trouver
dans une distance de 300 coudées dans les quatres directions. (La peur (crainte) de
l’ennemi) sur sa propre personne ou sur ses biens même si 1 dirHam ou une amaanah qui l’a
avec lui. (Et la maladie ) de sorte que l’usage de l’eau va nuir à sa santé et elle va accentué
ou agravé sa maladie ou elle va retarder la guérison ou si c’est par l’avis d’un médecin digne
de confiance musulman qui ne fait pas apparaître la perversité (et d’avoir besoin de l’eau)
alors qu’elle est présente et qu’il en a besoin pour boir que cela soit à l’instant ou que cela soit
plus tard ou que cela soit pour faire le pain ou ce qui est pareil mais pas pour ce qui est de
l’ordre de cuisiner.
Chapitre : (les conditions du tayyamoum) sont trois. La première (qu’il soit réalisé par
quelque chose de pur (purificatrice), qui n’est pas souillée par une impureté, (se trouvant
sur la terre) tel que la terre, tel que le sable, tel que les pierres, de celle qui ne sont pas cuite
ou quelque chose tel que le fer ou quelque chose tel que le verre (et) la deuxième (qu’elle ne
soit pas mélangée à autre chose) comme de la farine ou ce qui est pareille à cela de sorte que
cela prend le dessus sur l’autre chose. (Puis) la troisième (et qu’il soit réalisé par deux
frappes) c’est à dire qu’il lui suffit donc de faire deux frappes. Une frappe pour essuyer le
visage et une frappe pour essuyer les mains. Et même si l’essuyage a eu lieu sans frappe cela
suffit comme si un mur est tombé puis la poussière c’est diffusée dans l’air et qu’il a mis sa
tête dedans en la bougeant et qu’il a mit l’intention du tayammoum pour la prière par exemple
cela lui suffit. Et ce qui est voulu par la frappe ici c’est le fait de se mettre sur la terre. Et le
fait que quelqu’un d’autre fasse le tayammoum pour lui, à sa demande, alors cela prend place
pour celui qui le fait. Cela veut dire que même si il ordonne quelqu’un d’autre qu’il lui fasse
le tayammoum pour lui alors c’est valable avec la condition que celui qui lui a ordonné fasse
lui même l’intention. (Et on prie avec un tayyamoum ce que l’on veut de prière
obligatoire et surérogatoire (recommandé) ) du fait qu’il lève le Hadeth et qu’il est valable
également de l’anticiper sur son temps (c’est à dire qu’on peut faire le tayammoum avant
l’entré du temps).
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Chaykh Ismaïl dit:
Chapitre : (les piliers du tayyamoum) sont de deux. Le premier d’entre eux (l’intention)
par le cœur par l’intention de se rendre permis la prière obligatoire et ce qui est tel que cela,
comme l’intention de la purficiation du Hadath ou l’intention d’une adoration précise 7 qui
n’est pas valable sans purification tel que la prière de DHouhr, funéraire ou la prosternation
de lecture. Ne rentre donc pas dans cela le tayammoum pour toucher le mous’Haf parce qu’il
n’est pas considérer comme une adoration recherchée en sois, du fait que l’objectif est la
récitation du Qour’aan. Si il fait donc l’intention du Tayammoum uniquement ce n’est pas
valable ou il a eu pour intention la récitation du Qour’aan et il n’était pas jounoub, ce
tayammoum n’est pas valable pour la prière. Et il met l’intention lors de la frappe de ces
mains sur ce quoi il va faire le tayammoum ou lorsqu’il essuie ses organes par la terre qu’il
aura atteint. (Et) le deuxième pilier (essuyer le visage) dans sa totalité (et les mains) toutes
deux depuis le bout des doigts (jusqu’aux coudes) c’est à dire inclus. (Et il est
recommandé) sans conditionnement (l’ordre) entre l’essuyage du visage et l’essuyage des
mains de sorte qu’il ne précède pas les mains par rapport au visage.
Chapitre : (ce qui annule le tayyamoum sont deux choses) la première d’entre elles (tout
ce qui annule le WouDou’ et) la deuxième (la vision de l’eau) suffisante pour le WouDou’
si il est capable de l’utiliser. Et il n’est pas annulé par l’apostasie.
Chapitre : (les impuretés sont de deux sortes légère) tel que l’urine de l’animal dont on
consomme sa viande et les excréments des volatils qu’ils soient consommable ou non (et
majeure) tel que le sang qui coule, le vin, l’urine de l’être humain ainsi que ces excréments.
Ce qui est donc pris en considération du point de vue de l’impureté majeur et mineur de la
najaaçah c’est l’équivalent de ce qui en est toléré en grande quantité ou en petite quantité.
(Quant à l’impureté légère, il en est toléré) pour la prière (ce qui est moins que le quart)
ce qui est en deça du quart de l’organe ou en deça du quart de la partie de l’habit qui en a été
touchée. (Et l’impureté majeur est de deux sortes : celle qui a une substance visible)
moutajasidah (solide) tel que les selles et la terre qui a été touchée par l’urine ou le vin (si elle
a séchée) (chaykh mahmoud badawaki a dit que la signification n’est pas…. (Et celle qui n’a
pas une substance visible) de sorte qu’elle est liquide de sorte que son volume n’est pas
visible après avoir séchée même si on en constate ses traces comme l’urine ou le vin qui n’a
pas touché la terre et ce qui est tel que cela. (Il est toléré pour celle qui est moutajasidah
pour la prière (ce qui ne dépasse pas le poids du mithqal) et il est de 20 qiraat tout comme
cela a été dit précédement. (Et pour celle qui n’est pas moutajasidah ce qui ne dépasse pas
à l’équivalent du creux de la paume de la main).
Chapitre : (l’endroit qui est souillé par l’impureté visible se purifie par l’élimination de
l’entité par l’eau) même si il reste des traces qu’il reste difficile d’éliminer (et par autre que
cela par ce quoi il est valable de l’éliminer) de tout liquide pur capable d’éliminer
l’impureté tel que le vinaigre ou l’eau de rose et l’eau utilisée, contrairement à ce qui est
pareil au lait, à l’huile d’olive du fait qu’ils n’éliminent pas l’impureté. (Et) l’endroit souillé
(par la najaacah qui n’a pas de substance visible) tel que l’urine (c’est par le fait de laver
trois fois) en tenant compte de l’essorage pour ceux qui peut être essoré lors de chaque lavage
jusqu’à l’arrêt de l’égouttement. Et pour ce qui ne peut être essorer, par la forte présomption
que la purification a eu lieu par cela. Le récipient qui a été lapé par le chien est lavé trois fois
et ce qui est mieux c’est qu’il soit lavé sept fois dont un de ses lavages est mélangée avec de
la terre purificatrice pour sortir de la divergence. Parmi les éléments purificateurs il y a le
7
Ce qui est voulu par l’adoration précise c’est ce qui n’est pas obligatoire au sein d’une autre
chose par une manière naturelle.
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Chaykh Ismaïl dit:
Chapitre : (le minimum des menstures est de trois jours) et ses nuitées. Et il n’est pas une
condition que le sang coule de manière continuelle durant ces trois jours sans interruption. Et
c’est le sang qui sort de l’utérus de la femme naturellement sans que cela soit à cause d’une
maladie ni un accouchement et il n’est pas menstrue avant neuve ans lunaires ni après l’âge de
la ménopose. Certains l’ont estimé à soixante ans et certain ont dit qu’il s’agit de cinquante-
cinq ans et ils se sont accordés sur ce que la femme voit après cela comme n’étant pas des
menstrues dans l’avis du madh’hab . (Et son maximum est de 10 jours) avec ses nuitées. (Et
le minimum de pureté entre deux menstrues est de 15 jours) si le sang de la femme c’est
interrompu puis il a coulé à nouveau avant d’atteindre 15 jours alors cette interruption ne sera
pas considéré comme une séparation. Si elle voit du sang puis elle a eu 14 jours de propreté
puis 1 jours d’écoulement de sang alors elle compte tout le sang comme en continue et elle
considère les 10 jours menstrues et ce qui est au delà de cela comme du sang de maladie. (Et
le minimum des lochies) qui est le sang qui coule de l’utérus de la femme après
l’accouchement (est d’un jet) c’est à dire une seule fois (et son maximum est de 40 jours) et
ce qui dépasse les quarantes c’est du sang de maladie.
Chapitre : la prière
Chapitre :
(Le début du temps) de la prière (de Adh-Dhouhr est lorsque le soleil décline) c’est à dire
qu’il s’écarte du milieu du ciel en direction du couchant. (Et la fin de son temps est lorsque
l’ombre de toute chose atteint sa longueur ainsi que l’ombre méridienne) c’est à dire
lorsque la taille de l’ombre atteint la longueur de l’object en ajoutant à cela la taille de
l’ombre de l’object lorsque le soleil était au milieu du ciel (selon les deux élèves) et c’est une
des versions rapporté de Abou Hanifah. (Et jusqu’à ce que l’ombre atteigne deux fois
l’ombre de l’objet selon l’imam).
(Et le début du temps) de la prière (de Al-^Asr débute dès la fin du temps de Adh-
Dhouhr) le temps de la deuxième prière débute donc immédiatemment à la fin du temps de la
première (et il se termine) c’est à dire le temps du ^Asr (à la disparition) complète du disque
du (soleil).
(Et le début du temps) de la prière (du Maghrib commence après la disparition complète)
de tout le disque (du soleil et se termine par à la disparition du crépuscule) et il s’agit de la
lueur rouge selon l’avis donné en fatwa et c’est une des versions d’après l’imam.
(Et le début du temps) de la prière (de Al-^icha débute dès la fin du temps de maghrib et
se termine à l’apparition de l’aube véritable) qui est la blancheur horizontale à l’horizon
Est qui commence fine puis qui s’élargie petit à petit. Cependant par sa parole « véridique » il
exclue l’aube trompeuse et qui est la blancheur verticale qui apparaît puis qui disparaît. Le
début du temps de Soubh ne commence donc pas par son apparition.
(Le début du temps) de la prière (de Soubh débute dès la fin du temps de al-^Icha et se
termine par l’apparition ) de la première partie du disque du (soleil).
(Et la prière de Al-witr) est wajib selon l’imam et elle est sounnah chez ses deux
compagnons. Et elle n’est valable que par l’intention du Witr et son temps est comme le
14
Chaykh Ismaïl dit:
temps de Al-^Icha après l’avoir accomplie et elle est de trois unitées avec un salam, la fatihah
est récité obligatoirement (wajib) dans chaque unité et une sourah ou trois versets cours ou un
verset long équivalent à trois cours. (Et) de même que (les deux ^id) qui sont la fin du jeûne
et le sacrifice (est obligatoire) et son temps pour débuter la prière est l’élévation du soleil à
une distance d’une lance ou plus que cela. Elle n’est donc pas valable avant cela, bien plus
elle sera considérée comme surérogatoire interdite. Et son temps se termine jusqu’à ce que le
soleil décline.
Chapitre : (Celui qui a dormit pendant une des cinq prières) de parmi les prières fard (ou
qu’il a oublié, il doit la rattraper) obligatoirement par unanimité et de même pour le witr
dans le madh-hab (et il n’a pas commis de péché) en raison que le sommeil et l’oublie sont
excusé pour la communauté. (Et celui qui la délaisse) par le fait de la laisser sortir de son
temps (délibérément aura désobéit) d’un grand péché (et il lui est un devoir de la
rattraper immédiatement) celui donc qui retarde le rattrapage commet un péché par cela
également. Et la prière du temps n’est pas valable qu’après avoir rattraper la prière manquée
même si il l’avait délaissé par oublie sauf si il l’a oublié et il ne s’en est rappelé qu’après avoir
prié celle du temps ou que le temps de la prière est restreint ou qu’il a à accomplir de parmi
les prières manquée 6 prière autre que le witr ou plus, si il les rattrape de sorte que le nombre
atteigne cinq il n’a plus a respecter l’autre.
Chapitre : (les conditions de la prière sont 9) la première (la purification des deux
Hadaths) le grand et le petit (Et) la deuxième (la purification des impuretés) celle qui n’est
pas tolerable (sur l’habits, le corps et l’endroit) ceux dont les organes touche lors du
soujoud (et) sur (ce que l’on porte sur soi et) la troisième (Se diriger vers la qiblah) c’est à
dire la Ka^bah en atteignant son édifice si il se trouve à la Mecque et par le fait de se diriger
dans sa direction, c’est à dire que la Ka^bah se trouve dans un angle dont les deux droite se
rejoignent à l’arrière du cerveau et que chacune d’elle passe par les deux yeux si il se trouve
en dehors de la Mecque (et) la quatrième avoir connaissance (de l’entrée du temps) par
certitude ou par forte présomption suite à un ijtihad, si il a donc un doute au sujet de l’entrée
du temps de l’adoration puis il l’accomplit et se rend ensuite compte qu’il l’a accomplit dans
son temps elle n’est pas valable (et) la cinquième (connaître qu’elle est un devoir) dans les
prière fard, par conséquent si un nouveau converti accompli la prière du Soubh par exemple et
il ne sait pas qu’elle est un devoir sa prière ne sera pas valable (et) la sixième (Couvrir la
zone de pudeur, la zone de pudeur de l’homme est ce qui est sous le nombril jusqu’au
genou) les genoux eux même font parties de la zone de pudeur. (Et) la zone de pudeur de (la
femme esclave ce qui a été cité avec le fait de couvrir son dos 8 et son ventre) et ces deux
côtés (également) ce qui est voulu par le dos et le ventre c’est ce qui est en dessous de la
poitrine jusqu’au nombril. (Et) la zone de pudeur (pour la femme libre c’est tout son corps)
de tous les côtés mais pas par dessous (sauf le visage, les mains et de même les deux pieds)
et c’est ce qui est en dessous des deux chevilles (selon un des deux avis rapportés et c’est
celui qui prévaut) et le visage n’est pas une zone de pudeur par unanimité. Quant à découvrir
le quart du membre de la zone de pudeur tel que le ventre et la cuisse 9 empêche la validité de
la prière dès lors qu’elle est restée découverte le temps de 3 tasbiiHaat et sinon elle est
toujours valable10. (Et) la septième (une intention qui n’est pas séparé entre elle et la
8
Alors le dos cela s’arrête au niveau de la poitrine aussi la zone de pudeur. (selon chaykh
MaHmoud badawakiyy)
9
ce qui est voulu ici c’est le quart du membre de la cuisse ou du ventre.
10
Ça c’est quand il est au sein de la prière, si il a découvert moins que cela la prière n’est pas
annulé, mais cela ne veut pas dire que si il commence la prière et il découvre cette chose là
15
Chaykh Ismaïl dit:
takbirah par un acte étranger) de la prière, et il en est précisé le caractère fard et wajib (et)
la huitième (le takbir) c’est à dire l’entrée en rituel à son début et davantage d’explication
vont venir dans le chapitre suivant, si Dieu le veut. (Et) la neuvième (évité les annulatifs)
c’est à dire ce qui invalide la prière.
Utilité : le chaykh ^Abdoul ganiyy an-naboulçiyy, que Dieu lui fasse miséricorde, a dit, dans
son livre « Nihayatou l-mourad dans l’explication du Hidayah de Ibnoul ^Imad » : Dès lors
que le visage de la femme ajnabiyyah ainsi que ses deux mains ne sont pas une zone de
pudeur, il est donc permis de les regarder sans désir pour le besoin qu’il y a dans les
transactions tout comme nous l’avons dit précédemment, par conséquent sa voix
prioritairement n’est pas considérée une zone de pudeur lorsqu’on a besoin de parler avec elle
dans les transaction et du fait que la voix n’est pas quelque chose qui est vu mais est plutôt
entendu donc cela sera comme le fait d’entendre ses mouvements, ses pas et ses déplacement
ou son applaudissement et il n’y a pas de paroles au sujet de son interdiction.
Chapitre : (les piliers de la prière sont 6) le premier pilier (l’entrée en rituelle) et elle est
un pilier selon Abouu Haniifah et Abouu Youuçouf et c’est la parole « Allaahou Akbar » ou
ce qui a le même statut dans tout ce qui indique la glorification spécifique celle qui ne
comprends pas un appel ou autre que cela selon l’imam, tel qu’il dise « Allaahou A^Dham ».
Et Abouu Youuçouf a dit qu’il n’est valable si ce n’est le takbir par l’un de ces quatres
termes ; « Allaahou Akbar, Allaahoul Akbar, Allaahou Kabiir, Allaahoul Kabiir ». (Et) le
deuxième (la position debout pour le fard et le wajib) c’est à dire dans la prière Fard et
Wajib (pour celui qui en est capable et) le troisième (réciter le Qour’an) la récitation de la
FatiHah est obligatoire (wajib) dans les deux première unités de la prière fard en prononçant
les lettres doublées, le fait de sortir chaque lettre de la manière juste à partir de leur point de
sortie, il n’est donc pas valable de prononcer le Dhal en Zay ou le Daad en DHaa ou le Saad
entre le Saad et le siin tout comme le font beaucoup de gens, il ne prononce ni un Saad pur ni
un Siin pur. Il est dit dans le livre « Al MouHiiT » que la prononciation correcte des lettres
dans la récitation est une chose indispensable et il n’est pas suffisant qu’ils les prononcent par
sa langue sans s’entendre sois-même et la globalité des grands savants (machaykh) en suivit
cela, fin de citation, et il en de même dans le livre « Al fataawa al-hindiyyah ». Quant à la
basmalah elle est recommandée avant la faatiHah au début de chaque Raka^ah, par
conséquent il ne la récite pas à voix haute. Celui qui suit l’imam ne la récite pas dans
l’absolue que cela soit dans une prière à voix haute ou à voix basse. (Et) le quatrième pilier
(le roukou^ (inclinaison)) de sorte qu’il soit appelé inclination selon l’usage, c’est à dire de
sorte que si il tend ses mains elle atteigne les genoux, il est wajib qu’il s’y immobilise à la
durée de SoubhaanAllaah et qu’il se redresse après cela en position debout et qu’il s’y tienne
immobile. (Et) le ciquième (le soujoud (prosternation) par deux fois)) de sorte qu’il pose
son front et son nez et une partie de ses genoux et de l’intérieur de ses mains et de ses orteils
sur le lieu de prière, par conséquent si il pose son front sans le nez ainsi qu’une main et un
genou et une partie du bout des orteils d’un pieds alors c’est valable tout en étant déconseillé
(makrouuh TaHriim). Il n’est pas valable de poser le nez seulement sauf si il y a une excuse
selon les deux élèves et c’est également rapporté de l’imam et c’est la fatwa. Et si il s’est
prosterné sur son turban qui entour son front sur tout le turban ou une partie le soujouud est
valable avec le déconseillé, sauf pour une excuse en raison de la chaleur ou de la froideur ou
du caractère rugueux de la terre, il sera alors valable dans ce cas sans déconseillé. (Et) le
sixième pilier (la position assise pour le dernier tachahoud) de la durée du tachahhoud, et il
(donc moins que le quart) car dans ce cas là sa prière n’est pas engagée. Si il a découvert au
sein de la prière alors c’est ici que chez eux il y a cette explication (chaykh MaHmoud
Badawakiyy a dit cela ).
16
Chaykh Ismaïl dit:
est une obligation (waajib) de le réciter dans cette position assise et il y a plusieurs version
rapportées et la version d’entre elle qui est choisi dans le madh-hab est le tachahhoud de
Ibnou Mas^oud qui est : At-taHyyatou lilaahi wa Salawaatou wa T-tayyibaat, as-salaamou
^alayka ayyouhan-nabiyyou wa RaHmatoullaahi wa barakaatouh, as-saalamou ^alaynaa wa
^alaa ^ibaadillaahiSaaliHiin, ach-hadou an laa ilaaha il-lallaah wa achahhadou anna
MouHammadan ^abdouhou wa raçouulouh. Et l’invocation en faveur du prophète ^alayhi-
selaam est fait après cela et son minimum est ; Allaahoumma Salli ^alaa MouHammad et elle
est sounnah et il fait le salaam qui est waajib. En revanche la position assise pour le premier
tachahhoud est donc waajib et non pas fard à la durée de la récitation du TaHyyat, c’est à dire
le tachahhoud jusqu’à la parole ^abdouhou waraçouulouh et de même d’y réctier le
tachahhoud c’est à dire de l’une des versions même si le tachahhoud de Ibnou Mas^oud est
meilleur.
Chapitre : (de parmi les annulatifs de la prière la perte du Hadath) par conséquent si la
perte du Hadath est survenu pendant la prière il se détourne de sa prière immédiatemment
sans attendre et il fait le WouDouu’ et il complète sur ce qu’il a accomplis mais de
recommancer depuis le début est meilleur (et) parmi eux (avoir sur soi une impureté non
tolérable) et ce n’est pas celle qui est dans son estomac, qu’elle soit sur son corps ou sur son
habit c’est à dire ce qu’il porte ou ce qui bouge par ces mouvements ou ce qui est considéré
comme étant porté par lui tel que le petit enfant qui porte une impureté sur lui qui ne se tient
pas par lui même, en revanche si l’enfant se tient par lui-même alors il n’empêche pas la
validité de la prière du fait que porter l’impureté revient au petit enfant et non pas à celui qui
fait la prière (et) parmi eux (découvrir le quart de l’organe) tel que le genou, la cuisse et le
ventre (de parmi les organes de la awrah (zone de pudeur) pendant une durée de trois
tasbihat) tout comme cela a été dit précédemment, ……….a revoir………. (et) parmi eux (le
fait de parler) c’est à dire de sorte à s’entendre soi-même (même par une lettre qui a un
sens) tel que Qi ou ^i (ou deux lettres de la parole des gens) ou par une parole ne
comportant pas d’utilité, (même si c’est par distraction ou par ignorance) et cela comprend
aussi le salaam dit délibérément11 ou dans l’intention de saluer et de rendre le salaam même
par distraction. (que ce soit volontaire ou non on ne regarde pas) Et le fait de dire
JarHamoukAllaah à celui qui a éternué dans le cas où cela a eu lieu avant la dernière position
assise de la durée du tachahhoud. Et elle est annulée par l’invocation qui ressemble à notre
parole comme si quelqu’un dit ô Allaah fait que untel se marie. Et le gémissement par la
parole « ah » et le soupire par la parole « ouff » ou le gaignement pour celui qui dit « aaah »
avec la prolongation en raison d’une qui n’arrive pas à retenir sa douleur (car le génissement
sera considéré dans ce cas là comme l’éternuement ou l’éructation qui ont lieux avec une
sortie de sons) ainsi que les pleures par en émettant un son si cela a eu lieu avec une sortie de
lettre, que cela ait eu lieu suite à une douleurs ou une épreuve non pas si c’était en se
rappelant du paradis ou de l’enfer ce qui montre qu’il y a en cela une augmentation dans le
Khouchou^. De même le raclement de gorge sans excuse contrairement au raclement de gorge
pour corriger sa prononciation ou pour indiquer à son imam dans ce cas là, cela n’annule pas
selon l’avis juste (et) parmi eux (le rire) c’est à dire de sorte à s’entendre soi-même cela
annule donc la prière et le wouDouu n’est pas annulé. En outre, si quelqu’un d’autre que lui
l’entend rire le wouDouu est annulé également si cela provient de celui qui est pubère et
réveillé. (Et) parmi eux (de nombreux mouvement) de sorte que celui qui le voit ne doute
pas que celui qui fait ces gestes n’est pas dans la prière (et) parmi eux (manger) de ce qui
provient de l’extérieur de sa bouche dans tous les cas même si c’est très petit tel que le grain
de sésame, et de même de manger ce qui est entre les dents sauf si cela est inférieur au pois-
chiche (et boire dans l’absolue) que cela soit par oublie ou en s’en rappelant, de celui qui est
11
Sauf le salaam pour sortir de la prière avant de l’avoir terminer en pensant l’avoir compléter.
17
Chaykh Ismaïl dit:
très ignorant ou pas même si cela a lieu en levant la tête vers le ciel et que de la grêle est
tombée dans sa gorge ou de la pluie qui est arrivée dans sa gorge, sa prière est annulée. (Et)
parmi eux (détourner sa poitrine de la qiblah) sauf par la survenue de quelque chose ou
lorsqu’on fait fasse à l’ennemi dans la prière de la peur (et) parmi eux (réciter par
enjolivement) c’est à dire ne pas s’en tenir aux harakats pour suivre l’enjolivement (dans ce
qui comporte une altération du sens) c’est à dire la signification des versets comme s’il
ajoute lorsqu’il récite « Al-Hamdoulillaahi Rabbil ^aalemiin » un « waw » après le « dal » ou
par le « ya » après le « lam » ou après le « ha » ou par le « alif » après le « ra » (c’est par
rapport au prolongation). Dès lors, si il n’y a pas altération du sens, il n’y a donc pas
d’annulation sauf dans les lettres du mad et du liin, s’il exagère d’une durée de 7 alif ou plus
alors dans ce cas elle est annulée même si le sens n’est pas changé. Et les lettres du mad et du
liin sont les 13 lettres « alif, waw, ya si elles sont sakina et qu’elles sont précédées d’une lettre
…. (et) parmi eux (la perte de la raison) par l’enivrement ou l’évanouissement ou ce qui est
pareil à cela (et la folie pendant la prière) et entre dans cela également le fait d’être toucher
en raison du contact du jinn si il reprend connaissance de cela il doit refaire le wouDouu’ (et)
parmi eux (devancer l’imam d’un des piliers) sans simultanéité avec son imam tel que si il
s’incline et se redresse avant son imam et il ne le refait pas avec lui ni après lui et il passe le
salaam. (Et) parmi eux (que l’homme) responsable (soit côte à côte de la femme) désirable
c’est à dire celle qui avec qui ont peut avoir le rapport par le fait d’être côte à côte de ses
pieds, ses jambes sans intermédiaire entre eux deux…. (dans une prière comportant le
roukou^ et le soujoud dans laquelle ils sont associé dans le suivis de l’imam) dans la
taHrimah de son temps…. Si l’imam a mit l’intention de la diriger dès le début et pas après,
….
La prière n’est pas annulée par le passage même d’une femme dans l’emplacement de la
prosternation même si cela est déconseillé et celui qui a fait cela a commi un péché mais ce
n’est pas déconseillé de passé au-delà de cela.
Chapitre : (parmi les conditions pour suivre l’imam, que le ma’moum ne devance pas
son imam dans son emplacement) c’est à dire qu’il ne se tiend pas devant l’imam. (Et qu’il
soit au courant des mouvements de son imam) et qu’il ne soit pas séparé par un grand
fleuve ni une grande rue ni un intermédiaire qu’il l’empêche d’être au courant de son imam.
(Et que l’imam soit suivit dans les piliers (Arkan) gestuel ainsi que dans les obligations
(wajib) accomplis et délaissés) il est dès lors interdit de le devancer par un pilier gestuel de
sorte qu’il s’incline par exemple et qu’il relève sa tête avant l’imam si le roukou^ n’est pas
refait avec lui ou après lui et qu’il passe ainsi le salaam tout comme cela a précédé. (Et) il est
une condition (qu’il n’y ait pas un rang entier de femme entre l’homme et son imam) dès
lors si elles sont 3 alors la prière des 3 hommes derrières elle est annulée et de chaque ranger
jusqu’au dernier d’entre eux et c’est la fatwaa prise en considération et le suivit de la part des
autres restes valable et si elles étaient 2 alors la prière des 2 derrières elles est annulée
seulement. (Et que leur prière respective s’accorde) c’est à dire l’imam et le ma’moum, par
conséquent la prière farD derrière la prière FarD est valable dans le cas où il prie la même
prière farD. Si il diverge en cela (c’est visé là 2 prière farD différente comme Dhouhr et ^aSr
et DHouhr du temps derrière un d’un autre temps) ou celui qui prie le farD derrière celui qui
prie le surérogatoire alors ce n’est pas valable de le suivre contrairement la prière
surérogatoire derrière la prière FarD alors c’est valable. (Et il est indispensable que l’imam
mette l’intention d’être imam dans la joumou^ah) c’est à dire dès son début car il est
indispensable qu’elle soit tenue en assemblée.
(Et la prière est valable mais avec le caractère déconseillé derrière un innovateur) dont
son innovation n’est pas arrivée à la mécréance. (Mais elle n’est pas permise derrière un
18
Chaykh Ismaïl dit:
Qadariyy) c’est à dire celui qui renie la prédestination « al-Qadar » (et) de prier derrière
(l’assimilasionniste ou celui qui renie al israh et ce qui est tel que cela) du fait que leur
innovation est une mécréance.
Chapitre : (il est une condition pour la tenue de la joumou^ah) c’est à dire afin qu’elle
soit farD sur la personne (le fait de résider dans la ville) elle n’est donc pas obligatoire sur le
voyageur ni pour celui qui ne réside pas dans une ville (tel que le gens qui habite dans les
tantes), (la bonne santé) par conséquent elle n’est pas obligatoire sur celui qui est malade qui
n’a pas la capacité d’aller à la mosquée ou sa maladie va augmenter si il s’y rend, (la liberté)
elle n’est donc pas obligatoire sur l’esclave complet « mamlouk » mais elle est obligatoire sur
l’esclave partielle « mouba^^aD » par exemple celui qui est en moitié libre moitié esclave » et
sur l’esclave qui a un contrat d’affranchissement « mouqaatab », (pour les hommes) et il
n’est donc pas obligatoire sur la femme, (la raison) il n’est donc pas obligatoire pour le fou,
(la puberté) et il n’est donc pas obligatoire pour l’enfant mais si il l’accomplit en remplissant
les conditions elle lui sera compté, il ne priera donc pas le DHouhr de ce jour. (Il est une
condition pour la validité de son accomplissement six conditions) la première (la ville
…...) il n’est donc pas valable de l’accomplir si ce n’est dans une ville ou ….. et ce n’est pas
valable dans la terre déserte ni en dehors de la ville, et la ville c’est celle qui a un amir, un
juge « qaaDii » qui se tiens au jugement et qui applique les arrêts ou …… (et) la deuxième (le
temps du DHouhr) la joumou^ah n’est donc pas valable avant l’entrée du temps (Et) la
troisième, la présence (du sultant) et c’est le responsable au dessus duquel il n’y en a pas un
autre qu’il soit digne de confiance ou non ou qu’il soit chargé par le sultant et autorisé par lui.
Par conséquent si il n’y a pas la présence d’un sultant on se réfère à un homme qui va faire le
discours en cela et les dirigés en cela (et) la quatrième (le discours) avant la prière et
également dans son temps, et c’est un discours long dans le minimum est de la durée du
tachahhoud chez les deux élèves et l’imam a dit que si il se limite à faire une louange ou un
tahlil c’est valable avec le caractère déconseillé tenziihi et il est recommandé de faire 2
discours en observant une position assise entre les deux (et) la cinquième (l’assemblée) et il
s’agit de 3 hommes non pas des garçon sans compté l’imam. Et il n’est pas une condition que
ce soit les mêmes qui ait assisté à la khouTbah et elle n’est pas valable de l’accomplir en étant
seul (et) la sixième (l’accès général) de sorte que les portes soient ouvertes aux gens,
qu’aucune personne de parmi dont la jama^ah est valable ne soit empêchée de rentrer à
l’endroit où est accomplis la joumou^ah. Dès lors, si l’accès général est fermé et son entrée
n’est autorisée que de manière restreinte uniquement alors la joumou^ah n’est pas valable
(comme le cas de la prison, si il font la joumou^ah dedans ce n’est pas valable, parfois dans
les universités aussi).
Dès lors si l’imam a été rejoint dans le tachahhoud ou dans la prosternation de distraction il
complète la joumou^ah sur cela et par conséquent il accomplira 2 unités et non pas 4. (les
chaafi^ites ils font 4. Ibnou Moundhir qui est moujtahid mouTlaq a dit comme Abouu
Haniifah).
Chapitre : (Ce qui est obligatoire) c’est à dire d’une obligation d’ordre communautaire (sur
le mort musulman s’il est né vivant de faire 4 choses. Le laver, l’envelopper dans le
linceul, faire la prière sur lui et L’enterrer. Et Le minimum du lavage consiste à
répandre sur tout son corps) entièrement peau et poil (avec de l’eau) purificatrice sans pour
autant faire la MaDmadaH et l’istinchaq sauf si il était jounoub ou que la femme était en
période de mensture ou de lochies. Par conséquent on lui lave la bouche et le nez afin que sa
purification soit complète (et le minimum du linceul) d’un devoir communautaire (c’est
deux tissus qui sont l’izaar (un pagne) et la lifaafah pour l’homme) chacun des deux
19
Chaykh Ismaïl dit:
couvres l’entier du corps, c’est à dire qu’ils vont de la tête jusqu’au pieds. (Et trois tissus
pour la femme) c’est à dire un qamis même si il est sans manche, un izaar et un lifaafah et
c’est déconseillé (makrouuH TaHriimiyy) de faire moins que cela sauf dans un cas de
nécessité. Il est recommandé d’ajouter un Qamis pour l’homme et d’ajouter un khimaar pour
la tête et de tresser les cheveux pour la femme.
(Les piliers de la prière en sa faveur sont au nombre de deux, la position debout) pour
son accomplissement (et les takbirats) qui sont 4, et il est une condition l’intention tel qu’il
dise : « je mets l’intention de prier ………. pour cette homme ou pour cette femme ou pour ce
garçon ou pour cette fille », et la purification des najaaçah, couvrir la zone de pudeur ici il
manque qqch et se diriger vers la qiblah, que le mort soit musulman, sa purification et sa
présence. (Et Il fait les louanges) de celui qui prie (pour Allaah après la première
takbirah) tel qu’il récite : « soubHaanakAllaahoumma wa biHamdik…. De même si il récite
la faatiHah avec l’intention de la louange c’est valable (et il fait l’invocation en faveur du
prophète aleyhiselaam après la deuxième) et ce qui est prioritaire et qu’il récite la Salaat al-
Ibraahiimiyyah, celle que l’ont récite la dernière position assise de la prière (et il invoque en
faveur du mort après la troisième) et ce qui est prioritaire c’est l’invocation qui est rapporté
par l’imam Abouu Haniifah, que Dieu l’agrée : « Allaahoumma ghfir li Hayyinaah wa
mayyitinaah wa chaahidinaah wa ghaa’ibinaah wa Saghiirinaah wa kabiirinaah wa
dhakariinaah wa ounfaanaah ». (Et il fait le selam qui est obligatoire (wajib) après la 4ième)
et si il veut avant le selaam il dit : « Allaahoumma la touHarrinna ajrahou walaa taftinnaa
ba^dahou wa ghfirlana walahou ».
(Le minimum de l’enterrement est réalisé par le fait de creuser un trou qui cache son
odeur et qui le préserve des bêtes féroces) c’est à dire que le corps soit détérer et il est
recommandé l’approfondir, par conséquent si la fausse est approfondit plus que la moitié de la
hauteur ou jusqu’à la poitrine ça sera mieux (et il est obligatoire de le diriger) c’est à dire de
dirigé sa poitrine et non pas seulement son visage (en direction de la Qiblah) et il a été dit
que c’est recommandé.
Chapitre de la Zakat
(Chapitre : les biens sur laquelle la zakat est obligatoire : les camélidés (chameau et
dromadaire) croisé ou pas, (les bovins) qui comporte également les buffles, (les ovins et
caprins) qu’ils ont de la laine ou des poils, (les deux métaux précieux) d’or et d’argnt métal
et qui englobe les trésors et les bijoux de ces deux métaux, (les cultures vivrières) comme le
blé, orge, riz, pois chiche, fève, ….. et le maïs, (les fruits) comme les dattes, raisin sec, les
olives, (les minerais) ce qui est extrait des mines qui fond et qui est marteler, en exclue donc
par cela les liquides tel que le pétrole, le goudron et ce qui n’est pas marteler comme les
minerai de pierre, (les biens commerciaux) c’est à dire les biens que la personne engage pour
faire de la vente et de l’achat en vue d’un profit, et aussi sur les monnaies liquide qui
remplace l’or et l’argent métal. Il n’y a pas de zakat pour une maison qu’elle achète pour y
habiter ou pour la louer, ni dans les animaux domestique tant qu’il ne s’engage pas dans un
processus de commerce (par exemple les lapins, les cheveaux) autre que ce qui a été précité
tant que cela n’est pas pour le commerce (et) il est une condition (pour l’obligation de la
zakat) dans les biens précités d’avoir atteint (le seuil défini) pour ce qui est des camélidé le
seuil est de 5, pour les bovins 30, pour les caprins et ovin 40, et pour l’or c’est 20 mithqal,
pour l’argent métal c’est 200 dirham et pour le commerce c’est comme pour les deux métaux
précieux (sauf pour les cultures vivrière et les fruits). Il n’est donc pas une condition pour
eux (cultures vivirière et fruits) d’atteindre un seuil selon l’imam.(chaykh MaHmoud a dit
20
Chaykh Ismaïl dit:
qu’on donne la fatwa ainsi), bien plus la zakat est obligatoire sur leur grande et leur petite
quantité. (ces deux compagnons ont divergé avec lui sur cela).
(Celui qui est concerné par le caractère obligatoire il doit apprendre ce que Allaah a
rendu obligatoire à ce sujet). Afin qu’il s’en acquitte de la manière valable et qui se
décharge de cette obligation.
(La zakatoul fitr est obligatoire (wajib) par le fait d’être vivant au fajr du jour du fitr)
celui qui est mort ou devenu pauvre avant le fajr du fitr ou celui qui est entré en Islam ou il est
devenu riche ou il a eu une naissance après cela alors elle n’est pas obligatoire. Cependant elle
est obligatoire (pour tout musulman libre et pour son enfant non pubère et celui qui est
fou) qui est pubère (et qu’ils sont pauvres). Il n’y a pas de zakaat obligatoire envers son
épouse (on peut donner pour son épouse mais on lui demande l’accord, chez les hanafites ont
dit que même si on demande pas à son épouse mais qu’on pense qu’elle accepte alors on peut
donner pour son épouse) ni pour son enfant pubère ou son enfant non pubère qui est riche, (et)
de même la zakaatoul fiTr est obligatoire sur lui au sujet de (son esclave qui est à son
service) et non pas en vue d’un commerce ni le moukaatab {l’esclave qui a un contrat
d’affranchissement avec son maître}. (Il donne pour tout un chacun) d’entre eux (la moitié
d’un sa^) irakien (de blé) et le Sa^ est de 8 artal ce qui correspond à 4 moudd (ou un sa^ de
datte ou d’orge dès lors qu’il a atteint) le seuil ou (l’équivalent du seuil) c’est à dire son
prix de la valeur du bien ou autre que cela (si cela est en plus de ses dettes de ses habits de
son logement de ses affaires ménagère, de son cheval, de son arme, de son esclave à son
service et des besoins de sa famille. Et il est permis) de s’en acquitter (en donnant la
valeur) contrairement à l’imam Ach-Chaafi^iyy, que Dieu lui fasse miséricorde.
(L’intention est obligatoire dans toutes les catégories de zakat, lorsqu’il sépare la
quantité qu’il doit sortir) ou simultanément lorsqu’il s’en acquitte pour la donner au ayant
droit.
Chapitre : (La zakat est donnée à l’une des huit catégories) ceux que Dieu a cité dans
‘ayah des aumônes c’est à dire ( de parmi : faqiir (le pauvre)) et il s’agit de celui qui a très
peu ou quelque chose de minime qui est moins du seuil, et il est donc celui qui n’a pas ce qui
atteint le seuil obligatoire pour la zakat. Et si tu veux tu dis celui pour qui la zakat n’est pas
obligatoire après avoir compléter l’année lunaire. (Et miskiin (miséreux)) et c’est celui qui
n’a rien du tout, il a donc besoin de demander pour sa nourriture de base et ce qui lui permet
de maintenir son corps (imam maalik dit pareil que Abouu Haniifah) (et ceux qui sont
chargé de récupéré la zakat) tel que celui qui est envoyé pour la récolter ainsi que Al-^achir
c’est celui qui la récupère de ceux qui font les transactions, par conséquent on leur donne de
la zakat à l’équivalent de ce qui leur suffit pour ceux qui les assiste et sa famille le temps de
son aller et retour même si il est riche. (Et ceux dont le cœur est à raffermir) par conséquent
cette catégorie est exempté du fait qu’elle n’est plus existante de nos jours tout comme notre
maître ^oumar a dit que le Messager de Dieu, ^alayhis-selaam l’a donnait pour renforcer
l’Islam, en revanche actuellement Dieu a raffermi la religion, elle n’est donc pas donnée une
part en Zakat du fait de la disparition de la cause qui est de donner pour cela. (Et aux
esclaves) et ce qui en est voulu c’est le moukaatab sous condition qu’il ne soit pas le mouzaki
ni le Haachimiyy. Il est aidé par la zakat pour s’affranchir. (Et les endettés) qui sont ceux
ayant contracter une dette et qui n’ont pas un seuil une fois la dette déduite (fi sabilillaah-et
ceux qui sont dans le sentier agrée par Dieu) qui sont les combattants bénévoles pauvre tout
comme l’a expliqué Abouu Youuçouf et cela ne signifie pas tout acte de bien tout comme l’on
prétendu certain (Pour répondre à Al-Kassaaniyy (savant hanafite décédé en 587) l’auteur de
Al-badai^ou fi sanai^ou qui a dit que fi sabilillaah serait tout acte de bien) cela est donc
21
Chaykh Ismaïl dit:
contraire au Qour’aan à la sounnah et al-ijmaa^ et il a été dit l’erreur du savant est …… (et le
voyageur) qui n’a pas avec lui ce qui lui permet d’atteindre sa destination que cela soit en
dehors de son pays ou dans son pays. Par conséquent il prend de l’aumône l’équivalent de son
besoin. (Il n’est ni permis ni valable de la donner à autre qu’eux), tel que de la dépenser
dans la construction d’une mosquée, d’une école ni dans le mur d’un cimetière ou ce qui est
pareil du à la non mise en possession à l’une des catégories citées.
Chapitre : Jeûne
(Il est un devoir de jeuner) le mois de (RamaDaan suite à une de ses 4 choses : Compléter
le mois de Chaban à 30 jours, l’observation du croissant lunaire pour celui qui le voit)
c’est à dire que le jeûne est obligatoire sur la personne même qui a vu le croissant (même s’il
était pervers, pour sa confirmation au sujet de celui qui ne l’a pas vu elle est par le
témoignage d’une seule personne digne de confiance) chez les juges qu’il a vu le croissant
de RamaDaan (si il y a dans le ciel un empêchement) que cela soit des nuages, de la
poussière ou ce qui est pareil, que cela soit un homme ou une femme, qu’il soit libre ou
esclave sans qu’il y ait pour condition la parole du témoignage (si le témoin dit j’ai vu le
croissant lunaire ça suffit. (En revanche si il n’y a pas dans le ciel d’empêchement son
témoignage ne sera pas accepté) à lui seul (que s’il est vu par un groupe dans la
connaissance est confirmée) sans spécifier un nombre forcément religieusement (par leur
information) c’est à dire un groupe dont la forte présomption a lieu par leur information. Et
selon l’avis fiable (SaHiiH) ….. sans qu’il y ait un nombre estimé. En revanche pour le
croissant du fin du jeûne (fiTr) celui qui le voit tout seul ne rompt pas le jeûne dû à l’erreur
probable ou l’illusion, et si il y avait dans le ciel un empêchement alors pour le croissant de
Al-fiTr cela ne sera pas accepté si ce n’est par le témoignage de 2 hommes ou 1 homme et 2
femmes.
Chapitre : (les conditions de sa validité ; l’islam) par conséquent il n’est pas valable de la
part du mécréant (la raison) par conséquent elle n’est pas valable de la part du fou (l’absence
d’écoulement tel que les menstrues) et il n’est pas valable de la femme qui a les menstrues
ou les lochies.
Chapitre : (les conditions de son obligation) c’est à dire le jeûne de RamaDaan (4 choses :
l’islam) il n’est donc pas obligatoire sur le mécréant (et la responsabilité) et par conséquent
il n’est pas obligatoire sur celui qui n’est pas responsable (la capacité) par conséquent il
n’est pas obligatoire sur celui qui ne supporte pas à cause d’une maladie ou de la vieillesse (et
la résidence) il n’est donc pas obligatoire sur le voyageur sauf le voyageur qui a entamé son
voyage après le fajr, il n’est donc pas permis pour lui de rompre pour ce jour là.
Chapitre : (ses deux piliers sont : une intention) absolue ou l’intention de jeûner Ramadan
ou l’intention d’un surérogatoire ou l’intention d’une autre obligation (comme une kaffaarah)
sauf dans un voyage ou une maladie, le jeûne sera alors compter dans ce cas là pour cette
autre obligation. Et il met l’intention (pour chaque jour dans le fard) et ce qui est meilleur
c’est qu’il se la rende présente durant la nuit, par conséquent si il n’a pas mis l’intention
jusqu’à l’entré du soubh, l’intention sera valable jusqu'à la moitié de la journée religieuse et il
s’agit du soubh jusqu’au coucher du soleil tel qu’il a été dit dans le livre Al-jaami^ as-saghir
et dans Al-wiqaayah ainsi que dans d’autre livre que ces deux-ci et c’est l’avis juste, tout
comme cela est également dans l’explication de Al-wiqaayah et d’autres. et ceci afin que
l’intention soit présente durant la majeur partie de la journée. Par conséquent si un jour de
jeûne est à sa charge tel qu’un rattrapage de Ramadan ou un vœux dans l’absolue et la
22
Chaykh Ismaïl dit:
kaffarah il n’est pas valable si ce n’est par la spécification et par une intention durant la nuit
contrairement au jeûne surérogatoire dans l’absolu dans tout les cas il lui est permis de mettre
l’intention avant le milieu de la journée. (Délaisser tout ce qui annule le jeune) de
l’aparition de l’aube jusqu’au coucher du soleil tel que de manger, de boir, d’avoir un rapport
sexuel, de provoquer la sortie du maniyy, de se faire vomir au point de remplir la bouche,
l’introduction d’un médicament dans l’anus tel qu’un supositoire, d’introduire une goutte
d’huile dans l’oreille12, et ravaler de ce qu’il a vomi 13, et la fumée tel que la cigarette ainsi que
l’apostasie. si la personne dit je jeune demain c’est bon , si il dit je jeune sounnah
pendant RamaDaan alors ce qui est considéré c’est l’intention du jeûne qu’il a mis sauf
si il est en voyage ou il est malade, le mieux c’est qu’il présente l’intention dans le cœur
durant la nuit. Mais si il n’a pas mis l’intention durant la nuit alors il peut mettre
l’intention de jeuner jusqu’à avant le Dhouhr pour le RamaDaan car c’est un jeûne
déterminé, pour les jeunes indeterminé alors il doit mettre l’intention durant la nuit
Chapitre : (le rattrapage et l’expiation) tel que l’expiation du dhihar qui est
l’affranchissement d’un esclave s’il n’en est pas capable jeûner deux mois consécutif si il n’en
n’est pas capable il nourrira 60 miséreux en donnant à chacun d’entre eux la moitié d’1 sa^ de
blé ou 1 sa^ de datte ou d’orge (pour celui qui a annulé son jeune pendant RamaDan par
un rapport sexuel, par le fait de boire ou de manger ce qui est consommable ou par
lequel on se soigne et que l’on n’a pas d’excuse pour rompre le jeune et il n’y a pas
d’expiation dans l’annulation d’un jeune autre que Ramadan) celui qui entame un jeûne
surérogatoire puis il l’a annulé, il en doit le rattrapage obligatoirement, de même pour ce qui
est de la prière surérogatoire.
(Le jeune n’est pas annulé par la ixhamah ou par la médisance ou par l’intention
d’annulé le jeune sans un acte) qui annule.
Chapitre : du Pèlerinage
(Le Hajj est une obligation) immédiatemment (une fois dans la vie pour le musulman
pubère) il n’est donc pas obligatoire sur le garçon et il ne lui suffit pas pour lever l’obligation
lorsqu’il devient pubère (sain d’esprit) par conséquent il n’est pas obligatoire sur le fou
(libre) il n’est donc pas obligatoire sur l’esclave et il est valable de sa part de même il ne lui
suffit pas pour lever l’obligation si il est affranchit (qui a la capacité) d’y aller et de retourner
dans son pays en plus de sa dette, de son logement, de son habillement qui lui sont digne et de
ceux qui sont à sa charge la durée de son aller et retour. Et il est également inclus dans la
capacité la sécurité du trajet, la santé, la qoudrah… Concernant la femme, c’est qu’elle ait un
mahram qui l’accompagne ou un époux, il ne lui est donc pas permis de faire le hajj sans l’un
de ses deux dès lors qu’il y a une distance pour la réduction des prières entre elle et La
Mecque.
23
Chaykh Ismaïl dit:
l’ordre) par conséquent il débute par le Ihraam puis la satation puis le Tawaaf après celle-ci
et son temps dure jusqu’à la fin de sa vie. Et le Hajj est valable par l’accomplissement de ces
5 choses. En outre il y a avec cela des obligations (waajibaat) qu’il n’est pas permis de
délaisser. Cependant, le Hajj n’est pas annulé si elles ne sont pas accomplies.
(Et ces obligations (wajib)) parmi celle-ci (qu’il entre en rituel depuis le miqaat) il s’agit
de l’endroit que le Messager de Allaah salla l-llahou ^alayhi wa sallam a spécifié pour y
entrer en rituel, tel que la terre nommé dhoul houleyfah pour les gens de la Médine et ceux qui
empreinte leur chemin ou Dhatou ^irq pour les gens de l’Irak, al-jouHfah pour les gens du
chaam, qarn pour les gens du najd, yalamlam pour les gens du Yémen. Par conséquent celui
qui retarde l’entrée en rituel à ces miqaat, il a commi un péché et il doit le sang (et) parmi elle
(prolonger jusqu’au coucher du soleil la station à ^Arafah et la station à mouzdelifa
après le fajr du jour de l’^id et avant le lever du soleil) par ailleurs, il est recommandé de
passé la nuit à mouzdelifa la nuit de l’^iid jusqu’à l’apparition du deuxième fajr qui est l’aube
véridique. Puis il accomplit la prière … puis il reste à invoquer Dieu et il fait le dhikr jusqu’à
l’apprition du soleil. Par conséquent si il reste un temps court il va à Mina pour y faire le
lancer dans le bassin de ^Aqabah (et) parmi elles (les obligations) (le jet des pierres dans le
bassin de ^Aqabah le jour de l’égorgement) 7 fois (ainsi que dans les trois bassins les
jours de tachrik) en lancant chaqu’un des 3 jour 7 pierres sauf si il retourne à la mecque
avant le couché du soleil du 12ième jour alors il peut faire cela et il ne lui incombe pas de jetter
dans le 13 jours dans ce cas là (et) parmi elles (le rasage ou raccourcir dans le Haraam)
c’est à dire dans le Haraam de la mecque après avoir jetter (le jet doit se faire avant le rasage)
(durant les jours de l’abattage) qui sont l’Aïd (la fête) et les deux jours qui la suivent. Par
conséquent si il rase en dehors du Haraam il lui incombe le sang (l’égorgement) (et) parmi
elles (accomplir le tawaf de ziyaarah dans les jours de l’^id) son temps est donc de 3 jours,
depuis l’entrée du fajr du jour de l’^iid jusqu’au coucher du soleil du 12 ième jour. Cependant,
c’est mieux de l’accomplir le jour de l’^iid (et) parmi elle (les trajets entre As-safa et Al-
Marwah durant les mois du Hajj en marchant pour celui qui n’a pas d’excuse et qu’il
soit accompli après la plus grande partie du tawaf) et d’accomplir les 2 rak^ah après les
tawaaf (waajib) (en commençant par As-safa) et il n’est pas valable de l’accomplir dans la
nouvelle extension du coté est qui a été faite de nos jours du coté de l’allé de safa à marwa en
raison du fait de sa sortie de la limite du sa^y que le prophète à délimité et que les
compagnons ont confirmé après lui puis ceux qui les ont suivit puis ceux qui les ont suivis et
ainsi de suite siècle après siècle …… les savants moujtahid ont confirmé par unanimité sans
exception. Par conséquent, il n’est pas valable de faire ce trajet là ou de le délaisser et il devra
donc égorgé une brebi et son hajj reste accompli (et) parmi elle (le tawaf d’adieu) et on
l’appelle également Tawaaf aS-Sadr et il est obligatoire …. et il est recommandé de le retardé
jusqu’au moment de la sortie de la Mecque pour voyager jusqu’à son pays (et) pamis elles (de
commencer le tawaf depuis la pierre noir jusqu’à la pierre noir en marchant sauf pour
celui qui a une excuse tout en couvrant la zone de pudeur ainsi que la purification et
tenant la Ka^bah à sa gauche) par conséquent si le quart ou plus du membre est dévoilé tout
comme pour dans la prière, l’égorgement est obligatoire (et) il est obligatoire d’(accomplir le
minimum des tours après l’accomplissement de la majeur parti) des tours (du tawaf
ziyaarah) par conséquent accomplir la majeur partie d’entre eux est un pilier et faire le
minimum après ceux-là est obligatoire (et) il est obligatoire d’(accomplir deux rakat après
le tawaf) même si il est recommandé (c’est à dire le tawaf).
Chapitre : (Par l’entrée en rituelle sont interdite 6 choses) la première (couvrir la tête, le
visage et porter ce qui enveloppe) le corps (par une couture) … (pour l’homme et couvrir
le visage pour la femme et) la deuxième (mettre parfumer) tel que le safran ou le ghaaliyah
24
Chaykh Ismaïl dit:
sur le corps ou l’habit de celui qui est entré en rituel (et) la troisième (s’oindre les cheveux et
la barbe) par tout corps gras tel que l’huile de l’olive ou autre huile (et) la quatrième (enlever
un poil ou un cheveu ou un ongle et) la cinquième (le rapport sexuel) et ses préliminaires
par conséquent si il a le rapport sexuel durant la ^oumrah avant qu’il ne fasse 4 tours du
Tawaaf elle est annulé et il doit l’égorgement d’une brebi et il lui incombe de la compléter et
de la rattraper. Et pour le Hajj avant la station de ^Arafah son hajj est annulé et il doit une
brebi et il est obligatoire qu’il poursuive cela et qu’il le rattrape immédiatement, à savoir
durant l’année suivante. En revanche, si il a eu un rapport sexuel pendant la ^oumrah après
avoir effectuer les 4 tours du Tawaaf et avant le rasage et d’avoir quitter la limitation il devra
égorgé une brebi et sa ^oumrah n’est pas annulée ni il ne lui incombe son rattrapage. Et si il a
le rapport durant le hajj après la station, son hajj n’est pas annulé et il doit un chameau. (Et) la
sixième (la chasse) c’est à dire l’animal terrestre, sauvage, qu’il soit licite à la consommation
ou non, et de même il lui est interdit ….
Chapitre : (il est interdit de chasser) l’animal terrestre sauvage (dans le haram de la
Mecque) pour celui qui est entré en rituel et celui qui est désagangé (et) de même il est
interdit (couper) et arracher (ses arbres et ses plantes) qui ont poussé d’elle même, non pas
celle que les gens ont planté. …. (et il y a pour ses deux choses) c’est à dire les arbres et les
plantes (la compensation-fidyah) par conséquent il donnera en aumône aux pauvres,
l’équivalent de leur valeur. Par conséquent si ce qui a poussé était dans la propriété de
quelqu’un, il devra rendre la valeur au propriétaire. Il donnera sa valeur également aux
pauvres en aumône conformément au droit dans la loi sauf si elle était sèche alors il n’aura
pas de fidyah si ce n’est donner la valeur pour le propriétaire.
Chapitre : Transactions
Chapitre : (celui qui veut vendre ou acheter ou se marier ou autre que cela de parmi les
contrats de transaction il doit apprendre comment ils sont valables) avant de s’y engager.
(Il est indispensable dans la vente la formulation d’engagement) de la part du vendeur en
disant : « je te vends cela pour 10 dirham » par exemple (et l’acceptation) de la part du
vendeur en disant : « j’achète cela de toi à 10 dirham », de sorte que ces deux paroles soient
(par une parole au passé) Si cela est conclu en langue arabe. Par conséquent, si la
formulation et l’acception ont eu lieu avant la séparation de l’assemblée de la vente, la vente
est complété par cela sans avoir besoin de recéptionné, et il n’y pas de permission ni de choix
pour aucun d’entre eux si ce n’est en raison d’un défaut ou l’absence de vision comme cela va
être expliqué. Quand à l’accord tacite il est suffisant pour les choses de faible valeur tel que
les légumes, la viande, le pain, contrairement à ce qui a un prix élevé comme la maison ou le
terrain. (Et la vente n’est pas valable d’un enfant qui n’a pas la distinction et d’un fou) en
revanche l’enfant qui à la distinction si il vend ou il achète de son argent sans l’autorisation de
son tuteur, sans que cela soit un prix excessif (le prix normal de la chose) la validité de sa
vente et de son achat sont suspendu par l’autorisation du tuteur. Par conséquent, si le prix était
excessif, il n’est pas suspendu car dans ce cas là il n’est pas valable de la part du tuteur pour
lui, il n’est donc pas valable de sa part. Et si c’était par autre que lui (c’est à dire que le tuteur)
25
Chaykh Ismaïl dit:
par le mandat du propriétaire la vente à lieu. (Il est une condition que ce qui est vendu soit
pur) par conséquent il n’est pas valable de vendre l’impureté tel que le sang, et le contrat est
BaaTil14, (profitable) une utilité considéré dans la loi qu’elle soit immédiate comme les
sangsue ou différé comme le petit ânon et non pas ce qui est tel que les frelons, les souris ou
le serpent (et que l’on soit capable de le livrer) par conséquent la vente de ce qui est usurpé
n’est pas valable (faasid); ni son propriétaire ni son acheteur n’a la capacité de le reprendre de
l’usurpateur. (Celui qui vend le bien d’autrui sans son ordre alors le choix est au
propriétaire) si il veut il considère la vente valable et si il veut il l’annule. Et il n’est pas
permis à l’acheteur de profiter de l’objet vendu avant l’autorisation. Le fait que le propriétaire
prenne la valeur est une preuve de son autorisation (par exemple si il prends les 100 chf). (Et
il n’est pas valable de vendre un des deux habits) ou l’un des deux esclaves sans préciser
lequel et cette vente est faasid (faasid pour les esclaves et les habits) (Et celui qui achète ce
qu’il n’a pas vu alors la vente est valable) avec la condition que le bien lui soit indiqué ou là
où il se trouve et il a le choix lorsqu’il le voit si il veut il le prend et si il veut il le retourne. Et
si il ne lui indique pas et il ne lui dit pas où il est, alors ce n’est pas valable.
Chapitre : (Si on vend) une nourriture contre le même genre ou de l’argent contre de
l’argent ou de l’or contre le même genre ou (tout ce qui est par le poids ou le volume contre
le même genre, il est une condition dans la vente l’égalité) selon le critère religieux, c’est à
dire l’abscence de surplus entre elle (et dans la séance) c’est à dire l’absence de paiement
différé. (Si on vend un volume par un volume mais sans qu’il soit du même genre ou ce
qui est pesé par ce qui est pesé sans qu’il soit du même genre) tel que le blé contre l’orge,
l’argent contre l’or ou le fer contre le plomb (le suprlus est permis) c’est à dire l’excédent
dont l’une des 2 parties que cela soit en poids ou en volume (et fixer une échéance est
interdite) et c’est ce qui est également nommé an-naça’. (Si les deux contreparties sont de
la monnaie d’échange) tel que de l’or contre de l’argent ou de l’or contre de l’or ou l’argent
liquide contre l’argent liquide (il est une condition) pour la validité de la vente de l’une d’elle
contre l’autre (de l’a réceptionner dans l’assemblée) avant la séparation. (Et si elles sont)
c’est à dire les 2 contreparties (d’autre que cela) à savoir d’un autre genre de valeur mais
toutefois elles sont (de ce qui se vend au poids ou au volume) tel que celui qui vend du blé
contre du blé ou du blé contre de l’orge la désignation est confirmée (dès lors on en tient pas
compte) c’est à dire qu’il n’est pas une condition de réceptionner dans l’assemblée du fait
qu’elle ont été spécifiée et cela parce que ce qui est autre que les monnaies d’échanges….. par
conséquent la séparation n’est pas nuisible de se séparer de l’assemblée de la vente avant
(« de » cela) c’est à dire avant réception si ils n’ont pas conditionné le retardement et que
chacun d’entre eux ne l’a conditionné dans aucun temps.
Chapitre : (Conditionner le choix) c’est à dire le choix de restituer (est permis dans la
vente) pour le vendeur et l’acheteur. (Il est permis aux deux contractant ou à l’un des deux
de conditionner le choix à trois jour ou moins que cela) et il n’est pas permis plus que cela
selon l’imam, (celui qui conditionne pour lui le choix) de la part du vendeur et de l’acheteur
(il a le droit d’annuler) à condition que l’autre personne …. soit au courant de l’annulation
comme si cela a eu lieu en sa présence (dans) c’est à dire durant (la durée du choix) …..
14
La vente est de 4 aspects ; une vente qui est jahiz, une vente qui est faasid, une vente qui est BaaTil et une
vente qui est dépend de l’autorisation. Par conséquent la vente jahiz est la vente qui est valable, c’est à dire
celle qui est licite dans son entité et ses attributs. La vente faasid comporte un péché et c’est celle qui est licite
à son origine mais pas par ses caractéristiques : ce qu’ils visent par le terme licite c’est le fait que le bien entre
en possession et non que non pas que c’est permis. ….
26
Chaykh Ismaïl dit:
(Et si il a trouvé) à savoir l’acheteur (dans l’objet vendu un défaut) et qu’il constitue une
diminution du prix selon l’habitude des commerçants (alors il a le choix) si il veut il le prend
dans la totalité de son prix et si il veut il le retourne et il n’a pas à le garder en prenant la
différence.
(Il n’est pas permis de vendre une chose) quelle soit une nourriture ou autre que cela tel
qu’un livre ou un habit (que l’on peut déplacer ou transférer) d’un endroit à un autre
(jusqu’à sa réception) de l’acheteur, et il est permis de vendre la terre ou la maison avant la
réception.
(Il est déconseillé tahrimiyyah de décourager l’acheteur) c’est à dire après l’accord entre le
vendeur et l’acheteur (sans son accord) à savoir de l’acheteur et la vente n’est pas fasid par
cela et c’est lorsque les deux se sont accordés sur un prix et qu’un autre intervient et donne au
propriétaire plus que le prix ou son équivalent (et de décourager le vendeur) dès lors qu’ils
se sont accordés sur le prix d’une marchandise et qu’un autre vienne puis il dit « je te vends
pareil que cette marchandise pour un prix inférieur à cela. (L’enchère défendue) est c’est
d’augmenter le prix de la marchandise non pas pour l’acheter mais pour tromper autrui.
(Il est défendu de séparer la femme esclave et son enfant) qui est petit sans
affranchissement, de même entre deux petits esclaves ou bien entre un petit et un grand et
qu’il y a entre deux un lien de parenté (que ce soit entre les 2 petit ou entre le petit et le
grand), tel qu’en vendant l’un des deux sans l’autre ou de vendre l’un des deux à l’acheteur et
l’autre à un autre, par conséquent si cela est fait c’est makrouuh tahrimiyy et la vente est
conclue.
Chapitre : (Il est une condition pour la validité du mariage l’expression du mariage :
NikaaH ou tazwiij et ce qui donne cette signification) tel que la formule qui établi la
possession de la chose à l’instant tel que de mettre en possession, et le don ou l’aumône dès
lors qu’il s’ensuite après cela l’acceptation mais elle n’est pas valable par la formule de
location et de l’emprunt ni de la forumation du testament. Dès lors le contrat est établi par une
formulation d’engagement et une acceptation, les deux expressions au passé ou une au passé
et l’autre à l’impératif tel que « marie la moi » et il répond « je te l’ai marié » ou l’un des deux
dit « ouzawijouka » en voulant la signification de l’instant et l’autre répond « je l’ai marié » le
mariage est valable (et il est valable que la femme libre responsable se marie elle-même)
par conséquent si elle se marie elle même à quelqu’un qui n’est pas digne tel que si l’époux
était pervers et elle est une fille d’un vertueux le contrat est établie mais cependant le tuteur à
le droit d’opposition si il veut il l’annule si il le veut il le valide et il a été dit il n’est pas
valable sans son autorisation. Et la considération de celui qui est digne d’elle de la lignée, de
la pratique religieuse, des biens, du métier. Et la signifiaction d’être digne pour le métier et
qu’il ne soit pas de parmi les gens de Al-Hira tel que le tanneur ou le balayeur. (Et on ne
contraint pas au mariage la fille vierge ni la fille pubère déflorée) ni par l’entremise de
son père ni de son grand-père ni tout autre qu’eux de parmi sa proche parenté. (Et la petite
fille peut être contrainte) celle qui n’est pas encore pubère.
(Il est une condition pour la tenue du contrat pour une musulmane la présence de deux
témoins) tous deux libres, pubères, saint d’espri, musulman ou un 1 homme et 2 femmes sous
ces attributs là, même si ils ne sont pas digne de confiance, et il est indispensable que les
témoin entendent la formulatio et l’acceptation. Par conséquent, le contrat n’est pas engagé en
présence de deux sourds ou deux personnes endormis, et le contrat est valable de la part de
deux aveugle qui entendent. (Si l’homme divorce de son épouse il lui est permis de la
27
Chaykh Ismaïl dit:
retourner dans la ^iddah sans nouveau contrat) par le simple fait qu’il dise par exemple
« je retourne mon épouse à mon mariage » ou ce qui a le même statut que cela (si il
l’embrasse avec désir, le rapport avec elle ou la touche avec désir). Par conséquent si la
^iddah c’est écoulée et qu’il veut la reprendre, il refait un nouveau contrat (et s’il la divorce
par trois fois en une seule fois) par une seul expression (ou séparée) par plusieurs
expressions dans la même assemblée ou dans plusieurs assemblées (alors le divorce triple a
lieu) par unanimité, que l’expression du divorce soit effective ou conditionnée et ce qui est
conditionnée à lieu que la femme soit en période de pureté, menstures ou de lochies. Et elle ne
lui est pas permise après cela (divorce triple) qu’après l’écoulement de sa ^iddah, puis elle se
marie à un autre puis elle consomme se mariage puis il l’a divorce ou il meurt, puis qu’il y ait
denouveau l’écoulement de la ^iddah après cela elle fait un nouveau contrat avec le premier,
d’un contrat valable qui remplit les conditions et les piliers.
Chapitre : (parmi les obligations) c’est à dire les devoirs (du cœur il y a la foi en Allaah)
selon ce qui Lui est digne SoubHaanah (et ce qui est parvenu de la part de Allaah) parmi
les lois et les livres (et la foi au messager de Allaah) salla l-laahou ^alayhi wa sallam et
selon ce qui est digne de lui (et ce qui est parvenu du Messager de Allaah) salla l-laahou
^alayhi wa sallam de l’ordre de ce qui est licite et de l’illicite et autre que cela (et glorifier les
rites de la religion de Allaah) c’est à dire les symboles de la religion, à savoir ce qui est
reconnu comme étant de parmi ses sujets tel que le Hajj et le Adhaan. (Aimer Allaah) en le
glorifiant de la glorification obligatoire, (aimer sa parole) c’est à dire le Qour’aan en le
glorifiant, (aimer son Prophète) MouHammad salla l-laahou ^alayhi wa sallam (et) aimer
(les compagnons) et le compagnon est celui qui a rencontré le Prophète salla l-laahou ^alayhi
wa sallam d’une manière ordinaire, en croyant en lui et qui est mort sur cela, (et sa famille) et
il s’agit de ses proches parents croyant, (et les vertueux) et se sont les croyants qui
s’acquittent des obligations et s’abstienne des interdits. (Et la patience) est c’est maitriser et
contraindre son âme (sur) un plaisir qu’il délaisse ou supporter une difficulté et l’obligatoire
en cela est de trois sortes, patienter sur (l’accomplissement des obligations et) patienter (sur
ce qui est interdit et) patienter (sur les épreuves) qui touchent l’esclave.
Chapitre : (parmi les péchés du cœur le doute au sujet) de l’existence (de Allaah) ou de
Son unicité ou de Sa justice et tout cela est de la mécréance (et démentir la prédestination)
et c’est de la mécréance également, (et haïr les compagnons) par conséquent celui qui les
détester en totalité certes il est mécérant. Et si il déteste Abouu Bakr ou ^Oumar ou
^Outhmaan ou ^Aliyy alors il est pervers de parmi les grands pécheurs, (et) détester (la
famille, les vertueux et se croire protéger du châtiment de Allaah) et chez les hanafites
c’est de la mécréance, cela fait sortir de l’Islaam et sa signification est que la personne croit
que aucun péché ne lui est nuisible avec la foi et en revanche les chaafi^iyyah ils l’ont
expliqué par autre que cela et c’est pour cela qu’ils ne considèrent pas cela comme une
mécréance mais que c’est de parmi les grands péchés. (Et désespérer de la miséricorde de
Allaah) et elle signifie le dépespoir de la miséricorde de Dieu c’est à dire que la personne ait
pour croyance que Allaah ne lui pardonne pas même si il a fait un repentir d’une repentance
valable et cela est de la mécréance selon cette signification également. (Et l’orgueil) dans
l’acceptation de la vérité ou envers les gens (c’est à dire l’orgeuil envers les gens) par le fait
de s’observer par glorification et de regarder les autres par mépris, (l’insincérité) dans les
actes vertueux et c’est le fait d’œuvrer pour plair au gens et cela annule les récompense,
(avoir des mauvaises pensées à l’égard de Allaah) et c’est de croire que Allaah ne lui
pardonne pas ses péchés mais qui le chatiera à cause d’eux (et l’envie) et c’est détester le
28
Chaykh Ismaïl dit:
bienfait que reçoit le musulman et ne pas supporté cela, cerain ont rajouté qu’il agissent en
fonction de cela, c’est à dire qu’il prend la ferme résolution par son cœur ou par un acte
corporel.
Chapitre : (Et pour autre que le cœur il y a des péchés de parmi) les sept (organes, il y a
de parmi les péchés du ventre consommer le cadavre) c’est à dire ce qui n’est pas sacrifié
par un abattage rituel, et il est permis de consommer les criquets sans les égorger, et on ne
consomme pas les animaux acquatiques si ce n’est le poisson et c’est makrouuh taHriimiyy de
consommer ce qui est à la surface de l’eau et c’est ce qui est mort dans l’eau et dont le ventre
est au-dessus … (et) consommer (le ribaa ; lucre interdit ) et c’est parmi les grands péchés
(et boire l’alcool) et c’est le jus de raisin qui a fermenté et qui est devenu enivrant et ce qui
est pareil à cela dans l’interdiction de boire les autres jus enivrant que cela soit une quantité
enivre et celle qui n’enivre pas.
Chapitre : (parmi les péchés de l’œil regarder) c’est à dire le regard de l’homme envers
(les femmes ajnabiyyat) autre que son épouse ou son esclave avec laquel il ne s’est pas marié
(avec désir) c’est à dire par délectation vers (le visage, les mains et les pieds et) regarder
(autre que cela) c’est à dire autre que le visage, les mains et les pieds (dans l’absolue) avec
ou sans désir. En revanche pour ce qui est du regard sans désir vers le visage et les mains
alors il est permis par unanimité et de même vers les pieds selon l’imam car il ne sont pas une
^awrah selon lui tout comme cela a été précité.
(De parmi les péchés de la langue il y a la médisance) et c’est que tu cites ton frère
musulman par ce qu’il déteste en son abscence de ce qui est en lui (et semer la discorde
(namimmah)) et c’est rapporté la parole d’une personne au sujet d’un autre à ce dernier pour
semer la corruption entre eux (et le mensonge) même pour plaisanter (et le Qadhf
(accusation de fornication ou de sodomie)) et c’est toute parole attribuant la fornication à
une personne où à quelqu’un de sa proche parenté, par conséquent si elle était explicite l’arrêt
lui est appliqué et si elle était implicite tel que si il lui dit « ô pervers » ou « ô grand pécheur »
il est réprimandé pour cela (et donner un avis de jurisprudence sans science) et elle est au
nombre des grands péchés (et se lamenter) en levant la voix par les pleurs en citant les
qualités du mort tel que dire « ô toi la montagne » ou « ô toi la caverne » (dans le sens ô toi
vers qui on recherchait le réconfort) (et toute parole qui incite) c’est à dire qui encourage
(à) faire (un interdit) de parmi les interdictions (ou qui décourage) c’est à dire qui diminue
la résolution (d’) effectuer (une obligation) quelconque ou d’un fard.
(Parmi les péchés de l’oreille il y a écouter les sons interdits telle que la flûte) et c’est un
instrument à vent utiliser dans les mariages ou autre que cela (et le toumbour) et c’est ce qui
ressemble au ^oud qui est un intrument à corde (et écouter la médisance, les paroles de
médisance pour provoquer la discorde (namimmah) et les conversations des personnes
qui nous cache ce qu’elles disent) non pas si il a entendu cela malgré lui et il lui est
obligatoire de quitter l’assemblée blâmable si il en a la capacité et qu’il est dans l’incapacité
de l’interdire.
(Parmi les péchés des mains il y a tuer) injustement (et le vol) et c’est prendre le bien
d’autrui de manière cachée (et frapper sans droit et toucher une femme étrangère) sa peau,
ses cheveux, ses dents ou ses ongles (délibérément sans intermédiaire) tel que les gants (ou
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Chaykh Ismaïl dit:
avec) c’est à dire avec un intermédiaire (par désir et écrire ce qu’il est interdit de
prononcer) que cela soit une mécérance, une insulte ou autre que cela.
(Parmi les péchés du sexe il y a la fornication) par la pénétration d’un gland ou son
équivalent pour celui qui en est privé dans le vagin (et la sodomie) qui est la pénétration par
l’anus (et la masturbation par autre que la femme qui nous est licite) d’une épouse ou
d’une esclave.
(Parmi les péchés du pied il y a la marche pour commettre un péché) pour un vol, une
fornication, une pour colporter une parole ou fuir un droit qui lui incombe (et tendre le pied
en direction du mous’haf) dès lors qu’il est proche et qu’il n’est pas élevé (et enjamber les
nuques) en levant le pieds au-dessus de l’épaule de ceux qui sont assis dans la mosquée (avec
nuisance) c’est à dire dès lors qu’ils sont nuit par cela, non pas … dès lors que cet
enjambement (sans qu’il soit pour combler un espace) car sinon il n’est pas interdit en
raison de leur manquement à l’avoir délaissé.
(Parmi les péchés du corps il y a faire un mal avéré aux parents) et c’est de leur nuir
d’une nuisance qui n’est pas légère selon l’usage (rompre les liens avec la parenté) et il
s’agit des proches du côté du père et de la mère (et se réunir avec l’innovateur) d’une
innovation dans la croyance en lui tenant compagnie (ou) se réunir avec (un grand pécheur
pour lui tenir compagnie dans son péché) non pas si ils se réunissent pour un besoin (et
porter de l’or, de l’argent ou de la soie pour l’homme) c’est à dire l’homme pubère et
l’hermaphrodite et non pas pour la femme, (sauf la bague en argent) alors c’est permis (et
s’isoler avec une femme étrangère) de sorte qu’il n’y ait pas avec eux une 3ième personne
digne de confiance dont on éprouve de la pudère en sa présence (et le voyage de la femme) à
la distance d’un jour ou plus (sans celui qui est tel que le maHram) comme le père, le frère
ou l’époux, et la distance d’1 jour en compagne est estimée à une distance de 6 heure à la
marche de chameau (et rester dans une assemblée en étant témoin d’une chose interdite)
il lui incombe de se séparer de l’assemblée interdite lors de l’incapacité à l’empêcher (si il
n’est pas excusé) dans le fait de rester.
Chapitre du repentir.
(Il est une obligation sur chaque responsable de se repentir immédiatement de tous ses
péchés petits et grands par le fait de regretter) d’avoir délaissé le droit de Dieu ta^ala (et
de s’arrêter) c’est à dire délaisser le péché (et la résolution de ne pas y revenir) après cela
(et si le péché était dans le délaissement d’une obligation) tel que délaisser la prière ou le
jeûne (elle doit être rattrapée et si c’est un droit d’un être humain) comme le vol ou
l’insulte (il lui rend son dû ou il lui cherche son pardon).
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