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Prévenir le cancer

de la prostate

Les dossiers Nouvelle Page Santé


Prévenir le cancer de la prostate

Prévenir le cancer
de la prostate
Une chance sur huit contre une chance sur neuf.
Il n’y a pas grande différence, et c’est, d’une certaine manière, justice.
Les femmes ont une chance sur neuf de souffrir d’un cancer du sein. Les hommes
une chance sur huit d’avoir un cancer de la prostate avant l’âge de 75 ans.
C’est beaucoup. Le cancer de la prostate est le cancer le plus répandu tous
sexes confondus en France. Il représente un quart des cancers masculins en
France. Et le nombre de nouveaux cas de cancer de la prostate est en forte
augmentation.
Au-delà de 80 ans, près de 80% des hommes ont un cancer de la prostate, et
dans de nombreux cas ils meurent sans même savoir qu’ils en sont atteints.
Les femmes sont dès leur jeunesse informées des risques liés au cancer du
sein. On leur apprend les gestes d’autopalpation qui permettent de repérer des
tumeurs à un stade très précoce. Dans le cadre des campagnes de dépistage
nationales, à partir de 50 ans toutes les femmes reçoivent tous les deux ans une
invitation à faire gratuitement une mammographie.
Mais, pour les hommes, qu’est-il prévu pour le cancer de la prostate ? Quelle
information est donnée ? Quel dépistage est organisé ?
A quand remonte, monsieur, votre dernière conversation au sujet de la prostate
avec votre médecin généraliste ?
Inutile de paniquer pourtant, et ne criez pas au scandale. Car le cancer de la
prostate est un cancer très particulier :
• un cancer qu’on peut dépister, mais sans que cela soit forcément utile
• un cancer qu’on peut guérir, mais avec des bénéfices contestables 
• un cancer surtout qu’on peut prévenir, car on connaît précisément les
facteurs de risque.

02
Prévenir le cancer de la prostate

Pourquoi peut-on considérer


le cancer de la prostate
comme bénin ?
La prostate est une glande de la taille d’une parvenir quand on se rend aux toilettes, ou
châtaigne, située sous la vessie, autour du avec des douleurs.
canal de l’urètre, le tube qui permet le dé-
versement de l’urine et du sperme. L’unique La cause du cancer de la prostate est incon-
fonction de la prostate est de produire du li- nue, comme pour presque tous les cancers,
quide séminal -le liquide dans lequel nagent mais en revanche son développement a été
les spermatozoïdes. Durant l’acte sexuel, très bien étudié. Or pour de nombreuses rai-
les muscles de la prostate se contractent au sons, c’est un cancer beaucoup moins dan-
moment de l’éjaculation afin d’éjecter le li- gereux que d’autres : 
quide séminal dans le pénis.
• sa principale particularité est d’évoluer ex-
Jusqu’à la puberté, la prostate est peu déve- trêmement lentement. Il peut se passer
loppée, puis sous l’effet de la testostérone, des mois voire des années, entre chaque
son volume et son activité augmentent. Vers division des cellules cancéreuses.
l’âge de 50 ans, elle se remet à grossir, et de-
vient hypertrophiée. Cette hypertrophie évo- • en phase initiale (laquelle peut donc durer
lue, très souvent, en cancer. très longtemps) ce cancer ne provoque au-
cun symptôme. Un cancer de la prostate
C’est l’hypertrophie, qu’elle devienne peut être présent pendant des décennies
cancéreuse ou non, qui a les sans conséquences notables pour le bien
conséquences les plus handicapantes être du patient.
pour les hommes qui souffrent de la
prostate. • le cancer de la prostate produit très peu de
métastases (des cellules cancéreuses qui
En faisant pression sur la vessie et l’urètre, migrent et attaquent d’autres parties du
la prostate hypertrophiée gêne grandement corps), et elles atteignent des parties peu
le flux d’urine. Elle provoque cette sensation sensibles (ganglions lymphatiques, cer-
détestable d’avoir envie d’uriner, mais sans y tains os). Il ne provoque donc pas d’autres
cancers plus graves.

03
Prévenir le cancer de la prostate

Ne pas dépister, ne pas soigner,


les surprenantes recommandations
des scientifiques et des autorités 
En conséquence, le cancer de la prostate est “Les hommes souffrant d’un cancer
peut-être le seul pour lequel le dépistage et de la prostate au profil de risque
le traitement, à des phases non avancées, favorable (ce qui signifie qu’il est à
sont officiellement déconseillés. un stade non avancé) devraient être
informés du risque faible de dommage
En France, la Haute Autorité de Santé écrit lié à ce diagnostic, et encouragés à
en toutes lettres : surveiller leur mal plutôt qu’à tenter
des interventions curatives.”
“La balance bénéfice/risque est en
défaveur du dépistage du cancer de la En termes plus simples : ne vous faites pas
prostate et les essais internationaux de opérer, mais accompagnez votre cancer.
dépistage n’ont apporté aucun élément
sur le bénéfice potentiel de la pratique Selon une étude publiée en 2008, portant
de ce dépistage.” sur 208 888 hommes âgés de plus de 65
ans, la durée de survie moyenne des patients
Cet avis est partagé par les autres agences diagnostiqués d’un cancer de la prostate de
européennes ou américaines. grade bas ou moyen est… équivalente à ceux
n’ayant pas de cancer de la prostate. Et chez
Il y a deux raisons à cette recommandation ces patients avec un cancer de la prostate, les
contre les dépistages :  principales causes de décès étaient… les ma-
ladies cardiovasculaires et les autres cancers. 
• le dosage PSA et le toucher rectal sont des
modes de dépistage peu coûteux et faciles L’ablation de la prostate, opération relative-
à pratiquer, mais ils sont relativement peu ment simple, provoque presque toujours des
fiables, donnant beaucoup de cas de faux dommages collatéraux en terme d‘inconti-
positifs ; nence et de sexualité, car elle endommage
très souvent le canal de l’urètre. Il apparaît
• même lorsque le dépistage positif est cor- donc inutile de risquer ces complications,
rect, les traitements existant dont d’un alors que l’évolution naturelle du cancer de
rapport coût/bénéfice insatisfaisant, no- la prostate comporte somme toute si peu de
tamment aux stades précoces. risques.

Une étude parue en 2015 dans le Journal


d’oncologie Clinique américain, faisant un
bilan sur les bénéfices et inconvénients des
traitements existant pour le cancer de la
prostate, conclut en ces termes :

04
Prévenir le cancer de la prostate

Que faire alors ?


Anticiper, dès aujourd’hui.
La lutte contre le cancer de la prostate est un Vous l’aurez compris, la quasi-certitude
concours de vitesse, ou plutôt un concours d’avoir un cancer de la prostate chez l’homme
de lenteur. En s’y prenant bien, on peut ra- avec l’âge, est un encouragement à adopter
lentir tellement cette maladie qu’elle n’aura un régime alimentaire plus sain.
jamais le temps de nous faire du mal.
Celui-ci ne va pas forcément empêcher la
Les facteurs de risque sont très bien connus. survenue d’un cancer, surtout à un âge avan-
cé, mais si celui-ci se déclenche tardivement,
Ils sont génétiques : et progresse lentement, cela suffit pour ga-
gner la partie.
• si vous avez un parent masculin (père ou
frère) qui souffre d’un cancer de la pros-
tate, votre risque augmente Comment prévenir le cancer
de la prostate : du bon sens
• l’incidence du cancer de la prostate va-
rie selon la race/l’ethnie. Il est plus fré-
validé par la science
quent chez les hommes noirs que chez les • Privilégiez un régime pauvre en graisses et
blancs, et encore moins fréquent chez les en sucres, 
asiatiques ou les inuits.
• Consommez davantage de fruits et de lé-
Mais ils sont aussi comportementaux, et gumes 
c’est là que vous pouvez agir : 
• Faites de l’exercice, ne soyez pas en sur-
• un régime riche en graisses et pauvre en poids
fruits et légumes augmente le risque de
cancer de la prostate. Évitez les huiles dé-
rivées du maïs, du tournesol, du coton ou
du soja, car elles contiennent une part im-
portance de acides gras omega 6.

• de manière générale, l’obésité, ou un indice


de surpoids, pourrait augmenter le risque.
Veillez à votre masse corporelle, et faites Prévenir le cancer de la prostate
du sport pour la réguler. Un dossier de la lettre Nouvelle Page Santé
Rédaction : Frédéric Forge

• l’exposition à des polluants chimiques est Les informations mises à disposition sur cette page sont publiées
Crédits Photo : Image Point Fr / Shutterstock.com

à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme


un facteur de risque.  des conseils médicaux personnalisés. Elles constituent des in-
formations d’ordre général ne tenant pas compte de la situation
• enfin, une étude italienne établit un lien personnelle de chacun, les résultats mentionnés n’étant donc pas
garantis. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant
entre un index glycémique élevé (pâtes, uniquement sur le contenu de cette page, et il est fortement re-
céréales, pommes de terre, sucreries, ali- commandé aux lecteurs de consulter des professionnels de santé
ments riches en glucides) et une augmen- pour toute question relative à leur santé et leur bien-être. L’éditeur
tation du risque de cancer de la prostate. de cette page ne pratique à aucun titre une profession médicale et
s’interdit formellement d’entrer dans une relation de praticien de
santé vis-à-vis de malades avec ses lecteurs. Aucune des informa-
tions ou des produits mentionnés sur cette page ne sont destinés
à diagnostiquer, traiter, atténuer ou guérir une maladie.
Le Journal de la Médecine Anti-Âge
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vivre mieux et plus longtemps en bonne santé  n ° 2  FÉVRIER 2017

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