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Collection
L’organisation
administrative
Mohamed ANWAR
Professeur à la faculté
de Droit de Tanger
ISBN : 978-9954-626-78-8
Première édition, 2018
1
SOMMAIRE
Introduction……………………………………………………………………………………………2
2
Introduction générale
Le droit administratif est tout d’abord matière principale du droit public interne, qui a
pour objet essentiel l’organisation et le fonctionnement des administrations,
L’administration et donc soumise à un droit qui régit son organisation et son activité et, par
la même, ses rapports avec les administrés qui sont sa raison d’être.
C’est ainsi que l’administration, en raison de la mission d’intérêt général dont elle est
investie, dispose des prérogatives particulières qui la placent en position de supériorité par
rapports aux administrés. Mais il ne faut croire que l’administration n’a que des privilèges,
elle est aussi soumise à des obligations, à des procédures et au droit à la légalité.
On peut dire que le droit administratif est un ensemble des règles juridiques différentes
de celles du droit privé qui régissent les relations de l’administration centrale ou locale avec
les citoyens et des diverses administrations entre elles et qui s’appliquent à l’organisation,
aux moyens d’action ainsi qu’aux contrôles qui pèse sur l’administration.
Tous les auteurs se retrouvent pour admettre que l’expression administration est utilisée
dans deux sens :
1
Cf. M .WALINE, Précis de droit administratif, Paris, Ed Montchrestien. 1969 P 11.
2
Martine LOMBARD, Gilles DUMONT : droit administratif, Dalloz 2003 P.8.
3
Le terme administration est utilisé aussi bien, pour les affaires privées, que pour les
affaires publiques entre elles.
L’administration publique gère des activités d’intérêt général, il s’agit des services publics
par les quels l’administration accordent aux administrés des prestations pour la satisfaction
des besoins d’intérêt général.
Il s’agit des prérogatives de puissance publique qui sont des privilèges qu’on ne peut pas
retrouver dans les rapports entre particuliers par exemple , le pouvoir d’éditer des actes
administratifs unilatéraux qui obligent les particuliers et qui sont exécutoires par ils mêmes.
L’administration peut même exécuter par la force ses propres décisions chose qui
n’existe pas dans les rapports entre les particuliers. L’organisme privé, placé sous l’empire
du droit privé ne dispose pas de telles prérogatives exorbitantes du droit commun et ne peut
prendre des mesures obligeant les particuliers. L’administration publique peut utiliser
d’autres prérogatives comme l’expropriation pour cause d’utilité publique, la réquisition..,
etc.
Elle dispose aussi des prérogatives en matière des contrats administratifs qui permettent
à l’administration d’être dans une position prédominante comme par exemple : le pouvoir
de direction et de contrôle, le pouvoir de sanction, le pouvoir de modification et le pouvoir
de résiliation unilatéral. Ces prérogatives appartiennent à l’administration même lors-
qu’elles ne sont pas expressément prévues par le contrat.
L’activité législative s’exerce par le parlement, l’activité juridictionnelle s’exerce par les
juridictions et l’activité gouvernementale s’exerce par l’administration en général.
Il nous faut connaitre les autorités et les procédés techniques qui donne naissance aux
diverses règles constituant le droit administratif. On doit dire qu'elles constituent un
4
ensemble hiérarchisé. En partant de la plus élevée, on peut les désigner comme la
constitution, la loi, les règlements ou les textes règlementaires et la jurisprudence.
Section 1 La centralisation.
§I La concentration
§ II La déconcentration.
Section 2 La décentralisation.
C’est un mode d’administration qui repose sur le transfert d’attributions de l’Etat vers
des institutions publiques disposant d’une autonomie juridique et financière sous le contrôle
de l’Etat.
Il est usuel de distinguer deux formes de la décentralisation : celle qui intéresse les
collectivités territoriales et celle qui s’applique aux établissements publics :
5
A. La décentralisation territoriale.
La décentralisation territoriale est une technique d’administration qui permet à des
collectivités locales de gérer leurs propres affaires et qui sont instituées spécialement à cet
effet.
Enfin, on peut dire que la décentralisation territoriale repose sur deux éléments très
importants :
D’abord sur les collectivités territoriales telles les régions, les préfectures, les provinces
et les communs et sur des organes propres élus par les membres de la collectivité elle-
même.
B. La décentralisation technique.
La décentralisation technique (ou par services ou spéciale ou encore fonctionnelle) ne
repose pas sur une sphère géographique limitée comme la décentralisation territoriale mais
elle repose sur un service public déterminé, les pouvoir publics estime qu’il est utile ou
nécessaire de placer certains services dans une situation d’autonomie de gestion , c’est pour
individualiser la gestion de certaines activités d’intérêt général qui sont confiées à des
organismes dotés de la personnalité morale comme les établissements publics .
L’établissement entant que personne morale, possède ses propres organes de gestion
que lui confère l’autonomie administrative et il dispose aussi de l’autonomie financière, Ce là
veut dire que les établissements publics disposent généralement d’un conseil
d’administration, d’un directeur et parfois d’un comité de direction.
6
§I Le Roi.
Depuis les premières constitutions du Maroc, le Roi occupe un poste de premier rang
dans le système politique marocain.
Le Roi exerce ces attributions par dahir en vertu des pouvoirs qui lui sont
expressément dévolus par la présente constitution. Ces dahirs sont contresignés par le chef
du gouvernement sauf un certain nombre d’exceptions qui concernent des décisions qui, par
leur nature, ne relève que de lui, par exemple la nomination du chef de gouvernement ou
des ministres ou la nomination des magistrats.
En matière législative :
➢ le Roi promulgue les lois dans les trente jours qui suivent la transmission au
gouvernement de la loi définitivement adoptée (art.50). Le Roi peut demander
une nouvelle lecture pour n’importe quel projet ou proposition de loi (art.95).
➢ le Roi adresse des messages au parlement et présente son discours devant ses
deux chambres à l’occasion de l’ouverture de chaque première session de
chaque année législative (art.65) ;
En tant que chef d’Etat, les prérogatives du Roi en matière du pouvoir exécutif se
résument comme suit :
Le dahir constitue le moyen direct pour prendre des mesures à caractère administratif de
portée générale. Ceci concerne en particulier trois domaines : la défense nationale, les
affaires religieuses et les droits et libertés3.
§ II Le gouvernement.
Le Roi nomme le chef du gouvernement « au sein du parti politique arrivé en tête des
élections des membres de la chambre des représentants, et au vu, de leurs résultats » (art
47).
A. Le chef du gouvernement :
3
Harsi (Abdellah), 2006, « L’organisation administrative », REMALD n° 69, p. 69.
8
la promotion nationale et du plan. Le comité national de prévention des accidents
de la circulation…etc.
- Le Roi avait délégué au chef du gouvernement ses attributions en matière
d’administration de la défense nationale depuis la suppression du ministère de la
défense nationale en 1972.
B. Les ministres :
Ils ont une fonction politique et une fonction administrative. Par la fonction politique,
ils participent au travail du gouvernement et exercent les compétences attribuées par la
constitution.
Ces organes sont implantés sur l’ensemble du territoire national représentant différents
services de l’administration d’Etat pour poursuivre l’action de l’administration décidée au
niveau central et l’exécution des décisions arrêtées au niveau central sur l’ensemble du
territoire national.
Les services déconcentrés se sont les délégations ayant pour objectif de représenter
le ministère sur le plan local et poursuivre les actions de la politique administrative centrale.
Le problème qui se pose est celui de la coordination ; autrement, quelle serait l’autorité
qualifiée de mener la coordination de l’activité des services extérieurs sur le plan provincial
ou préfectoral ?
La plupart des ministères ont des services extérieurs implantés en règle générale dans
chaque province ou préfecture. Concrètement, ce sont les différentes « délégations »
provinciales ou préfectorales qui permettent la réalisation de la déconcentration
administrative.
Les agents d’autorité sont des représentants du pouvoir central investis de compétence
générale à l’intérieur de leurs circonscriptions. Ces agents appartiennent à un corps de
fonctionnaires doté d’un statut particulier spécifique contenu dans le dahir n° 1-08-67 du 27
9
rejeb 1429 (31 juillet 2008) relatif au Corps des agents d'autorité selon lequel on subdivise le
corps des agents d’autorité en quatre catégories :
La nouvelle constitution marocaine a bien précisé dans ses articles 136 et 140 les
principes de base de l’organisation territoriale, celle-ci repose sur les principes de libre
administration, de coopération et de solidarité et de subsidiarité.
4
L’article 3 du Dahir n° 1-08-67 du 27 rejeb 1429 (31 juillet 2008)
5
Voir constitution du Royaume promulguée par dahir n°1-11-91 du 27 chaabane 1432(29 juillet 2011).
10
territoriales disposent d’un espace de liberté dans lequel elles peuvent agir avec des organes
propres élus et des moyens financiers adéquats pour que la gestion soit effective.
Section 1 La région.
Les régions sont expressément citées au nombre des collectivités territoriales visées
par l’article 135 de la nouvelle constitution du 29 juillet 2011.
Quant aux missions des régions, la loi organique sur l’organisation régionale précise
que « En application des dispositions de l’article 143 de la constitution, la région assure un
rôle prééminent par rapport aux autres collectivités territoriales dans l’élaboration,
l’exécution et le suivi des programmes de développement régional et des schémas régionaux
d’aménagement du territoire, dans le respect des compétences propres des autres
collectivités territoriales».
La gestion par la région de ses affaires repose sur le principe de libre administration,
en vertu duquel chaque région dispose, dans la limite de ses compétences prévues dans le
titre 2 de la présente loi organique, du pouvoir de délibérer de manière démocratique et du
pouvoir d’exécuter ses délibérations et ses décisions, conformèrent aux dispositions de la
présente loi organique et des textes législatifs et réglementaires pris pour son application.
11
Pour pouvoir exercer convenablement leur mission, les régions disposent comme les
autres collectivités territoriales d’organes propres délibérants (le conseil régional) et sont
soumises au contrôle administratif de l’Etat.
§I Le conseil régional.
Les affaires de la région sont gérées par un conseil dont les membres sont élus au
suffrage universel direct conformément aux dispositions de la loi organique n° 59-11 relative
à l’élection des membres des conseils des collectivités territoriales6,pour un mondât de six
ans.
Le conseil régional est élu pour six est constitué du bureau, de commissions
permanentes (Budgétaires et financière, Développement économique, social, culturel et
environnement, l’aménagement du territoire).
Le conseil régional se réunit obligatoirement trois fois par an, en session ordinaire
durant les mois de Mars, Juillet, Octobre, sur convocation de son président comportant
l’ordre du jour et envoyée au moins 7 jours avant la session. La durée de chaque session ne
peut excéder 15 jours consécutifs. Cette durée peut toutefois être prorogée une seule fois
par arrêté du président du conseil sans que cette prorogation ne dépasse 15 jours
consécutifs.
6
La loi organique n° 59-11 relative à l’élection des membres des conseils des collectivités territoriales,
promulguée par dahir n°1-11-173 du 24 hijria 1432 (21 novembre 2011).
12
Le conseil se réunit en session extraordinaire de plein droit lorsqu’il reçoit une
demande à cet effet de la part du wali de la région. La séance est tenue dans les dix jours à
compter de la date de la présentation de la demande7.
La région accomplit ses missions sous réserve des politiques et stratégies générales et
sectorielles de l’Etat dans ses domaines .Telles qu’elles sont prévues par la loi organique
relative à la région, les compétences de celle-ci sont de trois catégories : la région exerce des
compétences propres, des compétences partagées avec l’Etat et des compétences qui lui
sont transférées par ce dernier.
La région exerce les compétences partagées entre elle et l’Etat dans des domaines
variés concernant sur tout le développement économique, rural, social, environnemental,
culturel et touristique8 .
7
Article 40 de la loi organique de la région.
8 Article 91 de la même loi organique
13
c) Les compétences transférées par l’Etat.
La région exerce les compétences transférées à elle par l’Etat selon le principe de
subsidiarité concernant les domaines suivants :
9
V. Bulletin officiel n° 1-15-84 du 07/07/2015
v. Bulletin officiel n°5058 du 21/11/2002.
14
a) L’organisation du conseil préfectoral ou provincial.
Les affaires de la préfecture ou de la province sont gérées par un conseil
dont les membres sont élus au collège électoral formé des membres des conseils
communaux relevant de la préfecture ou de la province, au suffrage indirect selon
le système de scrutin de liste à la représentation proportionnelle suivant la règle
du plus fort reste pour une période de 6 ans 10.
10
L’élection des membres du conseil préfectoral résulte de la loi organique n°59-11 relative à l’élection des
membres des conseils des collectivités territoriales promulguée par Dahir n° 1-11-173 du 21 novembre 2011
15
✓ La mise en place et l’exécution de programmes pour réduire la
pauvreté et la précarité ;
✓ Le diagnostic des besoins en matière de santé, logement,
d’enseignement, de la prévention et d’hygiène ;
✓ Le diagnostic des besoins en matière de culture et de sport..
✓ Mettre en place un programme de développement de la préfecture
ou la province et œuvre à son suivi, son actualisation et son
évaluation.
✓ Conclure des conventions avec les acteurs en dehors du Royaume et
recevoir des financements dans le même cadre après l’accord des
autorités publiques.
16
Il faut souligner que tout transfert de compétences de l’Etat vers la
préfecture ou la province doit s’accompagner d’un transfert des ressources
nécessaires lui permettant l’exercice des dites compétences.11
C.
Les attributions du conseil de la préfecture ou la province et de son
président.
La nouvelle loi relative à la préfecture ou la province consacre un titre III
aux attributions du conseil et de son président.
b)
Les attributions du président du conseil de la préfecture ou la
province.
Les attributions du président du conseil de la préfecture ou la province ont
connu un élargissement et une précision grâce à la constitution et la loi organique
n° 112-14 relative aux préfectures et provinces, a cet accroissement au profit des
élus, les pouvoirs des agents d’autorité (le gouverneur) ont subi une atténuation.
Section 3 La commune.
A l’heure actuelle les communes sont régies par la loi 113-14 promulguée par le
dahir N°1-15-85 du 7 juillet 2015.
11
Article 141 de la constitution de 2011
17
La loi organique de 2015 a bien précisé l’organisation, les
compétences, les ressources, les droits et les obligations des élus.
§I Le conseil communal.
12
B.O. 2012, P.2426
18
demande doit être accompagnée des questions à soumettre au conseil pour
délibération.
Ces compétences précisées par les articles 78 à 86 portent sur les domaines
suivants:
13
Article 141 de la constitution de 2011
19
C. Les attributions du conseil de la commune et de son
président.
Le conseil de la commune règle par ces délibérations les affaires de la
commune et exerce les attributions que la loi lui confère le président est l’organe
exécutif de la commune.
➢ La coopération et le partenariat :
§ II Le contrôle administratif.
20
Sont nulles de plein droit, les délibérations et les arrêtés ne faisant pas
partie des attributions du conseil de la commune ou de son président. Le tribunal
administratif statue sur la demande de nullité après sa saisine, a tout moment, par
le gouverneur ou son intérimaire.
§I Le conseil d’arrondissement
21
B. L’organisation Organisation et fonctionnement du conseil de
d’arrondissement.
Le conseil d'arrondissement dispose comme le conseil communal d'un
bureau qui se compose d'un président et des vice-présidents plus de trois et moins
du 1/5 des membres du conseil d'arrondissement.
22
✓ La réception des déclarations relatives à l’exercice des activités
commerciales et artisanales non réglementés ;
✓ La réception des déclarations relatives à l’ouverture des établissements
insalubres, incommodes ou dangereux classés conformément à la
législation endiguer en troisième catégorie.
23
accord avec le président du Conseil de l’arrondissement. En cas de désaccord c’est le conseil
de la commune qui décide, c’est le président du conseil communal qui prend, à cet effet, les
mesures individuelles d’affectation des fonctionnaires de la commune au près du président
Du conseil d’arrondissement. Il est mis fin à l’affectation des agents de la commune auprès
de l’arrondissement dans les mêmes formes après approbation du président du conseil de
l’arrondissement.
24
Bibliographie sélective
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25
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-Recueil des textes fixant les attributions et l’organisation des différents départements
ministériels (services centraux et extérieurs), secrétariat d’Etat aux affaires administratives,
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