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Les enzymes sont des catalyseurs de la nature.

Notre travail s’agit à l’obtention des enzymes à partir de microorganismes de sols de zones humides autour de Bogota –
Colombie. Jusqu’à le moment, l’étude a produit trois types des enzymes : amylases, cellulases et ligninases, avec ces
enzymes nous avons fait de preuves pour les obtenir avec différents résidus agro-industriels tels que la pelure de
pommes de terre, de bananes, manioc et tiges de fleurs. On incube les microorganismes dans un culture liquide que par
une fermentation ils produisent les enzymes et après son isolement, on les utilise pour traiter des déchets des industries
du papier, textile et les aliments.
Chaque enzyme a une fonction spécifique, les amylases dégradent l’amidon, les cellulases la cellulose et le ligninases la
lignine même que l’hémicellulose, ces dernières-là sont à mon avis, le plus intéressantes parce qu’elles ont la capacité à
dégrader plusieurs des déchets et, en plus, elles sont produites par champignons aussi, mais l’obtention par ce type de
microorganismes est plus difficile parce que les champignons ont une croissance lente et les cutures sont plus exigeants.

La phrase de recherche :
À cette étape de ma recherche journalistique et scientifique, je vois que, les ligninases sont les enzymes les plus
importantes de notre étude parce qu’elles sont capables à dégrader plusieurs déchets, elles peuvent se nourrir soit de la
cellulase soit de la lignine.

Saviez-vous que les enzymes sont des catalyseurs que l’on peut trouver dans la nature, inclus on peut les isoler des
zones humides autour de Bogota ?
D’abord les enzymes sont des molécules, formées de peptides au acides aminés, qui peuvent accélérer des réactions
chimiques dans la nature, par exemple, les amylases sont capables à dégrader l’amidon, les cellulases la cellulose et les
ligninases la lignine. Est- ce que vous savez où on peut trouver ces types de substrats  ? L’amidon on le trouve dedans
différents tubercules comme la pomme de terre et ça sert comme une sorte de stockage d’énergie, autre mode, la
cellulose et la lignine sont une partie de la paroi cellulaire des plantes et ça sert comme un soutien.

Traitement physico-chimique et biotechnologique des résidus de pétrole-brut ().

À cette étape de ma recherche journalistique et scientifique, je vois qu’on obtient trois sous-produits pendant le
traitement des résidus de pétrole-bruit. Le pétrole-bruit extrait du processus, il peut retourner à l’obtention de l’essence
et des autres composés organiques s’il a les caractéristiques idéelles. Les autres deux sous-produits sont un mélange de
l’eau et des solides pollués avec petits quantités de pétrole, ils doivent être traités par une méthode biotechnologique
dans laquelle on utilise des microorganismes qui dégradent la pollution.

Tentez maintenant de réécrire l'article de SciDev en 140 mots.

Les affections des aflatoxines dans l’arachide chez l’humain et sa prévention.
Aujourd’hui je vais vous raconter l’histoire des agriculteurs d’arachide au Malawi et ses affections chez l’homme, parce
que ces cultures-là soufrent une maladie produite par un champignon mais le microorganisme n’est pas le problème
comme tel, c’est une aflatoxine produite par lui. Ces molécules sont considérées un poison qui peut causer surtout chez
les enfants : retard de la croissance, immunodépression, vomissements, des douleurs abdominales, des œdèmes
pulmonaires, des convulsions et quand même un coma, en fait, les aflatoxines ont été liées au cancer du foie et lésions
des reins et du cœur.
La question importante est : Comment peut-on prévenir la poissonnerie par ces aflatoxines ? D’abord, améliorer la
salubrité alimentaire avec des pratiques telles que : la prévention de la contamination croisée des cultures, l’élimination
des graines possiblement contaminées, dérouler des meilleurs conditions et installations pour le stockage de graines.

Le développement de nouvelles stratégies pour attaquer la maladie qui soufre les plantes d’arachide au Malawi.
Les arachides sont l’une de plus importantes ressources économiques des agriculteurs au Malawi, toutefois les années
précédentes n’ont pas été très bonnes pour ces cultures-là, une maladie produite par un champignon a attaqué et
contaminé l’arachide pour une aflatoxine laquelle cause des affections chez l’homme.
L’organisation non gouvernementale Facseat-Tropical a déclaré certaines stratégies pour contrôler le champignon par
techniques qu’aident améliorer la salubrité alimentaire, mais une détection rapide des faibles taux de contamination est
importante aussi. C’est pour ça qu’il s’est développé un outil pour la rapide détection par un kit d’ELISA, le kit a un prix
moins cher par rapport des autres techniques de détection comme l’HPLC, avec un cout d’autour U$  1/unité. Mais,
comment fonctionne-t-il ? Le kit ELISA a des anticorps mono et polyclonaux pour détecter les aflatoxines dans les
échantillons soit des aliments soit de denrées destinées à la consommation humaine et animale.