La structuration du contrôle selon plusieurs critères, imposee par l’augmentation continue de la complexité des
transactions et des opérations qui se circonscrivent dans la sphère englobante du contrôle :
1. Selon le temps de son exercice (moment de l’exécution des opérations en question) : le contrôle préventif,
le contrôle simultané et le contrôle ultérieur.
Δ contrôle préventif (anticipé, préalable) s’exerce avant d’effectuer les opérations en question. Il est
exercé, lors de l’autorisation ou de l’approbation des transactions et des autres opérations
Δ contrôle simultané est exercé en même temps avec le déroulement des opérations contrôlées, sous la
forme du contrôle hiérarchique, contrôle réciproque et de l’autocontrôle.
Δ contrôle ultérieur est exercé lorsque les opérations ont déjà eu lieu, par l’intermédiaire de contrôle de
gestion, contrôle budgétaire, audit interne et inspections spécialisées de l’État.
Δ contrôle économique vise la planification économique et l’utilisation efficace des ressources matérielles
et de travail et l’accomplissement des tâches définies. Il utilise étalons de mesure : naturels, de travail et
de valeur.
Δ contrôle financier agit, en général, dans la sphère des relations financières et de crédit ; l’étalon valeur.
Δ contrôle technique vise le respect des technologies de fabrication la qualité des produits.
Un contrôle efficace doit être un contrôle multilateral exige que les objectifs contrôlés soient abordés tant
du point de vue économique et financier que technique. Solutions techniques adoptées comportent des
conséquences économiques et financières
1- comportent une approche multilatérale des activités contrôlées + participation de certains spécialistes
de différents domaines (Comptabilité, en fiscalité, en sociologie, en matière juridique, technique,
marketing)
2- exercés seulement sur un groupe d’objectifs ou sur un secteur d’activité, tels que : le respect de la
discipline financière et fiscale, salaires, gestion des stocks
- formes du contrôle partiel est représentée par les contrôles thématiques, exercés par les organes de
contrôle de l’Etat sur un groupe restreint d’objectifs,
1+2 => exercés sous forme de contrôles totaux et de contrôles par sondage.
contrôles totaux : - vérification de toutes les opérations, documents et périodes de gestion du secteur en
question ou concernant les activités contrôlées.
contrôles par sondage : - exercés seulement sur certains documents, opérations, catégories de biens, périodes de
temps, importance pour la formulation des conclusions
règle générale- contrôles sont exercés par sondage.
Δ contrôles documentaires comptables sont exercés sur la base des documents primaires, de la
comptabilité matière et des registres de la comptabilité analytique et synthétique
Δ contrôles physiques sont effectués sous forme d’inspection sur place, d’observation physique,
d’inventaire de contrôle
e) Selon le degré de rapprochement du contrôle par rapport aux activités contrôlées, on distingue : les contrôles
directs, les contrôles indirects, les contrôles mutuels et les autocontrôles :
Δ contrôles directs résident dans la surveillance directe par les organes de direction ou de contrôle de
l’activité des personnes subordonnées ou contrôlées.
Δ contrôles indirects résident dans la surveillance des activités contrôlées à partir des rapports et des
communiqués reçus, des comptes-rendus, des déclarations fiscales,
Δ contrôles mutuels sont effectués entre les membres des formations de travail, entre les services, entre les
entreprises sur la base des flux matériels et informationnels établi à la suite de la division du travail, de
la spécialisation et la séparation des tâches.
Δ L’autocontrôle consiste à vérifier sa propre activité
f) dpdv intérêts économiques et financiers & dpdv ils sont exerces on a : des contrôles économiques et
financiers de l’État, le contrôle interne des entités et l’audit légal ou statutaire
5 COMPOSANTES organisme doit définir et mettre en oeuvre pour maîtriser au mieux ses activités- sont
déclinées à tous les niveaux de l’organisation : entité, directions, unités opérationnelles, opérateurs (entités
contrôlées).
I. un environnement interne favorable à la maîtrise des risques
Δ l’identification des risques sur la base d’une analyse des activités, tant au niveau global de l’organisme
qu’au niveau détaillé de chacune de ses activités ;
Δ hiérarchisation de ces risques en fonction de leur impact en termes d’enjeux pour l’organisme.
III. des activités de contrôle qui comprennent les dispositifs mis en place pour maîtriser les risques de ne
pas atteindre les objectifs fixés
Δ l’appropriation du contrôle interne par chaque responsable - piloter les dispositifs de maîtrise des risques
dans son périmètre de responsabilité
Δ sensibilisation des responsables à la nature du contrôle interne
Δ processus d’actualisation (mise à jour) permanents des dispositifs de contrôle
Δ dispositifs d’évaluation
Attributions :
Δ constatation et l`investigation fiscale de tous les actes et faits résultant de l`activité du
contribuable soumis à l`inspection fiscale
Δ l`analyse et l`évaluation des informations fiscales, confronter les déclarations fiscales avec les
propres informations ou avec des informations
Δ punition conformément à la loi des faits constatés et l`initiation des mesures afin de prévenir et
combattre la violation des dispositions de la loi fiscale
Pour les remplir l`organisme d`inspection fiscal doit faire :
a) l`examen des documents du dossier fiscal du contribuable;
b) la vérification de la concordance entre les données des déclarations fiscales et celles du registre comptable du
contribuable;
c) l`analyse des constatations et la demande d`explication par écrit de la part des représentants légaux des
contribuables ou de leurs mandataires;
d) la demande d`informations des tiers;
e) l`établissement correct de la base d`imposition, des montants restant à payer, le cas échéant, au niveau
supérieur ou inférieur par rapport à la créance fiscale déclarée et/ou établies, au moment du début de
l`inspection fiscale;
f) l`établissement des obligations fiscales restantes à payer, ainsi que des obligations fiscales accessoires;
g) la vérification des locations où des activités générant des revenus imposables sont déployées;
h) l’octroi des mesures conservatoires conformément à la loi;
i) la réalisation des enquêtes fiscales;
j) l'application de sanctions conformément aux dispositions légales;
k) l’apposition des scellés sur les biens, en dressant à cet effet un procès-verbal.
Δ autres catégories de contribuables, l`inspection fiscale vise les créances nées durant les dernières 3 années
fiscales pour lesquelles existe une obligation de déposer les déclarations fiscales. peut être étendue durant
la période de prescription du droit d`établir les obligations fiscales, dans les cas suivants :
- il y a des indices concernant la diminution des impôts, des taxes, des contributions et des autres
montants dus au budget général consolidé;
- aucune déclaration fiscale n`a pas été déposée dans le délai de prescription;
- obligations de paiement des impôts, des taxes, des contributions et des autres dus au budget général
consolidé n`ont pas été remplies.
Réalisation de l`inspection fiscal
Compétence
- est établie par la voie d`un ordre du président de l`Agence nationale d`administration fiscale. Les
organismes d`inspection fiscale de l`appareil central de l`Agence nationale d`administration fiscale ont la
compétence de réaliser l`inspection fiscale sur tout le territoire du pays.
- la réalisation d`une inspection fiscale peut être déléguée à un autre organe fiscal par la voie d`un ordre de
président de l`Agence nationale d`administration fiscale.
-effectuée par l`organe fiscal compétent. Le contribuable ne peut pas contester la procédure de sélection utilisée
Durant une inspection visant la solution d`une demande du contribuable, l`organisme d`inspection peut décider
la réalisation d`une inspection générale ou partielle.
-est réalisée une seule fois pour chaque impôt, taxe, contribution ou autre montant dû au budget général
consolidé et pour chaque période assujettie à l`impôt.
- est réalisée tenant compte des principes de l`indépendance, de l`unicité, de l`autonomie, de l`hiérarchie, de la
territorialité et de la décentralisation.
- réalisée annuellement, trimestriellement et mensuellement et dans des conditions établies par la voie d`un
ordre du président de l`Agence nationale d`administration fiscal / doc emis par les autorites
- début de l`inspection fiscale, l`inspecteur est tenu de présenter au contribuable sa carte d`identité
professionnelle et un ordre signé par le dirigeant de l`organe fiscal. L`initiation de l`inspection fiscale doit être
enregistrée dans le registre unique de contrôle.
- fin de l`inspection fiscal,contribuable est tenu de donner une déclaration écrite, sur l’honneur, afin de
démontrer qu`il a mis à la disposition de l`organe fiscal tous les documents et les informations nécessaire &
dans sa déclaration il précisera également le fait qu`il a retourné tous les documents sollicités et mis à la
disposition de l`organisme d`inspection.
Debut : contribuable sera informé sur la possibilité de designer certaines personnes pour fournir des
informations. Au cas où les informations fournies par le contribuable ou par son mandataire sont insuffisantes,
alors l`inspecteur fiscal peut s`adresser également aux autres personnes
Pendant toute la durée de l`inspection fiscale, les contribuables ont le droit de bénéficier d`assistance de
spécialité ou juridique
-saisiront les organes de poursuite pénale sur les constations de l`inspection fiscale et qui pourraient constituer
un délit, conformément aux dispositions de la loi pénale
-organismes d`inspection sont tenus de dresser un procès-verbal signé par l`organisme d`inspection et par le
contribuable soumis à l`inspection, avec ou sans explications ou objections de la part du contribuable. Au cas
où celui soumis au contrôle fiscal refuse de signer le procès-verbal, l`organisme d`inspection fiscale
mentionnera le refus du contribuable dans le procès-verbal. Quel que soit le cas, le procès-verbal sera
communiqué au contribuable.
Rapport concernant l`inspection fiscal
résultat de l`inspection fiscale sera enregistré dans un rapport écrit contenant les constatations de l`inspection
du point de vue factuel et juridique.
Fin : suite au rapport dressé la décision d`imposition sera émise et contiendra les montants restants à payer, le
cas échéant, au niveau supérieur ou inférieur, par rapport à la créance fiscale existant au début de l`inspection
fiscale. Au cas où la base d`imposition ne modifie pas, le fait sera établi par la voie d`une décision concernant
aucune modification de la base d`imposition.
-décisions prévues seront communiquées dans un délai de 7 jours après la date de la finalisation du rapport
Délais de paiement
Les créances fiscales sont dues à la fin des délais prévus par le Code fiscal
Le délai de paiement pour les obligations fiscales principales restantes à payer et pour les obligations fiscales
accessoires est établi ainsi :
a) quand la date de la communication est comprise entre le 1 - 15 jour du mois, le délai de paiement est
jusqu`au 5ème jour du mois suivant;
b) quand la date de la communication est comprise entre les 16 - 31, le délai de paiement est jusqu`au 20ème
jour du mois suivant.
- délai de paiement pour les obligations fiscales échelonnées ou reportées au paiement, ainsi que pour leurs
accessoires est établi par un document facilitant l`échelonnement ou l`ajournement.
-paiements vers les organes fiscaux sont effectués au moyen des banques, des trésoreries et des autres
institutions autorisées
- débiteurs effectueront le paiement des impôts, des taxes, des contributions et des autres montants dus au
budget général consolidé en utilisant un ordre de paiement de la Trésorerie de l'État pour les obligations dues au
budget d`État
- versement des montants dans le compte unique est effectue par l`organe fiscal compétent, séparément, le cas
échéant, pour chaque budget ou fond, proportionnellement aux obligations dues.
Au cas où le montant payé ne couvre pas les obligations fiscales dues, est effectué d`abord pour les impôts et
contributions retenus à la source et ensuite pour les autres obligations fiscales, proportionnellement aux
obligations dues
La méthodologie concernant la distribution des montants versés sur le compte unique et celle concernant
l`amortissement des obligations fiscales sont approuvées par un ordre du président
Le paiement des obligations fiscales, autres, est effectué par les débiteurs, séparément pour chaque impôt,
contribution et autre montant du au budget général consolidé
Dans le cas de l`amortissement par paiement des obligations fiscales le moment du paiement est le suivant :
a) dans le cas des paiements en espèces, la date citée dans le document de paiement délivré par les organes ou
les personnes autorisées par l`organe fiscale;
b) dans le cas des paiements effectués par mandat postal, la date de la poste, citée sur le mandat postal;
c) dans le cas des paiements effectués par décompte bancaire, la date ou les banques débitent le compte du
payeur selon les instruments de décompte spécifiques, telle que cette information est transmise au moyen d`un
message électronique vers l`institution bancaire initiatrice, conformément aux dispositions spécifiques en
vigueur, la date peut être prouvée par le relevé de compte du contribuable;
c1) dans le cas des paiements effectués au moyen des cartes bancaires, la date à laquelle la transaction a été
payée, telle que confirmée par la procédure d`autoriser la transaction; la procédure et les catégories d`impôts,
de taxes, de contributions et d`autres revenus du budget général consolidé qui peuvent être payées au moyen
des cartes bancaires sont approuvées par un ordre du président de l`Agence nationale d`administration fiscale;
d) pour les obligations fiscales qui sont éteintes par l`annulation de timbre fiscal mobile, la date de
l`enregistrement à l`organe compétent du document ou de l`acte par lequel les timbres dus conformément à la
loi ont été déposés ou annulés.
Dans le cas des débiteurs soumis aux dispositions de la Loi no. 85/2006 concernant la procédure d'insolvabilité, avec
toutes ses modifications ultérieures, l`ordre d`amortissement est le suivant:
a) les obligations fiscales aux délais de paiement ultérieurs à la date de confirmation du plan de réorganisation, dans
l`ordre de leur ancienneté;
b) les montants représentant les taux dus conformément aux programmes de paiement des obligations fiscales, inclus
dans le plan de réorganisation judiciaire confirmé, ainsi que les obligations accessoires dues pendant la période de
l`réorganisation, si le plan comprend leurs calcul et paiement;
c) les obligations fiscales dues et non payées aux délais de paiement compris entre la date de l`initiation de la
procédure d'insolvabilité et la date de la confirmation du plan de réorganisation, dans l'ordre de leur ancienneté, et
jusqu`à leur amortissement intégral, autres que celles prévues à la lettre b).
L`organe fiscal compétent informera le débiteur sur l`amortissement des dettes jusqu`au délai de paiement suivant
Compensation
Les créances administrées par le Ministère de l`Economie et des Finances sont éteintes par compensation avec les
créances du débiteur représentant des montants du budget à rembourser ou à restituer, jusqu`à l`atteinte du montant
minimal qui confère à deux parties tant la qualité de créditeur que celle du débiteur, à moins que la loi ne le prévoie
autrement.
-créances fiscales administrées par les unités administratives territoriales sont éteintes par la compensation avec les
créances du débiteur représentant des montants des budgets locaux à restituer,
La compensation est effectuée par l`organe fiscal compétent à la demande du débiteur ou avant, le cas échéant, la
restitution ou le remboursement des montants dus à l`organe fiscal
L`organe fiscale peut effectuer d`office la compensation s`il constate l`existence des créances réciproques, à
l`exception des montants négatives des décomptes de taxe sur la valeur ajoutée sans possibilité de remboursement.
- créances fiscales du débiteur seront compensées avec des obligations dues au même budget, et les obligations dus
aux autres budgets seront proportionnellement compensées des montants restants à payer.
-les montants à restituer représentant les impôts restants résultant de la régularisation annuelle de l'impôt sur le
revenu dû par les personnes physiques sont restitués d`office par les organes fiscaux compétents, dans un délai
maximum de 60 jours après la communication de la décision d`imposition.
- montants restants de l`impôt sur le revenu à restituer moins élevés que 5 lei seront enregistrés dans les registres
comptables afin d`être compensés avec des dettes futurs, et ils seront restitués quand ils dépasseront la limite sous
mentionnée. Les montants restants moins élevés que 5 lei seront restitués en espèces seulement à la demande du
contribuable
-cas des montants en monnaie étrangère confisqués, la restitution est effectuée, conformément à la loi, en lei au taux
de change de l'euro
-montant à rembourser ou à restituer est moins élevé que les obligations fiscales restantes du débiteur, la
compensation sera effectuée jusqu`à l`atteinte du montant à rembourser ou à restituer.
-montant à rembourser ou à restituer est plus élevé que le montant représentant les obligations fiscales restantes du
débiteur, la compensation sera effectuée jusqu`à l`atteinte des obligations fiscales restantes, et le montant restant
sera ensuite restitué au débiteur
a) échelonnements des paiements des impôts, des taxes, des loyers, des redevances, des contributions et des autres
obligations dus au budget local;
a) reports des paiements des impôts, des taxes, des loyers, des contributions et des autres obligations dus au budget
local;
c) échelonnements des paiements de tout majoration de retard, à l`exception des majorations de retard dues durant la
période d`échelonnement;
d) reports et/ou exonération ou reports et/ou réductions de majorations de retard, à l`exception des majorations de
retard dues pendant la période de report;
e) exonérations ou réductions d`impôts et de taxes locales, conformément à la loi.
La procédure d`accorder les facilités de paiement pour les créances budgétaires locales est établie par des actes
normatifs spéciales.
Afin d`accorder les facilités de paiement les créditeurs budgétaires locales solliciteront aux débiteurs la constitution
de garanties.
Pour les obligations au budget local, dues et non payées après le 1 juillet 2003 par les personnes physiques, la
garantie est:
a) un montant égal à deux tranches moyennes de l`échelonnement, représentant les obligations budgétaires locales
échelonnées et les majorations de retard calculées;
b) un montant résultant du rapport entre la contre-valeur des débits reportés et les majorations de retard calculées et
le nombre de mois approuvé pour le report de paiement, dans le cas des reports de paiements.
Pour les obligations dues et non payées au budget local après le 1 juillet 2003 par les personnes morales, la garantie
est de 100% du nombre total de créances budgétaires locales pour lesquelles la facilité a été accordée.
MICRO-ENTREPRISE
Definition
2017 : ne réalise pas des revenus des activités du domaine bancaire, d'assurance, réassurance et des marchés
financiers, des activités dans le domaine des jeux de hasard ou des activités d’exploration, de développement et
d’exploitation des gisements de pétrole et de gaz naturel
son capital social est détenu par des personnes && n’est pas en situation de dissolution
• Peut opter une seule fois pour être redevable de l’impôt sur le profit si son capital social souscrit est au moins
45.000 lei (10.000 EUR) et ont au moins 2 salariés
-1% revenu emploient au moins un salarié, ou bien si la société est une START UP créée pour une période plus
longue que 48 mois, par un ou plusieurs associés qui n'ont pas d'autres entreprises en Roumanie
En 2017 l’activite était importante pour determiner l’impot mais depuis 2018 il est pas => l’entreprise soumise
a l’impot des petites entreprises
Si : par la suite de l’année fiscale, la société réalise des revenus supérieurs à 1.000.000 Euros, celle-ci devra
revenir au régime général de l’impôt sur le bénéfice, à partir du trimestre où elle a dépassé le plafond
BASE DE CALCUL :
S’applique a tous les revenus quelle que soit leur source, exception :
la valeur des réductions commerciales reçues après la facturation (compte 609)
les réserves, à l’exception de celles qui représentent des allégements fiscaux, réduits ou annulés, représentant
des réserves légales, des réserves de réévaluation des immobilisations, y compris le terrain, qui ont été déduits
au calcul du bénéfice imposable et n’ont pas été imposables dans la période dans laquelle les micro-entreprises
ont payé impôt sur le bénéfice
réserves représentant des allégements fiscaux, établies quand le micro a paye impôt sur le bénéfice, qui sont
utilisés pour augmenter le capital pour la distribution aux participants, pour les couvrement des pertes ou pour
toute autre raison
Declaration :
-Declaration 100
- La correction d’impot sur le revenue des micro-entreprises se real au moment de la constatation de l’erreur =>
Declaration rectificative 710
Anne fiscale :
-certaines categ d’enteties (succursales roumaines des sociétés étrangères, filiales roumaines consolidées et
filiales des succursales des sociétés étrangères, avec certaines exceptions) peuvent établir une année financière
qui ne coïncide pas avec l'année calendaire,
- ne modifie pas la période pour laquelle l’impôt sur le bénéfice est calculé, à savoir l'année calendaire
- aussi, les contribuables qui ont opté pour un exercice financier diffèrent de l’année calendaire peuvent opter
que l’année fiscal corresponde à l’exercice financier
Taux d’impot
- taux standard de l’impot 16% sur le benefice
- l’impôt sur le bénéfice dû par les sociétés qui exercent des activités comme les bars de nuit, clubs de nuit,
discothèques, casinos ou paris sportifs ne peut être inférieur à 5% des revenus de ces activ
- bureaux de représentation des sociétés étrangères paient un impôt égal à 18.000 lei établie pour l'année fiscale,
proportionnellement avec le nombre de mois de fonctionnement du bureau de représentation
Deductions fiscales :
1. Reserve legale :
3. L’amortissement fiscales
Facilitées fiscales
a) une déduction supplémentaire est accordée au calcul du bénéfice imposable à un taux de 50% pour les
charges de recherche et développement qui répondent aux exigences de la loi;
b) l'amortissement accéléré est autorisé pour le matériel technologique destinés aux activités de recherche (50%
première année, méthode linéaire les années qui suivent);
c) le bénéfice réinvesti dans la production et/ou l’acquisition des équipements technologiques (machines,
outillages et installations de travail)
REVENUS…non imposables
1. Div recus d’une soc roumaine
2. Dividendes recus d’une personne morale étrangère payante d’impôt sur le bénéfice ou d’un impôt
semblable à l’impôt sur le bénéfice, située dans un pays tiers, avec lequel la Roumanie a conclu une
convention de double imposition, si la personne morale roumaine qui reçoit les dividendes a détenu
jusqu’à la date de leur enregistrement comptable, un minimum de 10% du capital social de la personne
morale qui distribue les dividendes pour une période ininterrompue de 1 année.
3. différences favorables de valeur des titres participatifs, enregistrées à la suite de l'incorporation des
réserves, des bénéfices ou des primes d'émission aux personnes juridiques où les titres de participation
sont détenues;
4. les revenus provenant de l'annulation, le recouvrement ou la refacturation des charges pour lesquelles la
déduction n'a pas été accordée;
5. les revenus provenant de la réduction ou l'annulation des provisions pour lesquelles la déduction n'a pas
été accordée;
6. les revenus provenant de la restitution ou l'annulation des intérêts et/ou pénalités de retard, pour lesquels
la déduction n'a pas été accordée;
7. les revenus provenant de l’annulation de la réserve faite pour l'apport en nature au capital d'autres
personnes juridiques;
8. les revenus non imposables expressément prévus dans les contrats et mémorandums;
9. les revenus provenant de l’impôt sur le bénéfice différé, déterminé et enregistré par les contribuables qui
appliquent des règles comptables qui sont conformes aux Normes internationales d’information financière
10.les revenus représentés par l’ajustement de la valeur juste des investissements immobiliers/ actifs
biologiques, à la suite d’une évaluation ultérieure en utilisant un modèle basé sur la valeur juste, par les
contribuables qui appliquent les règles comptables conformes aux Normes internationales d'information
financière ;
11.les revenus provenant de la vente/cession des titres participatifs détenues dans une personne morale
roumaine ou dans une personne morale étrangère située dans un Etat avec lequel la Roumanie a conclu une
convention de double imposition, si jusqu’à la date de la vente/cession le contribuable a détenu un
minimum de 10% du capital social de la personne morale à laquelle il a eu les titres participatifs, pour une
période ininterrompue de 1 année.
Charges :
Ch deductibles :
- charges engagées dans le but de réaliser des revenus imposables, y compris celles couvertes par les
actes normatifs en vigueur
- ex les frais d’annonces et de publicité engagés dans le but de promouvoir la société, les produits ou
les services en vertu d'un contrat écrit, ainsi que les coûts associés à la production des matériaux
nécessaires pour la diffusion de messages publicitaires, y compris les biens offerts lors des
campagnes publicitaires comme échantillons, pour l’essai de produits et des démonstrations sur le
point de vente, ainsi que d'autres biens et services fournis afin de stimuler les ventes;
- les frais de transport et d'hébergement dans le pays et à l'étranger, engagées pour les employés et
les administrateurs et pour d'autres personnes physiques semblables ;
- les frais pour le marketing, l’étude du marché, la promotion sur les marchés existants ou
nouveaux, la participation aux foires et expositions, aux missions commerciales, la publication de
matériaux informatifs propres;
- les charges de recherche, ainsi que les charges de développement qui ne répondent pas aux
conditions d'être reconnu comme immobilisations incorporelles du point de vue comptable;
- les frais de formation et de perfectionnement du personnel;
- les charges pour l'amélioration de la gestion, des systèmes d'information, l'introduction, l'entretien
et l'amélioration des systèmes de gestion de la qualité, l'obtention de l'attestation conformément aux
normes de qualité;
- les charges pour la protection de l'environnement et la conservation des ressources;
- les frais représentant des contributions à l'assurance des accidents du travail et des maladies
professionnelles et les charges pour les primes d’assurance des risques professionnels;
- les dépenses engagées à la suite de la restitution des subventions reçues des autorités nationales
et internationales;
CHARGES…non deductibles
les charges relatives à l'impôt sur le bénéfice en Roumanie et à l'impôt sur les revenus réalisés à l’étranger ;
les frais relatifs aux impôts pas retenus à la source pour le compte des personnes physiques et morales non-
résidentes pour les revenus obtenus en Roumanie, ainsi que les frais pour l’impôt sur le bénéfice différé
enregistré par les contribuables qui appliquent des règles comptables qui sont conformes aux Normes
internationales d’information financière;
les intérêts/les majorations de retard, les amendes, les confiscations et les pénalités de retard dues envers les
autorités roumaines/étrangères;
les charges liées aux revenus non imposables;
les charges liées aux stocks ou aux actifs corporels constatés manquants de la gestion ou dégradés, non
imputables, pour lesquels n’ont pas été conclus des contrats d'assurance, ainsi que la TVA afférente, si celle-ci
est due;
les dépenses engagées en faveur des actionnaires ou des associés, autres que celles résultant des paiements
pour les biens livrés ou les services rendus au contribuable, au prix du marché pour ces biens ou services;
les charges liées aux services de gestion, de conseil, d'assistance ou aux autres services dont la nécessité pour
les activités réalisées ne peut être justifiée par les contribuables et pour lesquels il n'y a pas de contrats établis
les charges relatives aux primes d'assurance qui ne concernent pas les actifs de l’entreprise;
les pertes subies à la radiation des créances qui sont incertains ou en litige, non recouvrées, pour la partie
non couverte par une provision, ainsi que les pertes subies à la radiation des créances qui sont incertains ou en
litige, non recouvrées, dans autres situations que celles requises par la loi;
les charges de parrainage et / ou de mécénat et les dépenses relatives aux bourses privées ne sont pas
déductibles, mais un crédit fiscal est accordé à hauteur du plus petit montant entre 0,5% du chiffre d'affaires et
20% de l'impôt sur le bénéfice dû;
les charges enregistrées en comptabilité, basées sur des documents délivrés par des contribuables inactifs;
les charges représentant la valeur de la dépréciation des immobilisations, dans le cas où, à la suite d'une
réévaluation, il y a une diminution de leur valeur;
les charges enregistrées en comptabilité, quel que soit leur nature, par la suite prouvées d’être liées aux faits
de corruption;
les charges non basées sur des documents justificatifs;
Le calcul et paiement de l'impôt sur le bénéfice devra intervenir chaque trimestre, au plus tard le 25 du mois
qui suit le trimestre concerné
T1, T2, T3Déclaration 100
T4 Déclaration 100 (25 mars)
La correctionde l’impôt sur le bénéfice se réalise au moment de la constatation de l’erreur
Déclaration rectificative 710
Roumanie a commencé à utiliser la TVA à partir de 1992 pour se conformer aux normes de l’Union
Européenne - s’élevait à 18%. Elle sera augmentée à 22% en 1998 et réduite à 19% 2 ans plus tard en 2000.
-pendant crise economique, impot indirect s’eleve a 24% 2010
- depuis 2017 19% appliqué au montant imposable pour les opérations imposables qui ne sont pas
exonérés ou assujettis à des taux réduits
Taux reduits : 9% ex. : hôtellerie et restauration; nourriture, eau; médicaments à usage humain et vétérinaire
5% ex. : livres d’école; première maison achetée; accès culturel (châteaux, musées)
1. Operations taxables –opérations pour lesquelles on collecte la TVA et la TVA afférente aux achats
nécessaires pour ces opérations est déductible
2. Operations exonérées, avec droit de déduction -opérations pour lesquelles on ne collecte pas la TVA mais
la TVA afférente aux achats nécessaires pour ces opérations est déductible(les exportations, les livraisons
intracommunautaires)
3. Operations exonérées, sans droit de déduction -opérations pour lesquelles on ne collecte pas la TVA et la
TVA afférente aux achats nécessaires pour ces opérations n’est pas déductible(les notaires, les médecins,
les établissements d'enseignement)
- situation où l’acquéreur roumaine dispose d’un numéro d’identification à la TVA valable, l’acquisition est
taxée en Roumanie
- L’acquéreur Roumaine, s’il est un assujetti tenu au dépôt de déclarations périodique, indique l'opération et la
taxe dans sa déclaration à la TVA. La taxe est déductible.
l'introduction auprès de l'administration d'un dossier complet reprenant les données de l'entreprise (tant au
niveau juridique, qu’économique et comptable)
business plan et la copie de l’ensemble des contrats signes avec les clients demontrant les besoins
d’immatriculation
au cours d’etude : l'administration se déplacera au siège de l'entreprise pour s'assurer que celle-ci dispose
des infrastructures adaptées à son activité, ou pour le moins qu'il ne s'agit pas d'une société fantôme
apres etudier el la visite : l’administration fiscale convoque également parfois le chef d’entreprise pour
l’interroger sur le bien fondé de sa demande avant de délivrer le numéro de TVA.
--est obligatoire pour toutes les sociétés qui réalisent une opération intracommunautaire
- un achat ou une vente d'un service auprès d'une autre société de l'Union Européenne;
- soit acquisition ou livraison intracommunautaire.
Une société roumaine qui est assujettie à la TVA intracommunautaire sans être assujettie à la TVA roumaine
est dans la situation où:
Δ vend ses produits et services à d'autres sociétés européennes hors taxes, c'est à dire sans application de
la TVA roumaine
Δ acquiert ses produits et services d'autres sociétés européennes hors taxes, mais elle devra ensuite payer
la TVA roumaine (TVA qui ne sera par ailleurs pas déductible puisque la société n'est pas assujettie à la
TVA roumaine)
ROI
Les sociétés immatriculées à la TVA, qui envisagent d'effectuer une ou plusieurs opérations
intracommunautaires (acquisitions/livraisons/services intracommunautaires) ont l'obligation de solliciter leur
enregistrement au Registre des Opérateurs Intracommunautaires avant d'effectuer les opérations
intracommunautaires en question.
-démarche d'immatriculation au ROI – revient a demander l’attribution d’un numero de TVA
intracommunautaire
- assujettis auront alors un numéro de TVA intracommunautaire valable pour toutes leurs opérations
intracommunautaires.
TVA COLLECTEE => doivent reverser la TVA collectee aupres de leurs clients roumains au moment de
l’encaiss effectif des factures
TVA DEDUCTIBLE => deduire la TVA acquittee aupres des forunisseurs ro a la date du paiement eff de la
facture
La TVA a l’encaissement…conséquences
Mention sur le factures
Ce nouveau régime entraîne l'obligation pour les sociétés roumaines concernées d'inscrire, de manière
supplémentaire, sur les factures émises concernées la mention “TVA la incasare”
Déductibilité
entreprises qui n'appliquent pas le système de la TVA à l’encaissement ne pourront, cependant, déduire
la TVA afférentes aux factures reçues de leurs fournisseurs roumains qu'à compter du moment où elles
auront effectivement payé la facture.
Périodicité mensuelle : s'applique pour les entreprises qui, au cours de l’année calendaire précédente, ont réalisé
un chiffre d’affaires de plus de 100.000 euros.
Les entreprises qui sont soumises au régime trimestriel de TVA et qui réalisent une acquisition
intracommunautaire de biens deviennent aussitôt soumises à la périodicité mensuelle.
Périodicité des déclarations de la TVA et de payement
Décompte / Déclaration de TVA
formulaire 300
doit être déposé jusqu’au 25 du mois qui suit la période fiscale
contienne la base imposable pour chaque catégorie de TVA et le montant de la TVA déductible ou
collecte, selon le cas
Déclaration informative concernant les livraisons / prestations et acquisitions effectuées par les
personnes assujetties a la TVA
formulaire 394
doit être déposé jusqu’au 30 du mois qui suit la période fiscale
CONTROLE DE GESTION
L'analyse coût/volume/profit représente l'analyse des modèles d'évolution du coût qui met en évidence la
relation entre le coût, le volume de vente et le profit. Cette relation a comme point de départ le compte de
résultat, comme suit
Résultat d’exploitation = Total revenus d’exploitation – Coût des biens vendus – Charges d’exploitation
(sauf l’impôt sur les bénéfices) (1)
Au résultat d'exploitation on ajoute le profit ou la perte hors l’exploitation : de l’activ d’inv et de l’activ de
financement => obtenir le resultat burt du periode d’où on diminue l’impot sur les benefices. Resultat
d’activite d’inv et financement =0
=>> Résultat net= Résultat d’exploitation – L’impôt sur les bénéfices (2)
Equation 1 on regroupe les elem du cout des biens vendus et les charges d’exploitation en couts fixes et
variables on a :
Résultat d’exploitation = Total revenus d’exploitation – Coût variables d’exploitation – Coût fixes
d’exploitation (sauf l’impôt sur les bénéfices) (3)
Résultat net = Total revenus d’exploitation – Coût variables d’exploitation – Coût fixes d’exploitation -
L’impôt sur les bénéfices (4)
Car les revenus d’exploitation comprennet les rev de ventes et (suppose) resultat net – profit :
Profit = Revenus des ventes – Coûts variables – Coûts fixes (5)* (*impot sur benefices inclus dans les
couts fixes)
Base d’analyse CVP- permet l’analyse du mode dont les rev, couts et profits d’exploitation evoluent
losque le prix de vente, les Q prodiotes et couts se changent.
-CVP fournisse un modele general d’activite financiere utilise par le management pour la planification
a CT, eval des performances et l’analyse des alternatives de decision.
1. MARGE DE CONTRIB = contrib marginale repr la diff entre les revenus totaux et couts variables.
La formule dérive de la méthode des coûts variables CA-C var= MC-C fixes =Profit/ Perte
Pour calculer la contribution marginale totale (globale) à partir de la contribution marginale unitaire on
multipliera la contribution marginale unitaire avec le nombre d’unités
Marge de contribution = la quantité qui est laissée plus de pour couvrir des coûts fixes, ou pour s'ajouter
aux bénéfices.
!! On élimine les coûts fixes du calcul de la marge de contribution, ce qui reste représente le résultat
(profit ou perte) de la société.
En résumant:
• La marge brute couvre les coûts des ventes et assure un profit ;
• La marge de contribution couvre les coûts fixes et assure un profit.
2. Seuil de rentabilité
de point mort ou point d’équilibre représente ce niveau de l’activité pour lequel les revenus couvrent les
coûts variables et fixes, le profit enregistré par la société étant nul. L'objectif du point d'équilibre est de
déterminer le niveau de l’activité pour lequel les revenus sont égaux avec les coûts (le volume de ventes
couvre les coûts de l’entreprise).
Analyse focalise sur l'utilisation de l'information fourni par les coûts pour comprendre si le produit ou le
service analysé perd de l'argent,produit de l'argent ou couvre les coûts liés à sa production. L'équation
générale du seuil derentabilité, exprimée en unités monétaires (valeurs) est:
Seuil de renta -> pas un indicateur rigide ou statique : il change sa structure avec chaque décision prise par
le management.
Seuil de renta - souffre de changements si le prix est modifié, les coûts fixes enregistrent des variations ou
la valeur des coûts variables unitaire se diminue ou augmente.
Cet outil d'analyse CVP sert lorsque le management de la société veut savoir quelle quantité de
marchandises doit être vendue pour obtenir un certain niveau de profit
4. Levier opérationnel
Le rapport entre le risque et la rentabilité est mesuré à l'aide du levier opérationnel. Cet indicateur mesure les
effets des coûts fixes sur les changements du profit d’exploitation
Levier opérationnel = Marge de contribution / Bénéfice d'exploitation
L’analyse de sensitivité
-technique qui examine la facon don’t le resultat varie lorsque les fluctuations de donnees sont enreg.
- l’analyse CVP => l’analyse de sensitivite repond aux : le niveau du profit si les ventes baissent avec 10% par
rapport à la valeur estimée initial ? etc
L'analyse de sensitivité est particulièrement utile pour estimer la rentabilité de l’entreprise, permettant la
sélection des alternatives souhaitées et le calcul du profit pour chaque alternative.
MC- utile dans la hierarchie des prod en fonct de leur contribution a la couverture des couts fixes.
-Hierarchie qui permet l’identification de prod non rentables
!!! l’elimination d’un produit ne supprime pas une partie des couts fixes => la marge cumulée des produits
restants peut devenir inferieure aux coûts fixes, en générant au niveau global un résultat négatif (une perte).
!! tenir compte de la nouveaute des prod dont la vente a des perspectives favorables, sens de reuire les depenses
et augmenter le profit.
1. Aspects introductifs
Budget = l’expression comptable et financière des plans d’action retenus pour que les objectifs visés et les
moyens disponibles sur le court terme (l’année en général) sont orientés vers la réalisation des plans
opérationnels
Roles :
- Coordination et communication entre les diff fonctions et les diff centres de responsabilite de l’entreprise.
- Delegation et de motivation => decoupage des budgets doit coller avec la structure hierarchique de
l’entreprise Chaque responsable d’un centre de responsabilité se verra doter d’un budget qui se traduit,
d’une part par une autorité sur un ensemble de ressources – qu’elles soient humaines, techniques ou
financières – et, d’autre part par une responsabilité qui se traduit par un ensemble d’objectifs annuels à
atteindre et sur la base desquels la performance du responsable pourra être évalué.
- l’apprentissage et la formation des dirigeants qui, au travers de la gestion et du contrôle d’un budget, font
l’apprentissage progressif de l’exercice de l’autorité et de la prise de responsabilités.
L’élaboration et le fonctionnement d’un système budgétaire vont dépendre en premier lieu d’une série de
variables propres à l’entreprise, comme la structure organisationnelle, le degré de décentralisation et
d’autonomie des centres de responsabilité et la culture de l’entreprise :
5 principes dans la construction d’un budget :
3. doit couvrir l’ensemble des entités et centres de responsabilité de l’entreprise s’il veut assurer le rôle de
coordination et de communication qui est le sien. qu’une entreprise qui met en place un système
budgétaire procède graduellement en commençant par l’établissement d’un budget pour l’une ou l’autre
fonction pilote, dont la performance est cruciale à son succès. Le système budgétaire ne remplira
complètement ses différents rôles que si la démarche budgétaire
4. doit s’inscrire en cohérence avec la politique de gestion des ressources humaines (GRH) de l’entreprise,
afin de remplir son rôle de délégation et de motivation. GRH devrait inciter les dirigeants à définir des
objectifs ambitieux et à mettre en oeuvre les plans d’action efficaces qui permettront de les atteindre.
l’atteinte de ces objectifs budgétaires, pour un dirigeant en charge d’un centre de responsabilité, se traduit
par un complément de rémunération variable qui peut représenter une part très appréciable de sa
rémunération fixe. En revanche, la non-réalisation de ses objectifs budgétaires, deux années de suite, se
traduit par des sanctions pouvant aller jusqu’au licenciement ;
5. révision des budgets en cas de modification importante de l’environnement qui met à mal les hypothèses
qui ont présidé à son établissement, si l’on veut garder un intérêt à la démarche budgétaire et permettre à
l’outil budgétaire d’assurer ses différents rôles.
-- procédure d’élaboration d’un budget peut se dérouler de multiples manières en fonction de la taille de
l’entreprise, d’insertion des budgets dans une demarche plus large de planification strategique, position
hiérarchique des acteurs impliqués dans le processus, plus au moins grande participation des membres des
entreprises à la définition de leurs objectifs, du rôle de la fonction contrôle de gestion qui est en charge de
piloter le processus et de la structure de gouvernance de l’entreprise.
Etapes :
- préparation : implique l’identification des dirigeants des départements. Ils doivent connaitre avec
exactitude les attributions de travail à accomplir et les ressources nécessaires afin de réaliser avec
succès leurs attributions.
- Redaction : travail en équipe. La rédaction du budget peut être réalisée seulement au travers des
activités de corrélation et vérification entre les responsables des budgets.
- D’autorisation : qualités de négociateur pour les deux parties : le responsable du budget doit
convaincre les responsables supérieures (ou la commission de budget) que les ressources
demandées sont les plus appropriées et que les objectifs seront atteints avec certitude.
- D’implementation : mise en oeuvre du budget. Cette étape implique la comparaison entre les
valeurs prévisionnelles et les valeurs réelles enregistrées suite au déroulement de l’activité de
l’entreprise, l’explication des différences qui apparaissent, l’identification et l’implémentation des
mesures préventives ou correctives, selon le cas.
Pour faciliter l’activité de planification et pour effectuer un contrôle efficient, les entreprises rédigent le
système budgétaire à travers de leur structure organisationnelle. À cet égard, le premier pas est l’analyse de la
structure organisationnelle
L’architecture du système budgétaire repose sur le budget des ventes – rep la part la moins contrôlable du
budget, elles reposent sur les décisions d’achat des clients conditionnées notamment par l’évolution de la
- Tous les budgets opérationnels ( production ou d’achats) – dependre du b des ventes
première composante du budget des ventes est le revenu des ventes prévisionnel qui est les
estimations du dirigeant des ventes concernant les ventes prochaines à travers des facteurs comme :
l’étude de marché effectué, les prix utilisés par l’entreprise, les compétiteurs. Rapport – plan detaille
qui identifie les ventes estimees du produit / service offert par l’entreprise
budget des charges avec les ventes redige par le dirigeant des ventes à partir du budget des ventes
prévisionnelles et comporte tous les coûts futurs : coûts de publicité, promotion de produits, salaires
des agents des ventes etc.
budget de ventes est défini, il est possible de construire un plan de production avec 2 situations :
1. la capacité de production est suffisante pour atteindre le niveau désiré des ventes (la société a un
personnel suffisant pour produire les applications infor)
2. la capacité de production n’est pas suffisante, et donc la société doit emplyer plusieurs programmateurs
Après l’établissement du niveau de production on établit le budget des coûts de production qui a 3 budgets
fonctionnels : b de main d’œuvre directe, b materiaux directs et b des couts fixes de production.
- Plan de production corrobore avec le budget des couts de production = b d’activite de production
Le dernier budget rédigé est le budget administratif effectué par le dirigeant du département d’adm.
Redige a la fin car tient compte des elem composants des budgets precedents
Tous les budgets définis jusqu'à maintenant vont former le budget général de l’activité de la société.
But : est de permettre la rédaction des rapports financiers prévisionnels pour l’entière entreprise : bilan
prévisionnel, compte de résultat prévisionnel et l’état de flux de treso previsionnel.
b) Le budget de production but final l’établissement de la quantité de produits finis qui est produite dans
la période de référence
Ventes quantitatives – stock prévisionnel de produits finis à la fin de période = nécessaire de produits finis
Nécessaire de produits finis – stock initial de produits finis = produits finis nécessaires à fabriquer
c) Le budget administratif reflète les montants prévisionnels pour les charges des ventes, générales et
administratives.
2 Budgets – Ecarts sur le budget flexible
2.1 B flexibles
Budget statique = rédigé au début de la période prévisionnelle sur la base des quantités prévisionnelles à
être produites/vendues dans la période prévisionnelle.
- Ex est le budget général de l’activité de l’entreprise, budget qui est approuvé pour la période prochaine.
Donc, il est normal que ce budget soit composé en totalité des valeurs prévisionnelles qui visent une
période ultérieure
Le budget statique et le budget flexible seront comparés avec les données réelles enregistrées par la société :
prix de vente réel, quantité produite/vendue, coûts unitaires réels et charges generales. Suite a la comparaison
=> ecarts entre les valeurs previsionnelles et val reelles.
- est au coeur du processus de contrôle budgétaire et constitue l’outil de reference pour exercer un
contrôle de resultats.
- Comparaison periodique des previsiont et obj budgetaires avec la real au moyen de l’analyse des
ecarts vise un 2 objectif :
Δ objectif d’attribution de responsabilités : il s’agit de déterminer qui est responsable de l’ecart
constate
Δ objectif de pilotage : identifier le lieu de la déviation par rapport aux objectifs (problèmes de
ventes insuffisantes, de dérapage des coûts de production ou de distribution) permet de mettre
en place les actions appropriées afin de corriger les déviations constatées en vue d’atteindre les
objectifs initialement prévus.
De façon générale, l’analyse des écarts fait apparaitre trois grands types d’écart :
- Des écarts de quantités qui traduisent des problèmes de rendement et de productivité. Ceux types
d’écarts apparaissent entre le budget flexible et le budget statique au niveau de quantités et
s’appellent écarts imputables à la vente/production (EIP);
- Des écarts de prix qui sont souvent fortement déterminés par l’environnement externe de
l’entreprise. Ceux types d’écarts apparaissent entre le budget flexible et la situation réelle au niveau
du prix de vente et de coûts et s’appellent écarts du budget flexible (EBF);
- Des écarts provenant de variations dans l’utilisation des capacités installées disponibles, qui peuvent
trouver leur origine tant dans l’environnement externe de l’entreprise qu’au sein de celle-ci. Ceux types
d’écarts apparaissent entre le budget statique et le la situation réelle qui réunissent les écarts du budget
statique et les écarts du budget flexible et s’appellent écarts du budget statique (EBS).
L’analyse des écarts fonde également un mode de gestion par exception. En effet, les écarts entre
prévisions et réalisations sont inévitables. Pour éviter que les problèmes réels soient masqués dans la
masse d’un grand nombre des écarts calculés, il importe de repérer les écarts significatifs qui
témoignent d’un dérage réel de la performance de l’entreprise.
Interpretation du resultat de cette eq depend de l’ecart mesure. 2 types des ecarts peuvent entre
mesurer :
1 ecart de resultat : qui est favorable s’i ; est positif, et defavorable, s’il est negatif
2 un ecart de cout : qui est defav s’il est positif et favorable s’il est negatif
EXERCITII DE LA PAGINA 15